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"Procédé de traitement des produits alimentaires et combinai- sons de moyens pour sa mise en oeuvre et autres usages";
On sait que, jusqu'à présent, les procédés de conser- vation des produits alimentaires se limitent à l'application du froid dans un réfrigérateur, ou à l'application d'une température élevée, supérieure à 100 , dans un stérilisateur ou pasteurisateur, éventuellement complétée par l'emballage sous vide du produit stérilisé en vue d'empêcher toute conta- mination ultérieure par l'air ambiant.
Dans le premier cas, on cherche à ralentir la vie des microorganismes contenus dans les produits alimentaires, alors que, dans le second cas, on cherche à les tuer. Mais, dans les
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deux cas, les produits sont mis, lorsqu'ils peuvent les sup- porter, dans des conditions qui ne correspondent plus, en général, à l'état dans lequel ils se trouvaient à l'origine du traitement. Une viande cuite, par exemple, placée dans un réfrigérateur, ne peut plus être consommée ensuite que sous forme de "viande froide" ; des oeufs sur le plat ne peuvent supporter aucun de ces deux traitements.
La présente invention a pour objet, notamment, un- procédé de traitement des produits alimentaires destiné à les maintenir, ou à les amener puis à les maintenir, dans un état propre à leur consommation, éventuellement avant ou après leur préparation culinaire usuelle. Ce procédé est remarquable'en ce qu'on place les dits produits alimentaires dans une atmos- phère raréfiée, de préférence sous une pression d'environ 500 à 600 mm de mercure, avantageusement, pour certains produits, en atmosphère saturée, notamment saturée en vapeur d'eau.
L'action du vide provoque la mise en "léthargie" des microorganismes contenus dans les prdduits alimentaires et ralentit les réactions organiques qui se développent naturel- lement au sein des dits produits. Cette action du vide seule peut suffire pour certains produits, champignons par exemple, Pour d'autres, il lui est avantageusement associé une action thermique appropriée., chaud ou froid, dépendant de la nature des produits et de l'état sous lequel ils doivent être consommés Cette action thermique se combine avec la précédente et, pour un même effet, elle peut être opérée à une température bien moins élevée qu'il ne serait nécessaire à pression normale, C' est ainsi par exemple qu' on a réalisé la stérilisation totale du lait à 60 C.
Dans les deux cas, on retrouve les produits sensiblemeni dans l'état qu'ils avaient à l'origine du traitement, abstrac- tion faite de l'effet de ce traitement sur les microorganismes.
Lorsque l'action thermique est un chauffage, destiné
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par exemple à maintenir les aliments chauds pour leur consom- mati on, il est avantageux d'utiliser comme source de chaleur un¯ rayonnement calorifique, tel que le rayonnement infra-rouge
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qui ajoute sa propre action microbicidê à celle du vide et de la chaleur et, de plus, son effet de chauffage à coeur.
Le procédé selon l'invention permet d'assurer la con- servation des 'produits alimentaires à la température même de leur préparation ou de leur dégustation et de ne les consommer que longtemps après leur préparation; donc il permet dé mainte-
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nir en, réserve des plats cuisinés préparés longtemps .à l'avance 'et de',les 'consommer ensuite sans 'réchauffage préalable et sans 'et de aient perdu aucune de* leurs qualltég preajble sans qu'ils.aient perdu aucune de leurs qualités, nutritives'ou gûstat:ves, , n , ,,,u , ' , < , ''.Le procède permet aussi. de redonner à-des produits tels que pà.Lps '.'biscuits,, biscottes-, .leur.'fraîcheur primitive et da.,,esA axldx;
.con,sômrna.blôs'''.près, plusieurs ' flue fabri- '' 4'atrt.'' , ' ',n , , 1 ." , . > , , 1. s. y n ,.1, 1 . ' ,.1 '"' .. , , ',, bzz ' .,ô3i<qn/ ]ñ/t'èhdu dâ.nis ;'fé' cas' &es ts' eu 1 sinëà,, l'action the4rü.'q;us'ést;a'ppliquéa â.e,''.'forii'iritormittté ' fois que la tempéra Itre 6Û'prddui:-U. traité sort 'do .limites pyédé-' terminées.' .. , < > .' .. ',',., , ' < , j par cots, .'dans 1s ôa;,s des produits, à -rénover, tels, que pains, biscottes, etc., l'action thermique peut être ap- pliquée de'façon continue, éventuellement'en présence d'une source de vapeur d'eau, en faisant'se déplacer le 'produit
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tra:t*t6,,.derant la source calorifique.
