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viâ4da.S;J. ' .:i< j l:;;e Ei';' et procéda pour les J.G467L,rt .Z ,t i
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F# ' i ":; 1. i - > 'culture de plusieurs procèdes pour f1.:- j' - ' -" ('1' doe plantes fourragèren frl\ich0 e- .
''un d';1':J' 1 est la fabrication de fourrage eeilé -- .-3''Hf ': le principe consiste à faire fer!!1en;:>.' .P. ''I:'r2f!] à frais, des fruits de labour.. des Cé0;'1!.- - ,<) :.8. 3 dans des réaervoire à fourrage ou oilos t 1 .. d .3. l!.:1.!'" rganismes contenue dans le fourrage. Cette , >ntelf.,7i! :"4sente un certain nombre de diffioul tés 0-';; ..eux '%n- .<3a efforta entrepris dans le passé pour 4, j. r des ¯.'er :nat3.oris parasites et pour amb-
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rer la qualité des aliments fermentée.
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ta. matière végétale à ensiler contient une grande quantité de microorganismes provenant en partie de la terra
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adhérente qui sécrètent,lors de la fermentation,des produits
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.'aaxtâ'aek sans valeur ou même nocifs pour l'alimentation le" F..;. :x.
Parsi eux, on peut citer entre autres des bac- -'#.fr: .:fa ?Jt;,.5f':;,ction qui >sxcrcent à un pH supérieur à en- ..: J.i J . 5, " -, ''A ?rot4c'l:.'tique sur les végétaux, en pro- ' w. , . ,:,,)',)<: r:lCq'3 en partie t07:.y'.aE'B , ainsi que les coli- . i<>. -'.:' 't'W':'.J8li"t :-ar",,:::..::21oment v\.1 tt1talQt:lent aux bacté- , ,. <.¯"?.'J'' de : sî':5i?tlE: :f.'x'Q:9lteCO$! 1 d égrademi 'o-'- ; ;, .y:w^.3 en "'ciâe acétique et produi te gazeux ..=; .z.;. ;:2 :.''':ei une per'-p sensible de précieux principes ':.l ±1.f... ::'1 '6 -i8o.nt le 1,à> à des valeurs inférieures à en- -"''1 ,' . F, 01" E:, '' 1, pQ9s'biÀ;.t4 d'inhiber l'activité des 0011- ... , :-'¯ nr, .,t..y..z'>g.i ',.',$i' nil 1:. ,in milieu acide.
Lep microorga.- - 7 ¯'?1.'7 .a±,si.e c'.,,;:'!:; la préparation d'aliments ferIr ' "'':' " =±3 - :::'.::!..1.1,1Y. :::on:' "ça bactéries responsables de la.
.. :.. ., J1-t;::-:,::.lt').'J. car lee vaches qui absorbent du ? . ' .,: ::""; ';<5 contenant irs produits métaboliques de oes '" < "Î 1 . ' ' n>.r- .'.1.' lait ir1:'':opr!J à le. fabrication de fromages ' . ' ,'Q.z>É.' ,<; à =e<; in :''1wénient en ensemençant sur les ' r.. 'Q'::"Y8.["-:'8S è ^.y81'.4'.'.', des aouches de S'treptococous 1-='"lJ ,-''#'';ri?s de- '1i sin efficaoa contre les bacilles ,i',>" :'Z'c''":':'lU0'î"': :1', fernentation butyrique.
On effectue la I>:'-l0-:1tC:';.(')r.. par cos souches à un pH égal ou inférieur à 4. r.: co-isorvation du fourrage fermenté est d'autant plus
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durable que l'acidité de ce dernier est plus élevée, ce
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qui a 1oité aux essais de réduire le pH des valeurs infé-
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rieures à 4 par addition d'acides minéraux ou organiques ; mais on a constaté que les animaux refusent souvent
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d'accepter la fourrage feraeaté ty%fl% un PX irieur k 5 et i que ces aliments, même dans leu eae .0t ils sont acoeptée volontiers, sont imparfaitement assimilés.
Cette assimilation défectueuse du fourrage fermenté, dont le pH a la valeur faible indiqua, est due au fait que oes valeurs de pH s'écartent trop de celles qui rognent dans la panas des animaux.
La fabrication d'un produit permettant de préparer des
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aliments fermentas pour le bétail a un pli de 5 à 6 correspondant ap:!?rox1':.'\[ivement b. celui dans la panse des animaux, tout en maintenant la concentration de bacilles de putréfaction, de colibacilles et d'autres microorganismes très indu- airables qui vivent et prolifèrent dans un milieu de pH 5 à 6, ainsi que de louré produits métaboliques à un niveau non nuisible, répond donc à un besoin réel,
Il se pose alors le problème d'éviter les effets nuisi-
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bles des mieroorEani.eme-9 indésirables qui accompagnent dans le fourrase 1 ensiler les bactéries formant l'acide lactique et la â.: ,, en créa, pendant toute la durée de la fermentation;
et '.iiépendanm6nt des variations de température inévitables et parteils considérables qui se produisent dans
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le silo, les cxn4: iona favorables pour une production rapide, forte :u11ère d'acide lactique.
