BE702563A - - Google Patents

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BE702563A
BE702563A BE702563DA BE702563A BE 702563 A BE702563 A BE 702563A BE 702563D A BE702563D A BE 702563DA BE 702563 A BE702563 A BE 702563A
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silage
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    • CCHEMISTRY; METALLURGY
    • C12BIOCHEMISTRY; BEER; SPIRITS; WINE; VINEGAR; MICROBIOLOGY; ENZYMOLOGY; MUTATION OR GENETIC ENGINEERING
    • C12NMICROORGANISMS OR ENZYMES; COMPOSITIONS THEREOF; PROPAGATING, PRESERVING, OR MAINTAINING MICROORGANISMS; MUTATION OR GENETIC ENGINEERING; CULTURE MEDIA
    • C12N1/00Microorganisms, e.g. protozoa; Compositions thereof; Processes of propagating, maintaining or preserving microorganisms or compositions thereof; Processes of preparing or isolating a composition containing a microorganism; Culture media therefor
    • C12N1/20Bacteria; Culture media therefor
    • AHUMAN NECESSITIES
    • A23FOODS OR FOODSTUFFS; TREATMENT THEREOF, NOT COVERED BY OTHER CLASSES
    • A23KFODDER
    • A23K30/00Processes specially adapted for preservation of materials in order to produce animal feeding-stuffs
    • A23K30/10Processes specially adapted for preservation of materials in order to produce animal feeding-stuffs of green fodder
    • A23K30/15Processes specially adapted for preservation of materials in order to produce animal feeding-stuffs of green fodder using chemicals or microorganisms for ensilaging
    • A23K30/18Processes specially adapted for preservation of materials in order to produce animal feeding-stuffs of green fodder using chemicals or microorganisms for ensilaging using microorganisms or enzymes

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  • Medicinal Chemistry (AREA)
  • Food Science & Technology (AREA)
  • Fodder In General (AREA)
  • Micro-Organisms Or Cultivation Processes Thereof (AREA)

Description


   <Desc/Clms Page number 1> 
 
 EMI1.1 
 viâ4da.S;J. ' .:i< j l:;;e Ei';' et procéda pour les J.G467L,rt  .Z ,t i 
 EMI1.2 
 F# ' i ":; 1. i - > 'culture de plusieurs procèdes pour f1.:- j' - ' -" ('1' doe plantes fourragèren frl\ich0 e- . 



  ''un d';1':J' 1 est la fabrication de fourrage eeilé -- .-3''Hf ': le principe consiste à faire fer!!1en;:>.' .P. ''I:'r2f!] à frais, des fruits de labour.. des Cé0;'1!.- - ,<) :.8. 3 dans des réaervoire à fourrage ou oilos t 1 .. d .3. l!.:1.!'" rganismes contenue dans le fourrage. Cette , >ntelf.,7i! :"4sente un certain nombre de diffioul tés 0-';; ..eux '%n- .<3a efforta entrepris dans le passé pour 4, j. r des ¯.'er :nat3.oris parasites et pour amb- 
 EMI1.3 
 rer la qualité des aliments fermentée. 

 <Desc/Clms Page number 2> 

 
 EMI2.1 
 ta. matière végétale à ensiler contient une grande quantité de microorganismes provenant en partie de la terra 
 EMI2.2 
 adhérente qui sécrètent,lors de la fermentation,des produits 
 EMI2.3 
 .'aaxtâ'aek sans valeur ou même nocifs pour l'alimentation le" F..;. :x.

   Parsi eux, on peut citer entre autres des bac- -'#.fr: .:fa ?Jt;,.5f':;,ction qui >sxcrcent à un pH supérieur à en- ..: J.i J . 5, " -, ''A ?rot4c'l:.'tique sur les végétaux, en pro- ' w. , . ,:,,)',)<: r:lCq'3 en partie t07:.y'.aE'B , ainsi que les coli- . i<>. -'.:' 't'W':'.J8li"t :-ar",,:::..::21oment v\.1 tt1talQt:lent aux bacté- , ,. <.¯"?.'J'' de : sî':5i?tlE: :f.'x'Q:9lteCO$! 1 d égrademi 'o-'- ; ;, .y:w^.3 en "'ciâe acétique et produi te gazeux ..=; .z.;. ;:2 :.''':ei une per'-p sensible de précieux principes ':.l ±1.f... ::'1 '6 -i8o.nt le 1,à> à des valeurs inférieures à en- -"''1 ,' . F, 01" E:, '' 1, pQ9s'biÀ;.t4 d'inhiber l'activité des 0011- ... , :-'¯ nr, .,t..y..z'>g.i ',.',$i' nil 1:. ,in milieu acide.

   Lep microorga.- - 7  ¯'?1.'7 .a±,si.e c'.,,;:'!:; la préparation d'aliments ferIr ' "'':' " =±3 - :::'.::!..1.1,1Y. :::on:' "ça bactéries responsables de la. 



  .. :.. ., J1-t;::-:,::.lt').'J. car lee vaches qui absorbent du ? . ' .,: ::""; ';<5 contenant irs produits métaboliques de oes '" < "Î 1 . ' ' n>.r- .'.1.' lait ir1:'':opr!J à le. fabrication de fromages ' . ' ,'Q.z>É.' ,<; à =e<; in :''1wénient en ensemençant sur les ' r.. 'Q'::"Y8.["-:'8S è ^.y81'.4'.'.', des aouches de S'treptococous 1-='"lJ ,-''#'';ri?s de- '1i sin efficaoa contre les bacilles ,i',>" :'Z'c''":':'lU0'î"': :1', fernentation butyrique.

   On effectue la I>:'-l0-:1tC:';.(')r.. par cos souches à un pH égal ou inférieur à 4. r.: co-isorvation du fourrage fermenté est d'autant plus 
 EMI2.4 
 durable que l'acidité de ce dernier est plus élevée, ce 
 EMI2.5 
 qui a 1oité aux essais de réduire le pH des valeurs infé- 
 EMI2.6 
 rieures à 4 par addition d'acides minéraux ou organiques ; mais on a constaté que les animaux refusent souvent 

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 EMI3.1 
 d'accepter la fourrage feraeaté ty%fl% un PX irieur k 5 et i que ces aliments, même dans leu eae .0t ils sont acoeptée volontiers, sont   imparfaitement   assimilés.

   Cette   assimilation   défectueuse du fourrage fermenté, dont le pH   a la   valeur faible indiqua, est due au fait que oes valeurs de pH s'écartent trop de celles qui   rognent   dans la   panas   des animaux. 



