"Pièce d'écartement réglable pour armatures de béton" La présente invention a pour objet des pièces d'écartement telles qu'elles sont utilisées pour les constructions en béton pour maintenir les fers d'armature à une distance déterminée du coffrage par rapport auquel ils doivent être montés. Ces pièces d'écartement ont été constituées jusqu'à présent par des étriers rigides que l'on refait aux fers d'armature par des fils de liaison. Etant donné que la longueur des pièces d'écartement dépend non seulement de la distance qui doit séparer les fers d'armature du coffrage, mais encore du diamètre des fers, il a été nécessaire jusqu'à présent de disposer d'une provision de pièces d'écartement pour chacune de ces nombreuses distances possibles, ce qui exige un magasinage extrêmement important et par suite onéreux.
On à également proposé déjà des pièces d'écartement réglables convenant pour les armatures de plafond aussi bien que de paroi et permettant de régler, entre certaines limites, leur longueur, conformément aux distances variables à prévoir entre les fers d'armature et le sol ou le coffrage. Ces denières pièces d'écartement sont toutefois chères et leur fabrication et leur manipulation sont compliquées, tandis que leurs possibilités de réglage sont limitées, de telle sorte que le but envisagé d'une réduction des frais n'est pas atteint.
La présente invention a donc pour objet l'établissement d'une pièce d'écartement réglable assurant un progrès supplémentaire par le fait qu'elle peut être obtenue très économiquement, que sa manipulation est extrêmement simple et qu'elle peut être réglée sur une gamme étendue de distances. Cette pièce d'écartement pour armatures de béton est caractérisée par le fait qu'elle comprend au moins deux éléments susceptibles d'être décalés l'un par rapport à l'autre, <EMI ID=1.1>
<EMI ID=2.1>
ments correspondent à ceux des saillies, de telle sorte que l'on
peut introduire ou encastrer les saillies d'un élément dans les ouvertures ou les creux de l'autre élément.
Il est avantageux de faire comporter à chacun des éléments
des saillies ainsi que des trous ou des creux, afin d'améliorer la solidarisation mutuelle de ces éléments. Le mieux consiste à
� constituer les deux éléments d'une manière identique et de les fai- re basculer de 180[deg.] l'un par rapport à l'autre pour amener en prise les saillies d'un élément avec les trous ou creux de l'autre. Le
cas échéant, on peut prévoir encore une pince maintenant les élé- ments en prise après leur encastrement mutuel en empêchant tout dégagement, tant, que l'ancrage n'est pas assuré par compression de l'assemblage.
D'autres détails apparaîtront à l'inspection des dessins ci- joints représentant à titre d'exemple deux formes d'exécution de l'invention. Sur ces dessins :
la fige 1 est une coupe verticale de l'un des éléments d'une première forme d'exécution d'une pièce d'écartement conforme à l'invention, la coupe étant effectuée suivant la ligne 1-1 de la fig. 2.
La fige 2 est une vue en plan correspondant à cet élément.
La fig. 3 est une coupe suivant la ligne III-III de la fig. 1. La fig. 4 représente la pièce d'écartement constituée par
deux éléments identiques à celui représenté sur les figures précédentes, ces éléments étant vus en élévation à l'intérieur d'un coffrage.
La fige 5 est une coupe transversale des deux éléments formant la pièce, cette coupe étant effectuée suivant la ligne V-V de la fig. 4.
La fige 6 est une coupe verticale analogue à la fig. 1 de l'un des éléments de la deuxième forme d'exécution d'une pièce d'écartement, cette coupe étant effectuée suivant la ligne VI-VI de la fige 7.'
La fige 7 est une vue en plan correspondant à la fig. 6.
<EMI ID=3.1>
La fige 9 est une vue en élévation de la pièce d'écartement constituée par deux éléments identiques à l'élément représenté en figs�
<EMI ID=4.1>
Enfin, la fig. 10 est une coupe transversale suivant la ligne X-X des deux éléments de la pièce assemblée représentée en fige 9.
