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Procédé et dispositif de contrôle de la lumière dans un appareil de projection et appareil muni dudit dispositif
La présente invention concerne la projection d'images juxtaposées en mosaïque sur un écran et plus particulièrement le contrôle de l'éclairement de l'écran de telle sorte, que les images séparées composant l'image d'ensemble aient la même intensité apparente aux endroits où elles se rejoignent.
Dans le cas de projection d'une seule image animée à partlr d'un projecteur unique, il peut se produire des variations considérables dans l'éclairement de l'écran sans qu'elles soient apparentes pour les spectateurs parce qu'ils n'ont pas de réfé- rence à laquelle comparer les variations. Dans le cas d'images en mosaïque, lorsqu'une portion d'une des images est beaucoup plus brillante que la portion de l'autre image qui lui est
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directement adjacente, la différence d'éclairement est immédiatement sensible en raison de la proximité des deux champs à éclairement inégal. Les spectateurs les comparent inconsciemment entre eux.
Etant donné que les deux portions de la mosaïque représentent différentes' parties de la même scène, un changement soudain d'éclairement d'une partie à l'autre, là où la composition exigerait évidemment un éclairement égal, produit un effet désagréable.
L'invention a pour but de réaliser des moyens permet- tant d'obtenir un éclaire-ment égal sur 1'écran sur des surfaces d'une image en mosaïque., là où les images se juxtaposent suivant les lignes de raccordement. Des moyens de contrôle ont été proposés antérieurement par lesquels un employé, placé à un endroit d'où il peut surveiller 1-'image, peut changer l'éclairement des portions respectives de l'image en mosaïque de manière à maintenir un degré raisonnable d'égalité d'éclai- rement. L'expérience a montré cependant que dans la pratique l'employé ne peut pas opérer ce contrôle avec la précision' nécessaire, notamment dans une salle où il surveille la même image de temps en temps.
De telles tentatives pour réaliser un contrôle manuel de l'éclairement ont montré en outre l'in- convénient de rendre nécessaire l'enlèvement de certains sièges de choix dans la salle pour y placer l'observateur contrôleur et son appareil. Le revenu de la salle s'en trouve diminué en plus du fait que l'employé est coûteux et tout cela sans obtenir le résultat désiré..
L'invention a notamment pour objet un procédé pour le contrôle de l'éclairement de l'écran dans le cas de projection d'images juxtaposées en mosaïque à partir de plusieurs pro- jecteurs,'procédé caractérisé par ce qu'on transfère vers les "bords de l'image une partie de la lumière provenant de la zone centrale de l'image lorsqu'il est nécessaire, pour la continuité
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de l'éclairement, d'augmenter l'éclairement de ce bord,
ou inversement on transfère une partie de la lumière des bords vers le centre lorsque la portion de bord est trop brillante pa.r rapport à un éclairement de référence déterminé.'
L'invention a également pour objet un appareil auto- matique pour maintenir un éclairement égal sur l'écran sur les surfaces où les portions différentes de l'image en mosaïque se juxtaposent.
Elle a notamment pour objet 'un dispositif de contrôle de lumière pour appareil comportant au moins deux projecteurs ayant chacun une source indépendante de lumière qui projette une image séparée'sur un écran, les portions de bord voisines' des images se rejoignant ou se chevauchant pour former une image en mosaïque, dispositif caractérisé par ce qu'il est prévu d'une part, sur chaque projecteur, un dispositif de commande sensible à la lumière pour contrôler la portion laté- , . rale du faisceau qui projette les port:
Lons de bord de l'image et d'autre part, un dispositif de contrôle automatique associé à au moins l'un des projecteurs et qui modifie laquantité de lumière dans la portion latérale du faisceau par rapport à la portion centrale du faisceau dudit projecteur en réponse aux variations indiquées par les dispositifs de contrôle propres à chaque projecteur, de manière à obtenir un éclairement des portions de bord qui soit le même pour les portions de bord qui sont voisines dans l'image en mosaïque.
