BE685552A - - Google Patents

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BE685552A
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    • GPHYSICS
    • G03PHOTOGRAPHY; CINEMATOGRAPHY; ANALOGOUS TECHNIQUES USING WAVES OTHER THAN OPTICAL WAVES; ELECTROGRAPHY; HOLOGRAPHY
    • G03BAPPARATUS OR ARRANGEMENTS FOR TAKING PHOTOGRAPHS OR FOR PROJECTING OR VIEWING THEM; APPARATUS OR ARRANGEMENTS EMPLOYING ANALOGOUS TECHNIQUES USING WAVES OTHER THAN OPTICAL WAVES; ACCESSORIES THEREFOR
    • G03B35/00Stereoscopic photography
    • G03B35/18Stereoscopic photography by simultaneous viewing
    • G03B35/24Stereoscopic photography by simultaneous viewing using apertured or refractive resolving means on screens or between screen and eye

Landscapes

  • Physics & Mathematics (AREA)
  • General Physics & Mathematics (AREA)
  • Holo Graphy (AREA)

Description


   <Desc/Clms Page number 1> 
 
 EMI1.1 
 



  "Procédé et ap:';);)';I:'Ql1 pour la prOlluot1on d'images auto- stéréoscopiques".- 
 EMI1.2 
 la présente invention a essentiellenent pour objet   un procéda   ainsi qu'un dispositif ou appareil permettant 
 EMI1.3 
 de produire l'imago autostëreoscopique d'un objet. 



    L'invention   se rapporte plus particulièrement à un   procède   et à un dispositif   grâce   auxquels une information enregis- 
 EMI1.4 
 %r6z 1@ Moyen de d.spos.t sensiblea u.na énerg.e ra3romier peut Ôtre regardée en lumière Do:;ichromatîque "our donner des images autostéréoscopigaes. 



   La   reconstitution   du front d'ondes est un   procède   interférométrique de   roproduotion     d'imagos   en deux étapes 

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 consistant , premièrement, en l'obtention d'un enregistre- ment photographique d'un réseau, de diffraction de Freanel fourni par l'énergie rayonnée par un objet et deuxièmement, en l'utilisation du réseau, enregistré, dénomme   hologramme   de façon 4 reconstituer une image én relief de l'objet original.

   A ce sujet, on citera notamment t   D.   Gabor, Nature 161, 177, 1948; Proceeding of the Royal   Sooiety,     Londres,   A197,   454,    1949.   Le reconstitution d'objets de tons continus, aussi bien que celle d'objets qui ne trans- mettent pas une puissante onde d'arrière-plan a été obtenue en utilisant la technique interférométrique à deux faisceaux utilisant des lasers comme sources de lumière monochromatique cohérente .

   Le procédé interférométrique a également été adapté à la reconstitution autostéréosco- pique d'objets solides,   o'est-à-dire   à trois dimensions, Cependant, les sources de lumière cohérente utilisées pour éclairer les hologrammes sont trop coûteuses pour pouvoir être utilisées de façon économique et pratique dans la reproduction ordinaire d'images. En outre, ces sources sont habituellement volumineuses et le   collimatage   nécessair à la diffraction ajoute à l'aspect massif de   l'appareil,   le rendant en fait   inutilisable à   des   fins   de représentation. 



   Il existe également un autre procédé de production d'images autostéréosoopiques, dit système intégral lenti-   aulaire.   A ce propos, on citera notamment :(G.   Lippmenn,   Académie des Sciences, Comptes Rendus, 146, 1908, pages 446 à 451). Le système lenticulaire intégral comprend essentiellement une grille lenticulaire portant sur l'une de ses faces une multiplicité de toutes petites lentilles sphériques qui sont constituées et   dimenaionnées   de façon que par exposition à l'énergie rayonnéo par un objet, il 

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 se forme une multiplicité de minuscules images latentes dans une couche sensible   à   l'énergie rayonnée envisagée, cette couche étant en contact avec le dos de la   grille,

     Cet ensemble de base sera dénommé dans la suite plaque lenticulaire. Après développement, chaque image ponctuelle, dénommée photogramme lenticulaire, constitue une image d'une partie au moins de l'objet entier, et chaque image diffère légèrement des autres images. L'image réelle à trois dimensions de l'objet entier photographié est ainsi projetée dans l'espace, les éléments qui la composent étant situés exactement à l'endroit qu'ils occupaient dans l'objet original. Cependant, lorsqu'on la regarde, l'imago 
 EMI3.1 
 est psoudoscoplque o'eot4wdire interne externe, ce qui n'est pas naturel et très indésirable pour toutes   les   utilisations courantes. 
 EMI3.2 
 



  Une image atéréoscopique vraie peut ôtro obtenue à partir do l'imago   pseudoscopique,   par exemple en exposant une plaque lenticulaire semblable à l'action do la première plaque éclairée. L'imago réelle pseudoscopique obtenue au moyen de la première plaque est enregistrée sur la seconde sous forme d'une image   stéréoscopiquo,   exactement de la manière dont l'objet "stéréoscopiquo" avait été enregistré sur la première   plaque   sous forme d'une   image   pseudoscopiquo.