   La fabrication d'un produit permettant de préparer des 
 EMI3.2 
 aliments fermentas pour le bétail a un pli de 5 à 6 correspondant ap:!?rox1':.'\[ivement b. celui dans la panse des animaux, tout en maintenant la concentration de bacilles de putréfaction, de colibacilles et d'autres   microorganismes   très indu-   airables   qui vivent et prolifèrent dans un milieu de   pH   5 à 6, ainsi   que   de louré produits métaboliques à un niveau non nuisible, répond donc à un besoin réel,
Il se pose alors le problème d'éviter les effets   nuisi-   
 EMI3.3 
 bles des mieroorEani.eme-9 indésirables qui accompagnent dans le fourrase 1 ensiler les bactéries formant l'acide lactique et la â.: ,, en créa, pendant toute la durée de la fermentation;

   et '.iiépendanm6nt des variations de température inévitables et parteils considérables qui se produisent dans 
 EMI3.4 
 le silo, les cxn4: iona favorables pour une production rapide, forte :u11ère d'acide lactique. 



  La part'cu0.C:x.i.,é de 1+on;iia6e exige d'une façon impérieuse, la >:Es.3> no d'au moins traie groupes de mioroorganisaaes dont 1' ,' '/1 té et lu prolifération optima as anifestent dans de,, tervalle de température différente, r On a déjà utiiis4, ;; cet effet, des cultures de rrdoroorsan1sttLea pures les mieux ada.;,-;;

  6es aux Ll!térente intervalles de tem... pérature, mais leur adaptatior1 à de  -température* dépassant cet intervalle vers le haut ou le bas, laisse alers à désirer 

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 EMI4.1 
 et les résultats de l'ensilage na 9 pas 9t.sauta, ' On a également 188a1'4 de d4voopper des mélangea de oultures consistant, par exemple, en te.4+robàoillu8 halveticum. lactobacillus acidophilus et Str&ptOècCU8 'lactis dans les 
 EMI4.2 
 condition? habituelles de multiplication à des températures constamment croissantes, par exemple dans l'intervalle de 
 EMI4.3 
 ;5 1;

   environ 5000. ?tain il est alors apparu que les microornice9 ont l'optimum de croissance et de production d'acide 
 EMI4.4 
 
 EMI4.5 
 i.*=iq,a#, rn citue à des températures basses. proliférant d'une fa'c'"' prépondérante aux températures plus élevées, c'est-àdire, en particulier, Streptococcus cremoris et Streptocoocun 
 EMI4.6 
 laçais, et que leur proportion dans la culture mixte atteint 
 EMI4.7 
 75 t 0,, alors que les mioroorganiaatas ayant une activité odt;.na dans les intervalles de temp4!fature élevée, comme par exemple Lactobacillus helveticum et tactobao111u acidophilus no -epr6aentent que 20 a 25% du mélange total.

   Mais c'est rç;n4mont co dernier groupe qui doit alors passer au 8'cr plan. car ses reprêsentantt3 ayant une activité optima à -l<1 toapdraturea élevées produisent les proportions les p'.'3 grandes 4'acide lactique allant jusqu'à 3 ou 4,5%, fnd.a que Streptococcus laetîn et 3trgtscoccus cremoris 1 f 011 produisent en général que des proportions inférieures ou a,,;3 z 0.7%.

   D'autre part, au début de la fer#ntation, et ,)lue tard pour des raisons de sécurité dans les cas d'un ensilage à des températures particulièrement basses, la présonco des souches actives à des tempfratures basses, parmi 10BqU-lles par exemple Streptococous oromor1e est déjà actif à des températures de 4 à 5C et 9treptocoocu1!5 latis,prénente déjà une activité considérablo à des températures encore faibles comprises entre 14 et 2200t est indispensable. 14as 

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 EMI5.1 
 microorganismes actifs à des tampératures basses représentant une proportion importante de la culture mixte 8u8nome, ils garantissent la fomentat1on au début du prooessus d'une 
 EMI5.2 
 façon tout à fait satisfaisante, mais une teneur en acide 
 EMI5.3 
 lactique d'environ 0,7% une fois atteinte.

   leur activité dècroit, ce .as 2U0 de 20nprome%tre la poursuite do la f01:'mentatit;Hl : r,,, , î.;,. .: (1.' uno part, la proportion des micro or.... gam.\3!l\es a=.:;.:,' ..:'3 concentrations d'acide et 11 des tampérnturcs plue 4:cvçJ 9 zu3nent faible et, d'autre part, pa-rce 'lut ils :';,::' ..IJt')C!1'f; '.car pleine activité qu'à dea taropéra'.iurea g:..  ¯t :.ua 11.1)'''Ós, Pourtant, ces microorgo.nixt<3 ant.'â .. ':/ê"rp6r::-;tures 61evéoe  ont également indieponse."bl'l6, ';:::.' : (:,)'.:;:-S a o 3 Q;ai.lago de végétaux riches en protéine, la :-.;:,,;;:,c ,1,+;JIint sauvant des températures élevéos qui risquent re - <.;:d x=e à un 'chec. que la présence d'uns quantité nt;::r.$.t-, ces mica-oorganiaies très actifs aux température!? 4-.> '" courrait t j'"i ter.

   Se','.on ce qui précôde, la "".:echn1c:.uf;: . ': -::..' :z =r"" Â , ¯ .tue3,ls des cultures l'1ixtee. 



  L x)$''^-.- L3,.ic :; /i3"lC:L; .A "t7;r.:' de températures basses vers des tc;.jS.¯ . . :..n'{: JI donc pas permis de produire d"  et2.ture;" -."".' 8n'":.i.:::.±sr.. un ensilage satisfaisant. 



  D'une f3';':-; n à i'e..'" 3n-'tendue, on vient maintenant câa découvrir ;::t1' ; -,' .:n :>,= inuit auxiliaire d'ensilage remarqua.blemen'!: 6''ce et sâr, lorsque contrairement aux procédés antéi 8l..1'C, ,:1 ne ult. lie pas des culturee mixte$ dans des conditcs ep;3xw. us ascendaliteq, mais en ensemençant les CL1-,;:"1 ns mixtes . des températures élevéos qu'on laisse décrd ';1 ensuit-? une façon contrôlée ou spontanéo à un niveau plus sa:a , 
 EMI5.4 
 Le procédé selon l'invention pour fabriquer un produit 

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 EMI6.1 
 aux-14,liaire d'ensilage, eoneietaRt à oultiver dans un milieu de culture dos microorganismes gêndrateure d'acide lactique c? GO 13ine et à sécher, le cas échéant, la culture obtenue, (,;,:"" Cf'."'(;';èi9é an ce qu'on ensemence dans le milieu de ,"" ., oin teraont au moine trois microor,n3sTes généra- .-.

    . ,.1.) lactique o t de nisine, capables da produire -Jnd(H1errt l'acide lactique dans dos intervalles " F .--,y différents, mais 8.:' chevaucban4v  les uns les #¯ .¯y,n entre A) nrviion 5 01/ r?a4i, B) environ 20 .' .aviron 35 et 1 C ou au-delà, et que l'on ':..p'li('aion -nar -n procédé dit "'à récipient uni- . d "5 à 6 et à des températures décroisant ., . 4 - ...,, t partir d'environ 45 à environ 5 C. Par ;..-'4 ¯.r; pic;. unique". on entend ici la multiplication -s souches utilisées conjointement dans un seul 1' .3 qi oblige las bactéries de tous les groupes tous ies palie1'3 de température pouvant ne pr' .' ;ou.-c de l'on61:e.g$. 



