<Desc/Clms Page number 1>
EMI1.1
V4htcul. destiné' se déplacer sur de* 4urtices horizontales <<<<-<'<L<t't.<!'<t<e#*t<<<-'*<i<*<< .*<'<*<*<'* tt'***<<*<*<*<*<* <M*t <<<*<<*<*<<<*<*<*<<<<)<*'*<*<''*<*<* et inc11n'... t'III.........----..
Le présente invention concerne les véhicules
EMI1.2
destinés Z ou déplacer sur des surfaces horliontales et inclinées tt tn particulier les chaises roulante. pour infiraoe ou invalides capables de franchir des escaliers et des rebords de trottoirs tarie l'aide d'un* autre personne.
EMI1.3
Jusqu'ici, des essais ont été etteotuds pour mécaniser les chaises roulantes en vue d'obtenir ce résultait, mais pour des raisons d'instabilité, de poids$ de prix de
EMI1.4
weAt, d'encombrement, etc... ces casait n'ont pas été acceptés par le public.
On a décrit dans le brevet
EMI1.5
américain À'.'o 2.931.449, du 5 avril 1900t une solution qui utilise le principe dénommé "à bascule-, selon lequel trois roues sont montées sur les bras d'un support lui -aime
<Desc/Clms Page number 2>
monté à pivotement par sa partie médiane, le franchissement des escaliers étant assuré du fait que chacun* des roues coopère successivement avec une marche tandis que les autres dépassent cette roue selon un trajet en arc de cercle, pour attaquer les marches suivantes.
Il en recuite un mouvement d'ondulation de la chaise, se rapprochant d'un déplacement pas à pas vers l'avant, étant donné que l'arbre du support doit se déplacer selon un arc autour de l'axe de la roue qui prend appui sur une marche. Du point de vue stabilité, ceci est inacceptable.
Un autre système utilisant les chenilles a été décrit par Freemann dons une publication faite par le "National Inventors Council" des Etats-Unis et intitulée "Chaise roulante pour le franchissement des escaliers", datant de janvier 1962. Il est tout de suite apparu 1 l'examen des dessins fournis par l'inventeur que la chenille ne pouvait avoir qu'une longueur limitée du fait de la nécessité pour elle de se trouver à l'écart du sol quand la chaise se déplace sur une surface horizontale; ainsi, le centre de gravite de la chaise occupée était ramené à une position défavorable du point @ de vue stabilité lors du franchissement d'un escalier.
Indépendamment de la stabilité, les essaie mentionnés précédemment tiennent compte à un degré insuffisant du fait que le franchissement d'une seule marche ou d'un rebord de trottoir constitue un problème séparé de celui du franchissement d'un escalier. Dans le cas des solutions mentionnées ci-avant, la méthode utilisée pour gravir une seule marche ou un escalier était la même et consistait à se rapprocher de cette marche ou de cet escalier par 1' arrière et à effectuer certains réglages de la chaise avant de franchir l'obstacle.
<Desc/Clms Page number 3>
Ces manoeuvres et ces réglage$ sont extrêmement indésira- bles car il* représentent un danger pour l'ocoupant de la chaise lorsqu'il franchit des rebord* de trottoirs dans des rues à grande circulation.
Dans le brevet américain No 3.049.364 du 14 août 1962, le franchissement des records de trottoirs et des escaliers peut s'effectuer selon une progression vert l'avant, ce qui remédie au problème du franchissement d'un rebord de trottoir, mais cette méthode ne amble pas tenir compte du problème de la manoeuvrabilité lors de 1 'utilisation de la chaise roulante de la manière classique sur des plans horizontaux. Ceci est dû au fait que, lorsque la chaise roulante se trouve sur un plan horizontal, elle repose sur plusieurs jeux de rouet, qui ne peuvent tourner que dans un seul plan. Par suite, le principe proposé dans ce dernier brevet ne tient pas compte du problème que pose la courbure des escaliers franchis par la personne occupant la chaise.
