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Dans le brevet principal, le Demandeur a révélé plus spécialement des moyens simples et originaux pour, dans une échelle, assujettir fermement les échelons aux montants, plus spécialement en vue d'empêcher systématiquement que lesdits échelons puissent tourner autour de leur axe longitudinal.
Ce moyen consiste substantiellement en la disposition, au droit de surfaces de contact entre les échelons et les montants, d'au moins un emboîtement par'l'introduction d'une partie saillante de l'un dans une partie rentrante de l'autre , ou inversement.
Les présents perfectionnements concernent l'application de ce moyen général, plus spécialement à des échelons de section polygonale et plus générale- ment encore à des échelons présentant, vers leurs bouts, au moins deux faces planes mutuellement parallèles.
Dans les conditions les plus économiques et aussi les plus pratiques, cette disposition perfectionnée concerne les échelons à section quadrangulaire.
En vue d'appliquer les caractéristiques du brevet principal à de tels échelons, il suffirade pourvoir les montants de la partie femelle dudit emboîte - ment en sorte qu'au moins deux faces mutuellement parallèles des montants se trou- vent appliquées contre les faces latérales longitudinales desdits éléments femel- les, formant ainsi un assujettissement ferme des deux bouts des échelons dans les montants.
Une première exécution caractéristique consistera à prévoir, dans les montants, une rainure longitudinale, par exemple une disposition semblable à celle de la figure 8 du brevet principal, la largeur de la rainure 11 étant substantiellement égale à la distance séparant les deux faces parallèles des éche- lons devant venir en contact avec les parois latérales de ladite rainure.
Ou bien, on pourra également prévoir, sur l'une des faces latérales des montants, deux nervures telles que les nervures 2 représentées à la figure
1 du brevet principal, ces deux nervures étant mutuellement parallèles et écartées d'une distance substantiellement égale aux deux faces mutuellement parallèles des échelons devant venir en contact avec lesdites nervures.
Les moyens subséquents pour fixer les échelons aux montants sont sem- blables à ceux décrits dans le brevet principal.
Les exemples décrits ci-après ne sont pas restrictifs et, tout comme pour le brevet principal, ne sont donnés qu'en vue de mieux faire ressortir les caractéristiques fondamentales des présents perfectionnements. Cette description se réfère aux dessins annexés dans lesquels : la figure 14 représente, en vue perspective partielle, un montant et un échelon conditionnés conformément aux présents perfectionnements. la figure 15 représente les éléments de la figure 14 mutuellement em- boités; la figure 16 représente, en vue de face, la disposition de la figure
15; la figure 17 est une coupe selon la ligne XVII-XVII de la figure 16; les figures 18 à 21 sont semblables aux figures 14 à 17 et se rappor- tent à une variante d'exécution; la figure 22 représente en coupe un échelon de forme particulière.
Dans l'exemple des figures 14 à 17, les montants 1 présentent, sur une face latérale, une rainure 11 dont la largeur est égale à celle des échelons
4. A l'emplacement de chaque échelon, les montants comportent deux trous 3 co-axiaux, l'un pratiqué dans le fond de la rainure 11 et l'autre dans la face dorsale du montant. Les échelons 4 présentent deux bouts lisses cylindriques 6 dont le diamètre est substantiellement le même que celui des susdits trous 3.
La longueur desdits bouts lisses 6 est légèrement supérieure à la distance séparant
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les deux trous 3, en sorte que lesdits bouts lisses sont engagés dans ces trous ; leur extrémité dépasse légèrement et il suffit alors de les rabattre contre la partie correspondante du montant 1 de manière à former un bourrelet 7 de fixation et de serrageg tel que décrit dans le brevet principale
Dans l'exemple des figures 18 et 21,la. partie femelle de l'emboîte- ment des échelons est réalisée par les deux nervures parallèles 2 prévues sur 1' une des faces des montants 1 et ces deux nervures sont écartées d'une distance égale à la largeur des échelons 4.
Ceux-ci présentent des bouts lisses 6 condi- tionnés comme décrit dans l'exemple précédent et, de même, les montants ¯1 présen- tent, au droit des échelons, deux trous 3 co-axiaux. Les montants sont fixés, com- me décrit dans l'exemple précédent, par rabattement de leur bout libre en vue de former un bourrelet 7 appliqué contre la partie correspondante de la face dorsa- le des montantso
Comme on le constate, dans l'un comme dans l'autre cas, les échelons se trouvent fermement assujettis aux montants. Ils sont systématiquement empêchés de tourner autour de leur axe longitudinal, leur bout carré étant emprisonné entre les faces latérales de l'élément femelle d'emboîtement formé soit par les rainu- res 11, soit par les nervures 12.
Si l'on a affaire à des échelons présentant une section autre que celle considérée précédemment à titre d'exemplepréférentielpn pourra soit condi- tionner les rainures ou nervures ,soit pratiquer au moins, vers les deux bouts des échelons, des parties planes mutuellement parallèles pouvant constituer élé- ments mâles du dispositif d'emboîtement et coopérer avec les faces latérales soit de rainures soit de nervures faisant partie des montants. A cet égard, la figure
22 représente en coupe un échelon présentant une forme de base cylindrique pourvue de deux paires de plats adjacents, respectivement 13, 15 et 12-14 dans lesquels les plats 12-13 portent contre les bords de la rainure 11 tandis que le plat supérieur 15 est strié ou rendu adhérent par tout autre moyen.
