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"Dispositif de suspension de la ouve d'une machine à laver .1; ...0"%'".
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la présente invention concerne un dispositif de tue- pension de la cave d'une ma,ohiae .aver et à essorer@ psrtiou
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liereaent du type comportant une ouve et un tambour disposée ho- 1lon1;a1I.ln1;, ainsi qu'un dispositif amoytiaeeur particulier,.
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Dans de telles machines existe un problème extrême-
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ment délicat d'équilibrage lorsque ces dern1.:rI" sont au travail,
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soit dans la phase de lavage, soit dans la phase d'essorage.
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Le tambour de la machine tournant à une vitesse d'environ bzz tours/min* pour le lavage et de 500 tours/min. pour l'essorage,
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est charge, par exemple, de 1 à 6 kg de linge, lequel absorbe en
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moyenne trois fois non poids d'eau Durant la phase de lavage,
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Io linge ainsi alourdi est repoussé par la force oentrifuge oon- tre la paroi interne du tambour et nuit cette dernière dans 0* rotation jusqu'à une hauteur ou non poids dépasse la force on- Le linge retombe alors dans le fond du tambour criant ainsi un balourd Importante De plue, 1. répartition du linge mouillé sur la paroi interne dudit tambour n'est pu réguliers Lori de la phase d' ..1J0rage.
les sollicitations sont amoro plus conaîdérableso L' importance du balourd peut 4tre trtt aisément démontré* par un exemple :
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soit le tambour rempli de 5 kg de linge lequel aboor- be trois fois son poids 4 '...u, ceci donne une ohuxge de 20 q.
Supposant la moitié de cette charge en balourd maximum, soit 10 kg et prenant une vitesse de rotation de 400 ;oure/8in. (vi- tonne inférieure à la vitesse normale d'essorage) avec un dit" mètre du tambour égal à 450 mm, on obtient une sollicitations
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y a1 a .'3"",...o .o fi1 cr.
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Pour une Vitez$* de rotation de 500 toara/atn. 8
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y * 250.99 . 1.100 kge. 22
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Oeci est évidemment un =tau= théorique attendu que le balourd diminua proportionnellement à 1* expulsion de l'eau..
Ce problème a déjà fait l'objet de nombreux essais et études. Une des solutions proposées consiste à suspendre la cuve et non tambour à quatre ressortis fixée d'autre port, la
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carromrie de la machine. Cette solution n'est guère aoceptable vu les efforts transmis à ladite earroeeerie. Une autre solution plus rationnelle a été de pivoter la cuve horizontale selon sa génératrice inférieure, ladite euve étant maintenu* en position
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par des ressorts fixés à la carrosserie.
Si cette solution on
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stitue déjà un progrès, il n'en reste pas Mine que des vibra- tions et des sollicitations amont toujours transmises à la car- rosserie, 00 qui entraîne fréquemment un déplacement de la bzz chine lors de non utilisation., Ceci a amené les oonetX\1O'teu.n à lester la base de la machine par des poids souvent oone1d4ra- oies
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La présente invention révèle un prooédé pour l"l1ai nation don vibrations de la base et de la carrosserie d'une ma- chine à laver et à essorer.
L'invention révèle également un dispositif appliquant ledit procède.
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Le procédé selon l'invention oonaiwte substantielle- ment à absorber les balourds, dans un tambour horizontal de
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machine à laver, par un mouvement pendulaire et par des pouve. monte verticaux de la cuve contenant ledit tambour f à lifter le mouvement pendulaire par le poids de la cuve, du tambour, du linge et de l'eau y contenue et par la torsion d'éléments rela- tivement élastiques,enfin, à limiter les mouvements verticaux par la compression, respectivement le cisaillement, d'éléments élastiques.
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Le dispositif selon l'invention est .ubltani1.l1.mGnt constitué par un châssis sur lequel est pivotée ladite ouve hori-.'
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zontale selon sa génératrice supérieure, par l'entremise 4'414- mente élastiques, ledit ohlasi8 étant monté sur un socle par des moyens élastiques.
Une machines laver réalisée sur base du procède son- forme à l'invention présente de nombreux avantages, par exemple une sécurité de marche accrue par la diminution des vibrations, un confort d'utilisation de par sa stabilité, une très grande facilité de fabrication et plus particulièrement d'assemblage,
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une diminution de poid" et, enfin, une carrosserie entièrement
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indépendante*
Pour plue de clarté, l'invention ont décrite ci-après référence faite aux dessina annexés dans lesquels la figure 1 ont une vue en perspective d'une machine à laver selon l'invention; la figure 2 représente la machine de la figure 1, la carrosserie de oette dernière ayant été enlevée;
la figure 3 représente sohématiquement le procédé d'ab- corption du balourd selon 1'invention; la figure 4 est une coupe diamétrale en élévation d'un élément de suspension de la cave; la figure 5 est une vue en perspective explosée des éléments caractéristiques de la suspension reprécentés à la figu- re 4, la figure 6 représente en élévation et en coupe le dis- positif de suspension inférieur du châssis de la machine. la figure 7 est une vue perspective du socle de la ma- ohine représentant l'assemblage d'un élément de suspension;selon la figure 6;
la figure a est une coupe selon la liane VIII-VIII de la figure 7. la figure 9 représente en élévation avec coupe partiel- le l'application du système de suspension inférieur à une table vibrant., la figure 10 est une vue agrandie avec coupe partielle selon F10 de la figure 9.
