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"procédai et installation polir le montage de fermetures à 6trier sur bouteilles 'à goulot a trouslt.
L'invention ccrcerne un procédé et une installation pour le montage automatique des fermetures à étrier sur des bouteilles à goulot à trous telles qu'on les emploie beaucoup comme bou- teilles L. bière.
Le montage de telles fermetures à étrier a été réalisé jusqu'à présent manuellement par des ouvriers. Les fermetures à étrier (une grappe d'étriers de fil de fer accrochés les uns. dans les autres) sont retirées de leur récipient et versées sur une table - si possible, de telle façon.qu'elles se séparent quand on les secoue - puis étalées. Ici, il importe beauooup que l'ouvrier soit adroit pour qu'autant que possible les étriers s'isolent et puissent être saisis.
Ensuite on prend une bouteille d'une rangée disposée a portée de la main, généralement par une autre personne, puis on place l'étrier.
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Lors de la mise en place de l'étrier, il faut veiller à insérer d'abord une branche de la partie inférieure de l'étrier dans l'un des deux trous de pivotement puis faire tourner l'autre branche de l'étrier autour du col de la bouteille jusqu'à-ce- qu'elle saute dans le deuxième trou. En raison de la tension du fil métallique, ce placement se fait sous pression et il faut amortir le choc aveo la paume de la main. Si ce montage est fait sans soin, le fond du trou est abimé et la bouteille pusse au lobut.
Le placement des fermetures à étrier décrit oi-dessus coûte extrêmement oher et demande beaucoup de temps, compte non tenu du fait que ce travail est très monotone pour les ouvriers.
Ce montage manuel présente encore l'inconvénient d'interrompre le travail automatique à la chaîne qui est assuré de nos je es dans la production des bouteilles et la fabrication des étriers d'une part, et la mise en bouteilles, le bouchage et l'emballage par des machines entièrement automatiques, d'au- tre part. fartant de ce niveau de la technique, l'invention se pose comme but, de créer un dispositif qui permet, d'une manière simple, le montage entièrement automatique des fermetures à étrier.
Suivant l'invention, ceci est obtenu par le fait que les bou- teilles amenées, avec un écartement déterminé, sont calées au ; moyen d'un système de galets de pression sur le dispositif de transport et sur lequel elles effectuent un mouvement rotatoire,! sachant que simultanément les fermetures à étrier amenées par des dispositifs de transport sont remises à des pièces de forme ! qui les rapprochent des cols des bouteilles tournantes, et après'
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encliquetage des fermetures à étrier dans les trous, les pièces de forme se retirent et les galets de pression s'ouvrent, si bien que les bouteilles montées sont évacuées par leur dispositif de transport.
Suivant une autre caractéristique de l'invention, le montage automatique des fermetures à étrier s'opère avec un dispositif dont l'un des côtés du dispositif de transport des bouteilles est doté de plusieurs galets de pression installés dans un cadre coulissant, tandis que de l'autre coté du dispositif de transport, on a prévu des galets de friction rotatifs dont le mouvement rotatoire est commandé par un mécanisme, logés dans un cadre fixe, tandis que les disposa ifs de manutention servant à l'amenée des fermetures, de même que les pièces de forme coulis- santes dans la direction des bouteilles et reprenant les fermetures, sont installées au-dessus des galets de friction commendés.
Selon une autre caractéristique de l'invention, le systèm des galets de pression, pour un observateur regardant dans le sens du déplacement des bouteilles, et doté en amont, d'un élément de distribution ayant une vitesse différente de celle du dispositif d'amenée des bouteilles. De cette manière, les bouteilles se trouvent à une distance bien déterminée entre elles, pour arriver ainsi au système de galets de pression aval, avec des éoartements équidistants. L'élément de distribution peut être une croix, de verrouillage dotée d'ouvertures et travailler ensemble avec une tringle de guidage disposée au-dessus du dispositif de manutention, si bien que les bouteilles sont placées à l'écartement désiré.
La croix de verrouillage sera attaquée
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avantageusement par un nombre réglable de bouteilles accumulées devant elle$, via un contact actionné par la dernière bouteille, à l'aide d'un accouplement magnétique, ou autre. Après passage des bouteilles dans la croix de verrouillage,celle-ci, est stoppée par un électro-aimant doté d'un tourillon de ver- rouillage.
L'élément de distribution est doté de cames, ou autres qui ' agissent avec des commutateurs commandant une soupape électro.. magnétique pour l'alimentation alune unité cylindre-piston reliée à un cadre supportant les galets de pression.
De ce fait, les galets de pression sont amenés contre les bouteilles dès que celles-ci afrivent à leur hauteur, pour les ! i serrer contre les galets de friction, si bien que les bouteil- , les sont parfaitement maintenues. La vitesse de translation avant et arrière des galets de pression peut être réglée par l'étranglement d'une soupape.