L'une des objections faites aux chaises roulantes dans leur ensemble, qu'elles soient ou non du typa capable de franchir un escalier, réside dans le fait que les dimensions du siège sont déterminées en grande partie par la configuration de l'ossature. Il devient ainsi impossible, en pratique, de Modifier le siège proprement dit du point de vue du confort du malade. En outre, pour la propulsion de la plupart des chaises roulantes, le malade doit agir avec les mains sur des rail* circulaires concentriques, solidaires de roues porteuses de grandes dimensions.
Ceci représente habituellement des inconvénients notables dont l'un est l'ennui qui résulte du fait que le malade se salit les mains au contact des bandages pneumatiques$ tandis qu'un autre est celui dû 1 l'impact
<Desc/Clms Page number 4>
des jointures de la main contre des obstacle lors d'une manoeuvre effectuée dans un espace limité, par exemple pour franchir une porte et dans des conditions analogues.
Jusqu'ici, toutes les chaises roulantes sont repliables par rapprochement de leurs deux cotés, ce qui réduit ainsi leur largeur. Il er résulte inévitablement une perte de rigidité. On remarquera à la lecture de la descrip- tion qui va suivre, que l'invention fournit dans le cas présent une nouvelle solution destinée à faciliter le transport.
Les exigences fondamentales auxquelles doit satisfaire une chaise roulante pour franchir un escalier ont été définies par le "National Inventors Council" du Ministère du Commerce des Etats-Unis d'Amérique, ainsi que par le Comité pour l'emploi des handicapes physiques.
Ces conditions sont les suivantes (a)Largeur maximum 63 cm.
(b) possibilité de pliage permettant le transport dans un véhicule automobile normal.
(c) faculté de manoeuvre devant être sensiblement la même que celle des chaises roulantes classiques.III.
(d) faculté de franchissement permettant de gravir à la fois les rebords de trottoirs normaux et les escaliers comportant des marches et des contre- marches normales.
(e) système de propulsion agencé de telle sorte que le malade ne doive pas exercer une force supérieure à 4,5 kg à un moment donné. La chaise doit également pouvoir être déplacée à la main par une personne préposée à la garde du malade.
(f) le mécanisme doit présenter la sécurité requise si le malede est handicapé au cours d'une manoeuvre
<Desc/Clms Page number 5>
EMI5.1
':!' IcarcuSt (è,r) lut ;'rix - doit pas dépasser et le poids ne a!t P"8 xedp zus kir..
Lo":'" :3a buts de l'invention est de satisfaire à CU t,. â, .x fg : ct en outre 0.. remédier ou grand nombre des 1"1<:0"'1.'1') t,..\'; d<!9 cnaisoa roulant.. <la<t<iqut< wtiXiil<8 âCtUlïfflit U" ;t r. * dt tee. 4* créer dos orKrsa t'{H':1.'tt',:'It.. Ô la "'\'!:Le f'oëlntt de ff aichlr des r cr-i 1'1. <.:-Jt.tir. lors d'urc ro;-uiaion ".ra l'srant, <511-'3 "t3 a , - 5c;r- ire 4 des fv-iogi* lapârtantit du e$ni<MM 1A fhRisf.
'.. rs(j 5 ^L but zeer-' est de <!p4<tp des organes de Frapv,: , ',vi '''1'. nu ;.:,\lIHl" 4? St uHr les aulne par .18 #poussière t d 3'écorcher le, jointures det doigte.
1-vin,lion a .cor pour but de créer un d1.po. sitif s met- de t'11 sorte (:...fU siège usuel de proportions rsl1Jonn.\ple quelconques puisa $tre adapté sens aot11t1ca- tion BtrustufH fodrH:\en't3le au mécenisme de support.
