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Il Procéda de préparation d'un fourrage formateur de protéines pour ruminants "
La présente invention concerne un procédé de préparation d'un fourrage formateur de protéines pour ruminants constitué par des cossottes de bette- raves à sucre et une solution aqueuse d'uréo-phosphate- mélasse,
Il y a déjà onviron 75 ans, 0, Hagemann ot N.
Zuntzontobservé que les ruminants sont à m8mo d'élaborer dans leur panse à partir de composés azotés non protéiniques des protéines microbiennes qui au cours de la digestion sont mises à profit sous forme de
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protéines à valeur complète,
Ces réactions ont été vérifiées ultérieure-
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mont et confiJrlCf3. en particulier par 11, Val tz li,,lQ<iô1 e1; von NehrixlE5, au cours de leurs essais sur des ani- maiLx, Klein a désigné l'opératiou qui s'effectue dans 1.>. i;.iyi#<h , .''- l'aide de l'expression globale "Symbiose (Voir i lTohrinc "Lehrbuoh der Tierorntthrung u.t1,ll Fut'çorm1 ttalkunc1o" 1963t pago 241)o Ces obaorvations ont été mineg à profit en verr, la fin des "J.tDlm} ;0, au cours des 1c.;tntivoa d'indépendance de cette époque.
On a prépa- rê don produits dite Il.,raidochnit7,ol" (cossf,,ti,,os ami- d6ua) constitues par des oossette x<Nohex de bottera- V('f1 (\ suore lIlêla.!3fJÓt1.-J, additionnées de 15 nô d '1.11.'60.
Oon cososttus amid6es ont form-'- lu buse du "fourrage Mixtu d.':1mlde", qui contenait (1 d'urét1 et ne donnait qui des résultats limités.
Au cours des années d'après guerre, le four- rage additionné'd'urée n'avait plus aucune importance
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en Allomagne a cause de la relation de prix de nature spéciale entre los protéines et les élément;.! énergéti- Quùn, Mais il n pris une grande importuuce à 1'étranger, o'ost-à-dirc dans les paym de l'est de lteuropel en Afrique du Sud et aux Etats-Unis d' Am6riquù.
Le fourrage additionné d'urée se présente prinolpaltjment comme un mélange avec une substance de support liquide, par exemple la mélasse, ou un Mélange Mécanique avec un fourrage énergétique sec. Une tonne d'urée correspond à peu près à G tonnes du graines de soja un co qui concerne la teneur en azote. Ce qui
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voudrait dire qu" les 't 000 tonnes d'urne qui ont été o.j 01t.jt.:S ..ux Etats-Unis ci' Jrrl!riqua au fourrage det; x'iunï.- nzints en 19(-)'- pourrtii(--iit e.trl3 x^=.o .c; na par unù QUÉI"1- té. : :1,7<' .t',) j 0 plus ;rnl1';'v, 0' OiJt-à-r.Hro f..52 000 t.4t:e:,, t dl) graines de f10j!l.
En nl>rP1e Générale, on considère 'tctut'ilemcnt que la proportion d'urée ne doit pua c:c-ci:; ez' 1 % de la substance s6chc du la ration quotidiùnnc dû fourrage L'invQlltion il pour on jc un roc4dC de pré- paration d'un fourrage avec ur4ù, formtttiur de prot.f.i- nea) fvm-île A prp.rur, >1>a qu.'tli<'. bizu E.lUl'POl'té tù0ne un ,<5Joz 1;r.iti<1<; qn:\fJ1:i t,i), rcampï.icïtllt toutes lui condHio1Js IJxiC6Q:1 p <r .1 :'3C..'.dlt't i0,(jÀ'Tlf.' de 1<t nutrition et don!.'':'t'. '!U"1 t tCH.ltl,; 140urit6 011 oc qui 06ncprn& loo pcrteo d'rrr,r.atrt ou loo dOIII!\H!U:1 subis par o e'aX-c 1 .
Lu prooédé- de Ilî.iiv,. lion 0011:;1:: te t impré- gner lea 00:.13e t tcs de 'b(JttorriVv"; I Bucre dl" (diffusion ocmpx3.u:a encore hufsidcs (teneur en :rxxit:mcu Bôche do '.r à 25 X, de prêferancf, iltc 17 et ch'mdcn (GO- 70 C) en les ii;>rofio;nt avec uno solution J'urO"'l)hol3- phate môlaosc, 70-80 C, 11. teneur en ubstanou Dl'che d'environ 70 à 80 9;;, pu:!. s à l,e. oo3Hct:to après qu'elles ont été cOP.1pl"tüm'JIlt ir.ipr{.lrl!Jc drrrna la sou- tion.
