"Portière à panneaux coulissants, pour véhicules" La présente invention est relative à une portière à panneaux coulissants, pour véhicules, et se rapporte particulièrement, mais non exclusivement, à des véhicules sur rails, cette portière étant du type qui, lors de l'ouverture, est d'abord décalé, à partir de son siège, vers l'extérieur du véhicule,
et ensuite amené à coulisser le long de la paroi latérale extérieure de celui-ci.
On connaît des portières à panneaux coulissants de cette sorte, dans lesquelles, pour permettre aux panneaux de la portière d'effectuer ce double mouvement, à savoir une translation à partir de leur siège et un coulissement latéral, on prévoit un ou plusieurs systèmes coulissants téléscopiques qui sont supportés par des bras articulés situés à l'extérieur de la caisse du véhicule et auxquels les panneaux de la portière sont suspendus, de façon à pouvoir être glissés latéralement, tout en demeurant suspendus à ces bras.
Ces systèmes à coulissement sont constitués par des profilés laminés de forme appropriée, lesquels peuvent s'étendre d'une manière télescopique avec interposition de moyens de roulement appropriés, dont l'un est solidaire du panneau de portière correspondant, tandis que l'autre est réuni à oscillation par lesdits bras qui sont articulés à la caisse du véhicule.
Un système à suspension et à coulissement de cette sorte peut donner lieu à des perturbations en cours de fonctionnement, étant donné que les bras articulés sont soumis à de fortes contraintes dues aux vibrations et au poids élevé que ces bras doivent supporter, d' où un effet défavorable sur la stabilité de la portière.
Partant de ce qui précède, la présente invention a surtout pour objet d'éliminer ces inconvénients, tout en établissant un système à suspension et à coulissement pour portières à panneaux coulissants qui soit à même d'assurer une stabilité et une fiabilité améliorées.
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coulissants, dans laquelle chacun des panneaux de la portière est suspendu à un élément d'un guidage télescopique, un autre élément de ce même guidage étant fixé rigidement aux éléments mobiles d'au moins deux éjecteurs linéaires montés sur une structure de support rigide, cette dernière étant fixée à la caisse du véhicule, à proximité de la traverse supérieure de
la baie de la portière, des moyens étant prévus pour déterminer, sélectivement dans l'une ou l'autre direction, soit directement soit indirectement, un déplacement limité desdits éléments mobiles des éjecteurs linéaires, air'si que des moyens pour commander le coulissement de celui des éléments du guidage télescopique qui est solidaire du panneau de portière, par
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teurs linéaires.
Ainsi qu'on le voit, le guidage télescopique, auquel le panneau de portière est suspendu, n'est désormais plus fixé à la caisse du véhicule, comme c'était le cas dans les systèmes classiques, mais est supporté par les éléments mobiles d'éjecteurs linéaires montas sur une structure rigide fixée à la caisse, ce qui est favorable à la stabilité du système de suspension de la portière.
Les éjecteurs linéaires mentionnés ci-dessus sont situés dans un plan horizontal et peuvent être disposés suivant un angle par rapport au plan qui contient la baie de la porte,
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Cependant, l'orientation des éjecteurs dans le plan horizontal doit être effectuée de manière que l'on obtienne, tant dans la phase d'ouverture que dans la phase de fermeture, les valeurs les plus appropriées pour la composante de force du cylindre de commande en direction des éjecteurs. Grâce à cette disposition, on peut imprimer aux panneaux de portière, lors de leur déplacement hors de leur siège, soit un mouvement combiné perpendiculaire à la baie et parallèle à celle-ci, soit un mouvement uniquement perpendiculaire à la baie. Dans le cas d'un
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de mouvement parallèle à la baie, composante qui donnerait
lieu à des difficultés lors du passage au-delà du jambage de
la baie.
On a constaté que, pour assurer un fonctionnement favorable accompagné d'un mouvement de coulissement aisé et d'un fonctionnement non perturbé de la portière, il était avantageux de prévoir un système spécial de guidage et de coulissement pour les
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manière à empêcher tout décentrage et à réduire les forces frictionnelles.
Suivant une forme de réalisation particulière des éjecteurs et du guidage télescopique, on insère entre les éléments, qui coulissent l'un par rapport à l'autre, des éléments de roulement constitués par des roulements à billes montés sur des chevilles solidaires de chacun des éléments coulissants coopérants, roulements guidés par les bagues de roulement extérieures correspondantes sur des pistes rectilignes prévues sur l'élément complémentaire.
Grâce à cette disposition, et vu que les éléments de roulement individuels sont supportés par chacun des éléments coopé-rants, dont ils font corps respectivement, et que, d'autre part, la distance entre les éléments de roulement est déterminée d'avance par la distance entre les axes des chevilles de support, on peut omettre des moyens d'espacement auxiliaires, tels que des cages ou analogues, tout en assurant un guidage plus stable et plus fiable des éléments montés à coulissement les uns par rapport aux autres, cela sans aucun risque de coincement des éléments de roulement.
