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La présente invention est relative à un appareil permettant d'intercepter des matières solides dans un courant d'un liquide. tel que par exemple des eaux d'égout ou d'autres liquides résiduaires. et de les broyer en petits fragments.
Elle concerne un nouveau broyeur qu'on peut disposer au-des- sus ou au-dessous du niveau du liquide.
Elle-concerne encore une combinaison perfectionnée d'un crible et d'un broyeur noyé,
La présente invention a pour objet - un nouveau broyeur; - un broyeur comportant deux éléments rotatifs munis de saillies,, ces éléments coopérant d'une manière nouvelle pour broyer en petits fragments des matières en les déchirante en les fendant et en les arrachant; - des moyens d'actionnement permettant de désolidariser par- tiellement ou complètement un élément mené de son élément menant lorsqu'il se produit une surcharge, et de le remettre automatiquement en prise avec son élément menant lorsque la charge redevient normale;
- un broyeur comportant,, d'une part. deux éléments rotatifs qui coopèrent pour broyer en petits fragments des matières et. d'autre part. des moyens d'actionnement entrant en jeu. lorsqu'il se produit une surcharge. pour désolidariser momentanément un de ces éléments de son élément menant tandis que l'autre continue à tourner, et de remettre automatiquement en prise le premier élément avec son élément menant lorsqu'il n'existe plus de surcharge; - un appareil perfectionné permettant d'intercepter dans un courant de liquide des matières solides ayant des dimensions supérieures à celles qui ont été prédéterminées, et de broyer en petits fragments les matières solides interceptées;
- un dispositif noyé de broyage en petits fragments permettant d'amener positivement les matières à broyer en petits fragments aux éléments de broyage du dispositif; - des moyens de broyage en petits fragments permettant de retenir les matières dans une position où elles doivent subir l'action du broyeur, pendant un laps de temps prédéterminé.,
La présente invention permet d'obtenir un broyeur comportant deux cylindres munis de saillies espacées sur leur périphérie, et des dispositifs permettant de faire tourner ces cylindres sur leurs axes longitudinaux respectifs, dans le même sens mais avec des vitesses différentes.
les saillies d'un des cylindres étant disposées dans des plans de rotation qui ne sont pas les mêmes que ceux des saillies de l'autre cylindre, les axes des cylindres étant parallèles mais suffisamment espacés l'un de l'au- tre pour qu'aucun point du profil d'un cylindre ne vienne en contact avec un point quelconque de l'autre cylindre au cours de la rotation des cylin- dres.
D'autres caractéristiques apparaîtront au cours de la descrip- tion détaillée qui va suivre.
Beaucoup de liquides, et particulièrement les eaux d'égouts, contiennent des matières telles que des chiffons, de grands morceaux de bois ou de métal, des bouteilles en verre, etc,.., qu'il est nécessaire d'enlever ou de fragmenter avant de laisser passer le liquide dans une in- stallation de traitemento Pendant de nombreuses annéesn on a disposé des grilles à barreaux dans les conduites des égouts pour arrêter les matières solides les plus grandes. On raclait ces grilles à la main ou mécanique-
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ment et l'on se débarrassait des matières retenues par la grille en les enterrant.
en'les brûlant. etc.... ou bien on les broyait jusqu'à une dimension appropriée et on les renvoyait dans l'égout. Un autre procédé pour se débarrasser des matières retenues-par la grille,, procède qui a connu une faveur croissante, consiste à les broyer au-dessous du niveau du liquide. sans enlever du liquide les matières retenues par la grille.
Dans ce procédé de broyage sous l'eau, les matières solides étaient généralement arrêtées par un écran rotatif.. ou par un écran fixe combiné à une série de disques tournant dans des fentes pratiquées dans l'écran. l'écran ou les disques comportant des dents de coupe et coopérant avec'un peigne ou barre de coupe comportant des fentes prévues dans la tra- jectoire des dents de coupe. Ces broyeurs de la technique antérieure n'ont pas donné entièrement satisfaction. Souvent, des objets de grande dimension., particulièrement des morceaux de bols. ne sont pas convenablement saisis et coupés par le mécanisme de coupe mais continuent à flotter à la surface du liquide.
On rencontre quelquefois des difficultés du fait des chiffrons qui passent dans le broyeur sans y être coupés, ou bien qui sont coupés en longues bandes qui peuvent traverser le --rible, mais qui peuvent nuire au bon fonctionnement des pompes de l'installation de traitement.
En inspectant un grand nombre d'installations de broyeurs noyés de différentes structures, on a constatée pratiquement dans tous les cas, la présence. sur un côté de la conduite du broyeur. d'une grande masse de débris accumulés, notamment de morceaux de bois qui n'ont pas pu entrer dans la machine et qui ont cohtinué à flotter à la surface jusqu'à ce qu'on les ait enlevé à la main. de chiffons Intacts qui sont passés dans le broyeur et qui sont sortis dans le collecteur en aval du broyeur, etc.,.. Il est évident que la tâche normale de l'ouvrier travaillant sur le broyeur consiste à débarrasser de temps à autre à la main ces matières de la conduite du broyeur.