Le brevet dan Etats-Unie <l'J\mGriquo Il 2.?4( ,00' n pour objet: des solutions aqueuses d'acide phosphorique ou de phosphatt's, dur6o et dù ll1Ólur.;sc:J utilisons Ct)Jfi1Ué fourrage auxiliaire trm:zâ,;ux' de pro- téines. 34ai il est prévu de rf'xerxa4 d'administrur
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aux ruminants ce fourrage auxiliaire en tant que breu-
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vage m3me lorsque, suivant un brevet de la mtiae époque, la solution de mélas-uz'e-phasphic a été déposée avec séchage sur des substances de support: sèches, par
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exemple des cassettes de betl;orvQs séchées. Mais les divers éléments ne peuvent pas imprégner la substance de support, ni être absorbes par les animaux de la même façon que d'après le procédé de l'invention.
Le brevet autrichien n 190.785 donne la description d'un fourrage qu'on prépare en ajoutant à un fourrage du base ou auxiliaire, par exemple des
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008.3\)t bIH ..le boutoraven à autre, et :1 titre de sube- tt31C7 dl6clianto t'.tiütii.n.5i U11,ù bouillie de satura- tion ainsi qu< do l'uI',1e, et dventuolloiierit aussi de la mÓl(;l.se et d'autres CompOs3nt.
Mais la bouillie calcaire de l'industrie du
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sucre n'est pas on.pD.1)lt de provoquer la synthèse des p:robéinot3 à partir do 1'urée; dans la pues Par ail- leurs le brevet autrichien n'est pas limité à l'admi-
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niatra-tion de l'urée aux ruminunts. Cependant la syn- thèse des protéines par les Nioroorganismes à partir de l'urée ne pout s'effectuer que dans le feuillet des ruminants, De plus on obtient, en mélangeant une bouil- lie de séparation avec les autres éléments (indiquas, colonne de droite en haut de la page 2,par l'exemple du brevet comme étant 16 parties en poids de la bouil- lie de séparation en saturation,
30 parties en poids de classe ot 15 parties en poids d'urée) un mélange entre l'urée dissoute dans la mêlasse et des cristaux de car- bonate de calcium. Mais seules les substances dissoutes
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peuvent diffuser dt4no les coanottec mouillées,
On a. constata finalement qu'un raison do la valeur élevée du pH de la 'bouillie de séparation, une
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fraction notable de l'urée se décompose on IM 3 et C02 à la température élevée régnant dans le tambour sécheur et par suite ost perdue dans lp préparrtion.
En iitrùe temps la forte teneur on chaux de la bouillie de sépa- ration y forme des proportions relatives de c@l@ium et de phosphore, qui provoquent inévitablement des ma- ladies en particulier chez les vaches laitières (modi- fications du squelette, fièvre de lait, stérilité, etc.).
On ne pouvait donc en tirer aucun enseignement, ni au- cune stimulation à profiter du procédé de l'invention.
L'invention est basée sur le fait nettement
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reconnu que l'urée ne peut servir à l'élaboration des éléments de fornatioii des protéines s'il existe une quantité d'énergie suffisante en forme d'hydrates de carbone et si l'urée y est administrée sans à-coups à l'animal. Elle doit être libérée peu à. peu dans la
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panse en proportion des :1, r,icnts qui l'aocompagnont.
Le nouveau produit de 1':1 nVt:ntion c:Iil3CH(? d'une m!l11ièrfJ efficace eoo 7' or;an:Lsrncs <.1.e13 animaux ne Boit brusque- ment inondé de zo:3es excessives dluros L'invention pour- met ainsi d; faifn mipçf;enter f1ou:ihlt)J'!1ont et sans ris- que lit dose d'urée fournit! on un Huul rcpao, Etant donné que 1' substances minérales et )t;S 6J-'xalaiAJt',1,4.d1e.:if; du i'aiirr;:; d de l'invention sont pro- fondémnnt incorporés l'U t1 <jeu cellulaire des cossattoc de diffusion, i'1:z ncs rie' J/'pon!nt: que lentemont sur f:s microorl1.m:in'!,:n <j<; 1;
panse< Il 3tJ 1'1')]'1:10 ainsi un miliou
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de fermentation aussi avantageux que possible, où la décomposition de la cellulose ainsi que la synthèse des protéines et des vitaminée s'effectuent d'une ma- nière continue.
Il semble donc qu'on obtient par le procédé de l'invention pour la première fois un moyen de faire augmenter sensiblement la quantité d'urée dans le four- rage et en même temps d'intensifier la synthèse des protéines, dans la panse sans risque ni pour la santé des animaux, ni pour la qualité des produits qu'ils permettent d'obtenir, Ces résultats sont confirmés par des recherches effectuées par l'Institut de pharmacolo- gie et de toxicologie de l'école supérieure vétérinai- re de Hanovre, et par la "Bundesanstalt für Fleischfor- schung" Kulmbach.