La. présente, invention a également pour objet un appa- ,rail pour .la mise en oeuvre du procédé ci-dessus, appareil qui est remarquable en ce qu'il comporte au,moins une chambre, ou compartiment, et, en général, plusieurs chambres, ou compar- tiraants, de traitement, isolés thermiquement dt susceptibles d'être fermés hermétiquement, des moyens capables d'aspirer ','air contenu à l'intérieur des dits compartiments, par exemple
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une po.-pe à vide, des moyens permettant de fournir'des Calories aux produits situés à l'intérieur des dits compartiments, ou des moyens permettant de fournir des friperies à ces produits,
ou les deux groupas de moyens, enfin des organes permettant, de préférence automatiquement, dans des conditions prédéter- minées et réglables, de mettre en action et hors d'action les dits moyens d'aspiration d'air et d'action thermique.
Les moyens d'apport de calories aux produits disposés à l'intérieur des compartiments sont, de préférence, constitués par des lampes à radiations infra-rouges qui peuvent chauffer los produits à coeur sans élever la température de l'air de l'enceinte. Les moyens d'apport de frigories peuvent être constitués par les serpentins dtun système de réfrigération classique.
L' isolement thermique des compartiments est, de préfé- rence, assuré en prévoyant, autour de la paroi du dit compar- tiraent, et à une certaine distance de celle-ci, une seconde paroi s'étendant au moins autour'des faces latérales et du fond du compartiment, l'espace compris entre les deux parois étant, 'comme l'intérieur du compartiment, susceptible d'être relié aux moyens d'aspiration d'air. Il peut, à cet effet, être prévu un trou de communication obturable entre l'intérieur du compartiment et la dit espace, l'aspiration de l'air se faisant dans le dit espace.
Sous cette forme de réalisation, et dans le cas où l'appareil comporte des moyens d'apport de calories, la paroi extérieure, qui n'est pas soumise au rayonnement calorifique, est à une température -inférieure à la température de la paroi intérieure et 'elle joue le rôle de "paroi froide" sur laquelle viennent se condenser en gouttelettes les vapeurs entrainées hors au compartiment au moment de l'aspiration de l'air inté- rieur au ait conpartiment. Lorsque l'aspiration cesse, les dites @@buttelettes sont entra±nées en sens :Inverse par le
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courant d'air de courte durée ¯qui se produit alors et elles sont ramenées à t'intérieur du dit compartiment où 'la vapeur demeure - ainsi constamment saturée.
Dans le cas de produits alimentaires à rénover, du genre des pains, biscuits, biscottes, etc., l'appareil selon l'inven- tion peut comporter, à l'intérieur de la. chambre de traitement, une chaine sans fin sur laquelle les dits produits sont distri- bués par gravité et entraînés devant des rangées successives de lampes à rayons infra-rouges par exemple, rangées dont la puis- sance peut être variable et groupées de façon que les produits passent d'abord devant un groupe de faible puissance, puis un groupe de forte puissance, par exemple.
L'appareil selon l'invention peut avoir la forme géné- rale d'une armoire calorifugée comportant plusieurs oomparti- ments hermétiquement clos et dans lesquels, après introduction du produit à traiter, le vide est créé par une pompe à vide logée dans un compartiment non hermétique de cette armoire.
Les portes de chaque compartiment ,sont avantageusement en glace épaisse s'appliquant à la fermeture, par leur périphérie, con- tre un joint d'étanchéité fixe, en caoutchouc par exemple.
Il peut être prévu des moyens de mise en communication de chaque compartiment avec l'atmosphère commandés automatiquement par la poignée de la porte..
Dans une forme particulière de réalisation, l'appareil comporte un dispositif automatique de mise en marche et d'arrêt de la pompe à vide en fonction de la -dépression désirée dans le compartiment ou dans l'espace compris entre les parois du dit compartiment, dispositif qui comprend un organe sensible à la pression, tel qu'un manomètre, qui actionne un contacteur fernant ou ouvrant le circuit du moteur électrique entraînant la pompe, suivant que la pression s' élève ou descend au delà de limites prédéterminées réglables .
Ce contacteur peut com- mander, par exemple, un robinet prévu dans le tuyau d'aspiration
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reliant la pompe à chaque compartiment, robinet du type à trois voies, actionné par électro-aimants par exemple, et communi- quant respectivement avec la pompe, le compartiment et l'atraos- phère.
Comme il a été dit plus haut, l'appareil peut comporter des moyens permettant de fournir des calories aux produits situés à l'intérieur des compartiments, ou des moyens permet- tant de fournir des frigories à ces produits, ou les deux groupes de moyens.
Il est possible de prévoir, dans un appareil à plusieurs compartiments, certains de ces derniers munis de l'un des grou- pes, d'autres munis de l'autre groupe, et les autres, enfin, à la fois des deux groupes de moyens, par exemple de lampes à infra-rouge et de serpentins d'un système réfrigérateur clas- sique susceptibles dtagir alternativement, au choix de l'usager.
