BE521723A - - Google Patents

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BE521723A
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    • FMECHANICAL ENGINEERING; LIGHTING; HEATING; WEAPONS; BLASTING
    • F04POSITIVE - DISPLACEMENT MACHINES FOR LIQUIDS; PUMPS FOR LIQUIDS OR ELASTIC FLUIDS
    • F04BPOSITIVE-DISPLACEMENT MACHINES FOR LIQUIDS; PUMPS
    • F04B35/00Piston pumps specially adapted for elastic fluids and characterised by the driving means to their working members, or by combination with, or adaptation to, specific driving engines or motors, not otherwise provided for
    • F04B35/04Piston pumps specially adapted for elastic fluids and characterised by the driving means to their working members, or by combination with, or adaptation to, specific driving engines or motors, not otherwise provided for the means being electric
    • F04B35/045Piston pumps specially adapted for elastic fluids and characterised by the driving means to their working members, or by combination with, or adaptation to, specific driving engines or motors, not otherwise provided for the means being electric using solenoids

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
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  • Reciprocating, Oscillating Or Vibrating Motors (AREA)

Description


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  DISPOSITIF D'ENTRAINEMENT EN UN MOUVEMENT OSCILLATOIRE UTILISABLE NOTAMMENT DANS LES MACHINES FRIGORIFIQUES DE PETITES DIMENSIONS. 



   La présente invention concerne un dispositif d'entraînement en un mouvement oscillatoire, convenant en particulier pour les machines frigorifiques de petites dimensions ou de faible capacité et comprenant un élément entraîné électriquement en un mouvement de va-et-vient avec les éléments à commander,en résonance avec la fréquence d'excitation ou sensiblement à cette fréquence. Le montage électrique correspond de préférence à celui des dispositifs d'entraînement en oscillation électro-dynamiques constitués par une bobine à air ne comportant pas de noyau de fer doux et fonctionnant éventuellement sur un support en matière électriquement isolante dans l'entrefer d'un champ magnétique uniforme et permanent. 



   Dans ces sortes d'appareils, le mouvement de va-et-vient est généralement produit., en ce qui concerne la partie mécanique, par des ressorts destinés à produire les conditions de résonance nécessaires. Ces ressorts constituent, avec les masses participant au mouvement, un système mécanique oscillant dont la fréquence propre est égale à la fréquence du réseau d'excitation ou est voisine de cette fréquence dans le cas où il s'agit de dispositifs d'entraînement en oscillation polarisée, par exemple électro-dynamiques, ou dont la fréquence propre est égale au double ou presque au double de la fréquence du réseau d'excitation lorsqu'il s'agit de dispositifs d'entraînement en oscillation non polarisés, par exemple de dispositifs magnétiques. 



   Or, pour obtenir un fonctionnement parfait des dispositifs d'entrainement de ce   type;,  il est indispensable que la masse totale des ressorts ne représente pas plus du quart environ de la totalité des masses participant au mouvement. Si la masse du ressort excède le quart de la masse totale, les irrégularités telles que discontinuités, vibrations non harmoniques, 

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 ondes harmoniques, ondes stationnaires,   etc...,  présentes dans les oscillations, augmentent avec la masse du ressort. Ces irrégularités ont pour résultat, outre les bruits désagréables, de provoquer de fortes fluctuations dans la puissance des appareils.

   En outre, l'énergie dépensée pour la déformation du ressort augmente également avec la masse de ce ressort, ce qui a une   in-   fluence extrêmement défavorable sur le rendement des appareils. Enfin, de telles irrégularités réduisent considérablement la durée du ressort. 



   En tenant compte de ces considérations,   notamment   que la masse, du ressort ne doit pas être supérieure à   1/4   de la masse oscillante, ainsi que de l'effort maximum pouvant être supporté par la matière dont est constitué le ressort, la longueur de course qu'il est possible d'atteindre est, dans ces appareils, limitée, c'est-à-dire qu'elle est généralement fixée au maximum à 1,5 cm de course totale, distance qu'il n'est pas possible de dépasser avec les moyens existant   jusqu'à   présent, ce qui naturellement restreint considérablement le domaine d'application des appareils de ce genre et abaisse leur puissance.

   S'il fallait malgré tout augmenter la puissance, on serait amené à construire des appareils de dimensions telles, surtout à cause du circuit magnétique, qu'ils ne seraient pratiquement pas réalisables d'un point de vue économique. 



   Dans ces dispositifs d'entraînement, dont on doit beaucoup exiger au point de vue durée et sécurité, il faut voir dans ce ressort une source de dérangements qui rend difficile en pratique l'utilisation de ces appareils et qui l'a empêchée jusqu'à présent, précisément dans le domaine des machines frigorifiques. Si l'on ne tient pas compte de ce fait, il faut prendre son parti d'une diminution du rendement, due aux circonstances dans lesquelles travaille le ressort. 



   De plus, les dispositifs d'entraînement de ce type présentent cet inconvénient que les forces absorbées par les masses et qu'il faut produire constamment, sont trop importantes par rapport aux forces utiles à produire, de sorte que la courbe de résonance du système mécanique oscillant présente une crête très accentuée qui entraîne des perturbations pour la moindre fluctuation de la fréquence d'excitation. Etant donné que la fréquence propre du système mécanique oscillant n'est pas une constante mais est influencée par les changements de température, les variations survenant dans la force utile, etc.09 il se produit également dans ces appareils, précisément à cause de la crête de la courbe de résonance, des perturbations (par exemple une perte totale de la cadence) même lorsque la fréquence d'excitation demeure constante. 



   L'invention repose donc sur ce principe que des dispositifs oscillants présentant un rendement satisfaisant, une grande sécurité de fonctionnement, des dimensions raisonnables, etc... ne sont possibles que si les masses élastiques représentent environ le quart des masses totales en oscillation et, de plus, si la courbe de résonance du système oscillant présente un profil aplati, déterminé et favorable. 



     L'un   des buts de l'invention est de permettre la réalisation d'un dispositif d'entraînement de ce type (de préférence   électro-dynamique)   permettant d'obtenir une réduction ou une compensation parfaite de la puissance absorbée par les masses en mouvement, sans devoir accepter une construction mécanique compliquée (ressort subissant de fortes contraintes), une course limitée, de grandes dimensions de l'ensemble (système magnétique),   etc...,   et dans lequel le système mécanique oscillant est amené plus ou moins en résonance avec la fréquence du réseau, comme cela est le cas par exemple jusqu'à présent. 



   Un autre but de l'invention est de prévoir des organes donnant la possibilité de réduire dans de très grandes   proportionsles   forces élastiques utilisées ou de les supprimer complètement, en vue d'augmenter sensiblement la sécurité de fonctionnement, le degré d'efficacité, etc..., pour des dimensions et des charges identiques du dispositif d'entraînement et avant tout du circuit magnétique. Dans les dispositifs   d'entraînement   électro-magnétiques les condensateurs spéciaux montés dans le circuit électrique et servant à com- 

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 penser la réactance effective due à l'inductance de l'enroulement   d'excita-   tion, doivent être simplifiés ou complètement supprimés. 