Le procédé de préparation de l'invention est décrit en détail ci-après : on prépare la solution d'imprégnation avec les éléments suivants : 50-70 % de mélasse, de préférence 61-55 % environ, 15-30 d'urée, do préférence environ 21,5 % (par rapport à l'urée pure contenant
46 % d'azote),
15-20 % d'une solution de phosphate ,le sodium, de préférence environ 17,5-16 %
La mélasse est la mêlasse normale du commerce ou de préférence une mélasse dite de Quentin,
qui se différencie des mélasses ordinaires par le remplacement d'une partie des ions K et Na par des ions mg à l'aide
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d'un échange ionique. Elle est ainsi plus décaooharinée que les classes ordinaires. Main la plus forte teneur
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oz ions Mr; ont t!'t'S importante en ce qui concerne les r4':o.ctiom phyniologiqucs qui ont liou dan la pansu des ruminante* La teneur en Bubatl\nou:;6èchos de la mêlasse est comprise entre 75 ut 85 Y,. Une proportion d'environ 45 A z de ceste subatnnce ont de la saccharose et le complément est constitué par des substances non sucrées.
La mélasse contient encore, outr des subs- tances minérales, de l'acide glutaminique, ou pyrrolido
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carboxylique, de la Icuoine, da llisoleucine, de 1.' ci- de aspx'=',3.quu, du glycocolle, de la valine ot (,ri l'a- cide gamma-aminobutyriquo,
On ajouta l'urée à l'état cristallisa ou on solution aqueuse contenant environ 50 à 60 %, d'urée
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qu'on chauffe à r0-'0 C pour e;,ip3chiar sa o1.'io\;0.11iD±1- tion.
La solution de phosphate de sodium consiste
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dO préférence en des phosphates mono- et di-cjod1quo en n4lange par Ùxïmpl.r de 2 parties de NIl2HP04812H20 (criât.) et 1 partie, -,le ilo.H2P 1;.' 242 (çrnt,)*Co 1'.I.lo.ne:o de oein forme une aolution parfaite à une tv!.'1pÓrl1turo de GO-70 C et pur fuite on l'ajoute & cette température.
On obtient avec les trois éléments : mélasse, phosphate ot urée, avec leur teneur en eau, une solution
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dont la ou substances arches ezt oompriso entre xy'.x'G3, 70 et 80 gi pour un pii é.,< ài à environ 7.
Ou forste une solution avuc cw !'ltjJ1!O '.n 10 l4xuxrit , mc; tOF..p6t'atur'1 di 7C a 0'"Ct On ajoute à.
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cette solution si on la désire un quatrième Elément:, constitué par dos cultures de levure à l'état solide ou liquide. On ajoute des levure liquides, dont la teneur en substances sèchos peut atteindre 20 %, à la solution d'imprégnation, par exemple par portions de 10 à 30 % ce qui dilue ainsi davantage la solution.
La figure unique du dessin ci-joint indique sous forme schématique de quelle manière on traite les cossettes de diffusion sous pression par la solution.
Les oossettes de diffusion sous pressions humides et chauffées sont constituées par le tissu cellulaire, en principe intact, des betteraves à sucre, et leur teneur en substance sèche est comprise entre 13 et 25 % et est égale de préférence à 17 %. Leur température, au moment du mélange avec la solution, est comprise entre 60 et 70 C. On ajoute, par arrosage à l'état de fine division, la solution chauffée à une température d'en- viron 70 à 80 C en proportions de 7 à 10 kg et de pré- férence d'environ 8,3 kg, pour 100 kg de oossettes de diffusion sous pression.
Les réactions suivantes s'effectuent pendant et après que lu solution d'imprégnation se mélange intimement avec les oossettes de diffusion sous pres- sion :
La solution d'imprégnation concentrée pénètre d'abord dans le tissu cellulaire qui n'est plus intact dos cousettes do diffusion, puis par dialyse ou diffu- sion dans les tubes capillaires qui subsistent on grande partie et dans le tissu cellulaire resté intact des
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oossettes. Les forces motrices sont constituées par la diminution de la teneur de la solution en substances concentrées dissoutes en présence des cellules aqueuses et par la forte pression osmotique qui en résulte, On répartit ainsi et on incorpore, d'une manière complète- ment homogène recherchée par l'invention,
les éléments de la solution d'imprégnation dans les portions cellu- laires et intercellulaires des cossettes. Le mélange no peut pas se détruire ensuite mécaniquement. On peut aussi mélanger les divers éléments de la solution d'im- prégnation séparément ou sous forma de mélanges par- tiels en proportions appropriées,
On fait ensuite circuler les cossettes ainsi traitées dans dos tambours de séchage industriels or- dinnires, jusqu'à co que la tenour en substance sèche soit comprise entre 87 et 95 % étroit de préférence égale à 90 %.
Les cassettes s'échauffent alors jusqu'à une température d'environ 100 C ce qui accélère encore et acheva lus opérations de diffusion et d'absorption qui étaien@incomplètes. Une fois le mélange séché, on le broio et on y ajoute un produit concentré constitué par des vi@amines stabilisées. On peut aussi ajouter en même temps à ce stade une levure qui, éventuelle- Ment peut être requise, par exemple sous la forme d'une levure en poudre, séchée en quantité de 2 à 6 %, telle que la levure de bière:. Puis on ajoute une faible quan- tité de mélasse pour absorber la poussière et améliorer le goût, et on forme éventuellement des boulettes.