Chaque élément de roulement peut être formé avantageusement par deux roulements à billes disposés côte à côte et montés
sur la même cheville.
Afin de permettre d'ajuster et de corriger d'une manière appropriée la position de la portière tant dans le plan horizontal que dans le plan vertical par rapport à la caisse du véhicule, et conformément à une forme de réalisation particulièrement favorable, le système pour supporter les éjecteurs linéaires qui portent le guidage télescopique et, par son intermédiaire, la portière,est fixé à la caisse du véhicule par un système où, d'une part, il est prévu un bras oscillant monté
à pivotement autour d'un axe vertical solidaire de la caisse, bras qui traverse le système de support avec un jeu aisé, et, au moyen d'un organe de verrouillage fixé par vissage à son extrémité, maintient ce système de façon serrée, au moyen d'un élément curviligne, de façon qu'il soit appliqué contre cette caisse, tandis.que, d'autre part, il est prévu un tirant de blocage espacé par rapport audit bras et doué d'une liberté
de mouvement limitée dans toutes les directions, ainsi qu'un espaceur ajustable présentant des surfaces de contact courbes et interposé entre le système de support et la caisse.
Grâce à ce système, l'ensemble de la construction qui supporte la portière peut être aisément et rapidement monté et démonté et de plus, sa position par rapport à la caisse du véhicule peut être ajustée d'une manière à la fois simple et précise.
Les moyens destinés à produire le déplacement limité des parties mobiles des éjecteurs linéaires peuvent être du type pneumatique ou électromécanique et peuvent agir directement sur les composants précités.
Suivant une forme de réalisation particulière, on peut aussi prévoir un dispositif à action indirecte, c'est-à-dire
un dispositif qui agit sur le panneau et non sur les éléments mobiles des éjecteurs. Le cas échéant, ce dispositif peut être constitué par un arbre vertical disposé parallèlement au jambage de la baie et fixé à celui-ci par des éléments de supports spécialement prévus à cet effet; sur les deux extrémités de cet arbre sont clavetéssdeux bras de manivelle dont les extrémités libres portent chacune un galet, ces galets étant engagés dans des.guidages fixés respectivement à l'extrémité supérieure et
à l'extrémité inférieure du panneau de portière. Un élément
de commande pneumatique ou électro-mécanique approprié peut être prévu dans le but d'imprimer à l'arbre une rotation limitée autour de son axe, afin que le panneau soit amené par l'intermédiaire des bras de manivelle d'extrémités, ensemble avec le guidage télescopique de la baie, à se déplacer dans le sens autorisé par les éjecteurs linéaires.
Dans cette forme de réalisation, les bras de manivelle contribuent à assurer au panneau de portière une stabilité élevée dans la position d'ouverture. En outre, le dispositif servant
à commander la rot&tion de l'arbre portant les bras de manivelle peut être équipé d'un mécanisme de verrouillage, dont la tâche consiste à bloquer le panneau de portière dans sa portion de fermeture, de manière à empêcher tout déplacement de celui-ci. Plus particulièrement, lorsqu'il s'agit d'une portière à deux panneaux, il est indiqué de prévoir un dispositif de verrouillage supplémentaire destiné à bloquer les bords libres de rencontre des panneaux dans la position de fermeture, afin d'empêcher le ballottement des panneaux lorsque le véhicule est en marche.
Dans une forme de réalisation particulière de l'invention, un tel dispositif de verrouillage comprend une butée centrale constituée par une simple plaque présentant deux ailes diverSentes, fixée d'une manière stable dans un dégagement situé audessous du seuil de la baie du véhicule ainsi qu'une corne pour chaque panneau de portière, montée d'une manière ajustable au voisinage du bord inférieur du panneau de portière et destinée
à coopérer avec l'aile correspondante de la butée centrale lorsque le panneau de la portière occupe la position de fermeture.
L'adoption d'un tel dispositif offre l'avantage d'une extrême simplicité, d'une facilité d'assemblage et de réglage et donc d'une meilleure fiabilité et d'une plus grande sécurité d'emploi. Elle n'implique aucune modification particulière de la structure du véhicule, et la simplicité du dispositif le rend parfaitement fonctionnel, car celui-ci n'exige aucun entretien particulier.
Ce dispositif est de préférence disposé en bas, au-dessous
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haut, au-dessus de la baie.
Le système pour commander l'extension et la rétraction du guidage télescopique, et donc le glissement du panneau de portière le long de la paroi latérale extérieure du véhicule peut être constitué par un vérin pneumatique fixé à la caisse du véhicule, la tige du. vérin étant réunie au panneau de la portière par un bras articulé.