La part'cu0.C:x.i.,é de 1+on;iia6e exige d'une façon impérieuse, la >:Es.3> no d'au moins traie groupes de mioroorganisaaes dont 1' ,' '/1 té et lu prolifération optima as anifestent dans de,, tervalle de température différente, r On a déjà utiiis4, ;; cet effet, des cultures de rrdoroorsan1sttLea pures les mieux ada.;,-;;
6es aux Ll!térente intervalles de tem... pérature, mais leur adaptatior1 à de -température* dépassant cet intervalle vers le haut ou le bas, laisse alers à désirer
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et les résultats de l'ensilage na 9 pas 9t.sauta, ' On a également 188a1'4 de d4voopper des mélangea de oultures consistant, par exemple, en te.4+robàoillu8 halveticum. lactobacillus acidophilus et Str&ptOècCU8 'lactis dans les
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condition? habituelles de multiplication à des températures constamment croissantes, par exemple dans l'intervalle de
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;5 1;
environ 5000. ?tain il est alors apparu que les microornice9 ont l'optimum de croissance et de production d'acide
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i.*=iq,a#, rn citue à des températures basses. proliférant d'une fa'c'"' prépondérante aux températures plus élevées, c'est-àdire, en particulier, Streptococcus cremoris et Streptocoocun
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laçais, et que leur proportion dans la culture mixte atteint
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75 t 0,, alors que les mioroorganiaatas ayant une activité odt;.na dans les intervalles de temp4!fature élevée, comme par exemple Lactobacillus helveticum et tactobao111u acidophilus no -epr6aentent que 20 a 25% du mélange total.
Mais c'est rç;n4mont co dernier groupe qui doit alors passer au 8'cr plan. car ses reprêsentantt3 ayant une activité optima à -l<1 toapdraturea élevées produisent les proportions les p'.'3 grandes 4'acide lactique allant jusqu'à 3 ou 4,5%, fnd.a que Streptococcus laetîn et 3trgtscoccus cremoris 1 f 011 produisent en général que des proportions inférieures ou a,,;3 z 0.7%.
D'autre part, au début de la fer#ntation, et ,)lue tard pour des raisons de sécurité dans les cas d'un ensilage à des températures particulièrement basses, la présonco des souches actives à des tempfratures basses, parmi 10BqU-lles par exemple Streptococous oromor1e est déjà actif à des températures de 4 à 5C et 9treptocoocu1!5 latis,prénente déjà une activité considérablo à des températures encore faibles comprises entre 14 et 2200t est indispensable. 14as
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microorganismes actifs à des tampératures basses représentant une proportion importante de la culture mixte 8u8nome, ils garantissent la fomentat1on au début du prooessus d'une
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façon tout à fait satisfaisante, mais une teneur en acide
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lactique d'environ 0,7% une fois atteinte.
leur activité dècroit, ce .as 2U0 de 20nprome%tre la poursuite do la f01:'mentatit;Hl : r,,, , î.;,. .: (1.' uno part, la proportion des micro or.... gam.\3!l\es a=.:;.:,' ..:'3 concentrations d'acide et 11 des tampérnturcs plue 4:cvçJ 9 zu3nent faible et, d'autre part, pa-rce 'lut ils :';,::' ..IJt')C!1'f; '.car pleine activité qu'à dea taropéra'.iurea g:.. ¯t :.ua 11.1)'''Ós, Pourtant, ces microorgo.nixt<3 ant.'â .. ':/ê"rp6r::-;tures 61evéoe ont également indieponse."bl'l6, ';:::.' : (:,)'.:;:-S a o 3 Q;ai.lago de végétaux riches en protéine, la :-.;:,,;;:,c ,1,+;JIint sauvant des températures élevéos qui risquent re - <.;:d x=e à un 'chec. que la présence d'uns quantité nt;::r.$.t-, ces mica-oorganiaies très actifs aux température!? 4-.> '" courrait t j'"i ter.
Se','.on ce qui précôde, la "".:echn1c:.uf;: . ': -::..' :z =r"" Â , ¯ .tue3,ls des cultures l'1ixtee.
L x)$''^-.- L3,.ic :; /i3"lC:L; .A "t7;r.:' de températures basses vers des tc;.jS.¯ . . :..n'{: JI donc pas permis de produire d" et2.ture;" -."".' 8n'":.i.:::.±sr.. un ensilage satisfaisant.
D'une f3';':-; n à i'e..'" 3n-'tendue, on vient maintenant câa découvrir ;::t1' ; -,' .:n :>,= inuit auxiliaire d'ensilage remarqua.blemen'!: 6''ce et sâr, lorsque contrairement aux procédés antéi 8l..1'C, ,:1 ne ult. lie pas des culturee mixte$ dans des conditcs ep;3xw. us ascendaliteq, mais en ensemençant les CL1-,;:"1 ns mixtes . des températures élevéos qu'on laisse décrd ';1 ensuit-? une façon contrôlée ou spontanéo à un niveau plus sa:a ,
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Le procédé selon l'invention pour fabriquer un produit
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aux-14,liaire d'ensilage, eoneietaRt à oultiver dans un milieu de culture dos microorganismes gêndrateure d'acide lactique c? GO 13ine et à sécher, le cas échéant, la culture obtenue, (,;,:"" Cf'."'(;';èi9é an ce qu'on ensemence dans le milieu de ,"" ., oin teraont au moine trois microor,n3sTes généra- .-.
. ,.1.) lactique o t de nisine, capables da produire -Jnd(H1errt l'acide lactique dans dos intervalles " F .--,y différents, mais 8.:' chevaucban4v les uns les #¯ .¯y,n entre A) nrviion 5 01/ r?a4i, B) environ 20 .' .aviron 35 et 1 C ou au-delà, et que l'on ':..p'li('aion -nar -n procédé dit "'à récipient uni- . d "5 à 6 et à des températures décroisant ., . 4 - ...,, t partir d'environ 45 à environ 5 C. Par ;..-'4 ¯.r; pic;. unique". on entend ici la multiplication -s souches utilisées conjointement dans un seul 1' .3 qi oblige las bactéries de tous les groupes tous ies palie1'3 de température pouvant ne pr' .' ;ou.-c de l'on61:e.g$.