Le principal avantage de l'invention est cons- titué par le fait: que les éléments nécessaires pour une
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croissance maximale des microorganismes de la panse, tels quo les éléments nutritifs, minéraux et actifs parmi lesquels so trouvent de 1'urée,des hydrates de carbone, des éléments minéraux et des oligo-éléments, sont à la disposition de ces microorganismes d'une ma- niera continue dans la panse.
Cette mise à disposition régulière crée les meilleures conditions pour favoriser la croissance régulière des microorganismes en un mi- lieu de nutrition et de substance active aussi avanta- geux que possible et, par suite, aussi la synthèse des amino-acides essentiels.
D'une manière générale, l'invention permet de remplacer par l'urée une proportion alignant en- viron un tiers ou la moitié de la quantité totale né- cessaire do protéines brut..:±! dans le fourrage des ru- minants. Cette proportion est aensiblomont plus forte que colle qui étuit considérée Jusqu'à présent comme acceptable dans la composition du fourrage.
On arrive à ce résultat sans faire dimin@er la production de lait et de viande et même: en on a@éliorant la qualité
Lorsque sont assimilées en fourrage les nou- vellos conssettos contonant de l'urée, les cossettes qui sont parvenue:
) dans la panse peuvent libérer le contenu do leur tissu cellulaire cristallise pendant le séchage c'est-à-dire la solution d'imprémnation, non pas brus- quement, Nais au contraire très progressivement sous l'action des opérations de fermentation, de telle sorte qu'il n'est plus posrible qu'un excès soudain d'urée survienne, comme c'est le cas lorsque l'urée n'adhère que légèrement. On remédie ainsi complètement aux fâ-
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cheuses conséquences de la 3ibér."'bion brusque d'urne qui exerce mw action nuisible nur 11= ül.;c:ïtrin, L'inv(Jut'ion n aussi pour effet d ;xnllioz'ar .'u;â.li..t;.on Il!.::±: fibres brut;,: du :COUL'1:':t;O n01')I1I'1.
Oi' peut ".tn:3i xe:'-:L.w;.x dus 000!'l.OI,li,,':3 daun 1'1. quantité ord31naire ù(' 1\)'11'1"',"':.
On .q oh {;<:1LU '1Vt;C don Cdl1 taine:1 d' milU'1.ux on a'i,au.d.x <1<#c jounus taUI'I) aux , en loa sxlilac:rllunt syat6mnt1.qut)f.leut nVt't} dan 1<>iirrajsex pl'0par0B 111':t' le nouvuou nJ:oc<flfi>', dO:1 t1.u(rJentatir,m/J <1>; y3.cr, d'environ 1300 à 1400 >; oet lti,e:.f."?h"Iti illÉ :'1.,' :\1\ ilit2C.i111't?c 1 :JQO ;1 par ,juu;.. 0n à habitua le:'} rql1l!."UX au nouv'!'3U f11'.t'(T't..' de l'invention à peu s,i:: a f1<l.ptlt' do 7 sa,I1' tüf Gz'.i¯t.riie: ;Íuln r,',"e.".:ââ;ilGt", 1'tî il< 1)01, ?'.t.ll =ii,i;1' 1;>.<fl<; ., à lHL unn rn- tien d'ur6t.; q1wtidL!I!.(! <1(' '1;,,( :\ 1HO l'; p,ii.i<1,>nt huit â?t0:i: n ",t ,1twnnttJ.! ';
:, Lec COriflp f, ';0:1 I'!'x?It3 p;11> 1{ proctÍ(16 da l'1nv.ltio.±1 rûp.('I:'t;1Ltvnt donc un prot'rus notable, LI,,) procède cp('c1nl de 1 j.ir4viit;;t;1.vn technique cas l'action spôoifiquu do i, =.ci!;â.m. 1>11-.i i.iol .ti<iuv donnons la cor- tibude qu'une " >;yi, b i o r u ;':.ïIlIOgtltl')1I sau produit dans la panne de;1 ile.3.r"1121t"ri T1no 1i'Cê ,l; (wCIChl.WF.?l3l:lt.:rl; nouvelle est
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franchie.
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RE S U n E A.... rocôdô do xef p.sr.Jt;,on d'un fourra'- pour rutflinantG) formHtuur do iar¯ot;c.,rms, a partir do Qoettcr:3 du bettenfivei ii GUOt'U ot 11UU0 solution Ilquonoo d't1I'o'" ahoilr'n mc;Ir,w, cnrD.otI'iB6 par les points suivante, aÀpiàn4inenb ou un combinhiuona : 1, On .T:lr trrlc 4; a cosnottes de diffusion do
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botteravos à sucre, comprimes) encore humides (teneur on sub,i;c,nax: '.:cle de 13 Ù. 25 . et de préférence de 4'1 %) '>il chaudes (60-70 o) en les n.'ros1.nt avec une so- .I,t-:i,sjz (t'urue-phospintu-mulassc à 70-800, à teneur en ".Ié:z.c:c: 4Éciyc: d'environ 70 à 80 %, puiu, une .fais lua .¯(.:'.:,. ',";,";3 o<>1,,1>lôte.a<;n.t iinpr6Enlcs de la solution) on le1 rt"4ieS3kA 2.
