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Brûleur à liquide, qu'elle déclare avoir fait l'objet d'une demande de brevet déposée en Allemagne(Republique Fédérale) le 18 février 1956
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dans la canalisation d'amenée de combustible au brûleur est pré- vue une xxxxxx soupape qui, à l'état fermé, peut être soulevée de son siège, c'est-à-dire ouverte, par action à la main sur un bouton-poussoir ou l'équivalent, un élément de soupape rendu mobi le pouvant alors être appliqué contre un électro-aimant qui est excité par un courant produit par le brûleur, comme un thermo- couple ou une pile thermo-électrique.
L'invention permet ainsi de réaliser un brûleur atomi- seur sous pression qui ait la sûreté de fonctionnement nécessaire un faible dimensionnement et qui soit, malgré cela,,de fabrication simple et relativement bon marché.
Suivant un mode de réalisation de l'invention, l'élé- ment de soupape s'ouvre, de préférence automatiquement, lors- qu'une pression d'atomisation trop élevée a été atteinte et laisse s'écouler le combustible.
Par conséquent,on doit, pour des brûleurs atomiseurs sous pression, prévoir dans la canalisation d'amenée du combusti- ble une soupape qui isole hermétiquement l'atomiseur du côté alimentation pendant la période d'échauffement de sorte qu'il atteint plus rapidement la pression de buse nécessaire. Simulta- nément, il est prévu, selon l'invention, une sécurité automatique de fermeture qui coupe automatiquement l'alimentation en combustitl en cas d'extinction du brûleur, par exemple lorsque les buses sont bouchées.
Si, selon une variante de l'objet de l'invention, on dispose une enceinte d'échauffement, connue en sois, pour rece- voir le combustible, qui est allumé au démarrage du brûleur et porte l'atomiseur sous pression à la température de marche né- ces-aire, de telle sorte qu'elle puisse recevoir du combustible non vaporisé et sortant sous forme de petits jets, de la ou des buses du brûleur.' , on peut alors également utiliser la disposi- tion selon l'invention comme dispositif de démarrage, sans appor- ter de modifications complémentaires au système d'alimentation en
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combustible.
Si l'on vaut obtenir uns possibilité de démarrage plus rapide, le dispositif thermo-électrique est disposé au-dessus de l'enceinte d'échauffement et simultanément dans la zone de flammes du brûleur, en service normal.
Il est cependant particulièrement avantageux, comme cela sera expliqué de façon plus détaillée à l'aide du croquis, de disposer l'organe thermo-électrique en un endroit du circuit de gaz de combustion où il n'est pas suffisamment échauffé par la combustion de la quantité de combustible destiné à l'échauffa- ge pour exciter l'électro-aimant mais où il reçoit pourtant,après allumage de la vapeur sortant de la ou des buses de brûleur, suffisamment d'énergie calorifique pour assurer l'excitation.
Une autre variante, qui présente les mêmes avantages que la disposition précédemment décrite mais impose des condi- tions un peu plus sévères au dispositif thermo-électrique, consis- te à échauffer celui-ci par la vapeur de combustible chaude pro- venant de l'atomiseur sous pression et non encore allumée. très
Il est également avantageux de disposer la soupape prévue dans la canalisation d'amenée de combustible en un endroit qui est situé plus bas que l'atomis eur sous pression, car, lors de la fermeture de la soupape, son contenu en combustible ne peut plus s'écouler dans l'atomiseur.
La description ci-après qui se rapporte à un exemple de réalisation représenté sur le croquis permettra de mettre en évi- dence, en plus du mode de fonctionnement du brûleur atomiseur sous pression selon l'invention, d'autres caractéristiques et avantages de l'invention.
Dans le brûleur représenté, l'atomiseur 1 est alimenté en combustible par l'intermédiaire de la canalisation, issue d'un réservoir d'alimentation non représenté, et dans laquelle est intercalée une soupape 3.