Les galets de friction sont commandés par des roues dentées montées sur leurs arbres et s'engrenant dans une crémaillère.
La crémaillère est asservie au mouvement d'avance des galets de pression.
Selon une autre caractéristique de l'invention, l'unité piston-cylindre des galets de pression est inversée lorsque la crémaillère a atteint sa position extrême, de sorte que les galets reviennent dans leur position de départ.
Suivant une autre proposition de l'invention, les diverses fermetures à étrier sont enfilées sur des rails d'emmagasinage disposés dans une table montée sur le piston d'un cylindre sous pression, si bien que cette table peut monter. Lorsque la table se trouve dans sa position haute, les tiges d'emmagasinage sont
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sont accouplées à des rails de reprise sur lesquels elles sont serrées par un tiroir.
Les rails de reprise et les rails d'emmagasinage sont con- fugues avec des éléments de transport tournants pour 1' évacua tion des fermetures à Strier. En. dehors du secteur* de travail des éléments de transportaon a prévu des rails inclinés vers le bas, réalisés partiellement comme rail de contact.
Lorsqu'une fermeture à étrier actionne ces rails de contact, le circuit électrique de l'accouplement matnétique de l'élément de trans.. port correspondant est interrompu, et l'élément est mis à l'arrêt les rails inclinés vers le bas sont conjugues avec deux dispo- sitifs de retenue des fermettes à étrier, pour éviter que deux fermetures n'arrivent simultanément dans le dispositif de montage les dispositifs de retenue sont dotés d'un électro-aimant qui, lorsqu'il est enclenché, actionne l'élément de verrouillage et le retire de sa position de verrouillage. Lorsqu'on déclenche 1'électro-aimant,
l'élément de verrouillage revient dans sa po- sition de verrouillage sous l'effet d'un ressort.
Sous chacun des rails inclinés pour les fermetures à étrier se trouve un chariot qui se déplace transversalement par rapport : leur sens de marche. Chaque chariot à déplacement transversal , est conjugué avec une pièce de forme adaptée a la forme des fer- metures à étrier et qui se déplace dans le sens longitudinal sous l'effet d'une unité cylindre-piston sous pression.
En position finale de la crémaillère de commande des galets de friction, les unités cylindre-piston portant les pièces de forme sont inversées par des fins de course et reviennent dans leur position initiale. Dans la position de départ des unités cylindre-piston supportant les pièces de former des commutateurs
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sont actionnés par des bras de contact, enclenchant ainsi le mouvement d'avance des chariots à déplacement transversal, si bien qu'ils viennent se placer devant les pièces de forme.
.ou fait du mouvement vers l'avant des chariots transversaux, les premiers dispositifs d'arrêt, se trouvant dans le sens du transport, sont déclenches et les fermetures à étrier glissent vers les dispositifs d'arrêt subséquents. Du fait de l'aotionnement des premiers dispositifs d'arrêt, les éléments de transport correspondants sont réenclenchés, si bien que les ferme- tures à étrier sont amenés sur les rails inclinés vers le bas.
A la fin du déplacement vers l'avant des chariots à mouvement latéral, l'unité cylindre-piston est alimentée en fluide comprimé via un fin de course et les fermetures à étrier sont reprises par des pièces de forme équipées d'aimants permanents.
.près @@prise des fermetures à étrier par les pièces de forme, la mouvement de retour des chariots transversaux en leur posi- tion de départ est commandé par un bras de contact et un con- tacteur.
Lorsque les chariots transversaux se trouvent dans leur position de départ, les dispositifs d'arrêt subséquents sont actionnés, de sorte que les fermetures à étrier tombent sur les aimants permanents des chariots.
Apres reprise des fermetures à étrier par les pièces de forme, les unités cylindre-piston pour le déplacement vers l'avant des pièces de forme sont mis en service via des bras de contact et des contacteurs.
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Las vitesses de transport duc fermetures à étrier et allir. rivée des bouteilles sont déterminées de telle sorte que les etriers se trouvant sur les pièces de forme, touchent le vol de la bouteille avant que celui-ci ne commence h tourner.
Après le montage des étriers, les pièces de forme retournent dans leur position de départ et les galets de pression s'ouvrent simultanément.
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Afin d'obtenir un plus grand débit et une amenée ent1èremc automatique des diverses fermetures à étrier, l'invention pro" pose de plus, que les barres d'emmagasinage des fermetures à étrier soient placées dans un transporteur tournante doté des
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deux côtés d'éléments reprenant les barres dle=az,asinage 'u Vider pour les placer dans un dispositif de serrage conjugua à l'élément de transport qui amène les étriers aux organes de fermeture. A l'aide de ce dispositif de l'invention il est pos-.
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sible de doter le dispositif d'emmagasinage d'un plus Crai,a nombre de fermetures à étrier, l'amenée étant entièrement auto-
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matique' si bien qu'auoun ouvrier n'est nécessaire pour l'ope" , ration d'amenée et de montage.