La Dolution dlure-phosphate-fu61assc est oonstituéo par de l'urne, une xolubion de phosphtt;o pré- parée en ohauffunt un mc nt;: de suis dé & parties de Ni1j?IW04' 12H20 et d' pl1rtiu do liaii P0.2iIz0, et par de la '<161ns:iv dont lu tuneur on substance sèche est con" ris4 l1.rJ.trt) 75 dt 85 1',/é 3e Le pH de 1::. 5<Jlution ù'uréo-p10Sj.'htc "1'16- l:\oIJO est >5j.jai 1. ? environ, 4$ On Fl,tlal!l50 !1U produit du procède, une fois nécM ut 'VQntuol3e:Eent 1'rngmontt!, un concentre préparé l, pareil rll; vi twrt:!.nol3 xbabiliuôen, 5w 0n 1'01'1.10 de.? boulettes la produit du
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procède,
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6, L,I m61n.Jo ....1t la Bielao;: dite de Quontint 7, On [1.;j01l1-:,' do la levure au produit. n.... 'aurr;.;: d'addition formatour do protéines) pour xuuc,izacxzts, prépare pnr lu prooédé procitet
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He proceeded to prepare a protein-forming fodder for ruminants "
The present invention relates to a process for preparing a protein-forming fodder for ruminants consisting of sugar beet pods and an aqueous solution of ureo-phosphate-molasses,
About 75 years ago, 0, Hagemann ot N.
Zuntzontobserved that ruminants are at m8mo to develop in their rumen from non-protein nitrogen compounds microbial proteins which during digestion are used in the form of
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full value protein,
These reactions were verified later-
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mount and confiJrlCf3. in particular by 11, Val tz li ,, lQ <iô1 e1; von NehrixlE5, during their tests on animals, Klein pointed out the operation which is carried out in 1.>. i; .iyi # <h, .''- using the global expression "Symbiosis (See i lTohrinc" Lehrbuoh der Tierorntthrung u.t1, ll Fut'çorm1 ttalkunc1o "1963t pago 241) o These obaorvations have been mineg to profit in verr, the end of "J.tDlm}; 0, during the 1c.; tntivoa of independence of this time.
We have prepared these products called Il., Raidochnit7, ol "(cossf ,, ti ,, os ami- d6ua) constituted by oossettes x <Nohex de bottera- V ('f1 (\ suore lIlêla.! 3fJÓt1.- J, added to 15 nos of 1.11.'60.
Oon cososttus amides formed the nozzle of "Mixtu fodder: 1 ml", which contained (1 of ureth) and gave only limited results.
In the post-war years, fodder plus urea was no longer important.
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in Allomagne because of the price relation of a special nature between the proteins and the elements;.! energeti- Quùn, But it has not taken a big importuuce abroad, o'ost-to -dirc in the countries of the east of Europe in South Africa and in the United States of America.
The feed supplemented with urea is mainly presented as a mixture with a liquid carrier substance, for example molasses, or as a Mechanical Mixture with a dry energy feed. One ton of urea corresponds roughly to G tons of soybeans un co regarding nitrogen content. What
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would mean that "the 't 000 tonnes of urns which were oj 01t.jt.:S ..in the United States ci' Jrrl! riqua au fodder det; x'iunï.- nzints in 19 (-) '- pourrtii (- iit e.trl3 x ^ =. o .c; na by unù QUÉI "1- té.:: 1,7 <'.t',) j 0 plus; rnl1 ';' v, 0 'OiJt -à-r.Hro f..52,000 t.4t: e: ,, t dl) seeds of f10j! l.
In nl> rP1e General, it is considered 'tctut'ilemcnt that the proportion of urea must not pua c: c-ci :; ez '1% of the dry substance of the daily ration of fodder The invQlltion there is for one jc a roc4dC of preparation of a fodder with ur4ù, formtttiur of protfinea) fvm-île A prp.rur, > 1> a qu.'tli <'. bizu E.lUl'POl'té tù0ne un, <5Joz 1; r.iti <1 <; qn: \ fJ1: it, i), rcampï.icïtllt all him condHio1Js IJxiC6Q: 1 p <r .1: '3C ..'. dlt't i0, (jÀ'Tlf. 'de 1 <t nutrition and donation! . '': 't'. '! U "1 t tCH.ltl ,; 140urit6 011 oc qui 06ncprn & loo pcrteo d'rrr, r.atrt or loo dOIII! \ H! U: 1 suffered by o e'aX- c 1.