   L'invention envisage donc, en vue de réduire ou de compenser les forces absorbées par les masses en mouvement de la partie mécanique et la puissance réactive de la partie électrique, due à l'inductance de l'enroule- ment d'excitation,d'utiliser essentiellement la capacité électrique utile produite par les masses oscillantes, 1?induction magnétique, la longueur de l'enroulement d'excitation,etc...

   Suivant une variante de l'objet de l'in- vention, cette capacité électrique utile doit être calculée, grâce à un choix judicieux de la longueur des conducteurs de la masse oscillante, et de l'in- duction, de telle sorte que les forces absorbées par les masses en mouvement et la puissance réactive électrique soient compensées le plus possible, et qu'il soit possible soit de supprimer complètement le ressort, soit de n'u- tiliser tout au plus qu'un petit ressort mécanique et (ou) une faible réac- tance électrique. Cette réactance électrique est fournie généralement par un condensateur, mais il y a également des cas où elle peut être fournie par une bobine de self. Enfin, on peut également prévoir un couplage par trans- formateur entre l'enroulement d'excitation et la source de tension d'excitation (réseau de lumière).

   Dans les modes de réalisation qui seront décrits plus loin, il ne sera cependant question, pour des raisons de   simplification,   que d'un condensateur électrique, ce qui n'exclut pas les possibilités autres que celles qui seront décrites. 



   Il résulterait donc de ce qui vient d'être dit que, conformément à l'invention, le ressort utilisé jusqu'à présent dans le système mécanique oscillant pour déterminer la résonance et le condensateur électrique ne sont plus absolument indispensables. 



   Selon une autre particularité essentielle de l'invention,   l'induc-   tance L de l'enroulement d'excitation devant être alimenté avec le courant alternatif d'excitation   Ie   et la capacité effective Cm, déterminée essentiellement par induction magnétique, par l'importance des masses oscillantes et par la longueur de l'enroulement d'excitation, sont calculées l'une par rapport à l'autre, en faisant intervenir éventuellement un faible ressort mécanique F et (ou) un condensateur électrique C, de telle sorte que la fréquence propre fo de l'ensemble du système L, CmF, C soit égale ou sensiblement égale à la fréquence fe du courant   d'excitation   Ie.

   Cette détermination peut toutefois être réalisée de préférence de telle sorte que, lors du fonctionnement à vide, la fréquence propre fo soit plus élevée que la fréquence d'excitation fe et qu'avec la charge nominale de la fréquence propre fo soit à peu près égale à la fréquence d'excitation fe. 



   Cette dernière caractéristique tendrait à fournir une course constante pour une charge utile variable. Par un choix approprié de la courbe de résonance (en général cette courbe doit avoir un profil très aplati),on arrive à obtenir une course pratiquement constante entre le fonctionnement à vide et le fonctionnement sous la charge nominale. Dans les cas où il est avantageux de travailler sur une partie déterminée de la courbe de résonance le point de résonance peut être situé dans la zone de travail ou bien légèrement au-dessus ou en dessous de cette zone. 



   Le raisonnement suivant montrera la grande importance qu'il y a lieu d'attribuer à un faible mouvement de retour ou affaissement se produisant, lors du travail de déformation du ou des ressorts du système oscillant. 



  Supposons que cet affaissement lors de la déformation du ressort passe de 5 à 3% pour 3 kg de force utile,alors   qu'il   ne se produit qu'une très faible surtension égale à 1 :6, valeur au-dessous de laquelle il n'est pratiquement guère possible de descendre. Il en résulterait dans ce cas une force élastique de 18 kg   environ,     c'est-à-dire   que la force de déformation réelle tomberait de   0,9   kg pour 5% à   0,54   kg pour 3%, ce qui, au premier abord, ne paraît pas énorme. Mais il en est tout autrement si l'on considère que ces pertes doivent toujours être ramenées à la force utile de 3 kg.   or,   ces pertes représentent déjà   30%   pour un affaissement de 5% et encore 18% pour un affaissement de 3%.

   Ce calcul permet d'apprécier de façon indiscutable l'importance 

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 considérable de l'invention, grâce à laquelle il est possible de réduire les dimensions des ressorts et même de les supprimer complètement. 



   La description qui va suivre, faite en regard des dessins annexés, donnés à titre d'exemples non limitatifs,permettra de mieux comprendre l'invention. 



   La figure 1 montre un schéma de dispositif d'entraînement en oscillation conforme à la technique employée jusqu'à présent. 



   La figure 2 montre une variante. 



   La figure 3 montre un schéma de dispositif d'entraînement en oscillation réalisé suivant le principe de l'invention. 



   Le détail des figures 4 à 12, montrant quelques modes de réalisation possibles de l'objet de l'invention, sera donné plus loin. 



   Le principe de la technique antérieure est illustré par le schéma représenté par la figure 1, qui montre un dispositif d'entraînement comportant une bobine télescopique sans fer,   c'est-à-dire   une bobine à air montée éventuellement sur un support isolant. Dans ce schéma, L désigne l'inductance de la bobine télescopique, qui est alimentée directement en courant alternatif I ou par l'intermédiaire d'un condensateur C. La fréquence propre de ce système électrique est égale à la fréquence d'excitation. Les éléments à actionner, par exemple le piston d'un compresseur, la suspension, les ressorts, etc... sont rendus solidaires de la bobine. 



   Toutes les masses participant aux oscillations, y compris la bobine télescopique et la partie du ressort qui y participe également, sont désignées par la référence M. Les forces de rappel, fournies par le ressort, sont désignées par F, tandis que le travail utile à fournir, qui est représenté par un amortisseur, est désigné par A. Ce système mécanique est calculé de telle sorte que la fréquence propre du système F, M soit égale à la fréquence d'excitation ou voisine de cette fréquence.

   Ces dispositifs d'entraînement fonctionnent aussi bien électriquement que mécaniquement en résonance avec la fréquence d'excitation, c'est-à-dire qu'on a essayé de compenser le plus possible les composantes réactives, et iln'est plus possible d'obtenir une augmentation plus importante du degré d'efficacité, en particulier par suite du travail de déformation inévitable qui s'effectue dans le fort ressort F. 



   Ces considérations demeurent également inchangées si l'on entreprend de traduire ce système oscillant mécanique en un schéma électrique équivalent des éléments entraînés, en utilisant des symboles électriques pour améliorer encore le calcul. Il en résulterait la situation illustrée par la figure   2,   la force K, produite par la bobine télescopique, formant source de tension pour un circuit résonnant en série représenté par la masse M, représentée par l'inductance Lm, le ressort F, représenté par la capacité'Cf, et le travail utile A, représenté par la résistance Rs. La vitesse d'oscillation des éléments à entraîner pourrait alors, dans ce circuit, être représentée par le courant I.

