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"Dispositif de télécommande pour la manoeuvre d'ouvrants, plus spécialement des portes de garages".
Cette invention concerne plus particulièrement le problème de la manoeuvra,respectivement l'ouverture et la fermeture, au- tomatique à distance de tout genre d'ouvrants, et plus spéciale. ment de portes de garages ou autres.
Ce problème présente une importance de plus en plus grande en raison du développement considérable des transports sur route, de l'encombrement de plus en plus grand des voies publiques ren- dant les manoeuvres sensiblement plus difficiles et,aussi, en raison de l'augmentation croissante du nombre de garages et de l'importance de ceux-ci.
Un autre élément d'intérêt de cette technique moderne est j
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justifié par les exigences de plus en plus grandes des conditions ' de confort et de rapidité d'exécution, D'autre part, dans certains ' cas, cette télécommande contribue réellement à accomplir des de voirs professionnels, ce qui, par exemple, est le cas pour les médecins appelés à tout moment, de jour et de nuit et par tout f!: temps .
On comprend que les obligations successives, notamment en @ pleine nuit et par temps froid, neigeux ou orageux, pour ouvrir la porte du garage, monter dans le véhicule, sortie celui-ci, redescendre du véhicule, fermer la porte du garage, remonter dans ; le véhicule, peuvent être rapidement pénibles, d'autant plus que le même cycle inverse devra être recommencé lors de la rentrée du véhicule*,
La pr@@ente invention apporte à ce problème une solution simple, confortable et, surtout, de grande sécurité.
Ce dispositif comporte, en combinaison, d'une part, une installation pour la manoeuvre mécanique de la porte de tout type approprié mais, de préférence, conforme aux moyens révélés par d'autres brevets déposés à la même date, au nom du même De- mandeur.
Le circuit d'alimentation du moteur électrique commandant l'installation de manoeuvre automatique est contrôlé par un dispo- sitif récepteur capable d'être influencé par un petit appareil émetteur portatif, généralement disposé dans le véhicule mais pouvant parfaitement être porté par l'intéressé', d'une telle manière que la manoeuvre automatique de la porte puisse être com- mandée indifféremment à partir de l'intérieur ou de l'extérieur du véhicule.
La coopération entre les dispositifs récepteur et émetteur se fera par l'intermédiaire d'un code à secret tel que les mêmes appareils peuvent être réglés sur des combinaisons différentes en nombre pratiquement infini. Il en résulte que la fabrication in-
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dustrielle desdits appareils récepteur et émetteur pourra se faire normalement à partir d'un nombre maximum de mêmes pièces consti- tutives, seuls des galets dentés et des cames sous forme de dis- ques relativement minces ou toutes autres dispositions similaires ; devant être adaptés pour réaliser des combinaisons en nombre in- finiment variable, une combinaison étant affectée à chaque in- stallation.
Il en résulte que deux garages voisins disposant or @ ganiquement de mêmes dispositifs de télécommande ne pourront néan- moins se gêner mutuellement, la sélection des deux télécommandes étant systématique et à l'abri de tout aléa.
Ce dispositif de télécommande est également tel que si, pour des raisons quelconques, une combinaison devait*8tre changée, cette modification peut se faire très aisément à moindres frais et avec une égale sécurité,
Il est également remarquable que la distance d'influence du dispositif émetteur sur le dispositif récepteur reste efficace sur une distance relativement considérable qui peut, par exemple, dé- passer 100 m. Il en résulte que les applications de cette télé- commande pourront ainsi être sensiblement augmentées.
Notamment dans le cas d'installations industrielles ou commerciales, ou bien encore dans tous les cas où l'intéressé trouve avantage à faire manoeuvrer automatiquement une porte lorsqu'il se trouve encore à une distance relativement grande de celle-ci, par exemple dans un endroit mouvementé, il peut y avoir intérêt à assurer l'ouverture de la porte de garage à l'approche de celle-ci afin de permettre au conducteur de constater à distance convenable que la porte est ouverte et, ainsi, agir très rapidement pour réintégrer son gara- 8-.