Ces défauts de la technique antérieure des broyeurs noyés sont dus principalement à un procédé de déchirement non approprié et aussi, en partie, à un manque de moyens positifs pour guider les matières flottantes jusqu'aux éléments de coupe de la machine et les y'maintenir de manière que la machine exerce sur elles une action efficace. Une caractéristique commune à tous les broyeurs de la technique antérieure est que le broyage y est obtenu par un effet analogue à celui d'une paire de ciseaux entre un organe fixe et un organe mobile. l'un de ces derniers comportant des dents de coupe et l'autre des fentes correspondantes.
Dans cette action de "ci- seaux",, la coupe est effectuée par deux lames dont les bords sont disposés en face l'un de l'autre et il est important, pour obtenir la coupe, que ces bords soient pressés l'un contre l'autre. Du fait du jeu. qui existe nécessairement entre l'organe fixe et l'organe mobile. on ne peut pas aligner exactement l'un avec l'autre les bords tranchants de ces broyeurs ni les presser l'un contre l'autre et de ce fait on ne peut pas obtenir une vérita- ble action de ciseaux.
Les jeux nécessaires entre les bords de coupe fixes et les bords mobiles dans ces dispositifs permettent par exemple à un chiffon de se redresser et de passer entre les dents et les fentes, ou encore 11 sort sous forme de bandes analogues à des -rubans,. mais on n'obtient généralement pas une fragmentation véritable de ces matières.
Au lieu d'utiliser une action de ciseaux et une coopération classique d'organes de coupe fixe et mobile,, on utilise deux organes mobi- les de broyage qui sont disposés et déplacés l'un par rapport à l'autre de manière que l'un d'eux tende à amener les matières dans la zone de déchiquetage entre les deux organes, tandis que l'autre organe tend à les extraire de cette zone. Du fait que l'action de l'un des organes de broyage sur les matières à broyer s'oppose ainsi à l'action de l'autre organe, les matières en verre sont écrasées. les bols à fibres longues sont brisés en éclats et les bois à fibres courtes sont broyés.
S'il s'agit de chiffons, ceux-ci
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prennent la forme d'un rouleau qui subit un broyage en deux étapeso Tout d'abord. de nombreux troua sont perces dans le tissu et. ensuite, celui-ci se déchire en petits morceaux jusqu'à ce que le rouleau soit complètement désintégré,
On a utilisé avec succès le nouveau broyeur aussi bien au-des- sus qu'en-dessous du niveau d'un liquide Dans les deux casa les matières telles que des morceaux de bois. des chiffons,des bouteilles en verre, des récipients métalliques. etc... ont été découpés en petits fragments qui pouvaient traverser les barreaux d'une grille normale et. dans le cas d'une installation noyée, il ne restait pas de matières déplaisantes flottant en amont du broyeur.
Lors de l'utilisation du broyeur en dessous du niveau de l'eau, on lui a incorporé certaines caractéristiques qui assurent le guidage posi- tif des matières à broyer jusqu'à l'emplacement où les organes de broyage de la machine peuvent exercer leur action sur elles. et leur maintien à cet emplacement.
Afin de représenter et de décrire également ces nouvelles ca- ractéristiques supplémentaires.,, on va décrire l'invention appliquée à un broyeur noyé associé à une grille à barreauxo Toutefois, il est bien en- tendu que l'utilisation du nouveau broyeur n'est pas limitée au type parti- culier d'installation représenté et décrit à titre d'exemple mais qu'on aussi l'utiliser avantageusement pour un broyage exécuté au-dessus du niveau du liquide.
On comprendra mieux l'invention en se référant au dessin annexé. sur lequel des références identiques désignent des éléments similal- res. et sur lequel s la figure 1 est une vue en élévation latérale. une partie du châssis ayant été enlevées d'un ensemble de grille et de broyeur-conforme à l'invention; la figure 2 est une coupe horizontale faite par 2-2 de la figure 1 montrant le râteau dans sa position élevée-, la figure 3 est une vue en élévation de face montrant la grille et le broyeur tels qu'on les voit du côté amont; la figure 4 est une vue en perspective d'un broyeur conforme à l'invention;
la figure 5 est une vue schématique partielle, verticale, en coupe, représentant le râteau et le dispositif d'actionnement du râteau dans leurs positions terminales inférieure et supérieure; la figure 6 est une coupe à plus grande échelle, faite par 6-6 de la figure 1; la figure 7 est une coupe à plus grande échelle, fait par 7-7 de la figure 6 ; la figure 8 est un schéma d'un dispositif de surcharge.
