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Le problème de 'Áttaque a'rb8 en ufdôeàhjsé êt 4*tttttrtë ouôhea d& p.. b, aussi bien qUe de trtairta lâàt8, par den t'o1'1±;I!Ul"n êt dE:Vnh\l t:1"h sutieux âMe ma1,tltlu
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contrées. Dans plusieurs circonstances, le problème est éga- lement très sérieux en ce qui concerne les immeubles et les
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entrp8te qui sont utilises pour le stockage de aivers pro- duits, en particulier du grain. Toute matière qui possède une action de répulsion fis-à-vis des rongeurs est extren" ment utile lorsqu'elle est appliquée à des matières qui sont soumises à l'attaque des rongeurs.
Pzr conséquent, la présente invention & pour objet un procède amélioré pour chasser les oiseaux et les rongeurs.
La présente invention a également pour objet un
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procédé pour rendre des matières et des i;urruati3 répulsives vis-à-vis de rongeurs et d'oiseaux. L'intention a aussi pour objet une composition de répulsion t.loïsesux et de ron- geurs. L'invention concerne également la protection de plan-
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tes en croissance et d'autres matières normalement consom- des en tant qu'aliment par les oiseaux et des rongeurs.
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La présente 1iYetion a aussi jour objet un procédé pour débarrasser une région d'oiseaux et de rondeurs.
La présente invention a enfin povr objet des com- positions empêchant les oiseaux de voler.
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D'autre$ aepebtîo# objetr et divers avantages de la pimente invention api'ai'aitront a la lumière de la descrip- tion suivante et des revendications qui la terminent.
Selon la présente invention, la demanderesse a dé- couvert que des biseaux et des rongeurs sont repoussée ou
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chastes par des N-oxydes de composés h6trocyaliqea conte- nant de l'azote, possédant les formules de structure choisies paru! les formules suivantes;
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dans lesquelles X est choisi dans le groupe formé par l'hy- dorgène. le chlore, le brame, les radicaux alcoyle et alcoxy comportant de 1 à 4 atomes de carbone et les radicaux araloo- xy comportant de 7 à 10 atomes de carbone inclusivement et des radicaux nitro et n est choisi dans le groupe formé par les nombres 0, 1 et 2.
Le terme "répulsion" vise à inclure tout effet sur les oiseaux ou rongeurs obtenu par les composés selon la présente invention. Par exemple, la demanderesse a découvert que des oiseaux sont temporairement paralysée après avoir mangé un aliment traité par même une petite quantité de com- posés selon la présente invention. Cependant.les oiseaux paralysés recouvrent éventuellement la santé et s'envelent mais d'autres oiseaux ne fréquenteront pas la région pendant un certain temps, par exemple plusieurs jours, après qu'un
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certain nombre d'entre eux aient été paralysés.
Des oiseaux qui ont mangé du grain, par exemple, traité par les composés selon la présente invention émettent des cris qui ont pour effet d'écarter ou d'avertir d'autres oiseaux dans la région d'un danger existant* De même, la demanderesse a découvert que les composés selon la présente invention sont des agents "entivol" extrêmement efficaces, étant donné que des oiseaux qui ont mangé même une très petite quantité des composes se- lon la présente invention sont incapables de voler pondant un certain temps, par exemple, pendant plusieurs jours, et, au cours de cette période, l'oiseau émet des cris d'avertisse- ment pour les autres oiseaux dans la région, Pour cette rai- son, des surfaces telles que des aérodromes,
peuvent être débarassées des oiseaux qui évoluent au-dessus d'elles en traitant la suriace par des composés selon la présente inven- tion et on diminue, de ce fait, le danger provoqué par des oiseaux volant dans les voies d'atterrissage et de décolla- ge des aérodromes.
