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" Perfectionnements apportée aux* chaudières murales de chauffage central" La présente invention est relative à des perfection- nements apportes eux chaudières murales de chauffage central assurant le chauffage aussi bien du circuit d'eau alimentant les appareils de chauffage de locaux, que du circuit d'eau destiné aux besoins ménagers.
Elle a notamment pour objet l'agencement dans un$ chaudière de ce genre, d'un dispositif permettant de modifier automatiquement le régime de chauffe de la chaudière, de façon à faire passer celui-ci de la puissance de chauffe déterminée pour les besoins du chauffage des locaux, à une puissance su- périeure pendant le puisage d'eau du circuit utilisé pour les besoins ménagers*
L'invention a également pour objet, de réaliser dans une chaudière de ce genre, un dispositif de sécurité totale.
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arrêtant automatiquement l'arrivée du gas au brûleur lors d'un arrêt accidentel de quelque nature qu'il soit dans la circulation de l'eau ou lors d'un blocage d'un organe de commande de l'ar- rivée du gaz au brûleur.
Suivant l'invention, l'eau pour les besoins ménagers est chauffée dans un serpentin traversant un éohangeur de cha- leur parcouru par l'eau du circuit de chauffage, le puisage de l'eau circulant dans le serpentin ayant pour effet d'agir sur une valve à membrane dont le déplacement provoque une augmen- tation du débit de Cas vers le brûleur.
Suivant l'invention, également,l'arrêt du gas, par exem- ple en cas de blocage de la soupape principale, est obtenu par l'action d'un organe sensible à la chaleur lequel nous l'effet de la surchauffe se produisant dans le corps, de chauffe par suite de l'arrêt de la circulation d'eau dans le serpentin, agit sur un mécanisme assurant l'obturation du conduit d'arrivée de gas au brûleur.
Un exemple de réalisation de l'invention est décrit ci- après avec référence au dessin annexé lequel contre d'une manière purement schématique les différente organes de la chaudière )au- raie intervenant, conformément à l'invention,dans le fonction- nement de cette chaudière.
Comme le montre le dessin, le cas accède à la chaudière par un conduit 1, muni d'une ouverture 59 dont la section de pas- sage est contrôlée par une soupape 48 dont la tige 42 est réunie, à son autre extrémité, à une membrane 19 soumise à l'action an- tagoniste d'un ressort 57 s'appuyant sur une cuvette 20 portée par une tige coulissante 56 dont la position normale en hauteur peut être réglée par un dispositif à vis 31.
Au conduit 1.' est raccordé un conduit 21 dans lequel est aménagé un double siège 53 d'une part pour une soupape 32 et d'au- tre part pour une soupape 38 portée par une tige 22 commandée par
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un bouton-poussoir 24 eouaix à l'antagonisme d'un ressort z. te conduit 21 cet raccordé à un conduit 60 a1:
s.ae.t...t le brûleur 2 contrôlé par une soupape 44, un ressort 61 tendant à refouler cette soupape eu? un siège 60,a présenté à l'entrée de ce conduit 60. te bouton 24 est moule à 19&otioa 4'ua levier 41 piro- tant .IL 411 rur va Support tout la position *et réglée par =0 vis 26, leautre extrémité de et leviez i#4&PPV&at sur la points d'un élément therao statique 49 porté par un support 2 cet été- Ment sensible étant soumis à la dilatation du liquide contenu dans un tube capillaire 13 dont l'autre extraite est raccordée
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à un bulbe 58 plongeant due la conduite dfeau de chauffage 5.
Dans l'éehangeur 46 surmontant le eorpe de chauffe z, cet agencé un bulbe 'bh.rm.oltat:1.qu. 62 dont le tube capillaire 12 rejoint l'élément sensible 47 dont l'extrémité se présente vis à vis d'une extrémité d'un levier 37 engageant l'armature 36 de
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l'aimant z d'un thermooouple 11. ce levier ;
il cet monté à pivo- tement en 64 et son autre extrémité commande une soupape 2 des- tinée à obturer l'ouverture 53* L'eau utilisée pour les besoin$ ménagers traverse un ser- pentin 65 disposé dans un échangeur 40 alimenté on eau chaude, à le sortis de la chaudière par le circuit d'eau de chauffage des locaux, laquelle eau cet déviée vers cet échangeur par une vanne
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4 dont la commande aéra expliquée plus loin. Cet debanteur est réuni par son autre extrémité à la conduite de retour du circuit de chauffage des locaux.