- "19, on trouvera 1uolquos produite initiaux ': '.' calques mesures appliquées de façon prdfé- '''" "an le cadre du procédé selon l'invention ' -ï-iDs - Dans ce qui suit, les mioroorganismes sont Fr: ":'.1"", #3 l'ordre des intervalles de température reoonnur cor tr.t les plus favorables #.-r:':scrccua laetis, Streptococcue exeaoxie, Streptococcus sl1c:-aro.' '. -;tis, Betaooccus cremoris (forme A), Betabacterium Caucasie un ;
Le? 3opc:e précitées, qui peuvent 8e multiplier déjà à environ 5C, fournissent déjà à 20 C des concentrations d'acide
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lactique variant entre 0,5 et 1,5%, Leur température normale
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de multiplication est comprise entra "eavir<oia 5 et 25 bzz Streptococcus iiquefaoxone, 1 13acteJri"ium aoot;tlcbolini" 3actenum brassicae, t ifhermobacterium illtesti#l.e If La.cto#... cillus plantarum, 3trèp%obac%erium #.ei t Baoteriam oD'cromer18 fera., Lactobacillus aoidophilue ; 11 intervalle de production
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maxima d'acide lactique se situe Wu* ces &apèce6 entre environ 20 et 40 C, en particulier à environ 30C. La oottoac- tration d'acide lactique qu'on peut obtenir est comprise entre environ 0,7 et 2,4%.
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C) Streptacoccus hermoph11us. Laotobao111us lactie,' Thermobacterium bulgaricum, Lactobacillus helvetionm, Lactobacillus thermophilus, Lactobacillus de'lbr ckî, la température appropriée pour la formation d'acide lactique à l'aida de ces espèces est comprise en général entre 35
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et 5000# de préférence, entre 37 et 45C, et dams.le cas de ietola,cillus thermoph1lus, l'intervalle le plus favorable ss situe aiµB3 entre 50 et 60!. M'arne â des tempéra- tures comprises entre 50 et 62 C, on constate encore une production satisfaisants d'acide lactique. Les concentrations d'acide lactique formé varient entre 0,5 et 4,5%.
Il est es3entiel pour la réussite, que le mélange des
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trois mioroorganisrlee comporte un représentant de chacun des groupes A, B et C précitée. On ensemence pourtant sur le milieu de préférence au moins quatre espèces différentes, choisies parmi les microorganismes susnommés. En tenant
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compte des indications ci-dasses sur les teapâratnras, on effectue ce choix do telle sorte qu'à toutes les températures antre 10 et 62 0 qui peuvent ne prlaonter sa ooure de l'en. silage, on puisse obienir une 'nc.ntration d'acide lactique comprise entre 1 et 3%.
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..;5 -..-..,y- ,..
On prépare les cultures 3,:'zs des ré9iPîntB.. '% ee appropriés on introduisant *Les !KiooT?ga!a9.es &. des temple- ratures comprises entre 45 et 4 qu'on liaiase décroître lentement dans l'espace d'environ }2 heUJ;"5 jusqu'à environ, 10 C. On pout ensuite utiliser le"::D111tures mixtes ainsi! formées pour ensemencer les milieux de développement où la, multiplication continua dans les mêmes oonditions de température
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décroissante et dans des lape de temps approximativemant bidon- tiques, Milieux de culture :
Les besoins en matières nutritives des espèces susnommées sont connus (voir par exemple Alfred Joergensen,
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Mikroorganismen dur GaerungBindUBBi9t 7e édition, 1955, Edition Hans Carl, Nuremberg, Pas** 384-387 et 413-454).
Les microorganismes étant des Atre. vivants,même les plus semblables parmi eux, appartenant au même genre et formant des produits métaboliques identiques, montrent des différences considérables quant à leur aptitude d'assimiler des hydrates de carbone et leurs besoins de facteurs de croissance. On comprend donc aisément qu'il n'est pas possible d'indiquer
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des milieux nutritifs sur lesquels les diff'9tttoe espèces qu'on peut, selon ce qui précède, combiner da multiples façons, puissent produire des quantités maxima d'acide
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lactique.
Pourtant, connaissant le hydrates do carbone (par exemple saccharose, laotose, amidon et dextrina) fermentescibles ou non par les différents mteroorganismen, et, de plus, sachant quel hydrate de carbone cotaient le mieux pour le développement et la production d'acide lactique dans le cas d'un microorganisme particulier, il n'est pas difficile de préparer le milieu nutritif le plue favorable pour la produc-
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tion de concentrations élevées d'acide 3.as-i,,a à l'aide
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d'une combinaison donnée de microorganismes.
Pour un mélange préférentiel consistant en parties approximativoment égales de Steptoooocus laotis, de Streptoooocua cremoris, de Lactobacillus aoidophilus et de Iaotobaoillus helvetioum, des milieux sur la base de pâtit lait et de lait écrémé comprenant certaine produits d'addition sa sont révélés particulièrement avantageux. Le petit lait, produit on grande quantité par les laiteries en tant que produit secondaire, représente une matière première très bon marché. Le fait que le milieu utilisé selon l'invention peut contenir, dans tous les cas, au moins 50% de petit lait représente donc un grand avantage.
Dans le cas du mélange de microorga- nismes sueindiqué, le milieu nutritif peut oontenir jusqu'à 90% de petit lait ajusté à une teneur en lactose de 4 à 6%.