  - "19, on trouvera 1uolquos produite initiaux ': '.' calques mesures appliquées de façon prdfé- '''" "an le cadre du procédé selon l'invention ' -ï-iDs - Dans ce qui suit, les mioroorganismes sont Fr: ":'.1"", #3 l'ordre des intervalles de température reoonnur cor tr.t les plus favorables #.-r:':scrccua laetis, Streptococcue exeaoxie, Streptococcus sl1c:-aro.' '. -;tis, Betaooccus cremoris (forme A), Betabacterium Caucasie un ;

   Le? 3opc:e précitées, qui peuvent 8e multiplier déjà à environ 5C, fournissent déjà à 20 C des concentrations d'acide 
 EMI6.2 
 lactique variant entre 0,5 et 1,5%, Leur température normale 

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 de multiplication est comprise entra "eavir<oia 5 et 25 bzz Streptococcus iiquefaoxone, 1 13acteJri"ium aoot;tlcbolini" 3actenum brassicae, t ifhermobacterium illtesti#l.e If La.cto#... cillus plantarum, 3trèp%obac%erium #.ei t Baoteriam oD'cromer18   fera.,   Lactobacillus   aoidophilue ;     11 intervalle   de production 
 EMI7.2 
 maxima d'acide lactique se situe Wu* ces &apèce6 entre environ 20 et 40 C, en particulier à environ 30C. La oottoac- tration d'acide lactique qu'on peut obtenir est comprise entre environ   0,7   et 2,4%. 
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  C) Streptacoccus hermoph11us. Laotobao111us lactie,' Thermobacterium bulgaricum, Lactobacillus helvetionm, Lactobacillus thermophilus, Lactobacillus de'lbr ckî, la température appropriée pour la   formation   d'acide   lactique   à l'aida de ces espèces est comprise en général entre 35 
 EMI7.4 
 et 5000# de préférence, entre 37 et 45C, et dams.le cas de ietola,cillus thermoph1lus, l'intervalle le plus favorable ss situe aiµB3 entre 50 et 60!. M'arne â des tempéra- tures comprises entre 50 et 62 C, on constate   encore   une production satisfaisants d'acide lactique. Les concentrations d'acide lactique formé varient entre 0,5 et   4,5%.   



   Il est es3entiel pour la réussite, que le   mélange   des 
 EMI7.5 
 trois mioroorganisrlee comporte un représentant de chacun des groupes A, B et C précitée. On ensemence pourtant sur le   milieu   de préférence au moins quatre espèces différentes, choisies   parmi   les microorganismes susnommés.   En   tenant 
 EMI7.6 
 compte des indications ci-dasses sur les teapâratnras, on effectue ce choix do telle sorte qu'à toutes les températures antre 10 et 62 0 qui peuvent ne prlaonter sa ooure de l'en. silage, on puisse obienir une 'nc.ntration d'acide lactique comprise entre   1 et   3%. 

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 EMI8.1 
 



  ..;5 -..-..,y- ,.. 



  On prépare les cultures 3,:'zs des ré9iPîntB.. '% ee appropriés on introduisant *Les !KiooT?ga!a9.es &. des temple- ratures comprises entre 45 et 4 qu'on liaiase décroître lentement dans l'espace d'environ }2 heUJ;"5 jusqu'à environ, 10 C. On pout ensuite utiliser le"::D111tures mixtes ainsi! formées pour ensemencer les milieux de développement où la, multiplication continua dans les mêmes   oonditions   de température 
 EMI8.2 
 décroissante et dans des lape de temps approximativemant bidon- tiques, Milieux de culture :
Les besoins en matières nutritives des espèces susnommées sont connus (voir par exemple   Alfred     Joergensen,   
 EMI8.3 
 Mikroorganismen dur GaerungBindUBBi9t 7e édition, 1955, Edition Hans Carl, Nuremberg,   Pas**   384-387 et   413-454).   



  Les   microorganismes   étant des   Atre.   vivants,même les plus semblables parmi eux, appartenant au même   genre   et   formant   des produits   métaboliques   identiques,   montrent   des différences considérables quant à leur aptitude d'assimiler des hydrates de carbone et leurs besoins de facteurs de croissance. On comprend donc aisément   qu'il     n'est   pas   possible   d'indiquer 
 EMI8.4 
 des milieux nutritifs sur lesquels les diff'9tttoe espèces qu'on peut, selon ce qui précède, combiner da multiples façons, puissent produire des quantités maxima   d'acide   
 EMI8.5 
 lactique.

   Pourtant, connaissant le hydrates do carbone (par exemple saccharose, laotose, amidon et dextrina) fermentescibles ou non par les différents mteroorganismen, et, de plus, sachant quel hydrate de carbone   cotaient   le mieux pour le développement et la production d'acide lactique dans le cas d'un microorganisme particulier,   il     n'est   pas difficile de préparer le milieu nutritif le plue favorable pour la produc- 
 EMI8.6 
 tion de concentrations élevées d'acide 3.as-i,,a à l'aide 

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 d'une combinaison donnée de microorganismes. 



   Pour un mélange préférentiel consistant en parties approximativoment égales de Steptoooocus laotis, de   Streptoooocua   cremoris, de Lactobacillus   aoidophilus   et de Iaotobaoillus helvetioum, des milieux sur la base de pâtit lait et de lait écrémé comprenant certaine produits d'addition sa sont révélés particulièrement avantageux. Le petit lait, produit on grande quantité par les laiteries en tant que produit secondaire, représente une matière première très bon marché. Le fait que le milieu utilisé selon l'invention peut contenir, dans tous les cas, au moins 50% de petit lait représente donc un grand avantage.

   Dans le cas du mélange de   microorga-   nismes sueindiqué, le milieu nutritif peut   oontenir   jusqu'à   90% de petit lait ajusté à une teneur en lactose de 4 à 6%. 



  Le reste du milieu consista en lait écrémé. En outre, on peut    ajouter du chlorure ou du sulfate de manganèse ou du phosphate de sodium, chacun de ces produits dans lune concentration inférieure ou égale à 1% en poids. M'autres produits d'addition avantageux sont : l'autolysat de levure, la   oaséino-   peptone (substrat C) selon S. Orla-Jensen, le substrat nu-   tritif C   + Y selon S. Orla-Jense, des substances organiques contenant des protéines telles que des rognures de fromage (séchées), les acides folique et pantothénique, l'un ou l'autre sous forme de traces, l'acide P-aminobenzoique à raison d'environ   0,05%   en poids, l'urée à raison d'environ 0,5 à   2%   en poids, le jus obtenu par pressurage de plantes à ensiler à raison d'environ à 3% en poids ou des plantas broyées.

