BE723523A - - Google Patents

Info

Publication number
BE723523A
BE723523A BE723523DA BE723523A BE 723523 A BE723523 A BE 723523A BE 723523D A BE723523D A BE 723523DA BE 723523 A BE723523 A BE 723523A
Authority
BE
Belgium
Prior art keywords
mold
particles
casting
vacuum
metal
Prior art date
Application number
Other languages
English (en)
Priority date (The priority date is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the date listed.)
Filing date
Publication date
Application filed filed Critical
Publication of BE723523A publication Critical patent/BE723523A/fr

Links

Classifications

    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B22CASTING; POWDER METALLURGY
    • B22DCASTING OF METALS; CASTING OF OTHER SUBSTANCES BY THE SAME PROCESSES OR DEVICES
    • B22D11/00Continuous casting of metals, i.e. casting in indefinite lengths
    • B22D11/10Supplying or treating molten metal
    • B22D11/11Treating the molten metal
    • B22D11/113Treating the molten metal by vacuum treating

Landscapes

  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Mechanical Engineering (AREA)
  • Manufacture And Refinement Of Metals (AREA)

Description


  "Procédé et appareil pour la coulée sous vide"

  
La présente invention est relative , d'une façon générale, à un procédé et à un appareil pour la coulée continue sous

  
vide et plus particulièrement à un procédé et à un appareil pour

  
augmenter la vitesse de coulée d'un procédé de coulée sous vide

  
en continu et pour améliorer l'homogénéité du produit coulé.

  
On connatt d'une manière générale des procédés et des

  
appareils pour la coulée en continu, avec utilisation de la pros-sion atmosphérique mais aussi avec utilisation d'un vide. Un procédé de coulée en continu peut être défini comme étant un procédé  dans lequel la matière fondue, par exemple le métal en fusion , 

  
est solidifiée dans un moule de coulée d'une forme désirée et est  retirée du moule sous la forme d'un lingot continu. La forme habi-  tuelle du moule de coulée en continu ne comporte pas de paroi  inférieure , Au^ début de l'opération de coulée, un bouchon amovible est utilisé pour obturer le fond du moule. Le métal en fusion  est déversé dans le moule et refroidi, habituellement par circula-  tion d'un fluide réfrigérant à travers la paroi latérale du moule,

  
 <EMI ID=1.1> 

  
 <EMI ID=2.1> 

  
moule de manière continue ou semi-continue , des quantités addi-  tionnelles de métal en fusion étant ajoutées dans le moule au fur  et à mesure que le lingot solidifié est abaissé. Le lingot solidi-  fié se trouvant dans la partie inférieure du moule supporte la masse du métal en fusion se trouvant dans la partie supérieure de ce  moule. Le moule doit avoir une longueur suffisante de paroi latérale pour que le lingot soit pratiquement solidifié lorsqu'il sort du moule. Ceci est évidemment nécessaire pour maintenir le noyau encore en fusion dans le lingot, 

  
Tel qu'on l'utilise ici, le terme "métal" est destiné à englober tous les métaux et leurs alliages, ainsi que d'autres &#65533;matières qui peuven&#65533;tre coulées dans des procédés de coulée sous

  
vide en continu.

  
Pour que l'on obtienne une vitesee de débit intéressante, dans un procédé de coulée en continu, le métal en fusion devrait être solidifié aussi rapidement que possible dans le moule de coulée, et le lingot devrait être retiré de façon continue de ce moule

  
 <EMI ID=3.1> 

  
d'addition du métal en fusion dans le moule. La vitesse de solidification du métal en fusion dans le moule de codée dépend de la vitesse de transfert de chaleur à la surface intermédiaire entre les parois du moule et la matière se trouvant dans ce moule, et également de la vitesse de conduction thermique depuis le noyau  central du lingot vers la surface de celui-ci à l'endroit de la  surface intermédiaire entre ce lingot et la paroi latérale du moule.  La vitesse de transfert de chaleur à la surface intermédiaire entre la paroi du moule et le métal se trouvant dans celui-ci dépend du  degré de contact entre cette paroi latérale et la matière. Le contact entre la paroi latérale et le métal est réduit au fur et à mesure que le métal se solidifie et se contracte durant le refroidissement.

  
Lorsque l'opération de coulée en continu est réalisée

  
 <EMI ID=4.1> 

  
face intermédiaire entre la paroi latérale du moule et la surface 

  
 <EMI ID=5.1> 

  
de transfert de chaleur, La vitesse de l.'enlèvement de chaleur depuis le noyau de lingot vers sa surface est accrue dans des pro-  cédés à la pression atmosphérique par pulvérisation de la surface

  
du lingot avec de l'eau, dès que le lingot sort du moule, en assu- . rant ainsi une différence importante de températures entre le noyau et la surface du lingot, ce qui donne ainsi une vitesse élevée de  façon correspondante, de conduction thermique. 