Le reste du milieu consista en lait écrémé. En outre, on peut ajouter du chlorure ou du sulfate de manganèse ou du phosphate de sodium, chacun de ces produits dans lune concentration inférieure ou égale à 1% en poids. M'autres produits d'addition avantageux sont : l'autolysat de levure, la oaséino- peptone (substrat C) selon S. Orla-Jensen, le substrat nu- tritif C + Y selon S. Orla-Jense, des substances organiques contenant des protéines telles que des rognures de fromage (séchées), les acides folique et pantothénique, l'un ou l'autre sous forme de traces, l'acide P-aminobenzoique à raison d'environ 0,05% en poids, l'urée à raison d'environ 0,5 à 2% en poids, le jus obtenu par pressurage de plantes à ensiler à raison d'environ à 3% en poids ou des plantas broyées.
On'peut encore compléter la petit lait et le lait écrémé dans la préparation du milieu ou remplacer une partie de ces deux produits par des résidus de sucrerie ou d'amidonne-
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L'addition de quantités apporpiées d'acide p-amino- benzoïque s'est avérée particulièrement avantageuse cet acide ne fait pas augmenter le nombre des microorganismes, mais il agit sur les bactéries individuelles an augmentant leur vigueur, leur taille et leur activité. On ajoute l'acide p-aminobenzoique avantageusement dans des proportions d'environ 0,01 à 0,3% de préférence environ 0,15% par rapport au ,u- ainsi poids du milieu nutritif.
On produit /des microorganismes individuels très efficaces qui contribuent essentiellement à la réussite de l'ensilage qu'on effectue dans la pratique souvent dans des conditions défavorables, et en utilisant une matière fourragère peu satisfaisante, de sorte qu'il est indispensable de disposer de microorganismes particulièrement efficaces. Des essais de laboratoire font apparaître que l'ad- dition des quantités indiquées d'acide p-aminobenzoique con- duit à des bactéries individuelles très volumineuses et robustes.
On met les microorganismes en oeuvre sous forme de cul- tures pures liquides sur agar-agar (ou lait écrémé), qu'on peut se procurer, par exemple, à la "Bundesversuchsanstalt fuer Milchwirtschaft, Kiel" (Institut de laiterie de
République Fédérale à Kiel). On introduit les cultures choisies simultanément en une quantité totale de 2 à 2,5% en volume par rapport au volume du milieu.
Au cours de la fermentation, on dose de temps à autre le pH et, lorsque sa valeur devient inférieure à 5, on l'a- juste à nouveau à une valeur comprise entre 5 et 6 par addi- tion d'une petite quantité de poudre de craie ou d' hydroxyde ou de carbonate de calcium.
Il va de soi que la durée de la fermentation est fonction
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de la nature des mioroorganismes e Sa la composition du
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milieu utilisées, ainsi que de la température atteinte par
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la fermentation. En général, on peut arr6ter la 'racta tion au bout de 24 houres.
Dans des conditions particulièrement favorables, on obtient déjà d'exeellents résultats a-
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près 12 heures de fermentation, tandis que, dans le cas d'un
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milieu pauvre en matières nutritives, la fermentation
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demander jusqu'à environ 36 heures,,
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Par l'essai suivant, on rendre compte de l'allu-,
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re du processus effectue l'ensemencement sur le milieu dans un réci-
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picm'spproprié à la température d'environ 45 C et l'on
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constate que la température décroît dans l'espace de 4 heures
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jusqu'à 35 C et que la décroissance jusqu'à 20'C demande
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à nouveau 4 heures. On place alors le récipient à un endroit
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frais ou on attei;z. après un nouveau laps ra temps de 4 à 5 heures, la ---de .1;{ri1ture de 10 0.
En général, un temps de déi<eloppemcn4. :"[:;1=1'::": G:'i+ ,; 12 ot 36 heures, au cours desquelles la :'f!1Y': ature ddcroft progressivemont, eat
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suffisant.
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Au lieu de la "croieeanr j spontanée de la température par convection, 'J' ut au-3îii ',til1sl1r des dispositifs de refroidissement chauffa..'; pour oommander les variations de temp61,at,;r., si on lu zaïre. Il est facile de définir les conditions optima P')' "" un programme do température contrôlée, approp :t au si lie- nutritif particulier utilisé, en effectuant un J: ;1 prélii:.1 ('aire..
Quand on r4alsi , le proc, selon l'invention sur une grande échelle , il -t'cet pas 1. Jispensable d'introduire dans les charges successives les re.croor ¯nisQes sous forme de
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cultures sixtes pures liquides. On peut, dans ce cas, plutôt ensemencer dana le milieu nutritif prépara, 2 à
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fez de son volume du mélange de dêveloppement obtenu dans une opération précédente. Bien qu'il soit possible d'ajouter la culture de développement telle quelle au contenu du silo, il s'est avéré avantageux de soumettre le produit
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total obtenu a. la fin du développement, c'eat-a-dire la ao- lution de fermentation avec le mycélium, d'abord à un séchage ménagé effectué de façon habituelle.
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On peut effectuer ce séohflgo 6 vide à des températures inf6riaure- 1313 -à 4000 ou par pulvérisation, que'. cas on peut appliquer aute3, pondant de courtes , durées, des températures nettement plus élevéas.0nef-'''"" effectuer-le- êcll"en - en -éùpe2rte tais que l'urée, le sucre pour l'alimentation du bétail, les bettoravcs sucrieres finement broyées et séchées et les résidus d'amidonnerie, de sucrerie ou de brasserie. laya poudras néchoR ainsi obtenues se distinguent avantageusement des produits so@@ sans support par le fait qu'elles se diepersent plus facilement dans 'e fourrage à ensiler que ces
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;ernirç3s , Comme matière première pour l'ensilage, on peut uti-
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liser pratiqujfMnt tous les produits naturels contenant de l'amidon.
