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Ces derniers t-::"'1S on' a préconise des blocs de béton
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.creux,- qui se projettent en tous sens, au 'oyen de rebords et
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evidernc'nhs correspondants, dans les briques voisines. Il s'agit en l'occtmnce d'un type de briques, qui, gardant leurs dimensions exactes et, possédant" C1' arêtes nettes et des surfaces égales,
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présentent de tous côtés, des profils très h-uts. Un tel type de
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pareilles briques a d,,,ns diverses interprétations, repré- senté, en détail c-t en sse'la ;e aux figures 1 à 7.
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La fabrication de ces blocs creux se fait généralement
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en béton de gravier. Par suite de.? nrof liages faisant saillie
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en tous sens, il est très difficile de réaliser une fabrication
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nette de ces briques.
Pour de.? motifs Gconomiq\1P:3 il n'est pas indiqué d-- les fabriquer '. la rPSSe9 attendu 'que pour assurer
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la compression nécessaire d'environ 25 :, il faudrait utiliser une presse de plusieurs tonnes et, dealers, un :roule irrs lourd
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et résistant à la compression.
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Pour cette raison la brique est fabriquée conf r"'3:,ent Li la présente invention, sur uns 3 .lachine à .secousses connue cn. soi particulièrement une 'achL.e a:s5c3usses eotm-t'nsée. CO:'T.8 SUY une telle '::1achil'e le processus de co ')ressic,n ne dure Lze 3 secon- des environ, elle pourrait, théorique- -ent, produire -prc"i"a-' tive-ent 1200 briques par heure. :Le but de la présente inven- tim est d'accélérer le procédé de fabrication de telle faon que le te-ips de fabrication réel se rapproche le plus possible d ce tnps ainimu^: théorique.
Ce résultat est réalise en subst.E-;e', comme suit : J,,,- brique est comprimée dans un loule composé de trois pièces. principales séparées, .\ savoir : 1. le châssis d2 'oulaf-8 ,,roe- ent dit en tôle de fer ou d'alu'1'!ini m, 'qui présente ¯Cl!"-fivf.'¯!rrt les cO:',:c' rs verti-,
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eaux intérieur- de la brique;
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2. une tôle s' ajustant rvc-c un certain jeu dF.ns l'ou- verture supérieure du châssis Id,:, ",ot.ll?;fe, ;:Í''''1s'ette,nt les fré- quences dof secousser sur la nasse d'-' b.';t:::1 1 fo !:-l1';;, -'11 zele temps, le "ouïe ori'-in-1"1. pour la nurfpce supérieure d-3 la brique
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et
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3. une scelle sur laquelle rrpo.?e, c'"ntr3,lr châssis de "1oulage 'Iropr('1ent dit et oui reprend 1r fa"0!'1¯11c."'e QC l'arête
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inférieure de la brique.
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Sur cette scelle repose le chassiw de "oulare '::1'0\11'(-' "ent dit, aisément' amovible verr "0 haut, de Ta non eue 3 a brique ache- uvée peut être mise de coté, sur la se"c'11t', ")O!,1l' f"2(!f":I'.
Le !'1ê'!' t7e de .')1'i01)e6 : r;ntiol1n<; plus hut piuit " yennant des modifications peu ipor'Gni-tos, s¯rvir h plusieurs affectations : copuc .lierre d',ar-fle-,- niorve da sé.''.ra'.'r zuur cloisons mitoyenne:- et pierre de liaison p^G.x parois rui se
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croisent. Ces. trois adaptations de la même brique ne sedistin- guent qu'en ce qu'elles présentent un nombre diffèrent/nervures @ et/ou différemment disposées sur leurs surfaces extérieures.
Pour cette raison le châssis du moule ne présente, à l'intérieur, que la forme des surf-ces extérieures principales verticales de ces trois formes d'éléments, tandis que les nervures et/ou les rainures sont produites par des pièces de moulage inter- changeables, insérées dans le châssis du moule. De cette manière
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---on ne réduit pas seulement .les' frais de #ioulage pour.ces trois modèles d'un type de brique, mais on réduit également
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les temps de remplacement du 2,-,,ule sur la machine, puisqu-'il ne faut remplacer que ces I #>ièce,si ! : # de . moulage intérieures.
Une difficulté spéciale, 'dans la fabrication, est eau-. sée par la surface inférieure de ;la brique ; En effet, par sui- te du-profilage très prononcé, diverses parties de la surface inférieure présentent un'creux ..de' plusieurs centimètres et ' doivent être étayées jusqu'au durcissement complet du béton*de. gravier, pour éviter un affaissement de ces parties.