   On'peut encore compléter la petit lait et le lait écrémé dans la préparation du milieu ou remplacer une partie de ces deux produits par des résidus de sucrerie ou   d'amidonne-   

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L'addition de quantités apporpiées d'acide p-amino- benzoïque s'est   avérée     particulièrement     avantageuse   cet acide ne fait pas augmenter le nombre des microorganismes, mais il agit sur les bactéries   individuelles   an augmentant leur vigueur, leur taille et leur activité. On ajoute l'acide p-aminobenzoique avantageusement dans des proportions d'environ   0,01   à 0,3% de préférence   environ     0,15%   par rapport au   ,u- ainsi poids du milieu nutritif.

   On produit /des microorganismes   individuels très efficaces qui contribuent essentiellement à la réussite de l'ensilage qu'on effectue dans la pratique souvent dans des conditions défavorables, et en   utilisant   une matière fourragère peu   satisfaisante,   de sorte qu'il est indispensable de disposer de microorganismes particulièrement efficaces. Des essais de laboratoire font apparaître que l'ad- dition des quantités indiquées d'acide   p-aminobenzoique   con- duit   à   des bactéries individuelles très volumineuses et robustes. 



   On met les microorganismes en oeuvre   sous   forme de cul- tures pures liquides sur   agar-agar   (ou lait écrémé), qu'on peut se procurer, par exemple, à la "Bundesversuchsanstalt   fuer     Milchwirtschaft,   Kiel" (Institut de laiterie de 
République Fédérale   à   Kiel). On introduit les cultures   choisies   simultanément en une quantité totale de   2 à   2,5% en volume par rapport au volume du milieu. 



   Au cours de la fermentation, on dose de temps   à   autre le pH et, lorsque sa valeur devient inférieure à 5, on l'a- juste à nouveau à une valeur comprise entre 5 et 6 par addi- tion d'une petite quantité de poudre de craie ou d' hydroxyde ou de carbonate de calcium. 



   Il va de soi que la durée de la fermentation est fonction 

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 EMI11.1 
 de la nature des mioroorganismes e Sa la composition du 
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 milieu utilisées, ainsi que de la température atteinte par 
 EMI11.3 
 la fermentation. En général, on peut arr6ter la 'racta tion au bout de 24 houres.

   Dans des conditions particulièrement favorables, on obtient déjà d'exeellents résultats a- 
 EMI11.4 
 près 12 heures de fermentation, tandis que, dans le cas d'un 
 EMI11.5 
 milieu pauvre en matières nutritives, la fermentation 
 EMI11.6 
 demander jusqu'à environ 36 heures,, 
 EMI11.7 
 Par l'essai suivant, on rendre compte de l'allu-, 
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 re du processus effectue l'ensemencement sur le milieu dans un réci- 
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 picm'spproprié à la température d'environ 45 C et l'on 
 EMI11.10 
 constate que la température décroît dans l'espace de 4 heures 
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 jusqu'à 35 C et que la décroissance jusqu'à 20'C demande 
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 à nouveau 4 heures. On place alors le récipient à un endroit 
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 frais ou on attei;z. après un nouveau laps ra temps de 4 à 5 heures, la ---de .1;{ri1ture de 10 0.

   En général, un temps de déi<eloppemcn4. :"[:;1=1'::": G:'i+ ,; 12 ot 36 heures, au cours desquelles la :'f!1Y': ature ddcroft progressivemont, eat 
 EMI11.14 
 suffisant. 
 EMI11.15 
 



  Au lieu de la "croieeanr j spontanée de la température par convection, 'J' ut au-3îii ',til1sl1r des dispositifs de refroidissement chauffa..'; pour oommander les variations de temp61,at,;r., si on lu zaïre. Il est facile de définir les conditions optima P')' "" un programme do température contrôlée, approp :t au si lie- nutritif particulier utilisé, en effectuant un J: ;1 prélii:.1 ('aire.. 



  Quand on r4alsi , le proc, selon l'invention sur une grande échelle , il -t'cet pas 1. Jispensable d'introduire dans les charges successives les re.croor ¯nisQes sous forme de 

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 cultures sixtes pures liquides. On peut, dans ce cas, plutôt ensemencer dana le milieu nutritif   prépara, 2   à 
 EMI12.1 
 fez de son volume du mélange de dêveloppement obtenu dans une opération précédente. Bien   qu'il   soit possible d'ajouter la culture de développement telle quelle au contenu du silo,   il   s'est avéré avantageux de soumettre le produit 
 EMI12.2 
 total obtenu a. la fin du développement, c'eat-a-dire la ao-   lution   de fermentation avec le mycélium, d'abord à un   séchage   ménagé effectué de façon habituelle. 
 EMI12.3 
 



  On peut effectuer ce séohflgo 6 vide à des températures inf6riaure- 1313 -à 4000 ou par pulvérisation, que'. cas on peut appliquer aute3, pondant de courtes , durées, des températures nettement plus élevéas.0nef-'''"" effectuer-le- êcll"en - en -éùpe2rte tais que l'urée, le sucre pour l'alimentation du bétail, les bettoravcs sucrieres finement broyées et séchées et les résidus d'amidonnerie, de sucrerie ou de brasserie. laya poudras néchoR ainsi obtenues se distinguent avantageusement des produits   so@@   sans support par le fait qu'elles se diepersent plus facilement dans 'e fourrage à ensiler que ces 
 EMI12.4 
 ;ernirç3s ,   Comme     matière   première pour l'ensilage, on peut uti- 
 EMI12.5 
 liser pratiqujfMnt tous les produits naturels contenant de l'amidon.

   A titre   d'exemples,   on peut citer le fourrage vert, les betteraves, les fruits de labour, les céréales. En outre, on peut bonifier par ce procédé des matières riches en produits ligneux   cotame   par exemple la paille. 



   Salon   l'invention, 'On   obtient un produit auxiliaire 
 EMI12.6 
 'ÔeÎ"nÎ rÎ/lillll/lire n'importe quelle matière fourragère. Dans le produit auxiliaire 

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 EMI13.1 
 d'ensilage selon l'invention, les rora3. actifs <> à des températures basses, comme pa"eXemple 9tptooecoua lnotts et Streptoocccus cremor1a. ne représentai plue qu'environ 25 à 3d de la culture matière qui acatient, par contro de 70 à 75% de groupes de mioorsaa18' tels que Iactobacillur acidophilus et Lactobacillu8 helvet1cu# qui deviennent pldne"icnt actifs à des températures plus 'levées ceci a pour f'13fhu'2nce quo l'utilisation ultérieure de ce produit darc 1. d'ensilage confère h la foraisctation une sécurité a'oou t qu'elle oonduit k des taux d'aaide lactique' clfl,a;t uequ 1 à 4%, à une èldgradation améliorée de la cellulose -r,:

  te et hune augmentation sensible des 
 EMI13.2 
 . 
 EMI13.3 
 principes nutritifs, comparativamant à l'utilisation de cultures mixtes pr1 selon le procède des températures arscendantoe. Le ') ":,.y1;::>g'3 des germes fait apparaftre un Indice 1e gcrminati 1 '7";S .l''levé. ±0ee1. ou supérieur à 200 millions de germes par ...".... cours des essais, on a pu constater que les Souci,>i: 1,)." '::i ",'OD à dé, vcmpératuxeo élevées se multiplient au95 . ". F ' tecnt bien à des températures inférieures à c01:ç" 2n gonsidére généralemont oomme températures lim.t^ , à la culture préparatoire à des toc2-. pératures inf4""':. :' 1'. -, les groujes en question sont aoclimatés aux temF'::''" ,1\' s n3.i: iG4j'ljlg, ils peuvent donc participer beaucoup PIGS fà à la fermentation, ce qui augmente considérablement "rr- valeur \., -le totale.