A titre d'exemples, on peut citer le fourrage vert, les betteraves, les fruits de labour, les céréales. En outre, on peut bonifier par ce procédé des matières riches en produits ligneux cotame par exemple la paille.
Salon l'invention, 'On obtient un produit auxiliaire
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'ÔeÎ"nÎ rÎ/lillll/lire n'importe quelle matière fourragère. Dans le produit auxiliaire
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d'ensilage selon l'invention, les rora3. actifs <> à des températures basses, comme pa"eXemple 9tptooecoua lnotts et Streptoocccus cremor1a. ne représentai plue qu'environ 25 à 3d de la culture matière qui acatient, par contro de 70 à 75% de groupes de mioorsaa18' tels que Iactobacillur acidophilus et Lactobacillu8 helvet1cu# qui deviennent pldne"icnt actifs à des températures plus 'levées ceci a pour f'13fhu'2nce quo l'utilisation ultérieure de ce produit darc 1. d'ensilage confère h la foraisctation une sécurité a'oou t qu'elle oonduit k des taux d'aaide lactique' clfl,a;t uequ 1 à 4%, à une èldgradation améliorée de la cellulose -r,:
te et hune augmentation sensible des
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.
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principes nutritifs, comparativamant à l'utilisation de cultures mixtes pr1 selon le procède des températures arscendantoe. Le ') ":,.y1;::>g'3 des germes fait apparaftre un Indice 1e gcrminati 1 '7";S .l''levé. ±0ee1. ou supérieur à 200 millions de germes par ...".... cours des essais, on a pu constater que les Souci,>i: 1,)." '::i ",'OD à dé, vcmpératuxeo élevées se multiplient au95 . ". F ' tecnt bien à des températures inférieures à c01:ç" 2n gonsidére généralemont oomme températures lim.t^ , à la culture préparatoire à des toc2-. pératures inf4""':. :' 1'. -, les groujes en question sont aoclimatés aux temF'::''" ,1\' s n3.i: iG4j'ljlg, ils peuvent donc participer beaucoup PIGS fà à la fermentation, ce qui augmente considérablement "rr- valeur \., -le totale.
On réalise ainsi une efficacité r.3r"'nablQ que '9 que m1e# l'état de la matière à ensiler et le d :'ç. de tempé ..,"\'ture et quelles que soient los variations, hjelleent n6vitab.ea de cette dernière,
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On met en couvre le produis d'ensilage fabriqué selon
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l'invention dans dea proportions oopriee8 entre 500 à 1000 g
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do substance sèche par m3 de charge contenue dans le silo.
Des essais avec un grand nombre (-alimente ensilés fabriqua dans des silos à partir de fourragea verte ou de racines et
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tu",r"ule9 à l'aida du produit d'ansilago selon l'invention on" mO'1.,ré que les aliments formeatés obtenus sont mieux \ri11 par los animaux que ceux fabriqués selon les prooé- (J.s d'onfiiage connus juequ'à pr8ent. En utilisant le produit T'c r d9 :^âa.ge eolon l'invontion. on peut réaliser la fer- - :'a ; r. : un pH compris entra 5 et 5,5, sans qu'il en 'v>a1>- "or> 'F'a.'{'ti ot'1 de quantités exagéréets d'acide acétique -" ',0, ¯ r'? dé précieuses Substances nutritives.
Des varia- @@@@ considérables do température dans le silo restent sans
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et !1ui:'.ble puisque la production d'acide lactique . lieu é. '"'idporte quelle tompérature possible et ce à d ?o#z5.:-#-ations auxquelles le développement de aicroory,lrrt r.Ào..iJ.lu4 est supprimé. La proportion élevée d'acide lt1(.J."; .':r::et de conserver les aliments fermentas pendant .'- 3nc cxc,ptionnemment longue et sans la moindre perte.
-:11 [.tJ rc avantage du procéda selon l'invention oonsiate <?::1 : 3u'o' ne fait appel pour la réalisation qu'à des mi- 1:1,;'):>: -lutritifs d'une composition très simple, et constituée par des profits secondaires non utilisables par ailleurs et
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par concénuont très peu coûteux.
Un avantage supplémentaire consiste en le fait qu'il est techniquement plus facile de réaliser une opémtion à tam- pérature décroissante qu'à température maintenue uniformément constante ou réglée dans un sens ascendant. Il est de ce fait aussi possible d'appliquer le procédé, le cas échéant,
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directement à l'intérieur de l'exploitation agricole elle-même.
Le produit d'ensilage se présente sous forme d'une substance
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facile à répandre et supportant atl tt '\1tobka..ge .. proiongé, ce ""F"1 qui représente un avantage :1.mport$iifpour la. préparation de fourrage farmenté puisqu'on n'8s% "ÉÎÔIR tributaire des produits auxiliaires d'ensilage 'l'í'1it préparés très périssables, surtout à l'occasion de ohàngoth0n%s subite du temps, et qui, utilisée pour la préparation d'aliments fer-
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mentes, provoquent couvent des tor.entat1one brutales.
Un autre avantage très importai C0Mi@ta en le fait qu'aux perfectionnements susnommée du fourrage s'ajoute en-
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core l'amélioration de la relation nutritive, c'est-à-dire' le déplacement du rapport, protéine/aaddon vers une valeur comprise antre 1/3 et 1/4,5, la plut favorable pour le rôle de l'alimentation dans la physiologie.
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Normalemont, la relation nutritive d'un aliment seo, par exemple du fourrage vert ou du mais, se situe aux envi- rons do 1/10, pour le mats par exemple. elle est en moyenne de 1/11.