<EMI ID=5.1>
ne pièce d'écartement. Chaque élément est constitué par une baguette plate allongée 2 présentant le long de ses bords des saillies rabattues 4 et le long de lignes parallèles à ces bords des trous 4. Entre ces lignes de trous sont prévues deux nervures de guidage longitudinales 5.
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une partie terminale bombée 6 qui permet à la pièce d'écartement de s'appuyer sur les parois du coffrage. La même extrémité comporte, de plus, une pince élastique double dont les mâchoires 7 et 8 coopèrent sélectivement avec la même mâchoire opposée 9, de manière à pouvoir assujettir entre les mâchoires 7 et 9 des fers ou grillages d'armature d'épaisseur réduite et entre les mâchoires 8 et 9 des fers ou gril lages d'armature plus gros.
Sur les figs 4 et 5, les deux éléments 1 et 1' ont été repré-sentes après un coulissement relatif suffisant pendant lequel les saillies 3 d'un élément glissent entre les saillies 3 et la nervure voisine 5 de l'autre élément et cela jusqu'à ce que la longueur totale de l'ensemble des éléments soit égale approximativement à l'écartement entre les parois du coffrage. On repousse alors les (-'.eux éléments transversalement l'un vers l'autre afin que les sail- lies 3 d'un élément pénètrent dans les trous 4 de l'autre. Pour em- j pêcher les éléments de se détacher l'un de l'autre, on peut monter
à peu près au milieu de leur longueur une pince non représentée , constituée par exemple par du feuillard formant ressort. On a assujetti dans la pince élastique 7, 8, 9 à la gauche de la fig. 4 un fer d'armature 11 de gros diamètre et, dans ce'-le de droite, un grillage mince 12. On voit derrière la pièce d'écartement un fer d'armature vertical 13 et un grillage vertical 14.
Dans le cas de la variante améliorée représentée en figs 6 à
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la pièce d'écartement, la baguette allongée plate 102 formant un élément présentant le long de ses deux bords des saillies rabattues
103 et des trous 104, tandis que deux nervures de guidage 105 s'étendent entre les deux rangées de trous et tangentiellement à ces derniers.
Cette forme d'exécution comporte, au lieu d'une seule partie terminale bombée, deux bossages d'appui 106, 106' à l'une des extrémités de chaque élément, ces bossages assurant lE maintien de la pièce d'écartement en position droite par rapport à la paroi correspondante du coffrage. L'extrémité de l'élément qui présente ces deux bossages d'appui 106, 106' comporte également une pince élastique dont les mâchoires 107, 108 sont évidées en arcs de ce�le successif
k 109 le long de leurs surfaces en regard, de manière à pouvoir rece-
<EMI ID=8.1>
re 112 d'épaisseurs différentes (fige 9).
La pièce d'écartement constituée par deux éléments 101, 101' comme représenté en figs 9 et 10 est mise en place en faisant d'abord coulisser les deux éléments l'un sur l'autre jusqu'à ce que la longueur totale formée par leur ensemble corresponde à l'écartement entre les parois en regard 110 du coffrage, tandis que les saillies
103 de l'un des éléments glissent au cours de ce coulissement entre les saillies correspondantes 103 et la nervure adjacente 105 de l'autre élément. On peut lire la longueur désirée dans une ouverture de visée 115 ménagée dans l'un des éléments sur une échelle 116 portée par la baguette 102 formant l'autre élément. Lorsqu'on a obtenu cet-
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tre, de manière à mettre en prise les saillies 103 d'un élément avec les ouvertures 104 de l'autre élément. Avec un dimensionnement relatif approprié des saillies 103 et des trous 104, il est possible d'obtenir un encastrement sous pression excluant tout dégagement des éléments l'un par rapport à l'autre, même en l'absence de fixation complémentaire*