Il s'est avéré avantageux de pouvoir contrôler le mouvement de coulissement du panneau de telle manière que le panneau soit amené à se déplacer rapidement, si faisable, la vitesse diminuant considérablement à la fin de la course. D'autre part, il pourrait être demandé dans certains cas que le panneau de portière se déplace à des vitesses différentes pendant la phase d'ouverture et la phase de fermeture.
La présente invention satisfait de telles exigences grâce à un système qui comprend un vérin pneumatique, dans lequel est monté un piston dont est solidaire une tige qui traverse à joint étanche une culasse de cylindre, ce cylindre étant muni à proximité de ces extrémités d'ouvertures appelées à être mise
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et avec un orifice d'évacuation, ledit système étant caractéris en ce que lesdites ouvertures, principales, coopèrent avec des ouvertures auxiliaires contrôlées par des éléments d'étrangleme ajustables et en ce que la tige solidaire du piston est munie d'un organe soumis à l'action d'un ressort qui se déplace par rapport à la tige et est appelé à produire la fermeture avancée desdites ouvertures principales, dans les deux sens de déplacement du piston dans son cylindre, avant que le piston atteigne sa position de fin de course.
De préférence, les ouvertures principales qui débouchent dans le cylindre sont également munies d'éléments qui ajustent leur section de passage.
�ans ce système, lorsqu'il s'agit de déplacer le cylindre dans l'un ou dans l'autre sens, on admet -.de l'air comprimé à l'orifice principal et aux orifices auxiliaires, situés à proximité d'une extrémité du cylindre, tandis que l'orifice principal et les orifices auxiliaires, situés à l'extrémité opposée du cylindre, sont mis en communication avec l'orifice d'évacuation. Le piston et sa tige se déplacent initialement
à une vitesse qui est fonction de la pression de l'air comprimé admis dans le cylindre et de la section libre des orifices par lesquels l'air s'échappe de l'extrémité opposée du cylindre, jusqu'à ce que l'ouverture principale soit fermée par l'organe qui est adjoint à la tige de piston; à partir de cet instant,
le piston avec sa tige poursuit sa course dans le même sens,
mais à une vitesse réduite, qui est déterminée par la section étranglée des ouvertures auxiliaires qui étaient restées ouvertes.
Les organes de réglage affectés aux ouvertures principales permettent l'ajustement de la vitesse de déplacement du piston pendant la course non freinée de celui-ci, tandis que les éléments de réglage affectés aux ouvertures auxiliaires permettent l'ajustement de l'effort de freinage vers la fin de la course.
Ces ajustements peuvent être effectués indépendamment
l'un de l'autre et séparément pour la course dans l'un et
dans l'autre sens.
Il va de soi que l'on fait appel à des dispositifs connus pour synchroniser les actions des organes qui commandent les mouvements, afin que, lors de la phase d'ouverture de la portière, les panneaux soient d'abord délogés de leur siège vers l'extérieur, dans la direction autorisée par les éjecteurs linéaires, et ensuite amenés à coulisser latéralement le long
de la paroi latérale extérieure du véhicule et que, pendant la phase de fermeture de la portière les manoeuvres s'effectuent dans l'ordre inverse.
Les particularités et les avantages de l'invention ressortiront d'une manière plus détaillée de la description, donnée ci-après, de quelques formes d'exécution pratiques de portières coulissantes, en se reportant aux dessins annexés, dans lesquels:
Les figs 1 et 2 sont des vues perspectives schématiques, prises de l'intérieur du véhicule, d'un panneau, de portière dans la position fermée et dans la position d'ouverture partielle, respectivement.
La fig. 3 est une vue de détail en coupe du mécanisme de commande pour produire le mouvement de coulissement du panneau de portière.
La fig. 4 est une vue en coupe horizontale prise le long
de la ligne brisée IV-IV de la fig. 5 et montrant le système de suspension et de coulissement suivant l'inventiono
La fig. 5 est une vue en coupe verticale prise suivant la
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La fig. 6 représente un éjecteur en. coupe, la vue étant prise suivant la ligne VI-VI de la fig. 4.
La fig. 7 est une vue en plan, partie en coupe qui représente le système de commande pour le déplacement du panneau de la portière, ainsi que le mécanisme de verrouillage.
La fig. 8 est une vue en élévation latérale du système et du mécanisme représentés dans la fig. 7.
Les figs 9, 10 et 11 sont des représentations, qui correspondent respectivement aux figs 1, 4 et 5, d'un panneau de portière qui comprend des éjecteurs linéaires et un guidage télescopique à roulements à billes insérés entre les éléments qui coulissent l'un par rapport à l'autre, ainsi qu'un système d'ajustement particulier pour la mise eu point du panneau de portière.
La fig. 12 est une vue en coupe verticale prise le long de la ligne brisée XII-XII de la fig. 11.
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portière à deux panneaux, vu de l'intérieur du véhicule, dans la position de fermeture.