Seul l'échange dec barres d'otnM magasinage pleines par des barres vides se fc.xa manuellement, mais comme cette opération peut avoir lieu en diverses stations* l'économie de main d'oeuvre sera très Importante,
Suivant une autre caractéristique de l'invention, l'élément de transport reprenant les barres d'emmagasinage, est réalisé
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sous forme d'un tambour doté de pièces de reprise pour ces bar- res. Dans cette forme de réalisation, les barres d'emmagasinage} sont insérées dans les deux flasques du tambour. Il est cepen- dant également possible d'employer un élément de transport
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du genre patenôtre par exemple, au lieu du tambour.
Les élé- ments de reprise des barres seront montas, de préférence, de manière tournante,pour qu'ils conservent toujours la même posi- tion pendant le mouvement rotatoire du tambour.
Selon une autre proposition de l'invention, on dispose une cellule photoélectrique, ou autre, dans le seoteur de travail du dispositif de serrage, qui commande le retour des barres d'emmagasinage vides dans le dispositif de manutention à l'aide des éléments de levage. La cellule photoélectrique signale le fait qu'il n'y a plus de "armeture à étrier sur le rail et dé- clenche une nouvelle commande qui dispose d'abord le rail vide dans le tambour, puis fait tourner le tambour d'un cran, après quoi les éléments de levage insèrent la barre d'emmagasinage suivante dans le dispositif de serrage.
Si, suite à une inat- tention du préposé, une barre vide est insérée dans le dispo- sitifde serrage, tout le dispositif est mis à l'arrêt à l'aide d'une cellule photoélectrique disposée dans le secteur du dis- ' positif de montage.
Sur leurs côtés, les éléments de levage sont dotés d'équer- res, coulissantes ou autres, qui pendant leur déplacement pé- nètrent dans des ouvertures du tambour pour saisir les barres d ' emmagasinage :Pour éviter avec certitude un coincement éventuel des ferme- tures à étrier sur leur voie d'amenée aux éléments de montage ot annuler ainsi les interruptions de fonctionnement qui en résulteraient, une autre caractéristique de l'invention propose que le dispositif reprenant les fermetures à étrier soit une roue, ou autre, dotée d'éléments de reprise recevant les divers ses fermetures via une griffe, ou autre.Cette reprise forcée
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de même que le pineage subséquent des fermetures garantit un fonctionnement impeccable,
car les fermetures à étrier sont amenées exactement au moment voulu devant le col de la bouteille
Il est avantageux de disposer des galets de guidage, ou autres, des deux côtés de l'élément de transport amenant les fermetures à étrier en provenance d'un dispositif d'emmagasi- nage, assurant l'amenée en position correcte des fermetures vers la griffe, ou autre.
La roue dotée d'éléments de reprise tourne graduellement, la cadence de travail étant donnée par la vitesse de montage de la fermeture.
Suivant une autre caractéristique de l'invention, lorsque le col de la bouteille etles éléments de maintien se trouvent face à face, soit la bouteille qui tourne, soit l'élément de maintien est rapproché au moyen d'unités piston-cylindre.
Vu dans le sens de rotation de la roue, et derrière l'en- droit de montage proprement dit, on a disposé un râcleur d'é- trier dans le secteur derotation des éléments de maintien, si bien qu'un étrier calé ne peut plus retourner dans le cir- cuit .
Il est utile de doter les éléments de maintien d'un aimant suffisamment puissant pour tenir les fermetures à écrier avec sécurité. Cela peut être p.exemple un aimant permanent ou un électro-aimant que l'on peut enclencher et déclencher à volon- té. Une autre possibilité consiste par exemple à fixer les fermetures à étrier sur les éléments de maintien par un système pneumatique.
Afin d'obtenir un passage relativement élevé, d'après une autre caractéristique de l'invention, on peut brancher plusieurs
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dispositifs en parallèle, dont la paire de galets serre chaque ; fois une bouteille et lui implique le mouvement ratatoire. Dans l'objet du brevet principal l'amenée des bouteilles s'opère de ' telle façon que plusieurs bouteilles se trouvant à une certaine ' distance entre elles, sont dirigées vers plusieurs paires de galets de pression. Cette disposition exige une durée de prépa- ration déterminée justifiée par l'amenée des bouteilles en grou-' pes.
Selon la proposition de l'invention, les bouteilles arri- vent une a une et plusieurs dispositifs de montage sont mis en parallèle, si bien que le débit peut être augmentéesensiblement.
.
Dans le cas de deux chaînes de montage parallèles, il est avantageux de placer les dispositifs d'emmagasinage entre les installations d'amenée des bouteilles, si bien qu'un seul homme . suffira pour l'insertion des barres d'emmagasinage.