Comme N-oxydes représentatifs et spécifiques de composés hétérocycliques contenant de l'azote de formules de structures données ci-dessus, qui peuvent être utilisés lors de la mise en oeuvre de la présente invention, on peut citer: N-oxyde de pyridine N-oxyde de quinoléine N-oxyde de quinoléine dihydraté N-oxyde de 4-méthoxy-pyridine N-oxyde de 4-nitro-2-methyl-5-éthylpyridine N-oxyde de 2,3-diethoxyquinoléine N-oxyde de 4-chloropyridine
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N-oxyde ae 2,3-diméthyl-4-tlhloroquinoldine monohydraté -oxyde de 2,3|4 5-tétrachl0ro-6¯n-butylpyridine N-oxyde de 2-n-outyl-4-brome-7-n-butoxyquïnoidine k-oxyde de -chlora-3-n-pxopoxy-4,5-didthylpyriàine N-oxyde de 2-methyl--éthyl-6-.tropyridine N-oxyde de 5,f,?,
g-tétraéthyl-,4-atin.trcqu.noldine 8ibxdxaté N-oxyde de 2-bromo-3-éthoxy-4-môthyl-5-nitropyridin N-oxyde de 4-benzyloxypyridine h-oxyde de 3(2-pényléthoxy)4uinoléina d1h1drat4 J-axyda de 4-(3-phdnyl-n-outoxy)pyridine N-oxyde de 4-nltropyridlne , N-oxyde de 4-nitro-3-méthylpyridine N-oxyde de 4-nitro-2-mothylpyridine N-oxyde de 2,4-dinitropyridine N-oxyùe de 2-nitropyridine .
N-oxyde de ieoquinoléine
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N-oxyde de 3-oliloroieoquinoléine monohydraté N-oxyde de 5-nitrosoquinoléine N-oxyde de 3o4-dimétliyl-5-éthoxyisoquinolêtne dihydraté
Les composés selon la présente invention peuvent être appliques dans le but proposé sous forme de concentrée ou en combinaison avec un support ou véhicule ou d'autres ma- tières inertes.
Des solvants ou des adjuvants, servant de véhicules ou de supports, utilisés, doivent être sensiblement inertes vis-à-vis de l'agent de répulsion actif, Certains exemples de matières spécifiques servant de support qui peu- vent être utilisées, sont l'acétone, le kérosène désodorisé, les naphtas , les fractions d'hydrocarbures iso-paraffini- ques bouillant entre environ 127eC et environ 427 0 (soltrol)
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et analogues. Si on le désire, les agents de répulsion sa- lon la présente invention peuvent être appliqués sous forme d'imulsions aqueuses en utilisant un agent d'émulsification approprié.
Il entre également dans le cadre de la présente invention Utiliser des mélanges des N-oxydes de composés hétérocycliques contenant de l'azote, et d'utiliser des mélan- ges d'un ou de plusieurs de ces composés avec d'autres agents de répulsion connus.
Selon la présente invention, les N-oxydes de compo- ses hétérocycliques contenant de l'azote décrira ci-dessus et utilisés dans le procédé de la présente invention peuvent être combinés à des solides, de manière 1 former les nouvel- les compositions de répulsion. Comme solides, on peut citer, par exemple, de la terre, du sable, des argiles, des- semen- ces, du grain et généralement divers solides adsorbants, de préférence sous une tonne subdivisée.
Les composés de répul- sion selon la présente invention peuvent également être appli- qués à des surfaces ou région. dont on désire chasser les oi- seaux et les rongeurs, en combinaison avec un adhésif qui prolonge la durée de ces composés sur la surface,
Les composés se répulsion selon la présente inven- tion peuvent être appliquée dans les formes décrites ci-des- sus par aspersion, par brossage, par pulvérisation et analo- gues. Une méthode préféré* d'application est l'aspersion d'une composition liquide contenant ces agents de répulsion sur la surface dent on yeut chasser ou repousser les ¯1.eaux et les rongeurs.
