Paumelle à montage rapide.
L'invention a pour objet une paumelle formée d'un étrier portant le noeud dont l'alésage reçoit l'axe de rotation et comportant un dos réunissant deux branches sensiblement planes et parallèles munies chacune d'un logement intérieur, entre lesquelles un vantail en verre peut être monté par l'intermédiaire, premièrement, de plaquettes de fixation perforées s'emboîtant sur des plots collés sur le vantail et, deuxièmement, d'un ensemble de liaison permettant à l'axe de rotation de pivoter autour de deux axes perpendiculaires au bord vertical du vantail, dirigés l'un perpendicu-lairement et l'autre parallèlement à son plan.
Une semblable paumelle est décrite dans la demande de brevet n[deg.] 73 15959 du 3 mai 1973 au nom de la Demanderesse.
La fixation de cette paumelle sur le vantail en verre est obtenue par accrochage sur un élément collé et, en particulier, sur la plaquette ancrée à des plots collés sur les faces du vantail.
Ce système élimine la nécessité qu'il y a, en général, de percer le panneau de verre, ce qui, d'ailleurs, pourrait être réalisé sans sortir du cadre de l'invention.
Il est, néanmoins, souhaitable de réduire les contraintes exercées sur le joint de colle en permettant à l'axe de rotation de la paumelle de pouvoir pivoter à la manière d'un cardan par rapport aux axes ci-dessus mentionnés.
La présente invention propose une paumelle simplifiée,
donc très bon marché, comprenant un nombre réduit de pièces, permettant un montage et démontage du vantail pratiquement instantanés.
La paumelle, selon l'invention, se caractérise en ce que :
1. au moins une des branches comporte, ménagé dans le bas de la zone médiane de son logement intérieur, un bossage dont la
face supérieure inclinée forme siège sur lequel repose une bille sertie dans la plaquette perforée en forme de portion de cercle, ladite bille jouant le rOle de rotule, la réaction horizontale au poids du vantail, transmise par la bille, étant encaissée par une cale en forme de cylindre de génératrices horizontales et parallèles au plan du vantail, fixée par sa face plane sur la face dudit vantail, opposée à la plaquette, la génératrice sommet de ladite cale venant prendre appui contre la face interne du logement intérieur de l'autre branche.
2. la plaquette est une portion de cercle dont le centre géométrique coïncide sensiblement avec le centre de la bille.
3. l'axe géométrique de la cale cylindrique passe sensiblement par le centre de la bille.
<EMI ID=1.1>
4. une cale cylindrique est fixée sur les deux faces internes des deux logements intérieurs des deux branches de l'étrier, cet étrier inférieur étant le symétrique, par rapport à un plan, de l'étrier supérieur.
5. les cales sont réalisées en une matière non compressible.
6. une rainure en queue d'aronde est ménagée sur la face interne du dos, un profilé de section en queue d'aronde étant engagé dans la rainure en queue d'aronde.
7. les faces en vis-à-vis des bossages sont des portions de cylindres concentriques, dont l'axe est situé dans le plan de symétrie des branches de l'étrier.
L'invention a également pour objet un profilé permettant de réaliser, d'une manière particulièrement simple comme cela sera décrit plus en détail plus loin , la paumelle dont il vient d'être question, qu'elle soit placée à la partie supérieure ou inférieure du vantail.
Le profilé, selon l'invention, se caractérise en ce que :
1. les branches comportent chacune, ménagé dans la zone médiane de leur logement interne, un bossage.
2. en section, les faces en vis-à-vis des deux bossages sont des portions de cercle concentriques dont le centre est situé sur l'axe de symétrie des deux branches.
3. la face interne du dos présente une rainure en queue d'aronde.
La paumelle et le profilé pour la réaliser, objets de l'invention, vont être décrits à titre d'exemple, en référence aux dessins qui représentent : <EMI ID=2.1>
d'un vantail monté sur une paumelle supérieure, selon l'invention.
Figure 2.une élévation en coupe, selon la flèche II. Figure 3. une vue de coté. Figure 4-.une vue en perspective montrant une cale cylindrique collée sur le vantail.
'Figure 5. une vue en perspective du profilé à partir duquel est réalisée la paumelle.