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Pour faire démarrer le brûleur, le bouton-poussoir 4 de la soupape 3 est d'abord actionné et par conséquent fait sou- lever l'obturation 5 de son siège 6. Le combustible arrive alors. par l'intermédiaire de l'atomiseur 1 et de la canalisation sous pression 7, à la buse 8. A partir de là, il est pulvérisé sous la n forme d'un petit jet dans l'enceite d'échauffement 9. Lorsqu'une quantité suffisante de combustible est sortie, on laisse revenir le bouton-poussoir 4 sous l'action du ressort de soupape 10,et l'alimentation en combustible est coupée. Puis la quantité de combustible située dans l'enceinte 9 est allumée et porte l'atomi. seur 1 à la pression de service. Cette dernière est atteinte lors. que de la vapeur sort par la buse 8 qui s'enflamme aussitôt et continue à échauffer l'atmiseur 1.
Entretemps, le thermo-couple 11 s'est échauffé de tel- le sorte que 1'électro-aimant 12 excité thermo-électriquement pos- sède une énergie suffisante pour bloquer la plaque d'armature 13, en cas d'une autre manoeuvre du bouton-poussoip 4, et par fonséquent pour maintenir la soupape ouverte.
En cas d'extinction du brûleur pour une cause quelconque; par exemple à cause du bouchage de la buse, lthermo-couple 11, dont les canalisations se composent d'un tube 14 et d'un fil 15 isolé et passant dans le tube, se refroidit et le ressort de sou- pape 10, par suite de l'affaiblissement de l'excitation, libère la plaque d'armature 13 de l'électro-aimant 12. La soupapeest alors à nouveau fermée et l'alimentation en combustible est coupée,
Si, pendant l'opération de réchauffage et par suite d' une méconnaissance des consignes de service, la buse 8 est iso- lée au moyen du volant 16, il se produit au bout de quelque temps dans l'atomiseur 1 une surpression qui provoqua automati- quement un soulèvement de l'obturateur 5 et par conséquent un écoulement de combustible hors de l'atomiseur 1.
Le danger d'ex- plosion éventuellement possible en cas de fausse manoeuvre est ainsi éliminé.
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Pour éviter qu'au démarrage du brûleur, et également par méconnaissance des consignes de service, le bouton pous- soir 4 ne soit actionné aprèsinflemmation de la quantité de combustible de réchauffage et avant que la vapeur de combusti- ble ne soit sortie de la buse 8et que, par suite de l'échauffe- ment du thermo-couple 11 en résultant, l'électro-aimant 12 main- tienne la soupape ouverte, le thermo-couple est de préférence placé dans la position 17 représentée en pointillé. En cet en- droit, il ne peut pas etre échauffé par la masse du combustible de réchauffage mais n'est sollicité que par le jet de vapeur enflammée.
Si, dans cette réalisation, le bouton poussoir 4 est actionné trop t8t et que, par suite de cette manoeuvre, du combus tible continue à s'écouler dans l'enceinte de réchauffage 9 sous forme d'un petit jet, la soupape se ferme aussitôt.
Lorsqu'on utilise le thermo-couple 11, on doit, pour cette raison, prévoir dans la canalisation d'alimentation en combustible une autre possibilité de coupure alors que celle-ci n'intervient pas dans la disposition représentée en pointillé et comportant le thermo-couple 17.
Il est évident que l'on peut également disposer le thermo-couple dans le jet de vapeur chaude. Au cas où les condi- tions d'écoulement peuvent, dans la forme de réalisation décrite en dernier lieu, être influencées défavorablement par le palpeur du thermo-couple disposé tout près de la buse, il est particuliè- rement recommandé de disposer le palpeur dans la canalisation 7 issue de l'atomiseur sous pression.
Il va de soi que l'invention n'est pas limitée à l'exem- ple de réalisation représenté et qu'elle est toujours applicable pour une disposition du thermo-couple en des endroits très dif- férents du circuit des gaz de combustion et également pour d'au-
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tres modificatio3 apportée3 Ilatemiseui- et également pour- tres modifications apportées à l'atomiseur et à la soupape repré- sentés.