Comme il est représenté aux figures 1 à 3. on disposée dans une conduite 11. un ensemble grille et broyeur 10.l'écoulement du liquide se faisant dans le sens indiqué par la flèche 12. On monte de préférence le broyeur 15 dans la partie inférieure de la conduite, comme représentés de manière qu'il soit au moins partiellement immergé même pour le plus faible écoulement possible dans la conduite 11. et une grille 16 s'étend vers le bas à partir d'un point situé au-dessus du niveau le plus élevé du liquide dans la conduite 11. représenté en L à la figure 1 jusqu'à un point voisin du broyeuro Toutefois.
on peut inverser les emplacements respectifs de la grille et du broyeuro L'ensemble 10 de la grille et du broyeur peut s'étendre sur la totalité de la largeur de la conduites mais il est préférable d'obstruer une partie de la largeur de la conduite 11 par tout moyen
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approprie, par exemple par des blocs de béton, comme représenté en 17. ou par des cloisons. comme représenté en 17a. à la figure 2. s'étendant à partir des parois de la conduite avec une inclinaison appropriée permettant d'envoyer le courant de liquide vers la grille et le broyeur. On peut enfermer tout l'ensemble dans un bâti 18 et le placer en bloc dans la conduite 11.
Le broyeur conforme à l'invention comporte deux cylindres20 et 21 (qu'on voit mieux à la figure 4) dont-les axes longitudinaux sont-pa- rallèles. -Chaque cylindre comporte un élément cylindrique 22 muni, à chaque extrémité, d'un bout d'arbre 23. Comme on le voit mieux aux figures 6 et 7.'des secteurs* 24 sont fixés à l'élément cylindrique 22-et porter%;à leur périphérie. des saillies ou dents 25 espacées.
Les saillies 25 sont disposées dans des plans de rotation différents et les axes des cylindres 20 et 21 sont. de ce fait,, espacés l'un de l'autre, ce qui fait qu'aucun point du profil d'un cylindre ne vient en contact avec un point quelconque du profil de l'autre cylindre et que les saillies d'un cylindre passent près des saillies de l'autre cylindre avec un faible jeu. On peut donner aux saillies 25 des bords relativement émoussés étant donné qu'ils ne participent pas à l'action de ciseaux précitéeo
Les cylindres 20 et 21 sont commandés par un moteur 26 mais à des vitesses différentes.
Comme représenté à la figure 2., le cylindre 20 est entraîné par l'intermédiaire de pignons coniques 27 et 28, tandis que le cylindre 21 est entraîné par l'intermédiaire d'une vis sans fin 29 et d'une'roue 30 à denture hélicoïdale. Le rapport des vitesses peut être d'environ 5 à l. Tandis que le cylindre 21 à faible vitesse est entraîné directement, le -cylindre 20 à plus grande vitesse est entrainé par l'intermédiaire d'un embrayage à friction 310 On réalise l'embrayage à friction pour un couple tel que l'embrayage patine lorsque la résistance s'opposant à la rotation du cylindre rapide dépasse une vapeur prédéterminée..
On prévoit également un dispositif de surcharge. qui désolidarise complètement ou presque complètement l'embrayage à friction 31 dans les cas exceptionnels où la friction qui subsiste après que l'embrayage a commencé à patiner est encore trop élevée; la figure 8 représenté schématiqüement un nouveau dispositif de surcharge qui remet automatiquement en prise l'embrayage lorsque la surcharge cesse. -On monte un relais 32 à maxima d'intensité dans le circuit d'actionnement P1-P2. en série avec le moteur 26.
Lorsqu'il est excité par une surintensité, le relais 32 ferme un interrupteur 33. La fermeture de l'interrupteur 33 établit un circuit d'une borne L1 jusqu'à une borne L2. en passant par un solénofde 34. ce qui excite ce'dernier. Un plongeur 35 du solénoïde est relié à un levier 36 actionnant l'embrayageo Lorsque le solénoïde 34 est excité et que son plongeur se déplace vers le haut,. l'extrémité de gauche du levier 36. comme représenté à la figure 8.. se déplace vers le bas et pousse vers le bas le manchon 37 de l'embrayage à friction. ce qui a pour effet de désolidariser l'embrayage.
Lorsque la surintensité cesse. l'interrrupteur 33 s'ouvre le solénofde 34 n'est plus excité et le levier 36 revient, sous l'action d'un ressort 38. qui entoure un prolongement du plongeur 35, dans la position où il met l'embrayage en prise.
Pour empêcher la remise en prise de l'embrayage, avant que l'obstacle ait été complètement enlevé. on peut montera dans le relais 32. un dispositif temporisé (non représenté). maintenant l'interrupteur 33 fermé pendant un court laps de temps après la disparition de la surintensité.
Les cylindres 20 et 21 sont entraînés dans le même sens, soit dans le sens des aiguilles d'une montre,, comme représenté par les flèches sur les cylindres à la figure 4. soit en sens inverse, eomme représenté à la figure l. Dans les deux cas. au point où les cylindres sont le plus rap-
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proches. c'est-à-dire le point de "déchiquetage". le cylindre rapide 20 se déplace vers le bas et le cylindre lent 21 se déplace vers le haut. Toute- fols. le cylindre 20 a tendance à amener les matières dans la zone de déchi- quetage. tandis que. simultanément. le cylindre 21 tend à les en faire sor- tircette zone de déchiquetage se trouvant au-dessus du plan passant par les axes des deux cylindres.