   Cependant, il so produit une certaine diminution do la qualité de l'imago duo à la présence du premier réseau lenticulaire de la première plaque dans les photogrammes de la seconde   plaquo,   
Uno variante du système intégral est le système des trous d'épingle, dans lequel une multiplicité de trous d'épingle sont formés dans une couche ou fouille opaque et sont ainsi disposés et   espacés   qu'ils forment des 

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 images latentes adjacentes   minuscules   dans une couche sensible située à une distance appropriée de la rangée des trous d'épingle, de telle façon que les images obtenues ne so recouvrent pas mutuellement.

   Ainsi, de même quo dans le système   lenticulaire,   on peut projeter dans l'espace une imago à trois dimensions en des points correspondants à ceux do l'original. 



   Conformément à la présente invention, on prévoit un procédé perfectionné de production d'une image auto- stéréoscopique d'un objet utilisant un hologramme do   l'objet,   ce procédé étant remarquable notamment en ce que l'on expose une couche sensible (à la radiation envisagée), à une radiation monochromatiquo cohérente diffractée par ledit hologramme et réfractée par une grille qui est intégralo ou solidaire de ladite couche, on développe la couche ainsi exposée, et l'on examine on lumière poly- ohromatique, à travers ladite grille intégrale ou une autre grille identique, la couche précitée qui a été développée 
 EMI4.1 
 Les termes "photographie" "photogrammos" et leurs dérivés, sont employés comme recouvrant n'importe quelle gamme de radiationsdu spectre électromagnétique,

   et non seulement le   spootro   lumineux. Le terme "autostéréosoopiquo" signifie que l'imago est du typo à trois dimensions ot qu'elle est aisément perceptible/à l'oeil nu sans qu'il soit nécessaire   d'utiliser   un appareil particulier d'examen. En suivant le procédé do l'invention, on évite l'exposition d'une plaque intégrale supplémentaire   nécessaire   lorsqu'on utilise les systèmes lenticulaires et de ce fait le réseau parasite lenticulaire ou de trous d'épinglo est éliminé do l'image stéréoscopique finale obtenue. 

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   Lorsqu'on applique le procédé de   l'invention,   on obtient une image   autostéréoscopique   à trois dimensions qui peut être regardée en lumière polychromatique non cohérente, évitant   d'avoir à   examiner   1. t image   dans un appareil   volumineux   et coûteux éclairé par une source de lumière cohérente   monochromatique.   



   En outre, en utilisant le procédé de l'invention, on obtient en une seule étape une image stéréoscopique vraie en exposant directement une plaque intégrale, lenticulaire et/ou pourvue de trous d'épingle, à un hologramme lorsqu'on utilise des sytèmes lenticulaires. 



   Un autre avantage de l'invention, est que los images à trois dimensions obtenues par un procédé inter. férométriquo, peuvent être enregistrées pour des   repré-   sentations,   à   un prix de revient relativement bas, les images présentant une luminosité appropriée. L'imago à trois dimensions peut également être regardée en lumière réfléchie sans   qu'il   soit nécessaire d'utiliser un appareil supplémentaire, et elles peuvent être regardées au moyen de la lumière transmise en utilisant un éclairement relativement peu coûteux et simple. 



   Grâce à l'invention, il est d'autre part possible de rendre visible une image formée par des radiations autres que celles du spectre   lumineux   visible, comprenant notamment les radiations émises par les masers. 



   Les objets et avantages do   l'invention   apparaîtront plus   clairement à.   l'aide de la description détaillée qui va suivre, faite en référence aux dessins annexés donnés uniquement à titre d'exemple et dans lesquels : -. la figure est une vue en plan, faite en partie en coupe, d'un appareil permettant d'examiner des imagos 

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 et utilisé dans la technique interférométrique;      - la figure 2 est une vue en coupe à plus grande échelle, faite avec   arrachement   partiel, d'une partie d'une plaque lenticulaire comprenant une rangée do trous d'épingle; - la figure 3 est une vue en plan, faite on partie on coupe, d'un appareil utilisable suivant la présente invention et illustrant les positions relatives de l'appareil lors de l'étape d'exposition do l'invention;

   - la figure 4 est une vue schématique, faite en partie en coupe, illustrant les positions relatives do l'appareil et des images lors do l'étape d'examen conformément à la présente invention; - la figure 5 est une vue   schématique   d'un appareil pour l'examen des images suivant un autre modo do   réali-   sation conforme à l'invention. 