Lorsqu'on doit utiliser les pièces d'écartement conformes à la deuxième forme d'exécution pour armer des parois en béton, on procède comme suit après le réglage en longueur de ces pièces. On enfonce d'abord un clou 117 (fig. 9) dans l'une des parois du coffrage 110, ce clou servant à recevoir une traverse horizontale 118. Le bossage d'appui 106 présente un prolongement en forme de crochet 119. Ce crochet 119 (fig. 6) permet d'accrocher la pièce d'écartement sur la traverse 118, de telle sorte que la pièce se place automatiquement <EMI ID=10.1>
106' qui s'applique au contact de la paroi du coffrage. On peut alort poser au contact de la traverse 118 le fer d'armature vertical 113 et symétriquement le fer d'armature 114, ces armatures étant maintenues sur la pi�ce d'écartement par exemple au moyen d'un fil de liaison 120, de telle sorte que la distance x séparant chaque fer d'ar. mature 113 114 .du coffrage 110 est constante et indépendante de la grosseur de ces fers d'armature* Cette liaison entre la pièce d'écartement et les fers d'armature pourrait permettre de renoncer au bossage d'appui inférieur 106'. Aussitôt que les fers d'armature verticaux 113-114 ont été assujettis, on peut fixer les armatures horizontales sur les armatures verticales au-dessous de la pièce d'écartement 101, 101'. Ceci étant fait, le poseur d'armatures dépose la provision de fers d'armature nécessaires à l'exécution des ar-
<EMI ID=11.1>
mature 113 et un bossage 121 à la partie supérieure de l'élément
101 d'un côté ou bien, entre le fer d'armature 114 et un autre bossage 121 prévu sur l'élément 121' de la pièce de l'autre côté. L'un de ces fers d'armature horizontaux 111 ou 112 est alors encastré du côté opposé à cette provision à l'intérieur de la pince élastique
107, 108. Après quoi, on peut fixer les fers d'armature verticaux
<EMI ID=12.1>
l'armature de raccordement non représentée sortant des fondations ou du plafond. Ceci étant fait, on retire les fers d'armature qui
<EMI ID=13.1>
l'armature verticale. Pour s'assurer de l'écartement mutuel- des fers',on monte enfin d'autres pièces d'écartement sur les fers d'armature f
<EMI ID=14.1> ces élastiques 107, 108.
On procède de même lorsqu'on n'utilise plus des fers d'armature isolés, mais des grillages en fil d'acier et, dans ce cas, il existe la possibilité, grâce à l'élasticité des pinces 107, 108 de pouvoir fixer les pièces d'écartement 101, 101' directement sur les fils horizontaux du grillage, ce qui simplifie et accélère sensiblement le travail.
Cette simplification et cette accélération sont rendues possibles d'une part par la facilité de réglage de la pièce d'écartement conforme à l'invention, et d'autre part, par sa construction particulière. Cette dernière permet, en effet, l'accrochage ou la fixatior sur les fers d'armature, sans recours à aucun outil, tout en assurant en même temps l'écartement par rapport aux fers comme par rapport au coffrage. Etant donné que, de plus, les pièces d'écartement sont d'une construction très bon marché du fait qu'elles sont constituées par l'assemblage de deux éléments identiques, elles signifient au point de vue économique un progrès important.
REVENDICATIONS
1. Pièce d'écartement réglable pour armatures de béton caractérisée
par le fait qu'elle comprend au moins deux éléments susceptibles d'être déplacés longitudinalement l'un par rapport à l'autre, dont
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sente des trous ou des creux, dont les dimensions et l'écartement
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tre.
"Adjustable spacer for concrete reinforcements" The present invention relates to spacers as they are used for concrete constructions to maintain the reinforcing bars at a determined distance from the formwork with respect to which they must be fitted. These spacers have hitherto been constituted by rigid stirrups which are redone to the reinforcing bars by connecting son. Since the length of the spacers depends not only on the distance which must separate the reinforcing bars from the formwork, but also on the diameter of the bars, it has heretofore been necessary to have a supply of parts spacing for each of these many possible distances, which requires extremely important and therefore expensive storage.