Figure 6. une vue en élévation en coupe d'un montage de fraisage d'une paumelle supérieure. Figure 7. une vue de dessus du montage de fraisage d'une paumelle supérieure. Figure 8. une vue en élévation en coupe d'un montage de fraisage d'une paumelle inférieure. Figure 9. une vue de dessus du montage de fraisage d'une paumelle inférieure. Figure 10. une élévation en coupe d'une paumelle inférieure. Figure 11. une vue de dessus du vantail monté dans une paumelle inférieure.
Le panneau ou vantail de porte (1) constitué d'une feuille de verre trempé est muni sur sa face (2) de quatre plots cylindriques (3); à base circulaire, constitués d'une résine résistante
<EMI ID=3.1>
moule en polytétrafluoréthylène ou en métal ou constitué par la plaque (4) dont il sera question plus loin, puis polymérisée ou encore une résine époxyde à deux composants, de MINNESOTA, chargée à 10 %
<EMI ID=4.1>
"AEROSIL". Après polymérisation de la matière adhésive, le moule est retiré et la surface des plots aplanie au moyen d'un abrasif. La face
(2a) est libre. Le panneau (1) reçoit une plaquette (4) posée sur les plots (3) et, éventuellement, collée le long de la face d'appui (2) au moyen d'une colle présentant un module d'élasticité plus faible que celui des plots ; il est possible d'employer une colle aux polysulfures ou même une simple colle au néoprène de bonne qualité,
la fonction du collage étant de garder la plaquette en place, la transmission des efforts étant assurée par les plots.
La plaquette (4) possède, à sa partie inférieure, un logement (5) destiné à recevoir une bille (6) qui est maintenue par sertissage.
L'étrier (7) porte le noeud (8) dont l'alésage (9) reçoit l'axe de rotation (10) et comporte un dos (11) réunissant deux branches (12) et (13) sensiblement planes et parallèles, munies chacune
<EMI ID=5.1>
verre (1) est monté.
<EMI ID=6.1>
gond (18) fixé d'une manière classique, par exemple par des vis (19) sur le montant (20) fixe de la porte.
Les branches (12) et (13) comportent, ménagé dans le bas
<EMI ID=7.1>
sur la figure 3, ladite bille (6) jouant le rOle d'une rotule, la composante horizontale (H) de la réaction de la bille 6 au poids du vantail étant encaissée par une cale (25) en forme de cylindre de génératrices horizontales et parallèles au plan du vantail, fixée par sa face plane (26) sur la face (2a) dudit vantail (1) opposée à la plaquette (4), la génératrice sommet (27) de ladite cale venant prendre appui contre la face interne du logement intérieur (15) de la branche (13).
Comme on peut le voir sur les figures et, en particulier
<EMI ID=8.1>
lui permettant de venir coiffer le bossage (22) de manière à ce que l'axe géométrique de la cale cylindrique passe sensiblement au voi- sinage du centre de la bille (6).
La cale (25) est fixée sur la face (2a) du vantail (1) par tous moyens classiques connus en soi, tel qu'un collage.
Cette cale peut être réalisée en toute matière non compressible ne rayant pas le verre, telle que par exemple du polychlorure de vinyle ou du nylon, suffisamment dur pour encaisser sans déformation la composante (H).
Sur la figure 3, on voit clairement que la plaquette (4) est une portion de cercle dont le centre géométrique coïncide sensiblement aux tolérances près, avec le centre de la bille (6).
Dans la_partie inférieure de la plaquette (4) est ménagé un évidement (29) lui permettant de venir coiffer le bossage (21).
Il existe suffisamment de jeu entre les parois latérales des évidements (28) et (29) et les parois latérales des bossages (22) et (23) pour que le vantail (1) puisse osciller par rapport à l'étrier
(7) ou, vice versa, l'étrier par rapport au vantail (1). Il est bon
de remarquer que la plaquette (4) présente un diamètre identique, aux tolérances près, à la longueur du logement (14).
Dans les branches (12) et (13) ainsi que dans le dos (11) de l'étrier sont pratiquées des saignées (30) et (31) dans lesquelles s'engagent des clips métalliques, ou simplement, des bracelets de caoutchouc (32) servant à cacher l'intérieur de la paumelle lorsque le vantail a été mis en place.
Les faces (21') et (22') en vis-à-vis des bossages (21) et
(22) sont des portions de cylindre concentriques dont l'axe est situé dans le plan de symétrie des branches de l'étrier.