Suit' et une autre caractéristique de l'invention, les dispo- ' sitifs de montage sont prévus derrière les postes de mesure, i dans la chaîne de fabrication des bouteilles. De cette façon on . obtient un déroulement continu du travail, de sorte que les bou- ;
teilles reconnues bonnes dans les postes de mesure continuent leur chemin vers le montage subséquent. ,
Une autre amélioration de l'emmagasinage, tout en garantis- sant l'accrochage automatique des parties supérieure et inféri- ' eure de la fermeture à étrier, et l'amenée des diverses ferme- tures, est obtenue par une autre caractéristique de l'invention d'après laquelle les parties supérieure et inférieure de la fer- meture à étrier sont insérées dans des dispositifs de maintien situés dans deux plans superposés, et tournant pas à pas, le;
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dispositif. reprenant les parties supérieures des fermetures se se déplaçant de telle façon une voie courbe, que les dispositifs de maintien des parties supérieures sont rapproches des dispo- sitifs de maintien des parties inférieures, sachant que les parties supérieures sont écartées sur une voie courbée, ou autre, puis elles effectuent un mouvement pivotant engendré par un pignon et une crémaillère et que par ce pivotement l'un des orochets de la partie supérieure s'engage d'abord dans l'oeil- let de la partie inférieure correspondante, et que par un pivo- tement dans l'autre sens et par écartement, l'autre crochet est engage dans l'oeillet correspondant,
Les dispositifs de maintien tonnant pas à pas,
travaillent ensemble avec un dispositif de transfert dans lequel les par- ties supérieures et inférieures sont placées dans des supportu magnétiques situés dans deux plans. L'amenée des parties supé- rieures et inférieures des fermetures à étrier s'opère dans ce cas à l'aide de vibrations ou autres, qui séparent les pièces.
A l'aide du dispositif de l'invention, il est possible de rendre entièrement automatique l'amenée des fermetures à étrier à l'automate de montage proprement dit, si bien que 1,'ouvrier chargé de l'assemblage des parties supérieure et inférieure des fermetures, de même que de l'amenée et du processus de montage n'est plus nécessaire.
Il est avantageux de prévoir des tamis aux reprises du dis- positif de transfert conjugué aux dispositifs de maintien qui peuvent être commandés par une' voie courbée, si bien que les . parties supérieure et inférieure peuvent être remises en deux plans à leurs dispositifs de maintien.
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D'après une autre caractéristique de l'invention les divers supports du dispositif de maintien supérieur sont dotés d'un aimant tournant, ou autre, qui aligne et maintient les parties inférieures de l'étrier, si bien qu'elles prennent une position ! bien déterminée, nécessaire pour l'accrochage des crochets de la partie supérieure.
Les divers supports du dispositif de maintien inférieur pos- j sedent un chariot ayant une forma s'approchant d'un U et qui repose via une saillie sur une voie courbée. La partie supéri- ' eure de l'étrier est insérée dnas ce chariot, celui-ci, du fait qu'il s'appuie sur une voie courbée engendre un mouvement d'écart tement dela partie supérieure.
les divers supporta du disposi- ' tif de maintien inférieur sont dotés d'une crémaillère, ou autre,* qui s'engrène avec une roue denrée qui tourne alternativement dans un sens et dans l'autre, de sorte que la fermeture à étrier' effectue un mouvement pivotant, tout d'abord dans un sens poux que le corchet soit engagé dans l'oeillet correspondant, puis dans l'autre sens pour que l'autre crochet soit engagé dans l'oeillet correspondant. Tout juste avant l'accrochage du deu- xième crochet, l'écartement de la partie supérieure a lieu à l'aide des moyens décrits ci-avant, si bien que l'accrochage est très facile.
Afin de simplifier le déroulement des opérations et pour ex- clure les sources d'erreurs éventuelles pouvant provoquer des pannes, il est proposé, suivant une autre caractéristique de l'invention, de placer les bouteilles dans des assiettes tour- nantes disposées sur une plaque tournante, via une vis sans fin et un distributeur en forme de croix, en prévoyant au-dessus de
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la plaque tournante un dispositif de reprise aveo divers sup- ports pour les fermetures à étrier, ces supports étant guidés par une voie courbe dont le rayon est différent de la voie ron- de de la plaque tournante, de telle manière que les fermetures entrent en contact avec la bouteille au poste de montage et que la bouteille soit centrée par le haut par un dispositif de cen- trage du goulot abaissé.
Cet arrêt et cette amenée forcés de la de la bouteille garantissent un fonctionnement inpeccable, car les fermetures sont présentées aveo précision au moment voulu au goulot de la bouteille, puis encliquetées dans les trous de pivotement par une rotation de la bouteille.
Il est avantageux d'insérer les parties inférieures des étriers dans des ouvertures des supports magnétiques, de façon à ce qu'elles aient une position bien déterminée.