La fig. 14 est une vue en coupe horizontale prise suivant
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ment du panneau de portière dans une forme de réalisation particulière, et
Les figs 16 et 17 sont des coupes transversales prises
<EMI ID=11.1> fig. 15.
Il convient de noter que, dans les dessins annexés et dans la description qui suit, on considère d'une manière générale
une portière à un seul panneau, étant toutefois bien. entendu
que la portière peut aussi être à deux panneaux et que, dans
ce cas, les moyens de suspension et de commande ,.our le second panneau sont censés être identiques et symétriques à ceux décrits et représentés ici.
Dans les figs 1 et 2,.auxquelles on se reportera en premier lieu, le chiffre de référence 10 désigne le panneau déplaçable et coulissant d'un véhicule (non représenté en particulier)
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tiqués dans la face intérieure du panneau.. Dans ces évidements sont fixés respectivement un guidage supérieur 13 et un guidage inférieur 14, constitués par des profilés en L laminés, dont les extrémités situées à proximité des bords verticaux du panneau, près du jambage de la baie (représenté par des traits mixtes
en 15) sont pliées vers le fond de l'évidement correspondant, ainsi qu' il, est représenté d'une manière plus détaillée dans
la fige 7.
Un arbre vertical 16, disposé parallèlement au jambage 15 et fixe à celui-ci par des consoles 17, 18, 19, porte deux
bras de manivelle 20, 21, clavetés sur ses extrémités et qui portent à leur tour, par leurs extrémités libres, des galets 22,
23, lesquels sont garnira. 'une matière non métallique et sont
en prise avec les guidages respectifs 13 et 14.
Une console 24, faisant corps avec l'élément de support intermédiaire 18 de l'arbre 16, porte un vérin pneumatique 25 dont la tige 26 est terminée par une extension bifurquée 2?.
A cette dernière est réunie un bras de manivelle 28, dont l'extrémi�é opposée est clavetée sur l'arbre 16 (voir en particulier la fig. 7).
Il est évident que la course de la tige 26 dans l'un ou dans l'autre sens peut imprimer une rotation correspondante à l'arbre 16 et aux bras de manivelle 20, 21, qui en sont solidaires, rotation s'étendant sur un angle présélecté. Cette rotation a pour effet - ainsi qu'il sera exposé d'une manière plus détaillée dans la suite - des déplacements correspondants du panneau de portière 10 par rapport à la baie, de façon à amener ce panneau à quitter son siège ou à revenir à celui-ci.
Dans l'évidement supérieur 11 du panneau 10 est fixé, parallèlement au bord supérieur du panneau, un élément coulissant
29 d'un guidage télescopique, l'élément fixe 30 ayant la forme d'un profilé laminé en U (voir la fig. 5 pour plus de détails). Pour faciliter le coulissement entre les deux éléments 29 et 30 du guidage télescopique, on a inséré deux rangées de rouleaux, respectivement 31 et 32, qui sont convenablement espacés dans
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L'élément 30 du guidage télescopique est supporté par les parties mobiles de deux éjecteurs linéaires, désignés dans leur ensemble par 34 et 35, respectivement, dans les figs 1 et 2, ainsi qu'il sera exposé ci-après d'une manière plus détaillée
à propos des figs 4 à 6 inclus.
Les parties fixes des éjecteurs sont constituées par des manchons cylindriques 36 et 37, fixés rigidement l'un à l'autre par une traverse 38. Cette traverse 38 est fixée par des boulons
39 à un élément de support constitué par un profilé en U désigné par 40 et fixé par ses extrémités aux parois latérales de la baie du véhicule, à proximité de la traverse supérieure de la baie (les figs 1, 2 et 4 montrent clairement le mode de fixation au jambage 15).
Ainsi, l'ensemble comprenant le profilé 40, les manchons
36 et 37 et la traverse 38 constitue un système de support rigide, qui est monté à. proximité de la traverse supérieure de la baie.
Les parties mobiles des éjecteurs linéaires 34 et 35 sont constituées par des tiges 41 et 42 à secticn carrée (voir fig.6) montées à coulissement dans le sens axial dans leurs manchons respectifs 36 et 37, au moyen de deux rangées de galets, tels
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Ces rangées de galets disposent d'un chemin de roulement situé à l'intérieur d'un élément semi-annulaire désigné par 45 et bloqué au moyen de bagues d'arrêt 46, 47 au manchon correspondant 36 ou 37. Une cage appropriée 48 maintient un espacement
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Les tiges 41 et 4-2 présentent chacune à une de ses extrémités une tête élargie 49 ou 50, tandis que les autres extrémi-tés de ces tiges sont bloquées rigidement dans les sièges respectifs 51 et 52 qui font saillie depuis la face postérieure de
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avec ledit élément. Des lucarnes 53, 54, prévues spécialement dans le profilé 40, permettent le passage des tiges 41 et 42 des sièges correspondants 51, 52, ainsi qu'on le voit clairement dans la fig. 4.