De là la nécessité, de laisser les briques fraîchement moulées, pendant au moins deux i ours sur leurs avant de pouvoir 'uti- liser à nouveau ceux-ci pour poursuivre la fabrication. Si donc, sur une machine on produit par jour, par exemple, 8000 briques, cela revient à dire que l'on doit disposer d'environ
16 000 pièces de moulage inférieures, pour couvrir la durée 'du.durcissement. Cet.'inconvénient peut, suivant l'invention,'
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.êtxe,wél.imin,é:de.trois..nlanièresdifîérentes.
Tout d'abord on peut /utiliser,' comme pl9que"d''a,n;pui' (semelle), 0 en ###b.o.is- .-relativement peu. oatux;'.:Îl fâtit utiliser à'ée:t effet du - 'Soi.ë 'bien 'sec -et sans. rçpèacfs "et'- l'imprégner 'fortement , car- .même - ,lôrs..:âe',1'hur.ec.tatiü va? d.b.lè -pédâritr 1e moulage- et lofs du ws2c3i.eypendan lè, d'L'rcis-se -li5nù il* f aut,.-empgcher que le -bois- - travaille' afin .d'' :3;tér,,en...tôi.?s 'cas, de' s4éjcaater des.tolc.an-
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ces admissibles. Comne la longévité d'un tel moule en bois n'est pas très grande, on utilise, d'après l'invention, un deuxième procédé': sur la plaque d'appui en bois on pose une'couche inter- médiaire d'un matériau approprié, p. ex. de l'aluminium ou une matière synthétique;
les briques achevées sont enlevées après détachement du châssis de roulage et de l'appui en bois tout en restant en contact avec ledit matériau intermédiaire et mises à sécher.
La plaque d'appui en bois, proprement dite, peut, dasn ce cas, être réalisée en bois de deuxième choix sans'précision, ou prescripticn Particulière. Après pose d'une nouvelle .couche intermédiaire, on l'emploie immédiatement de nouveau pour le roulage suivant. Les couches intermédiaires peuvent être fabri- quéès à la presse ou au moule d'injection comme articles de sé- rie, de façon que les frais en soient minimes. En outre elles ne s'usent que fort peu aves la matière choisie et présentent l'avantage considérable qu'il ne faut, haque fois, qu'une seule plaque d'appuien bois pour chaque type de brique.,
Le troisième mode opératoire pour le façonnage de la face inférieure est la plus simple et ne demande aucune dépense pour-la.plaque d'appui elle-même ou pour les couches intermé- diaires requises pendant la durée du durcissement.
En effet, suivant' l'invention, on utilise. dans ce troisième .iode opératoire, cornue plaque d'appui, une brique achevée déjà durcie avancée d'en- dessous, dans le châssis de maoulage proprement dit.F our-éviter que la masse de béton fraîche de la nouvelle brique se colle inséparablement avec la face .antérieure de la brique ancienne, on humecte cette dernière sur sa superficie avec un liquide, qui se solidifie ranpidement en une pelliculenon adhérente.
De telles masses d'immersion plastiques sont connues dans le commerce. Parades processus d'ailleurs parfaiterent identiques, la nouvelle brique, est posée sur l'ancienne brique ,
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pour séchage. P'r suite de la pellicule irrfcet1 'éd iaire non adhé- rente en 'latH're synthétique, les deux briques- peuvent | se séparer sans difficulté après que la brique supérieure ait durci .
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Ensuite on pousse , par en-'dessous, une ne/ velle brique durciedans le châssis de roulage.
Lors de la fabrication des briques plates il se présente encore une autre difficulté résultant du fait que, pour une raison de poids la/face intérieure de la brique est coulée en
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creux, en forme de cuvette. Si, dans ce cas, par la trél1ie au- tom'.tique connue, la rati :re de remplissage remplissait de façon usuelle le châssis de moulage avec un lé#er tassement, la ras se de béton serait, lors de l'attaque du rolf' e secousses, ou bien trop comprimée dans la partie centrale par rapport a la partie
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des bordures, ou bien, la conpression étant parfaite é'.l centre, le moule 8. secousses n'entrerait 'pr.s suffisamment eú contact avec les zonec des bordures.