Cette distance d'influence relativement importante trouve également intérêt lorsque, par exemple, on peut télécommander si- multanément un certain nombre de portes à partir d'un même appa- reil émetteur. En raison même de la pluralité de portes, les distances entre appareils émetteur et récepteur peuvent être sensi-
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blement augmentées. Par contre, dans les cas de commande simul- tanée de plusieurs portes, on peut évidemment faire converge* 1* circuit des différents moteurs vers un même appareil récepteur On pourrait aussi mettre en oeuvre une combinaison propre à une instal lation comportant, dans un garage, une pluralité de garages indi- viduels.
Dans ce cas les dispositifs de télécommande selon l'in- @ vention pourraient être tels que chaque intéressé pourrait, par son appareil émetteur, manoeuvrer simultanément la porte du garage ' commun et celle de son garage individuel. Il suffirait, par exem- pla, de dédoubler le signal émetteur pour qu'une partie influence l'appareil récepteur de la porte commune et pour que la seconde par* tie influence l'appareil éceptaur du garage individuel.
Les combinaisons sont infiniment variables, en sorte qu'on peut considérer que la conception révélée par la présente est tel- le que la télécommande peut être adaptée aux différents cas d'ap- plications sans, par ce fait, sortir du cadre de l'invention. les caractéristiques essentielles du dispositif de télé- commande selon l'invention apparaîtront davantage de la descrip- tion plus détaillée ci-après laquelle se réfère aux dessins an- nexés dans lesquels: la figure 1 représente en vue perspective un petitappareil ématteur portatif selon l'invention; la figure 2 représente schématiquement ledit appareil émet. teur en coupe verticale; la liguée 3 représente, à échelle agrandie, la partie indi- quée en F3à la figure 2;
la figure 4 représente la partie supérieure de l'appareil émetteur dans une deuxième position caractéristique du levier de manoeuvre; la figure 5 est une coupe selon la ligne V-V de la figuret; @ r la figure 6 représente la partie supérieure de l'appareil dans une autre position du levier de manoeuvre; '
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la figure7 représente schématiquement un dispositif récep- teur à combinaison.
Dans cette exécution, le dispositif émetteur proprement dit 1 est d'un type connu en soi, à transistor ou autre,exécuté sous une forme extrêmement compacte, alimenté par piles ou batterie de la manière connue, cet appareil émetteur ayant une puissance pouvant aller de 100 à 500 m.
Cet émetteur est logé dans un petit boîtier 2, lequel loge également le dispositif contrôlant la nature des impulsions dont les combinaisons sont infiniment variables et déterminées par le profil d'un galet 3 présentant une pluralité de dents périphériques dont le nombre, le profiloulesimensions et l'interdistance ainsi que la position relative constituent quatre paramètres ou éléments de combinaison permettant de déterminer un nombre pratiquement in- fini d'émissions différentes.
Ce galet 3 est rendu solidaire d'un levier de manoeuvre ± dont l'un des bouts traverse une lumière adéquate 5 dudit bottier, 2 et peut ainsi être aisément accessible et .manoeuvré afin de tourner autour de l'axe! en entraînant fidèlement en rotation cor- relative ledit galet 3.
L'axe 6 prend appui sur un petit carter intérieur ± et est sollicité en permanence vers sa position de repos par un ressort ou barillet ou tout autre moyen de rappel connu en soi. Ce carter 7- prend lui-même appui sur une base élastique 8 formée, par exemple, par une lame dont l'un des bouts, 9, est replié à 90 et fixé à la partie correspondante du support général intérieur 10, De plus, ledit carter intérieur 7. est monté oscillant autour d'un pivot fixe 11 rendu, par exemple, également solidaire dudit support in- térieur 10. Il en résulte qu'en exerçant un effort de poussée sur le susdit axe 6, l'ensemble formé par le galet 3, le levier 4, le carter 7 et une partie du support élastique 8, à compter de son bout libre, va légèrement osciller autour dudit pivot 11.