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dantes 41, 42 sont parallèles entre eux et forment, dans l'exemple représenté dans les- dessins, un angle alpha de 60 degrés environ avec le plan. qui contient la baie. D'autre part, ces deux axes sont situés dans un plan horizontal.
Toutefois, et comme indiqué plus haut, cet angle peut varier entre 4-5 degrés et un angle plus grand, même droit et, dans ce dernier cas, la portière se déplace perpendiculairement à son siège.
On décrira ci-après, en se reportant aux figs 9 à 12, une autre forme de réalisation du panneau, de portière:suivant l'invention. Etant donné que cette forme de réalisation correspond en règle générale à celle déjà décrite, il ne sera question dans la suite que d'éléments dont la structure et/ou le fonctionnement différent de ceux décrits plus haut.
Il convient de noter que les organes identiques sont désignés par les mêmes signes de référence, les éléments qui sont analogues étant également désignés par les mêmes chiffres de référence, mais avec adjonction du suffixe "a".
Le panneau de portière 10 porte dans son évidement supérieur 11 l'élément coulissant 29a du guidage télescopique, dont l'élément fixe 30a présente sur son coté postérieur des sièges
<EMI ID=18.1> des tiges 41a et 42a respectivement, ces tiges présentant une section circulaire.
L'élément fixe 30a du guidage télescopique porte à scn bord supérieur et à son bord inférieur une série de chevilles
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à son extrémité libre un double roulement à billes résistant à l'usure, connue indiqué par 31a et 31b, respectivement, les bagues de roulement extérieures de chaque double roulement à billes étant guidées à coulissement dans des rainures à section rectiligne prévues sur la face supérieure et la face inférieure, dans le sens longitudinal, sur l'élément �Sa du guidage télescopique.
Grâce à cette disposition, on obtient un guidage sur et
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La distance entre les axes des couples opposés de doubles roulements à billes va en diminuant vers l'extrémité de l'élément 30a à laquelle est transmise la totalité de l'effort lorsque le panneau de portière 10 est complètement retiré (ouvert), de sorte que l'on peut maintenir dans des limites relativement étroites le chevauchement des deux éléments du guidage télescopique à l'état allongé (voir fig. 10).
Les tiges 41a et 42a sont réunies à des éléments de support 36a et 37a, qui constituent, conjointement avec ces tiges,
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et 35a, respectivement, lesdits éléments de support étant fixés rigidement l'un à l'autre par une plaque de support 38. La plaque 38 est fixée d'une manière ajustable, ainsi qu'il sera exposé plus clairement dans la suite, à un élément constitué par une entretoise en forme de U. désignée par 40a, fixée par ses extrémités aux parois latérales de La baie du véhicule, au voisinage de la traverse supérieure de cette baie.
Les deux éjecteurs linéaires sont identiques, de sorte que la description qui suit se rapportera uniquement à celui d'entre eux qui est désigné par 34a et représenté d'une manière détaillée dans les figs 10 à 12.
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cet élément au moyen de boulons 46a et dont la face longitudinale présente une cavité destinée à recevoir et à entourer par-
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pectivement dans la face supérieure et dans la face inférieure de la tige 41a. Grâce à cette disposition, on obtient une action de guidage efficace, avec une friction minimum pour la tige
41a, par rapport à l'élément de support 36a.
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42a qui leur sont affectées traversent des fentes 53a, 54a, spécialement prévues à cet effet dans l'entretoise 40a, comme représenté dans la fig. 10.
Pour assurer l'assemblage du groupe comprenant la plaque
de support 38, les éjecteurs linéaires 34a, 35a, le guidage télescopique 29a-30a et le panneau de portière 10, sur l'élément fixe constitué par l'entretoise 40a, on procède comme suit:
A l'entretoise 40a, on fixe à l'aide de pattes d'attache
80, une cheville verticale 81, autour de laquelle peut osciller un bras 82 qui traverse des fentes prévues à cet effet dans
et
l'entretoise 40a et dans la plaque de support 38/sur l'extré-mité duquel est vissé un écrou de blocage 83, destiné à bloquer la saillie sphérique 38a de la plaque de support 38 contre l'entretoise 40a (voir fig. 10). Les fentes formées dans la
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bras 4-2 présentent des dimensions plus grandes que le bras lui-même, de sorte que ce dernier peut être mis au point à différents angles.
A. une certaine distance du bras 82 est prévue un tirant
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espaceur 84, lequel est vissé dans une embase faisant corps avec la plaque de support 38, cette tige traversant en outre un élément de butée 85 fixé à l'entretoise 40a et un élément
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riques sont interposées entre la tête du tirant 39a et l'élément mobile 86, ainsi qu'entre l'écrou 39b et l'espaceur 84.