Lorsque les agents de répulsion sont appli- qués avec un solvant ou un adjuvant servant de véhicule, les compositions contiennent normalement entre environ 0,1 à envi-. ron 10 % en poids d'au moins un des N-xoydes décrite ci-dessus, bien que des concentrations supérieures et intérieures peuvent
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également être utilisées, Lorsque l'agent do répulsion est appliqué sous forme de poudre, la concentration des N-oxydes utilisés est habituellement comprise entre environ 1 et envi- ron 20 % en poids.
Les agents de répulsion selon la présente inven- tion sont habituellement appliqués à une région dont on dési- re chasser ou repousser les oiseaux et les rongeurs, de ma- nière à ce qu'il se dépose une quantité comprise entre envi- ron 54 g et environ 10750 g de matière de répulsion active par ha, de préférence entre environ 540 g et environ 2690g par ha.
Dea quantités plus importantes ou plus petites peuvent, cependant, erre appliquées, si on le désire, bien que des quantités supérieures soient généralement antiéoonomiques. lorsque ,les agents de répulsion selon la présente invention sont appliqués à des aliments, des graines, des semences ou d'autres matières normalement consommées en tant qu'aliment et analogues dont il faut chasser ou repousser les oiseaux et les rongeurs, l'application, est faite de manière à ce qu' il se dépose entre environ 0,@@ et environ 5 % en poids, par rapport à l'aliment, aux semences ou aux graines, d'ingré- dient actif. Les limites préférées sont comprises entre envi- ron 0,1 et environ 2 % en poids.
On a observé que l'on obtient une véritable répulsion des oiseaux et des rongeurs lorsqu'on utilise les doses ou concentrations supérieures dosées ci- dessus. On a également observé que des oisaaux et des rongeurs ne mangent pas des matières traitée* par des composée selon la présente inventionaux concentrations supérieures. Cependant, on a observé que des oiseaux et des rongeurs mangent des ma- tières traitée, par des composés selon la présente invention aux concentrations inférieures et le résultat de l'ingestion d'une petite quantité des composés est que les oiseaux sont
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incapables de voler vu qu'ils émettent en même temps due cirs d'avertissement pour les autres oiseaux dans la région.
Ce- pendant, ai les oiseaux ou les rongeurs consomment une trop grande quantité des composés, ils meurent. Par exemple on a déterminé que la dose léthale pour des rats est d'appro- ximativement 100 mg de opposé de répulsion par kg de matie-' re traité, tandis que la doae mortelle pour des moineaux est d'approximativement 20 mg par kg.
Les agents de répulsion, composés ou matières selon la présente invention peuvent être préparés par n'importe quelle méthode appropriée connue enté- riaurement. Les nouveaux N-oxydes selon la présente invention décrits ci-dessus peuvent être obtenus en convertissant un composé pyridinique intermédiaire approprié, par exemple, possédant un groupe substitué ou des groupes qui peuvent être aisément remplacés, en le N-oxyde correspondant, par réaction du composé pyridinique substitué en solution dans de l'acide acétique glacial, avec du peroxyde d'hydrogène et par cenver- tion subséquente du N-oxyde de pyridine en les composés subs- tituéa décrits ci-dessus.
Les composés de répulsion selon la présente invention peuvent être appliqués à plusieurs types différents de surfaces et de matières que l'on désire rendre répulsives et protéger vis-à-vis des oiseaux et des rongeurs, comme expliqué ci-dessus. Par exemple, ces matières peuvent être appliquées à des appuis de fenêtres, des immeu- bleu, aux abords de surfaces telles que aéroports, aliments, semences, graines, arbres fruitiers, jeunes plante d'arbres ou analogues.
Par exemple, lorsque des sacs en papier ou en tissu utilisés comme réceptacles pour des matières attirantes normalement consommées en tant qu'aliment par des rongeurs ou des oiseaux sont imprégnés par un composé selon la présente invention, on obtient une barrière efficace qui empêche-
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les oiseaux ou les rongeuro d'atteindre la matière bonté- nue dans ces sacs. Do même, les composés selon la présente invention peuvent être incorporés à des gommes de colophane ou à des adjuvants analogues et être appliqués ainsi, sous forme d'un revêtement protecteur, à des arbres fruitiers.