Un sutr# but encore de 1'invention est de crier un 'n8cbl pouvant être pilé sans nuire à la rigidité de la chaj.de roulant pendant on emploi.
EMI5.2
D'êtres buta et avantages encore de l'invention apparaîtront à la lecture de la description qui va suivre, faite en regard dee dessins annexés, donnée à titre non
EMI5.3
11m1tat1t tt sur le.Quel. :
EMI5.4
L fig. 1 est une vue en élévation de profil de
EMI5.5
la chsis roulante réglée pour un ddpiscan sur un
EMI5.6
plan horizontal. La fige 2 est une vue de profil de la chaise
EMI5.7
zu.3^t roulée pour¯franchir un escalier. à fig. 3 est use vu? de rrcfil schématique
<Desc/Clms Page number 6>
EMI6.1
montrant In chaise raulnrte franchissant un rebord de trottoir pd1nt un déplacement, vers 19&vant,,
Ln fig. 4 est. une vue de profil schématique montrant l'extrémité arrière de la chaire roulent*
EMI6.2
f^olx 5 e v rebord de trottoir.
,fi 1'i. , nat une vue de profil schématique de la chaise roul/t*' !1\, couru d In r rQ'1IUr6 h-S8 d'une montée ou d- u '1Ht"/; :)}.:3' j'u"\' deOCt'f'te d'un e.caller.
1 fl. Q est un vue de profil. .thématique prise P"><'Uf\:-;t. que la chia* gravit ou descend un escalier.
Lu ìg. 7 ebt une vue de profil ac:h6mat.1que prise 11end!':"t lp frlt"'!:hi!l,eme!1t d'un escalier, au moment où la chai se parvient sur le palier supérieur ou quitté celui'ci.
La fige 8 est une vue de profil schématique
EMI6.3
d'une position 3m1-inc11n6. sur un palier pendant le tr.nch1amp d'un escAlier.
La fig. 9 est une vue de face de la chaise roulante, l'infrastructure 6tant développée en vue du déplacement sur un plancher.
EMI6.4
La f it;. 10 est une vue de l 'arriéra en élévation de la chaise rouilla, l'infraatructure étant développée en vue d'un déplacement sur un plancher.
CONSTRUCTION
La chaise roulante comprend un siège 1, un dossier
EMI6.5
2 et un repose-pieds 3, supportée par un châaala 4 (tics 1)' Le chassie supporte deux essieux menés ? portant chacun une roue motrice 6 et une infrastructure effaçable 7 munie de roulettes orientables 8. Chaque essieu mené $ relit également les deux chenilles 9 et 10.
Dispositif de propulsion uand la chaise est utilisée de la façon élastique,
<Desc/Clms Page number 7>
elle se déplace sur les paires de roues 7 et 8 et sa pro- pulsion est assurée au moyen de manivelle. rotatives 11, qui commandent individuellement les côté* gauche et droit de la chaise, en permettant ainsi de manoeuvrer celle-ci* Chaque manivelle entraîne en rotation un arbre logé dans un appuie-bras 12 et, par l'intermédiaire d'un renvoi conique 13 un arbre 14 monté dans le châssis de la chaise, qui se termine par une transmission par vis sans fin 15 pour entraîner l'essieu 5.
L'essieu mené 5 entraîne également les chenilles primaire 9 et secondaire 10 (bien que la commande de celles-ci' puisse être débrayable à volonté pendant l'emploi normal de la chaise). On remarquera que les poulie. 9A de renvoi des chenilles sont beaucoup plus petites que le* route porteuses 6 et que leur vitesse périphérique est nettement inférieure à celle des roues porteuses. Il en résulte l'obtention d'une démultiplication plus grande pour le franchissement d'un escalier ou rebord de trottoir, pour une même force exercée sur les manivelles.