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Le serpentin 6> peut comporter deux 80n:l..., l'une 9 des- tinée au soutirage d'eau pour la salle de bain et la sooonde 10 pour les besoins de la cuisine*
A l'entrée de 1'échangeur 40, la conduite 6 alimentant le serpentin 65 est munie d'un tube de venturi 66.
Une conduite de dérivation 7 agencée en amont du tube de venturi est raccordée à la valve 35, d'un côté de la membrane 50, tandis que la conduite
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de dérivation 8 disposé$ au 4. de os venturi débouche de l'au- tre c6té de cette même membrane 30t La membrane 50 porto l'extrémité d'une tige 51 dont l'autre extrémité est réunie à une extrémité d'un. levier 28 pivota en 29 $t dont l'autre extrémité est en contact avec le support >2 de l'élément thomostatique 49 lequel support est soumis à x#d4b,oa antagoniste du ressort 6.
La partie du Itviet 28 an contact zoos le support e2 est reliée par une tringle 30 à un levier coud* 5* pivotant en 66 et dont l'autre branche 55 est en contact ares l'extrémité de la tige coulissante 56 laquelle 4'termine le degré d' ouverture de la soupape z
Le fonctionnement de l'appareil est le suivant t
La veilleuse 33 étant allumée,
le acteur de la pompe de circulation 18 est *le en marche entraînant l'eau du circuit de
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chauffage des radiateurs* Cette mine en circulation crée à ' en tarée du venturi 19 une surpression qui par le tube 2 agit tous la
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membrane 43 de la valve 39 pour soulever celle-ci ainsi que la tige 45 et la soupape 44 et permette le accès du gaz au 'brûleur 23< La température de l'eau du circuit de chauffage des locaux$ B* élevant progressivement la dilatation dans le bulbe 58 agit par le capillaire 13 sur l'élément thermostat1que 49 qui refoule l'extrémité correspondante du levier 41 lequel bascule autour du pivot 41a pour refouler le bouton 24 et la tige 22 ainsi que la
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soupape z8 vers l'ouverture 53 pour réduire le débit de
gaz au brûleur 23.
Au cas où la température de l'eau du circuit de chauffage des locaux tend à dépasser la température désirée et réglée par 1* utilisateur à l'aide de la manette 26, le levier 41 vient à ce moment en contact avec un rupteur 14 lequel interrompt l'arrivée du courant électrique à la pompe 18 qui arrête la circulation de
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l'eau ainsi que l'aooea du sas au brûleur par l'intermédiaire de la valve >9 dont la membrane 4 reprend sa position initiale de fer- meture de la soupape 44, moue l'effet de l'annulation de la pression
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différentielle agissant sur cette membrane,
l'autre face de cette membrane étant soumise à la pression du tube 3 raccordé au venturi 19, au réel de ce dernier.
La puissance de la chaudière et par conséquent du brûleur 23, est réglée en fonction de la. puissance de chauffe des radiateurs disposés dans les locaux, ce réglage, 'opérant à l'aide de la via 31 pour ajuster dans la position voulue la curette 20 'au. laquelle s'appuie le ressort 57 commandant la Position de la soupape 48 par rapport à l'ouverture 59,
Ce débit de Cas étant réglé il importe pourtant que pour les besoins ménagers la puissance de chauffe de l'appareil puisse être augmentée par rapport à la puissance demandée pour les besoins du chauffage des locaux, c'est-à-dire que pendant le puisage aux sorties 9 ou 10 du serpentin 65 il est;
indispensable d'assurer un débit de gaz plus important vers le brûleur.