Cette particularité permet un usinage particulièrement aisé de l'étrier (7), à partir d'un profilé, comme cela va être décrit maintenant.
La figure 5' représente, en perspective, un profilé (P) ob- <EMI ID=9.1>
solidaire d'un étrier (34) comportant un dos (35) réunissant deux branches (36) et (37) sensiblement planes et parallèles, munies cha-
<EMI ID=10.1>
Les branches (36) et (37) comportent chacune, ménagé dans la zone médiane de leur logement intérieur (38) et (39), un bossage
(40) et (41).
En section, les faces en vis-à-vis (42) et (43) des deux bossages (40) et (41) sont des portions de cercle concentriques dont le centre 0 est situé sur l'axe de symétrie (SS) des deux branches
(36) et (37).
La face interne du dos présente une rainure en queue d'aron-
<EMI ID=11.1>
que l'on retrouve aux extrémités des branches (36) et (37).
Les paumelles, selon l'invention, sont usinées à partir du profilé (P) de la manière suivante : il suffit de couper ledit profilé en tranches (T) de longueur (1) correspondant à la hauteur de
la paumelle.
Les tranches (38) sont ensuite positionnées sur un gabarit de fraisage (47) comportant une tige cylindrique (48) de diamètre correspondant, aux tolérances près, au diamètre du cercle de centre 0 délimitant les faces internes (42) et (43) des bossages (40) et (41) et situé dans l'axe de la fraise (49). Cette tige (4-8) est bien entendu, comme cela est visible sur les figures 6 et 7, engagée entre les
<EMI ID=12.1>
les branches (36) et (37) par rapport à l'axe de la fraise (49).
La fraise.(49) est une fraise cylindrique à bout conique dont l'angle correspondant à la pente que l'on désire donner aux faces supérieures des bossages (40) et (41) dont l'une deviendra le siège
de la bille (6).
On voit sur la figure 6 qu'en une passe de fraisage la paumelle se trouve usinée.
Sur la figure 7, on voit que le bossage (33) correspondant <EMI ID=13.1>
au noeud (8) est situé à gauche de l'axe de la fraise. En positionnant la tranche (T) avec le bossage (33), sur la droite de l'axe de
<EMI ID=14.1>
que précédemment, comme cela est indiqué sur les figures 8 et 9, on obtient, par simple retournement d'une façon particulièrement simple, rapide et bon marché, un étrier qui est le symétrique, par rapport à un plan, de l'étrier représenté sur les figures 6 et 7.
Cet étrier, obtenu de la manière simple qui vient d'être décrite à partir du profilé unique (P), peut être avantageusement utilisé pour réaliser la paumelle inférieure du vantail (1) correspondant à la paumelle supérieure précédemment décrite sur les figures 1 à 4.
Une tell� paumelle est représentée en élévation et en coupe sur la figure 10 et en vue de dessus sur la figure 11.
L'axe (10') est monté dans les oreilles (16') et (17') d'un gond (18') fixé, comme le gond (18), sur le montant fixe (20). Les branches (12') et (13') de l'étrier (7') comportent, ménagé dans le
<EMI ID=15.1>
un bossage (21') et (22') puisque le noeud (8') se trouve dans l'axe 8 de la paumelle supérieure.
<EMI ID=16.1>
rieurs des deux branches (12') et (13') de l'étrier (7'). Ces cales sont identiques à la cale (25) utilisée dans la paumelle supérieure.
Comme cela est visible sur la figure 11, une rainure en
<EMI ID=17.1>
est ménagée sur la face interne du dos (11').
Un profilé (50), de section en queue d'aronde correspondant à la rainure (44'), est engagé dans ladite rainure.
Ce profilé est réalisé en une matière compressible, suffisamment dure pour servir de butée au vantail (1), telle qu'un élasto-mère ou une matière plastique. Le montage de la porte s'effectue de
<EMI ID=18.1>
mentaires, conformes à la description précédente. Les étriers (7) et
(7') sont montés dans le sens convenable sur leurs gonds (18) et (18') pour pouvoir ouvrir soit à droite, soit à gauche, en tirant. Avec un seul jeu, ceci peut être réalisé en montant soit l'un, soit l'autre des deux étriers à la partie supérieure.