Dans une forme de réalisation particulièrement avanta- ' gouse du groupe de moyens destinés à fournir des frigories aux produits disposés à l'intérieur des compartiments, le système réfrigérateur est du type à compression, et la dite compression du fluide frigorigène s'opère dans un cylindre à piston libre, 'séparant l'intérieur du cylindre en deux chambres mises respectivement en série, d'une partdans le circuit fermé du fluide frigorigène, et, d'autre part, dans un-circuit de compression constitué par une canalisation reliée, par l'inter- médiaire d'un clapet, au refoulement de la pompe à vide du système d'aspiration de l'appareil et par une canalisation reliée, également par l'intermédiaire d'un clapet, à l'atmos- phère.
Un ressort de rappel du piston est prévu dans la chambre du cylindre qui est reliée au circuit de fluide frigorigène.
Cette réalisation présente l'avantage de ne pas néces- siter, pour les moyens de réfrigération, de moteur et d'organes rotatifs distincts de ceux prévus pour les moyens d'aspiration de l'air.
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Bien entendu, il est avantageusement prévu une com- mande automatique, par thermostat, des moyens de réfrigération, et les moyens de commutation nécessaires pour créer à volonté dans les différents compartiments, soit le chaud et le vide partiel, soit le froid et le vide partiel, soit éventuellement le chaud ou le froid, sans dépression, ou un vide partiel sans variation de température.
D'autres particularités et caractéristiques de détails de l'appareil selon l'invention seront données,à titre d'exem- ple nullement limitatif dans la description qui va suivre et qui se réfère¯aux dessins annexés, dessins dans lesquels : la fig. 1 est une vue extérieure en perspective d'une armoire' selon l'invention, les portes étant entr-ouvertes ; la fig. 2 est une vue' de face, également en perspective et à plus grande échelle, montrant l'entrée et ,une partie de l'intérieur d' un compartiment la fig. 3 est une coupe',verticale d'un compartiment dans le,plan'médian,' par la ligne III-III de la fig' 4 ;
,la fig. 4 est une. coupe' par la.. ligne IV-IV de la fig. 3; la fig. 5 est un diagramme général, de 1'installation électrique de commande des moyens d'aspiration d'air et de chauffage'd'un compartiment ; la fig. 5a est une vue de détail d'une partie de l'ins- lallation de commande électrique ; les fig. 6,7 et 8 représentent schématiquement un ro- binet à trois voies de commande du vide dans trois positions différentes ;
la fig. 9 est un diagramme général des circuits d'as- piration d'air et de réfrigération d'un compartiment comportant les trois groupes de moyens selon l'invention ; la fig. 10 est un diagramme de l' insta llation électrique de commande des moyens de réfrigération indiqués à la fig. 9 ; la fig. 11 est une coupe transversale d'une armoire de
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traitement de rénovation conforme à l'invention ; la fig. 12 est une coupe de la fig. 11, suivant la ligne XII-XII ; la fig. 13 est une vue longitudinale d'une variante de réalisation de la chaîne équipant l'armoire illustrée à la fig. 11 ; la fig. 14 est une vue en perspective d'une deuxième variante de la chaîne équipant l'armoire illustrée à la fig. 11;
la fig. 15 est une coupe de la poulie motrice équipant l'armoire illustrée à la fig. 11.
L'armoire représentée à la fig, 1 est constituée par un ch assis en profilés revêtu d'une enveloppe en tôle 1 et pourvu d'une porte extérieure bombée 2 donnant à l'armoire un aspect analogue à celui des réfrigérateurs domestiques bien connus. La partie inférieure 3 de la paroi avant, en dessous de la porte 2, a une forme qui prolonge la surface de la porte fermée, et, derrière cette partie 3, sont logés la moto-pompe à vide et divers appareils qui seront décrits ci-après, et qui sont accessibles par derrière l'armoire. Des fentes d'aération 4 sont aménagées dans cette paroi 3.
Dans la hauteur de la porte, l'armoire est fermée sur le devant par une plaque de tôle 5, fixée au châssis par des boulons 6 et percée, dans l'exemple représenté, de deux ouver- tures 7 pourvues chacune d'une porte à charnières 8 en glace très épaisse qui s'applique sur un joint d'étanchéité en caout- chouc ou autre matière élastique convenable 9 entourant l'ouverture 7.
Chaque porte 8 sert de fermeture à un compartiment in- térieur constitué par un cuvelage cylindrique en tôle 10 (voir fige 2, 3 et 4) à fond bombé. Ce cuvelage est soudé à l'avant sur une plaque circulaire 11 percée d'une ouverture correspon- dant à louverture 7. Un deuxième ouvelage cylindrique exté- . rieur 12 est soudé sur la plaque 11 et enveloppe le ouvelage
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intérieur, de façon a for.:z unc double paroi d'épaisseur cens tante. La plaqua 11 est fixée à la plaque de dovant 5 au moyen de vis à métaux 15 août la tête est dissimulée par le
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joint 9î Un joint dl btanci.1éi ï.:
,'? 11 est interposé entre les pi- ques 11 et 5 de fa çon à rendre le compartiment entièrement étanche lorsque la porta 8 est fermée. La porta en glace d
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et le joint 14 assurent l' is o;ta tiorz thermique tic la face avant du compartiment.