  
Dans des procédés à la pression atmosphérique, la combinaison de la vitesse accrue de transfert de chaleur , due aux gaz  présents à la surface intermédiaire entre la paroi du moule et la  surface du lingot, et de la vitesse accrue de conduction thermique  obtenue par pulvérisation du lingot au fur et à mesure qu'il sort

  
du moule donne un refroidissement suffisant de ce lingot de sorte que les moules de coulée utilisés dans des procédés de coulée en continu à la pression atmosphérique peuvent avoir une longueur de  paroi latérale relativement courte. En outre, le lingot est refroi- 

  
 <EMI ID=6.1> 

  
1  <EMI ID=7.1> 

  
coulées de façon continue aux conditions atmosphériques des  vitesses de débit intéressantes.

  
Dans les procédés de coulée sous vide, dans lesquels un métal est coulé et solidifié dans une zone à vide, il n'y a pratiquement pas de gaz présents à la surface intermédiaire entre la paroi latérale du moule et la surface du lingot, pour aider au transfert de la chaleur entre cette paroi et cette surface, En outre, il est difficile - et ce n'est pas praticable du point de vue industriel - d'utiliser une pulvérisation directe d'eau de  refroidissoment du lingot au fur et à mesure que celui-ci sort du  moule. Dans certains cas, il pourrait être possible d'alimenter des gaz à la surface intermédiaire entre le moule et le lingot, mais les quantités de ces gaz qui peuvent être tolérées dans un système à vide sont faibles, et l'addition de gaz n'est pas très

  
 <EMI ID=8.1> 

  
troduction de gaz dans le système à vide exige une capacité plus  élevée de pompage pour la mise sous vide de la zone 4 vide. Les

  
gaz peuvent également provoquer une souillure du lingot que l'on coule et, lorsque des métaux réactifs sont traités, il faut utili-  ser des gaz inertes. 

  
A cause de ces problèmes, la coulée sous vide en con-  tinu a été plus difficile jusqu'à présent et beaucoup plus lente que la coulée continue aux conditions atmosphériques. La coulée  sous vide en continu a généralement exigé des moules de coulée d'une longueur sensiblement plus grande de paroi latérale que les moules de coulée pour des procédés à la pression atmosphérique, à cause de l'incapacité d'obtenir une solidification rapide du  métal en fusion dans un procédé sous vide. Les faibles vitesses

  
de coulée obtenues dans les procédés de coulée sous vide sont,

  
dans certains cas, les critères déterminants utilisés pour le calibrage des appareils de coulée sous vide en continu , et elles peuvent rendre sans intérêt du point de vue économique un procédé de coulée sous vide. Si la vitesse de coulée des procédés de  <EMI ID=9.1> 

  
 <EMI ID=10.1> 

  
de coulée sous vide, 

  
Il est connu, d'une manière générale, d'ajouter une ma-  tière en particules au métal en fusion à titre d'agent de nucléa-  tion dans les procédés de coulée statiques à la pression atmosphé-  rique. La matière en particules est choisie de manière qu'elle agisse comme agent de nucléation, en créant des centres pour la  croissance de cristaux, ce qui modifie ainsi la structure granulaire du produit coulé. La quantité d'agent de nucléation que l'on ajoute est faible, habituellement inférieure à 1% en poids, sui-  vant la structure granulaire désirée du produit. 

  
Un but principal de la présente invention est de pré-  voir un procédé et un appareil pour la coulée sous vide en continu.  Un autre but de l'invention est de prévoir un procédé et un appareil pour augmenter la vitesse de coulée d'un procédé de coulée sous vide en continu. Un autre but encore de l'invention est de prévoir un  procédé et un appareil pour la coulée sous vide en continu , per-  mettant l'utilisation de moules plus courts de coulée sans diminu-  tion de la vitesse de coulée du procédé. 

  
Ces buts et d'autres encore de l'invention apparattront  mieux de la description détaillée suivante donnée avec référence 

  
aux dessins annexés.

  
La figure 1 est une vue en coupe schématique montrant une surface intermédiaire typique liquide-solide dans un moule de coulée sous vide en continu, lorsqu'on utilise des techniques courantes de coulée en continu,  La figure 2 est une vue en coupe schématique montrant  une surface intermédiaire typique liquide-solide dans un moule de .  coulée sous vide en continu , lorsqu'on utilise la présente in-  vention. La figure 3 est une vue en élévation et en coupe schéma-tique d'une forme de réalisation d'un appareil suivant la présente  invention. La figure 4 est une vue en plan prise suivant la ligne 4-4 de la figure 3.  La figure 5 est une vue d'extrémité prise suivant la ligne 5-5 de la figure 3. 