Quand if est désirable qu'une garde-malade pousse la chaise, les roues 6 pouvant être séparées de l'arbre 3 au moyen d'un accouplement (non représenté} afin de permettre leur libre rotation. On remnrquera qu'à moins que les roues 8 ne soient d'saccouplées des essieux 5, la chaise ne peut pns rouler sans actionnement des manivelles, de sorte qu'il p'en résulte sur les sols inclinés aucun danger lorsque le malade pe dispose pas d'ure garde-malade.
Ceci est dû au frit que la transmission par via sans fin est du type à auto-blocage et convient remarquablement à cotte application.
Infrastructure
L'infrastructure 7 comprend deux bras 16 montée
<Desc/Clms Page number 8>
à pivotement sur le cnéssis 4 en 17. L'extrémité arrière des bras 16 porta des roulettes 8, tandis que leurs ex- trémies opposées sont reliées à pivotement à des plaques de support 10' des chenilles 10, par l'intermédiaire de blemates 18, Chaque biellette 18 est du type télescopique et elle est sollicitée élastiquement afin de pouvoir s'ef- facer sur 25 mm environ, pour une raison qui apparaîtra plus loin.
La position relative du bras 16 par rapport au châssis 4 est commandée par une béquille de longueur ré- glable, actionnée de préférence par un circuit hydraulique étanche comprenant une petite pompe à main 20. Cette pompe à main est reliée de façon permanente à l'une des manivelles de commande 11 mais, dans des conditions de fonctionnement normales, le circuit hydraulique occupe une position neutre ou de point mort et par suite cette pompe n'engendre pas de pression hydraulique.
Chaque roulette orientable 8 est sollicitée 'la... tiquement (d'une manière non représentée) de telle sorte . que, lorsque le poids qui s'exerce sur elle est supprimé, elle vienne se placer automatiquement dans l'alignement de la roue avant 6 correspondante. Ceci est nécessaire pour permettre son effacement dans la partie occupée par les chenilles.
Une troisième chenille 21, pouvant tourner libre- ment, est montée au voisinage des roulettes 8 pour permettre le franchissement des rebords de trottoirs comme décrit plus loin. Cette chenille est supportée entre deux arbres transversaux 21A et 21B qui sont fixés entre les bras 16 (fig. 10).
Chenilles
Les chenilles de franchissement d'un escalier
<Desc/Clms Page number 9>
EMI9.1
P*uv t -Hr wsf.ltwé 3 par des courroies trapsoïdnlea c5aucd3.a#tt t"t'r-torch8 par de l'acier et conjuguées 4 3 ::;. de traction (ou sien elles peuvent le présenter e. u 1'\:" :'...'" if ht'tr.e&S 1 l!\,.,il1or: spéciaux Munit. do ;1' 'tt> : ", >;:h"ti i11 t-ïr4aire 9 est directement supporté . prtlr iv 5 -sre du chassie 4 per des poulies 23, 24 .t. 4'.
,-,:;: L'> 'ir:1l1f> )ud1131'. 10 4t. 'Mn'ltéo sur on f''Í)ÍJ"''':. IV. qui at :lJi...,;.',12' .-.Mt-' À ;o14'tion sur III '/.1GA1A ,f }.... au*, port- Zv t'tst r{t ..1.. d ",,' 1I'1rr6t.r-jÇ. ..#Q 7 par la tut- tlO'"t'1'iK. ". !dr,:J1. qu/)"'I1 ,Fé^.Pe":rI"3,'.Wt.rt3' # ff c , la çn <iii* 1',dL \ Jtl1 10 fange un prolongement de stabilisation r 3 .,:1',"'''1.1;'''' pr.'cipah '1 (tJC. 2h t:,'\cS1.1 qu lorsque J .rr6trvU O développée (fig. 1), La chenille e.l.i sL-. .: ,'ir,cl1,.,<: <r r le !ïlj.t. 1\ l'4cert du. véhicule cour ier r6 ie franchissant 4<9 eodD de trottoirs "1"'" un* 'HutuUr pouvant lier ,'BiEi;3'v1 ka1 s. ce. Les deux chenilles sont trl!Jtnha simultanément à partir de la poulie pri'-eiptie à portée par 1 lso±!u 5.