Ces perfectionnements sont applicables à tout genre d'échelles, de toutes dimensions, simples ou doubles, à des éléments d'échafaudage.les éléments constitutifs des échelles étant réalisés en tout matériau approprié, mais de pré- férence en alliage léger.
REVENDICATIONS.
1.- Perfectionnements aux échelles, caractérisés en ce qu'en vue d'empêcher systématiquement les échelons de tourner autour de leur axe longitu- dinal, est crée, au droit des surfaces de contact entre les échelons et les mon- tants, un emboîtement tel que deux faces planes mutuellement parallèles des éche- lons soient appliquées contre les faces latérales de la partie femelle de l'emboî- tement faisant partie des montants.
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In the main patent, the Applicant has more particularly disclosed simple and original means for, in a ladder, firmly securing the rungs to the uprights, more especially with a view to systematically preventing said rungs from being able to rotate around their longitudinal axis.
This means consists substantially in the provision, to the right of contact surfaces between the rungs and the uprights, of at least one interlocking by 'the introduction of a projecting part of one into a re-entrant part of the other, Or vice versa.
The present improvements relate to the application of this general means, more especially to rungs of polygonal section and more generally still to rungs having, towards their ends, at least two mutually parallel plane faces.
Under the most economical and also the most practical conditions, this improved arrangement concerns rungs with a quadrangular section.
In order to apply the characteristics of the main patent to such rungs, it will suffice to provide the uprights of the female part of said fitting so that at least two mutually parallel faces of the uprights are applied against the longitudinal side faces. said female elements, thus forming a firm securing of the two ends of the rungs in the uprights.
A first characteristic embodiment will consist in providing, in the uprights, a longitudinal groove, for example an arrangement similar to that of Figure 8 of the main patent, the width of the groove 11 being substantially equal to the distance separating the two parallel faces of the scales. - Lons to come into contact with the side walls of said groove.
Or, one could also provide, on one of the side faces of the uprights, two ribs such as the ribs 2 shown in FIG.
1 of the main patent, these two ribs being mutually parallel and spaced apart by a distance substantially equal to the two mutually parallel faces of the rungs to come into contact with said ribs.
The subsequent means for fixing the rungs to the uprights are similar to those described in the main patent.
The examples described below are not restrictive and, like the main patent, are given only with a view to better demonstrating the fundamental characteristics of the present improvements. This description refers to the accompanying drawings in which: FIG. 14 shows, in partial perspective view, an upright and a rung packaged in accordance with the present improvements. Figure 15 shows the elements of Figure 14 mutually packed; figure 16 shows, in front view, the arrangement of figure
15; Figure 17 is a section on the line XVII-XVII of Figure 16; Figures 18 to 21 are similar to Figures 14 to 17 and relate to an alternative embodiment; FIG. 22 represents a section of a rung of particular shape.
In the example of Figures 14 to 17, the uprights 1 have, on a side face, a groove 11 whose width is equal to that of the rungs
4. At the location of each rung, the uprights have two co-axial holes 3, one made in the bottom of the groove 11 and the other in the dorsal face of the upright. The rungs 4 have two smooth cylindrical ends 6 whose diameter is substantially the same as that of the aforementioned holes 3.
The length of said smooth ends 6 is slightly greater than the distance separating
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the two holes 3, so that said smooth ends are engaged in these holes; their end protrudes slightly and it is then sufficient to fold them against the corresponding part of the upright 1 so as to form a bead 7 for fixing and tighteningg as described in the main patent
In the example of Figures 18 and 21, the. female part of the interlocking of the rungs is produced by the two parallel ribs 2 provided on one of the faces of the uprights 1 and these two ribs are spaced apart by a distance equal to the width of the rungs 4.
These have smooth ends 6 packaged as described in the previous example and, likewise, the uprights ¯1 have, at the level of the rungs, two co-axial holes 3. The uprights are fixed, as described in the previous example, by folding down their free end in order to form a bead 7 applied against the corresponding part of the dorsal face of the uprights.
As can be seen, in either case the rungs are firmly attached to the uprights. They are systematically prevented from rotating about their longitudinal axis, their square end being trapped between the lateral faces of the female fitting element formed either by the grooves 11 or by the ribs 12.
If we are dealing with rungs having a section other than that considered previously by way of a preferential example, pn can either condition the grooves or ribs, or make at least, towards the two ends of the rungs, mutually parallel flat parts which can constitute male elements of the interlocking device and cooperate with the side faces either of grooves or of ribs forming part of the uprights. In this regard, the figure
22 shows in section a rung having a cylindrical basic shape provided with two pairs of adjacent plates, respectively 13, 15 and 12-14 in which the plates 12-13 bear against the edges of the groove 11 while the upper plate 15 is striated or made adherent by any other means.
These improvements are applicable to all types of ladders, of all sizes, single or double, to scaffolding elements. The constituent elements of the ladders being made of any suitable material, but preferably of light alloy.
CLAIMS.
1.- Improvements to the ladders, characterized in that, in order to prevent systematically the rungs from turning around their longitudinal axis, an interlocking is created at the contact surfaces between the rungs and the uprights. such that two mutually parallel plane faces of the rungs are applied against the side faces of the female part of the fitting forming part of the uprights.