   On réalise ainsi une efficacité r.3r"'nablQ que '9 que m1e# l'état de la matière à ensiler et le d :'ç. de tempé ..,"\'ture et quelles que soient los variations, hjelleent n6vitab.ea de cette dernière, 
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 On met en couvre le produis d'ensilage fabriqué selon 
 EMI13.5 
 l'invention dans dea proportions oopriee8 entre 500 à 1000 g 

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 do substance sèche par m3 de charge contenue dans le silo. 



  Des essais avec   un   grand nombre   (-alimente   ensilés fabriqua dans des silos à partir de   fourragea   verte ou de racines et 
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 tu",r"ule9 à l'aida du produit d'ansilago selon l'invention on" mO'1.,ré que les aliments formeatés obtenus sont mieux \ri11 par los animaux que ceux fabriqués selon les prooé- (J.s d'onfiiage connus juequ'à pr8ent. En utilisant le produit T'c r d9 :^âa.ge eolon l'invontion. on peut réaliser la fer- - :'a ; r. : un pH compris entra 5 et 5,5, sans qu'il en 'v>a1>- "or> 'F'a.'{'ti ot'1 de quantités exagéréets d'acide acétique -" ',0,  ¯ r'? dé précieuses Substances nutritives.

   Des varia-   @@@@     considérables   do température dans le   silo   restent sans 
 EMI14.2 
 et !1ui:'.ble puisque la production d'acide lactique . lieu é. '"'idporte quelle tompérature possible et ce à d ?o#z5.:-#-ations auxquelles le développement de aicroory,lrrt r.Ào..iJ.lu4 est supprimé. La proportion élevée d'acide lt1(.J."; .':r::et de conserver les aliments fermentas pendant .'- 3nc cxc,ptionnemment longue et sans la moindre perte. 



  -:11 [.tJ rc avantage du procéda selon l'invention oonsiate <?::1 : 3u'o' ne fait appel pour la réalisation qu'à des mi- 1:1,;'):>: -lutritifs d'une composition très simple, et constituée par   des     profits   secondaires non utilisables par ailleurs et 
 EMI14.3 
 par concénuont très peu coûteux. 



  Un avantage supplémentaire consiste en le fait qu'il est techniquement plus facile de réaliser une opémtion à tam-   pérature   décroissante qu'à   température   maintenue uniformément constante ou réglée dans un sens ascendant. Il est de ce fait aussi possible d'appliquer le procédé, le cas échéant, 
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 directement à l'intérieur de l'exploitation agricole elle-même.

   Le produit d'ensilage   se     présente   sous forme d'une substance 

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 facile à répandre et supportant atl tt '\1tobka..ge .. proiongé, ce ""F"1 qui représente un avantage :1.mport$iifpour la. préparation de fourrage farmenté puisqu'on n'8s% "ÉÎÔIR tributaire des produits auxiliaires d'ensilage 'l'í'1it préparés très périssables, surtout à l'occasion de ohàngoth0n%s subite du temps, et qui, utilisée pour la préparation d'aliments fer- 
 EMI15.2 
 mentes, provoquent couvent des tor.entat1one brutales. 



  Un autre avantage très importai C0Mi@ta en le fait qu'aux perfectionnements   susnommée   du fourrage s'ajoute   en-        
 EMI15.3 
 core l'amélioration de la relation nutritive, c'est-à-dire' le déplacement du rapport, protéine/aaddon vers une valeur comprise antre   1/3   et   1/4,5,   la plut favorable pour le rôle de l'alimentation dans la   physiologie.   
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 Normalemont, la relation nutritive d'un aliment seo, par exemple du fourrage vert ou du mais, se situe aux   envi-   rons do 1/10, pour le mats par   exemple.   elle est en moyenne de 1/11.

   Un tel fourrage contient   en .outre   environ 6% de 
 EMI15.5 
 matière cellulosique brute, c'eet-A-dire de la matière hydro-   carbonnée   non utilisable. On a   découvert     qu'il   est possible d'augmenter la teneur des alimenta en   protéine   et de diminuer 
 EMI15.6 
 simultan40ent la #?>:>ur on ::1S.tire o11ulo8iqu8 brute, c1est- à-dire de bonifier las alifnente du Point de vue phyaiologiqua. 



  L'utilisation f titro oxi.ritaontal du produît d'ensilaga selon l'invention a ainsi permis d'atUMt4nter la Éqneur en protéine d'environ 2'% et d'a'b.'ts8131"'1a tenu= en aatieree cellulosiques brutcr d'environ 1%. Une modlfio&Mon aussi considérable a évj dl '1mcnt une 3mportaùce éoànoni4ue très intéressante. 
 EMI15.7 
 Il est néanmoins beaucoup plus difficile dlîuterpréter les résultats obtenus par   l'analyse.   Il en   résulta,   en effet, 

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 que l'attaque et la   transformation,   en produite utilisables ! 
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 de la cellulose brute a progressé à'envirnn 31$, mais fIn s'explique difficilement l' 8.Ugt!1 nte.tion de la tanour en pro- téine.

   On peut toujours admettre, sans toutefois sa limiter à une telle hypothèse, que la réaction met en liberté une partie de la protéine qui était   peut   être emprisonnée dans la cellulose. Mais la quantité de protéine mise ainsi en liberté no 3uffirait pas pour justifier l'augmentation en 
 EMI16.2 
 protéine d', nviron 21Ye. On est donc aaend à supposer qu'au cour-- ds ensilage par fermentation, certaines sources d'azotc se 3'2'inont avec la catière ligneuse attaquée pour for- mer, à   l'aide   de ferments, cette   quantité   importante de profana.

   Quoiqu'il on soit, il est certain qu'on a pu obtenir un aliment pour animaux de très grande valeur, c'est-à-dire un aliment ayant une teneur en protéine plus élevée et, par 
 EMI16.3 
 conc6qu,-n4u-, une relation protéine/aaidon plus avantageuse, ai nui qu'une teneur en cellulose brute plus faible. 