La c',. "lle 9 est w grande partit non supportée mr s* fa..ur, ortre le3 poulie bzz et 24 (ou bien elle ; peut tre ye-tuellement supporte par une plaque ou des g l t aortes de façon 4'lextolo)* u8 cotte an1.r.. on obtient une propulsion sans '-coup. pendant la transition e1I trt w =lrtc sur un-- surface horizontale et un fr.ehi3tnt d'escalier, comme montré sur la fis 7. rÓ}sl11i\4 da 118y.e pour le 8oteTet Je tr,po.
Mars, que les ci.aise roulante* c),a.151qul)îi\ sont udi8 telle sorte lut <e$ côtés :...;\.\chu et droit puissent io;.r reprochés pour le trarspart, chaque côté de la chaiit fera., dans 1- cas présent, un ensemble arfalalable,; lll c1 l t dr.tf".to1au::;.t ô o;Ârd #fwi.riï 1'ntre les cotée 1G8uc1w et droit #/.t pavanent et ,"55,H'" una srrtind4 rigidité.
<Desc/Clms Page number 10>
La chaise roulante peut être plié en rappelant
EMI10.1
tout d*abord l'infrastructure 7 vers l'arriére par actionne* ment {1(f in vinne de corma...de hydraulique 28. afin que cette i.rJ'sr;t.r\}è'':,!.trt yi@nn se logsr a lfin±<u . sur da la périphérie t. 'fR ï''?.tHt O::ü':1:ne !nO!1tr-é sur la 2 La partit formant ! i dl suite être par déverrouillage au T>oy m -i*i ïevlrr 2, ce qui permet au siège 1, aux Appui ' * ri j2 t nu dossier 2 d'être rabattus djine ltaliijncnf nt Ii n'8-ibrur j'rln;i; lç du ehAsaia k* Ce principe 8t< *.*## H u<'' en trttG mlxto aur la fig, 1.
K ,;uyr "r*7\'' ##?',[.r..un..l80.1,,l'"ig.ririifflttil 1 :nd\tlo5 :0ndnmntnl.8 d'une chaise roulante çl858q& doivent perraattre sa propulsion par Is malade ou par une gnrde-malade placée derrière celui-ci. und la chaise suivant l'invention eat dans sa
EMI10.2
position dt4rtction ncnsnie, comme montré sur la tig. 1, et quand le système d'entraînement est au point mort, elle peut µt.ra par une garde -malade oailiuant les mancherons 2. u8nd aucune Sa-â-de-malada ntout présente, le malade peut embrayar le système d'entraînement et assurer la propulsion de la chaise en faisant tourner les nivelles gauche et droite, qui sont incorporées aux appuie-bras.
La faculté de manoeuvre est obtenue par une rotation individuelle des Manivelle. gauche et droite, ou en faisant
EMI10.3
tourne!* ces iranivolles (ions des directions opposées.
,Frl'!n,,asflme'Mt t d e s bo¯rd 8.jttro tr <
Il est important que les borda de trottoirs puissent être franchie sans arr3t pour régler la chais*, car un tel arrêt peut être dangereux pour le malade. On a montré sur les figs. 3 et 4 comment ce résultat peut être
<Desc/Clms Page number 11>
obtenu.
Quand la chaise se déplace vers l'avant, la chenille 10 tourne à l'écart du sol (ou peut être éventuelle- ment débrayée) jusqu'à ce qu'elle rencontre un trottoir 26.