Les autres caractéristiques de l'invention sont expliquées en détails à l'aide de quelques exemples de réalisation. Les dessins montrent Fi.l) une vue en plan du côté entrée de la machine, Fig. 2) une vue en élévation de la croix de verrouillage, Fig.3) une vue en élévation des paires de galets de pression avec éléments de transport, Fig.4) une vue en élévation de la table de levage, Fig.5) une vue en élévation du rail d'évacuation, Fig.6) une vue en élévation du rail d'évacuation, inférieur avec chariot transversal, Fig.7) la vue d'un dispositif d'emmagasinage, Fig. 8) une coupe suivant ligne A-B de la fige 7,
Fig.
9,
10 et ll)les diverses positions de travail des éléments de levage lors de la mise en place des barres d'emmagasinage,
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Fig.12) une vue d'une autre forme de réalisation de l'amenée des fermetures à étrier dans le secteur des éléments de montage, Fig.13) une coupe suivant ligne C-D de la fig. 12, Fig. 14)une vue schématique de deux dispositifs de montage mis en parallèle, Fig.15) une autre forme de réalisation en parallèle, Fig.16) une vue en élévation d'une autre forme de réalisation du dispositif de montage, partiellement en coupe, Fig.17) une vue en plan de la fig.
16, partiellement en occupe, Fig.18, 19 et 20) une vue schématique des diverses positions du support de la partie supérieure de l'étrier pendant l'opération d'accrochage, Fig.21) une vue d'une autre forme de réalisation d'un disposi- tif automatique de montage, partiellement en coupe, Fig.22) une vue en plan partielle de la fig. 21 et Fig.23) un détail de la position de montage vue en plan.
Dans la forme de réalisation suivant figures 1-6 les bouteil- les passent en une suit ininterrompue et avec des écarts dif- férents sur la bande d'amenée 1 réglable en hauteur, et devant la 'barre de contact 2, ou après fermeture de tous les contacts 3 la croix de verrouillage 4 se met à tourner, si bien que les bouteilles passent une à une par les ouvertures 5 de la croix de verrouillage et la barre de guidage 6. En raison des vites- ses différentes de la bande d'amenée et de la croix de verrouil- lage, les bouteilles sont mises à distance et atteignent ainsi les paires de galets de pression 7, avec des distances égales.
Par Les bouteilles collectées devant la croix de verrouillage, mais finalement - suivant le nombre de stations - par la der- nière bouteille un circuit électrique est fermé, de sorte que la croix 4 est reliée par l'accouplement du moteur 9, et commen. ce à tourner.
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Un électro-aimant 10 avec tourillon de verrouillage 11 ar- hâte la croix après le passage des bouteilles.
La rotation de la croix provoque via la came réglable 12 qui actionne le micro-commutateur 13, l'inversion d'une soupape électro-pneumatique qui déplace les paires de galets de près- ! sion 7, via un cylindre pneumatique, vers les bouteilles arri- vées. la vitesse d'avance et de recul des paires de galets de pression est réglée par une soupape.
Un système électro-pneumatique réalisé sous forme de comma*. de asservie, déclenche ensuite le mouvement de la crémaillère 15 et fait tourner via les roue? }entées 16 et 17 les galets de friction 18, qui, de leur côté, font tourner les bouteilles.
Dans la position extrême de la crémaillère, les galets le pression sont ramenés éleotro-pneumatiquement, et les bouteil- les sont libérées sur la bande 1 pour le transport subséquent
On propose de plus, d'emmagasiner les étriers supérieurs et inférieurs dès leur assemblage afin d'éviter les accrochages.
Les barres d'emmagasinage 19 dotées de fermetures à étrier, . sont sur la table montante 20 qui est amenée à l'aide cu oylin- dre leveur 21 sous les éléments de transport 23, après qu'on a actionné la soupape 2* Le levier tendeur 24 pousse les barres d'emmagasinage vers l'avant,et de ce fait les parties d'accoup- lement 25,26 sont engrenées. La table montante 20 est ramenée dans sa position initiale où elle est prête à recevoir les pro- chaines barres.
Les éléments de transport 'tournants 23 évacuent les étriors aveo une distance constante depuis la berre d'emmagasinage 19 sur le rail de départ 27.
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Des qu'une fermeture à étrier est libérée par les éléments de transport et qu'elle a donc quitte la ligne droite du rail de départe elle touche le contact électrique 29 dans la partie inclinée 28, et interrompt l'attaque du transporteur par débrayage de l'accouplement magnétique 30.
Les dispositifs d'arrêt 31,34 à effet alternatif, prévus pour éviter que deux étriers ne tombent simultanément, sont déclenchés par l'avance du chariot transversal 32, s'ouvrent via l'électro-aimant 33 et libèrent la chute de l'étrier jusqu'au dispositif d'arrêt 54.
De ce fait, l'accouplement 30 se ferme et l'élément de transport amené l'étrier suivant.
