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Perfectionnements apportas aux récipients permettant la oulture des plantes en milieu non adapté.
On sait que la oulture des plantes nécessite un arrosage adapté à leur nature, une importante aération due racines, et une certaine humidification du feuillages Cette pratique, d'application délicate, orée des contraintes, des servitudes, et engendre d'importantes confusions*
On sait également que l'utilisation de certaines garnitures poreuses, grilles composites..* délicates et compliquées, permettent difficilement un contrôle réel et prat ie de l'humidification.
L'invention tend à supprimer ces inoonvdniente, à permettre une auto-alimentation en fluide simple et efficace, adaptée ou contrôlable, à assurer aux planta des éléments de soutien, aux récipients de grande longueur des moyen supplémentaires de @igidité coopérant avec ceux de fixation, et un aspect très décoratif.
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En vue de ces résultats, les récipients selon 'l'inven-. tien sont caractérisés par les moyens mis en oeuvre aussi bien dans leur ensemble que séparément, et plus particulière- mcnt par le fait qu'ils comportent principalement un bac intérieur (ou plusieurs)recevant ou supportant la masse terreuse associe à un bac extérieur l'enveloppant pour' déterminer au bas, une capacité formant réserve d'eau avec moyens de remplissage et de contrôle, et autour de la masse terreuse une conformation particulière des parois formant une association avec le bac extérieur et cette massé - une ou un certain nombre de cheminées d'aération et d'humi- dification.
L'objet de l'invention se caractérise encore, d'une part, par l'utiliastion pour former les récipients intérieurs-, ou leur fond seulement formant cloison et portant la masse terreuse, en totalité ou en partie d'une matière plastique poreuse, légère et résistante fabriquée à partir d'un polyéthylène de forte densité du type Ziegler et dénommée VYON, d'autre part et accessoirement, par la disposition -de préférence dans la partie inférieure des récipients extérieurs portant les premiers ou leur fond, d'un dispositif centralisateur aux fonctions multiples, visualisant le remplissage et sa périodicité, et assurant le transfert et-' le contrôle de 1''humidification*
Sur les dessins annexés,
do@ és à titre d'exemple non limitstif de plusieurs modes réalisation schématique - de l'objet de l'i@vention :
La figur @ontre @n coupe un mode d'exécution avec récipient intériear en plastique poreux VYON, sans réglage,
La figure 2 représente en coupe partielle les dispo- siti@s central@@teur et avec récipient intérieur. cana paroi formant cloison.
La figure 3 montre en coupe,un récipient avec doseur
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dthumidifïoation non réglable. La figure 4 achématine en coupe transversale un
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récipient à capacité et parois périphériques intérieures cellulaires.
Selon la figure 1, les parois 1 de hauteur réduite
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du récipient 1 coopèrent avec celles 2 du récipient externe 2 pour former une cheminée périphérique dtuèration 3 et lnteraîre à leur jonction toute fuite de terre.
Le récipient 1 porte encore à ron centre une quille creuse 12 ou cheminée d'humidification réduite, formée vers le hHI1, et positionnée sur une protubérance 2 2 du
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récipient 2.
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Lu maure auxiliaire 4 1 eu humidifiée en permanence par contact direct avec les paroi fs de la cheminée 1 dont 1s partie iHU.1l18 et,t établie en desnouu du lljvenu d'eau maxi 5, laquelle, compte tenu de na ecuf-Ututio!) p01"euue oppone une certaine 1'6f1t1to.f.ce à la pénétration trop rapide de l'eau de par la nature mitl-ixoulllunte du VYON.
L'humidifiouUOlJ cOt:plte de la matife tezwmzne 4 s'effectue par capillx>rit6 à partir de la Native 41, et par évhroratlori et, oondeX:lm.tJ.Of. au travers det porpt: fQl'1'tl\tl 1, cht'!mluéetl r<ultiplec d'aératior. et d'husidification du récipient lj le produit VYO: n,x.unt une excellente porr4nl>ili t6 à l'air, t'h important vental (le poioi<lt6 et '<n<i r6oi"trlnce océanique tr; >àp pr tl c à * t> 1 e .
