BE564633A - - Google Patents

Description

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   La présente demande de perfectionnement est relative à une fermeture à curseur, et basée sur la conception qui fait l'objet du brevet principal n    554.505.   



   Dans le brevet principal il est décrit une fermeture permettant de joindre notamment les bords de deux surfaces disposées parallèlement et juxtaposées, ces bords portant des saillies pourvues de nervures qui engagées les unes derrière les autres, assurent l'assemblage des bords   superposés*   
La pratique a démontré que certaines modifications peuvent être apportées utilement à l'invention afin de rendre l'emploi plus facile et de mieux retenir le curseur sur les bords à assembler ou à écarter. 



   Au dessin est représenté un mode de réalisation du présent per- fectionnement. 



   Fig. 1 est une vue en perspective de la fermeture avec son curseur. 



   Figo 2 donne en perspective le curseur. 



   Suivant le mode de réalisation représenté au dessin, la fermeture comprend deux bandes 1,2, portant des saillies 3. 4 respectivement 3', 4' sur les faces des dites bandes se faisant vis à vis; ces saillies portent à leur extrémité des nervures 506 respectivement 5',6' 
Les nervures terminales 6-6' étant simples pour une meilleure adaptation du curseur sur l'extrémité de la bande 2. 



   Le curseur 9 est constitué d'un cavalier en forme de U de section croissante;la section la plus petite venant serrer exactement les bords des bandes de sorte que les nervures soient engagées les unes derrière les autres pour assurer la fermeture. 



   Par contre la plus grande section du cavalier autorise les nervures à se présenter simplement les unes devant les autres. 



   Entre les flasques 14.14' du curseur est fixée une languette 15 par l'intermédiaire d'une tige 16; cette languette est aussi de section crois- sante de sorte à laisser entre elle et les flasques approximativement l'épaisseur des bandes 1.2. 



   La retenue du curseur sur le bord des bandes à assembler est assurée par la languette disposée sous les nervures inférieures, en empêchant ainsi le cavalier de remonter. 



   En déplaçant le cavalier 9, avec sa petite section dirigée dans le sens de l'avancement, la languette écarte progressivement les bandes 1.2, en forçant ainsi les nervures à se dégager les unes des autres et opérer de la sorte l'ouverture. 



   Par contre en déplaçant le cavalier dans le sens opposé, l'on rappro- che graduellement les bandes, et.les flasques 14. 14' forcent les rainures à s'en- gager les unes derrière les autres pour provoquer la fermeture. 



   Un autre avantage de l'invention réside en ce que les bandes 1.2 ne doivent plus présenter de surépaisseurs pour la retenue du cavalier, ce der- nier pouvant dès lors recevoir des flasques planes qui en épousant les dites bandes facilitent l'opération de fermeture. 



   La présente invention a été décrite et illustrée à titre purement indicatif et nullement limitatif et il va de soi que de nombreuses modifications peuvent être apportées à ses détails sans s'écarter de son esprit. 

**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.

Claims (1)

1. REVENDICATIONS 1. Fermeture à curseur ou à la main, caractérisée en ce que deux <Desc/Clms Page number 2> bandes superposées après que l'une d'elles a été tournée de 1800 autour de son axe transversal présentent l'une à l'autre des saillies, les maintenant à écar- tement, surmontées de nervures qui engagées les unes derrière les autres assurent la retenue utile des dites bandes l'une à l'autre, un curseur en forme d'U est glissé sur les bords des bandes et y est retenu par la base des saillies et ner- vures.

   L'invention étant caractérisée en outre par les points suivants pris séparément ou selon les diverses combinaisons possibles : a) le curseur est de section croissante, depuis une ouverture qui permet de pincer la bande lorsque les nervures sont engagées en position de fermeture jusqu'à une section où les nervures peuvent être dégagées les unes des autres; b) dans, le curseur est disposée une languette à une hauteur telle à ce qu'elle vienne en dessous de la dernière saillie et nervure des bandes; c) la languette est également de section décroissante, de sorte à ne laisser entre les bords latéraux de la languette et la paroi interne de chacune des flasques qu'approximativement l'épaisseur des bandes ; d) la languette est retenue au cavalier par une tige fixée d'autre part à l'élément reunissant les deux flasques.