   On voit par là que la vitesse d'oscillation est   effecti-   vement maximum lorsque la résistance du montage en série   Lm -   Cf devient nulle, c'est-à-dire lorsque les conditions de résonance sont remplies, Etant donné que jusqu'à présent il n'a pas été tenu compte du travail de déformation du ressort F, il y aurait lieu de l'intégrer également dans cet exposé et de le représenter par une autre résistance Rfs. Ceci montre clairement qu'il est absolument   impossible   de renoncer aux formes de ressorts compliquées utilisées jusqu'à présent.

   Si l'on ne tenait pas compte du ressort ou si on le supprimait complètement, il en résulterait simplement une augmentation des composantes réactives et la force K ne serait plus en mesure de fournir la puissance nominale, de sorte que l'on se trouve simplement en présence d'un oscillateur massique. 



   C'est maintenant qu'intervient l'idée de l'invention. Celle-ci peut être également représentée à l'aide d'un schéma équivalent, quoique maintenant purement électrique, ainsi que le montre la figure 3. Dans ce schéma, 

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U est la source de tension fournissant le courant d excitation Ie. La bobine oscillante est montée dans le circuit avec son inductance L,sa résistance 
R et son condensateur auxiliaire C. La puissance utile est représentée par la résistance Rpo Le ressort est monté en parallèle avec cette résistance. 



   Il est maintenant représenté électriquement, non plus sous forme d'un con- densateur mais d'une inductance Lf, avec son travail de déformation Rfp com- me résistance. De plus,toutes les masses mobiles.,montées en parallèle, sont représentées par un condensateur Cm, car elles agissent comme telles, et el- les ne doivent plus être considérées mécaniquement comme une inductance Lm comme sur la figure 2. 



   Conformément à l'invention, le condensateur C et le montage en parallèle Lf-Rfp,   c'est-à-dire   le ressort, peuvent alors être complètement négligés ou supprimés pour autant que l'inductance de la bobine oscillante 
L et le condensateur Cm sont réglés l'un sur l'autre, c'est-à-dire calculés l'un par rapport à l'autre de telle sorte que la fréquence propre de ce sys- tème soit égale ou sensiblement égale à la fréquence du réseau U. Indépen- damment des insuffisances des forces élastiques utilisées jusqu'à présent, il est maintenant possible de ne plus produire de travail de déformation,   0 est dire d'énergie produite en pure perte, puisque Rfp diminue en même temps que le ressort ou disparaît avec sa suppression.

   On peut donc affirmer   qu'il est maintenant possible, pour la première fois, de réaliser un dispo- sitif d'entraînement en oscillation par pure résonance, capable de fonction- ner également sans aucun ressort, donc sans l'intervention de forces élasti- ques. 



   Il va de soi que les possibilités offertes par l'invention ne sont pas épuisées par cet exposé et qu'il est naturellement possible de pré- voir par exemple dans la réalisation purement électrique de la figure 3, des solutions qui, retraduites en valeurs mécaniques,   modifient   l'appareil dans un sens ou dans l'autre conformément à l'invention.

   On pourrait par exemple, dans le cas où ce serait souhaitable du point de vue mécanique, intercaler entre la bobine télescopique et la machine à entraîner un dispositif de mul- tiplication ou de démultiplication quelconque, formé par des leviers ou par un dispositif ou un ressort d'accouplement spécial et, toujours en considé- rant la nature purement électrique de la réalisation, fixer à cet appareil, conformément à   l'invention,  les dimensions se révèlent les plus avantageuses sans nuire au rendement de   l'ensemble.   



   Compte tenu des constatations auxquelles aboutit l'invention, on en arrive donc finalement à cette conclusion qu'il est possible, dans un grand nombre de cas, de supprimer tout ressort et (ou) condensateur auxiliai- re, si l'équilibrage correct des valeurs correspondantes est réalisé confor- mément à l'esprit de l'invention dans la partie électro-mécanique. La voie ainsi tracée conduit sans aucun doute à des résultats nouveaux et surprenants et permet d'obtenir, même en utilisant des forces élastiques assez faibles, se situant nettement dans le rapport 1 :4 ou au-dessous de ce rapport entre le poids du ressort et le poids des masses oscillantes, des contraintes per- manentes différentes et une bien plus grande sécurité pour les appareils de ce type. 



   Suivant une autre particularité de l'invention, il est possible d'augmenter sensiblement la course totale, limitée jusqu'à présent par les   propriétés des ressorts jusqu'à une valeur supérieure à 1,5 cm, ce qui pour les dispositifs d'entraînement en oscillation, en particulier pour les com-   presseurs, correspond à une augmentation de puissance considérable pour des dimensions équivalentes de l'appareil,étant donné que, selon une   particula,.-   rité importante la puissance n'augmente pas avec la course suivant une pro- gression linéaire mais proportionnellement à son carré.La possibilité ainsi obtenue d'augmenter la course totale au delà de 1,5 cm constitue donc une par- ticularité essentielle et importante de l'invention. 



   Si par ailleurs on tire également parti de cette autre constata- tion, résultant des recherches qui ont abouti à l'invention, qu'il n'y a au- cun inconvénient à utiliser, pour l'enroulement d'excitation de dispositifs 

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 d'entraînement en oscillation fonctionnant avec une bobine à air, une densité de courant supérieure à 6 ampères/mm2 et pouvant même aller jusqu'à 60   am-   pères/mm2, sans que l'échauffement de la bobine à air oscillante devienne inacceptable, ce qui n'est d'ailleurs le cas d'aucune autre machine électrique, il en résulte encore une augmentation de la puissance mécanique, les dimensions des appareils restant les mêmes, auquel cas il est d'ailleurs possible de prévoir un dispositif spécial pour le refroidissement des appareils. 



   Lorsqu'il s'agit de dispositifs d'entraînement de compresseurs, il est recommandé, afin que la bobine télescopique conserve exactement sa position médiane pendant le fonctionnement, de disposer l'un en face de l'autre deux compresseurs sur un organe de liaison commun, et de fixer la bobine télescopique au milieu. 



   Les détails de réalisation de l'objet de l'invention seront décrits plus avant en regard des figures 4 à   12,   données à titre non limitatif. 



   La figure 4 est une vue en coupe longitudinale de l'appareil. 



   Les figures 5 et 6 sont des vues en coupe partielle montrant l'agencement des soupapes. 



   La figure 7 est une vue en coupe longitudinale d'un autre mode de réalisation. 



   La figure 8 montre en coupe longitudinale un montage en opposition. 



   La figure 9 montre un dispositif comportant des organes spéciaux de multiplication. 



   Les figures 10 et 11 montrent des modes de réalisation comportant un électro-aimant. 



   La figure 12 est une vue en coupe d'un autre mode de réalisation. 