Pour éviter ces inconvénients, la tré ie ali entant au-
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tomatique ent le châssis de roulage possède, Sl':v,<.",nt l' inv. ntion9 une paroi postérieure réglable en hauteur par un disnue a ,c2'1es disposé sur le châssis de roulage, de facon racler la -asse à couler- -remplie sur le che-in du retour et de telle sorte que la superficie' de celle-ci co: vesnond: pratiquement à la répartition de la l;'f1tièl'e de la brique Î. ^ill er.
Grâce *. ce dispositif, la plaque us roulage trans ##"##tt-nt les secousses se pose presque unifC':'ro1G"-ent sur la superficie glo- bale de 3a asse de béton et :n obtient mv-j cOI'''ore8si::.11 parfo'te- "'!r-!!'lt éfple, tant sur l"s bords que dans la partie centrale de la brique (;11 ,L'er-'8 d'auge.
Les dessins 'C8')reSert/;n , un exemple 0 ( l," eX<.JcUl, '11 on de 1'in- venticn.
La figure 1 Montre une brique-de liaison à plaques, dans laquelle s'insèrent, dans les deux briques, deux brigues plates
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suiv wt la figure 5 ou 6. La figure 2 contre une de"''i-brique du mêe genre, divisée hot,,-zonti:1,-l -1-eni, et t-urnée de 0 , en position debout.'Les briques suivant les figures 3 et 4 'oer';icttent la réalisation d'angles de ':1urs, séparations et croisements. Sur la. figure 7 on peut voir consent les briques se superposent pour réaliser une maçonnerie.
Les briques doivent être fabriquées avec 'une tolérance très minime, Les profils f isant saillie, en tour. sers hcrs de la
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brique, possèdent une faible dépouille de Ta¯on que les briques, lors de l'assemblage, soient déjà mutuelle "lent solidarisée par le frottement, à cette fin il faut, toutefois, une- fabrication de briques pratique-rient sans jeu.
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Suivant l'invention,cette fa0ricti:.n se fait sur une ma- chine comerciale o. secousses, surtout a secoueur t. grand rende- ment. Sur la table de cette machine est placé un châssis de mou- lage 1 en tôle couiné représenté à la figure 13; celui-ci ne possède que la forne des surfaces extérieures principales ver- ticales de la brique à fabriquer et ses bordures -saillantes ou rainures rentrantes sont produites par les pièces de roulage interchangeables 2 et 2a insérées dans le châssis de roulage 1.
Par le fait que ces pièces de moulage ? peuvent être
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échangées contre d'autres, un Y'lê:'1c châssis de roulage 1 -or-ut être utilisé brur plusieurs types de briques, p.ex. pour.la brique d'angle, la brique de séparation et la brique de croisement. La transmission des secousss se fait de façon connue par la tôle de 'oulage 3, qui présente sur sa face inférieure les contours supé- rieurs de la braque à fabriquer et s'adapte, avec un faiblejeu, dans' l'ouverture supérieure du châssis de moulage 1.
Le châssis de foulage vertical 1 s'appuie, selon l'exécution conforme
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à la figure 13, sur un cud-.e si iple la, d'ont la seule fonction . est de maintenir le châssis, de "iculaf-'e 1 à la hauteur vou ue car, comme plaque dappui peur la brique à mouler, est utilisé en
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l'occurrence., une 'r1C1L1(? y déjà auevée d'espace tout fait
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identique.
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les surf.? ces supérieures ;'# et'" cet):'; brique achetée ront recouverte" d'une pellicule en ":1éltiè:>c synthétique non adhérente. l' surfaces supérieures ¯ de la brique achevée avancent, 11'S'f'C'¯ rjpurement, dans le ou'Le inférieur du châssis de roulage Zg où elles s'adaptent avec grande pr icisir-n.
Le bat on de gravier verse dans l'ouverture du châssis de roulage 1 est C0:"j?':i.e,ay par les eccoussesj au -'ct.=er¯ de '! a 111"'ou8 de recouvrement 3..
#après achèvement de la fabricati'n, le châssis de ou- 1<^-."e 7¯ est relevé verticalement. Par le fait que la plaque 3. continue a reposer sur la superficie de la brique, la brique nouvellement fabriquée 8f-t t 1..^,1;.1-E'nLIG sur son appui, clos sur l'ancienne brique . :,près é101122- -L'.li; du châssis de '.'.:Lil.-'e 1, on enlève 8 jâl ent 1'. plaque 3. et, ensuite, le châssis k, vers le haut, et la brique nouvellement '.': ula8 est nise de côté peur séchage, avec l'ancienne brique comme appui. Dans cette' fore dl 7y-a'cution il ne faut donc pas de plaque d-' appui spee- ci"le.