Dans les modes de réalisation de l'invention, la lumière est contrôlée de telle manière que toute la lumière disponible est utilisée. Au lieu d'employer des diaphragmes ou volets ou,autres moyens pour réduire la quantité de lumière provenant d'un projecteur, l'invention utilise un mécanisme par lequel une partie de la lumière provenant de la région du centre de l'image est transférée vers les bords lorsqu'il
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devient nécessaire d'augmenter l'éclairement des bords; et inversement lorsque la portion des bords d'une image est trop brillante, une partie de la lumière provenant de ces bords de l'image est transférée vers le centre de l'image.
Tous les projecteurs conventionnels produisent des images qui sont plus brillantes dans leurs régions centrales
Que sur leurs bords, mais cela n'a pas d'inconvénients parce que la variation dans la lumière est progressive depuis les régions centrales vers les bords et elle n'est pas décelable avec une seule surface de projection. Un déplacement d'une partie des éclairements du centre vers les bords de l'image produira une image plus brillante sur ses bords, mais la suppression d'une partie de l'intensité lumineuse du milieu de l'image ne peut pas être ressentie par le spectateur.
Conformément à une caractéristique de l'invention, des moyens sont prévus pour contrôler la lwnière avant qu'elle traverse le film, le cliché de projection fixe, ou autre surface transparente devant être projeté sur l'écran pour former l'image en mosaïque. Etant donné que c'est l'in- tensité apparente de l'éclairement sur les zones de recouvre- ment et près de celles-ci qui doit être maintenue égale, l'appareil est construit de telle manière qu'il contrôle la lumière qui passe à travers les bords du cliché transparent.
L'invention peut être .appliquée de telle sorte que la lumière' projetée à travers les parties de bords de tous les clichés, qui sont désignés dans ce qui suit par le "film", soit main- tenue égale à une intensité.prédéterminée de référence.
Une combinaison simple et qui est pour la plupart des cas la plus satisfaisante est celle par laquelle on utilise la lumière qui passe à travers les parties de bords d'une image comme intensité de référence, et on produit alors une variation dans la lumière projetée à tra.vers la portion de bord adjacente
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de l'autre film de manière à maintenir l'éclairement de la seconde image égal à celui de la première. Ainsi, s'il y a variation dans la lumière provenant du premier projecteur ainsi que cela est inévitable avec les projecteurs conven- tionnels, la.
lumière de l'autre projecteur variera de la même manière au moins pour ce qui concerne l'éclairement des zones adjacentes ou se recouvrant et les variations dans l'éclairement total de l'écran ne seront pas perceptibles plus que dans le cas d'un seul projecteur conventionnel produisant une image unique sur l'écran.
Une autre caractéristique de l'invention prévoit un contrôle de la lumière projetée à travers le film avec un contrôle indépendant pour les différents bords de l'image.
Ainsi le bord extérieur d'une image de la mosaïque peut être maintenu d'éclairement égal à une intensité de référence et l'autre bord qui est adjacent à l'autre image de la mosaïque peut être contrôlé indépendamment pour maintenir son éclai- rement égal à celui de la portion de bord de l'image produite par l'autre projecteur.
Dans une des formes de l'invention on contrôle la lumière provenant de réflecteurs sélectifs placés immédia- temerit auprès de la fenêtre à film et on utilise cette lumière réfléchie canune une mesure de l'intensité de l'éclairement qui est reçu par les portions de bord du film 'à la fenêtre.
Certaines formes modifiées de l'invention utilisent des réflecteurs sur le diaphragme qui reflète le faisceau lumi- neux réel dirigé sur la fenêtre'à film pendant le temps où l'obturateur ferme l'ouverture optique de la fenêtre. Si l'invention est appliquée de cette manière, la. variation de lumière d'un côté de la fenêtre par rapport à l'autre doit
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être amenée à suivre un module predét,zw3ro en vue d'obtc'nir l'uniformité d'4cla.ix.<nnenti désixvr sur l'écrnn.
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L'invention s'étend également aux caractéristiques résultant de la description ci-après et des dessins joints ainsi qu'à leurs combinaisons possibles.
La description se rapporte à des modes de réalisa- tion de l'invention donnés à titre d'exemples et représentés aux dessins joints dans lesquels: - La figure 1 est une vue montrant l'application de l'invention à trois projecteurs cinématographiques projetant des images adjacentes d'une projection en mosaïque, la lumière étant contrôlée en fonction d'un standard de référence.