     ' Les   buta de la présente invention peuvent être atteints en exposant une plaque intégrale lenticulaire et/ou pourvue de trous d'épingle, à la radiation cohérente monochromatique diffractée par un hologramme. Cotte radia- tion peut être constituée par de la lumière, mais n'est pas limitée dans cette zone. La plaque intégrale est alors développée, révélant une rangée do photogrammos d'imagos réelles et/ou virtuelles du premier ordre au moins produites par l'hologramme ainsi irradié et égale- mont de la plaque   d'hologramme   elle-même, cette dernière étant plus ou moins visible suivant les dimensions et la distance .

   La reproduction intégrale dos imagos holo- graphiquos peut être vue directement de la plaque intégrale en lumière   polychromatiquo   non cohérente, par   exemple   à la lumière du jour ou d'un éclairage diffus ordinaire incandescent ou fluorescont. 

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   On peut utiliser une plaque lenticulaire et/ou percée de trous d'épingle comportant une couche sensible   à la   radiation utilisée et fixée de façon permanente   à   une face de la grille lenticulaire et/ou dos trous d'épingle. Cependant il est préférable quo cotte ooucho soit placée sur un film ou sur une plaque qui peut être séparée de la grille pour faciliter le développement . 



  Le film développé peut alors être placé en correspondance avec la mtnc grille lenticulaire et/ou des trous   d'épingle   utilisée lors de l'exposition ou encore avec un   dispositif     optiquoment     semblable   permettant l'examen des images. 



   Dans la figure 1,on a montré un appareil utilisé pour révéler dos hologrammes produits par une technique do reconstitution du front d'ondes ot permettant do faciliter la compréhension de la   présente   invention, L'appareil 10 comprend un bottier 12 étanche   à   la lumière, et une source 14 d'une radiation cohérente   monochromatique,   par exemple engendrée par un laser continu du type hélium- néon, Un hologramme 16, exposé et développé, est maintenu dans son cadre 18 qui lui confère do la rigidité,, RO , R1 VO et V1 sont les imagos réelles ot virtuellos à trois dimensions,

   d'ordre zéro ot du   piemier   ordre produites lorsque l'hologramme est irradié par un rayonnement cohérent monochromatique (par exemple une radiation lumineuse do 6328   Un piège à radiation 20 bloquo les imagos réelles d'ordre zéro et du premier ordre, permettant d'observer par un orifice 22, par   exemple   d'un point tol que le point 0,   l'image   virtuelle du premier ordre V1. 



   Les dessins sont des représentations schématiques des images résultant de l'utilisation du procédé de la présente invention. los rayons lumineux indiques no le 

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 sont qu'à titre d'explication et co no sont pas   néces-   sairoment coux-là qui seront utilisés dans la pratique. 



   On a montré l'hologramme   incline   d'un léger angle par rapport   à   l'axe de la projection do la source cohérente. 



  L'angle form6 entre l'axe do l'hologramme et l'axe de la source cohérente peut être égal à 0  ou voisin do 45  suivant le choix particulier do l'opérateur. Cependant., pour dos   'buts   de représentation, on a trouvé préférable que l'hologramme final soit disposé au voisinage aussi immédiat quo possible de la plaque intégrale. Par suite, il est souhaitable que l'orientation do l'hologramme pendant l'exposition qu'il forme soit   telle   que l'holo- grammo se   pr@te   de lui-même à une orientation parallèle à la plaque intégrale pendant l'exposition de cette dernière. 



   La figure 2 montre uno plaque intégrale typique du type lenticulaire utilisable dans la pratique do l'invention. La plaqua lenticulaire 40   est   habituellement constituée en deux parties, à savoir une grille lenti- culaire 42 et un film 44   revêtu@   d'une couche 58 sensible à la radiation/utilisée.   La   grille lenticulaire 42 comprend d'autre part, une feuille 46 par exemple on méthyl méthacrylate ou autre matériau optiquement transparent et réfringent. Plusieurs   jeux   de lentilles 48 très pou écartés les uns des autres, sont prévus sur la face avant de la fouille 46. Une couche opaquo 50 qui peut être exposée et utilisée avec uno émulsion à forte densité d'argent   est   fixée à la face opposée de la fouille 46.