Un tel fourrage contient en .outre environ 6% de
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matière cellulosique brute, c'eet-A-dire de la matière hydro- carbonnée non utilisable. On a découvert qu'il est possible d'augmenter la teneur des alimenta en protéine et de diminuer
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simultan40ent la #?>:>ur on ::1S.tire o11ulo8iqu8 brute, c1est- à-dire de bonifier las alifnente du Point de vue phyaiologiqua.
L'utilisation f titro oxi.ritaontal du produît d'ensilaga selon l'invention a ainsi permis d'atUMt4nter la Éqneur en protéine d'environ 2'% et d'a'b.'ts8131"'1a tenu= en aatieree cellulosiques brutcr d'environ 1%. Une modlfio&Mon aussi considérable a évj dl '1mcnt une 3mportaùce éoànoni4ue très intéressante.
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Il est néanmoins beaucoup plus difficile dlîuterpréter les résultats obtenus par l'analyse. Il en résulta, en effet,
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que l'attaque et la transformation, en produite utilisables !
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de la cellulose brute a progressé à'envirnn 31$, mais fIn s'explique difficilement l' 8.Ugt!1 nte.tion de la tanour en pro- téine.
On peut toujours admettre, sans toutefois sa limiter à une telle hypothèse, que la réaction met en liberté une partie de la protéine qui était peut être emprisonnée dans la cellulose. Mais la quantité de protéine mise ainsi en liberté no 3uffirait pas pour justifier l'augmentation en
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protéine d', nviron 21Ye. On est donc aaend à supposer qu'au cour-- ds ensilage par fermentation, certaines sources d'azotc se 3'2'inont avec la catière ligneuse attaquée pour for- mer, à l'aide de ferments, cette quantité importante de profana.
Quoiqu'il on soit, il est certain qu'on a pu obtenir un aliment pour animaux de très grande valeur, c'est-à-dire un aliment ayant une teneur en protéine plus élevée et, par
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conc6qu,-n4u-, une relation protéine/aaidon plus avantageuse, ai nui qu'une teneur en cellulose brute plus faible.
Los rendenents anélioréa obtenus par le nourrissage dos ''s";uux ivoc ces produits d'onsilaee peuvent constituer une prouve pour la digestibilité améliorée de leurs substances
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aliaontains totales, D'autns a recherehea sur le procédé faisant l'objet de la présente invention ont montré qu'on peut obtenir dos teneurs en protéine encore plus élevées en ajoutant au produit d'en-
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silage cios substances porteuses d'atote biolqequement utili- sable qui subissent, sous l'influence des groupes ou des combinaisons de bactéries contenus dans le produit d'ensilage,
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une tran3formntion en protéine d'une grande valeur biologique, Comme source d'azote utilisable, on peut mettre en oeuvre dos composés d'ammonium tels que le nitrate, le sulfate,
le
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citrate d'ammonium et autres, ainsi que l'urée ou des produits naturel$ contenant de l'azote utilisable. Ainsi, on a obtenu avec une certaine espèce de betteraves un gain supplémentaire do protéine de 1,65% par rapport à la substance non séchée,
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ce qui a amené la rmlation protéine/amidon à une valeur de 1/4.
On traite une atiéro riche en cellulose, par exemple la paille ayant une relation protéine/amidon d'environ 1/15,
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hachée menue et '1:\ .pmséa dans des silos ou dans des récipionts appropria, en la faisant fomenter après avoir ajouta le produit d'ensilée selnn Ilinventinn, ainsi quo les com- posas contenant l'azote utilisable dissous dans la quantité d'eau suffisante pour produire le degré d'humidité nécessaire.
Il se forme un produit d'une excellente qualité dont la relation protéine/amidon varie antre environ 1/4 et 5. La quantité appropriée d'azote d'addition est oomprise entra
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0,2 et 0,5%, de trée6rence on utilise environ z, calculée en azote éléflé;i'i.3' .
On peut utiliser le produit en tant qu'aliment peur le bétail, p@@duit d'addition aux alimente pour le bétail ou, cas échéant, engrais organique,
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On peut réa11pc également une bonification très oonsidérable dani le cr - f1"8 céréal.eo, par exemple le froment, le seigle, le riz ou ?r C :'Ia1s, dont la relation protéine/amidon est en gênerai d'3r' ron 1/7. r '1 broie la céréale mure grossièrement, on il ute le prejuit dtenoilage selon l'invention dans une> lité d'es suffisante pour la réalisation aisée de la ferrr:1Jr'" .on, ct laisse e'aoctcg3.r l'ensilage par fernlentat<on.
T: "¯uantj té :"azote apportéa la plus avorable, exprimée on .. ' .,te éH""'iC:! .aire, ae situe entre 0,5 et 1,5%, de préférence, entre ,8 ut 1 ,, On obtient un produit ayant une relation proté1na/midon d'environ t , 3 r ,
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1/4, correspondant pratiquement aux conditions physiologiques
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:,da2ea de 1*alimentation, On Peut du-nner à manger aux a.ni- m4:ax le produit directement toi qu4'ou on peut le sécher et broyer. Dans ce dernier cas, on obtient un aliment ayant la t rtior, protéine/amidon idéale qui tonvlent aussi pour l'homme.
11 est noter que ce déplacement de la relation protéine/
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a''3cn est dil à la production supplémentaire de protéine au cou-" de l'ensilage, provoquée par le produit d'ensilage 3Gl'! l' i n,.enti ti . Il s'agit donc de protéine d'un prix de fabrication très faible et présentant encmre l'avantage dlgtre cntirc'sent physiologiquactont utilisable. les exemples suivante expliqueront l'invention sans
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t0'a3f'oiS la limiter : ' ':'vnpin j ,..