Bien quon ait représenté au dessin le cylindre rapide 20 dans une position plus élevée que le cylindre lent 21. cette disposition peut être inverséeo De même. on peut faire en sorte que le déchiquetage puisse se produire à la partie inférieure des cylindreso Ainsi, si l'on Inversait la position des 'cylindres représentée à la figure 4. le cylindre lent 21-'se trouvant à gauche et le cylindre rapide 20 se trouvant à droite, tous deux' tournant dans le sens des aiguilles d'une montre, le déchiquetage se produi- rait à la partie Inférieure des cylindres. le cylindre rapide amenant de nouveau les matières dans la zone de déchiquetage et le cylindre lent enle- vant ces matières hors de cette zone.
La grille 16 a de préférence une forme courbe. comme représen- té à la figure l. sa face convexe étant orientée vers l'amont. L'extrémité supérieure de la grille 16 est supportée à partir du bâti 18 par tout moyen appropriée par exemple par une barre transversale 40 L'extrémité inférieu- re de la grille 16 est supportée sur la partie inférieure du bâti 18 par des barres courbes 41 qui prolongent des barres terminales 42 de la grille 16 et qui peuvent en faire partie intégranteo De même. dans des grilles de grandes dimensions. certaines des barres Intermédiaires 43 de la grille 16 sont prolongées de cette manièreo
Des barreaux courbes 44 sont articulés à une tige 45 qui con- stitue l'extrémité inférieure de la grille 160 Comme représenté à la figure 2.
on peut monter un barreau 44 entre les deux barres de chaque paire de barres de la grille 16. ce qui forme une grille complète à barreaux plus basse. Toutefois,. normalement. on ne monte que quelques barreaux 4. comme représenté à la figure 3.
En aval du broyeur 15. on dispose une grille 50 qui est supportée de manière amovible dans un sens généralement horizontal à partir du bâti 18, comme représenté à la figure 1. Une plaque 51 supportée de la même manière sur le bâti 18 forme une rampe aboutissant à la grille 50.
La grille laisse passer le sable et les matières analogues autour du broyeur en même temps qu'une partie du liquidée mais elle retient toutes les matières qui doivent être broyéeso A la grille 50 est fixée une plaque 55 en matière flexible,, par exemple du laiton à ressorte dont la partie de gauche (telle qu'on la voit à la figure 1) délimite avec le cylindre à faible vitesse 21 un espace 56 en forme de coin. et dont la partie de droite s'étend en dessous et étroitement au voisinage des deux cylindres 20 et 21. dont elle épouse le profil. L'extrémité inférieure d'une seconde plaque 57. également en matière flexible est fixée aux barreaux 44. et cette plaque s'étend au-delà de l'extrémité supérieure de la plaque 55 et le long d'une partie plus éloignée du cylindre 20.
Une troisième plaque flexible 58 est également fixée, par son extrémité Inférieure. aux barreaux 44; elle est disposée plus haut que la plaque 57 et elle s'étend au-delà de l'extrémité supérieure de la plaque 57 et le long de la partie supérieure du cylindre à vitesse élevée 20. L'extrémité supérieure de la plaque 58 porte des dents et constitue en fait un prolongement de la grille 16 à barreaux. ou une grille auxiliaire pour celle-ci. les dents 59 de la plaque 58 s'intercalant entre les barreaux 43 de la grille 16. comme représenté à la figure 2. Pour plus de clarté, on a représenté les extrémités des plaques 57 et 58 légèrement espacées mais. en réalité, elles sont en contact mutuel et formenta en fait. une paroi Ininterrompue autour des cylindres 20 et 21.
Les plaques 57. 58 et 59 servent à maintenir les matières à broyer en contact étroit avec les cylindres 20 et 21. grâce à quoi la rota-
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tion des cylindres déplace ces matières vers le haut autour des cylindres et les amène dans la zone de déchiquetage. On fabrique les plateaux en matière flexible pour leur permettre un déplacement limite les écartant des cylindres et pour laisser passer des morceaux de matière ayant des dimensions supérieures à la normale.
La p,roi constituée par ces plaques sert également à empêcher l'échappement de matières non broyées vers la partie aval de la conduite. le seul chemin que peuvent suivre ces matières pour atteindre la partie en aval étant constitué par la grille 16 ou par les dents entrelacées 58.
Bien qu'on ait représenté-la paroi comme étant formée par des plaqués pleines, on peut utiliser à leur place des plaques ou des écrans perforés et. dans ce casa les liquides et les matières broyées peuvent passer directement dans la partie aval de la conduite, tandis que les matières non broyées sont retenueso -
Du fait que les barreaux courbes 44 sont articulés à la grille à barreaux 16. les plaques 57 et 58. qui sont fixées aux barreaux 44 peuvent s'écarter des cylindres en pivotant.
Les matières arrêtées par la grille 16 sont déplacées le long de celle-ci et sont amenées au broyeur 15 par un dispositif de râteau 60 à mouvement alternatif qui comporte un râteau 61 pour chaque ouverture 62entre les barreaux de la grille 16. Les râteaux 61 s'étendent dans les ouvertures 62 à partir du côté aval de la grille, et leurs pointes se trouvent du côté-amonto Les râteaux 61 sont clavetés à un arbre 63 dont les extrémités sont articulées à des bras 64. Les bras 64 sont clavetés à un' ' arbre 65.