   Le principe de l'invention est montré à titre d'exemple sur la figure 4 dans son application à un dispositif d'entrainement pour machine frigorifique de petites dimensions utilisant un dispositif électrodynamique à bobine télescopique. Suivant ce mode de réalisation, on calcule la partie mécanique oscillante de l'appareil et les éléments électriques de manière telle qu'il soit encore prévu dans l'appareil un ressort hélicoïdal de force réduite. 



   La bobine télescopique 1, utilisée dans ce mode de réalisation, comprend un seul enroulement sans fer, monté sur le support 6. L'enroulement est alimenté en courant par l'intermédiaire des cosses 3 14 et du ressort de   contact 2.   de forme conique, dont la section en direction axiale est supérieure à sa section radiale, afin d'obtenir un faible moment d'inertie axial lors du passage d'un courant intense. Dans le cas où la mise à la masse ne peut pas être assurée par la masse même de l'appareil, on peut prévoir   d'au-   tres   cosses 2,   et d'autres ressorts de contact   2. On   peut également, pour la transmission du courant des cosses de contact 3 à la partie mobile de la bobine télescopique, prévoir des contacts coulissants ou des contacts en forme de collecteurs. 



   Le support de bobine est de préférence fixé par emboîtement sur un couvercle 13 et est en matière électriquement isolante. Un logement 5prévu dans le support de bobine sert à la réception de bagues de contact parti-   culières 1   auxquelles sont raccordés, d'une part, le conducteur d'alimentation etd'autre part, l'extrémité de l'enroulement de la bobine. Ces bagues de contact ont pour but de rendre plus favorable la transmission du courant, donc la section en ces points de jonction, afin qu'aucune charge inacceptable ne soit appliquée aux points de contact. Il est possible bien entendu de prévoir également des bagues de contact de ce type pour le départ du courant, ou bien de subdiviser de manière convenable la bague de contact 4.

   La bobine télescopique 1 remplit   l'entrefer   du champ magnétique à   aimantation   permanente et peut coulisser longitudinalement dans celui-ci sans venir en contact avec les parois, en étant montée dans un guide particulier. Ce guide peut ê- 

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 tre constitué par un alésage 21 du noyau en fer 19, dans lequel la tige 16 est guidée de préférence à coulissement par un élément rapporté 46 en un ma- tériau convenable formant palier. Ce matériau peut être constitué par une mas- se de matière synthétique comprimée, mélangée d'une manière convenable à une matière de glissement, formée par exemple par du graphite. 



   On peut prévoir en outre dans le noyau de fer 19 un logement annu- laire 24 dont la périphérie va de préférence en croissant en direction du fond. 



   Selon sa forme, ce logement a pour but, le cas échéant par l'adjonction de fentes radiales, de réduire les pertes par courants de Foucault. Le retour externe du champ magnétique est assuré par l'intermédiaire du carter 23, par la partie annulaire 22 usinée dans le carter 23 ou fixée après emboitement. 



   Ce carter 23 peut être constitué par une pièce de forge fermée ou par un tronçon de tube également fermé, dont le fond a été rapporté ultérieurement. 



   Entre le fond du carter 23 et le noyau en fer 19 est logé l'élément 25 for- mant aimant, qui est constitué par exemple par une pièce à profil fermé. Cet aimant est fixé sur des faces lisses correspondantes par des vis de montage spéciales, de sorte qu'il est interchangeable, sans présenter pour cela des orifices ou trous de fixation quelconques. 



   Pour améliorer encore le rendement du système magnétique 25 c'est- à-dire pour obtenir un rendement allant jusqu'à 80% environ, l'agencement peut, comme visible sur les figures 10 et 11, être tel que la périphérie rac- cordée à l'arête des surfaces par lesquelles sortent les lignes de force ma- gnétiques ne soit jamais en retrait par rapport aux éléments en fer et forme partout un angle libre d'au plus 1800 avec la périphérie de l'aimant 25. De cette manière, le courant magnétique formé par les lignes de force vient agir directement dans sa totalité dans l'intervalle annulaire 8, sans pertes par dispersion.

   Sur la figure 10, l'aimant 25 est monté de manière telle dans le carter en fer 23 que cet aimant 25 forme avec les parties voisines en fer un angle de 90 , donc au total un angle de   1800   et l'élément en fer 19 a alors une forme telle que   l'entrefer 8,   soit ménagé entre les éléments en fer 19 et 23 (voir également la figure 4). On peut encore aller plus loin et, comme visible sur la figure 11, donner à l'élément en fer 19 et à l'élément de carter 23 une forme sensiblement annulaire, de manière telle que des angles supérieurs à 1800 soient formés entre l'aimant 25 et l'élément en fer 19,le courant de lignes de force magnétiques étant alors circulaire et sans pertes, l'entrefer magnétique 8. se trouvant placé à l'intérieur du cercle.

   Grâce à ces surfaces de sortie des lignes de force magnétiques dans l'entrefer annulaire   8., qui   forme une partie du carter annulaire 23, 19, ces surfaces de sortie sont disposées dans la même direction axiale que l'aimant   25, et   on obtient ainsi une utilisation   maximum   de l'aimant, étant donné que les lignes de force sont ab-   solument   symétriques par rapport à l'entrefer annulaire. 



   La fixation du support de bobine 6 et de son couvercle 13 sur la tige de commande 16 est assurée par un collet 15 prenant appui sur un disque 18 qui est engagé par une fente dans un évidement approprié de la tige 16. 



  Un collier   !il   assure la fixation du collet 15 et ce collier est maintenu serré par des vis   48., en   étant ainsi bloqué sur la tige 16. Le collet 15 et le disque rapporté   18 peuvent   être conformés en outre de manière telle que la fixation du ressort puisse en même temps être assurée entre ces éléments. 



   Le ressort est logé de préférence à l'intérieur de la cavité du support de bobine 6 et peut avoir une forme hélicoïdale, ses spires ayant dans la direction du champ magnétique (en particulier la dernière spire) un diamètre croissant. Cet accroissement du diamètre (de préférence de la dernière spire 17) a pour but de maintenir, au moins sur une partie de la périphérie de ces spires, le ressort 12 dans le noyau ],9, de préférence par l'intermédiaire d'un élément de serrage 20 en forme de cuvette. 



   Le carter 23 présente des flasques 50 pour la fixation de la bride 28, ces flasques formant avec cette bride 28 une pièce de moulage autonome. Des fenêtres 51, prévues sur la périphérie du carter, permettent le mon-   tage et la surveillance des éléments du mécanisme d'entraînement, qui peuvent être enfermés dans une douille 29, de préférence montée par emboîtement. L'é-   

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 lément mené est fixé sur la bride de montage 28, cet élément étant constitué dans le cas présent par un compresseur à piston à un seul étage. Ce disposi- tif d'entraînement avec compresseur à piston convient particulièrement bien dans le cas d'installations frigorifiques de petites dimensions. 