- La figure 2 est une forme modifiée dans laquelle la variation de lumière dans les projecteurs latéraux est variée automatiquement en fonction des variations de la lumière provenant du centre du projecteur.
- La figure 3 est un schéma de connexion pour l'un des projecteurs et.son mécanisme de contrôle.
- La figure 4 est une vue schématique de la manière de laquelle la lumière est déplacée entre le centre et les côtés- du faisceau lumineux en vue de contrôler l'éclairement des bords de l'image.
- La figure 5 est une vue analogue à 4 pour une va.riante.
- La figure 6 est une troisième variante de réali- sation.
- La figure 7 est une vue arrière de l'obturateur utilisé dans la. figure 6.
- La figure 8 est une vue analogue à 7 avec un arrangement différent des réflecteurs sur l'obturateur.
La figure 1 est une vue en plan de trois projec- .teurs indépendants 9, 10 et 11 qui projettent des images sur un écran 12. Les limites du faisceau lumineux projeté par le projecteur 9 sont indiquées par des lignes 9A, celles de
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10 par 10, celles de 11 par 11. Le i.t.exx, du pro:c,r 9 produit une image sur l'écran 12 ayant une largeur indiquée par l'arc A, celles projetées par 10 et 11 @t nt indiquées en B et C.
Dans la pratique antérieure de projection d'images en mosaïque, les images adjacentes étaient placées de telle sorte que leurs portions de bords se rencontrent suivent une. ligne. Il était impossible de maintenir toujours les positions exactes des bords adjacents des différentes images et on obser- vait certains intervalles parfois entre les images. La pratique moderne est de faire en sorte que les portions de bord adja- centes se recouvrent l'une l'autre comme indiqué pour A, B et
B, C sur l'écran 12. L'appareil avec lequel les vues sont prises est conçu pour que les champs soient photographiés par les différents objectifs y compris une portion commune qui est la zone de recouvrement pour l'image à projeter dans la mosaïque.
Les portions de bords qui doivent se recouvrir sont dégradées avec une transparence de plus en plus faible en directions opposées et l'éclairement total de l'écran par la lumière passant à travers les parties dégradées du film est égal à celle passant à travers les autres parties du film de chaque côté des zones se recouvrant.
Les projecteurs 9, 10 et 11 sont équipésavec des organes de contrôle ,le la lumière pour maintenir l'éclairement des images A B et C uniforme dans les régions de l'écran où les images se recouvrant et dans les régions immédiatement voisines des zones de recouvrement.
Le plan général de la figure 1 montre les cellules monitrices 18 et 19 placées sur les côtés opposés du projec- teur 9 de manière à recevoir la lumière des portions du faisceau Immédiatement auprès des bords opposés de la fenêtre à film.
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Le projecteur 10 est équipé avec les cellules 21 et 22 et le troisième projecteur 12 est de même équipé avec les cellules 24 et 25 placées de manière à recevoir la lumière provenant des bords opposés du faisceau, lumineux tout près de l'afenêtre à film.
Un servo-moteur 27 est commandé par le signal pro- venant de la cellule 18 et un autre 28 est commandé par le signal provenant de la cellule 19. Pour l'instant il suffit de comprendre que la cellule 18 commande le servo-moteur 27 pour qu'il agisse de manière'à augmenter la portion de lumière le long du côté gauche du faisceau lumineux 9A lorsque la quantité de lumière atteignant la cellule 18 est en dessous d'une intensité prédéterminée. Inversement la cellule 18 actionne le servo-moteur 27 de telle sorte qu'il diminue l'intensité de l'éclairement le long du coté. gauche du fais- ceau 9A lorsque la cellule 18 reçoit plus qu'une quantité de lumière prédéterminée.
De la même manière la cellule 19 contrôle l'action du servo-moteur 27 pour augmenter ou diminuer l'intensité de la lumière le long du côté droit du faisceau provenant du projecteur 9. Des servo-moteurs 31 et 32 agissent sur un mécanisme de contrôle dans le projecteur 10 en réponse à des signaux provenant des cellules 21 et 22 et d'autres. servo- moteurs 34 et 35 actionnent le mécanisme de contrôle dans le projecteur 11 en réponse à des signaux provenant des cellules 24 et 25. Dans la combinaison représentée, tous les sèrvo- moteurs 27, 28, 31, 32, 34 et 35 sont actionnés en comparant le signal provenant de leur cellule de contrôle respective 18, 19, 21, 22, 24 ou 25 avec un signal standard de référence.