Ainsi qu'on le voit clairement dans la fig 10, ce sousensemble servant au verrouillage du système supportant le panneau de portière à l'encadrement fixe de la baie du véhicule
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la position du panneau de portière par rapport à la carrosserie dans chaque direction. Un tel ajustement peut être effectué rapidement et avec exactitude après que le panneau de portière a déjà été monté, de façon que celui-ci s'adapte exactement à la baie du véhicule.
Pour effectuer le mouvement de coulissement latéral du panneau de portière (et donc aussi celui de l'élément mobile
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on prévoit un vérin pneumatique, tel que désigné par 55 dans les figs 1 à 3, fixé à la carrosserie du véhicule. La tige 56
de ce vérin se termine par un oeillet 57, dans lequel est engagée une cheville 58, cette dernière se terminant par une fourche 59 (fig. 3), à laquelle est articulé un bras 60, dont l'extrémité libre est fixée au panneau, de portière 10. Dans la fig. 3, le panneau de portière 10 et le bras 60 ont été représentés en traits pleins dans la position de fermeture du panneau et en traits mixtes dans la position dans laquelle le panneau est dégagé de la baie.
Une forme de réalisation particulièrement favorable du disposicif pour effectuer le coulissement latéral du panneau
de portière sera décrite ci-après en se reportant aux figs
15 à 17.
Ce dispositif est constitué par un cylindre 101 obturé à une extrémité par un couvercle de fond 102 et portant sur l'extrémité opposée un manchon 103; à travers ce dernier passe à joint étanche (garnitures d'étanchéité 104- ) la tige solidaire du piston 106. Le piston porte des garnitures d'étanchéité
107 et peut coulisser le long de la paroi intérieure du cylindre 101.
Dans le fond 102 du cylindre 101 est prévu un raccord 108. lequel peut être mis en communication, à l'aide de canalisations et de soupapes, non représentées, alternativement avec une source d'air comprimé et un orifice d'évacuation. Le raccord 108 est relié, par des orifices formés dans la paroi de fond 102, à une ouverture principale 109 et à une ouverture auxiliaire 110, qui débouchent toutes deux dans l'intérieur
du cylindre (voir également fig 17). Dans les orifices qui re-
<EMI ID=30.1> <EMI ID=31.1> fig 15), de sorte que lorsque la tige 105 continue à se déplacer vers la gauche, la broche 114 est entraînée et comprime le <EMI ID=32.1>
maximale de la broche 114 vers l'extérieur, c'est-à-dire dans le sens de sa sortie de la tige 105.
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enveloppe partiellement un ressort 118, ce dernier étant ancré par une extrémité à la paroi de fond du godet 117 et portant
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Le manchon 103 constitue par une de ses parois, désignée par 120, perpendiculaire à l'axe du cylindre 101, l'autre cou-
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porte sur sa face tournée vers la paroi de fond 120 une -arniture d'étanchéité 125, laquelle assure un joint étanche avec la
<EMI ID=36.1> du ressort 123, sous l'action de la rondelle 119 à la suite du déplacement du piston 106 et de la tige 105 vers la gauche.
Le manchon 103 est également pourvu d'un raccord 126, qui peut être mis en communication, à l'aide de canalisations et de soupapes, non représentées, alternativement avec une source d'air comprimé et un orifice d'évacuation.
Il convient de noter que ces soupapes coopèrent avec celles reliées au raccord 108, de telle manière que, lorsqu'un raccord est relié à la source d'air comprimé, l'autre est relié à l'orifice d'évacuation) et inversement.
Le raccord communique, à travers des orifices formés dans le manchon 103, avec une ouverture principale 127 et une ouverture auxiliaire 128, qui débouchent toutes deux dans l'intérieur du cylindre, en regard du collier 121 (voir également fig 16).
Des vis de réglage 129, 130 sont insérées dans les canaux qui relient le raccord 126 aux ouvertures 127 et 128 respectivement. Ces vis peuvent également être réglées aisément et indépendamment depuis l'extérieur.
Il convient en outre de noter que la bague d'arrêt 124 constitue une butée de fin de course pour les déplacements vers la gauche du piston 106 et de la tige 105, étant donné qu'elle forme une butée pour le godet en saillie 117, solidaire de la tige 105.
Le dispositif tel que décrit ci-dessus fonctionne comme suit:
Pour déplacer le piston 106 vers la gauche (dans la fig.