Selon la fip'u'f,t 2, Je récipient jtttSrjeur rtS,tu1t. à t'a. pliit2 ;.ir,!,1 rie cotrportp lueur., fond 6 formant <loàuoi:, en Y'i't>1<, coopérant avec 1 eu 010horll. 7 pour on fJ.(tllitUH ce% celui (le lit n.f\J<lHt tt"rl'''\1t' li.
8p!!r lit coi!<0!. '1, le rccjipifnt 7 .ut pourvu de deux tub!!] Ut'f!6 et 7* 4 forr.,,: xoytux.
Il< r=e;.ài.r< 7 pprte le dl1'POt.Hl( f1'K6rut.1on 9 1t:..1..t.l\nt. l'ihtMrleur <iu l'/'.11.1.l. à i*mtv.o> j>i,1.re pi<i* le conduit 9
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au travers de l'ouverture 92, laquelle, par rotation de l'obturateur 9 maintenu axialement par colerette 9 se trouve plus ou moins masquée par le renflement 74 formant l'ouverture 75 agenoée de façon à permettre l'accessibilité
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phrtielle a la jupe 9 fermée à sa base par un fond 9 4 incliné sur l'ouverture 92.
La variation de la section de passage permet
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deit4fluenoer la ventilation de la masse terreuse 8 au travers de la cloison 6.
La seconde 73 porte le dispositif centralisateur transparent 10 formant fourreau. La cheminée 101 fermée à sa base se remplit rapidement lorsque le niveau d'eau at- teint l'orifice 102 positionné légèrement en retrait par rapport au plan de l'ouverture supérieure de l'obturateur 9, ce qui indique la fin du remplissage.
Le fourreau 10 porte à son sommet, et au-dessus du plan maxi des eaux 12 une protubérance horizontale 103 sur laquelle vient s'enchâsser pour être entraînée en rotation, une pastille formée en plastique poreux VYON 13
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dont le plan supérieur formant une surface semi-circulaire . coopèrepar contact avec le plan correspondant de la cloison et paiement après rotation du fourreau 10, avec une @ conformation particulière 6 de la cloison rendue localement .:on capillaire par compression à chaud.
Entre la pastille 13 et la plateforme 103 est
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1nht'!'ofée itre membrane capillaire 14 à retombée diàeymd. - trique 4nno chacune des cnr'lc1t6u, établiocatit ainsi une 11n.1fJor: er,tre la réserve principale 11 et celle auxiliaire 10 4 pr1l.(.uH>rt du fourreau 10 lare du remplissage.
Celle-01, visible de l'extérieur pier une conformation p.,rticul.1re \'1 récipient 7 ""PU1t18 à un rythme plue lent q3. clui de la 6B.rv. pr1nc1pkl. 11 permettant ur..
'epor1La'1oh du r'ouv'll'ment do 14*4u.
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Par rotation du fourreau 10 on conditionne un ralentissement progressif du cheminement ascendant de l'eau jusqu'à son arrtt; l'ensemble des dispositifs créée entière- ment en matière plastique étant simple de construction et . de montage, robustes, peu encombrants et efficaces.
Selon la figure 3, la cloison 15 porte des ouvertures périphériques verticales 151 dont leur pourtour prend appui sur le récipient 16 d'une façon non étanohe, les capacités ainsi créées étant en communication entre elles avec la réserve d'eau 17 par le simple effet des jeux par exemple, et des ouvertures centrales et périphériques 152 en forme de cratère dirigé vers le bas favorisant 1 effet , de coincement du terreau et prévues pour l'aération.