   Le compresseur comprend un cylindre 27, par exemple en forme de manchon, pouvant être entouré d'un élément de carter   30 muni   de nervures ou d'ailettes de refroidissement. Il est également possible de relier le carter 3Q au manchon 27 en fabriquant ce   cartsr   par moulage par injection ou sous pression. Le   piston 2.   est guidé dans le manchon. Il est de préférence soli- daire de la tige 16, les diamètres du piston et de cette tige étant identi- ques, de sorte qu'une seule opération d'usinage est nécessaire pour la fabri- cation de ce piston et de cette tige.

   Pour des raisons de poids, le piston et la tige de guidage sont creux, Comme visible sur les figures 5 et 6, on a usiné dans le carter 30 une surface 39 sur laquelle est fixé un carter de soupapes particulier 36,de préférence par l'intermédiaire d'organes   d'étan-   chéité. Ce carter de soupapes 36 est muni d'orifices d'adduction et de   refou-   lement 37, 38, disposés de préférence dans la direction longitudinale du pis- ton.

   Il est prévu dans le carter de soupapes   36 un   évidement 41 pour la sou- pape d'échappement 35,de préférence en forme de clapet, tandis qu'un évide- ment identique 24 du   carte-.   30 est utilisé pour la soupape d'admission 34, montée en sens inverse., La face de fixation 39 du carter de soupapes est   ju-   dicieusement plus grande que le diamètre du compresseur, et ce carter de sou- papes comporte avec le carter 30 plusieurs canaux d'admission et d'échappe- ment 40, afin de réduire au maximum les pertes par écoulement. Ces canaux 40 peuvent être commandés simultanément en fonction des soupapes comme visible sur les figures 5 et 6. 



   Les soupapes 34, 35 sont montées dans le compresseur suivant l'in- vention de manière telle, par rapport à la course du piston, qu'un matelas d'air assurant un freinage demeure dans le cylindre du compresseur en cas de marche à vide. Ceci peut être obtenu de préférence par déplacement de la sou- pape de refoulement vers le bas. Pour réduire les pertes de rendement   volumé-   trique, on peut déporter également vers le bas la soupape d'admission, sensi- blement jusqu'au milieu de la course totale. Il en résulte que, lors de la course descendante du piston, le fluide comprimé dans la chambre de vapori- sation est détendu lorsqu'il atteint la soupape d'admission sensiblement jus- qu'à la pression d'aspiration, de sorte que le rendement de l'appareil est également accru. 



   Le carter 30 se prolonge par une face de montage en forme de bri- de,recevant un organe de montage 31 en forme de culasse, qui peut également recouvrir le cylindre 27 du compresseur. Dans le mode de réalisation considéré, il est judicieux d'assurer cette obturation du compresseur par l'intermédiaire d'éléments rapportés particuliers 32 pénétrant plus ou moins par un bossage cylindrique 33 dans le compresseur, selon les dimensions de ce bossage.

   Grâce à ces éléments rapportés particuliers interchangeables, il est possible de mo- difier, d'une part, la pression de compression finale et, d'autre part, le matelas d'air, par un déport convenable de la soupape de refoulement   35 par   rapport à l'arête supérieure du piston, afin de faire varier la position de   la bobine télescopique en particulier quand on doit supprimer tout ressort selon le principe de 1 invention.   



   Il est évidemment possible de permettre dans une certaine mesure le réglage du bossage 33 au moyen d'un seul élément rapporté 32 et de garni- tures convenables. On peut également prévoir entre l'organe de fixation ou de   montage 11   et l'élément rapporté 32 un organe élastique, et monter ce bos- sage 33 à coulissement longitudinal dans le cylindre 27. De cette fagon, on peut entre certaines limites, par suite de l'amortissement additionnel du bossage mobile 33 soumis à la sollicitation   d'un   ressort, compenser les va- riations d'amplitude de la bobine télescopique 1 dues aux oscillations du ré- seau et, le cas échéant, aux variations de charge, de manière telle qu'il ne se forme pratiquement pas d'intervalle nuisible dans le cylindre du compres- seur. 

 <Desc/Clms Page number 9> 

 



   L'orifice d'admission 37 du carter de soupapes est relié au carter 23, de préférence par la bride 28, et cette liaison doit, si possible, présenter une certaine élasticité. On peut parvenir à ce résultat en reliant un élément tubulaire 43 rabattable,de fagon étanche aux gaz,avec la cham- bre de soupapes. Il est alors possible de constituer l'élément tubulaire 43 par deux trongons de diamètres différents emboîtés l'un dans l'autre, qui sont soudés par exemple à leurs extrémités par un arrondi ou congé de taille convenable. 



   L'ensemble est rendu étanche,de manière telle que le fluide à com- primer soit aspiré par exemple par l'embout 45à travers l'intérieur du dis- positif de commande du compresseur ,en vue d'assurer un refroidissement dans l'entrefer 8, et quitte le compresseur par l'orifice de sortie 38. Les   em-   bouts sont reliés de préférence au carter ou aux éléments 23,36 du compres- seur, le cas échéant par vissage, de manière telle que cette liaison se prolonge par un élément mobile élastique   44,   de préférence en matière synthéti- que comprimée ou en une masse obtenue par injection, ou bien en caoutchouc, par exemple en "Perbunan", auquel se raccordent alors les autres conduits. 



  Ce raccordement par interposition d'éléments intermédiaires annulaires élastiques 44 est assuré aux points de raccordement par   collage,   et présente l'avantage d'être absolument étanche aux gaz et de pouvoir servir également de suspension grâce à un calcul convenable des sections des éléments élastiques. 



  Ainsi, les organes de fixation de l'appareil peuvent également être prévus sur ces éléments intermédiaires élastiques 44. 



   Pour compenser les déports d'axes entre le cylindre ?2 et le guide 26, on peut prévoir dans la tige 16, de préférence dans sa partie médiane, des évidements ou entailles alternées permettant une déformation élastique de cette tige. 



   Le circuit magnétique formé par le noyau en fer 19 et l'aimant 25 et comprenant le trajet de retour magnétique formé par le carter 23 peut être magnétisé en montant d'abord tous les éléments essentiels de l'appareil et en munissant ce dernier de tous ses éléments de raccordement, principalement du point de vue électriqueo On nettoie alors l'appareil sans difficultés étant donné que tous les éléments 25, 23, 19 ne sont pas encore magnétisés. Ce nettoyage relativement aisé présenterait autrement de grandes difficultés, car des particules métalliques demeureraient inévitablement dans le champ magnétique et seraient la cause de perturbations dans l'entrefer   .   