Les patte! qui se trouvent sur la chenille 10 attaquent alors le bord du trottoir et soulèvent l'extrémité avant de la chaise, pour ensuite la propulser vers l'avant Jusqu'à ce que les roues 6 viennent reposer sur ce nouveau plan horizontal Quand l'extrémité arrière de la chaise a atteint le bord du trottoir, la chenille 21 s'applique sur ce bord et, par suite de sa libre faculté de rotation par rapport à la chaise, elle demeure immobile lorsque la chaise avance pour permettre aux roulettes 6 de parvenir sur ce rouveau plan horizontal.
Franchissement des escaliers.
Pour monter des escaliers, on amène la chaise en Marcha arrière jusqu'à la cage d'escalier, de telle sorte que le butoir 27 (fig. 1) rencontre la première marche.
Enaulte, on *-appelle l'infrastructure 7 en arrière en actionnant la vanne hydraulique 28, jusqu'à la position d'effacement, l'huile parvenant de la coquille 19 dans le réservoir. Ainsi, l'extrémité arrière des chenilles 9 reposa sur la première marche Les chenilles 10, du fait qu'elles casaient, de s'aligner avec lee chenilles 9, translatent au sol une charge suffisante pour provoquer l'affaissement des ressorts prévus dans la timonerie 18, et flles demeurert on contact avec le sol (comme contre sur la fir. 5) pendant la totalité du mouvement.
Coci assure une propulsion entisfaisants du véhicule lorsqu'il commence à gravir l'escalier. On remarquera toutefois que, lorsque le poids est transfère des roulettes orientables 8 aux chenilles 9, ces roulettes reviennent élsstiquement dent
<Desc/Clms Page number 12>
l'alignement correct pour permettre leur effacement en direction du châssis.
Le malade commence slors à actionner les manivelles 11 vers barrière et l'effet d'entraînement combiné des chenilles 9 et 10 assure le franchissement de l'escalier par la chaise, qui vient alors dans la Position représentés sur la fig. 6. On remarquera ici encore que le système d'entraînement est du type à auto-blocage par suite de l'utilisation d'un mécanisme à via mana fin, de sorte que si le malade désir* se reposer, la chaise ne peut pas redescendre les escaliers.
Quand la chaise se rapproche du palier supérieur et lorsque les roulettes 8 (qui sont à ce moment dans une position d'effacement) se trouvent au-dessus du niveau de ce palier, le sélecteur hydraulique 26 (fig. 1) peut tire actionné jusqu'à la position d'érection, ce qui permet ainsi à l'infrastructure de se développer lentement, tandis que la chaise continue simultanément à franchir les marches restantes. L'extrémité arrière de la chaise est alors support'. par les roulottée 8, pour empêcher tout basculement lorsque le centre de gravite de la chaise dépasse la marche supérieure. Ceci est visible sur la fige 7.
Quand la chaise a terminé son mouvement ascendant, ces éléments se trouvent développée aux deux tiers et ce développement est complet lorsque le malade continue à assurer la propulsion de la chaise* Quand l'érection de la chaise est totale, une résistance se fait sentir sur la manivelle qui assure la commande de ls pompe, le malade ramenant ensuite la vanne hydraulique , une position de point mort.
Descente des escaliers.
Pour descendre des escaliers, on amine tout
<Desc/Clms Page number 13>
EMI13.1
d'abord la ohaiM 4aïtt l'tllgnwtrtt d leutioaliert ta veillant à ce que lois roulottais orientables se trouvent
EMI13.2
dans une position 4'.11en'..n\ ptrlettant leur ft9M< Le malade inclina alors la chaise jusqu'à la ,olit,1oa'" représenté* sur la fig. 8, ou bien jusqu'à -et que l'au route 6 Il trouvent juste à l'écart du sol;. ta 1*1 M sa t alors la vanne hydraulique dans la position dt*tt&4* ritt il déplace la chai vert l'avant pour l'engager sur le
EMI13.3
bord de la marche supérieure. Au cours de cette o"".t,1Oft, l'infrastructure continue de .'Ittaoe.., et qui mp4oh* ainsi la chat de basculer vers l'ayant.