A cet effet et suivant l'invention, lors d'un tel pu:!.- sage aux sorties 9 ou 10 du serpentin 65, la circulation d'eau dans le venturi 66 provoque une différence de pression dans les tubes 7 et 8 raccordés respectivement à la valve 35, de part et d'autre de la membrane 50 de celle-ci* Cette différence de près sion a pour effet de produire un refoulement vers la gauche (eu regardant le dessin) de cette membrane 50 et de la tige 51 qui lui est reliée, ce déplacement de la tige 51 ayant lui-même pour effet de faire basculer le levier 28 autour de son pivot 29 et de déplacer le support 52 de l'élément thermostatique 49, de la position 27a à la position 27b.
Il en résulte que l'extrémité de l'élément sensible 49 s'écarte du levier 41 lequel libère le pous- soir 24 en permettant ainsi à la soupape 38 de s'écarter davan- tage de son siège 53 roua l'action de rappel du ressort 70.
En déplaçant le support 52 de la position 27a à la po- sition 27b, le levier 28 fait pivoter le levier coudé 54 par
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l'intermédiaire de la tringle 30, ce pivotement du levier coude produisant une poussée sur la tige 56, par l'intermédiaire de la branche 55 dudit levier, cette poussée sur la tige 56 ayant elle-même pour effet d'augmenter l'éoartement de la soupape 48 de l'ouverture 59 et conséquemment le débit de gaz au brûleur 23.
Il est à noter que la tige 51 est pourvue d'une butée appropriée destinée à actionner le rupteur 16 lorsque la tige 51 est déplacée vers la gauche (en regardant le dessin), l'action- nement de ce rupteur ayant pour effet d'agir sur la vanne 4 pour dévier l'eau du circuit de chauffage Vers l'éohangeur 40.
A l'arrêt du puisage d'eau pour les besoins ménagers la circulation de l'eau dans le venturi 66 coati@ et 1' ensemble des organes reprend automatiquement sa place pour les besoins du chauffage des locaux.
Lors des périodes d'été durant lesquelles la chaudière ne doit pas produire de calories pour le chauffage des locaux, mais pendant lesquelles périodes les besoins ménagers en eau sont néanmoins indispensables, le bouton 26 est ajusté dans une position telle que l'ouverture maximum de la soupape 38 est as- surée.
Par ce déplacement du bouton 26 celui-ci vient en contact avec le rupteur 15 lequel coupe l'arrivée du courant à la pompe de circulation 18 et ce n'est que l'enclenchement du thermostat 17 soit par soutirage d'eau ou refroidissement de l'échangeur 40 que le courant électrique est réadmis pour la mise en route de la pompe de circulation 18.
La température de l'eau de puisage, pour les besoins ménagers, pourra être limitée à une température fixée par exemple à 70 C. Si le débit d'eau de puisage est faible,la température de cette eau sera élevée, mais cette température ne pourra cepen- dant être supérieure à celle fixée. A cet effet, au moment où cette température atteint la valeur fixée, le thermostat 17
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coupe l'arrivée du courant à la pompe 18 et de et fait la cir- culation de l'eau dans le corps de chauffe 34 otage et le débit de Cas au brûleur 23 est arrêté.
Enfin, dans le cas ou pour une cause accidentelle la tige 45 resterait bloquée, maintenant ainsi la soupape 44 ou- verte avec accès du gaz au brûleur 23, la circulation de l'eau étant arrêtée, l'invention prévoit que août l'action de la dila- tation accrue du bulbe 62, résultant de réchauffement des ailet- tes de l'échangeur 34,l'extrémité sensible 47 se déplace en faisant pivoter le levier 37 autour du pivot 64.
Ce pivotement du levier 37 a pour effet d'une part de décrocher mécaniquement l'armature 36 de la sécurité thermo-léectrique 63 contrôlée par le thermocouple 11 et dans laquelle armature le levier 37 est engagée, et, d'autre part, de déplacer la soupape 32 commandée par l'autre extrémité du levier 37, cette soupape 32 venant alors obturer l'ouverture 53 en supprimant ainsi toute arrivée de gaz tant à la veilleuse 33 qu'au brûleur 23*
Après remise en état de fonctionnement normal de la soupape 44, il suffit de rallumer la veilleuse 33 et de ramener l'armature 36 contre l'électro 63 pour remettre la chaudière dans l'état de fonctionnement décrit ci-dessus.
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