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Un tiroir 15 ouvert devant et en haut en tôle ino:3ria-- ble convenable, telle que la tôle appelée "IIJOX", est posé sur des glissières 16 fixées au Cuv;..3./?e 10. La section du tiroir Il est adaptée à l'ouverture 7 par où il peut sortir, Ce tiroir est destiné à recevoir les produits à traiter.
A la partie supérieure du eu.volage 10 sont fixés les supports 17 des lampes tubulaires à rayons infra-rouges 18, réparties dans toute la longueur au-dessus du tiroir 15 au nombre de quatre dans l'exemple représenté. Un orifice 19 fait communiquer l'espace intérieur du cuvelage 10 avec l'espace compris entre les deux parois. L'orifice 19 est taraudé et peut être éventuellement fermé hermétiquement par un bouchon fileté 20 dans le but qui sera ludique plus loin. Le cuvelage extérieur 12 est pourvu d'un raccord de tuyauterie 21 permettant de le relier par une tuyauterie 22 à la pompe à vide 61 par
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l'intermédiaire d'un robinet d0 cOJ1l!'8.nde z3 représenté 8chérr8.- tiquement sur les fig. 6, 7 et 8.
Le robinet 23 est un robinet à trois voies constitué essentiellement par un corps pourvu d'une face plane porco
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de trois orifices A, C, P d:r1- If3s contras sint disposés sur un même cercle et communiquent, respectivement av'jc l'atmosphère, le compartiment 60 et la 1)0:,)>-1 à vide -31. ur cette face plane esv appliqué un or 1. ana mobile :--1 pOV1UÚ tourner autour riu contre du cercle précité des orifices ..., >fi, p et pourvu d'un conduit 25 pouvant relier entre eux a.eux des ot'if l'1'J: 1\, (;, 1>,
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soit C et P dans la position représentée à la fig. 6, soit 0 et.
A dans la position représentée à la fig.8. Dans la position .intermédiaire reprsentée à la fig. 7, toute communication est coupée entre les orifices C, P, A. Ainsi, dans la position du robinet représentée à la fig. 6, la pompe est en communication avec le compartiment pour y faire le vide; dans la position de la fig. 7, le compartiment est isolé et le vide peut s'y main- tenir sans que la pompe indienne, et, enfin, dans la position de la fig. 8, le compartiment est en communication libre avec l'atmosphère. Cette dernière position est utilisée lorsqu'on veut ouvrir la porte 8 du compartiment pour le charger ou le décharger. Il est alors nécessaire d'y établir la pression atmosphérique pour pouvoir ouvrir la porte 8 sans effort.
Le robinet 23 pourrait être manoeuvré de toute manière connue ou convenable quelconque, voire à la main, mais de pré- férence sa manoeuvre est commandée d'une façon entièrement automatique en conjonction avec l'arrêt et la mise en marche du moteur par un contrôleur de vide 26 placé dans la conduite 22 entre le compartiment et le robinet 23 et destiné à régler la dépression dans le compartiment, et il est commandé en outre automatiquement par l'ouverture et la fermeture de la porte d.
Dans l'exemple représenté, cette commande fonctionne de la façon suivante (voir fig. 5) :
Sur l'organe mobile 24 du robinet 23 est fixée une barre de manoeuvre 27 sur laquelle agissent de chaque côté de l'axe de rotation clés noyaux plongeurs de deux électro-aimants, ces noyaux étant reliés à la barre 27 à des distances différentes de l'axe de rotation. Les électro-aimants 28, 29 les plus pro- ches de l'axe servent à amener le robinet à la position neutre ou médiane (fig. 7) et les électro-aimants extérieurs 30, 31 à le placer respectivement dans la position de pompage (fig. 6) et de communication avac l'atmosphère (fig. b).
Le contrôleur de,vide 26 est un appareil sensible à la pression, tel qu'un manomètre par exemple, qui, lorsque le
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vide atuoint une valeur réglable pl'éd6 t;GrninC::e, par 0:;:<3,1.1)1-, , G00 rr:m de mercure, actionne un eonta ;t.>ar 52 de façon E = <Jipoy- , , - un contact 65 pour ouvrir Is cirodi du moteur élcc GrirLrc "i un traînant la. pompe à vida, et à fer, er en même temp@ un ,On- tact 34 qui, par un conducteur 35, ferme le circuit de l' électrc
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aimant 29. Ainsi excité, oeu,-c3. met le robinet 25 dans la position neutre, représentée par le schéma, do sorte que la pompe est arrêtée et le compartiment isole par la robinet 23.
Le bras 27 est relié mécaniquement: à un interrupteur ,il mercure
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36 interposé dans le conducteur .5;,, de telle S or1,.G qw.;), lorsque la robinet a pris la position neutre, l'interrupteur 5G coupe le circuit, de l' électro-airl1lJ.n' 29, wv;i.tant ainsi que cet électro-aimant, restant excité en permanence, COJ1sorm11'i." inuti- lament.'du courant et s'échauffe.