Lu prooédé of Ilî.iiv ,. lion 0011:; 1 :: te t impregnate lea 00: .13e t tcs de 'b (JttorriVv "; I Bucre dl" (diffusion ocmpx3.u: a still hufsidcs (content in: rxxit: mcu Bôche do'. r to 25 X, preferably iltc 17 and ch'mdcn (GO- 70 C) in ii;> rofio; nt with uno solution J'urO "'l) hol3- phate môlaosc, 70-80 C, 11. ubstanou Dl'che content of about 70 to 80 9 ;;, pu:!. s to l, e. oo3Hct: to after they have been cOP.1pl "tüm'JIlt ir.ipr {.lrl! Jc drrrna the breath.
The United States patent <l'J \ mGriquo Il 2.? 4 (, 00 'is for: aqueous solutions of phosphoric acid or phosphatts, dur6o and ll1Ólur.; Sc: I use Ct) Jfi1Ué fodder auxiliary trm: zâ,; ux 'of proteins. 34ai it is planned to rf'xerxa4 admin
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to ruminants this auxiliary fodder as a beverage
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vage m3me when, according to a patent of the era mtiae, the solution of melas-uz'e-phasphic was deposited with drying on carrier substances: dry, by
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example of dried betl; orvQs cassettes. However, the various elements cannot impregnate the carrier substance, nor be absorbed by animals in the same way as according to the method of the invention.
Austrian Patent No. 190,785 gives the description of a filling which is prepared by adding to a basic or auxiliary filling, for example
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008.3 \) t bIH ..le boutoraven to other, and: 1 title of sube- tt31C7 dl6clianto t'.tiütii.n.5i U11, ù saturation slurry as well as <do uI ', 1e, and dventuolloiierit also mÓl (; l.se and other CompOs3nt.
But the limestone slurry from the
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sugar is not on.pD.1) lt to induce the synthesis of p: robéinot3 from urea; In addition, the Austrian patent is not limited to the admittance
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Niatra-tion of urea to ruminunts. However, the synthesis of proteins by Nioroorganisms from urea can only be carried out in the sheet of ruminants. Moreover, a separation mixture is obtained by mixing with the other elements (indicated, column of right at the top of page 2, by the example of the patent as being 16 parts by weight of the saturated separation slurry,
30 parts by weight of class (15 parts by weight of urea) a mixture of urea dissolved in the mixture and crystals of calcium carbonate. But only dissolved substances
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wet coanottec can diffuse dt4no,
We have. finally found that due to the high pH value of the separation slurry, a
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significant fraction of the urea decomposes on IM 3 and CO 2 at the high temperature prevailing in the dryer drum and consequently is lost in the preparttion.
In addition, the high lime content of the separation slurry forms in it relative proportions of calcium and phosphorus, which inevitably cause diseases in particular in dairy cows (changes in the skeleton, milk fever, sterility, etc.).
No lesson could therefore be drawn therefrom, nor any stimulation to take advantage of the process of the invention.
The invention is based on the clearly
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recognized that urea cannot be used for the elaboration of the building blocks of proteins if there is a sufficient amount of energy in the form of carbohydrates and if the urea is administered there smoothly to the animal. It must be released little by little. little in the
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paunch in proportion to: 1, r, icnts which accompany it.
The new product of 1 ': 1 nVt: ntion c: Iil3CH (? Of an effective m! L11ièrfJ eoo 7' or; an: Lsrncs <.1.e13 animals does not drink suddenly inundated with excessive zo: 3es dluros L The invention thus makes it possible, in this way, to enter f1ou: ihlt) I have and without risk a dose of urea provides! on a Huul rcpao, Since 1 'mineral substances and) t; S 6J-'xalaiAJt', 1,4.d1e.: if; du i'aiirr;:; d of the invention are deeply incorporated the U t1 <cellular set of diffusion cossattoc, i'1: z ncs rie 'J /' pon! nt: que lentemont on f: s microorl1.m: in '! ,: n <j <; 1;
paunch <He 3tJ 1'1 ')]' 1:10 so a miliou
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fermentation as advantageous as possible, where the decomposition of cellulose as well as the synthesis of proteins and vitamins are carried out continuously.
It therefore seems that, by the process of the invention, for the first time, we obtain a means of appreciably increasing the quantity of urea in the forage and at the same time of intensifying the synthesis of proteins, in the rumen without risk neither for the health of animals, nor for the quality of the products which they allow to obtain, These results are confirmed by research carried out by the Institute of pharmacology and toxicology of the higher veterinary school of Hanover, and by the "Bundesanstalt für Fleischforschung" Kulmbach.