  
D'une manière très générale, la présente invention est  relative à un procédé et à un appareil pour la coulée en continu  d'un métal en fusion sous un vide, ce procédé et cet appareil suppo-  sant l'introduction du métal en fusion dans un moule de coulée en continu dans une zone à vide, la solidification d'une portion 

  
du métal en fusion sous la forme de particules distinctes dans une  zone à vide, et l'addition du métal en particules au métal en fusion dans le moule de coulée, sans exposition du métal en particules à une atmosphère réactive. L'appareil de l'invention comprend, d'une façon générale, un moule de coulée en continu, disposé dans  une chambre à vide, et des moyens pour introduire le métal en fusion dans ce moule de coulée. Des moyens sont prévus dans une cham- '  bre à vide pour solidifier un métal en fusion sous la forme de particules distinctes, et des moyens sont prévus pour ajouter le  métal en particules au métal en fusion se trouvant dans le moule.

  
Suivant l'invention, on a découvert que la vitesse de coulée que l'on peut obtenir dans un procédé de coulée sous vide peut être sensiblement accrue en extrayant de la chaleur depuis

  
la masse du métal en fusion dans la portion supérieure du moule

  
de coulée. Ceci réduit la quantité de chaleur qui doit être enlevée à travers la paroi latérale du moule et augmente la vitesse de solidification du métal en fusion se trouvant dans le moule. On a trouvé que des quantités importantes de chaleur peuvent être extraites de façon commode depuis la masse en fusion de la matière se trouvant dans la partie supérieure du moule, en ajoutant des particules distinctes de la matière à la masse fondue se trouvant dans le moule de coulée. 

  
 <EMI ID=11.1> 

  
pas fondues à un degré important quelconque mais agissent plutôt  comme agents d'absorption de chaleur pour refroidir rapidement la matière fondue jusqu'à sa température de solidification. Les particules ajoutées servent également comme sites pour la croissance  des cristaux et, comme telles, elles améliorent la structura cris-  talline du lingot coulé, en procurant une structure à grains équité  axiaux au lieu d'une structure à grains radialement basaltiques  que l'on rencontre normalement dans des lingots coulés en continu.

  
Cependant, le but de l'addition du métal en particules est d'absorber la chaleur et la quantité de cette matière en particules que  l'on ajoute pour assurer une vitesse de coulée accrue dépasse  largement la quantité de matière normalement ajoutée dans des opé-  rations de coulée statiques pour améliorer la structure granulaire, 

  
En se référant à la figure 1, on y a montré une vue en  coupe schématique d'une surface intermédiaire typique liquide-  solide d'un lingot coulé dans un moule de coulée sous vide en con-' tinu, lorsqu'on utilise une technologie courante de coulée sous

  
vide. On peut voir qu'il y a un noyau profond de métal en fusion, s'étendant sur une distance importante dans le lingot , ce qui nécessite ainsi l'utilisation d'un moule assez long et des vitesses de coulée relativement lentes pour que l'on soit certain que le lingot sera suffisamment solidifié avant qu'il ne sorte de l'extrémité inférieure du moule. 

  
La figure 2 est une représentation schématique d'une surface intermédiaire typique liquide-solide d'un lingot coulé dans  un moule de coulée en continu suivant la présente invention. L'addition de métal en particules au métal en fusion dans la partie supérieure du moule extrait de la chaleur depuis la masse en fusion, ce qui amène ainsi le métal en fusion à se solidifier plus rapide-  ment. La solidification plus rapide de la matière en fusion élève la(

  
 <EMI ID=12.1>   <EMI ID=13.1> 

  
la surface supérieure du moule, et amène le noyau central du lingot à se solidifier plus rapidement. Ceci permet l'utilisation du moule plus court représenté par la figure 2 et permet également

  
une vitesse plus élevée de coulée.

  
On a déterminé qu'il est important que le métal en particules, que l'on ajoute au métal en fusion dans le moule de coulée, soit formé dans une zone de vide élevé et ajouté dans le moule de coulée sans exposition à une atmosphère réactive, par exemple à une atmosphère contenant de l'oxygène ou de l'azote. Lorsque les parti-  cules sont formées sous un vide et ne sont pas exposées à une at-  mosphère réactive, ces particules sont totalement dégazées et ne  contiennent pas d'inclusions gazeuses qui pourraient souiller le  lingot.

   En outre, si les particules sont formées de métaux qui sont  sujets à une réaction lors d'une exposition à une atmosphère réac-  tive, la formation d'un film d'oxyde ou de nitrure sur les particu-  les est sensiblement empêchée par formation de ces particules sous un vide et leur addition au métal en fusion sans qu'elles ne soient exposées à l'atmosphère. Si les particules sont exposées à l'atmos-  phère avant d'être ajoutées à la matière en fusion dansée moule de coulée, des gaz absorbés par les particules pouvaient provoquer la  formation de soufflures ou d'inclusions dans le lingot au cours du procédé de coulée sous vide, tout en provoquant aussi des éclaboussures et une éruption violente du métal en fusion dans le moule  durant l'addition des particules. Cependant, si les particules sont  maintenue dans une zone à vide durant leur formation et ce jusqu' 

  
au moment où elles sont ajoutées dansle moule de coulée, ces particules seront pratiquement exemptes de gaz absorbés et ne provoqueront pas une souillure du lingot.