  Los rendenents anélioréa obtenus par le nourrissage dos ''s";uux ivoc ces produits d'onsilaee peuvent constituer une prouve pour la digestibilité améliorée de leurs substances 
 EMI16.4 
 aliaontains totales, D'autns a recherehea sur le procédé faisant l'objet de la présente invention ont montré qu'on peut obtenir dos teneurs en   protéine   encore plus élevées en ajoutant au produit d'en- 
 EMI16.5 
 silage cios substances porteuses d'atote biolqequement utili- sable qui subissent, sous   l'influence   des groupes ou des combinaisons de bactéries contenus dans le produit d'ensilage, 
 EMI16.6 
 une tran3formntion en protéine d'une grande valeur biologique, Comme source d'azote utilisable, on peut mettre en oeuvre dos   composés   d'ammonium tels que le nitrate, le sulfate,

   le 

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 citrate d'ammonium et autres, ainsi   que   l'urée ou des produits naturel$ contenant de l'azote utilisable. Ainsi, on a obtenu avec une certaine espèce de betteraves un gain supplémentaire do protéine de 1,65% par rapport à la substance non séchée, 
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 ce qui a amené la rmlation protéine/amidon à une valeur de 1/4. 



   On traite une   atiéro   riche en cellulose, par   exemple   la paille ayant une relation protéine/amidon d'environ   1/15,   
 EMI17.2 
 hachée menue et '1:\ .pmséa dans des silos ou dans des récipionts appropria, en la faisant fomenter après avoir ajouta le produit d'ensilée selnn Ilinventinn, ainsi quo les com- posas contenant l'azote utilisable dissous dans la quantité d'eau suffisante pour produire le degré d'humidité   nécessaire.   



  Il se forme un produit d'une excellente qualité dont la relation protéine/amidon varie antre environ   1/4   et 5. La quantité appropriée d'azote d'addition est   oomprise   entra 
 EMI17.3 
 0,2 et 0,5%, de trée6rence on utilise environ z, calculée en azote éléflé;i'i.3' .

   On peut utiliser le produit en tant   qu'aliment   peur le bétail,   p@@duit   d'addition aux alimente pour le bétail   ou,  cas échéant, engrais organique, 
 EMI17.4 
 On peut réa11pc également une bonification très oonsidérable dani le cr - f1"8 céréal.eo, par exemple le froment, le seigle, le riz ou ?r C :'Ia1s, dont la relation protéine/amidon est en gênerai d'3r' ron 1/7. r '1 broie la céréale mure grossièrement, on il ute le prejuit dtenoilage selon l'invention dans une> lité d'es suffisante pour la réalisation aisée de la ferrr:1Jr'" .on, ct laisse e'aoctcg3.r l'ensilage par fernlentat<on.

   T: "¯uantj té :"azote apportéa la plus avorable, exprimée on .. ' .,te éH""'iC:! .aire, ae situe entre 0,5 et 1,5%, de préférence, entre ,8 ut 1 ,, On obtient un produit ayant une relation proté1na/midon d'environ t , 3 r , 

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 1/4, correspondant   pratiquement     aux conditions     physiologiques   
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 :,da2ea de 1*alimentation, On Peut du-nner à manger aux a.ni- m4:ax le produit directement toi qu4'ou on peut le sécher et broyer. Dans ce dernier cas, on obtient un aliment ayant la t rtior, protéine/amidon idéale qui tonvlent aussi pour l'homme. 



   11 est noter que ce   déplacement   de la relation protéine/ 
 EMI18.2 
 a''3cn est dil à la production supplémentaire de protéine au cou-" de l'ensilage, provoquée par le produit d'ensilage 3Gl'! l' i n,.enti ti . Il s'agit donc de protéine d'un prix de fabrication très faible et présentant encmre l'avantage dlgtre cntirc'sent physiologiquactont utilisable. les exemples suivante expliqueront l'invention sans 
 EMI18.3 
 t0'a3f'oiS la limiter : ' ':'vnpin j ,.. 



  On prépare le milieu suivant 90 litres de petit lait ayant une teneur en sucre comprise 
 EMI18.4 
 c'itro 4,5 et 105 on poids. 
 EMI18.5 
 
<tb> 
<tb> induits <SEP> d'addition <SEP> : <SEP> 
<tb> Chlorure <SEP> de <SEP> manganèse <SEP> 100 <SEP> g
<tb> phosphate <SEP> de <SEP> sodium <SEP> 100 <SEP> g
<tb> 
 
 EMI18.6 
 rognures de fromage séchêes 200 g acide folique 1 g acide 'isntothënique 1 g acide-n-aminobenzolque, environ 50 g. A 10 litres de lait écrémé   contenant   les quantités cor- 
 EMI18.7 
 respondantes dos produits d'addition 8UanOm$, on ajoute jusqu'à 500 -il d'une culture mixte liquide des m1croorganisnos suivants sur agar-agar - Streptococcun oromoria, Streptococcus lactis, Laotobacillua helvetiou#. attobacillus 

 <Desc/Clms Page number 19> 

 
 EMI19.1 
 acidophil1s.

   La cultère-mère a été ensemencée à 45 C, au bout de 4 heures la température était descendue à 35 0 et, au bout d'un autre laps de temps de 4 heures, à 20 C on l'a disposée alors à un endroit frais où la température s'est abaissée au cours des 4 heures suivantes jusqu'à environ 10 C. 



   On ajoute ce mélange au bouillon de culture précité où la croissance continue dans les mêmes conditions de température et de temps. Une teneur en sucre plus élevée du petit lait 
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 allant par exemple j'aequ'à environ 12 à 115% exige l'addition de quantités proportionnellement plus grandes du premier      bouillon de développement allant jusqu' 50% par rapport au petit   lait.   



   Pendant toute la durée da croissance, on dose de temps à autre le pH. Chaque fois qu'on trouve une valeur inférieure à 5, on ramène le milieu à un pH de   5 à 6   par addition de 
 EMI19.3 
 carbonate ou de phoaprmte de calcium sous torse d'une sue- pension aqueuse. 
 EMI19.4 
 



  On sèche ensuite la mneee totale sous vide à une teukpérature de 37 à 3860. 



  Si l'on désire ' effectuer 1.,,0'..3 nouvelle fermentation à la suite de l t opértlt r'l": ,i-dcssue. ô1n prélevé dans le premier bouillon de déve ori;s, wa les entités appropriées qu' on en- semence dans une   no@     @lle     Tort:  de 10 litres de lait écrémé. 
 EMI19.5 
 



  Un essai d'enei' .3 de maïs ',yant une relation protéine/ amidon d'environ 1/1" effoct'. , l'aide du produit d' onsilage décrit ci-do5: donne 1- résultats représentés dans le tableau I ci-àcv, a. 



  L'essai G ost n>;tué 3o ' ;;,on habituelle après addi- tion de 1% de sucre brut en tant   q@   'aliment supplémentaire 
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 pour les bactéries, l'essai K est effectua h l'aide du produit 

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 sec d'ensilage selon l'invention, mais sans addition de sucre, et l'essai L est effectué également à l'aide du produit   d' en-   silage selon l'invention additionné de 0,6% d'urée. 