15) et faire en sorte que la tige 105 émerge hors du cylindre
101, on met en communication le raccord 108 avec une source d'air comprimé et l'on relie le raccord 126 à l'orifice d'éva-
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L'air comprimé pénètre dans le cylindre à travers l'orifice auxiliaire 110 (l'orifice principal 109 est fermé par l'extrémité de la broche 114) et commence à déplacer vers la gauche
le piston 106 et la tige 105 qui en est solidaire. Lors de ce déplacement initial, la tige 105 se déplace par rapport à la broche 114 (le ressort 113 s'allonge), jusqu'à, ce que le gradin
116 vienne buter contre l'épaulement 115; à partir de ce moment, la tige 115 et la broche 114 se déplacent comme un corps unique. La rapidité du déplacement est définie en substance par l'ajustement de la vie de réglage 111 - laquelle est prévue en amont de l'ouverture principale 109 - après que la pointe de la broche
114 a dégagé un accès pour l'air à travers l'ouverture 109.
L'air contenu dans l'autre chambre du cylindre s'échappe
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vers l'orifice d'évacuation.
Le godet 117, le ressort 118 et la rondelle 119 se déplacent vers la gauche solidairement avec la tige 105. Lorsque cet-
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sort 118 l'emporte sur l'antagonisme du ressort 123, le collier
121 est amené à se déplacer vers la paroi de fond 120 et assure
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çon, le passage de l'air à travers l'orifice principal 127 est arrêté, tandis que l'orifice auxiliaire 128 demeure ouvert. Etant donné que le canal correspondant est convenablement étranglé par la via de réglage 130, le déplacement de l'équipage mobile est freiné d'une manière appropriée vers les fins. de ses courses. La rondelle 119 et la ressort 118 pénètrent à nouveau dans le godet 117, la course étant achevée lorsque ce dernier vient buter contre la bague 124.
Pour faire rentrer la tige 105 dans le cylindre 101, on inverse les connexions des raccords 108 et 126, en faisant communiquer le premier avec la décharge et le second avec la source d'air. L'équipage mobile se déplace vers la droite (en considérant la fig. 15) sous l'action de la pression de l'air qui pénètre à travers les orifices 127 et 128, l'air s'échappant à travers l'autre chambre du cylindre et par les orifices 109 et 110. La rapidité du déplacement est déterminée en substance par l'ajustement de la vis de réglage 129.
Lorsque la tige 105 - d'où la broche 114 s'avance entièrement en saillie vers l'extérieur sous la poussée du ressort
113 - se déplace vers la droite, le premier élément qui entre
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titué par la pointe de la broche 114, pointe qui obture ainsi l'orifice principal 109. A partir de cet instant, l'air peut s'échapper uniquement par l'orifice auxiliaire 110 et par le canal contrôlé par la vis de réglage 112, dé sorte que la course ,de cet équipage est convenablement freinée, jusqu' à ce qu'il soit arrêté contre la paroi de fond 102.
Il ressort de ce qui précède combien il est simple et facile de régler à volonté les vitesses de déplacement et l'effort de freinage final dans les deux sens du mouvement, cela
à l'aide de moyens de réglage qui sont tous indépendants et sont incorporés à l'équipage piston-cylindre.
Il va de soi que les divers ressorts prévus dans la machine doivent être convenablement calibrés afin que les objectifs et les résultats visés puissent être atteints.
La commande de la rotation de l'arbre 16 est assurée par le vérin pneumatique 25 équipé d'un dispositif de verrouillage,
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<EMI ID=43.1> à bloquer les disques lorsque l'élément de verrouillage 70 émerge du cylindre. L'extrémité opposée de l'élément de verrouillage 70 émerge également du cylindre 65 et peut être reliée à une commande manuelle de secours (non représentée).
Le fonctionnement de la portière suivant l'invention a été mis en évidence par ce qui a été décrit ci-dessus.
Partant de la position fermée du panneau de portière (voir figs 1 et 7),-où l'arbre 16 est bloqué et où sa rotation est empêchée par le fait que le verrou 70 est en prise avec le disque d'arrêt 71, de sorte que le panneau de portière 10 est verrouillé mécaniquement par les bras de manivelle 20 et-21, il faut d'abord que l'air comprimé pénètre dans le cylindre
65 à travers le raccord 69, pour déverrouiller la tige 26. Ensuite, la tige 26 est entraînée dans le sens de sa pénétration dans le cylindre 25, de sorte que l'arbre est entraîné
en rotation, au moyen du bras de manivelle 28, dans le sens de la flèche représentée dans la fig. 1, cela d'un angle déterminé d'avance. Pendant que cette rotation s'accomplit, les bras de manivelle 20, 21 impriment, par l'entremise des galets respectifs 22, 23, une poussée au panneau de portière 10 dans un sens tel que ce panneau s'écarte de la baie dans le sens <EMI ID=44.1>
mixtes la position occupée par le galet 23, le panneau de por-
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lissèrent latéral du panneau de portière. Le vérin pneumatique
55 est alimenté en air comprimé, de manière à produire la sor-
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portière en faisant coulisser l'élément 29 du guidage télesco-
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Dans la position d'ouverture du panneau, les bras de manivelle 20, 21 contribuent d'une manière appréciable à donner une stabilité considérable au panneau, de portière.