Sur le
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même pivot 11 prend appui un cliquet 12 dont la dent 13 est en con- tact permanent avec ledit galet 3. Il se trouve en aplomb d'un microcontact 14 qui ouvre ou ferme le circuit de l'émetteur 1 vers ! l'antenne émettrice 15.
La distance qui, au repos, sépare le microcontact 14 de la partie adjacente du cliquet 12 est réglée par la vis de réglage 16.
On obtient ainsi que, normalement, comme représenté aux figures 1, 2 et 3, le levier 4 est ramené en position haute ou position de re- pos par son organe élastique de rappel et,dans cette position, la dent 13 du cliquet 12 est en contact avec la partie cylindrique du galet 3 en aval de la première dent, ledit cliquet 12 se trouvant immobilisé à légère distance du microcontact 14.
Pour ém stre un signal, il suffit d'amener le levier 4 dans sa position d'armement; comme représenté à la figure 4, en le fai- sant tourner autour de son axe 6 et de le libérer. Par cette solli- citation du levier 4, on a exercé une légère pression sur les élé- ments portés par ledit support élastique 8 ainsi que sur ce dernier d'ailleurs, ce qui a écarte le cliquet 12 du microcontact 14 et, par ce fait, protégé ce dernier contre toute sollicitation intempestive au moment de l'armement., En relâchant le levier 4, cet ensemble élastique a repris se position initiale et le levier4 est ramené vers sa position de repos par son élément de rappel élastique, pans ce mouvement de retour, il entraîne le galet 3 dans un mouvement de rotation équiangulaire autour de son axe 6.
Ledit galet 3, par ses- dents, en l'occurrence 17-18-19, sollicite corrélativement le cli- quet 12 lequel transmet ses mouvements au mierocontact 14. Selon le profil et les dimensions des dents et leur interdistance, ledit micro contact 14 sera manoeuvré par des mouvements plus ou moins prolongés et plus ou moins espacés.
Ces variations donnent aux im- pulsions émises par l'antenne 15 une modulation déterminant, en quelque sorte, le signal conventionnel et secret appelé à sélection- ner, dans tous les appareils récepteurs en mouvement, le seul qui
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sera, après immobilisation, capable de fermer le circuit du moteur de l'installation de commande-automatique de manoeuvre de la porte,
Quant au dispositif récepteur, tel que schématisé sommaire- ment à la figure 7, il comprend, en principal, le récepteur pro- prementdit A connu en soi, dont le contacteur électromagnétique est schématisé en Al et est conditionné également de la manière connue afin de fermer le circuit qu'il contrôle au prorata des impulsions reçues;
un relais magnétique B avec double contact B1-B2;un moteur C entraînant un tambour D comportant un certain nombre de cames périphériques a-b-c-d-e, toutes coaxiales et entraînées simultanément et à même vitesse par ledit moteur syn- chrone C, Ces cames et les circuits qu'elles contrôlent sont conditionnés d'une telle manière que la came a assure opportuné- ment l'arrêt systématique du moteur C lorsque le tambour D a ac- compli une révolution complète autour de son axe longitudinal, De plus, cette came est conditionnée d'une telle manière qu'en posi- tion de repos, elle se trouve toujours très exactement dans la position correspondant à l'actionnement de son microcontact C.
La came b est conditionnée d'une telle manière que, via son micro- contact F, elle assure la fermeture du circuit du moteur M nais @ seulement lorsque l'impulsion reçue correspond à la combinaison propre à l'appareil considéré et correspondant à la came c. Ladite came c présente des bossages périphériques dont le profil, le nombre, les dimensions et l'interdistance déterminent le signal personnel sous lequel la porte sera manoeuvréeet qui se trouvera en correspondance avec le profil du galet denté 3 de l'appareil- émetteur propre à l'installation considérée.
