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"LAMPE AU CHATEAU AVEC INDICATEUR D'INSUFFISANCE D'OXYGENE"
Le présent perfectionnement concerne une lampe au chapeau, par exemple pour exploitation minière, telle que décrite dans le brevet principal, lequel a pour objet une lampe au chapeau alimentée en courant par des éléments accumulateurs logés dans un porte-batterie attaché au corps de l'opérateur. Ce porte-batterie est groupé, en un ensemble facile à manipuler, avec un indicateur d'insuffisance / d'oxygène qui avertit le porteur de la lampe grâce à un
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signal acoustique.
Dans une forme de réalisation du bxevet principal, l'indicateur d'insuffisance d'oxygène comporte une flamme alimentée par un liquide combustible, dont la lumière est palpée par une diode photo-électrique et transmise, en fonction de l'intensité de la flamme, par un amplificateur à transistor, à un avertisseur acoustique.
La lampe au chapeau selon le brevet principal dans laquelle le porte-batterie forme un ensemble facile à manipuler s'est comportée en service de façon remarquable car elle était le premier petit appareil que le mineur pouvait porter sans être sensiblement gêné et elle permettait une indication sûre du danger, en cas d'insuffisance d'oxygène
Il n'y avait que la cellule photo-électrique, palpeuse de la lumière de la flamme, qui laissait à désirer car elle n'était pas assez sensible et était sujette à des dérangements dans le cas d'un trop fort échauffement.
Les cellules photo-électriques doivent être placées suffisamment près de la flamme pour fonctionner encore bien quand l'axe de la flamme s'incline, de sorte que dans certains cas elles sont trop fortement chauffées.
Conformément à la présente addition l'indicateur d'insuffisance d'oxygène est modifié en ce que la flamme est palpée par un ou plusieurs couples thermo-électriques branchés en série.
Les couples électriques sont moins susceptibles de dérangements que les cellules photo-électriques. Ils peuvent être placés suffisamment près de la flamme et même @ être mis dans la flamme, sans subir d'effets thermiques nuisibles.
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L'emploi des couples thermo-électriques permet d'utiliser des amplificateurs plus faibles pour les avertis- seurs car on peut prendre sur les couples électriques des courants non négligeables, quand leur résistance inférieure est suffisamment faible, on réalise ainsi une meilleure ,adaptation de puissance à l'entrée faiblement ohmique d'un circuit amplificateur à transistor. Il en résulte que l'indi- cateur d'insuffisance d'oxygène devient d'une simplicité peu coûteuse et peu encombrante. On dispose aussi, justement pour la zone des températures intéressées,de moyens relativement bon marché pour mesurer les tensions thermo-électriques. On peut utiliser avec succès des @@uples cuivre-constantan ou fer-constantan.
Dans la. lampe au chapeau conforme à l'addition on emploie comme avertisseur, un générateur à fréquence sonore dont la fréquence varie périodiquement et lentement, de sorte que le son avertisseur se distingue nettement dee bruits extérieurs.
La description qui va suivre en regard de la figure unique, donnée à titre d'exemple non limitatif, fera bien comprendre comment l'invention peut être réalisée, les particularités qui ressortent tant du dessin que du texte faisant, bien entendu, partie de ladite invention.
Un réservoir 1 rempli de gaz butans liquide est muni d'un robinet détenteur 2 et d'un dispositif de fermeture
3 associé au réglage de ce robinet. Seul est accessible de l'extérieur au porteur de l'appareil, le dispositif de ferme- ture 3, de sorte qu'à l'ouverture de celui-ci il en sort du gaz butane. Ce gaz est allumé par les spires en platine 4 chauffées électriquement. L'air est amené à la flamme par
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les fentes en segment axial de l'enveloppe de protection 5 qui dévie en même temps l'air de 90 sur les tamis pour l'air introduit 6 et 7 faits en acier spécial inoxydable.
Les gaz @ brûlés sont évacués à travers les tamis de sortie 8, 9, 10 et par le couvercle 11 qui sert de protecteur mécanique des tamis et qui dévie en même temps les gaz de 90 .
Un ou plsieurs couples électriques 12. branchés en série entrent dans la flamme et sont chauffés par elle. Ils ... deviennent le siège d'une tension thermo-électrique qui est ' renforcée par un amplificateur à transistor 13 alimenté par la batterie 14 de la lampe au chapeau. La tension thermique amplifiée bloque un générateur à transistor à fréquence sonore variable périodiquement 15 qui travaille sur le spider d'un haut-parleur dynamique 16 insensible au grisou.
Dès que la flamme, s'éteint la tension thermique tombe le générateur à fréquence sonore est débloqué ; le spider du haut-parleur donne un son de sirène dont la fréquence varie périodiquement, en faisant signal d'alarme. Le mineur peut alors s'enfuir rapidement de la zone dangereuse grâce à la bonne lumière de sa lampe au chapeau.
En appuyant sur le bouton d'allumage (non repré- senté) la flamme est rallumée, ce qui arrête le signal d'alarme.
Le générateur à fréquence sonore est bloqué égale- ment, quand la lampe qui est reliée à l'appareil avertisseur est branchée sur l'étagère de rechargement dans la lampisterie.
Ce n'est qu'à ce moment que la flamme peut être éteinte sans que le signal d'alarme retentisse.