Le retour du chariot 32 ouvre le dispositif d'arrêt inférieur; 34 et laisse tomber l'étrier sur l'aimant permanent 35 du oha- . riot transversal. verse ' La position extrême de la crémaillère, décrite oi-vant, verse électro-pneumatiquement les cylindres 36 et 37 qui retirent les pièces de forme 38. Dans la position de départ de ces cylindres ! un bras de contact 39 actionne le micro-commutateur 40 qui de con côté am&ne le chariot transversal électro-pneumatiquement devant la pièce de forme. De ce fait le cylindre 36 sort et l'étrier est placé sur l'aimant permanent 41 de la pièce de forme 39.
Le bras de contact 39 touche le micro-commutateur 42, après quoi le chariot retourne dans sa position initiale, par commande électro-pneumatique,
Lors du retour du chariot transversal, le mioro-commutateur45 est actionné par le bras de contact 39 et l'unité piston-cylindre 37 est ainsi enclenchée, si bien que les pièces de forme 38 et les fermetures à étrier sont déplacées vers les bouteilles.
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Le déroulement dans le temps du transport des étriers et de l'arrivée des bouteilles ont été calculés de telle sorte que l'étrier se trouvant sur la pièce de forme 38, touche le goulot de la bouteille, avant que la bouteille ne commence à tourner.
Par la pression sur la pièce de forme, replace par le système pneumatique, de même que par les éléments 'de transport. 43, les branches des étriers s'encastrent l'une après l'autre dans les trous de la bouteille qui tourne* L'étrier même se soulève de la Se* pièce de forme à la fin du montage, pendant le mouvement rotatoire.
Ensuite les pièces de forme retournent ot les galets de pression 7 s'ouvrent, les bouteilles montées quittent la machi- ne par la bande transporteuse 1.
Dans la forme de réalisation des figures 7 11, on part du fait que les divers étriers supérieurs et inférieurs préfabri- gués sont emmagasinés immédiatement après leur assemblage afin
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d'ester qu'ils ne s'entortillent, o. d. que ces fermetures à étrier sont glissées sur des barres d'emmagasinage.
Les barres d'emmagasinage 19 chargées de fermetures à étrier sont insérées dans le tambour 50, des deux côtés duquel sont
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disposés les éléments de levage 51. '' <* !f)GU'.1. iii lt"\IO(:1 if..
Les éléments de levage 51 sont placés sur les supports 52 dans lesquels le tambour 50 tourne. Dans l'un des supports 52 se trouve un mécanisme de manoeuvre graduelle, comme montré en 53, qui engendre la rotation, pas par pas, du tambour 50.
Les barres d'emmagasinage 19 sont placées sur les pièces de reprise 54 qui tournent dans le tambour 50, de sorte que les barres d'emmagasinage 19 gardent toujours leur même position.
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Les éléments de levage 51 sont dotés sur les côtés, d'équerros 55 coulissantes, qui lors de leur déplacement s'introduit sent dans les ouvertures 56 des flasques du tambour 50 pour saisir ainsi les barres d'emmagasinage 19.
Les baxxes d'emmagasinage 19 soulevées sont placées dans le ' dispositif tendeur 56. Dans le secteur du dispositif tendeur le, transporteur 23 que amène les divers fermetures à étrier sur le rail d'évacuation 26 qui les évacue vers le dispositif de ; montage 1 proprement dit.
Le fonctionnement de la disposition sera expliqué plus en détails t'il l'aide des figures 9, 10 et 11.
Pour serrer une barre d'emmagasinage 19, 'les équerres 55 nont enfoncées dans les trous 56 pratiques des deux côtés du tambour 50, de façon qu'elle se trouve en-dessous des éléments de reprisa 54,comme montré à la fig. 10, Ensuite on actionne les éléments de levage 51 qui soulèvent les barres d'emmagasipage 19,comme montré à la figure 11, et les placent dans le ; dispositif de serrage 56 qui est solidement relié aux barres d'ommagasinage 19 par un mouvement latéral ainsi que le montre la flèche 60.
Les fermetures à étrier se trouvant sur les bar- ves d'emmagasinage sont évacuées par la bande transporteuse non montrée aux fig. 9-10, sur la barre de départ 26 pour arriver aux organes de montage 1.
Lorsque la barre d'emmagasinage 19 est vidée, la cellule photo-électrique 65 provoque son retour au tambour 50 à l'aide ' des éléments de levage 51, 55 et commande par asservissement un nouveau pas de rotation du tambour, de façon que la nouvelle bar--e d'emmagasinage chargée de fermetures à étrier puisse être chargée dans le dispositif de serrage.
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Dans la forme de réalisation des fig. 12 et 13, les barres d'emmagasinage sont désignées par 19, au-dessus d'elles se txou vers l'élément de guidage 23 qui amène- les fermetures à étrier.
Ainsi que le montre en particulier la fig. 13, des galets de guidage 70 sont' disposés des deux cotes de l'élément de guidage et 23/de la barre d'emmagasinage 19 pour assurer une position correcte aux fermetures à étrier amenées.'