La came d, au tra- vers de son microcontact H, est conditionnée de manière à assurer la continuité de la marche de l'appareil à certains mouvements d'ouverture des circuits, ce qui en fait une came de sécurité, En- fin, la came e, au travers de son microcontact I, a essentielle- ment pour fonction de contrôler le circuit d'excitation du relais
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magnétique de contrôle ou de maintien J,
Chacune desdites cames contrôle donc directement un micro- contact, respectivement E-F-G-H-I, Le dispositif est complété par le relais électromagnétique de contrôle ou de maintien J à double contact J1-J2. Un contacteur multiple électromagnétique K contrôle l'alimentation du moteur M, d'une part, par les trois contacts K1-K2-K3 et, d'autre part, par le quatrième contact K4,
ainsi que deux contacteurs de fin de course N-P, de l'installation de ma- noeuvre automatique de la porte. Enfin, l'installation sera géné- ralement complétée par un contacteur ou interrupteur intérieur Q et un contacteur ou interrupteur à serrure R.
Si l'on considère qu'un appareil émetteur, par exemple tel que susdécrit, a été manoeuvré, on obtiendra qu'à la réception de la première impulsion, le contact Al sera fermé, fermant le cir- @ cuit d'excitation du relais B qui, via le contact Bl, ferme le i circuit d'alimentation du moteur C, lequel entraîne en rotation le tambour D..
Dès son déplacement angulaire, la came a manoeuvre le microcontact E, lequel assure la fermeture du circuit d'alimenta- tion du moteur C, même lorsque le contact Al du récepteur est ou- vert, c'est-à-dire que le récepteur ne reçoit plus d'impulsions utiles. Cette alimentation du moteur C sera maintenue tant que le microcontact E n'aura pas été ramené dans sa première position, c'est-à-dire pendant la durée d'une révolution complète du tam- bour D, ce qui ramène la came a dans sa position initiale. Egale- ment, dès le début de la mise en rotation du tambour D, la came c, qui a été immobilisée dans une position active, commence immé- diatement son contrôle de l'impulsion reçue attendu que l'appareil ne pourra fonctionner que si la suite des impulsions reçues corres- pond au profil de ladite came c.
D'autre part, très peu de temps après la mise en rotation du tambour D, la came ± a manoeuvré son microcontact 1,'lequel a fermé le circuit d'excitation de l'électro
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de sontrôle J, Les contacts J1-J2 sont inversés, se plaçant ainsi dans une position d'attente pour intervenir ultérieurement .
La came d présente un profil tel que ses bossages che-
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ruchent les limites de creux de la came ç de manière à assurer . continuité de l'excitation du relais J, malgré qu'entre temps . cccitaci B2 de l'électromagnétique B ait été ramené à sa posi- ':2.on Initiale, en même temps que le mierocontact G a été manoeuvré , p" la eama et On obtiendra donc, vers chaque début ou fin de ma- , ".oeuvre du microcontact G par la came c) corrélatif a chaque vin- xr tion du contact B2, la fermeture du microcontact H par la came fi,ac qui a pour conséquence de maintenir en permanence le relais Eiorittible J en circuit, dans la mesure où les impulsions émises otf l'émetteur correspondent au profil de la came c, Lorsque cette correspondance existe entre l'impulsion émise, iVJxîsetivoment reçue, par le récepteur A, et le profil de la came /j on bti-3;
tJra que, par la came b fermant le microsontaet F et le 'sentit J2 du relais de contrôle J, on ferme la circuit le Ateur M relais K, lequel, via le* contaots K1-K2 K3S' 3,a po #k ' le N'jteur M de l'installation de manoeuvre automatique de lu pos de. Ainsi, la porte sera automatiquement ouverte, respectivement Commet par son profil, la came b ne sert, en fait, que pour assurer la démarrage du moteur M, il est nécessaire évidem-
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ë ce poursuivre l'alimentation du moteur M pendant tout le temps nécessaire à la manoeuvre normale de la porte, soit vert% sa position d'ouverture, soit vers sa position de fermeture,
Cette est poursuivie au travers du contact K4 de 1* électro- aimant K et des microcontacts de fin de course N-P. On obtiendra donc que l'un ou l'autre de ces deux contacteurs sera ouvert suivant que la porte est déplacée en position ouverte ou en position fer-
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rne; le circuit d'alimentation du moteur M sera automatiquement ouvert et, par conséquent, le moteur ainsi que la porte immobîli. ses.
