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"Dispositif de sécurité pour les conduits à oxygène."
Un accident mortel lors de travaux de soudure dans un réservoir et provoqué par une fuite d'oxygène, a imposé la création d'un dispositif de sécurité spécial qui exclut toute fuite accidentelle de l'oxygène.,
La présente inventien est relative à un tel dispositif de sécurité qui empêche la moindre fuite de l'oxygène, même lorsque le tuyau à oxygè- ne n'est que faiblement endommagé.
La présente invention propose un dispositif de sécurité pour les conduits à oxygène plus particulièrement des installations de soudure et de coupage et qui est constitué par une soupape commandée par une membra- ne qui est soumise à l'un des côtés, à la pression de l'oxygène conduit
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vers le chalumeau et le dit dispositif se caractérise du fait qu'on pré- voit un conduit pouvant être bloqué qui relie le conduit d'admission à une chambre fermée, située au-dessus de la membrane de commande et qui est relié à un espace annulaire fermé qui est formé par un tuyau de man- teau qui entoure le tuyau à oxygène sur toute la longueur de ce dernier,
tandis qu'entre le conduit d'a-dmission et le conduit qui peut être blo- qué est prévue une soupape qui se ferme automatiquement et qui doit être ouverte de l'extérieur lors de la mise en service du dispositif de sécu- rité.
Une forme d'exécution, donnée à titre d'exemple non limitatif, est représentée aux dessins annexés, dans lesquels : La fig. l est un ecoupe du dispositif de sécyurité à l'étaqt de servi-
La fig. 2 représente la méne coupe du dispositif lors de l'appari- tion d'une inétanchéité du tuyau de manteau extérieur.
A la fig. 1, le repère 2 désigne un boîtier dans lequel est prévue une membrane de commande 3 dont le bord extérieur est serré au moyen d'un couvercle bombé 4 et à l'aide de vis ou similaires de manière qu'entre la membrane 3 et le couvercle 4 il se forme une chambre 39 appropriée à la commande de la pression.
Des deux côtés de la membrane 3 sont prévues des assiettes S qui sont reliées à la membrane, par exemple au moyen d'une vis 6 ou similai- re. Un levier 9 est articulé par un pivot 7 à la vis 6 ou à un prolonge- ment de cette dernière, tandis que de l'autre côté le levier est articu- lé par l'intermédiaire d'un pivot 8 ou similaire à une partie fixe du bottier. Par ailleurs, le levier 9 est relié par un pivot 10 à une par- tie mobile 11 de la soupape et qui peut être cônique et qui, à l'état de repos, s'applique d'une manière étanche sur un siège de soupape 12. L' application étanche de la soupape est obtenue par un ressort attaquant la partie mobile 11 de la soupape ou le système à levier.
Dans le pré- sent exemple, on prévoit un ressort de pression 14 qui s'appuie, d'une part, sur un contre-palier 13 prévu sur la partie mobile 11 de la soupa- pe et, d'autre part, sur le siège de soupape 12.
Lorsque la soupape est ouverte, le gaz, pénétrant par l'admission d'oxygène 21. peut circuler à travers le siège de soupape 12 et une ou-
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vorture de passage 38 jusque dans une chambre à gaz 19 depuis laquelle il circule vers le point de consommation.
L'admission d'oxygène 21 est reliée à un conduit 15 qui peut être bloqué par une soupape 17 se fermant automatiquement.
Le conduit 15 communique, d'une part, par l'intermédiaire d'un con- duit 16, avec la chambre 39, située au-dessus de la membrane de commande 3 et, d'autre part, avec un espace annulaire qui est formé par le tuyau de manteau 41 qui entoure le tuyau à oxygène 40 sur toute la longueur de ce dernier.
L'espace annulaire est relié à l'admission du chalumeau.
Lors de la mise en service, la soupape 17 qui se ferme automatique- ment est abaissée, ce qui fait que par l'intermédiaire des conduits 15, 16 de la chambre 39 soit mise sous la pression du conduit d'amenée d'oxy- gène 21. En même temps, l'espace annulaire, formé entre les tuyaux 40 et 41, est également mis sous la même passion. Après relâchement de la sou- pape 17, il se forme donc un petit espace fermé qui se trouve sous la pression de l'oxygène.
La soupape 17 qui se ferme automatiquement est maintenue dans sa position fermée, par exemple au moyen d'un ressort de pression 18. Main- tenant la soupape à oxygène du chalumeau peut être ouverte et l'oxygène peut s'échapper, étant donné que la soupape 11 est maintenue ouverto par la pression régnant dans la chambre 39.
Lors de l'apparition même de la plus minime inétanchéité qui est, par exemple, illustrée en 42 à la fig. 2. l'oxygène s'échappe de la cham- bro relativement petite 39 et de l'espace annulaire formé entre les deux tuyaux 40 et 41. De ce fait la soupape 11, 12 se ferme et le dispositif de sécurité ne peut plus être actionné même en actionnant la soupape 17, étant donné qu'il nest plus possible d'accumuler une pression suffisante dans la chambre 39.
De cette manière même une fuite vagabonde d'oxygène et toute amenée d'oxygène vers le chalumeau sont impossibles.
Même un endommagement de la membrane 3 ne permettrait aucune fuite de l'oxygène, étant donné que le ressort 14 ferme la soupape Il avec cer- titude.
Il est évident que le dispositif de sécurité peut être utilisé non
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seulement pour de l'oxygène, mais également pour tous conduits formes par des tuyaux et soumis 1 la pression d'un gaz.
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