   Tableau 1 
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<tb> 
<tb> Analysa <SEP> d3 <SEP> la <SEP> substance <SEP> Analyse <SEP> du <SEP> fourrage <SEP> non
<tb> sèche <SEP> (% <SEP> en <SEP> poids) <SEP> séché <SEP> (% <SEP> en <SEP> poids)
<tb> essais <SEP> G+sucre <SEP> K <SEP> sans <SEP> su- <SEP> gain
<tb> ore <SEP> + <SEP> pro- <SEP> oU <SEP> G <SEP> K <SEP> L
<tb> duit <SEP> d'en- <SEP> perte
<tb> silage
<tb> 
<tb> Protéine <SEP> 'brute <SEP> 7,37 <SEP> 9,20 <SEP> + <SEP> 20,8% <SEP> 1,45 <SEP> 1,64 <SEP> 3,29
<tb> Cellulose <SEP> 30,77 <SEP> 21,28- <SEP> 30,9% <SEP> 6,03 <SEP> 3,80 <SEP> 3,80
<tb> Matière <SEP> sèche <SEP> 19,61 <SEP> 17,87 <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> Relation <SEP> protéine/amidon <SEP> 1:9 <SEP> 1:7 <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> 1:

  4
<tb> 
 Exemple 2.-     
L'essai suivant, effectué avec des feuilles gelées de betteraves fourragères, sert à démontrer que le produit uxi- laire d'ensilage doit être capable d'agir déjà à des tem- pératures relativement basses, par exemple à 4 C, Au contenu du silo de fermentation, on ajoute le produit d'ensilage colon l'invention à raison de 500 g/m3. La température, cons- tamment contrôlée, atteint dans le silo au bout de 3 semaines, 4 C et 30 jours plus tard, la valeur   de 1300   seulement. 



  Mêmes à ces   températures   très défavorables, il est possible d'obtenir à l'aide du produit d'ensilage un fourrage fer-   menté   d'une excellente qualité comme il ressort de l'analyse suivante : 

 <Desc/Clms Page number 21> 

 
 EMI21.1 
 
<tb> 
<tb> Perte <SEP> au <SEP> séohage <SEP> à <SEP> 105 C <SEP> 75,1%
<tb> cendres <SEP> 6.1%
<tb> cellulose <SEP> brute <SEP> 2,6%
<tb> matière <SEP> grasse <SEP> 0,8%
<tb> protéine <SEP> 4,3%
<tb> il <SEP> en <SEP> résulte <SEP> par <SEP> différence <SEP> la
<tb> teneur <SEP> en <SEP> hydrates <SEP> do <SEP> carbone <SEP> 11,1%
<tb> 
 Exemple 3.- 
 EMI21.2 
 L'effet ':l'.1Y2.rït s-icntrc l'influence de l'addition au produit d'.¯a3f:

   s<lon '..W ntpor.t3.on, d'une certaine quanta d'azote 'bi)l:)Giq;c"'!;:!1t utilisable à partir duquel les f;roav de bactérie< orv:< ve 1na le produit d'ensilage synthétisent la pritôine ,:1c !p;t'nc ,ralcu!' nutritive. Cornue source d'azote ..iç'c w ' or m9 . oeuvre dos composée d 'C,C1"'10-:1iI;::l tele qua du :2:.r Îe . ::'..1 sulfa-tc, du chlorure d' ammoniul'1 et autres, ainsi- ?u' 1'<=-le ou des produits naturels contenant de .7.'h c, û(7 e' : Ji:i2o.1. 



  A deux lc;< rt "0 'r r,-.^t.r de betteraves deCïtj. 3uC:."iTv'w qui résultent ±"in :^c¯: .. , . '2e betteraves aucrieres avec '.'oc 'betteraves :!'('11'''!'C'. ., on v y ;3, outre le produit d 1 cnF!ilac selon ,'ir>Ten :Y=. ¯   a¯! pir. Gj6 de son et d'autre part. 3,6,T, d'urée. 



  On obtient ?.,fl- ";5J':-I;;';:1 .l,,,s,nts : 
 EMI21.3 
 
<tb> 
<tb> @ <SEP> teraves <SEP> + <SEP> produit <SEP> d'ensilage
<tb> 6% <SEP> de <SEP> son <SEP> + <SEP> 6% <SEP> de <SEP> son
<tb> 
 
 EMI21.4 
 ..¯... + 0. 69 d'urée Teneur en protÓiH.) '%) 
 EMI21.5 
 
<tb> 
<tb> provenant <SEP> do
<tb> 
 
 EMI21.6 
 a betteraves 0,8 0,8 
 EMI21.7 
 
<tb> 
<tb> b <SEP> son <SEP> 0,6 <SEP> 0,6
<tb> curée <SEP> - <SEP> 2,6
<tb> Total <SEP> ; <SEP> 1,4 <SEP> 4,0
<tb> 
 
 EMI21.8 
 relation protéinD/IlC'.idon 1,4/12 4/!. 



  8,8.1967 - st. 
 EMI21.9 
 
<tb> 
<tb> 0832-67
<tb> 
 

 <Desc/Clms Page number 22> 

 
 EMI22.1 
 La teneur en protéine augmente donc vt à-vidnt approcirat:v.c:t tripla. L'aliment sont bon, ra un goût agréable 
 EMI22.2 
 et est volontiers accepté par las animaux. La valeur alimon- 
 EMI22.3 
 tir'j a subi unu augmentation très sensible, puisquo la rel+;i-:-!': r^ain.n4/t:idon .:;:st de ' 1/3,5, alors quo celle de l'o- 11."i.'nt o!;f;:'1.,i est d'environ "/9, 1,' ;3.:.n de protéine: c0!':'ospondant à 2,6% ne peut pas ;':'''''1::''';' :':1:.qUC"''.'':1t 1e 'a::;ot3 apporte par l'urée; celui-ci .,.. " :tT:..t:s'4i1% ;an i: .. d'environ 1 t à 1,95. Il w ..; -:.w^¯ rc une Jyntii";5e 6upplé,'.:nta1re de protéine. 



  -':1 < crt c.3 cet essai c'a'il est possjblc d'augmenter ¯:. - """.'" v^ ,Jrat41n> d'JS betteraves en question qui est 5'i.".-=. #i et fic 1'a=en*z. d- 0,8 h . correspondant ...-.- 1' d'amidon, jUSqt1'8, un ordre de grandeur de : ^.^wspûnâtn uno teneur fn amidon d'environ 4%. 



  ":.,:..:-l. l.-."'" ':'.':; v,.iN. du é;¯:).716Ç! 0(;l;.?:1U selon l'exeaple 1, on ''.:'.'..'.;' '.":'':  ;'am,;'#j;t4 .,..,"J.a,r,.: d'urée pour forme:' un mélange <'. . ¯.  .. w.:a:¯ qa'cn 38Ch'::, par pulvérisation.. 