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Par exemple, dans le cas d'une porte basculante, le con- facteur N pourra être contrôlé par la porte ou un élément soli- daire de la porta lorsque celle-ci est en position complètement fermée, tandis que le contacteur P pourrait être contrôlé par la porte ou par un élément solidaire de la porte lorsque celle-ci est en position complètement ouverte.
Cet appareil récepteur pourra être avantageusement enfermé dans un petit boîtier qui pourra lui-même être fixé en tout en- droit jugé convenable, soit dans le garage, soit ailleurs, atten- ! du qu'il suffit de raccorder les fils de sortie dudit boîtier, @
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f-g,-h, au moteur du dispositif de manoeuvre automatique de la pour- te$ tandis que les fils d'entrée i j..k-m du bottier peuvent être raccordés à toute source de courant électrique appropriée.
Il va de soi évidemment que les différents éléments carac-
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téristiquas ausdecrits pourront être mis en oeuvre sous toutes formes adéquates et, notamment, le tambour D sera réalisé de pré- férence par lc montage, sur un axe commun susceptible -d'être en- traîné à vite-be par le moteur C, d'un certain nombrerez tronçons couv.L&\î*. lesquels peuvent être fermement serrées et un position convenable les différentes cames a-b-c-0-eu De ct':
<2 'manière, on pourra réaliser une fabrication in- dustrielle sur la base d'un grand nombre de pièces ou éléments
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communs à tous les appareils récepteurs, seules lesdites cames ±-jâ j étant adaptées au prorata de la combinaison propre à chaque appa-
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reil, soi que lesdites cames sont citées titre ilias
Il va de soi que lesdites cames sont citées titre illus -tratif mais qu'on pourrait les remplacer par toute disposition analogue ou bien encore par des contact insérés ou imprimés ou par des éléments individuels rapportés sur un tambour commun en vue de provoquer opportunément le fonctionnement des leviers de manoeuvre des contacts, respectivement E-F-G-H-I.
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Egalement, on pourra substituer, auxdites cames,-eg des
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jeux de disques mutuellement accolés dont la périphérie présente des bossages et des creux tels que, par la disposition relative de ces disques, on peut créer des cames à profil essentiellement va- niable Le même mode de construction pourrait d'ailleurs être ap- qlisué pour la réalisation des galets à denture 3 du dispositif émetteur.
La construction du dispositif récepteur présente l'avantage de pouvoir appliquer, en dehors du tambour D, pratiquement tous f' ' éléments ou accessoires du commerce, ce qui autorise également une : fabrication relativement très économique et sans aléa. ;
L'invention concerne l'équipement en soi formé du disposi- tif émetteur et du dispositif récepteur établi en corrélation avec le premier pour chaque cas d'application, ainsi que la combinaison de ces dispositifs de télécommande avec tout dispositif de manoeuvre cutomatique de portes coulissantes, roulantes, glissantes, bas- culantes, etc..,. et de tout mobile convenant,
REVENDICATIONS. le Dispositif de télécommande pour la manoeuvre d'ouvrants blue spécialement des portes de garages, caractérisé en ce qu'il consiste substantiellement en la combinaison d'un petit émetteur pertatif capable d'émettre un signal conventionnel prédéterminé et propre à chaque installation considérée;
un appareil récepteur con- ditionné expressément en sorte de ne pouvoir fermer un circuit de @ sortie que sous l'influence dudit signal conventionnel et un dispo- sitif de manoeuvre automatique de la porte dont le circuit du mo- @ teur électrique est contrôlé par ledit circuit de sortie de l'ap- @ pareir récepteur.