Si, au contraire, pour une raison quelconque, fuites pa,
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exemple, la pression wonie c.;tt lo C Olhpü:rtimr:jj1 et d'épasse une certaine valeur un pou supérieure :1 la pression prédéterminée ment;1olmé(j plus haut, le contacteur 3:2 coup.3 le contact 54 et forme 10 contact 33. Celui-ci, par le conducteurs 157 et 3d, forme, d'une part, la cireur b au moteur ,i qui, ainsi, remet la pompe on marche, et l0 circuit des t'-loctrq-aihjanbs 2d et 30,Ce dernier met le robinet dans la position do la fig. 6, qui fait communiquer, le compartiment avec le tuyau d'aspiration de la
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pompe à vide. Ce mouvement dl,1:'-obinel; ouvre un interrupteur à iiieroura, 39, interposé dans le corductciur 5é's, qui désexci te los éloctro-aiwants 30 et 26, de la iiiî3i,,a façon que décrit plus haut pour 1'électro-aimant 29.
Les opérations décrites ci-dessus peuvent se répéter successivement tant que la porte 8 reste fermée? Lorsqu' on tira
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la poitnée 40 (fig. Z ) de la porte b afin d'ouvrir celle-ci, le pêne 41 se retira de la gâche 42 et libère ainsi une tige mobile non représentée, traversant les plaquas 5 et 11, cotte tige étant sollicitée vers l' extérieur par un ressort et retenue par
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le pêne 41 lorsqu'il est enfoncé dans la gâche 42. La dite tige à ressort actionne un contacteur 43 à deux interrupteurs 44 'et 45 contenu dans un bottier 43a (fig. 4) fixé à la plaque 11 à l'intérieur du compartiment et portant les quatre bornes de connexion des fils.
L'interrupteur 44 du commutateur 43 est interposé dans le conducteur 37 alimentant le moteur M de la pompe et l'autre interrupteur 45 dans un conducteur 46 alimen- tant 1'électro-aimant 31. Lorsque la. porte est fermée, l'in- terupteur 44 est formé et l'interrupteur 45 ouvert. Si l'on tiré la poignée de là porte pour dégager le pêne de la. gâche, comme on l'a dit plus hau, l'interrupteur 44 s'ouvre, coupant le circuit du moteur et-l'interrupteur 45 se forme;, excitant
1'électro-aimant 31 qui met le robinet, dans la position de la fig. 8, faisant ainsi, communiquer le compartiment avec l'at- mosphére, de sorte que la pression atmosphérique s'établit dans le compartiment, permettant d'ouvrir la porte 8 sans effort.
Lorsqu'on referme la'porte 8; l'électro-aimant 31 est désexcité, la circuit du moteur se ferme en 44 et, comme il est forcément fermé aussi en 33 puisque le compartiment n'est pas sous vide, le moteur se remet en marche et les électro-aimants 28 et 30 sont excités. Le premier déplace le. robinet jusqu'à la position neutre et le second achève le mouvement jusqu'à la position de pompage.
On a prévu deux électro-aimants 28 et 30 en parallèle, au lieu d'un seul, parce que, pratiquement, la course du plongeur d'un seul électro-aimant n'est pas suffisante pour effectuer le mou- vement complet,
La température dans le compartiment est aussi réglée automatiquement de la manière bien connue, au moyen d'un ther- martat 47 qui ferme et coupe le circuit 48 des lampes de chaut' fage 18 lorsque la température s'écarte trop dans un sens ou dans l'autre d'une valeur prédéterminée réglable.
Le contacteur 43, le thermostat 47 et les lampes la
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sont à l'intérieur du compartimenta dont les parois sont rebré- sentées schématiquement sur la fige 5 par le rectangle en traits mixtes 49. Toutefois, l'organe de réglage du thermostat est @ avantageusement situé à l'extérieur du compartiment.
Les ccm- ducteurs 37, 46 et 48 traversent la double fond du compartiment au moyen de six bornes isolées 50 dent une apparaît 81..:,' la fig.3
Lorsque, comme dans l'exemple représenté, la même @ete- pompe dessert plusieurs compartiments, toutes les lignes 57 sont en parallèle entre la borne positive et la source de courait et le moteur M, de sorte que la coupure d'une ou plusieurs des lignes 37, taut en isolant de la pompe les compartiments cor- respondants, n'empêche pas la pompe de fonctionner pour les autres compartiments.
Le bouchon fileté 20 qui permet d'isoler l'espace inté- rieur de l'espace compris entre les deux parois est utilisé lorsqu'on veut éviter de faire le vide.dans l'espace intérieur contenant les produits, Ainsi, le compartiment peut être utilisé soit comme une bouteille "thermos" pour la simple conservation de la chaleur, soit dans des buts divers, tels que cuisson, stérilisation. Le bouchon fileté 20 pourrait âtre remplacé par tout autre mode d'obturation convenable, tel qu'un robinet.