Une machine à laver du type à cuve et tambour horizon. taux selon l'invention présente une carrosserie 1 de toute forme adéquate, généralement parallélépipédiques présentant 'en sa par- tie supérieure, une table 2 pourvue d'un crifice 3 obturé par un couvercle 4.
La table 2, sur sa partie arrière, peut tiré sur- montée d'une tête de commande 5.
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la carrosserie 1, cet solidarisés par Tissage ou bou-* .onne,ge un socle à réalisé soit en une pièce coulée, soit par
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assemblage d'éléments profila*.
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la ouve 7 contenant le tambour S est pourvu en sa
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partie supérieurs d'une eaillie rectangulaire 2 dont l'extrémité
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supérieure est pourvue d'un orifice circulaire 12 encadre par joint en caoutchouc il.
Le procédé pour i'6,i,nation des vibratians provo" quête par leu balourde dans le tambour l consiste à suspendre la cuve horizontale l contenant le tambour 1 substantiellement selon sa genere.trioe supérieure et à absorber lendits balourde par des mouvements oaoillanta d'amplitude variable cr, de la aurre , du tambour g et du linge j,2 zur contenu, autour de l'axe de suspension et par des mouvementé généralement verticaux de ladite cuve 2 et de non oontenut a limiter les mouvementé oscillants par le poids de ladite cuve ,4u tambpur et du linge la et de l'eau y
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contenue et par la torsion d'éléments relativement élastiques
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disposée selon ledit axe 4 'oscillation 2Jlî enfin, à limiter les mouvements verticaux par la compression, respectivement le oieai3
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lement d'éléments élastiques*
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Conformément à ce procédé,
ladite ouve 2 cet auspend>," substantiellement selon sa génératrice supérieure, à deux ontemt en forme de A. respectivement la, là, située de part et d'autre de ladite ouve 2 dans des plans perpendiculaires à l'axe de la- dite cuve. Selon l'une des caractéristiques de la présente iuven- tien, la suspension de ladite cuve 1 aux montante lit JL5 est réa- - lises de la manière suivante t à chaque extrémité de ladite gêné- , ratriat supérieure de la ouve 2 est prévu un élément tubulaire ,;j6
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dont l'axe est parallèle à ladite génératrice, lesdits éléments
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étant# par exemple, soudés aux la paroi externe de ladite cuve :
te Sur l'élément de jonction supérieur des montants là# là est solidarisé un élément cylindrique , une partie dudit élément
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supérieur formant le fond 1± dudit cylindre Il de suaibre à réa- liser une douille. Ledit fond là cet pourvu d'un orifice 12 coaxial audit cylindre 17. Le dispositif de suspension est en- 001'8 constitué par un boulon ±2* un boudin de caoutchouc Il pour- vu d'un alésage axial n dont le diamètre est au moins égal à celui dudit boulon 2, par une ooupelle métallique Il pr.f8en- tant unt face plane ,, un alésage central Il d'un diamètre 99 moine égal à celui dudit boulon g et# sur son autre tao., me collerette ±2. une nervure annulaire &1, une gorge annulaire U et un moyeu central conique Z3. et par un cSo1'O\1 12.
1 socle µ. comporte une face supérieurs U dans la- quelle sont aménagée euootssivtmtnt à partir de l'un de *ou petit8 attds, une découpe rectangulaire la dont la ligueur est parallèle audit petit atlté, d'une découpe de forme généralement rectangulaire 22 t d'une découpe rectangulaire 2i symétrique à ladite découpe par rapport à la petite médiane de ladite taos Il. Les bords verticaux dudit socle 1 prênentento au moins au droit deaditea découpes '"e,2, Ut un profil intérieur en forme de U, teal que oohéaatiaé en âl , la figure 7.
Dana ladite découpe 32. ont monté un support .12 dont un odté eat pivote sur ledit socle ¯6. Sur ce support 12 cet monté un moteur entraînant, au moyen d'une courroie de transmission 2µ, un volant 22 monté en bout d'un axe !Q solidaire dudit tau- bour 8. les montante 1*12 sont reliée par des longerons, reps peotivement 119 4&, reliant. chacun, l'extrémité inférieure des jambes desdit$ montante en forme de A U. 12. situées d'un même coté d'un plan vertical contenant l'axe de la cuve 1.