On prépare le milieu suivant 90 litres de petit lait ayant une teneur en sucre comprise
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c'itro 4,5 et 105 on poids.
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<tb>
<tb> induits <SEP> d'addition <SEP> : <SEP>
<tb> Chlorure <SEP> de <SEP> manganèse <SEP> 100 <SEP> g
<tb> phosphate <SEP> de <SEP> sodium <SEP> 100 <SEP> g
<tb>
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rognures de fromage séchêes 200 g acide folique 1 g acide 'isntothënique 1 g acide-n-aminobenzolque, environ 50 g. A 10 litres de lait écrémé contenant les quantités cor-
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respondantes dos produits d'addition 8UanOm$, on ajoute jusqu'à 500 -il d'une culture mixte liquide des m1croorganisnos suivants sur agar-agar - Streptococcun oromoria, Streptococcus lactis, Laotobacillua helvetiou#. attobacillus
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acidophil1s.
La cultère-mère a été ensemencée à 45 C, au bout de 4 heures la température était descendue à 35 0 et, au bout d'un autre laps de temps de 4 heures, à 20 C on l'a disposée alors à un endroit frais où la température s'est abaissée au cours des 4 heures suivantes jusqu'à environ 10 C.
On ajoute ce mélange au bouillon de culture précité où la croissance continue dans les mêmes conditions de température et de temps. Une teneur en sucre plus élevée du petit lait
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allant par exemple j'aequ'à environ 12 à 115% exige l'addition de quantités proportionnellement plus grandes du premier bouillon de développement allant jusqu' 50% par rapport au petit lait.
Pendant toute la durée da croissance, on dose de temps à autre le pH. Chaque fois qu'on trouve une valeur inférieure à 5, on ramène le milieu à un pH de 5 à 6 par addition de
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carbonate ou de phoaprmte de calcium sous torse d'une sue- pension aqueuse.
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On sèche ensuite la mneee totale sous vide à une teukpérature de 37 à 3860.
Si l'on désire ' effectuer 1.,,0'..3 nouvelle fermentation à la suite de l t opértlt r'l": ,i-dcssue. ô1n prélevé dans le premier bouillon de déve ori;s, wa les entités appropriées qu' on en- semence dans une no@ @lle Tort: de 10 litres de lait écrémé.
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Un essai d'enei' .3 de maïs ',yant une relation protéine/ amidon d'environ 1/1" effoct'. , l'aide du produit d' onsilage décrit ci-do5: donne 1- résultats représentés dans le tableau I ci-àcv, a.
L'essai G ost n>;tué 3o ' ;;,on habituelle après addi- tion de 1% de sucre brut en tant q@ 'aliment supplémentaire
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pour les bactéries, l'essai K est effectua h l'aide du produit
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sec d'ensilage selon l'invention, mais sans addition de sucre, et l'essai L est effectué également à l'aide du produit d' en- silage selon l'invention additionné de 0,6% d'urée.
Tableau 1
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<tb>
<tb> Analysa <SEP> d3 <SEP> la <SEP> substance <SEP> Analyse <SEP> du <SEP> fourrage <SEP> non
<tb> sèche <SEP> (% <SEP> en <SEP> poids) <SEP> séché <SEP> (% <SEP> en <SEP> poids)
<tb> essais <SEP> G+sucre <SEP> K <SEP> sans <SEP> su- <SEP> gain
<tb> ore <SEP> + <SEP> pro- <SEP> oU <SEP> G <SEP> K <SEP> L
<tb> duit <SEP> d'en- <SEP> perte
<tb> silage
<tb>
<tb> Protéine <SEP> 'brute <SEP> 7,37 <SEP> 9,20 <SEP> + <SEP> 20,8% <SEP> 1,45 <SEP> 1,64 <SEP> 3,29
<tb> Cellulose <SEP> 30,77 <SEP> 21,28- <SEP> 30,9% <SEP> 6,03 <SEP> 3,80 <SEP> 3,80
<tb> Matière <SEP> sèche <SEP> 19,61 <SEP> 17,87 <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> Relation <SEP> protéine/amidon <SEP> 1:9 <SEP> 1:7 <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> 1:
4
<tb>
Exemple 2.-
L'essai suivant, effectué avec des feuilles gelées de betteraves fourragères, sert à démontrer que le produit uxi- laire d'ensilage doit être capable d'agir déjà à des tem- pératures relativement basses, par exemple à 4 C, Au contenu du silo de fermentation, on ajoute le produit d'ensilage colon l'invention à raison de 500 g/m3. La température, cons- tamment contrôlée, atteint dans le silo au bout de 3 semaines, 4 C et 30 jours plus tard, la valeur de 1300 seulement.
Mêmes à ces températures très défavorables, il est possible d'obtenir à l'aide du produit d'ensilage un fourrage fer- menté d'une excellente qualité comme il ressort de l'analyse suivante :
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<tb>
<tb> Perte <SEP> au <SEP> séohage <SEP> à <SEP> 105 C <SEP> 75,1%
<tb> cendres <SEP> 6.1%
<tb> cellulose <SEP> brute <SEP> 2,6%
<tb> matière <SEP> grasse <SEP> 0,8%
<tb> protéine <SEP> 4,3%
<tb> il <SEP> en <SEP> résulte <SEP> par <SEP> différence <SEP> la
<tb> teneur <SEP> en <SEP> hydrates <SEP> do <SEP> carbone <SEP> 11,1%
<tb>
Exemple 3.-
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L'effet ':l'.1Y2.rït s-icntrc l'influence de l'addition au produit d'.¯a3f:
s<lon '..W ntpor.t3.on, d'une certaine quanta d'azote 'bi)l:)Giq;c"'!;:!1t utilisable à partir duquel les f;roav de bactérie< orv:< ve 1na le produit d'ensilage synthétisent la pritôine ,:1c !p;t'nc ,ralcu!' nutritive. Cornue source d'azote ..iç'c w ' or m9 . oeuvre dos composée d 'C,C1"'10-:1iI;::l tele qua du :2:.r Îe . ::'..1 sulfa-tc, du chlorure d' ammoniul'1 et autres, ainsi- ?u' 1'<=-le ou des produits naturels contenant de .7.'h c, û(7 e' : Ji:i2o.1.