Un déplacement alternatif est communiqué à l'arbre 65 par un arbre tournant continuellement 66. auquel il est relié par un bras 67. une bielle 68. et une manivelle 69 L'arbre 66 est entraîné en sens inverse des aiguilles d'une montre à vitesse constante par tout moyen approprié, par exemple à partir d'un réducteur de vitesse relié au moteur 26 par une transmission à engrenage appropriée, comme représenté.
Chaque brass64 comporte une saillie 70 orientée vers l'arrière et les deux râteaux situés le plus à l'extérieur comportent chacun une saillie 71. Chaque saillie 71 est articulée à une tige 72 munie d'un ressort. qui' est sollicitée vers le haut par un ressort 73.dont l'extrémité inférieure prend' appui sur la saillie 70 du bras correspondant 64. Le déplacement vers le haut de chaque ressort 73 est limité par un écrou de blocage réglable 74 quia en position normale.. est en contact avec la saillie correspondante 70.
Grâce à cet agencement, les bras 64 et les râteaux 61 se déplacent normalement à l'unisson dans leur course ascendante et descendante, et un déplacement des râteaux 61 par rapport aux bras 64. par suite de l'articulation de l'arbre 63ne peut se produire que dans le sens des aiguilles d'une montreo Ce déplacement des râteaux par rapport aux bras 64 se produit lorsque le déplacement de la manivelle 69 tend à déplacer l'ensembre des râteaux 60 vers le bas..
tandis que les râteaux 61 ne peuvent pas suivre ce mouvemento
En fonctionnement normale on utilise la possibilité de déplacement des râteaux 61 par rapport aux bras 64 pour arrêter momentanément les râteaux dans leur position la plus basse pendant chaque cycle de déplacement alternatif On règle le cycle de rotation de la manivelle 49 et le cycle du déplacement alternatif du dispositif de râteaux 60 de manière que ce dispositif atteigne sa position prédéterminée la plus basse à une courte distance du cylindre à vitesse élevée 20. lorsque la manivelle est dans la position représentée en trait plein à la figure 4.
Lorsque les râteaux sont dans cette position, l'un de ceux-ci est en contact avec une butée 75 qui empêche les râteaux 61 dêtre déplacés plus baso A mesure
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que la manivelle 69 continue à tourner dans le sens inverse des aiguilles d'une montrée les bras 64 continuent à se déplacer vers le bas et vers la droite (en sens inverse des aiguilles d9une montre)mais la butée 75 em- pêche les râteaux 61 de les suivre. ce qui fait que les ressorts 73 sont comprimés et que les râteaux sont maintenus dans leur position basse.
Lors- qu'on utilise une seule butée 75 (comme représenté à la figure 5). les ra- teaux pivotent dans la sens des aiguilles d'une montre et vers le hauto
En prévoyant une face de came sur le râteau coopérant avec la butée 75. ou une butée 75a en forme de came. comme représenté à la figure la ce dé- placement peut être presque complètement supprimée ce qui fait que les râ- teaux restent au voisinage du cylindre rapide 20. tandis que la manivelle passe de la position représentée à la figure 5. jusqu'à la position repré- sentée à la figure l.
Lorsque la manivelle continue à tournera le râteau est amené vers le haut dans la position représentée en traits interrompus à la figure 50
L'articulation de l'arbre 63 a encore pour but de permettre au râteau 61 de pivoter vers l'arrière jusque dans la grille 16 à barreaux ou jusque derrière celle-ci. de manière à dépasser un obstacle qui peut être coincé dans la grille ou devant celle-ci,
Il est facile de comprendre le fonctionnement. A mesure que le liquide s'écoule dans la conduite ll. les matières qui ne peuvent pas traverser les grilles 16 ou 50 sont amenées directement au broyeur 15 ou sont arrêtées par la grille 16. et elles sont ramenées vers le bas par les râteaux jusqu'à la zone de déchiquetage des cylindres.
A cet endroits les matières sont soumises aux actions opposées des deux cylindres, le cylin- dre rapide 20 tendant à les amener dans la zone de déchiquetage et le cylindre lent 21 tendant à les en faire sortir. Grâce à cette action, les mor- ceaux de bois sont brisés en éclats ou broyés selon l'orientation des fibres. et les matières en verre sont pulvériséeso Les chiffons qui pénètrent dans la zone de déchiquetage des cylindres sont rapidement transformés en un rouleau dans lequel sont découpés d9abord. de nombreux trous;
ensuite. le tissu est déchiré en petits morceaux jusqu'à ce que la matière soit complètement désintégréeo
Il n'existe pas toujours un équilibre parfait entre la tendance du cylindre rapide 20 à pousser les matières dans la zone de déchiquetage et celle du cylindre lent 21 à les faire sortir de cette zoneo Lorsque Inaction du cylindre lent l'emporte sur Inaction du cylindre rapide,, il fait sortir les matières hors de la zone de déchiquetage avec une force considérable.