   Une fois le nettoyage effectué, on soumet l'appareil, par l'intermédiaire de l'enroulement de la bobine télescopique 1. et pendant un court laps de temps, à une tension en courant continu d'intensité convenable, et on effectue de cette manière directement la magnétisation de l'aimant 25 par l'intermédiaire de la bobine télescopique. Etant donné la conformation.de la bobine télescopique 1 et sa course importante, elle entoure pratiquement la totalité du circuit magnétique et il est ainsi.possible, par un choix convenable de la tension en courant continu et du temps d'action, d'effectuer la magnétisation complète de l'aimant 25. Ceci constitue un avantage décisif de l'agencement que concerne   l'invention.   



   On a déjà indiqué que l'intensité du courant dans la bobine télescopique oscillante 1 est supérieure à 6 amp/mm2. Ceci constitue une charge notablement supérieure à celle qui est acceptable dans les dispositifs de commande électriques de ce type, mais qui est rendue possible suivant l'invention car, dans le cas présent, l'échauffement limite admissible ne se produit que pour 60 amp/mm2 environ. Ceci est dû principalement à ce que, par suite du refroidissement satisfaisant de la bobine à air et du support de   bobine 6.   agissant à la manière d'une pompe (et dont la conformation peut, le cas échéant, être calculée à cet effet), on peut assurer un refroidissement pleinement suffisant en veillant à ce que le fluide de refroidissement soit aspiré par l'entrefer magnétique.

   Avec l'agencement suivant l'invention, on peut également réduire la section des fils de la bobine àair, ce qui aboutit à une utilisation meilleure de la place disponible pour l'enroulement et entraîne également une réduction du poids. Il est en outre possible de faciliter encore l'effet de refroidissement, comme montré en particulier sur la figure 7. 

 <Desc/Clms Page number 10> 

 



  Dans ce cas, il est prévu des deux côtés de l'entrefer 8, pour l'évacuation de la chaleur, une bague 9, 9' en matériau bon conducteur de la chaleur et   amagnétique,   par exemple en aluminium ou en cuivre. Cette bague peut être munie en outre de nervures de refroidissement particulières et, pour éviter la formation de courants de Foucault, elle peut être interrompue par une ou plusieurs fentes 10,par exemple. 



   Dans ce mode de réalisation,la bobine télescopique 1 est reliée à la tige 16 sans interposition de ressort et, pour que cette bobine 1 conserve avec précision une position médiane, la tige 16 est reliée, à ses ex-   trémités9   à des compresseurs 2, dont l'agencement peut être celui représenté sur la figure 4, et qui présentent en outre des matelas d'air convenables obtenus par un choix approprié de la position des soupapes 36, Dans ce cas encore   9 le   dispositif d'entraînement est entièrement clos et les conduits d'adduction et de refoulement 37 et 38 du compresseur peuvent, le cas échéant, être guidés à travers le carter 23, afin de réaliser en même temps le montage élastique 44 pour l'ensemble de l'appareil, ces éléments élastiques 44 pouvant également être disposés dans la direction de contrainte principale,

   par exemple dans l'axe longitudinal de l'appareil. 



   Il est en outre possiblecomme visible sur la figure 8, de prévoir deux blocs d'entraînement indépendants à l'intérieur d'un carter 23, ceux-ci travaillant, par leurs bobines télescopiques 1, l'et leurs pistons 2, dans un cylindre médian 27 comprenant des conduits d'adduction et de refoulement 37 et 38 et les chambres de soupapes convenables.

   Suivant une autre variante encore de   l'invention,   il est possible de faire travailler plusieurs dispositifs à deux pistons, de préférence par paires, dans une chambre de compresseur 11 commune, un montage en étoile convenant alors particulièrement bien dans ce cas pour ne pas compliquer l'adduction et le re-   foulement.   Un agencement de ce type présente l'avantage d'un fonctionnement particulièrement régulier et   compensé,  indépendamment du fait que les pressions finales peuvent être notablement supérieures, et en outre cet autre avantage que, par la mise en circuitou hors circuit de l'un des blocs doubles, on peut, suivant les besoins,éliminer les variations de charge, ce qui est important, en particulier pour les installations de refroidissement.

   On obtient de cette manière un dispositif de commande particulièrement économique pour machine frigorifiques. 



     Il   est naturellement possible d'interposer entre l'élément mené formé par exemple par le   piston 2.   et la bobine télescopique 1 des organes de multiplication ou de réduction mécaniques, se présentant de préférence sous la forme de ressorts ou de mécanismes d'accouplement, par exemple de systèmes de leviers. On a représenté sur la figure 9 l'une de ces possibilités, en partant ici du principe consistant à relier la bobine télescopique 1 à un ressort 12 par l'intermédiaire de sa tige 16, ce ressort étant fixé par exemple sur le noyau en fer 19.

   Ce ressort 12 est subdivisé ici en deux parties et l'élément devant être entraîné formé de préférence par le piston de compresseur 2, est simplement raccordé en 49 à l'une de ces parties du ressort 12, Il est possible, par un choix convenable du point de raccordement   !il   et par la détermination de la longueur du ressort à chaque moment, d'obtenir tout rapport de multiplication ou de réduction désiré, et on peut ainsi, en particulier avec un agencement de ce type, obtenir pour la bobine télescopique une amplitude d'oscillations aussi grande que possible, et de préférence une course totale dépassant 1,5 cm par exemple pour une course de piston plus faible.

   Ceci présente l'avantage d'un rendement plus favorable pour le dispositif d'entraînement,et il en résulte la possibilité d'utiliser par exemple un aimant plus petite pour une même puissance. 



   L'appareil représenté en coupe longitudinale sur la figure 12 correspond,d'une façon générale, en ce qui concerne son agencement magnétique, aux modes de réalisation que montre la figure   4   ou 10. La conformation du carter est simplement telle que la bride de montage 28 forme avec les éléments du carter et de préférence avec l'élément de carter 23 un ensemble monobloc. 



  Dans le   mode   de réalisation considéré, ce carter est encore subdivisé et l'assemblage est réalisé par des vis de serrage particulières. La bride de mon- 

 <Desc/Clms Page number 11> 

 tage 28 est alors munie de deux bossages 53 délimitant avec l'alésage 52 le cylindre du compresseur, dans lequel travaille le piston 37. De préférence, la partie médiane du carter 23 comporte un guide particulier, le cas échéant sous forme d'entretoises de guidage ou d'une paroi 54, qui assure le guidage de la partie médiane de la tige 16 du piston,cette paroi pouvant comporter également les cosses de fixation 14 du ressort de contact 7. 



   La soupape d'admission 34 est montée sur le bossage interne 53 et la soupape de refoulement sur le bossage   externe@^1,   en formant un carter de soupapes 36,plusieurs canaux 40 pouvant être prévus comme dans le cas de la figure 4. Le cylindre de compresseur 52 est, comme sur la figure 4, fermé par l'intermédiaire du bossage 33, qui peut également présenter vers l'exté- rieure des nervures de refroidissement particulières. 