La faibl4 dlasticité de la chenille 9 penaut égalosent à 0.11.-01 de venir en contact avec la seconde marche lorsque le' contre de gravité de la chaise franchit la #*robe sup6rteu ; Pendant ce temps, l'infrastructure est presque 008p1.,..-a\ effacée et la chenille de stabilisation 10 est sur le point d'attaquer la troisième marche et de fournir sinsi
EMI13.4
une stabilité emplît . Cette position est r*pritent4o sur la fig. 7.
On* nouvelle progression ube la chais(# dans la position visible sur la fige 6; à et ttatt 14 malade ressent la résistance <n$<M)dy<< iur taie nantie, qui indique que l'infrastructure s'ast empl4ttotnb Ottatiot et il ramène la Vanné de commande hydraulique à se position de point mort*
EMI13.5
Quand la position visible sur la 11&- , est .,,¯1ft- te, la commande hydraulique ait actionné afin de développer l'infrastructure et la commande de propulsion est ramenée à
EMI13.6
une position de point mort.
L'infraatruoture est développé* jusqu'à la position correcte pour pouvoir écarter la chai- se de la marche Inférieure et l'amener dame la position d'érection*
On a décrit ci-avant 1 'agencement et les fonctions
<Desc/Clms Page number 14>
EMI14.1
essentielles de la chaise roulante oulvant X'inytntionv, # Les pointe auivanta constituent tiMplttttnt 4tµ oon#idlï* tiooi final t v.â "'rr'f s5is's'x" S . t.) Les route 6 doivent pouvoir 3ktrfz lorsque la comendo flot au point orb4 '"'-.'...
(2! Un simple levier doit porntttrt de. i-tit, -'. \tf> ? #* la fois 1 roues et les chenilles au atécMiiOM 'dUntrit1*--'-'. ntm nt i, .k #" , v, (3) Les manivelles fcttttvtt doirtnt Itrt ** , d'entraîner la pompe hydraulique loreque le é ifti*iit 4t propulsion est embrayé ou débrayé* >%% 41 -%>,t (4) La pompe hydraulique est de prêt4r'mot tr,1 au mécanisme de commandes mais la preaaioa est nortatfflut éliminé* par un orifice de eortie Médian prévu dème -la' vanne de commande hydraulique 20, pour éviter toute ^r vannt commanda hydraulique pour érittr toutt ré- ";
.. 'r aiatanoe quand le eyateme hydraulique *et au point, #or* '1-- j\ (5Î Une particularité éventuelle concerne 3 #-[<%) faculté de séparer la chenille du ayattae dentra.taMtat T/ pour éliminer tout effort non indiepenaable de la puqt Et z> malade, . t,pf=;, 'Sir $
EMI14.2
Suivant une autr variât en4cre, 1# #yitèK*%': v * " .#-#-" -Jf # d'effacement hydraulique peut se prêtent*r îv 1* for 't -' #'' ' ',.$'" 4r w 1,....u.- tfr,.( Wc d'un écrou rotatif coopérant ama le mÔû*fii* 4t.tidts.., ' , ment, en Combinaison avec une tige til.". relié* 4 3r r'q ment 16 d l'infraatruotur . 1-, # ,"'#' ,l" . , Une autre variante encore du <t4 d propttliion cona1lte à utiliser deux moteurs entraînât par une btttefii ou des accumulateurs, chaque Mottuf étant êsaosié 4 un ôôté du véhicule } fin de remplacer les manivelles Ht.
Oo ./ ' comprendra que cette particularité augmente ,a Mda.f d'application du véhicule, en ce sens qu'il. peut alors être
EMI14.3
utilisé non seulement par les paraplégique$) mais aussi par
EMI14.4
.t' <"......" 1"
<Desc/Clms Page number 15>
EMI15.1
les malades souffrait d1 affections cardiaque ou respira. foires.