  
L'addition du métal en particules formées sous un vide

  
et non exposées à une'atmosphère réactive, au métal en fusion se trouvant dans le moule de coulée, n'affecte pas les caractéristiques physiques du lingot et peut, '; par contre, en rehausser certaines. 

  
On peut ajouter une quantité allant jusqu'à 35 à 50% en poids de  matière en particules par tonne de métal coulé suivant les circons-  tances, dans affecter les caractéristiques du produit coulé. Le  contact presque parfait entre les particules et le métal en fusion,

  
à cause de l'absence de gaz occlus, amène le lingot à être prati-  quement aussi homogène que s'il n'y avait pas eu d'addition de  particules. Toute microporosité quelconque pouvant exister dans le lingot, du fait de la contraction des particules durant la solidification du métal en fusion, sera exempte de gaz du fait de la  formation de ces particules sous unvide, et toute porosité quelconque de ce genre pourra être éliminée lorsque le lingot sera travail  lé. 

  
Si le moule de coulée a une section transversale irrégu-  lière, les moules de coulée sous vide courants peuvent comporter 

  
des plans de faiblesse dans certaines de leurs parties, du fait 

  
de la manière dont croissent les cristaux durant la solidification  du métal en fusion. Les plans de faiblesse peuvent être éliminés

  
par une distribution convenable des particules sur la surface du métal en fusion se trouvant dans le moule de coulée. En outre, si

  
la matière que l'on coule est un alliage qui est sujet à une ségré-

  
 <EMI ID=14.1> 

  
liage en fusion dans le moule de coulée peut réduire fortement ou  pratiquement éliminer la tendance de l'alliage à une ségrégation lors de la solidification.

  
En se référant maintenant en détails aux destins, on peut voir sur la figure 3 une'vue schématique en élévation et en  coupe d'un appareil convenant pour la mise en oeuvre de la présente  invention. L'appareil comprend, d'une façon générale, une enceinte
11 définissant une chambre à vide 12 dans laquelle on a une zone  de vide élevé. Un moule de coulée en continu 13, qui peut être d'une conception courante, est disposé dans cette enceinte. Ce  moule de coulée 13 peut avoir une section transversale circulaire

  
 <EMI ID=15.1>  porter des passages convenables, non représentés, pour la circula-  tion d'un agent de refroidissement à travers le moule en vue du 

  
 <EMI ID=16.1> 

  
on prévoit , dans la chambre à vide 12, des moyens pour chauffer

  
le métal à couler afin de maintenir la matière sous la forme fondue, ainsi que des moyens pour introduire le métal en fusion dans le  moule de coulée 13. Dans la forme de réalisation illustrée de l'invention, le métal en fusion est contenu dans un creuset ou sole convenable 15. Un bac réfractaire ou chenal de coulée 17 est prévu pour transférer le métal en fusion depuis la sole 15 vers le moule de coulée 13. Des moyens, non représentés, peuvent être prévus 

  
pour l'admission continue ou discontinue du métal dans la sole 15. Ce métal peut être introduit dans cette sole 15 sous la forme solide ou en fusion, et il peut être impur ou sensiblement purifié suivant le traitement précédent auquel ce métal a été soumis.

  
Le métal se trouvant dans cette sole 15 peut être chauffé par des moyens quelconques appropriés et, dans la forme de réalisation illustrée, ce chauffage peut être réalisé par des canons à faisceau électronique 21, montés à des endroits appropriés dans l'enceinte 11. On peut aussi bien utiliser un chauffage à résistance ou par induction.

  
On peut envisager que l'enceinte à vide illustrée 11 peut faire partie d'un four à faisceau électronique tel que décrit dans la demande de brevet U.S.A. n[deg.] 183.841 du 30 mars 1962 de la demanderesse. Il sera entendu que l'appareil décrit ici n'est  destiné qu'à permettre une description générale d'un appareil approprié pouvant être utilisé pour la mise en oeuvre de l'invention, mais que l'appareil de l'invention pourra être combiné ou incorporé à d'autres formes d'appareil de coulée sous vide pour  le traitement de diverses matières. 

  
On prévoit, dans la chambra à vide 12 , un dispositif

  
 <EMI ID=17.1> 

  
forme de particules distinctes. Ce dispositif peut prendre diverses 

  
on  /formes, comme/en connaît d'une façon générale dans la technique 

  
 <EMI ID=18.1> 

  
la forme de réalisation illustrée, ce dispositif comprend un bac réfractaire ou chenal de coulée 23 'qui dirige une portion du métal en fusion depuis la sole 15 vers le dispositif de formation de particules , désigné d'une manière générale par la référence 25, 