En général, bien entendu, on laisse communiquer l'espace compris entre les deux parois avec l'espace intérieur contenant les produits. En effet, la paroi extérieure 12 n'étant pas sou mise à l'action du rayonnement des lampes 18 est froide compa- rativement à la paroi 10 et la vapeur entraînée hors du conipar- timent au moment de l'aspiration de l'air par la pompe 61 à travers le trou 19 et l'espace compris entre les parois 10 et 12, vient se condenser en gouttelettes sur cette paroi froide 12.
Lorsque l'aspiration cesse, par suite du fonctionnement du robinet 23, les dites gouttelettes sont ramenées à l'inté- rieur du compartiment par le courant d'air de refoulement de courte durée qui se produit en sens inverse du courant d'as-
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piration. L'atmosphère du compartiment est ainsi constamment Se!, curée en vapeur d'eau.
On a supposé jusque là que le compartiment décrit com- portait uniquement des moyens d'aspiration d'air et des moyens de chauffage. Il peut comporter également des moyens de réfri- gération.
On a représenté à la fig. 9 un schéma des circuits d'un compartiment muni de tels moyens conçus de manière à fonc- tionner en association avec la pompe à vide 61. Ces moyens comportent un circuit fermé de fluide frigorigène classique, constitué par un serpentin évaporateur 62 disposé à l'intérieur du compartiment 60, un condenseur 63, un robinet réducteur 64, daux clapets 65, 66 et une chambre de compression 67, tous ces éléments étant montés en série.
La chambre de compression 67 est délimitée par les parois d'un cylindre 68 et l'une des faces d'un piston 69 libre à l'intérieur du cylindre 68. L'autre face du piston 69 délimite une seconde chambre 70 dans le :'cylindre 98, communiquant avec l'aspiration de la pompe 61 par la conduite 71 et avec un des orifices 72 d'un robinet à deux .voies 73, par la conduite 74.
La conduite 71 débouche dans la canalisation reliant 'la robinet 23 à la pompe 61, entre ces deux organes.. Le robinet 73 comporte encore un orifice 75 relié au refoulement de la pompe 61, et un orifice 76 relié à l'atmosphère. Le robinet 73 comporte un corps intérieur 80 percé d'un conduit 77 qui, en pivotant, peut faire communiquer, soit les orifices 72 et 75, soit les orifices 75 et 76.
Lorsque le corps intérieur 80 du robinet 73 occupe la position dans laquelle communiquent les orifices 72 et 75, le mouvement de la pompe 61 provoque le mouvement alternatif du piston 69, rappelé par le ressort 78, qui joue le rôle de com- presseur pour le fluide frigorigène du circuit de réfrigération.
Lorsque le conduit 77 fait communiquer l'orifice 75 avec l'ori- fice 76. la pompe 61 refoule dans l'atmosphère st fonctionne en
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pompe à vide sans provoquer de compression du fluide frigorigène
La manoeuvre du robinet 73 est de préférence commandée automatiquement par un thermostat 79 placé dans le comparti- ment 60 et destiné à régler la température dans le dit compar- timent.
Dans l'exemple représenté à la fig. 10, cette commande est conçue de manière que le réglage de la dépression @opere par priorité sur la réfrigération, c' est-à-dire que la pompe
61 fonctionne en pompe à vide lorsque le contrôleur de pression
26 le demande, et n'opère la compression qu'après le vide convenable réalisé dans le compartiment. Cette commande fonc- tionne comme suit :
Sur le corps intérieur mobile 80 du robinet 73 est fixée une barre de manoeuvre 81 sur laquelle agissent de chaque côté de l'axe de rotation les noyaux plongeurs de deux électro- aimants 82 et 83.
L'électro 82, lorsqu'il est excitée amène le robinet 73 dans la position de compression, c'est-à-dire celle pour laquelle communiquent les orifices 72 et 75. L'électro 83 excité amène le robinet 73 dans la position neutre, c'est-à-dir celle pour laquelle communiquent les orifices 75 et 76. Le sys- téme de commande du froid est monté en parallèle, comme on le voit sur la fig. 10, avec le système de commande du vide repré- senté à la fig. 5, dont la partie principale, contrôleur de vide 26, moteur M et contacts 44, 44a, a été reportée sur la fig. 10.
Le thermostat 79 actionne, lorsque la température dé- passe une certaine valeur réglable prédéterminée, un contacteur 84 qui relie les plots 85, 85a. Le plot 85 est relié au plot 33 du contrôleur de vide 26.
Comme on le voit sur le schéma de la fig. 10, le montage électrique est tel que le thermostat 79 n'est mis en circuit entre les pôles de la source de courant électrique que lorsque le contacteur 32 du contrôleur de vide 26 est sur le plot 33,
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c'est-à-dire à la position de non aspiration dans le compar- tîment, 60 par la pompe 61.
