<Desc/Clms Page number 1>
Le système de fondations présenté dans le présent brevet con- siste à foncer dans le sol à l'aide d'une sonnette de battage fonc- tionnant à la vapeur, à l'essence, au mazout ouà l'électricité,un mandrin en acier garni a sa base d'une pointe en béton armé et d'un fourreau extérieur ou intérieur en tôle constitué de divers éléments.
Dans le cas de l'emploi d'un fourreau extérieur celui-ci sera entrainé par le mandrin lui-même lors du fonçage.
Dans le cas de l'emploi d'un fourreau intérieur il sera des- cendu dans le mandrin lorsque celui-ci sera arrivé à la profondeur re- quise pour o btenir le refus du pieux nécessité par la charge qu'il est appelé à supporter.
Dans le premier cas, comme dans le second, figure I et 3, aussitôt que le fourreau en tôle intérieur ou extérieur sera arrivé à la p rofondeur voulue ce dernier s'arrachera hors du sol à l'aide de la sonnette qui a @@vi à l'enfoncer afin de permettre le betonnage du pieu formé par le fourreau qui est resté dans le sol.
Figure I Représente en élévation coupe, le mandrin circulaire (a) en acier d'une épaisseur pouv ant être variée de 20 à. 40mm ceci suivant la longueur du mandrin à employer, renforcé I à la tête par une surépais- seur (b) résistant au choc de battage 2 au pied par une surépaisseur (c) en forme de glacis ext. de manière à obtenir plus de base sur la pointe en béton et à éviter son cisaillement. (d) représente le fourreau intérieur en tôle de 8/10 à 2 mm d'épaisseur s'emboîtant par élément de I ou 2 mètres de longueur. Ce fourreau aura à sa base (e) un élément spécial cisaillé en lamelles sur son pourtour qui par la pression du béton tombant de la hauteur totale du fourreau s'ouvrent et formeraient la base élargie du pieu tel que le représente la figure 2.
(f) représente la pointe en béton armé garnissant le mandrin à son extrémité inférieure. Celle-ci est garnie d'un sabot en tôle. A sa pointe supérieure, d'assise du mandrin, elle est munie d'une battée guidant celui-ci lors de son f onçage dans le sol. Dans le fond de la battée est posé un disque de renfort en tôle (g) d'un diamètre plus grand que le mandrin lui-même et servant à renforcer la pointe de fpnçage en béton armé et à éviter le cisaillement de celle-ci.
Le dernier élément vers la bas du fourreau est muni d'une Bruche (h) permettant la descente de celui-ci dans le mandrin après le fonçage de ce dernier. i) le mandrin est garni en tête de deux oreilles servant à accrocher les mouflages nécessaires à son arrachage hors du sol aussitôt après descente du fourreau en tôle formant le pieu.
(j ) joint pour emboîtement des divers éléments du fourreau qui pourraient éventuellement être soudés, assemblés par boulons ou crochets.
Figure 2 Cette figure représente une élévation du pieu terminé avec sa base conique élargie par suite du dernier élément en tôle cisaillé en lamelles sur son pourtour.
Cette élévation de pieu est de même pour le fongage avec fourreau intérieur du mandrin (figure 2) qu'avec fonçage du fourreau extérieur du mandrin (figure 3).
Figure 3 Cette figure représente également en élévation coupe comme dans la figure I le mandrin circulaire en acier. Dans ce cas le fourreau (a) est extérieur du mandrin et est descendu avec ce dernier au fur et à mesure de son enfoncement dans le sol.
Tous les éléments du fourreau restent de même que dans la figure I
<Desc/Clms Page number 2>
La pointe en béton est également identique à la figure I
Le disque en tôle de renfort du fond de battée de la pointe en béton armé reste également de même que dans la figure I
Figure 4 Celle-ci représente une vue en plan, vue du dessus du niveau du sol. Elle indique en (f) la pointe en béton sur laquelle vient reposer le mandrin. En (a) elle indique le mandrin en acier. (d) indique le fourreau en éléments de tôle qui se remplit de béton et forme le pieu.
(i) indique l'emplacement des oreilles pour l'amarage des mouflages qui servent à l'arrachage du mandrin. (k) représente le béton de remplissage du pieu qui sera de composition répondant aux charges et efforts que celui-ci devra supporter.
<Desc / Clms Page number 1>
The foundation system shown in this patent consists of driving into the ground using a steam, gasoline, fuel oil or electric threshing bell, a steel mandrel. furnished at its base with a reinforced concrete point and an outer or inner sheet metal sheath made up of various elements.
In the case of the use of an outer sleeve, this will be driven by the mandrel itself during the sinking.
In the case of the use of an inner sheath, it will be lowered into the mandrel when it has reached the required depth to obtain the rejection of the pile required by the load it is called upon to support. .
In the first case, as in the second, figures I and 3, as soon as the inner or outer sheet metal sheath has reached the required depth, the latter will tear itself out of the ground using the bell which has @@ vi to drive it in to allow the concreting of the pile formed by the sleeve which has remained in the ground.
Figure I Shows in sectional elevation, the circular mandrel (a) in steel with a thickness that can be varied from 20 to. 40mm this depending on the length of the mandrel to be used, reinforced I at the head by an extra thickness (b) resistant to the impact of beating 2 at the foot by an extra thickness (c) in the form of an external glaze. so as to get more base on the concrete tip and avoid its shearing. (d) represents the inner sheath made of sheet 8/10 to 2 mm thick, fitting together by element of I or 2 meters in length. This sleeve will have at its base (e) a special element sheared into strips on its periphery which, by the pressure of the concrete falling from the total height of the sleeve, open and would form the widened base of the pile as shown in figure 2.
(f) represents the reinforced concrete tip lining the mandrel at its lower end. This is furnished with a sheet metal shoe. At its upper point, where the mandrel is seated, it is provided with a beat guiding the latter when it is driven into the ground. In the bottom of the batten is placed a sheet metal reinforcing disc (g) with a diameter larger than the mandrel itself and serving to reinforce the reinforced concrete fpncing point and to prevent it from shearing.
The last element towards the bottom of the sleeve is fitted with a Bruche (h) allowing the latter to descend into the mandrel after sinking of the latter. i) the mandrel is fitted at the top with two lugs used to hook the windings necessary for its tearing out of the ground immediately after lowering the sheet metal sleeve forming the pile.
(j) joint for interlocking the various elements of the sheath which could possibly be welded, assembled by bolts or hooks.
Figure 2 This figure shows an elevation of the completed pile with its conical base widened as a result of the last sheet member sheared into strips around its perimeter.
This pile rise is the same for the funging with the inner sleeve of the mandrel (figure 2) as for driving the outer sleeve of the mandrel (figure 3).
Figure 3 This figure also shows in sectional elevation as in Figure I the circular steel mandrel. In this case the sleeve (a) is outside the mandrel and is lowered with the latter as it is driven into the ground.
All the elements of the sheath remain as in figure I
<Desc / Clms Page number 2>
The concrete tip is also identical to figure I
The reinforcing sheet disc of the batten bottom of the reinforced concrete point also remains as in figure I
Figure 4 This is a plan view, seen from above from ground level. It indicates in (f) the concrete point on which the mandrel rests. In (a) it indicates the steel mandrel. (d) indicates the sheet metal sleeve which fills with concrete and forms the pile.
(i) indicates the location of the ears for tethering the mouflages which are used for pulling the mandrel. (k) represents the concrete filling the pile which will be of a composition responding to the loads and forces that it will have to withstand.