<EMI ID=19.1>
Elle pourrait être, comme cela a déjà été signalé aussi, montée par perçage au travers du vantail (1) qui, lui, pourrait être en diffé-
<EMI ID=20.1>
(25), (25') et (25") sont mises en place par collage contre, respectivement, la face (2a) du vantail et dans les logements internes des branches (12') et (13') de l'étrier (7').
Il suffit alors d'engager le vantail (1) entre les branches
(12), (13) et 0-2') et (13') et le laisser descendre jusqu'à ce que la
<EMI ID=21.1>
vienne reposer sur la face supérieure (23) du bossage (21).
Il n'y a plus alors qu'à placer les clips ou bagues (32') et (32") dans leur logement (30') et (31').
Le vantail (1), sous l'effet de son poids, pivote autour
<EMI ID=22.1>
paumelle inférieure sur le profilé (50) engagé dans la rainure (44') en queue d'aronde. Sous l'effet de la composante (H), due à son poids, le vantail se trouve instantanément coincé contre la cale (25).
Comme on peut le voir, ce montage permet à la paumelle supérieure d'être soumise à de légères rotations autour de deux axes perpendiculaires au bord vertical du vantail, dirigés l'un perpendiculairement, l'autre parallèlement à son plan et, passant par le centre de la bille, et ceci sans qu'il résulte d'efforts importants sur le vantail.
Quick-fit hinge.
The subject of the invention is a hinge formed by a bracket carrying the node, the bore of which receives the axis of rotation and comprising a back uniting two substantially plane and parallel branches each provided with an internal housing, between which a leaf in glass can be mounted by means of, firstly, perforated fixing plates fitting onto studs glued to the leaf and, secondly, a connecting assembly allowing the axis of rotation to pivot around two perpendicular axes at the vertical edge of the leaf, one directed perpendicularly and the other parallel to its plane.
A similar hinge is described in patent application n [deg.] 73 15959 of May 3, 1973 in the name of the Applicant.
The fixing of this hinge on the glass leaf is obtained by hooking it on a glued element and, in particular, on the plate anchored to studs glued on the sides of the leaf.
This system eliminates the need that there is, in general, to pierce the glass panel, which, moreover, could be achieved without departing from the scope of the invention.
It is, however, desirable to reduce the stresses exerted on the adhesive joint by allowing the axis of rotation of the hinge to be able to pivot in the manner of a gimbal relative to the axes mentioned above.
The present invention provides a simplified hinge,
therefore very inexpensive, comprising a reduced number of parts, allowing almost instantaneous assembly and disassembly of the leaf.
The hinge, according to the invention, is characterized in that:
1.at least one of the branches comprises, provided in the bottom of the median zone of its interior housing, a boss whose
inclined upper face form seat on which rests a ball set in the perforated plate in the shape of a portion of a circle, said ball playing the role of ball joint, the horizontal reaction to the weight of the leaf, transmitted by the ball, being collected by a shaped wedge of cylinder of horizontal generatrices and parallel to the plane of the leaf, fixed by its flat face on the face of said leaf, opposite to the plate, the generatrix top of said wedge coming to rest against the internal face of the interior housing of the other branch.
2. the plate is a portion of a circle whose geometric center substantially coincides with the center of the ball.
3. the geometric axis of the cylindrical wedge passes substantially through the center of the ball.
<EMI ID = 1.1>
4. a cylindrical wedge is fixed to the two internal faces of the two internal housings of the two branches of the caliper, this lower caliper being symmetrical, with respect to a plane, of the upper caliper.
5. the shims are made of a non-compressible material.
6. a dovetail groove is provided on the internal face of the back, a dovetail section profile being engaged in the dovetail groove.
7. the faces facing the bosses are portions of concentric cylinders, the axis of which is located in the plane of symmetry of the branches of the caliper.
The subject of the invention is also a profile making it possible to produce, in a particularly simple manner as will be described in more detail below, the hinge which has just been mentioned, whether it is placed at the upper or lower part. of the leaf.
The profile, according to the invention, is characterized in that:
1. the branches each comprise, provided in the middle zone of their internal housing, a boss.
2. in section, the opposite faces of the two bosses are concentric circle portions whose center is located on the axis of symmetry of the two branches.
3. the inner side of the back has a dovetail groove.