En vue do les rendre répulsifs vis-à-vis des oiseaux et des rongeurs, les semences, lus aliments ou les graines peuvent être révolus ou imprégnés des matières actives en immergent ou en trempant les semences-, les aliments, ou les graines -dans une solution contenant un N-oxyde de composé hétérooy- clique contenant de l'azote- avant de les planter ou de les distribuer. Les matières selon la présente invention sont bien adaptées au traitement, des semences.
Ainsi, en pratique, des semences ou des graines, qui doivent, par exemple, être plantées dans des champs ou. distribuées d'une autre manière, sont d'abord traitées par au moins un des composés actifs selon la présente invention¯et les semences ou raines traitées sont ensuite plantées ou distribuées d'une autre . manière. Par exemple, des semnces ou graines traitées peu- vent 8tre distribuées dans des poules ou cuvettes ou peuvent être distribuées d'une autre manière, dans des régions sura- les, industrielles ou dans des régions où règne un grand '.trafic aérien ou analogues, ¯ afin de maintenir ces régions , sensiblement à l'abri d'oiseaux ou de rondeurs. Les exemples non limitatifs suivants illustrent l'efficacité des composés -selon la présente invention:
EXEMPLE I.
On a effectué un essai dans lequel du 11-oxyde de
4-nitro-2-méthyl-5-éthyl pyridine a été testé en tant qu'a- gent de répulsion pour des poussins. Dans cet essai, une solu- tion de 1/2 g de ce composé'dans 20 ce d'acétone a été
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appliqué à 50 g d'aliments pour poussins. L'aliment pour poussins a été vigoureusement mélangé avec cette solution, après quoi l'acétone a été évaporée de l'aliment. 50 g de l'animant traité ont alors été disposés dans une cage conte- ' nant 2 poussins qui avaient faim et le nombre de grammes d'a- liment traité qui a été consommé après 3 jours a été déter- miné. L'aliment non traité a été complètement consommé avant
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la fin au premier jour.
Léo résultats de cet essai sont eri- ; mes dans le tableau I.
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-alimenta Grammes traites consonméa Composa testé évaltié e 1
EMI11.3
<tb> 1a <SEP> jour <SEP> 2e <SEP> jour <SEP> 3e <SEP> jour
<tb>
<tb>
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N-oxyde de 4-nitro-2-mé- lfi 20 19 thyl-5-éthylpyridine
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EXEMPLE II. on a effectué une série d'e8':&i8 dama lesquels plusieurs des composés Helon la.
présenta invention ont été testes en tant qu'agentn de répulsion pou*? des cailles de l'ec- pfeei CoturriiE, Dans ots ##skis, 100 g dtalimente ont été traites par une solution de 1g de l'un des N-oxyda de composée hété- rocyolà.queu contenant de l'azote selon la présente invention dans 40 00 diàdétogee tte solvant a ensuite été évaporé et les alimente 4cla ont été disposée dans une cage contenant 4 oailiea Cotumix, Come dans l'exemple I, la quantité, d'ali- mante consommé$ le premier et le deuxième jour a été estimée et la quantité d'aliments consommé après 3 jours 3 été doter- minée par pesée,
à moins que tous les alimente aient été
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-consommée* Lea caillea ont mkngé 'entièreté des 100 g le premier jour lorsque des alimente non traités étaient utili-
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sée. Les Résultat s de cee essaie sont exprimés ci-dessus dans lue tabltatt II.
TABLEAU II.