Au-dessus de la cloison 15, une feuille de matière plastique 18 portant des ouvertures 181 judicieusement implantées et dimensionnées, répartit et dose l'humidifica- tion du terreau 19 en provenance de la zone saturée 191 alimentée par les cheminées 151. Périphériquement, une enveloppe solidaire ou non de la oloison, permet une ventila- tion de la masse terreuse au travers de petites ouvertures en forme de cratère, d'ouie ou de tunnel, empêchant l'échap- pement du terreau; le renouvellement de l'eau tributaire d'un canal vertical 153 formé dans l'enveloppe empiettant sur le terreau aveo échappement de son excès par le trou 25.
Selon une variante, les cheminées d'humidification sont implantées sous la cloison et assurent sa stabilité; le transfert de l'eau s'établissant au travers d'une petite ouverture établie à leur extrémité, l'enveloppe et la cloison pouvant également à leur jonction et par superpo- sition former des ouvertures d'aération très efficaces retenant le terreau.
Selon la figure 4, le récipient profilé 20 porte vers le haut des conduits 201, éventuellement vers le bas,
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dans lesquels peuvent s'engager aux deux extrémités des profilas raidiaseurs pour préhension, suspension ou portage, notam@ent pour fixation ou scellement vertical ou horizontal, ceux-ci pouvant être utilises pour l'arrosage de la super. structure des plante au travers de petits trous adaptés et orientés, et reliée avec ceux d'autres récipients agences pour le drainage, la chauffe artificielle ou le traitement*
Il est fermé sur les deux autres cotés par un flanc rapporté -21 comportant chacun une rainure d'encastrement partiel ou total étanche en partie, ou rendu étanche,
du profil 20, et éventuellement de la (ou des) cloison 22, avec à l'exté- rieur un bec de remplissage 24 formant trop plein, établi légèrement au-dessus du niveau maxi des eaux 23 et communi- quant avec la :réserve d'eau. Le bac intérieur 22 qui reçoit la masse terreuse est prévu en mousse plastique à cellules ouvertes.
L'invention prévoit également ; t
1 ) la multiplicité des filtres préformée ou en vrao sous forme de quilles, cheminées, tubes, ou mèches centrales ou périphériques, aveo possibilité d'adjonction ou de suppression*
2 ) des récipients intérieurs utilisée unitairement ou en ensemble, ou extérieurs en forme de sacs préform4a en plastique souple et mince et portant des ouvertures de communication appropriées et tous moyens de tension, préhension, soutien, fermeture et fixation connus, ou sacs en tissu,
3 ) l'agencement de supports de plante en fils métalliques coopérant avec des colliers de forme adéquate, ces file étant tenus par des conformations correspondantes des récipients.
4 ) des récipients intérieurs, cloison$... comportant au moins une zone capillaire rapportée par soudure, oollage,
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emboîtement...
5 ) une capacité auxiliaire indépendante du dispositif centralisateur.
6 ) un dispositif centralisateur par tube bi-matière, l'une poreuse en VYON coopérant soit avec le réoipient, soit avec la masse terreuse directement, commandé par dessus ot permettant le rempliasage, l'humidification et leur contrôle.
7 ) une ouverture de trop plein située latéralement au- dessus du niveau maxi des eaux* 8 ) l'utilisation de ooupalles supérieures poreuses recou- vrant le dessus des récipients assurant un certain ralenti.- sement de l'évaporation du fluide contenu en suspension dans la masse terreuse, et d'aspect décoratif* 9 ) des garnitures extérieures aux récipients en tissus d'ameublement susceptibles d'être assorties, en cuir, plaooage, fourrures... sous forme de gainage amovible ou fixe.
10 ) toutefois les formes, dimensions, dispositions, nombres et commandes des différente élément déorits pourront varier dans la limite des équivalents, des inverses ou des réciproques, comme d'ailleurs les matières utilisées et les procédés de fabrication, sans ohanger pour celà la conception générale de l'invention qui vient d'être décrite.