Adjustable spacers have also already been proposed, suitable for ceiling as well as wall reinforcements and allowing their length to be adjusted between certain limits, in accordance with the variable distances to be provided between the reinforcing bars and the floor or formwork. These last spacers, however, are expensive and their manufacture and handling are complicated, while their adjustment possibilities are limited, so that the intended goal of reducing costs is not achieved.
The object of the present invention is therefore the establishment of an adjustable spacer ensuring further progress in that it can be obtained very economically, that its handling is extremely simple and that it can be adjusted over a range range of distances. This spacer for concrete reinforcements is characterized by the fact that it comprises at least two elements capable of being offset with respect to each other, <EMI ID = 1.1>
<EMI ID = 2.1>
ments correspond to those of the protrusions, so that
can introduce or embed the projections of one element in the openings or recesses of the other element.
It is advantageous to have each of the elements
projections as well as holes or hollows, in order to improve the mutual securing of these elements. The best is to
� constitute the two elements in an identical manner and to make them tilt by 180 [deg.] with respect to each other to bring the protrusions of one element into engagement with the holes or hollows of the other . The
where appropriate, a clamp can also be provided to keep the elements engaged after their mutual embedding while preventing any disengagement, as long as the anchoring is not ensured by compression of the assembly.
Further details will become apparent on inspection of the accompanying drawings showing by way of example two embodiments of the invention. On these drawings:
the pin 1 is a vertical section of one of the elements of a first embodiment of a spacer according to the invention, the section being taken along line 1-1 of FIG. 2.
Figure 2 is a plan view corresponding to this element.
Fig. 3 is a section taken along line III-III of FIG. 1. FIG. 4 shows the spacer consisting of
two elements identical to that shown in the preceding figures, these elements being seen in elevation inside a formwork.
The rod 5 is a cross section of the two elements forming the part, this section being taken along the line V-V of FIG. 4.
The rod 6 is a vertical section similar to FIG. 1 of one of the elements of the second embodiment of a spacer, this cut being made along line VI-VI of fig 7. '
Fig. 7 is a plan view corresponding to FIG. 6.
<EMI ID = 3.1>
Fig 9 is an elevational view of the spacer consisting of two elements identical to the element shown in figs �
<EMI ID = 4.1>
Finally, fig. 10 is a cross section along the line X-X of the two elements of the assembled part shown in fig 9.
<EMI ID = 5.1>
no spacer. Each element is constituted by an elongated flat strip 2 having along its edges folded projections 4 and along lines parallel to these edges of the holes 4. Between these lines of holes are provided two longitudinal guide ribs 5.
<EMI ID = 6.1>
a domed end part 6 which allows the spacer to rest on the walls of the formwork. The same end comprises, moreover, a double elastic clamp whose jaws 7 and 8 selectively cooperate with the same opposite jaw 9, so as to be able to secure between the jaws 7 and 9 irons or reinforcing screens of reduced thickness and between jaws 8 and 9 of larger reinforcing irons or grills.
In figs 4 and 5, the two elements 1 and 1 'were repre-sented after sufficient relative sliding during which the projections 3 of one element slide between the projections 3 and the neighboring rib 5 of the other element and that until the total length of all the elements is approximately equal to the distance between the walls of the formwork. The elements are then pushed back transversely towards each other so that the protrusions 3 of one element penetrate into the holes 4 of the other. To prevent the elements from coming loose. 'from each other, we can go up
approximately in the middle of their length, a clip, not shown, constituted for example by a strip forming a spring. It was secured in the elastic clamp 7, 8, 9 to the left of FIG. 4 a reinforcing iron 11 of large diameter and, in this one on the right, a thin mesh 12. Behind the spacer, a vertical reinforcing iron 13 and a vertical mesh 14 can be seen.
In the case of the improved variant shown in figs 6 to
<EMI ID = 7.1>
the spacer, the elongated flat strip 102 forming an element having folded projections along its two edges
103 and holes 104, while two guide ribs 105 extend between the two rows of holes and tangentially to the latter.