Lorsque les matières sont ainsi projetées hors de la zone de déchiquetage. les râteaux, grâce à l'articulation de l'arbre 63. peuvent pivoter vers le haut et dégager le passage pour ces matières,
Les matières susceptibles de flotter,, qui sortent de la zone de déchiquetage avant d9être suffisamment broyées pour traverser la grille ne sont amenées à la surface du liquide que pour être reprises de nouveau par le dispositif 60 à râteaux au cours de son cycle suivant et pour être ramenées à la zone de déchiquetage des cylindres en vue d'un nouveau broyageo Les objets ayant une densité supérieure à celle de l'eau. par exemple les chiffons mouillés, tombent dans l'espace 56. précité, en forme de coin.
où ils sont saisis entre le cylindre lent 21 et la plaque flexible 55 et où ils sont maintenus en contact avec les cylindres rotatifs par les plaques 55. 57 et 58. puis sont renvoyés dans la zone de déchiquetage des cylindres.
Pour obtenir le meilleur fonctionnement, il est désirable que les matières à broyer, qui sont parvenues au voisinage de la zone de dé- chiquetage. y soient maintenues pendant un court laps de temps pour empêcher qu'elles s'échappent avant davoir subi Inaction des cylindres. Ceci est particulièrement vrai dans le cas de matières qui flottent, par exemple des morceaux de bois qui peuvent remonter à la surface du liquide si
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le dispositif 60 des râteaux amorce son mouvement de retour vers le haut Immédiatement après avoir atteint le point le plus bas de sa course.
En laissant les râteaux 61 pendant un moment dans leur position la plus basse, les matières sont maintenues par ceux-ci à proximité de la zone de déchiquetage des cylindres, pendant un laps de temps prédétemmineé au cours de chaque cycle de déplacement alternatif ,les râteaux.
Un objet qui a été attiré dans la zone de déchiquetage par le cylindre rapide peut être coincé ou saisi autrement. entre-les cylindres, dans une position dans laquelle il s'oppose à la rotation du cylindre rapide. tandis que le cylindre lent n'est pas capable de le faire sortir de cette zone.
Lorsque la résistance qui s'oppose à la rotation du cylindre rapide 20 a atteint la valeur prédéterminée pour laquelle on a réglé l'embrayage 31, celui-ci patine jusqu'à ce que le cylindre lent qui continue à tourner, ait fait sortir l'objet coincé de la zone de déchiquetage et jusqu'à ce que la résistance à la rotation du cylindre rapide soit revenue brusquement à-une valeur normale.
Dans le cas où la résistance à la rotation du cylindre rapide 20 n'a pas disparu. après que l'embrayage 26 a commencé à patiner. le courant consommé par le moteur dépassera la limite correspondant à la limite de friction pour laquelle on a réglé l'embrayage., Lorsque. à la suite de cette augmentation d'intensité, le solénoîde 34 entre en jeu pour désolidariser l'embrayage à friction. complètement ou presque complètement, comme décria ci-dessus, le cylindre lent 21 devient le seul élément mené et le cylindre rapide 20 peut tourner librement en sens inverse de son sens normal.
En conséquent, les deux cylindres se comportent alors comme des pignons menant et mené. et ils font rouler hors de la zone de déchiquetage tout obstacle qui se trouve entre euxo Lorsque l'obtacle commence à .être chassé de cette zone et que cesse l'augmentation d'intensité, l'interrupteur 33 reste'!fermé pendant un court laps de temps, grâce au dispositif temporisé précité, et il s'ouvre ensuite. ce qui a pour effet de faire cesser l'excitation du solénoide 34 et de laisser le ressort 38 déplacer le levier 36 pour remettre en prise l'embrayageo
Au cas où un objet quelconque serait accidentellement coincé entre le cylindre 20 et les plaques 57 ou 58. on peut le dégager en-faisant pivoter vers l'arriére et vers le haut les barreaux courbes 44 auxquels sont fixées les plaques 57 et 58.
De même. on peut enlever la grille 50 avec la plaque 55 qui y est fixée pour dégager tous les objets accidentellement coincés entre la plaque 55 et les cylindres. On n'envisage ces opérations que comme une mesure de secours, qu'on prend lorsqu'on draina la conduite, car, autremant, elles laisseraient des matières non broyées parvenir à la conduite en aval du broyeur et de la grille à barreaux.
Il est bien entendu que l'invention n'est pas limitée à l'agencement précis du mode de réalisation décrit et représenté-sur le dessin à titre d'exemple. mais que l'on peut y apporter de nombreuses modifications sans s'écarter pour cela de l'esprit- de l'invention, Ainsi, par exemple. il est évident qu'au lieu d'utiliser une matiêre flexible pour les plaques 55. 57 et 58, on peut obtenir le même résultat en utilisant des plaques rigides articulées et soumises à l'action d'un ressorte De même. bien que l'on ait décrit un moyen particulier pour obtenir un arrêt momentané de fonctionnement et-un dispositif particulier et nouveau de surcharge, on pourrait remplacer ceux-ci par d'autres du même type général.