   Le ressort 12 est interposé maintenant entre la paroi 54 et le compresseur, et sa fixation est assurée par sa plus grande périphérie' 17, par l'intermédiaire de la cuvette 20 comme montré sur la figure 4, tandis que la fixation sur la tige de piston 16 est assurée maintenant par deux dis- ques fendus 18, 18' pouvant être engagés dans les deux évidements 55, 56 de la tige de piston Des organes de serrage particuliers sont prévus sur la tige de piston 16, entre ces disques 18, 18', ces organes appliquant le ressort contre ces   disques..   Ces organes de serrage peuvent se présenter sous la forme d'une douille pouvant être engagée sur la tige de piston et munie d'un collet 57. Il est prévu sur la douille un écrou 58 pouvant être déplacé vers le disque 18. 



   Lors de l'utilisation de l'appareil suivant les modes de réalisa- tion représentés sur les figures 4 et 12 comme dispositif d'entraînement pour machines frigorifiques, on effectue le montage verticalement dans la direc- tion de la tige de piston 16, le système magnétique formant la partie infé- rieure de l'appareil, l'admission du fluide de refroidissement se trouvant à la partie inférieure et le refoulement à la partie supérieure. Simultanément, l'espace ménagé entre l'aimant 25 et l'élément de carter 23 est utilisé com- me chambre collectrice d'huile, ce qui assure la lubrification de la partie supérieure de l'appareil par les particules d'huile entraînées avec le fluide de refroidissement. 



   Dans le cas où le silence au cours du fonctionnement doit être poussé aussi loin que possible, la suspension de-l'appareil peut encore être améliorée, cet appareil étant monté extérieurement dans un autre élément de carter plus ou moins élastique et étant rendu solidaire de ce carter au voi- sinage du centre de gravité. Ce second carter peut avoir la forme d'un res- sort tubulaire servant de suspension empêchant les oscillations mécaniques et peut former en même temps écran sonore et dispositif d'étanchéité ou d'i- solation empêchant les pertes de frigories.

Claims (1)