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A la place de la brique achevée on peut aussi utiliser
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une plaque d'appui on bois bien sec i0r'e"nFl';t imprègne. De telles plaques d'appui ont représentées aux "igures 8 h 10. L'esé- cution suivant la figure ci sert de plaque d'appui pour une brai- que à plaques suivant la figure o, la plaque d'appui ± peur des briques suiv'nt la figure ou la figure 4, tandis que la plaque d'ap ,ni :'u'.v-nt la figure 10 sert à la fabrication sil11ul- tanée do deux brique :;I1.Ív"nt la figure 1.
Sur ces "'laques sont prévues des bordures 1, 1!J., 2J2.t GL1M correspondent aux contours 'nf'3ri0p','s de la brique à "'0\11er.
L' ::m} ±'.,.e' 'ent du châssis de r;101.118. 'e 1. se fait, lorsqu'on e-iploie 'ce? ?la L16S d'apoui a'r1 bois, d l)il--r.,Yll.r8 absolument identique -a. celle décrit ci-dessus, :0 1e L...s 0': bois, par : uj te du gorulcent du bois par suite - humidité inévitable.
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ne possèdent déjà plus la tolérance prescrite après un te ps re-
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lativemart court et que d'autre' part, il faut peur une seule acaine, plusieurs milliers de plaques d'appui, il erjt utile, sur- vant les figure?. 11 et 12, de placer sur les plaques d'appui 6 proprement dits .une épaisseur intermédiaire 8, ou Ces épais-
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seurs intermédiaires s entoiir--P-n-b seule-nent, effectivement, les bordures 2, bzz Zb2 produisant 1er. profils rentrante de la face inférieure de la brique.
pr8s aChève'ent de la brique, ces épaisseurs intermédiaires 8, ou ± sent enlevées latéralement par Lme poignée .10 de la plaque d'appui 6 Pour cette raison, tou- tes les .parties de moulage saillantes, dans le sens d'enlève-
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ment des épaisseurs ..i.nter ,4dia:!.res, sont ferrées uniquement par l'épaisseur intermédiaire e lle- nê-.1e .
Les talons 11, suivant la figure 11, ne sont donc éga- lement forcés que par la plaque 8; celle-ci, comme on peut le
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voir â la figure lia, s'enlève db¯-c9 ene"ble, avec les talons 11 dans le sens de la flèche.
Sur cette épaisseur inter- ,13d:1,;,:dre, fabriquée en tôle, "tais de préférence en aluminium ou une r,latière ,synthétique pis- tolée, on pope la pierre à sécher. De la même façon, dans l'exé-
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cution, suivant la figure 12, seules les pièces de moulage rec- t^t'Ir''11':eS 6C sont disposées sur la plaque en bois, tari- des que -les pièces de moulage 6d reet-, o?laires se trouvnnt sur l'autre face, s -# ;t nniql'e '8'1[; .±'0:"' 5Cf: par l'épaisseur # - # peut 0 Oixc "Rle ent, . .m "dia3re Celle-ci/dans la direction de la flèche ,être @ enlevée- de la plaque d'appui en bois 6 et peut être posée, pour séeha"e, ensemble, avec la brique moulée se trouvant sur celle- ci.
La brique plaques suivant les figures .? et 6 doitencore présenter un dispositif complémentaire. Cornue on peut le voir.
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à la figure l- cette brique"plaques 1 possède sur s face, dorrnle un creux en -9.r'ié de' cuvette 1,,, servant à ;!C;r..o 11,:;01'
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de la "o9.ti8re et à réduire le poids #;jort. Pour réaliser, dans la fabrication de cette brique à plaques, une compression unifor- 'ne du tord de cuvette 13 et de la zone de bordure 14 le châssis
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de .:oula;e 1; rentré sché"1.atique>::ent à la figure 15, est d'abord bien 1'''''''1:11 par la trémie 16, qui effectue de fa'-'on usuelle avec la liasse de béton au gravier le remplissage automatiquement.
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Au moule 1 est fX3 un disque à Cernes 17. La paroi pos- en sens vertical ftorleure 1R du châssis de remplissage 16 estj/disp osée mobile et guidée dans la courbe 17, au moyen d'un rouleau 19.