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<tb> alimenta
<tb>
<tb> Gramme. <SEP> traites <SEP> consommés
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb> Composé <SEP> testé <SEP> évalué <SEP> réel
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb> le <SEP> jour <SEP> 2e <SEP> jour <SEP> 3e <SEP> jour
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb> N-oxyde <SEP> de <SEP> pyridine.......... <SEP> 5 <SEP> 45 <SEP> 47
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb> N-oxyde <SEP> de <SEP> quinoléine
<tb>
<tb>
<tb> dihydraté.................. <SEP> 5 <SEP> 10 <SEP> 30
<tb>
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N-oxyde de 4-dlméthylpyridine 10 54 N'oxyde de 4-nltro-2¯aétliyl- 5-éthylpyridine 10 1% 43 N-oxyde de 4-benzyloxypyri- aine....................... 10 12 43 N-oxyde de 4- itro-3-méthyl- pyridine 5 5 17 N-oxyde de 4'-nitro-2-n6thyl- pyridine......<..............
10 30 52
Dans les exemples ci-dessus, il faut noter que le test est extrêmement sévère, et qu'il est beaucoup plus sévère que le test où un choix est laissé entre des semences traitée@ ou non traitées. Il ressort de l'exemple II que les agents de répulsion sont extrêmement bons, étant donné que très peu d'aliment a été consommé par ces mangeurs voraces au cours d'une période de 3 jours dans des conditions de dite absolu..
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EXEMPLE III.,.
On a effectua une série d'essais dans lesquels des poêles ou cuvettes de graines traitées et non traitées ont été exposés à l'appétit des oiseaux sur le toit d'une maison située dans une région municipale fortement fréquentée par des moineaux, des pigeons et d'autres espèces d'oiseaux.
Dans oes tests, 340 g de graines de millet ont été traités par une solution de 3,4 g du composé à tester, dissous dans 30 co n'acétone, Le solvant a été ensuite évaporé et le grain traité a été disposé dans des poêles ou ouvettes à l'en- droit décrit ci-dessus. Un nombre égal de poêles ou cuvettes contenant la même quantité de grain non traité ont été expo- sées au même endroit et des lectures journalières ont été faites en ce qui concerne la quantité d'aliments qui avaient été consommés par les oiseaux. Les lectures sont faites en mesurant les aliments qui avaient été consommés par les oi- seaux.
Les lectures ont été faites en mesurant le volume de grain en ml qui subsistait dans les poêlée, chaque jour.-Etant aonné que le grain non traité a été mangé très rapidement, il a été nécessaire de redonner du grain traité un certain.nom- bre de fois. Les résultats de ces essais sont 'exprimée ci- dessous dans le tableau III.
Dans oe tableau, les résultats sont exprimés sons lorme de pourcent de répulsion. Ce pourcent est calculé par l'équation % de répulsion 100 Volume d'aliments traités mangé en 14 jours 7 100 -[ Volume d'aliments non traitée man é en 14 jours] TABLEAU III.
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<tb>
Composé <SEP> de <SEP> répulsion
<tb>
<tb> N-oxyde <SEP> de <SEP> 4-chloropyridine <SEP> 92,7
<tb> N-oxyde <SEP> de <SEP> 4-nitropyridine <SEP> 97,9
<tb>
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EXEMPLES IV.
On a effectué une série d'eeaaia dans les quel des poêles ou. cuvettes de grain traité et non traité ont été exposées à l'appétit des oiseaux dans un champ dans une ré- gion rurale fréquentée par des oiseaux des champs*
Le grain a été traité en appliquant une solution acétonique de l'agent de répulsion au grain en une quantité suffisante pour obtenir le pourcentage pondéral sus-indiqué et ensuite, on a évaporé le solvant. Les essaie ont été effec- tués en attirant d'abord les oiseaux dans le champ à l'aide de grain non traita pendant une période suffisante pour que les oiseaux consomment l'entièreté au grain contenu dans les poêles en 1 Jour.
Lorsque ce. point a été atteint, 75 g de grain traité ont été disposés dans chaque poêle et ces poêlée de grains traitas ont été disposés au hazard à travers tout le champ, On a intercalé des poêles de grain non traité entre le grain traité et ces poêles de grain non traité ont été également disposées autour de la périphérie du champ* Les valeurs données de pourcentage consommé sont calculées sur la base d'un jour. Dans les menas conditions, le grain trai- té a été complètement consommé par les oiseaux. les résultats de ces essais sont exprimés ci-dessous dans le tableau IV.