La figure 1 montre un circuit de connexion unique simple par lequel est obtenu cette inter relation des cellules monitrices* Le signal répondant à la lumière produit par la
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cellule 21 passe à travers un amplificateur 41 dont le circuit de sortie est connecté à un relais différentiel 42. L'autre côté du relais est connecté avec un conducteur 43 d'un circuit provenant d'un générateur de signal de-préférence 45.
Ce générateur 45 comporte une batterie 46 et un potentiomètre 47 pour contrôler la force du signal de référence transmis par le générateur. 11 est compréhensible que le géné- rateur 45 peut être une cellule sensible à la lumière analogue aux cellules 18, 19, 21, 22, 24 t 25, placée de manière à recevoir la lumière d'une source 'intensité désirée ou de la lumière créée sur une certaine surface.
Le relais différentiel 42 agit sur le servo-moteur 31 - dans l'une ou -l'autre direction selon que le relais 42 reçoit un signal plus fort de l'amplificateur 41 ou du conducteur de circuit de signal de référence 43.
La cellule monitrice 22 envoie un signal à travers l'amplificateur 41 vers un relais différantiel 42 qui contrôle la marche du servo-moteur 32. L'autre côté du relais diffé- rentiel 42 est connecté au conducteur 43 du circuit de signal de référence 45. De manière analogue toutes les autres cellules monitrices envoient des signaux à travers les amplificateurs 41 vers'des relais différentiels 42 qui contrôlent la marche des autres servo-moteurs. Les autres côtés des relais différentiels sont connectés avec le conducteur 43 du circuit de signal de référence.
La figure 2 montre un schéma de connexion analogue à la figure 1, mais où l'intensité lumineuse est contrôlée à partir du projecteur du milieu 10. Celui-ci peut opérer sans aucun contrôle et les projecteurs latéraux 9 et 11 sont con- trôlés de manière à compenser toute variation intervenant dans l'intensité de la lumière projetée par 10.
La lumière provenant de 10 qui forme un bord de
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recouvrement avec le faisceau provenant du projecteur 9 est contrôlée par la cellule 21 dans le projecteur 10. Cette cellule 21 transmet un signal à travers un amplificateur 41 vers le relais différentiel 42 qui contrôle la marche du servo- moteur 28. du projecteur 9.
La cellule monitrice 9 du projecteur 9 répond à la portion du faisceau du projecteur 9 qui recouvre la portion du faisceau central auquel répond la cellule 21. Si à un moment quelconque l'intensité lumineuse qui excite la cellule 19 varie par rapport à celle qui excite la cellule 21, le relais différentiel 42 du servo-moteur 28 agit sur le servo-moteur en une direction ou 1.'autre ainsi qu'il est nécessaire pour changer l'intensité lumineuse dans le projecteur 9 de sorte que la lumière reçue par la cellule 19 compensera celle reçue par la cellule 21.
Le relais différentiel qui contrôle le servo-moteur 27 est connecté sur un côté avec la cellule monitrice 18 et sur l'autre côté avec la cellule 21. La portion de faisceau lumi- neux à laquelle répond la cellule 18 est projetée sur l'écran sur un côté de l'image où elle n'a pas à être comparée avec une autre image quelconque et ainsi la seule raison qu'il ya à contrôler le sèrvo-moteur 27 à partir de la cellule 21 est pour conserver l'intensité lumineuse de l'image venant du projecteur 9 égale sur les deux côtés.
La portion de faisceau lumineux venant du¯projecteur 10 qui recouvre le faisceau venant du projecteur 11 est contrôlée par une cellule 22 dans le projecteur 10. La portion de faisceau venant du projecteur 11 qui recouvre celle venant du projecteur 10 est contrôlée par la cellule 24. La marche du servo-moteur 34 est contrôlée par un relais différentiel 42 connecté sur un côté avec la cellule 22 du projecteur 10 et sur l'autre côté avec la cellule 24 du projecteur 11.