   La couche 
50 comporte plusieurs ouvertures (trous d'épingle) 52 qui sont chacun disposé sensiblement au contre de courbure d'une lentille 48.   'Une   fouille d'ondossage 54 qui peut 

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 être   réalisée   par exemple on méthyl méthacrylate est fixée   à.     :La   couche optiquement opaque 50 et sert à renforcer la plaque, agissant en outre comme ontretoise assurant l'écartement approprié   avec   le film 44 de façon que la couche sensible au rayonnement utilisé soit sensiblement dans le plan focal des petites lentilles. 



   Dans la figure 3, on a montré un appareil du   môme   type que celui de la figure 1, utilisé lorsqu'on expose une plaque lenticulaire suivant la pratique de l'invention. les   mêmes   références numériques ont été utilisées pour désigner les parties correspondantes.

   Dans la figure 3,' l'hologramme 16' a été tourné do   1800   autour de son axe vertical central de sorte que   3' image     virtuelle   du premier ordre V1 de la figure lest   @aintenant     projetée sous   la forme d'une image réelle du premier ordre   R@   dans la direction do   l'orifice   de regard 22.   L'imago   virtuelle d'ordre zéro Vo est projetée sous la forme d'une image réelle d'ordre zéro R'O dans le piège à radiation 20. Les nouvelles images virtuelles v'O ot V' (qui étalent. précédemment les images réelles Ro et R.) sont formées dans la direction générale de la source 14 ot sont décalées do façon analogue par rapport à l'image d'ordre zéro. 



   Une plaque lenticulaire 40 est placée on regard do   l'hologramme   16', de préférence parallèlement audit hologramme et en son voisinage. La plaque peut également être placée par exemple en 40'. L'émulsion 58 sensible à la radiation utilisée est protégée dos rayons émis avant et après exposition, jusqu'à son développement;

   on peut utiliser par exemple un support de   plaque   avec un couvercle qui coulisse et peut être retiré lors do l'exposition, La couche sensible 58 de la plaque lenticulaire 40 (ou 58' 

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 de la plaque   40')   est exposée au rayonnement cohérent   monochromatiquo   transmis et diffracté par l'hologramme   16'.   L'imago   réelle   do   l'hologramme   est interceptée par la grille   lenticulaire!  les rayons contribuant a former l'imago sont focalisés par les petites   lentilles   sur   la   couche sonsible, formant ainsi la   rangée   désirée d'imagos   ponctuelles,   à raison d'une image derrière chaque   petite   lentille.

   Le type   d'imago   holographique à doux faisceau étant toujours positif, l'onregistrment lenticulaire est do préférence développé par inversion ou impression après développement do façon à obtenir un positif, 
La figure 4 montre un appareil permettant d'examiner le réseau des images photographiques 58". Le réseau peut être placé en correspondance avec la môme grille lenticulaire 42 ou avec une autre grille présentant une structure optique identique à la grille 42, mais no com- portant pas nécessairement la couche opaque 50.

   La   grille   lenticulaire est placée dans un bottier 28 qui est ouvert à ses deux extrémités 29,   31:   les petites lentilles faisant face à l'extrémité 31 et pouvant être éclairées par transparence de façon classique, en utilisant de préférence un dispositif   d'éclairement   creux du type décrit dans le brevet U.S. N Reissued 24.728. L'imago auto- stéréoscopique peut maintenant être examinée en regardant dans la bottior 28, de n'importe quel point à l'intérieur de l'angle solide w . Un observateur peut voir une imago virtuelle V' à trois dimensions do   l'objet   à partir duquel l'hologramme a été fait.

   Comme illustrée toutes les images holographiques et l'hologramme   lui-même     (16")   sont enregistrés et projetés optiquement par la plaque lenticulaire.   L'image   de l'hologramme est réelle et pscudo- scopique et le réseau de diffraction do Frosnel   enregistre   

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 sur l'hologramme présentent un réseau si fin et uniforme qu'il est invisible 4 l'oeil nu.

   L'image lenticulaire réelle de ce réseau enregistré n'est par suite pas soit discernable et n'interfère pas lors de l'examen/de l'image virtuelle lenticulaire désirée provoquée par l'interception. des rayons formant l'image réelle holographique, soit do n'importe quelles autres images, 
Le bottier ou la chambre noire 28 est prévu, de façon à limiter l'anglo solide w et empêcher la détection d'images enregistrées indésirables v"O ,R"O et R" .  La.   profondeur, la largeur et   l'ouverture   angulaire du bottier 28 sont fonction de l'ouverture acceptable de   l'angle W ,   qui est une combinaison de l'ouverture accep- table de l'angle de l'hologramme et de la plaque lenticulaire des imagos particulières choisies. 