A l'extrémité de la barre d'emmagasinage 19 on a prévu un dispositif d'arrêt 34 qui se charge de séparer les fermetures à étrier ainsi que nous l'avons -expliqué plus haut.
A l'extrémité de la'barre d'eiragasinage' 19 se trouve une griffe 71 qui peut exécuter un mouvement ascendant et descen- dant.
En dessous de la barre d'emmagasinage 19 on a installé le dispositif de maintien 72 formé par une roue 74 dotée d'éléments de maintien 73. les bouteilles 75 sont amenées au poste de montage à l'aide du transporteur 76. Les bouteilles sont serrées à l'aide de ge- lets de pression et on leur implique un mouvement rotatoire comme décrit plus haut. De plus, les bouteilles 75 sont dépla- cées en travers de leur sens de marche, ainsi que le montre la flèche 77, vers la roue 74 ou en retour, ce qui peut être réa- lisé à l'aide de galets de pression.
Le fonctionnement de cette disposition, est le suivant t
La fermeture à étrier libérée par le dispositif de maintien 34 arrive sur la griffe 74 qui, en s'abaissant sous l'effet d'un piston et d'un cylindre non montrés, la transmet à un élément
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de maintien 3 de la roue 74. La fermeture à étrier est main- tenue par des-forces magnétiques, de sorte qu'elle est raclée de la griffe pendant le mouvement descendant pour être alors solidement fixée sur l'élément 73. Par la rotation pas à pas de la roue 74, la fermeture à étrier arrive dans la position 78 dans laquelle le col de bouteille 75 et l'élément de maintien78 se trouvent exactement en face.
Par une commande décrite en dé tails plus haut, la bouteille 75 subit un mouvement rotatoire et elle est déplacée vers la roue 74, si bien que les ferme- tures à étrier s'encliquètent dans les trous de pivotement et le montage est terminé.
Pour rendre impssible le retour d'une fermeture à étrier dans le circuit, on a prévu le râcleur d'étrier 79.
Dans la forme de réalisation suivant fig. 14 et 15, la bande transporteuse 19 amène les bouteilles provenant de la machine de fabrication. A l'aide d'un dispositif séparateur 82 les bouteilles 83 sont scindées en deux voies parallèles 84, Chaque voie est équipée d'une installation de montage 85, comme décrit ci-dessus. es installations de montage 85 travaillent chacune avec une paire de galets de pression, si bien qu'une bouteille est saisie chaque fois. Ceci permet d'obtenir un débit élevé.
L'exemple de réalisation suivant fig. 15 dans lequel les dis- positifs d'emmagasinage des installations de montage 85 se trou vent à l'intérieur des deux chaînes 84, est particulièrement avantageux. Dans ce cas, la mise en place des barres d'em- magasinage peut être faite par une seule personne, et cela pour les deux installations de montage.
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Après le montage des fermetures à étrier les bouteilles 83 sont conduites soit à l'emballage, soit directement au remplissage.
Dans la forme de réalisation suivant figé 16-20, le dispositif de maintien supérieur 101 et celui inférieur 102 tournent pas à pas et possèdent plusieurs pièces de maintien 103 pour les parties inférieures et supérieures des étriers. Le dispositif de maintien supérieur 101 tourne dans un plan, tandis que le dispositif de maintien inférieur 102 monte et descend sur une, voie courbée. Four faciliter la lecture du dessin, la voie courbée a été rabattue à 1800.
Les dispositifs demaintien 101, 102 travaillent ensemble avec le dispositif de transfert 105 dans les ouvertures 106 et 107 duquel sont placés les parties supérieure et inférieure, ce qui peut être réalisé par exemple par des transporteurs à secousses, ou autres, qui se chargent d'isoler les parties inférieures et supérieures. Comme montré au dessin, les parties supérieures 108 sont déposées dans leéupport 106 et les parties inférieures 109 dans le support 107. Le transfert des parties supérieures 108 et des parties inférieures 109 aux dispositifs de maintien 101 et 102 est réalisé à l'aide des tiroirs 110 qui sont commandés par les guidages courbes 111.
Les diverses pièces de maintien 103 du dispositif de maintien supérieur 101 sont dotées d'un aimant tournant 112 qui aligne et maintient les parties inférieures 109 des étriers.
Ainsi qu'on peut le voir notamment dans les fige 18 àt 20, les diverses pièces 103 du dispositif de maintien inférieur 102 possèdent un chariot 113 ayant approximativement la forme d'un U qui s'appuie avec une saillie 114 sur une voie courbée 115.
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Les diverses pièces 103 du dispositif demaintien Inférieur 102 sont dotées d'une crémaillère 116 qui engrené aveo une roue dentée 117 qui tourne alternativement dans un sens et dans l'autre, comme l'indique la flèche 119.