Comme dans
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le cas de deux projecteurs 9 et 10 déjà décrit, l'action des signaux provenant des cellules 22 et 24 sur le relais diffé- rentiel 42 a pour effet d'actionner le servo-moteur 34 pour modifier l'intensité lumineuse venant du projecteur 11 en vue de s'adapter au côté de ce faisceau du projecteur 10 qui est contrôlé par la cellule 22. Le servo-moteur 35 est actionné pour maintenir d'intensités égales les deux côtés du faisceau venant du projecteur 11.
La figure 3 est un diagramme de connexion montrant le mécanisme de contrôle pour les servo-moteurs 27 et 28 du projecteur 9. Le faisceau provenant de l'arc est indiqué par les flèches 66 convergeant vers un objectif 52. Des réflec- teurs 54 et 55 reçoivent la lumière des côtés'opposés du faisceau et la réfléchissentsur les cellules 18 et 19, respec- tivement, ou sur tout autre organe sensible à la lumière comme expliqué précédemment. ;
La figure 3 montre les cellules 18 et 19 alimentées par des batteries 68. Les signaux venant des cellules 18 et 19 sont envoyés aux relais 41 et les sorties de ces amplifica- teurs sont envoyées, aux amplificateurs 42. La puissance pour les circuits de sortie des amplificateurs 41 est envoyée à partir de batteries 70.
Chacun des relais 42 comprend,un enroulement 72, une armature 73 et des contacts 74-75. L'armature'73 est normalement tenue dans une position moyenne entre les contacts 74,et'75 par des ressorts 78. Il est prévu un autre enroulement 80 dans chacun des relais 72, opposé à l'enroulement 72.
Ces enroule- ments 80 reçoivent leur puissance par les conducteurs 81 et 82 à partir des circuits de signal de référence: le générateur -de signal de référence de la figure 1 et la cellule du projec- teur du milieu dans la figure 2, et toute autre source de signal de référence qui est utilisée pour le contrôle- Lorsque
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les signaux dans les enroulements 72 et 80 sur les côtés opposés de 1'armature 73 sont égaux, les ressorts 78 main- tiennent l'armature 73 dans une position moyenne entre les contacts 74 et 75 de sorte qu'elle ne forme le circuit d'aucun des contacts.
,
Lorsque la force de signal dans un des enroulements augmente, par rapport à l'autre, l'attraction de cet enroule- ment sur l'armature devient plus grande et surmmonte finalement la pression du ressort opposé 78 de sorte que l'armature 73 est attirée dans une position dans laquelle elle touche le contact 74 ou 75.
Le servo-moteur 27 comporte des bobinages de champ 83 et 84. Lorsque le bobinage 83 est excité, le moteur tourne le sens avant et il tourne en arrière lorsque 84 est excité.
L'armature 73 est connectée par une canalisation 86 à une lign< de courant. Lorsqu'elle touche le contact 74, le courant passe de 86 à travers 73, 74 et l'enroulement 83 du servo-moteur 27.
Le moteur est connecté avec l'autre côté de la ligne par un conducteur 88, si l'armature 73 touche le contact 75, le circuit est déplacé¯vers le bobinage 84 de sorte que le sens de rotation du moteur est inversé. Le circuit de contrôle de marche du servo-moteur 28 est analogue à celui décrit ci-dessus,
La figure 4 montre un schéma d'une forme d'appareil de contrôle de la lumière pour emploi dans l'un quelconque des' projecteurs des 'figures 1 et 2. La source de lumière pour'le projecteur consiste en un arcà. charbon à deux électrodes 94 et 95. Les mécanismes d'avancement des électrodes ne sont pas représentés. L'arc lui-même est désigné par 96.
Il est prévu un réflecteur 98 derrière l'arc 96 pour réfléchir un faisceau convergent vers une fenêtre à film 100 du projecteur. Un film 101 (figure 5) passe à travers la fenêtre 100. Pour rendre possible le contrôle de la quantité
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de lumière sur différents côtés du faisceau lumineux,. il est prévu des réflecteurs auxiliaires: un réflecteur 103 placé sur le côté gauche du projecteur et constitué par une portion de surface sphérique et un réflecteur analogue 104 sur le côté droit.