The hinge and the profile to produce it, objects of the invention, will be described by way of example, with reference to the drawings which represent: <EMI ID = 2.1>
of a leaf mounted on an upper hinge, according to the invention.
Figure 2.a sectional elevation, according to arrow II. Figure 3. a side view. Figure 4 - a perspective view showing a cylindrical wedge glued to the leaf.
'Figure 5. a perspective view of the profile from which the hinge is made.
Figure 6. a sectional elevation view of a top hinge milling fixture. Figure 7. a top view of the milling fixture of a top hinge. Figure 8. a sectional elevation view of a bottom hinge milling fixture. Figure 9. a top view of the milling fixture of a lower hinge. Figure 10. a sectional elevation of a lower hinge. Figure 11. a top view of the leaf mounted in a lower hinge.
The door panel or leaf (1) consisting of a sheet of tempered glass is provided on its face (2) with four cylindrical studs (3); circular base, made of a resistant resin
<EMI ID = 3.1>
polytetrafluoroethylene or metal mold or formed by the plate (4) which will be discussed later, then polymerized or a two-component epoxy resin, from MINNESOTA, loaded at 10%
<EMI ID = 4.1>
"AEROSIL". After polymerization of the adhesive material, the mold is removed and the surface of the studs flattened by means of an abrasive. The face
(2a) is free. The panel (1) receives a plate (4) placed on the studs (3) and, optionally, glued along the bearing face (2) by means of an adhesive having a lower modulus of elasticity than that plots; it is possible to use a polysulphide glue or even a simple good quality neoprene glue,
the function of the bonding being to keep the plate in place, the transmission of forces being ensured by the studs.
The plate (4) has, at its lower part, a housing (5) intended to receive a ball (6) which is held by crimping.
The stirrup (7) carries the node (8) whose bore (9) receives the axis of rotation (10) and has a back (11) joining two branches (12) and (13) substantially plane and parallel, each provided
<EMI ID = 5.1>
glass (1) is fitted.
<EMI ID = 6.1>
hinge (18) fixed in a conventional manner, for example by screws (19) on the fixed upright (20) of the door.
The branches (12) and (13) comprise, provided at the bottom
<EMI ID = 7.1>
in FIG. 3, said ball (6) playing the role of a ball joint, the horizontal component (H) of the reaction of the ball 6 to the weight of the leaf being collected by a wedge (25) in the form of a cylinder of horizontal generatrices and parallel to the plane of the leaf, fixed by its flat face (26) on the face (2a) of said leaf (1) opposite to the plate (4), the generatrix top (27) of said wedge coming to rest against the internal face of the interior housing (15) of the branch (13).
As can be seen in the figures and, in particular
<EMI ID = 8.1>
allowing it to come over the boss (22) so that the geometric axis of the cylindrical wedge passes substantially in the vicinity of the center of the ball (6).
The wedge (25) is fixed to the face (2a) of the leaf (1) by any conventional means known per se, such as gluing.
This shim can be made of any non-compressible material which does not scratch the glass, such as for example polyvinyl chloride or nylon, which is sufficiently hard to absorb component (H) without deformation.
In FIG. 3, it can be clearly seen that the plate (4) is a portion of a circle, the geometric center of which coincides substantially, to within tolerances, with the center of the ball (6).
In la_partie lower of the plate (4) is formed a recess (29) allowing it to fit over the boss (21).
There is sufficient clearance between the side walls of the recesses (28) and (29) and the side walls of the bosses (22) and (23) so that the leaf (1) can oscillate relative to the bracket
(7) or, vice versa, the bracket in relation to the leaf (1). It is good
to note that the plate (4) has an identical diameter, with the tolerances close, to the length of the housing (14).
In the branches (12) and (13) as well as in the back (11) of the stirrup, there are grooves (30) and (31) in which metal clips are engaged, or simply rubber bracelets ( 32) used to hide the inside of the hinge when the leaf has been fitted.
The faces (21 ') and (22') facing the bosses (21) and
(22) are concentric cylinder portions whose axis is located in the plane of symmetry of the branches of the caliper.
This feature allows particularly easy machining of the caliper (7), from a section, as will be described now.
Figure 5 'shows, in perspective, a profile (P) ob- <EMI ID = 9.1>
integral with a bracket (34) comprising a back (35) bringing together two branches (36) and (37) substantially plane and parallel, provided with each
<EMI ID = 10.1>
The branches (36) and (37) each comprise, provided in the median zone of their internal housing (38) and (39), a boss
(40) and (41).