  1. Des modifications peuvent être apportées aux modes de réalisation décrits, dans le domaine des équivalences techniques, sans s'écarter de l'in- ventiona RESUME.
    I. Dispositif électrique d'entraînement en un mouvement oscilla- toire travaillant en résonance ou sensiblement en résonance avec la fréquence d'excitation caractérisé en ce que l'inductance de l'enroulement d'excitation devant etre alimentée en courant d'excitation alternant périodiquement et la capacité électrique fournie par l'inductance magnétique, les dimensions des masses oscillantes et la longueur des conducteurs de l'enroulement d'ex- citation sont calculées et déterminées de manière telle,l'une par rapport à l'autre, que la fréquence propre du système soit au moins voisine de la fréquence du courant d'excitation.
    II. Modes de réalisation de ce dispositif, présentant les parti- cularités conjugables suivantes : <Desc/Clms Page number 12> 1) L'inductance de l'enroulement d'excitation et la capacité électrique sont déterminées l'une par rapport à l'autre à l'aide d'un ressort mécanique et (ou) d'un condensateur électrique.
    2) Lors d'un fonctionnement à vide, la fréquence propre du dispositif est supérieure à la fréquence d'excitation, et cette fréquence se rapproche de la fréquence d'excitation et lui est sensiblement identique sous l'effet de la charge nominale.
    3) Il est prévu dans le circuit électrique,pour la détermination de la fréquence propre, un condensateur agissant en série avec la fréquence d'excitation, et le système mécanique travaille en soi en résonance, la capacité déterminée par l'inductance et la force du ressort, définie par les conditions de résonance mécanique, étant calculées, en tenant compte des deux systèmes oscillants comme s'ils formaient un seul circuit électrique oscillant dans lequel un circuit résonant en série est combiné à un circuit résonant en parallèle, afin qu'il en résulte au moins une réduction de la force du ressort et, dans le même esprit,de la capacité électrique.
    4) Il comprend une bobine télescopique sans fer travaillant de manière à assurer sur une base électro-dinamique la commande d'un compresseur, et il est prévu, afin de maintenir la bobine dans une position médiane exacte pendant le fonctionnement, deux compresseurs opposés actionnés en commun par cette bobine.
    5 Cette commande commune des compresseurs est assurée par l'intermédiaire d'une tige.
    6) L'intensité du courant dans la bobine parcourue périodiquement par un courant est supérieure à 6 amp/mm2.
    7) La section des conducteurs assurant la transmission du courant entre la source d'alimentation et l'enroulement de la bobine va en croissant.
    8) Cette augmentation de section est obtenue par l'utilisation de bagues de contact subdivisées logées dans des évidements du support de bobine.
    9) Des ressorts de contact hélicoïdaux à faible résistance mécanique assurent l'alimentation de la bobine télescopique en courant, les spires de ces ressorts ayant un profil général conique.
    10) La section des spires du ressort est notablement plus faible dans le sens radial que dans le sens axial, afin d'obtenir une faible inertie axiale lors du passage d'un courant intense.
    Il) Des bagues munies de nervures en matière amagnétique bonne conductrice de la chaleur sont disposées de part et d'autre de l'entrefer magnétique afin d'assurer l'élimination de la chaleur.
    12) Ces bagues sont interrompues (par exemple fendues) en un point au moins, afin d'éviter la formation de courants de Foucault.
    13) Deux bobines télescopiques travaillent chacune dans un champ magnétique et agissent en opposition sur le même élément de machine.
    14) Chacune des deux bobines est reliée à un piston mobile dans un cylindre commun aux deux pistons du système.
    15) Plusieurs systèmes à deux pistons agissent par paires sur une chambre de compression commune et peuvent être mis en circuit ou hors circuit selon la chargée 16) Ces systèmes à deux pistons sont disposés en étoile et peuvent être mis en circuit ou hors circuit séparément ou par paires.
    17) La course totale de la bobine télescopique est au moins égale à 1,5 cm.
    18) Des organes de transmission mécanique sont interposés entre la bobine télescopique et l'élément mené. <Desc/Clms Page number 13>
    19) Ces organes sont formés par des ressorts ou des dispositifs d'accouplement..
    20) Il est prévu un ressort de rappel divisé en plusieurs parties, l'élément mené n'étant raccordé qu'à un seul tronçon de ce ressort.
    21) Le point de raccordement de cet élément mené au ressort est réglable, 22) La bobine télescopique comprend un support tubulaire en ma- tière électriquement isolante évidé de manière à recevoir l'enroulement ce support étant monté par emboîtement sur un couvercle.
    23)Au delà des éléments d'alimentation en courant, ce couvercle se prolonge par un collet servant à la fixation amovible de la tige d'entraî- nement, 24) Ce collet assure en même temps avec un élément fendu le main- tien du ressort de rappel sur la tige.
    25) La fixation de la bobine télescopique sur la tige est assurée par un collier maintenu serré sur cette tige par des vis.
    26) Lors de l'utilisation d'un ressort, celui-ci est logé dans la cavité du support de bobine, autour de la tige, et travaille à la compression.
    27) Pour assurer la rétention du ressort dans le noyau de fer de l'aimant, ce ressort présente un diamètre de spire croissant, tout au moins en ce qui concerne la dernière spire, de manière à permettre la fixation du ressort dans le noyau en fer par la périphérie de cette spire.
    28) Cette fixation du ressort dans le noyau de fer est assurée par une cuvette.
    29) L'entrefer servant à la réception de la bobine télescopique est délimité par un élément en fer interne avec organes de guidage pour la tige et par une bague externe usinée ou emboitée dans un carter.
    30) L'élément en fer interne présente une autre cavité annulaire dont le diamètre croit vers le fond et munie dans la direction axiale de fentes réparties sur sa périphérie.
    31) Un aimant servant à produire un champ magnétique permanent est interposé entre le fond du carter et l'élément en fer interne.
    32) Les périphéries des éléments en fer non en retrait, raccordés à l'arête limite de la face de sortie de lignes de forces magnétiques de l'aimant, forment de tous côtés avec l'enveloppe de l'aimant un angle maximum inférieur à 180 .
    33) Cet angle est au moins égal à 90 d'un coté de l'aimant et l'élément en fer délimite l'entrefer avec le carter, la forme de cet entrefer au voisinage de la paroi externe de ce carter étant telle que le trajet de chaque ligne de force décrive sensiblement un rectangle fermé.
    34) L'élément en fer en forme de couvercle disposé sur l'aimant a une section au moins égale aux faces de sortie des lignes de force de l'aimant.
    35) Cet élément en fer forme avec le carter une section fermée sensiblement annulaire et l'aimant est concentrique à cette section annulaire, les faces de sortie des lignes de force étant perpendiculaires à l'axe de cette section et l'entrefer étant disposé également perpendiculairement à cet axe afin d'interrompre la continuité de ladite section.
    36) Pour la magnétisation préalable de la totalité du circuit en fer par l'intermédiaire de l'aimant, on assemble tout d'abord l'appareil à l'état non magnétisé, puis on connecte la bobine télescopique à une source de courant continu de puissance convenable pour obtenir une magnétisation permanente. <Desc/Clms Page number 14>
    37) Pour la commande d'un compresseur, la tige se prolonge par un piston de compresseur.
    38) Cette tige est creuse et a le même diamètre que le piston, son guide ayant également le même diamètre que le guide du piston.
    39) Le cylindre du compresseur forme par sa bride de montage, l'élément obturant le carter du dispositif d'entrainement.
    40) Ce carter présente des fenêtres pour la surveillance et le montage des organes mobiles;, qui peuvent être entourés par une douille montée par coulissement et formant une partie de ce carter.
    41) Le cylindre du compresseur est formé par une douille et un élément de carter muni de nervures ou d'ailettes de refroidissement, qui en- toure la douille à la manière d'un élément obtenu par moulage par injection.
    42) Cet élément de carter se prolonge par une bride de montage sur laquelle est prévu un organe de fixation en forme de culasse obturant la douille du compresseur.
    43) L'obturation de la douille et ainsi la détermination de la dimension 'de la chambre de compression supérieure quand le piston est au point mort sont assurées par un élément rapporté pénétrant plus ou moins par un bossage cylindrique dans la douille et pouvant coulisser longitudinalement sous l'influence d'organes élastiques.
    44) Les soupapes d'admission et de refoulement ont la forme de clapets soumis à la sollicitation de ressorts et sont logées dans un. carter particulier fixé amoviblement sur le carter principal et dont les orifices d'admission et de refoulement sont disposés longitudinalement au piston.
    45) La soupape de refoulement est déportée par rapport à la course du piston, de manière telle qu'il demeure dans le cylindre du compresseur, pour la marche à vide, un matelas d'air obtenu par décalage de cette soupape vers le bas par rapport à l'arête supérieure du piston quand celui-ci est dans sa position extrême.
    46) Le carter de soupapes est réuni au carter du compresseur par un plan de fixation et comporte des canaux d'admission et de refoulement, les soupapes commandant simultanément plusieurs de ces canaux.
    47) La chambre de la soupape de refoulement est usinée dans le carter de soupapes et celle de la soupape d'admission est usinée dans le car- ter du compresseur.
    48) Le côté aspiration du carter de soupapes portant la bride de montage est monté de fagon étanche aux gaz par un tube pouvant être rabatta- ble compensant les faibles variations de longueur.
    49) Ce tube est formé de deux trongons engagés l'un dans l'autre et dont les extrémités sont fixées par soudure.
    50) L'adduction et l'évacuation du fluide à comprimer sont assu- rées par des embouts reliés amoviblement au carter ou aux éléments du compres- seur et prolongés par un élément tubulaire élastique qui est relié par adhé- rence au carter ou aux embouts et aux autres guides tubulaires.
    51) Afin de compenser les déports axiaux entre le guide et le cy- lindre du compresseur,la tige est rendue élastique, dans le sens axial dans sa partie médiane, au moyen d'évidements alternés permettant une certaine dé- formation.
    52) Il est prévu, pour assurer le guidage dans les organes de gui- dage de l'élément en fer, des éléments rapportés fixés amoviblement dans ce- lui-ci et forme's d'une matière de glissement à base de matière synthétique.
    53) L'espace ménagé entre le carter et l'aimant forme, lors de l'u- tilisation de l'appareil comme compresseur de machines frigorifiques, le fond de cet appareil et sert de collecteurs d'huile le fluide de refroidissement arrivant dans cet espace et étant aspiré par 1 entrefer de l'aimant. <Desc/Clms Page number 15>
    54) L'appareil est disposé dans l'axe longitudinal du piston et est monté dans un organe de suspension élastique au voisinage de son centre de gravité, cet organe servant également d'isolation au bruit et de protection contre les gaz.
    55) Cet organe de suspension élastique est formé par un fourreau fermé en caoutcouc.
    56) La bride de montage forme avec le carter un ensemble monobloc et présente un alésage central se prolongeant par des bossages et formant le cylindre du compresseur.
    57) Les soupapes d'admission sont logées dans le bossage interne et les soupapes de refoulement du carter de soupapes dans le bossage externe du carter principal.
    58) Le carter présente une entretoise de guidage médiane en forme de cloison pour la tige de piston, cette cloison portant en même temps des cosses de fixation pour le ressort de contact.
    59) Le montage du ressort entre un bossage et la paroi s'effectue autour de la tige de piston, deux évidements servant à la fixation de ce ressort sur cette tige grâce à l'engagement de deux éléments fendus servant à la fixation d'une extrémité du ressort par des organes de serrage.
    60) Les organes de serrage comprennent une douille coulissant sur la tige de piston et coopérant avec un collet, cette douille comportant une bague pouvant être vissée en direction de l'élément rapporté.
    61) Le ressort travaille à la compression et est fixé sur la tige de piston au voisinage de l'élément rapporté, et il prend appui contre cette paroi.
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