Lorsque ces deux réflecteur auxiliaires 103 et 104 sont placés dans leur position arrière indiquée en traits ponctués dans la figure 4, ils reflètent une partie du faisceau lumi- neux qui serait autrement réfléchie par le réflecteur principal
98 le long de lignes indiquée;'par les lignes marginales 105 et 106.
Les réflecteurs auxiliaires 103 et 104 sont mobiles axialement vers les positions indiquées par des traits pleins ,de la figure 4. Dans ces positions les réflecteurs auxiliaires
103 et 104 reflètent la lumière venant de l'arc 96 vers les réflecteurs auxiliaires 111 et 112 chacun de ceux-ci étant constitué par une demi-partie d'une surface paraboloïde. De ces réflecteurs latéraux 111 et 112, la lumière est reflétée le long des faisceaux convergents 114 et 115 respectivement vers la fenêtre à film 100.
Lorsqu'ils .se déplacent de leurs positions en traits mixtes vers leurs positions en traits pleins, les réflecteurs auxiliaires 103 et 104 obstruent progressivement plus ou moins du réflecteur principal 98 de sorte qu'il y a moins de lumière dans le faisceau convergent provenant du réflecteur 98 et plus de lumière est détournée vers les bords de la fenêtre à image 100 par réflexion à partir des réflecteurs auxiliaires 103 et 104 et des réflecteurs latéraux 111 et 112.
Le réflecteur auxiliaire 103 est déplacé entre ses positions en traits mixtes et ses positions en traits pleins par le servo-moteur 31 qui entraîne un pignon 120 engrenant avec une crémaillère 121 sur la face d'un coulisseau 123 par lequel est porté le réflecteur auxiliaire 103. Le réflecteur auxiliaire 104 est de même actionné par le servo-moteur 32 au
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moyen d'un mécanisme à pignon et crémaillère qui déplace un coulisseau 125 par lequel est porté le réflecteur 104.
La figure 5 montre une construction modifiée dans laquelle un réflecteur principal fixe 130 de forme générale elliptique est de plus grande dimension 'que le réflecteur principal de la figure 4 et où il y a deux réflecteurs auxi- liaires 133, 134 supportés sur des arbres verticaux 135 qui tournent pour échanger les angles des réflecteurs auxiliaires 133 et 134 de la position en traits mixtes vers la position en traits pleins (figure 5)
Dans leur position en traits mixtes, les réflecteurs auxiliaires 133 et 134 n'ont aucun effet sur les faisceaux lumineux étant donné qu'ils sont repliés en arrière dans une position où ils ne reflètent aucune lumière et où ils n'in- terviennent pas dans l'opération du réflecteur principal 130.
Lorsqu'ils sont avancés vers l'avant et vers l'extérieur aux limites de leur déplacement angulaire (traits, pleins de la figure 5) ils bloquent la lumière du réflecteur principal 130 dans une grande mesure et dirigentcette lumière interceptée vers les portions latérales du réflecteur principal 130 de sorte que la lumière" passe à travers les côtés de la fenêtre à film 100 au lieu de passer par son centre. Ainsi, en faisant osciller les réflecteurs auxiliaires vers différentes positions angulaires, il est possible de soustraire de la lumière au centre du faisceau lumineux et de l'ajouter sur ses bords.
Les réflecteurs auxiliaires 133 et 134 peuvent être .actionnés indépendamment, l'un de l'autre de sorte que la lumière peut être ajoutée sur un, côté ou sur l'autre du faisceau lumineux suivant les besoins., sans changement sur l'autre côté. Le réflecteur auxiliaire 133 est actionné par le servo moteur 31 par l'intermédiaire d'un mécanisme de transmission avec arbre 139 et engrenage 140. D'une manière
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similaire le réflecteur auxiliaire 134 est actionné par l'intermédiaire de transmission à partir du servo. moteur 32.