The preparation process of the invention is described in detail below: the impregnation solution is prepared with the following elements: 50-70% molasses, preferably 61-55% approximately, 15-30 urea, preferably about 21.5% (based on pure urea containing
46% nitrogen),
15-20% of a solution of phosphate, sodium, preferably about 17.5-16%
Molasses is normal commercial molasses or preferably a so-called Quentin molasses,
which differs from ordinary molasses by replacing part of the K and Na ions with mg ions using
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ion exchange. It is thus more decaooharinée than the ordinary classes. Highest grade hand
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oz Mr ions; have been important with regard to the r4 ': phyniologic o.ctiom which have liou in the pansu of ruminants * The content of Bubatl \ nou:; 6th echoes of the melass is between 75 and 85 Y ,. About 45% of this subatnnce has sucrose and the remainder is unsweetened substances.
Molasses also contains, besides mineral substances, glutaminic acid, or pyrrolido
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carboxylic acid, icuoine, isoleucine, 1. ' ci- de aspx '=', 3.quu, glycocolle, valine ot (, ri gamma-aminobutyriquo acid,
Urea was added in the crystallized state or an aqueous solution containing about 50 to 60%, of urea.
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that we heat to r0-'0 C for e ;, ip3chiar sa o1.'io \; 0.11iD ± 1- tion.
The sodium phosphate solution consists
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dO preferably in mono- and di-cjod1quo phosphates mixed by Ùxïmpl.r of 2 parts of NIl2HP04812H20 (criât.) and 1 part, -, ilo.H2P 1 ;. ' 242 (çrnt,) * Co 1'.I.lo.ne: o de oein forms a perfect solution to a tv!. '1pÓrl1turo de GO-70 C and pure leak it is added at this temperature.
We obtain with the three elements: molasses, phosphate and urea, with their water content, a solution
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of which the arches or substances are oompriso between xy'.x'G3, 70 and 80 gi for a pii é., <ài to approximately 7.
Or force a solution with cw! 'LtjJ1! O' .n 10 l4xuxrit, mc; tOF..p6t'atur'1 di 7C a 0 '"Ct We add to.
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this solution if desired a fourth Element :, consisting of dos cultures of yeast in the solid or liquid state. Liquid yeasts, the dry substance content of which can reach 20%, are added to the impregnation solution, for example in portions of 10 to 30%, which thus further dilutes the solution.
The single figure of the attached drawing shows in schematic form how the pressurized diffusion cossettes are treated with the solution.
The diffusion pods under humid and heated pressures consist of the cell tissue, in principle intact, of sugar beets, and their dry substance content is between 13 and 25% and is preferably equal to 17%. Their temperature, when mixing with the solution, is between 60 and 70 C. The solution heated to a temperature of approximately 70 to 80 C. is added by spraying in the state of fine division, in proportions of 7 to 10 kg and preferably about 8.3 kg, per 100 kg of pressurized diffusion pods.
The following reactions take place during and after the impregnation solution mixes thoroughly with the pressurized diffusion pods:
The concentrated impregnation solution penetrates first into the cellular tissue which is no longer intact through the diffusion threads, then by dialysis or diffusion into the capillary tubes which largely remain and into the cellular tissue which has remained intact.
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oossettes. The driving forces are constituted by the decrease in the content of the solution of concentrated substances dissolved in the presence of the aqueous cells and by the high osmotic pressure which results from it. It is thus distributed and one incorporates, in a completely homogeneous manner sought by the invention,
the elements of the impregnation solution in the cellular and intercellular portions of the cossettes. The mixture cannot then be destroyed mechanically. It is also possible to mix the various elements of the impregnation solution separately or in the form of partial mixtures in appropriate proportions,
The cossettes thus treated are then circulated in ordinary industrial drying drums, until the content of dry substance is between 87 and 95% narrow, preferably equal to 90%.
The cassettes are then heated up to a temperature of about 100 ° C., which further accelerates and completes the diffusion and absorption operations which were incomplete. Once the mixture has dried, it is ground and a concentrated product consisting of stabilized vi @ amines is added thereto. It is also possible to add at the same time at this stage a yeast which, optionally may be required, for example in the form of a powdered yeast, dried in an amount of 2 to 6%, such as brewer's yeast. Then a small amount of molasses is added to absorb dust and improve the taste, and optionally pelletized.
The main advantage of the invention is constituted by the fact: that the elements necessary for a
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maximum growth of rumen microorganisms, such that nutrients, minerals and active elements among which are found urea, carbohydrates, minerals and trace elements, are available to these microorganisms from a ma- niera continues in the paunch.
This regular provision creates the best conditions for promoting the regular growth of microorganisms in a medium of nutrition and active substance as advantageous as possible and, consequently, also the synthesis of essential amino acids.
In general, the invention makes it possible to replace with urea a proportion which aligns with about one third or one half of the total amount of crude protein required ..: ±! in ruminant fodder. This proportion is aensiblomont stronger than glue which has been considered until now as acceptable in the composition of the filling.