La courbe 17 possède la fore de la section de la cuvette à réaliser. Ce n'est -que sur le trajet/retour du châssis de rempli? - sage 16 que les rouleaux de guidage avancent dans la courbe 17 de façon que, sur ce trajet de retour, la paroi postérieure 18 s'abaisse avec la courbe 2 et prend,.hors du roule re-'pli Il -une Masse telle que sur le fond de la cuvette et aux bordures 14, se
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trouve une quantité-environ égale de -atière, pour co"pr:i '1'Er tou- tes les parties de la brique à un mené taux.
Grâce au procédé décrit ci-dessus, l'enlève lient de la bri--
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que achevée et cQr1prir:ée du moule for"é à 'cet effet et la pré- paration du iioule pour une nouvelle compression se trouvent ac- c,3 de telle r1al1irre que, pour une machine à secousses, en comparaison de la durée de vibration de3 secondes citée au dé- but, le processus total pour la fabrication d'une brique ne prend que 15 secondes environ; 'on obtient donc Jour une machine tra- vaillant à deux équipes, un rendement journalier? de 385e briques environ, soit approximativement 200% de plus qu'avec la fabri- cation à la presse.
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I1;?f:1'I).C:lv'Ta NUS
1. Procédé pour La fabrication de blocs de béton creux, saillant en tous sens, vers lesquels? .'. 'parties saillante s'é-
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tend la maçonnerie, .u .,open de profils saillants et d' Óvic1e"'ents correspondants dans les briques voisines,- caractérise par le fait que la compression de 1:: r1as;:e de soulage s'effectue dans niin
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machine à secousses connue en soi, principalement au moyen de secoueurs à grand rendement;
la transmission des secousses se
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,-fait par le avec ,un lé;er eu latéral, dans 1' ouverture supérieure ;zait par l'intermédiaire d'une tôle s'adaptant/du châssis de cou- lage, tôle qui for-le en c-pe t.i--os 1? mniil-,3 r:i.ncinal ?OLl.^ les surfacec supérieures de la brique et que le châssis de roulage proprement dit présente exclusivement les contours verticaux de
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la brique, tandis que le fac¯n 'âge des surfaces 'inférieures des briques se fait ,par une plaque d'appui placée librement sous le posée châssis de roulage, plaque sur laquelle la pierre est pour séchage, après enlèvement du châssis de moulage.
2. Procédé pour la fabrication de blocs de béton creux suivant la revendication 1, caractérisé par le fait que le châs- sis de moulage en tôle ne possède que la for'-e des surfaces ex- térieures principales verticales, tandis que les bordures sail- lantes et les rainures rentrantes sont produites par des pièces' de soulage insérées.'d'ns le châssis de roulage et interchangea- bles, de telle manière que diverses briques de base identique,'
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^ais possédant des rainures pu bordures différentes, p.ex.
des briques d'angle, briques de séparation et briques de croisement, peuvent être fabriquées dans un seul et même châssis de moulage.
3, Procédé pour la fabrication de blocs de béton creux
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suivant les revendiations 1 et 2, caractérisé par 1? fait qu'on emploie, comme plaque d' ap 'ui ue brique déjà séchée du mène type, sur les surfaces supérieures de laquelle,servant au fa-or-Tiac--e des nouvelles briques, on. étend un liquide qui se scli- rapide-nent difie!' en une pellicule non adhérente. z-.
Procédé pour la fabrication de blocs' de bét'rn creux suivant les revendications lét 27 caractérise par le oue la plaque d'appui avec les parties de roulage inférieures de la brique a fabrique est en bois imprégné, sur laquelle est pos,,el éventuellement, une :epai sseur¯ i.nter édinire, p. ex. en clu-'inium ou en uno aticrc synthétique pistolée, la pierre nchevée ,-t.,x,t
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enlevée ensemble avec ladite épaisseur après enlevèrent du châs- sis de moulage et nise de côté pour séchage, tandis que le plaque d'appui proprement dite est de nouveau utilisée pour le noulage suivant, après pose d'une nouvelle és isseur intermédiaire .
5'. Procédé pour la fabrication de blocs de béton creux suivant la revendication.1*, caractérisé par le fait que les par- ties de roulage saillantes dans la direction d'enlëvement de la plaqua d'appui ne sont forcées que par l'épaisseur intermédiaire.
6. Procédé pour la fabrication de blocs d= béton creux suivant les revendications 1 à 5, caractérisé par le feit que le châssis de remplissage alimentant automatiquement le moule pos- sède une paroi postérieure réglable en hauteur laquelle est réglée par un disque à cames disposé sur le châssis de moulage, de telle main@re qu'il racle sur le retour la masse verséem en sorte que sa superficie corresponde environ à la répartition de la matière de la brique à mouler.