This embodiment comprises, instead of a single convex end part, two bearing bosses 106, 106 'at one end of each element, these bosses ensuring the maintenance of the spacer in the upright position. relative to the corresponding wall of the formwork. The end of the element which has these two bearing bosses 106, 106 'also comprises an elastic clamp whose jaws 107, 108 are recessed in arcs of this � the successive
k 109 along their facing surfaces, so as to be able to receive
<EMI ID = 8.1>
re 112 of different thicknesses (fig 9).
The spacer consisting of two elements 101, 101 'as shown in figs 9 and 10 is put in place by first sliding the two elements one on the other until the total length formed by their set corresponds to the distance between the facing walls 110 of the formwork, while the projections
103 of one of the elements slide during this sliding between the corresponding projections 103 and the adjacent rib 105 of the other element. The desired length can be read in a sighting opening 115 formed in one of the elements on a scale 116 carried by the rod 102 forming the other element. When we got this-
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tre, so as to engage the projections 103 of one element with the openings 104 of the other element. With an appropriate relative dimensioning of the projections 103 and of the holes 104, it is possible to obtain an embedding under pressure excluding any clearance of the elements from one another, even in the absence of additional fixing *
When the spacers according to the second embodiment are to be used for reinforcing concrete walls, the following procedure is carried out after the length adjustment of these parts. A nail 117 (FIG. 9) is first driven into one of the walls of the formwork 110, this nail serving to receive a horizontal cross member 118. The bearing boss 106 has a hook-shaped extension 119. This hook 119 (fig. 6) allows the spacer to be hooked onto the cross member 118, so that the part is placed automatically <EMI ID = 10.1>
106 'which applies in contact with the wall of the formwork. We can then place in contact with the crosspiece 118 the vertical reinforcing iron 113 and symmetrically the reinforcing iron 114, these reinforcements being held on the distance piece for example by means of a connecting wire 120, so that the distance x separating each bar from ar. mature 113 114 .du formwork 110 is constant and independent of the size of these reinforcing bars * This connection between the spacer and the reinforcing bars could make it possible to dispense with the lower bearing boss 106 '. As soon as the vertical reinforcing bars 113-114 have been secured, the horizontal reinforcements can be attached to the vertical reinforcements below the spacer 101, 101 '. This being done, the reinforcing bar installer deposits the supply of reinforcing bars necessary for the execution of the reinforcing bars.
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mature 113 and a boss 121 at the top of the element
101 on one side or else, between the reinforcing iron 114 and another boss 121 provided on the element 121 'of the part on the other side. One of these horizontal reinforcing bars 111 or 112 is then embedded on the side opposite to this provision inside the elastic clamp
107, 108. After that, the vertical reinforcing bars can be fixed
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the connecting reinforcement not shown coming out of the foundations or the ceiling. This being done, we remove the reinforcing bars which
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the vertical frame. To ensure the mutual spacing of the irons, we finally mount other spacers on the reinforcing irons f
<EMI ID = 14.1> these rubber bands 107, 108.
The same procedure is used when no longer using insulated reinforcing bars, but steel wire netting and, in this case, there is the possibility, thanks to the elasticity of the clamps 107, 108 of being able to fix the spacers 101, 101 'directly on the horizontal wires of the mesh, which significantly simplifies and speeds up the work.
This simplification and this acceleration are made possible on the one hand by the ease of adjustment of the spacer according to the invention, and on the other hand, by its particular construction. The latter allows, in fact, the hooking or fixing on the reinforcing bars, without recourse to any tool, while at the same time ensuring the separation with respect to the bars as with respect to the formwork. Since, moreover, the spacers are of a very inexpensive construction because they are formed by the assembly of two identical elements, they signify from the economic point of view a significant advance.
CLAIMS
1. Adjustable spacer for concrete reinforcement characterized
in that it comprises at least two elements capable of being displaced longitudinally with respect to one another, of which
<EMI ID = 15.1>
feels holes or depressions, the dimensions and spacing of which
<EMI ID = 16.1>
be.