  
Le métal en fusion est solidifié en particules distinctes dans le dispositif de formation de particules 25, Dans la forme de réalisation illustrée, ce dispositif de formation de particules comprend une série de chicanes 27, 29 , 31, qui sont habituellement refroidies par de l'eau, Le métal en fusion est débité depuis la sole 15 vers le chenal de coulée 23 et se déverse depuis l'extrémité de ce chenal sur les chicanes 27, 29 et 31. Le choc du métal

  
en fusion frappant les chicanes amène le métal en fusion à se rompre en globules distincts de métal fondu et assure le refroidissement rapide de ces globules et leur solidification sous la forme

  
de particules distinctes. Le dispositif particulier de formation

  
de particules , que l'on choisit, devrait être capable de procurer des particules distinctes de la matière, qui sont refroidies jusqu'en dessous de leur température de frittage durant leur passage

  
à travers ce dispositif de formation de particules, afin que ces particules ne s'agglomèrent pas lorsqu'elles sont récoltées du dispositif de formation 25, 

  
 <EMI ID=19.1> 

  
 <EMI ID=20.1> 

  
la sole 15 sur le chenal de coulée 23 et, de là, dans la dispositif de formation de particules 25. Lorsqu'on utilise un chauffage à  faisceau électronique, la quantité de métal descendant dans le   <EMI ID=21.1> 

  
chenal de coulée 23 peut être contrôlée de façon commode en réglant l'intensité du faisceau électronique qui est dirigé sur le métal

  
en fusion se trouvant sur le chenal de coulée. L'intensité du faisceau électronique est une fonction de la quantité de chaleur ajoutée au métal en fusion. Lorsqu'on ajoute une quantité moindre de chaleur, l'épaisseur du fond de poche de métal solidifié, se formant sur le chenal de coulée refroidi, est augmentée et, de la sorte, l'aire transversale disponible pour la coulée du métal en fusion est réduite. De môme, lorsque l'intensité du faisceau électronique est accrue , on ajoute une plus grande quantité de chaleur , qui fond une partie du fond de poche et permet une circulation plus importante de métal en fusion le long du chenal da coulée
23. 

  
La circulation de métal en fusion vers le dispositif de formation de particules 25 peut également être contrôlée grâce à

  
un barrage amovible prévu entre la sole 15 et le chenal de coulée
23, La circulation du métal en fusion depuis la sole 15 vers le moule de coulée 13 peut également être contrôlée d'une manière similaire au contrôle du métal en fusion débité vers le dispositif  de formation de particules 25.

  
Il est évident que le métal en fusion débité au dispositif de formation de particules 25 ne doit pas nécessairement s'écouler depuis la même sole que celle prévue pour le métal débité dans le moule de coulée 13, A titre d'exemple, on peut envisager qu&#65533;une sole séparée soit utilisée , dans laquelle le métal est fondu et  débité au dispositif de formation de particules 25.Ces particules peuvent également être formées dans une enceinte à vide distincte, si on le désire. Les particules peuvent alors être transférées à l'enceinte à vide contenant le moule da coulée, par exemple par l'intermédiaire d'un canal sous vide reliant les deux enceintes, sans exposition à une atmosphère réactive.

   La manière particulière suivant laquelle le métal est fondu et débité au dispositif de formation de particules est sans importance pour autant que les par-ticules aient une pureté suffisante pour qu'elles ne souillent pas  le lingot que l'on coule dans le moule 13. 

  
Le métal en particules solidifiées est débité depuis le  dispositif de formation de particules 25 à un dispositif de classement approprié pour séparer les agglomérats indésirables et les particules de trop grosses dimensions, par rapport aux particules désirées. Dans la forme de réalisation illustrée, le dispositif de classement peut être sous la forme d'un tamis incliné 33 qui re-  tient les agglomérats importants et les particules de trop grosses dimensions. Le tamis 33 peut être un tamis vibrant, si on le désire. La fraction indésirable est débitée depuis le tamis 33 dans uh réceptacle approprié 35 pour l'enlèvement de cette fraction hors de 

  
la chambre à vide 12 par un canal à vide approprié, non représenté, en vue du retour de cette fraction vers le procédé sous la forme

  
de matières premières. Le métal en particules traversant le tamis

  
33 est récolté dans un compartiment approprié 37. La dimension des particules du métal en particules , débité dans le compartiment

  
37, n'est pas particulièrement critique pour l'obtention du résultat désiré de l'invention. Evidemment, il y a lieu d'éviter des agglo-  mérats importants de particules frittées pour assurer une homogé-  néité dans le lingot coulé. D'une manière générale, on peut utiliser des particules allant depuis des fines très petites jusqu'à

  
un diamètre de l'ordre de 0,5 pouce, bien que, dans la plupart des cas, les particules ayant un diamètre dépassant environ 0,3 pouce soient enlevées par le système de classement. La dimension maximum des particules acceptables ne peut pas être établie de façon spé-  cifique et il sera entendu que, dans certains cas, en considérant  les caractéristiques particulières de la matière que l'on coule

  
et les conditions générales du procédé, on pourra utiliser une matière en particules ayant une dimension dépassant 0,5 pouce de diamètre.