A deux lc;< rt "0 'r r,-.^t.r de betteraves deCïtj. 3uC:."iTv'w qui résultent ±"in :^c¯: .. , . '2e betteraves aucrieres avec '.'oc 'betteraves :!'('11'''!'C'. ., on v y ;3, outre le produit d 1 cnF!ilac selon ,'ir>Ten :Y=. ¯ a¯! pir. Gj6 de son et d'autre part. 3,6,T, d'urée.
On obtient ?.,fl- ";5J':-I;;';:1 .l,,,s,nts :
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<tb>
<tb> @ <SEP> teraves <SEP> + <SEP> produit <SEP> d'ensilage
<tb> 6% <SEP> de <SEP> son <SEP> + <SEP> 6% <SEP> de <SEP> son
<tb>
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..¯... + 0. 69 d'urée Teneur en protÓiH.) '%)
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<tb>
<tb> provenant <SEP> do
<tb>
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a betteraves 0,8 0,8
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<tb>
<tb> b <SEP> son <SEP> 0,6 <SEP> 0,6
<tb> curée <SEP> - <SEP> 2,6
<tb> Total <SEP> ; <SEP> 1,4 <SEP> 4,0
<tb>
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relation protéinD/IlC'.idon 1,4/12 4/!.
8,8.1967 - st.
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<tb>
<tb> 0832-67
<tb>
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La teneur en protéine augmente donc vt à-vidnt approcirat:v.c:t tripla. L'aliment sont bon, ra un goût agréable
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et est volontiers accepté par las animaux. La valeur alimon-
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tir'j a subi unu augmentation très sensible, puisquo la rel+;i-:-!': r^ain.n4/t:idon .:;:st de ' 1/3,5, alors quo celle de l'o- 11."i.'nt o!;f;:'1.,i est d'environ "/9, 1,' ;3.:.n de protéine: c0!':'ospondant à 2,6% ne peut pas ;':'''''1::''';' :':1:.qUC"''.'':1t 1e 'a::;ot3 apporte par l'urée; celui-ci .,.. " :tT:..t:s'4i1% ;an i: .. d'environ 1 t à 1,95. Il w ..; -:.w^¯ rc une Jyntii";5e 6upplé,'.:nta1re de protéine.
-':1 < crt c.3 cet essai c'a'il est possjblc d'augmenter ¯:. - """.'" v^ ,Jrat41n> d'JS betteraves en question qui est 5'i.".-=. #i et fic 1'a=en*z. d- 0,8 h . correspondant ...-.- 1' d'amidon, jUSqt1'8, un ordre de grandeur de : ^.^wspûnâtn uno teneur fn amidon d'environ 4%.
":.,:..:-l. l.-."'" ':'.':; v,.iN. du é;¯:).716Ç! 0(;l;.?:1U selon l'exeaple 1, on ''.:'.'..'.;' '.":'': ;'am,;'#j;t4 .,..,"J.a,r,.: d'urée pour forme:' un mélange <'. . ¯. .. w.:a:¯ qa'cn 38Ch'::, par pulvérisation..
¯,:: :.. ainsi obtem.. Co un excellent effet dans le -:'.:- ':'2 ..">n>:±,lage <1- plantes iont la relation protéine/amidon s, 'l""" ':::..:..,z'lr très large . f:x:1t)lc On ot on silo, conformément au procédé de l'invention, iL:3 betteraves demi-sucrieros ayant une relation protéine/ anjdon c il14 additionnées d'uré.
A l'analyse, le produit
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obtenu présenta les valeurs suivantes
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<tb>
<tb> Produit <SEP> Réduit
<tb> séché <SEP> initial
<tb> (%) <SEP> initiai
<tb> Protéine <SEP> brute <SEP> 18,03 <SEP> 3,54
<tb> Matière <SEP> grasse <SEP> 3,62 <SEP> 0,71
<tb> Extractifs <SEP> non <SEP> azotés <SEP> 44,04 <SEP> 8,63
<tb> Cellulose <SEP> bruts <SEP> 10,17 <SEP> 2,00
<tb> Eau <SEP> - <SEP> 80,38
<tb>
<tb> Cendres <SEP> 24,t4 <SEP> 4,74
<tb> Sel
<tb>
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Protéino brute Ï Ï b'- 16,45 3,23 Protéine pure 4,00 0,78 Protéine pure Lige"--';:.. blé 2,43 0,48
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<tb>
<tb> Matière <SEP> sèche <SEP> 19,62
<tb>
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Lo doeage 4±5 -:c::, donne le résultat suivant ;
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Tcnaur relative Pointe selon
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<tb>
<tb> (%) <SEP> (%) <SEP> Flieg
<tb> Acide <SEP> lactique <SEP> 3,46 <SEP> 77,59 <SEP> 30
<tb> Acide <SEP> acétique <SEP> ' <SEP> oo <SEP> 22,42 <SEP> 16
<tb>
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Acide butyr:i.qo C,00 0,00 50 4,45 100,00 96 pH : 3,9. Apx':^.. , selon FliJg ntrès bon".
Il s'agit '::1'1' -""fl "1r('ldt!->; d'une excellente qualité.