D'autres modifications encore peuvent tire apportées aux modes de réalisation décrits, dans le domine
EMI15.2
des équivalences techniques, sans s'écarter de l'1nvent1Oft.
R 9 f! M i1111 w w1 Ww II ID 110 1 - Véhicule capable de se déplacer 4 la fois
EMI15.3
aur dea surfaoos horizontales et sur des plana inclinât, comportant en combinai10n une ossature recevant la charge$ pouvant itre constituée par un aiège, un ohlrair, un 81'tt.. de chenilles sans fin aur lequel le véhicule peut tire propulse, parallèle à l'axe de ce chaeeie, des organe a pour faire varier l'inolinalaon de cette o4o4turel du ehlaaia et des chenilles soua forme d'un ensemble unitaire, et un dispositif assurant la propulsion du véhicule.
EMI15.4
20 - Mode. de réalisation de ce véhicule, prdson- tant les particularités suivantes, considérés "par'.'n' ou collectivement a) Il comprend au moins deux roues sur lesquelles il peut être propulsé pour aon déplacement aur une surface
EMI15.5
aenaiblement horizontale. b) Les chenille a comprennent un jeu de chenilles primaires permettant de franchir des plans incliné! de grande , longueur et un jeu de chenilles secondaires permettant de franchir un seul gradin entre deux surfaces.
c) Le système de chenilles secondaires est monté à rotation A l'extrémité avant du châssis et est réglable
EMI15.6
pour assurer une traction additionnelle Il combinant a celle fournie par le système de chenilles primaires au
EMI15.7
moment où le véhicule commence à franchir un plan incliné de grande longueur. d) Le véhicule comprend un dispositif rotatif
<Desc/Clms Page number 16>
prévu à une extrémité afin de faciliter en particulier le franchissement d'un seul gradin entre deux surfaces. e) Ce dispositif se présente sous la forme d'un* courrois sans fin dont le brin intérieur est incliné vers le haut à l'écart du véhicule. f) Le véhicule est formé par une chaise roulante pour infirmes ou invalides.
g) Cette chaise roulante est capable de franchir des escaliers. h) Les organes permettant de faire varier l'inclinaison comprennent une infrastructure reliée à pivotement au chinois et s'étendant de façon prédominante sous celui-ci, cette infrastructure s'étendant vers l'arriè- re jusqu'en un point où elle est reliée à pivotement à ce châssis, des organes permettant de régler la longueur effective de la béquille de liaison utilisée pour cette infrastructure. i) Le système de chenilles secondaires se présente sous la forme d'un jeu de courroies sans fin dont le brin inférieur est incliné vers le haut à l'écart du véhicule, ce jeu étant relié au châssis et se terminant sensiblement dana le même plan que le système de chenilles primaires.
j) Le système de chenilles secondaires comprend un repose-pieds. k) La chaise roulante est capable de franchir \ des escaliers et des organes sont prévue pour assurer la rotation du système de chenilles secondaires afin de l'amener en contact sous pression avec le sol selon une inclinaison variable.
1) L'extrémité arrière des chenilles primaires passe sur des poulies de manière à ménager, entre son brin supérieur et non orin inférieur, un brin intermédiaire
<Desc/Clms Page number 17>
EMI17.1
qui t'étend selon un angle obtus par rapport à ce brin inférieur et selon un ar, .e aigu par rapport au brin aupérteur, pour faciliter la franchissement d'un escalier. a) La véhicula empromd un* roue arrière et un tr,sie3tn jou de cheniUos relias A l'infrastructure# le brin inférieur de 5u troisième jeu de chenille étant 1.olblmen tnr.cnt A l'un des quadrants inférieurs de lA roue et 3Mt nd?nT vire l'avant et vars la haut pour faciliter le frnnchissaniant dans 4-coins d'un seul gradin seprir-int d,,ux eurtnces horizontales#