Les longerons 1, sont constituée substantiellment
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par un profilé en forme de U dont une aile est munis de patte$ de
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fixation, respectivement ,,r U* .Un os qui concerne pl.1'1oL1l1èr"lnt le dispositif d'an
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t1"OIIen1; des toouvements verticaux de la cuve, il est constitué, selon une caractéristique de l'invention, par un boudin de caout- ohoua 12 engage" dans ledit profil en forme de 11.12 dudit école i. lue longeron, par exemple le longeron me est alors placé de manière à être diamétralement opposé audit profil là* Le longeron est alors fermement sollicite vers le profil 22 par lie 'de... sage de la via JI d'un serre-joint Il.
Dans l'exemple de réali- nation représenté particulièrement à la figure 7, il sera avan- tageusement fait usage d'un outil de montage constitué par deux
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tels serre*-Joint$ il réunis par une latte ,8.. Ensuite les montants, respectivement li et 12. sont placée dans un plan perpendiculaire n manière telle que la par- tie inférieure de leurs jambes se plaoe, respectivement, au droit des patte$ de fixation , 44.
Un léger écart d'ajustage prove-
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nant don tolérances de soudure desdite montante peut être compo- se par serrage ou desserrage de la vie J2 d'un ou plusieurs des serre-joints 1. lesdits montante li, 12 eontalors boulonnes j auxdites pattes ±. ,±±# La cuve 2 contenant le tambour 8 est 1'" amenée entre lesdits montants 11, 12. les éléments en caoutchouc 21 étant insérés dans le volume cylindrique délimité par les
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éléments 12 et 17. Les boulons 20 sont alors, chacun, insérée eu travers de l'orifice .15 de la paroi ,,¯8, et de l'alésage 12 dudit boudin .21..lia coupelle métallique n est insérée aur ledit bou.c" ' gOt sa face plane 2Jk dirigée vers l'extrémité libre dudit boulon.
LOs enfin, l'écrou .0 est engagé sur la partie filetée dudit bou- lon 12 et le vissage s'en poursuit jusqu'à obtenir la ooapreseicu désirée dudit élément en caoutchouc SI* Cette compression de l'élément 21 est réglée de manière à impartir à la masse de caoutchouc de ce dernier un coefficient de torsion tel que, lors de l'oscillation de la cuve .1 autour de l'axe d'oscillation 13,
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matérialisé par lesdits boulons z0, l'amplitude preste dans le& limites admises.
La mise sous tension de l'élément 21 par vissage
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de l'éorou 22 est facilités par le profil de la coupelle 22, res- pectivement par la nervure annulaire 27 et le moyeu conique 29 de cette dernière.
Ensuite, les accessoires de la machine, tels que le
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volant Us la courroie ",8, etc., sont montés.
L'utilisation du dispositif de suspension inférieur
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tel que décrit ci-dessus n'est nullement limitée aux machines laver. En effet, il peut être avantageusement utilisé dans toutes machines ou éléments généralement: soumis à des vibrations*Dans l'exemple représenté à la figure 9, une table vibrante 49 équipée
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de deux balourds, respectivement ,,0,, ap est montée sur une base constituée par les éléments 2g, oU ancrés au moyen de doguetw JI dans un plancher 55, par l'entremise d'une variante d'exécution du dispositif décrit ci -dessus* Dans celle-ci l'élément 52 oompor- te, sur une de ses faces, une découpe longitudinale substantielle.
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ment semi-cylindrique 22, tandis que les pieds de la table 12 sont réunis deux à deux par une entretoise, respectivement 32, Ut laquelle présente, vers l'extérieur, une découpe longitudinale substantiellement semi-cylindrique 12 similaire k ladite découpe 56. Ces éléments sont substantiellement assemblés comme décrit ci-dessus, le boudin de caoutchouc 45 étant mis sous tension.
Il est évident que toute section adéquate peut être donnée audit boudin en caoutchouc 45 ainsi qu'au logement destiné à recevoir oe dernier, prévu, d'une part, dans l'élément de 'OU.. tien de la masse à supporter et, d'autre part, dans fias éléments adéquats de ladite masse.
Il faut reparquer que la courroie d'entraînement 38 n'est pratiquement soumise à aucune sollicitation Intempestive, vu les faibles valeurs dudit angle [alpha]. Toutefois, lors de l'arrêt
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du moteur Ilt le tambour a étant à vitesse d'essorage, la brusque augmentation du balourd dans ledit tambour " entraîne une aUentation très nette de l'angle oC , la courroie 28 intervenant alors comme limitateur de débattement de ladite cuve 7.