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TABLEAU IV.
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<tb> pourcen- <SEP> Nombre <SEP> d'essaie <SEP> quantité
<tb>
<tb>
<tb> tage <SEP> pon- <SEP> moyenne
<tb>
<tb>
<tb> Composé <SEP> déral <SEP> de <SEP> grain
<tb>
<tb>
<tb> composé <SEP> Nombre <SEP> mangé <SEP> en
<tb>
<tb>
<tb> sur <SEP> le <SEP> de <SEP> %en
<tb>
<tb>
<tb> grain <SEP> Essais <SEP> poêles <SEP> poids
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb> N-oxyde <SEP> de <SEP> pyridine <SEP> 1,0 <SEP> 3 <SEP> 3 <SEP> 16
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb> N-oxyde <SEP> de <SEP> quinoléine
<tb>
<tb> dihydraté <SEP> 1,0 <SEP> 3 <SEP> 3 <SEP> 11
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb> N-oxyde <SEP> do <SEP> 4-méthoxypy-
<tb>
<tb>
<tb> ridine <SEP> 1,0 <SEP> 2 <SEP> 4 <SEP> 50
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb> N-oxyde <SEP> de <SEP> 4-méthoxypy-
<tb>
<tb>
<tb> ridine <SEP> 0,
25 <SEP> 2 <SEP> 3 <SEP> 78
<tb>
Il ressort des donnéesdu tableau IV que le N-oxyde de pyridine et le N-oxyde de quinoléine dihydraté sont tous deux des agents de répulsion d'oiseaux très efficaces.
EXEMPLE V.
On a effectué plusieurs essais dans lesquels diverti N-oxydes de composés hétérocycliques contenant de l'azote ont été testés en tant qu'agents de répulsion pour lapins.
Dans ces essaie* de jeunes lapins ont été nourris à l'aide d'un aliment commercial pour lapins sous forme de granuleu jusqu'à ce que les bêtes fussent accoutumées à leur environnement. A ce moment, on a offert aux animaux 100 g d'aliments qui avaj.ent été imprégnés par une solution à 1 % du composé dans de l'acétone On a utilise suffisamment de solution pour obtenir 0,05 g du composé par 100 g d'aliments.
La quantité d'aliments traités qui a été mangée à la fin du premier et du second jour a été évaluée et la quantité rel- le qui a été mangée âpres 3 jours a été déterminée par plsés.
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Si le produit chimique n'a que peu ou pas d'effet de répul- sion, l'aliment est souvent consommé dès le premier jour.
Les résultats de ces essais .sont exprimés ci-dessous dans le tableau V.
TABLEAU V.
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<tb>
/ <SEP> consommés <SEP>
<tb>
<tb> composé <SEP> évalué <SEP> pesé
<tb>
<tb>
<tb> le <SEP> jour <SEP> 2e <SEP> jour <SEP> 3e <SEP> jour
<tb>
<tb>
<tb> N-oxyde <SEP> de <SEP> 4-nitropyridine <SEP> 7
<tb>
<tb> N-oxyde <SEP> de <SEP> 4-nitro-2-méthy-L-
<tb> 5-éthylpyridine <SEP> 10 <SEP> 20 <SEP> 24
<tb>
<tb> 11-oxyde <SEP> de <SEP> 4-chloropyridine <SEP> 10 <SEP> 56
<tb>
EXEMPLE VI.
Dans un autre essai, du M-oxyde de 4-nitro-pyridine a été testé en tant qu'agent de répulsion pour ctes rata. Dans cet essai, un aliment pour chiens (checkers) a été trempé dans une solution acétonique à 1 % de N-oxyde de 4-nitro-pyridine, après quoi l'acétone a. été évaporée. On a donné 100 g de cet aliment traité à un grand rat. Apres :) jours, le rat en avait consommé 9 g et 40 g après 6 jours. Au cours de l'essai, au- cun autre aliment n'était disponible pour le rat. Dans les essais où de l'aliment non traité est également fournit l'ani- mal ne consomme que peu ou pas d'aliment traité.