   Cependant, le bottior 28 n'a pas d'autre rôle que do limiter le champ de vision, et il peut être supprimé lorsquo l'on désire ou que l'on peut examiner d'autres imagos holographiques présentes dans le champ de la   plaque   lenticulaire, particulièrement lorsque l'on désire réduire au minimum la dimension physique do l'écran lenticulaire. 



   Dans la figure 5, on a montré une forme plus simple d'un appareil conforme à l'invention.   Comme   illustré, ' on a supposé quo la plaque lenticulaire était   disposée,   pour l'enregistrement, sensiblement dans la position 40' do la figure 3; l'imago   holographique   réelle   R@   seulement et uno petite partie de   l'imago   holographique virtuelle V"O ont été enregistrées, en mtmo temps quo l'hologramme lui-même, comme montré respectivement en V"' ,R"'O et 16"' . 



   Si l'on prévoit une couche qui réfléchisse la lumière en la   diffusant,   on place cotte couche on arrière de la couche 

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 sensible do la plaque lenticulaire, la plaque peut être   observée   par réflexion do   la   lumière sans que l'on   fasse   appel à un appareil supplémentaire, 
Los termes et   expressions   qui ont été utilisée dans la présente description, no constituent pas une limitation;

   en particulier, ilsn'excluent nullement des   termes   et expressions équivalents ou semblables, étant entendu quo do nombreuses modifications peuvent être apportées sans sortir du cadre de l'invention, 
Bien ontendu, l'invention n'est nullement limitée aux modes do réalisation décrits et   représentes   qui n'ont été donnés qu'à titra d'exemple,

Claims (1)

  1. REVENDICATIONS 1,- Un procédé de production d'une image autostérécscopique d'un objet utilisant un hologramme de l'objet, ce procédé étant caractérisé en ce que l'on expose une couche sensible à une radiation cohérente monochromatique diffractée par ledit hologramme de l'objet et réfractée par une grille qui est intégrale avec ladite couche sensible, on développe la couche sensible après qu'elle ait été exposée, et l'on regarde en éclairement polychromatique, à travers ladite grille ou une autre grille identique, la couche sensible qui a été développée.
    2.- Procédé suivant la revendication 1, caractérisé en ce que pour exposer ladite couche sensible à la radiation précitée diffractée et réfractée, l'hologramme est ainsi disposé en relation optique avec ladite grille intégrale et ladite couche sensible que l'image réelle du premier ordre de l'hologramme est interceptée par ladite couche.
    3.- Procédé selon la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que ladite grille comporte une multiplicité de petites lentilles, qui sont disposées en@@gard de l'hologramme, 4.- Appareil pour la mise en oeuvre du procédé selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce qu'il comprend un réseau de photogrammes entiers constitué d'un réseaud'images photographiques développées d'un objet transmises et diffractées par un hologramme et une grille intégrale <Desc/Clms Page number 14> en relation optique avec lesdits photogrammes, lesdits photogrammes contenant les éléments d'au moins une image réelle, et d'au moins une image virtuelle de l'objet.
    5.- Appareil suivant la revendication 4, caractérisé en que ladite grille comporte des trous d'épingle, 6.- Appareil selon les revendications 4 ou 5, caractérisé en ce qu'il est prévu un boîtier (28) ouvert à ses deux extrémités, ladite grille étant montée à l'intérieur du bottier au voisinage de l'une de ses extrémités, les photogrammes étant montés de façon à être regardés dans ledit bottier au voisinage de la grille, qui est de préférence lenticulaire.
    7. - Appareil suivant la revendication 6, caractérisé en ce que le réseau précité de photogrammes comprend au moins les images réelles du premier ordre reproduites à partir dudit hologramme et qu'il est orienté avec ladite grille dans ledit bottier de façon que l'axe des images lenticulaires soit aligné avec l'axe du bottier, au moins une partie de ladite image apparaissant sur la face éloignée de ladite grille.
    8.- Procédé en substance comme décrit.
    9.- Appareil en substance comme décrit.
    10.- Images autostéréoscopiques obtenues suivant le procédé des revendications 1 à 3 et 8 et/ou au moyen de l'appareil des revendications 4 à 7 et 9.
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