   ¯,:: :.. ainsi obtem.. Co un excellent effet dans le -:'.:- ':'2 ..">n>:±,lage <1- plantes iont la relation protéine/amidon s, 'l""" ':::..:..,z'lr très large . f:x:1t)lc On ot on silo, conformément au procédé de l'invention, iL:3 betteraves demi-sucrieros ayant une relation protéine/ anjdon c il14 additionnées d'uré.

   A l'analyse, le produit 
 EMI22.4 
 obtenu présenta les valeurs suivantes 

 <Desc/Clms Page number 23> 

 
 EMI23.1 
 
<tb> 
<tb> Produit <SEP> Réduit
<tb> séché <SEP> initial
<tb> (%) <SEP> initiai
<tb> Protéine <SEP> brute <SEP> 18,03 <SEP> 3,54
<tb> Matière <SEP> grasse <SEP> 3,62 <SEP> 0,71
<tb> Extractifs <SEP> non <SEP> azotés <SEP> 44,04 <SEP> 8,63
<tb> Cellulose <SEP> bruts <SEP> 10,17 <SEP> 2,00
<tb> Eau <SEP> - <SEP> 80,38
<tb> 
<tb> Cendres <SEP> 24,t4 <SEP> 4,74
<tb> Sel
<tb> 
 
 EMI23.2 
 Protéino brute Ï Ï b'- 16,45 3,23 Protéine pure 4,00 0,78 Protéine pure Lige"--';:.. blé 2,43 0,48 
 EMI23.3 
 
<tb> 
<tb> Matière <SEP> sèche <SEP> 19,62
<tb> 
 
 EMI23.4 
 Lo doeage 4±5 -:c::, donne le résultat suivant ;

   
 EMI23.5 
 Tcnaur relative Pointe selon 
 EMI23.6 
 
<tb> 
<tb> (%) <SEP> (%) <SEP> Flieg
<tb> Acide <SEP> lactique <SEP> 3,46 <SEP> 77,59 <SEP> 30
<tb> Acide <SEP> acétique <SEP> ' <SEP> oo <SEP> 22,42 <SEP> 16
<tb> 
 
 EMI23.7 
 Acide butyr:i.qo C,00 0,00 50 4,45 100,00 96 pH : 3,9. Apx':^.. , selon FliJg ntrès bon". 



  Il s'agit '::1'1' -""fl "1r('ldt!->; d'une excellente qualité.

Claims (1)

  1. R E V E N D I 0 A T 1 0 N S 1.- Procédé pour fabriquer un produit auxiliaire d'ensilage consistant à cultiver sur un milieu nutritif des microorganismes formateurs d'acide lactique et de nieine, et, le cas échéant, à sécher la culture obtenue caractérisé en ce qu'on ensemence dans le milieu de culture au moins 3 microorga'- nismes générateurs d'acide lactique et de nisine aptes à prodrire avec un bon rendement l'acide lactique dans des intervalles de température différents, mais se chevauchant les une les utres et compris entre A) 5 et 25 C, B) 20 et 40 C et c)
    @@ et 50 C et au-delà, et que l'on opère la multiplication copjointement dans un seul récipient ("procédé à récipient @@@@ à un pH compris entre 5 et 6 et à des températures décroissant progressivement à partir d'environ 45 à environ 15 C.
    2.- Procédé suivant la revendication 1, caracté- rise en ce qu'on utilise au moins quatre microorganismes générateurs d'acide lactique et de nisine.
    3.- Procédé suivant l'une ou l'autre des revendications 1 et 2, caractérisé en ce qu'on ensemence des quantités approxi-@@tivement égales de Streptococcus lactis, de Streptococcus cremorie, de Lactobacillus acidophilus et de Lactobacillus helveticum.
    4.- Procédé suivant l'une ou l'autre des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que les microorganismes utilisés comprennent du Lactobacillus plantarum.
    5.- Procédé suivant l'une ou l'autre des revendica- tiens 1 à 4, caractérisé en ce que la température décroît au cours du développement de la culture dans l'espace de 12 à 36 heures. <Desc/Clms Page number 25>
    6.- Procédé suivant l'une ou l'antre des revendiez- tions 1 à 5, caractériel en ce que la température décroît durant les premières 4 heures de 45 à 30 C, durant les quatre heures suivantes de 30 à 20 C et durant les quatre heures suivantes de 20 à 15 C.
    7.- Procédé suivant l'une ou l'autre des revendi- cations 1 à 6, caractérisé en ce qu'on ajoute au produit auxi- liaire d'ensilage une source d'asote utilisable par les micro- organismes.
    8.- Procédé suivant la revendication 7, caractérisé en ce que la source d'azote utilisable consiste en composés d'ammonium ou en urée.
    9.- Procédé suivant la revendication 7 ou la reven- dication 8, caractérisé en ce que ia quantité du composé d'azote biologiquement utilisable exprimée en azote élémentaire; est comprise entre 0,1 et 0,8% en poids par rapport au poids du fourrage brut.
    10.- Procédé suivant l'une ou l'autre des revendica- composé azoté immédiatement EMI25.1 tiona 7 à 9, caractérisé en ce qu'on effectue l'addition du avant, pendant ou après le séchage du produit auxiliaire d'ensilage. EMI25.2
    11.- Produit auxiliaire d'ensilage comprenant un mélange d'au moir"- trois aicraorgaRismes générateurs d'acide lactique et de résine, @@@@ de l'acide lactique avec un bon rendement dans des interpelles de température différents EMI25.3 mais se chevauchant les uns aux autres et compris entre A) 5 et 25 C, B) 20 et 40 C et c) 35 et 50 C et au-delà, la multiplication étant opérée à un pH compris entre e 6,.et .,: des température décroissant progressivement à partir d'environ 45 à environ 15 C. <Desc/Clms Page number 26>
    12.- Produit auxilliaire d'ensilage selon la revendication 11, caractérisé en ce qu'il comprend au moins quatre microorganismes générateurs d'acide lactique et de nisine.
    13.- Produit auxiliaire d'ensilage selon l'une ou l'autre des revendications 11 et 12, dans lequel des quantités approximativement égales de Streptococcus lactis, de Strepto- coccus cremoris, de Lactobacillus acidophilua et de Lactoba- @llus belveticum sont présentes pour l'ensemencement.
    14.- Produit auxiliaire pour l'ensilage selon l'une ou l'autre des revendications 11 à 13, dans lequel l'un des microorganismes est constitué par du Lactobacillus plantarum.
    15. - Produit auxiliaire pour l'ensilage selon l'une ou l'autre des revendications 11 à 14 caractérisé en ce qu'il comprend une source d'azote utilisable par les microorganismes.
    16.- Produit auxiliaire pour l'ensilage selon la revendication 15, dans lequel la source d'azote utilisable est institué? par des composés d'ammonium ou par de l'urée.
    17.- Produit auxiliaire pour l'ensilage selon l'une ou l'autre des revendications 15 et 16, dans lequel la quantité du composé d'azote biologiquement utilisable,'exprimée Ion azct élémentaire est comprise entre 0,1 et 0,8% en poids par rarport au poids du fourrage brut.
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