EXEMPLE VII.
Dans un essai, au kaffir corn blanc a été traité par une solution aqueuse de li-oxyde de 4-nitro-pyridine en un quantité telle que l'on obtienne 1/2 % en poids du composa
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sur le grain. Un quart de ce grain traité est ensuite disposé en petites piles (d'un diamètre d'environ 5,1 cm) au hasard dans et autour d'un champ de froment de 2 à 2,4 ha. Justo avant de distribuer cette matière, on a estimé à 5000 à 7000 le nombre d'oiseaux qui s'alimentaient dans le champ de fro- ment. Ces oiseaux étaient pour la plupart des étourneaux, dos molothrus ater et des moineaux. 4 jours plus tard, seuls 10 à 20 oiseaux pouvaient encore être compas dans le champ de froment en un moment quelconque.
On a également observé que plusieurs oiseaux étaient à terre, incapables de voler, âans des relions boisées adjacentes au champ de froment. Plusieurs de ces oiseaux, en particulier les molothrus ater, omettaient des cris, qui avaient pour effet d'écarter ou d'avertir les oiseaux d'un danger existant dans la région.
EXEMPLE VIII.
Dans un autre test, des graines de millet contenant 1 % en poids de N-oxyde de 4-nitro-pyridine ont été disposées dans des poêles ou cuvettes sur le toit d'une maison dans une zone résidentielle fréquentée par des moineaux et des pigeons. 5 jours après le moment où le grain avait été dispose en cet endroit, un pigeon a été trouvé aux environs de la mai- son dana une condition telle qu'il était incapable de voler.
Le résultat en a été que les pigeons ont arrêté de fréquenter la zone où le grain avait été exposé. Le pigeon qui avait été affecté en mangeant le grain s'est rétablit le lendemain et a été relâché.
EXEMPLE IX.
Dans un autre test encore, du mais égreiné a été traité par une solution aqueuse de N-oxyde de 4-nitropyridine en une quantité suffisante pour obtenir un demi pourcent en poids du composé sur le mais. Le mais traité à été disposé
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dans des poules ou cuvettes surfin immeuble à bureaux, fréquen- té par des pigeons.Les pigeons ont arrêté de fréquenter l'im- meuble où le grain avait été placée dans les deux à trois jours.
EXEMPLE..!.
Dans un autre 'test encore, du pain et du poisson ont été traités par du N-oxyde de 4-nitropyridine, après quoi l'aliment traita a été exposé dans une son* fréquentée par des mouettes de mer. Avant d'exposer l'aliment traita du pain et du poisson non traités ont été éparpillés le long de la plage et sur un déck fréquenté par une population évaluée à 600 à 700 mouettes de mer. Le pain traité contenait 2 % en poids de l'agent de répulsion, tandis que les poissons oon- gelés étaient traités en roulant les poissons dans aes miet- tes de pain contenant 1 % en poids du composé de répulsion.
L'aliment traité a .été rapidement consommé par les mouettes et après quelquestemps, on a noté que plusieurs des mouettes éprouvaient des difficultés pour voler. On a égale- ment observé qu'une mouette émettait un cris de détresse qui a provoqué le départ des mouettes qui étaient encore capables de voler. Le lendemain matin, plusieurs mouettes ont été trou- vées que la plage, dans une condition telle qu'elles ne pou- vaient plus voler. 4 jours après l'exposition de l'aliment traité, on a évalué qu'un maximum de 30 mouettes étaient présentes dans la zone et autour du dock.
Il est évident que diverses modifications et varian- tes peuvent être apportées à la présente invention sans pour autant sortir du cadre et de l'esprit des revendications qui la terminent.