Dans la phase de fermeture, l'ordre des manipulations est inversé, c'est-à-dire que le déplacement latéral du panneau a lieu d'abord, après quoi le panneau revient dans l'espace correspondant et est bloqué dans la position de fermeture.
Il est indiqué, en particulier dans le cas de portières à deux panneaux dépourvues d'un montant central fixe, de prévoir un dispositif de blocage supérieur supplémentaire pour les panneaux dans la position de fermeture, afin de les empêcher de balloter pendant la marche du véhicule.
Un tel dispositif de blocage peut être réalisé de la manière représentée dans les figs 13 et 14.
Il convient de noter que, dans l'intérêt d'une plus grande clarté, on n'a pas représenté dans la fig. 13 l'élément de support du véhicule, cet élément n'étant représenté dans la fig. 14 que par des lignes en traits mixtes.
Les deux panneaux 201, 202 de la portière portent chacun,
13 long de son bord vertical de rencontre, un profilé laminé
203, 204, constitué en une matière plastique, ou analogue, profilés grâce auxquels les panneaux entrent mutuellement en contact dans la position de fermeture, de manière à obturer complètement l'espace de la baie. La ligne horizontale en traits mixtes 205, représentée dans la fig 13, indique le niveau du seuil de la baie.
La structure du véhicule forme, au-dessous du seuil, un dégagement 206, au centre duquel est fixée, à un élément de construction 208, une butée 207. La fixation de cette butée
est assurée au moyen de boulons 209 et d'une contreplaque 210.
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planiforme présentant à ses extrémités deux ailes divergentes, ainsi qu'on le voit clairement dans la fig. 14. Chaque panneau de portière 201, 202 présente à proximité de son extrémité inférieure, sur sa face intérieure, un bossage rectangulaire planiforme 211, 212 respectivement, appelé à recevoir une plaque
213, 214 respectivement.
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lons de fixation 221, 222, vissés dans les bossages 211, 212 des panneaux de portière 201, 202. Il est évident que, grâce à cette disposition, on peut ajuster la position des plaques
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Au bord inférieur de chacune des plaques 213, 214 est fixé fermement une corne 223, 224, respectivement, qui pointe vers le boxd vertical de rencontre de chaque panneau de portière.
Ainsi qu'on le voit clairement dans la fig 14, les deux cornes 223, 224 sont appliquées contre les ailes de la butée d'arrêt centrale fixe lorsque les panneaux de la portière soni dans la position de fermeture.
Pour assurer la position exacte et l'application correct( des cornes contre les ailes de la butée d'arrêt, il suffit d'ajuster convenablement la position des plaques de support correspondantes 213, 214, une opération qui peut être exécuté avec une extrême facilité.
Le contour des cornes 223, 224, ainsi que l'inclinaison des deux ailes de la butée d'arrêt centrale 207 sont coordonn de manière à empêcher un coincement et un rampement pendant 1 phases d'ouverture et de fermeture des panneaux, tout en assu rant d'autre part un verrouillage efficace des panneaux de 1s portière contre le ballottement pendant que les panneaux sont fermés.
Le système de verrouillage suivant l'invention allie les
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lité d'assemblage et d'entretien à ceux d'une efficacité et d'une fiabilité extrêmes.
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différence des systèmes classiques, le déplacement des panne à partir-de la baie et vers celle-ci n'est pas effectué au moyen d'un système de bras articulés, mais bien à l'aide d'é leurs linéaires, lesquels sont montés sur une structure fixé à la carrosserie du véhicule et comportent des composants gu à coulissement par des éléments de roulement constitués par séries de rouleaux ou des roulements à billes.
Il est bien entendu que, tout en restant dans le cadre <EMI ID=53.1>
peuvent prendre une :.inclinaison différente, et les moyens de
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les composants mobiles des électeurs.
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1) Portière coulissante à un ou à deux panneaux, pour véhicules, chaque panneau étant suspendu à un élément d'un guidage extensible télescopiquement, un autre élément du.dit guidage étant réuni à la caisse du véhicule, de manière à permettre un déplacement par rapport à celle-ci, caractérisée en ce que ledit autre élément du guidage télescopique est fixé rigidement aux éléments mobiles d'au moins deux éjecteurs linéaires montés dans un système de support rigide fixé à la, caisse du véhicule à proximité de la traverse, supérieure de
la baie, un dispositif étant prévu pour produire un déplacement limité, dans l'un ou dans l'autre sens, à volonté, directement ou indirectement, desdits éléments mobiles des éjecteurs linéai res, des moyens étant prévus pour contrôler le coulissement
de celui des éléments du guidage -télescopique qui est solidaire du panneau de portière, par rapport à l'élément qui est fixé aux éléments mobiles des éjecteurs linéaires.