Dans la pratique, la lampe au chapeau avec son dispositif avertisseur est retirée de l'étagère de chargement.
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Le signal d'alarme retentit. On ouvre le dispositif de fermeture la flamme s'allie et le signal d'alarme s'arrête*
A la fin du poste de travail, le dispositif de fermeture est fermé, il faut alors que le signal d'alarme retentisse comme contrôle du bon fonctionnement du dispositif de fermeture et de l'appareil avertisseur. En branchant ensuite la place de tête dans le circuit de chargement le signal d'alarme sonore doit s'arrêter.
En définitive il y a ainsi obligatoirement à chaque commencement et à chaque fin de poste un essai automatique de fonctionnement.
Il va de soi que des modifications peuvent Atre apportées aux modes de réalisation qui viennent d'être décrits, notamment par substitution de moyens techniques équivalents, sans que l'on sorte pour cela du cadre de la présente invention.
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"LAMP AT THE CASTLE WITH OXYGEN INSUFFICIENCY INDICATOR"
The present improvement relates to a hat lamp, for example for mining, as described in the main patent, which relates to a hat lamp supplied with current by accumulator elements housed in a battery holder attached to the body of the operator. This battery holder is bundled, into an easy to handle assembly, with an insufficient / oxygen indicator that alerts the wearer of the lamp with a
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acoustic signal.
In one embodiment of the main bxevet, the oxygen deficiency indicator comprises a flame supplied with a combustible liquid, the light of which is sensed by a photoelectric diode and transmitted, depending on the intensity of the flame. , by a transistor amplifier, to an acoustic warning device.
The hat lamp according to the principal patent in which the battery holder forms an easy-to-handle assembly performed remarkably in service as it was the first small device that the miner could wear without being noticeably hampered and it allowed an indication. safe from danger, in case of insufficient oxygen
There was only the photoelectric cell, feeling the light of the flame, which left something to be desired because it was not sensitive enough and was subject to disturbances in the event of too much heating.
Photocells must be placed close enough to the flame to still function well when the axis of the flame tilts, so that in some cases they are overheated.
In accordance with the present addition, the oxygen insufficiency indicator is modified in that the flame is palpated by one or more thermoelectric couples connected in series.
Electric couples are less susceptible to disturbances than photocells. They can be placed close enough to the flame and even be put into the flame, without suffering harmful thermal effects.
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The use of thermoelectric couples makes it possible to use weaker amplifiers for the warning devices because it is possible to take non-negligible currents from the electric couples, when their lower resistance is sufficiently low, thus achieving a better adaptation of power at the low ohmic input of a transistor amplifier circuit. As a result, the oxygen deficiency indicator becomes inexpensive and space-saving simplicity. Relatively inexpensive means for measuring thermoelectric voltages are also available, precisely for the temperature zone concerned. Copper-constantan or iron-constantan uples can be used successfully.
In the. lamp in the hat conforming to the addition is used as a warning device, a generator with a sound frequency, the frequency of which varies periodically and slowly, so that the warning sound is clearly distinguished from external noises.
The description which will follow with regard to the single figure, given by way of nonlimiting example, will make it clear how the invention can be implemented, the particularities which emerge both from the drawing and from the text forming, of course, part of said invention.
A tank 1 filled with liquid butans gas is fitted with a holding valve 2 and a closing device
3 associated with the adjustment of this valve. Only the closing device 3 is accessible from the outside to the wearer of the appliance, so that when the latter is opened, butane gas comes out. This gas is ignited by the electrically heated platinum 4 turns. The air is brought to the flame by
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the slits in the axial segment of the protective casing 5 which at the same time deflects the air by 90 on the screens for the introduced air 6 and 7 made of special stainless steel.
The burnt gases are discharged through the outlet sieves 8, 9, 10 and through the cover 11 which serves as a mechanical protector of the sieves and which at the same time deflects the gases by 90.
One or more electric couples 12. connected in series enter the flame and are heated by it. They ... become the seat of a thermoelectric voltage which is' reinforced by a transistor amplifier 13 supplied by the battery 14 of the hat lamp. The amplified thermal voltage blocks a periodically variable sound frequency transistor generator 15 which works on the spider of a dynamic loudspeaker 16 insensitive to firedamp.
As soon as the flame goes out, the thermal voltage drops; the sound frequency generator is released; the speaker spider gives a siren sound whose frequency varies periodically, giving an alarm signal. The miner can then quickly escape from the danger zone thanks to the good light of his lamp in the hat.
By pressing the ignition button (not shown) the flame is re-ignited, which stops the alarm signal.
The sound frequency generator is also blocked when the lamp which is connected to the warning device is plugged into the recharging shelf in the lamp room.
Only then can the flame be extinguished without the alarm signal sounding.
In practice, the hat lamp with its warning device is removed from the loading shelf.
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The alarm signal sounds. The closing device is opened, the flame is combined and the alarm signal stops *
At the end of the working shift, the closing device is closed; the alarm signal must then sound as a check of the correct functioning of the closing device and the warning device. By then plugging the head seat into the charging circuit, the audible alarm signal should stop.
In the end, there must therefore be an automatic operating test at each start and end of each shift.
It goes without saying that modifications can be made to the embodiments which have just been described, in particular by substitution of equivalent technical means, without going beyond the scope of the present invention.