We arrive at this result without reducing the production of milk and meat and even: by improving the quality
When the new conssettos containing urea are assimilated into fodder, the cossettes which have arrived:
) in the rumen can release the contents of their cellular tissue crystallized during drying, that is to say the impregnation solution, not abruptly, but on the contrary very gradually under the action of the fermentation operations, of such that it is no longer possible for a sudden excess of urea to occur, as is the case when urea adheres only slightly. We thus completely remedy the fâ-
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serious consequences of the 3ibér. "'sudden bion of urn which exerts mw harmful action nur 11 = ül.; c: ïtrin, L'inv (Jut'ion n also for effect d; xnllioz'ar .'u; â. li..t; .on Il!. :: ±: raw fibers;,: du: COUL'1: ': t; O n01') I1I'1.
Oi 'can ".tn: 3i xe:' -: Lw; .x due 000! 'L.OI, li ,,': 3 in 1'1. Ordinary quantity ù ('1 \)' 11'1" ' , "':.
On .q oh {; <: 1LU '1Vt; C don Cdl1 taine: 1 d' milU'1.ux on a'i, au.dx <1 <#c jounus taUI'I) aux, in loa sxlilac: rllunt syat6mnt1.qut) f.leut nVt't} dan 1 <> iirrajsex pl'0par0B 111 ': t' the new nJ: oc <flfi> ', dO: 1 t1.u (rJentatir, m / J <1>; y3.cr, from around 1300 to 1400>; oet lti, e: .f. "? h" Iti illÉ: '1.,': \ 1 \ ilit2C.i111't? c 1: JQO; 1 by, juu; .. 0n accustomed to: '} rql1l!. "UX au nouvelle'! '3U f11'.t' (T't .. 'of the invention to little s, i :: a f1 <l. ptlt 'do 7 sa, I1' tüf Gz'.īt.riie:; Íuln r, ', "e." .: ââ; ilGt ", 1'tî il <1) 01,?'. t.ll = ii, i; 1 '1;>. <fl <;., to lHL un rn- hold of ur6t .; q1wtidL! I!. (! <1 (' '1; ,, (: \ 1HO l' ; p, ii.i <1,> nt eight â? t0: i: n ", t, 1twnnttJ.! ';
:, Lec COriflp f, '; 0: 1 I'! 'X? It3 p; 11> 1 {proctÍ (16 da l'1nv.ltio. ± 1 rûp. (' I: 't; 1Ltvnt therefore a prot' rus notable, LI ,,) proceeds cp ('c1nl of 1 j.ir4viit ;; t; 1.vn technique case the spôoifiquu action do i, = .ci!; â.m. 1> 11-.i i. iol .ti <iuv give the cor- tibude that a ">; yi, bioru; ':. ïIlIOgtltl') 1I sau produced in the breakdown of; 1 ile.3.r" 1121t "ri T1no 1i'Cê, l ; (wCIChl.WF.?l3l:lt.:rl; new is
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crossed.
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RE SU n E A .... rocôdô do xef p.sr.Jt;, on d'un fourra'- pour rutflinantG) formHtuur do iar¯ot; c., Rms, from do Qoettcr: 3 du bettenfivei ii GUOt 'U ot 11UU0 Ilquonoo solution of t1I'o' "ahoilr'n mc; Ir, w, cnrD.otI'iB6 by the following points, aÀpiàn4inenb or a combinhiuona: 1, On .T: lr trrlc 4; a cosnottes de broadcast do
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sugar botteravos, tablets) still wet (content on sub, i; c, nax: '.: key of 13 Ù. 25. and preferably of 4'1%)'> it hot (60-70 o) in them n.'ros1.nt with a so- .I, t-: i, sjz (t'urue-phospintu-mulassc at 70-800, with content in ".Ié: zc: c: 4Éciyc: from about 70 to 80%, then, one. Do lua .¯ (.: '.:,.', ";,"; 3 o <> 1,, 1> lôte.a <; nt iinpr6Enlcs of the solution) we le1 rt " 4ieS3kA 2.
Dolution dlure-phosphate-fu61assc is oonstituted by urn, a xolubion of phosphtt; o prepared by heating a mc nt ;: of am de & parts of Ni1j? IW04 '12H20 and pl1rtiu do liaii P0. 2iIz0, and by '<161ns: iv, whose tuner its dry substance is con "ris4 l1.rJ.trt) 75 dt 85 1', / é 3e The pH of 1 ::. 5 <jlution of uureo- p10Sj.'htc "1'16- l: \ oIJO is> 5j.jai 1.? approximately, $ 4 On Fl, tlal! 150! 1U product of the process, once necessary: Eent 1'rngmontt !, a concentrate prepared there, similar rll; vi twrt:!. nol3 xbabiliuôen, 5w 0n 1'01'1.10 de.? dumplings the product of
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process,
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6, L, I m61n.Jo .... 1t la Bielao ;: known as Quontint 7, On [1.; j01l1- :, 'do the yeast to the product. n .... 'aurr;.;: of addition formatour do proteins) for xuuc, izacxzts, prepares pnr lu prooédé procitet