In section, the opposite faces (42) and (43) of the two bosses (40) and (41) are concentric circle portions whose center 0 is located on the axis of symmetry (SS) of the two branches
(36) and (37).
The inner side of the back has a dovetail groove.
<EMI ID = 11.1>
found at the ends of branches (36) and (37).
The hinges, according to the invention, are machined from the profile (P) as follows: it suffices to cut said profile into slices (T) of length (1) corresponding to the height of
the hinge.
The slices (38) are then positioned on a milling jig (47) comprising a cylindrical rod (48) of diameter corresponding, to within tolerances, to the diameter of the center circle 0 delimiting the internal faces (42) and (43) of the bosses (40) and (41) and located in the axis of the cutter (49). This rod (4-8) is of course, as can be seen in Figures 6 and 7, engaged between the
<EMI ID = 12.1>
the branches (36) and (37) relative to the axis of the cutter (49).
The cutter. (49) is a cylindrical cutter with a conical end, the angle of which corresponds to the slope which is desired to give to the upper faces of the bosses (40) and (41), one of which will become the seat
of the ball (6).
It can be seen in FIG. 6 that in a milling pass the hinge is machined.
In figure 7, we see that the corresponding boss (33) <EMI ID = 13.1>
at node (8) is located to the left of the axis of the cutter. By positioning the edge (T) with the boss (33), on the right of the axis of
<EMI ID = 14.1>
that previously, as indicated in Figures 8 and 9, we obtain, by simply turning over in a particularly simple, fast and inexpensive way, a caliper which is symmetrical, with respect to a plane, of the caliper shown in Figures 6 and 7.
This bracket, obtained in the simple manner which has just been described from the single profile (P), can be advantageously used to produce the lower hinge of the leaf (1) corresponding to the upper hinge previously described in Figures 1 to 4 .
A tell � hinge is shown in elevation and in section in Figure 10 and in top view in Figure 11.
The axle (10 ') is mounted in the ears (16') and (17 ') of a hinge (18') fixed, like the hinge (18), on the fixed upright (20). The branches (12 ') and (13') of the bracket (7 ') comprise, provided in the
<EMI ID = 15.1>
a boss (21 ') and (22') since the node (8 ') is in the axis 8 of the upper hinge.
<EMI ID = 16.1>
laughing of the two branches (12 ') and (13') of the bracket (7 '). These wedges are identical to the wedge (25) used in the upper hinge.
As can be seen in figure 11, a groove in
<EMI ID = 17.1>
is provided on the internal face of the back (11 ').
A profile (50), of dovetail section corresponding to the groove (44 '), is engaged in said groove.
This profile is made of a compressible material, hard enough to serve as a stop for the leaf (1), such as an elastomer or a plastic material. The door is assembled from
<EMI ID = 18.1>
mental, consistent with the previous description. The stirrups (7) and
(7 ') are mounted in the appropriate direction on their hinges (18) and (18') to be able to open either to the right or to the left, by pulling. With just one set, this can be achieved by mounting either one or the other of the two brackets to the top.
<EMI ID = 19.1>
It could be, as has already been pointed out also, mounted by drilling through the leaf (1) which, for its part, could be different.
<EMI ID = 20.1>
(25), (25 ') and (25 ") are placed by gluing against, respectively, the face (2a) of the leaf and in the internal housings of the branches (12') and (13 ') of the bracket (7 ').
It is then sufficient to engage the leaf (1) between the branches
(12), (13) and 0-2 ') and (13') and let it descend until the
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comes to rest on the upper face (23) of the boss (21).
Then all you have to do is place the clips or rings (32 ') and (32 ") in their housing (30') and (31 ').
The leaf (1), under the effect of its weight, pivots around
<EMI ID = 22.1>
lower hinge on the profile (50) engaged in the dovetail groove (44 '). Under the effect of component (H), due to its weight, the leaf is instantly stuck against the wedge (25).
As can be seen, this assembly allows the upper hinge to be subjected to slight rotations around two axes perpendicular to the vertical edge of the leaf, one directed perpendicularly, the other parallel to its plane and, passing through the center of the ball, and this without the result of significant efforts on the leaf.