Les bouteilles 122 sont amenées par une vis 119 dans un distributeur 120 en forme de croix qui dépose les bouteilles 122 dans une assiette tournante 121. L'assiette 121 peut monter et descendre, sachant que ce mouvement ascendant et descendant peut être réalisé par une voie courbe'123. La bouteille 122 est serrée par le haut au moyen d'une ouverture de centrage 123 qui est commandée par la voie courbe 124, c.à.d. qu'elle entre dans le goulot et qu'elle en est retirée.
Le fonctionnement de cette disposition est le suivant :
Après placement de la partie supérieure 108 et inférieure 109au moyen du tiroir 110 sur les diverses pièces de maintien 103 de -dispositif 101 et 102, par exemple au moyen d'un aimant, le mouvement ascendant des supports du dispositif de maintien inférieur 102 a lieu par l'intermédiaire de la voie courbe 104, de sorte que la partie supérieure 108 est rapprochée de la partie inférieure 109 correspondante.
Comme montré aux figures 18,19 et 20 le support 103 est pivoté tout d'abord de telle façon que le crochet 125 de la partie supérieure s'engage dans l'oeillet correspondant de la partie inférieure 109. Ensuite, la roue dentée 118 tourne en sens inverse, de sorte que l'autre crochet 126 de la partie supérieure 108 s'approche de l'oeillet correspondant de la par, tie inférieure 109. Avant que le crochet 126 n'ait atteint sa position d'accrochage, le chariot 113 est poussé vers l'ex- térieur via la saillie 114 et la voie courbe 115 ce qui pro- voque l'écartement de la partie supérieure. Dans cette position le crochet 126 peut s'engager dans l'oeillet correspondant.
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Après l'assemblage des parties supérieure,* et inférieure de l'étrier, oelles-ci sont amenées pas à pas vers les brides 122, ; et par leur mouvement de rotation, elles s'encliquetant dans les trous de pivotement, ainsi la fermeture est montée sur le col de la bouteille.
Dans l'exemple de réalisation suivant fig. 21 - 23, le dispo- sitif de'maintien supérieur est désigné par 201 et le dispositif ! de maintien inférieur par 202, la partie inférieure de la ferme - ture à étrier par 203 et la partie supérieure de la fermeture à étrier par 204.
Les dispositifs de maintien 201 et 202 sont conjugués au dis- positif de transfert 205 doté des maintiens 206 et 207 située dans deux plans. Une installation de manutention non montrée, par exemple un transporteur à secousses amené séparément les pièces inférieures et supérieures individuelles, après quoi les pièces sont placées dans les supports 206 et 207. Après l'assem- blage de la partie supérieure 204 et inférieure 203 de la ferme- ture, ce qui est réalisé par le rapprochement du dispositif de maintien 202, via la voie courbe 208, au dispositif de maintien supérieur 201, la fermeture assemblée par accrochage est condui- te au poste de montage via les dispositif 201. Les maintiens 209 du dispositif 201 sont guidés par les tourillons 210 dans la voie courbe 211.
La partie inférieure 203 est insérée dans les ouvertures du maintien magnétique 209 où elle est tenue fermement
Les bouteilles 212 à munir d'une fermeture sont déposées sur les assiettes tournantes 215 de la plaque tournante 216, h l'aide d'une vis sans fin 213 et un distributeur 214 en forme de croix.
Les assiettes tournantes 215 sont agencées de manière qu'elles
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puissent monter et descendre, les mouvements ascendant et des- cendant étant commandes par la voie de guidage 217. A l'entrée et à la sortie des bouteilles, la surface de l'assiette tour- nante se trouve au niveau de la plaque tournante.
Au-dessus du dispositif de maintien 201 se trouve un dispo- . sitif de centrage des goulots 218 qui est abaissé au lieu de , montage sur le goulot de la bouteille 212, via la voie courbée 219. Dès que le montage est terminé, le centreur-de goulots 218 est relevé, si bien que la bouteille peut être retirée de la plaque tournante.
Les centres de la oie courbée 211 et de la plaque tournante 216 sont disposés à une certaine distance entre eux, de façon qu'on obtienne un mouvement du dispositif de maintien sur le goulot de la bouteille, au lieu d.e montage. Du fait du mouve- ment rotatoire de la bouteille 212, on obtient l'encliquetage de la fermeture dans les trous de pivotement de la bouteille au moment où l'on présente la fermeture à étrier au col de la bou- teille.
Tout le dispositif travaille pas à pas, la plaque tournante, le dispositif de maintien et le centrage des goulots travaillant au même rythme.
La fig, 3 montre, a grande échelle, l'amenée des maintiens 201 au col de la bouteille.
Le dispositif de l'invention peut être employé pour n'importe quel nombre de bouteilles, il suffit de prévoir les dispositifs correspondants d'amenée pour les fermetures à étrier, les cha- riots transversaux et les pièces de forme pour l'amenée des fer- metures aux bouteilles, Par ailleurs, le dispositif de l'inven- tion est de conception extrêmement simple et il permet le mon- tage rapide et sûre des fermetures à étrier.