La figure 6 montre une autre modification de l'in- vention dans laquelle le contrôle du faisceau -lumineux est réalisé par la lumière réfléchie à partir de. la face arrière d'un obturateur du projecteur cinématographique au lieu d'intercepter la lumière au voisinage des bords du faisceau et juste à sa sortie de l'ouverture de la fenêtre à film comme dans les figures 4 et 5. davantage de ce système est qu'il rend possible de 'mesurer l'intensité réelle de la lumière qui est directement derrière la'fenêtre de film tandis que les réflecteurs des figures 4 et 5 reposent sur la simi- litude des variations d'intensité entre la lumière qui traversa les portions latérales du film et la lumière- voisine des bords de la fenêtre mais qui est en réalité, extérieure à l'ouverture de la fenêtre.
Un obturateur 150 tourne autour d'un arbre axial 151. La face arrière de cet obturateur 150 est montrée figure 7 et des miroirs ou anneaux réfléchissants 153, 154 sont fixés aux ailettes de l'obturateur 150. La bague 153 est dans une position voulue pour refléter la lumière venant derrière le côté;droit de la fenêtre 100 et la. bague 154 est en. position pour refléter la lumière venant derrière le côté gauche. Des cellules photo-électriques 157 (figure 6) peuvent . être placées d'une manière appropriée pour recevoir la lumière réfléchie par les anneaux 153 et 154. Il y a deux cellules 157, une pour chaque anneau. L'une est derrière l'autre (figure 6).
Une cellule peut être utilisée si les anneaux 153 et 154 sont orientés de manière à réfléchir la lumière alternativement sur une cellule unique dont le circuit est connecté à des circuits de référence différents.
Si l'appareil des figures 6 et 7 doit être utilisé
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pour contrôler la lumière en mesurant l'intensité au centre du faisceau et sans tenir compte des variations entre un cote et l'autre du faisceau, les anneaux réfléchissants 153, 154 sont concentriques et placés sur les pales de l'obturateur dans une position pour passer par le centre de la fenêtre 100, -lorsque l'obturateur tourne autour de son axé 151. Lorsque les anneaux réflecteurs 153, 154 contrôlent la lumière sur les côtés opposés de la fenêtre 100, les deux cellules qui reçoi- vent la lumière réfléchie par les anneaux sont utilisées pour agir sur des réflecteurs auxiliaires tels que ceux des figures 3 et 4.
Si les anneaux 153 et 154 contrôlent seulement la lumière au centre du faisceau et qu'on utilise une seule cellule 157, alors le signal venant de cette cellule peut être utilisé pour commander un mécanisme de contrôle quelconque pour varier le, lumière totale provenant de l'arc ou de toute autre source utilisée dans le projecteur.
La figure 8 montre une autre forme modifiée de l'in- vention dans laquelle deux disques réflecteurs 163 et 164 sont fixés sur les faces arrière des pales de l'obturateur 170. Il y a quatre réflecteurs de ce genre dans la figure 8.
Ces réflecteurs peuvent êtreplacés de telle sorte que les deux réflecteurs 163 passent à travers la partie de la fenêtre 100 qui est traversée par la portion droite du faisceau lumineux et les autres réflecteurs 164 peuvent être logés de telle sorte qu'ils passent à travers la portion de gauche de la fenêtre 100. De cette manière ils remplacent les anneaux 153, 154 de la figure 7 sauf que les réflecteurs 163 disposés à un angle de 180 produisent deu.x signaux séparés pour la cellule au lieu du seul signal plus long produit par un anneau réflecteur de la figure 7. Si on le désire chacun des réflec- teurs 153 peut 'être placé sur la même pale de l'obturateur de sorte qu'ils soient espacés l'un de l'autre de moins de 90 .
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Cette position et le nombre de réflecteurs à utiliser, dépend des- circuits de contrôles particuliers et s'ils sont prévus pour agir avec un signal assez long ou plusieurs impulsions de signal courtes.
Comme dans la figure 7, la construction représentée figure 8 peut être utilisée pour contrôler seulement le centre du faisceau lumineux et lorsqu'ils sont ,utilisés ainsi les réflecteurs 163 et 164 sont tous placés à la même distance radiale du centre de rotation de l'arbre de l'obturateur 151' et en'position pour passer devant la partie centrale de la fenêtre 100.
Les dispositions qui ont été décrites sont suscepti- hles de recevoir diverses modifications sans sortir pour autant des caractéristiques essentielles de l'invention.