**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.
REVENDICATIONS. l. Broyeur caractérisé par le fait qu'il comporte deux cylindres munis de saillies espacées sur leur périphérie et des dispositifs per-
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mettant de faire tourner ces cylindres autour de leur axe longitudinal dans le même sens mais à des vitesses différentes, les saillies d'un des cylin- dres étant disposées dans des plans de rotation différents des plans de ro- tation des saillies de l'autre cylindre-0 les axes de ces cylindres étant parallèles et suffisamment espacés pour qu'aucun point du profil d'un des cylindres ne vienne en contact avec un point quelconque du profil de 1'au- tre cylindre pendant leur rotationo
2.
Broyeur caractérisé par le fait qu'il comportes deux cylin- dres; des dispositifs permettant de monter ces cylindres, de manière à les faire tourner. avec. leurs axes longitudinaux parallèles entre eux, des sail- lies espacées sur la périphérie des cylindres; des dispositifs d'entraînement permettant de faire tourner les cylindres autour de leur axe longitudinal dans le même sens mais à des vitesses différentes la disposition des plans de rotation des saillies et la distance entre les cylindres ainsi espacés étant telles qu'aucun point du profil d'un des cylindres ne vienne en con, tact avec un point quelconque du profil de l'autre cylindre au. cours de leur rotation.
3. Broyeur suivant la revendication 2. caractérisé par le fait qu'un embrayage à friction est placé dans le dispositif d'entraînement du cylindre qui tourne le plus viteo
4. Broyeur suivant la revendication 3. caractérisé par le fait qu'un dispositif de surcharge est relié à 1?embrayage à friction et prévu dans un circuit de force motrice. placé dans le dispositif d'entrainement pour désolidariser l'embrayage lorsqu'il se produit une intensité excessi- ve de courant dans le circuit de force motriceo
5o Broyeur suivant la revendication 4. caractérisé par le fait que le dispositif de surcharge comporte g un levier actionnant l'embrayage;
un solénolde qui, lorsqu'il est excitée déplace ce levier de manière à dé- solidariser l'embrayage; un ressort qui déplace le levier de manière à re- mettre l'embrayage en prise lorsque le solénolde n'est plus excité;
etc en- fin. des moyens qui excitent le solénolde lorsqu'il se produit une surchar- ge dans le circuit de force motrice précitéo
60 Machine permettant d'intercepter des matières solides dans un courant de liquide et de les broyer en petits fragments,, caractérisée par le fait qu'elle comporte en combinaison, une grille fixe constituée par des barreaux un dispositif de raclage qui s'étend entre les barreaux de la grille et qui déplace-0 le long de la grille, les matières solides in- terceptées par celle-ci; un dispositif d'actionnement du dispositif de ra- clage;un dispositif de broyage en petits fragments. placé de manière à re- cevoir les matières solides provenant du dispositif de raclage;
et enfin, des moyens dont le fonctionnement maintient le dispositif de raclage dans sa position extrême,, au voisinage du dispositif de broyage,,, pendant un laps de temps prédéterminée au cours de chaque cycle de déplacement le long de la grille.
70 Machine suivant la revendication 7. caractérisée par le fait qu'elle comporte des râteaux à mouvement alternatif,, qui déplacent,, le long de la grille, les matières solides interceptées par celle-ci. et des dispositifs pour animer les râteaux d'un mouvement alternatifo
80 Machine suivant la revendication 6. caractérisée par le fait qu'un agencement de parois est associé au dispositif de broyage et est pla- cé en aval de ce derniero 9.-Machine suivant la revendication 8. caractérisée par le fait que l'agencement de parois comporte un prolongement constituant un écran auxiliaire muni de barreaux intercalés entre les barreaux de la grille susmentionnée
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10.
Machine permettant d'intercepter des matières solides dans un courant de liquide et de les broyer en petits fragments. a caractérisée par le fait qu'elle comprend, en combinaison, une paroi formant un crible, qui est disposée dans le courant du liquide; un dispositif mobile qui se déplace suivant un cycle le long de la paroi formant cribe et qui déplace les matières solides interceptées par le criblée le long de celui-ci ; undispositif d'entraînement pour le dispositif mobile; un dispositif de broya- ge en petits fragments, qui est placé de manière à recevoir les matières solides provenant du dispositif mobile ;
et. enfin, des moyens dont le fonctionnement maintient le dispositif mobile au voisinage du dispositif de broyage. pendant une période de temps prédéterminées au cours de chaque cycle de déplacement le long de la- paroi formant crible.
11. Machine suivant la revendication 10. caractérisée par le fait que le dispositif de broyage est placé au voisinage de la fin du, trajet de déplacement du dispositif mobile, de manière à recevoir les matières solides précitées provenant du dispositif mobile, ce dernier étant monté à articulation et poussé élastiquement vers le dispositif de broyage.
12. Machine suivant les revendications 10 ou 11 caractérisée par le fait qu'elle comporte des moyens animés d'un mouvement alternatif qui déplacent le dispositif mobile, d'une manière cyclique, le long de la grille, en l'animant d'un mouvement alternatif, le dispositif mobile étant articulé aux dispositifs animés d'un mouvement alternatif et atteignant le point d'extrémité susmentionné avant que les dispositifs animés d'un mouvement alternatif aient achevé un cycle de déplacement alternatif.