Dans ce cas, si la température dans le compartiment dépasse une certaine valeur un peu supérieure à la température prédéterminée réglable, le contacteur 84 ferme le contact 85-85a L'électro 82 est excité. et, par mouvement de son noyau plon- geur, provoque la rotation du bras 81 qui met le robinet 73 dans la position de compression, c'est-à-dire les orifices 72 et 75 en communication. En même temps, la bobine 86 également excitée ferme le contact 87-87a et provoque la mise en marche du moteur M, donc de la pompe 61 qui assure la compression du fluide fri- gorigène dans le circuit de réfrigération. Le robinet 73 reste à la position de compression, et le moteur démarre chaque fois que le thermostat 79 le commande.
Dès que le contrôleur de vide demande une aspiration d'air dans le compartiment, en amenant le contacteur 32 sur le plot 34, le thermostat 79 est mis hors circuit, le moteur M n'est plus entraîné que par le circuit de commande-du vide représenté à la fig. 5. -En même temps, l'électro 83, en para.1- lène aux bornes du moteur ? est excité e't, par le mouvement de son noyau plongeur, 'provoque la rotation du corps intérieur 80 du robinet 73 et l'amène dans la position où les orifices 76 et 75 communiquent. la pompe 61 fonctionne alors en pompe à vide. Le fonctionnement du.cycle de réfrigération ne pourra reprendre que lorsque le contrôleur de vide 26 reviendra à la position de non-pompage.
L'armoire illustrée à la fig. Il comprend un coffre extérieur 101 reposant sur le sol par les pieds 102. Dans ce coffre est monté un châssis métallique, non représenté, sur lequel repose toute la partie mécanique de l'armoire. Le coffre 101 est partagé en trois chambres ou compartiments hermétiques, le premier 103 servant de magasin, le deuxième 104 servant de
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chb.mbrc due titeuert, le troisième lOs de chambre réceptrice.
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les chambres 1J5, 104 et 105 sont soumises àl'action du vide, à l'aide d'une pompe à vide non représentas l@@ée dans le compartiment 106 relié à l'atmosphère.
La chambre 103 comprend une séria d'ar atures 107 par#1- lèles entre lesquelles sont disposés, avant. la mise un route de l'armoire, des paquets de biscottes 108 munis de lours emballa- ges. Des paquots de biscottes sont aussi disposés entre los deux brins 109 et 110 de deux chafnes sans fin articulées en 111 et réunies entre deux articulations 111 successives par des palettes 112 qui assurent l'entraînement des paquets sur une tôle inférieure 113. De la sorte, les paquets de biscottes de la colonne 114a sont pris un à un par les palettes 112 puis ceux de la colonne suivante 114b, et ainsi de suite jusqu'à ceux de la dernière colonne 114i.
Les chaînes 109 et 110 sont guidées par dos paires de poulies 115 à 118.
La poulie 119, poulie motrice, 'est pleine (fig. 13) et com- porte deux dentures 119a et 119b. Son arbre porte à l'extérieur de l'armoire' une poulie d'entraînement 120a reliée à un dispo- sitif moteur non représenté logé/dans le compartiment 106.
Les chaines 109 et 110 suivent un parcours sensiblement rectangulaire, les paquets 108 étant guidés intérieurement par la tôle Il:5 dans-la partie inférieure de ce parcours . Puis, lorsque les chaînes ont été guidées par la paire de poulies 116 pour prendre une position verticale ascendante, les paquets sont maintenus par des pièces grillagées 121 et 122 et passent devant une série de lampes 123 à rayons infra-rouges, de puis- sanca relativement faible, lampes cylindriques claires de 100 watts par unité par exemple. On obtient ainsi un réchauffement dos produits.
En passant sur la paire de poulies 117, les chafncs 109 et 110 sont ramenées dans un plan horizontal, les paquots sont alors guidés uniquement à leur partie inférieure par une piôco grillagée 124. Dans cette zone, ils circulent entre deux rangs
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de lampes 125 à rayons infra-rouges de forte intensité, telles que des lampes sphéro-paraboliques d'une puissance de 250 watts par unité, qui soumettent les biscottes sous leur emballage à un réchauffement intense, puis, après retour des chaînes sur la paire de poulies 118, les produits guidés par un déversoir 126 ouvrent par leur propre poids un volet 127 qui leur permet de tomber dans la chambre réceptrice 105.
Aussitôt le volet 127 est rappelé en position de ferme- ture par un dispositif élastique non représenté et le paquet de biscottes agit par son propre poids sur une valve 128 qui met en communication le compartiment 105 avec l'atmosphère.Dès que la pression dans ce compartiment est voisine de la pression atmosphérique, le paquet agit sur .le volet 129 pour l'ouvrir et tombe dans un panier récepteur 130 logé dans le comparti- ment 106. Le volet 129 se reforme, ainsi que la soupape 128, et la pompe à vide aspire l'air qui a pénétré dans le compar- timent 105. Puis le paquet suivant .ouvre le volet 127 et les opérations se succèdent ainsi que'décrit, jusqu'au passage du dernier paquet .de la colonne 114i.