  
La matière en particules est tranférée depuis le compartiment 37 vers une trémie 39 disposée au-dessus du moule de coulée  <EMI ID=22.1> 

  
13. Dans la forme de réalisation illustrée, cette matière en parti-,  cules est tranférée depuis le compartiment 37 vers cette trémie 39 grâce à un transporteur approprié 41 qui peut prendre n'importe  quelle forme désirée, convenant pour le transfert de cette matière ;
-en particules. A titre d'exemple, le transporteur 41 peut être un  transporteur vibrant ou un transporteur à vis. Suivant une variante  de réalisation de l'invention, la matière en particules peut être  formée à un endroit se situant au-dessus, de la trémie 39 et trans- <EMI ID=23.1> 

  
le transporteur peut être supprimé,

  
La trémie 39 comporte une sortie de décharge 40 disposée  au-dessus du moule 13. Un dispositif de contrôle approprié, non  représenté , qui peut être d'une conception courante, est prévu  pour contrôler la quantité de métal en particules à introduire 

  
 <EMI ID=24.1> 

  
ticules sur la surface du métal en fusion se trouvant dans le moule. Le dispositif de contrôle peut prendre la forme d'une plaque  fendue ou peut consister en un appareil vibrant, Le métal en particules est de préférence distribué sur la surface du métal en fusion se trouvant dans le moule de coulée afin d'obtenir la vitesse maximum de solidification de ce métal en fusion. Sous ce rapport, et en se référant aux figures 1 et 2, le noyau fondu du lingot est généralement localisé centralement le long de l'axe de symétrie du moule En conséquence, il est désirable de concentrer l'addition du métal en particules dans la zone centrale du moule afin d'absorber de façon préférentielle la chaleur depuis le métal en fusion se trou*vant dans cette zone centrale du moule. Ceci peut être réalisé

  
en utilisant une trémie 39 ayant une sortie de décharge 40 d'un diamètre moindre que celui du moule et en localisant cette trémie de façon coaxiale au-dessus du moule, Ou bien, la trémie peut comporter une sortie d'un diamètre égal à celui du moule et peut être pourvue d'un dispositif approprié de distribution pour concentrer 'l'addition du métal en particules dans la zone centrale du moule de coulée. Pour obtenir une solidification maximum, il est habituel-  lement désirable d'ajouter une quantité comprise entre environ 50 i  et environ 90% du métal en particules à la zone centrale du moule,

  
 <EMI ID=25.1> 

  
trouvant dans le moule, qui est définie d'une façon générale par un  cercle concentriique ayant un rayon égal à la moitié de celui du  moule. Lorsque le moule a une section transversale non circulaire, le rayon peut être considéré comme étant la dimension transversale moyenne.

  
Il est évident que l'addition de la proportion majeure du métal en particules dans une aire circulaire du centre du moule peut être modifiée suivant le métal particulier que l'on coule, le degré de surchauffe et la vitesse de coulée. Bien qu'il soit avantageux d'ajouter la proportion majeure du métal en particules dans  la zone centrale du moule, on envisage également de distribuer de  façon uniforme ce métal en particules sur l'entièreté de la surface de la masse en fusion se trouvant dans le moule, si cette façon de procéder est désirée. 

  
Le dispositif de contrôle pour la trémie 39 est mis en oeuvre de manière que le métal en particules soit ajouté au métal en fusion sec, trouvant dans le moule à une allure désirée, soit de façon continue, soit de façon semi-continue, suivant les désirs.

  
D'une façon générale, le métal en particules que l'on ajoute dans 

  
 <EMI ID=26.1> 

  
en fusion que l'on ajoute également dans ce moule. Dans la plupart des cas, une quantité comprise entre environ 5 et environ 20% en poids de métal en particules assure de bons résultats. Les limites "supérieures et inférieure de la quantité de la matière en particu-  les que l'on ajoute ne sont pas critiques et, dans certains cas, 

  
 <EMI ID=27.1> 

  
Le procédé et l'appareil de la présente invention con-  viennent particulièrement bien pour la coulée sous vide en continu

  
 <EMI ID=28.1> 

  
métaux réfractaires et de leurs alliages, qui ne peuvent pas être coulés de façon commode dans des procédés à la pression atmosphérique, pour donner des lingots ultrapurs,du fait de la réaction du métal en fusion avec l'atmosphère. Des exemples de métaux et alliages de ce genre sont le titane et le niobium, ainsi que leurs alliages. D'autres matières que l'on peut couler dans un procédé de coulée sous vide en continu suivant la présente invention sont les alliages à base de nickel, les aciers inoxydables et les aciers

  
au carbone.

EXEMPLE

  
Un échantillon d'acier inoxydable 304 a été fondu et coulé dans un four de coulée sous vide en continu. Une portion du métal a été coulée en utilisant une technologie courante de coulée sous vide, tandis qu'un autre échantillon du métal a été coulé en utilisant la technologie de la présente invention.