13. Machine suivant la revendication 12 caractérisée par un dispositif comportant un ressort qui empêche normalement un déplacement relatif entre les dispositifs animés d'un mouvement- alternatif et le dispositif mobile mais qui permet au dispositif mobile de pivoter dans le sens opposé à celui du déplacement des dispositifs animés d'un mouvement alternatif, un dispositif de butée étant prévu pour arrêter le mouvement du dispositif mobile, lorsque celui-ci atteint le point d'extrémité précité de sa course. et pour comprimer le ressort pendant que les dispositifs animés d'un mouvement alternatif effectuent leur cycle de déplacement alternatif, ce qui fait que le dispositif mobile est maintenu dans cette position d'extrémité pendant une durée de temps prédéterminée. au cours de chaque cycle de déplacement. alternatif .
14. Machine permettant de séparer des matières solides d'un courant de liquide par criblage et de' les broyer en petits fragments, ca- ractérisée par le fait qu'elle comprend une grille à barreaux s'étendant transversalement au courant du liquider un broyeur monté au voisinage de cette grille. ce broyeur comportant deux cylindres rotatifs voisins. dont les axes longitudinaux sont parallèles entre eux. ces cylindres ayant des dents en saillie sur leur périphérie et disposées dans des plans de rotation différents. de sorte que les dents d'un cylindre dépassant les dents de l'autre cylindre avec un faible jeu pendant la rotation des cylindres; des dispositifs qui font tourner les cylindres autour de leur axe longitudinal dans le même sens mais à des vitesses différentes;
et. enfin, un dispositif de raclage qui en.voie- les matières interceptées par la grille vers la zone de déchiquetage des cylindreso
15. Machine suivant la revendication 14. caractérisée par le fait que la grille à barreaux s'étend transversalement au courant du liquide et sur une partie de sa profondeur, et que le broyeur est monté au voisinage de la grille, transversalement à une partie du courant de liquide qui n'est pas soumise au criblage de la grille.
16. Machine suivant les revendications 14 ou 15. caractérisée par un agencement de parois disposé au voisinage du côté aval des cylindres
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et maintenant les matières étroitement en contact avec les cylindres. grâce à quoi les matières qui pénètrent dans l'espace compris entre les cylindres et cet agencement de parois sont amenées par les cylindres dans leur zone de déchiquetage. l'agencement des parois étant susceptible de s'écarter des cylindres pour laisser passer les matières non complètement broyées en petits fragmentso
17.- Machine suivant l'une quelconque des revendications 6 à 16. destinée à être disposée dans une conduite d'un liquide et comportant une grille à barreaux qui s'étend,, lorsqu'elle est dans une position d'utilisation.
transversalement à la conduite et sur une partie de sa profondeur; un râteau animé d'un mouvement alternatif; des dispositifs pour déplacer le râteau le long de la grille, en lui communiquant un mouvement alternatif ; enfin, un broyeur qui s'étend,, lorsqu'il est monté daps la conduite, transversalement à celle-ci,,, à un nouveau inférieur à celui de la grillée la machine étant en outre caractérisée par le fait que le broyeur comporte: deux cylindres rotatifs dont les axes longitudinaux sont parallèles entre eux et sont disposés transversalement à la conduite; que la circonférence des cylindres porte des saillies; que des dispositifs d'entraînement sont reliés aux cylindres pour faire tourner ces derniers dans le même sens mais à des vitesses différentes;
que la disposition des plans de rotation des saillies et la distance entre les cylindres ainsi espacés sont telles qu'au cours de la rotation des cylindres, les saillies d'un cylindre dépassent les saillies de l'autre cylindre avec un faible jeu et sans qu'aucun point du profil d'un cylindre ne vienne en contact avec un point quelconque du profil de l'autre cylindre;. qu'un agencement de parois disposé au voisinage du côté aval des cylindres peut s'écarter dans une certaine limite des cylindres; et. enfin, qu'un dispositif de raclage est placé au voisinage de la zone de déchiquetage des cylindres lorsqu'il se trouve dans sa position la plus basse.
180 Appareil caractérisé par le fait qu'il comportes un dispositif d'entraînement comprenant un moteur, un circuit de puissance passant par ce moteur et un embrayage disposé entre le dispositif d'entraînement et un élément mené ; organe d'actionnement de l'embrayage qui est relié à l'embrayage cet organe désolidarisant 1-'embrayage lorsqu'il se déplace dans un sens et remettant l'embrayage en prise lorsqu'il se déplace en sens inverse; un dispositif entrant en jeu pour déplace! cet organe dans une direction de désolidarisation de l'embrayage et l'y maintenir sous l'effet d'une surcharge créée dans le circuit de puissance précité;
et. enfin,, un dispositif mécanique entrant en jeu pour déplacer cet organe dans une direction de mise en prise de l'embrayage et l'y maintenir, lorsqu'il règne des conditions de charge nomales dans le circuit de puissance.