Ainsi que représenté à la fig. 13, la chaîne peut com- porter deux articulations 111a et lllb entre deux plaques d'en- traînement 112 successives. Pareillement, ainsi que représenté à la fig, 12, les plaques 112 peuvent comporter des tiges de prolongement 130 munies de feutres 131, la partie feutrée de ces tiges venant ouvrir par frottement le volet qui donne accès à la chambre 105. Un bac peut être prévu dans l'armoire pour le traitement des produits dépourvus de toute humidité.
Le mécanisme de distribution est électrique et peut être commandé à volonté par un bouton poussoir 132 de type courant servant à enclencher un relais temporisé qui commande à la fois le moteur d'entraînement, la pompe à vide et les lampas à rayons infra-rouges, pendant le temps nécessaire à ;La. sortie de un ou. deux paquets à la fois de la machine. Un autre bouton poussoir 133 peut être utilisé pour assurer un
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qusmont l'u.li1ent[.tion des lampes à 1':..,:On.'3 in:rra-r'OUr-0:' en " d'obtenir la. te':p'r>lltur0 voulue après pIns'durs heures d'arrêt.
L'arrêt du moteur e1;;. 1'e.tinction des 113.'''1 v3 poul'r'ùi;;mt et.. f . réalisés à l'aide d'un contact commandé 1,ur bi cliafnc.
Bien entendu, l'invention n'est nullement limites @@@
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détails de réalisation représentes ou ctécr;..3, lesquels n'ont été donnés qu'à titre d'exemple. C'est ainsi que les appa.>z i : décrits à titre d'exemples peuvent être utilisés à des fin autres que la mise en oeuvre du procédé de traitement des pro- duits alimentaires qui est un ob jet de l'invention, par exemple à des traitements de produits ou objets non alimentaires qu'il y aurait avantage à soumettre à un traitement thermique et à
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une dépression, notamr-ont des objets à stérili,,i6r ; que cor appareils peuvent être de dimensions et d'un nombre de coin- partiments quelconque ;
que ces compartiments, au lieu d'être cylindriques, pourraient être de section quelconque ; que les moyens de réfrigération pourraient être indépendants des moyens d'aspiration d'air ; que, dans'le cas'où ces moyens de réfrigé- ration n'utiliseraient pas la pompe d'aspiration d'air, ils pou raient néanmoins comporter un compresseur actionné par le même motour que la pompe, des organes d'embrayage asservis étant alors avantageusement interposés entre le dit moteur et la pompe et le compresseur respectivement, pour éviter notamment que le moteur n'ait à entraîner simultanément le compresseur et la pompe ;
que les dispositifs de commande et de contrôle des circuits d'aspiration d'air et de réfrigération pourraient être d'un type connu convenable quelconque que des interrup-
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leurs, du type à mercure par exemple, pourraient être. prbv1l:' ,>cj le circuit des électro-aimants du di3posi tif de r.:a.n0'31vr) (li,, robinot de coirtzande du circuit de réfrigération, pour éviter qu'ils restent excités en permanence et st-,chiuffen, corn,r.(; cala a été prévu pour les électros d du robinet <1< commande du circuit d'aspiration d'air ; eue .les interr'up téul"<,1 à commande manuelle pourraient être inoi-tbés respectiveMent;
sur
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le circuit d'alimentation des lampes de chauffage, sur le cir- cuit de commande des moyens de réfrigération et sur le circuit d'aspiration d'air, de manière à permettre l'obtention, au choix dans certains ou dans tous les compartiments de l'appareil, d'une dépression combinée avec le chaud ou le froid, d'une dépression seule sans traitement thermique ou encore du froid ou du chaud seuls ; que des moyens additionnels de dégagement de vapeur d'eau, ou autre liquide, à l'intérieur des comparti- ments pourraient être prévus ;
qu'au lieu d'une pompe à vide on Dourrait utiliser d'autres moyens producteurs de vide, une trompe par exemple ; qu'au lieu de se' présenter sous la forme d'un appareil ayant son autonomie les moyens fondamentaux peuvent être incorporés dans une installation, par exemple d'entrepôts, de soutes ; que le dispositif de retenue de vapeurs par condensation peut comporter une pa.roi froide, voire refroi- rapportée, die, au lieu d'être constituée uniquement par la paroi du compartiment, etc...
REVENDICATIONS
1.- Procédé de traitement des produits alimentaires destiné à les maintenir, ou à les amener puis à les maintenir, dans un état propre à leur consommation, éventuellement avant ou après leur préparation culinaire usuelle, caractérisé en ce qu'on place les dits produits alimentaires dans une atmos- phère raréfiée, de préférence sous une pression d'environ 500 à 600 mm de mercure, avantageusement pour certains produits, en atmosphère saturée, notamment saturée en vapeur d'eau.