  
Le four de coulée sous vide avait une sole d'une prof on-" deur de 4 pouces, d'une largeur de 7 pouces et d'une longueur de
20 pouces. On a utilisé un moule de coulée continu circulaire ayant un diamètre de 6 pouces et une longueur de paroi latérale de 9 pouces. Ce moule a été refroidi en faisant passer de l'eau par des passages prévus dans la paroi latérale . On a introduit
800 livres de l'acier inoxydable 304 dans le four et on a fondu cet acier par six canons à faisceau électronique.

  
En,[deg.]utilisant la technologie courante de coulée sous vide, l'acier inoxydable en fusion a été débité depuis la sole dans le moule de coulée', où il était solidifié et retiré de façon continue hors de ce moule On alimentait de façon continue environ
400 livres par heure d'acier inoxydable en fusion dans le moule

  
et un lingot d'un diamètre de 6 pouces était retiré du fond du moule par le canal à vide à une allure d'environ 50 pouces par heure,  <EMI ID=29.1> 

  
Un enlèvement du lingot à des vitesses dépassant sensiblement 50  pouces par heure avait pour résultat une rupture du lingot et une  perte de métal en fusion. 

  
On a alors utilisé l'appareil suivant la présente inven-  tion pour couler un échantillon similaire d'acier inoxydable. On

  
a transformé environ 25% de l'acier inoxydable en fusion se trouvant dans la sole, en particules distinctes, dans la chambre du four à vide en faisant couler le métal en fusion sur une série de  chicanes refroidies par eau. Les particules solidifiées d'acier  <EMI ID=30.1> 

  
les particules ont été débitées grâce à un transporteur vibrant  vers une trémie disposée au-dessus du moule de coulée. Ces particu-  les avaient une dimension allant de fines très petites jusqu'à  0,25 pouce. Cette matière en particules a été ajoutée de façon continue à l'acier inoxydable en fusion se trouvant dans le moule de coulée. On introduit environ 600 livres par heure d'acier inoxy-  dable fondu dans le moule de coulée et on a également introduit dans  celui-ci environ 100 livres par heure d'acier inoxydable en particu-

  
 <EMI ID=31.1> 

  
nal à vide &#65533; raison d'environ 80 pouces par heure. Ce lingot a été  découpé en deux et examiné, et on a trouvé qu'il présente une bonne homogénéité et une structure à grains équiaxiaux au centre du lingot, celui-ci convenant tout à fait bien pour un traitement ulté-  rieur. 

  
Des résultats similaires et des vitesses accrues de cou-  lée peuvent être obtenus en utilisant d'autres métaux et alliages.

  
On peut voir de ce qui précède que l'on a ainsi décrit

  
un procédé et un appareil assurant une vitesse accrue de coulée

  
pour les procédés de coulée sous vide en continu. Le procédé et l'appareil décrits peuvent être utilisés conjointement avec des procédés de purification sous vide, ou bien on peut-les utiliser  pour couler des métaux purifiés dans des procédés à pression atmosphérique. Bien que certaines caractéristiques particulières  aient été décrites pour mettre l'invention en évidence, il est  bien entendu que celle-ci n'est nullement limitée aux détails  donnés , car de nombreuses variantes et modifications peuvent être envisagées sans sortir pour autant du cadre du présent brevet.

REVENDICATIONS 

  
l.Un procédé de coulée sous vide en continu, comprenant l'introduction continue d'un métal en fusion dans un moule de coulée en continu se trouvant dans une zone à vide, la conformation  d'une portion de ce métal en particules distinctes dans une zone  à vide, et la distribution du métal en particules sur la surface  du métal en fusion se trouvant dans le moule de coulée sans exposition des particules de métal à une atmosphère réactive, la quantité . de la matière en particules que l'on ajoute à la matière en fusion étant comprise entre environ 5 et environ 35% en poids du produit coulé.

Claims (1)

  1. 2. Un procédé de coulée suivant la revendication 1, comprenant la fusion de la matière métallique de départ dans la zone
    à vide pour former une masse fondue, l'envoi d'un première por- tion de la masse fondue dans le moule de coulée en continu, l'envoi d'une seconde portion de la masse fondue dans un dispositif de for- mation de particules se trouvant dans la zone à vide, la récolte des particules de métal dans la zone à vide et la distribution de ces particules sur la surface du métal en fusion se( trouvant dans le moule de coulée , sans enlèvement de ces particules hors de la zone à vide.
    3. Un procédé de coulée suivant les revendications 1 ou 2, dans lequel une proportion majeure des particules est distribuée sur la zone centrale du moule de coulée.
    4. Un procédé de coulée suivant l'une quelconque des revendications 1 à 3, dans lequel on distribue une quantité comprise entre environ 50 et environ 90% des particules dans la zone du moule de coulée , définie par un cercle concentrique ayant un diamètre égal à la moitié de celui du moule de coulée. <EMI ID=32.1>
    revendications 1 à 4, dans lequel les particules métalliques ont une dimension inférieure à environ 0,5 pouce de dimaètre.
    6. Un appareil pour la mise en oeuvre du procédé suivant l'une quelconque des revendications 1 à 5, comprenant une enceinte à vide contenant un moule de coulée en continu, un dispositif pour l'introduction du métal en fusion dans le moule, un dispositif
    pour former des particules de ce métal dans une zone à vide, un dispositif pour distribuer ces particules sur la surface du métal
    i en fusion se trouvant dans le moule, et un dispositif pour trans- férer les particules métalliques vers le dispositif de distribution susdit sans exposition de ces particules à une atmosphère réactive.
    7. Un appareil suivant la revendication 6, comprenant
    une sole disposée dans l'enceinte à vide, au voisinage du moule susdit et du dispositif de formation de particules , un dispositif pour diriger une première portion du métal en fusion depuis la
    <EMI ID=33.1>
    tion du métal en fusion dans le dispositif de formation de particu- les.
    <EMI ID=34.1>
    tions 6 et 7, dans lequel le dispositif de formation de particules est constitué par une série de plaques formant chicanes refroidies par eau, le dispositif de transfert est disposé dans l'enceinte
    à vide susdite, et le dispositif de distribution est constitué par une trémie disposée au-dessus du moule, cette trémie compor- tant une ouverture de décharge en alignement coaxial avec l'axe
    du moule, cette sortie présentant un diamètre plus petit que celui du moule.
    9. Un procédé et un appareil pour la coulée sous vide en ' continu, tels que (écrits ci-dessus et/ou illustrés': par les dessins annexés..
BE723523D 1967-11-09 1968-11-07 BE723523A (fr)

Applications Claiming Priority (1)

Application Number Priority Date Filing Date Title
US68178867A 1967-11-09 1967-11-09

Publications (1)

Publication Number Publication Date
BE723523A true BE723523A (fr) 1969-04-16

Family

ID=24736815

Family Applications (1)

Application Number Title Priority Date Filing Date
BE723523D BE723523A (fr) 1967-11-09 1968-11-07

Country Status (2)

Country Link
BE (1) BE723523A (fr)
FR (1) FR1592624A (fr)

Also Published As

Publication number Publication date
FR1592624A (fr) 1970-05-19

Similar Documents

Publication Publication Date Title
US4190404A (en) Method and apparatus for removing inclusion contaminants from metals and alloys
EP0048713B1 (fr) Procede de fabrication de granules metalliques, produits obtenus et dispositif pour la mise en oeuvre de ce procede
FR2659087A1 (fr) Procede pour fabriquer un materiau solidifie en alliage amorphe.
EP0471798A1 (fr) Filature en fusion a fond de moule refroidi par induction d&#39;alliages metalliques reactifs.
CH621316A5 (fr)
CN107406907A (zh) 纯化合金熔体
CH632686A5 (fr) Procede et appareillage pour la fabrication de barres en alliage par solidification unidirectionnelle.
FR2613729A1 (fr) Four a sole froide pour le raffinage par faisceaux electroniques
JP3188352B2 (ja) 特に高機械特性のダイキャスティングを製造するための、レオキャストインゴットを製造する方法
EP0092477A1 (fr) Procédé et dispositif de fabrication d&#39;un lingot d&#39;acier creux
BE723523A (fr)
FR2587366A1 (fr) Procede de preparation d&#39;un lingot a partir de residus metalliques
FR2524356A1 (fr) Procede et dispositif pour la fabrication de poudres metalliques de haute purete et depourvues de matieres ceramiques
EP0242347A2 (fr) Dispositif pour la coulée d&#39;un métal en phase pâteuse
FR3073836A1 (fr) Procede et dispositif pour alimenter un bain de silicium liquide en particules de silicium solides
EP0578517B1 (fr) Procédé pour traiter du métal en fusion dans une opération de coulée avec interposition d&#39;un filtre, et filtre pour la mise en oeuvre de ce procédé
WO2009074736A1 (fr) Procede de fabrication d&#39;aciers inoxydables comportant de fins carbonitrures, et produit obtenu a partir de ce procede
US6179042B1 (en) Non-hot crack bottom block for casting aluminum ingot
EP0158563B1 (fr) Procédé de fabrication non polluant de silicium massif à partir de silicium divisé
US3841387A (en) Method and apparatus for casting metal
EP0943380A1 (fr) Installation de coulée en continu d&#39;un produit métallique et procédés de mise en oeuvre d&#39;une telle installation
JPH0437121B2 (fr)
JPH04346608A (ja) 亜鉛粒の製造法および製造装置
EP0011583A1 (fr) Procédé et dispositif pour l&#39;obtention, à l&#39;abri de l&#39;air, de produits abrasifs à cristallisation fine et homogène
EP0452294B1 (fr) Procédé et installation pour la coulée continue d&#39;un métal