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PERFECTIONNEMENTS RELATIFS AUX APPAREILS PHOTOGRAPHIQUESo
La présente invention se rapporte à la photographie et, plus particulièrement, aux appareils photographiques dans lesquels une feuille photosensible est impressionnée et ensuite traitée en superposant cette feuille sur une autre feuille et en répandant une composition de traitement entre ces feuilles.
L'invention a pour objet : - Un appareil photographique qui comporte un boitier délimitant un trajet suivant lequel une feuille avance; un nouveau dispositif d'arrêt pour faire cesser l'avancement de cette feuille; un dispositif d'arrêt permettant d'arrêter l'avancement d'une feuille présentant une suite de perforations marginales, ce dispositif d'arrêt comprenant au moins un doigt qui s'engage dans au moins l'une de ces ouvertures et un frein qui peut agir sur la feuille par engagement de l'un des doigts dans l'une des ouvertures ; unboîtier délimitant une chambre pourvue d'un passage d'entrée et d'un passage de sortie, cette chambre étant construite de manière à permettre à une feuille d'entrer dans la chambre par le passage d'entrée et d'en sortir par le passage de sortie;
un dispositif de fermeture pour ce passage de sortie, ce dispositif de fermeture, lorsqu'il se trouve dans la position d'ouverture, permettant l'avancement de cette feuille depuis la chambre par le passage de sortie ; des dispositifs d'arrêt qui, une fois en action, servent à arrêter l'avancement de la feuille; enfin, un dispositif sensible au déplacement du dispositif de fermeture pour rendre inopérant le dispositif d'arrêt;
enfin, un appareil pour impressionner et traiter au moins un cadre d'une feuille photosensible, appareil dans lequel on prévoit deux éléments presseurs entre lesquels on peut faire avancer la feuille photosensible et une autre feuille superposées, une couche de composition de traitement étant interposée entre
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elles pour former un "sandwich", cet appareil étant muni d un nouvéau dispo- sitif d arren servant à arrêter de façon prédéterminée lavancement de ce "sandwich"; - Un appareil de traitement, photographique du type comportant :
deux éléments presseurs entre lesquels on peut faire avancer une feuille photosensible et une autre feuille superposéesune couche de composition de traitement étant interposée entre elles, un. nouveau dispositif servant à disposer de fagon prédéterminée les éléments presseurs lun par rapport à l'autre;
- Ur= appareil photographique comportant un boîtier,deux rou- leaux presseurs- un premier dispositif de support pour recevoir l'un des rou- leaux, un second dispositif de suppcrt pour recevoir 1''autre rouleau, le premier et le second dispositifs de support étant mobiles l un par rapport à l'autre, enfin- des dispositifs d'alignement pour disposer les rouleaux l'un par rapport à l'autre de manière que leurs axes soient parallèles lorsque le premier et le second dispositifs de support se trouvent dans des positions relatives prédéterminées..
les dispositifs dalignement agissant pour compenser les imprécisions structurales du boîtier et du premier et du second dispositifs de support
Un appareil photographique du type ci-dessus dans lequel l'un des rouleaux comprend un dispositif à axe monté de manière à permettre le déplacement de l un des rouleaux par rapport à son dispositif de support et dans lequel 1 autre dispositif de support présente au moins un doigt qui lui est fixé et bute contre le dispositif à axe dans le but de disposer de fagon prédéterminée les rouleaux presseurs l'un par rapport à l'autre de manière que leurs axes soient parallèles;
- Enfin, des appareils photographiques des types qui précèdent et qui, en raison des mcdes de construction qui précèdent, sont d'une fabrication économique et d'un fonctionnement simple.
Dautres objets de l invention sont en partie évidents et apparaitront en partie dans la description qui va suivre.
Afin de permèttre une plus complète compréhension de la nature et des objets de 1 9 invention on va en donner la description détaillée suivante faite en se référant au dessin annexé sur lequel : = la figure 1 est une vue schématique fragmentaire,partiellement en coupe, dun appareil photographique portatif conforme à l'invention décrite ici, une feuille photosensible et une autre feuille y étant montées, la coupe étant faite suivant un plan passant par une ligne située à mi-distance des faces latérales de l'appareil photographique ; = la figure 2 est une vue à grande échelleen coupe fragmentaire, faite sensiblement par 2-2 de la figure 1 ;
- la figure 3 est une vue en coupe fragmentaire faite sensiblement par 3-3 de la figure 2 et montrant des détails des éléments presseurs entre lesquels on peut faire avancer lesdites feuilles qui sont superposées, une couche de composition de traitement étant interposée entre elles; - la figure 4 est une vue fragmentaire., à grande échelle, faite sensiblement par 4=4 de la figure 1; la figure 5 est une vue en coupe fragmentaire faite sensiblement par 5-5 de la figure 4; - la figure 6 est une vue fragmentaire faite sensiblement par 6-6 de la figure 5; la figure 7 est une vue en coupe fragmentaire faite sensiblement par 7-7 de la figure 6 ; - la figure 8 montre des vues en plan et marginale de l'un des éléments décrits ;
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- la figure 9 est une vue en coupe fragmentaire faite sensible- ment par 9=9 de la figure 2 et montrant des détails du dispositif d'arrêt servant à interrompre de façon prédéterminée l'avancement des feuilles; la figure 10 est une vue en coupe fragmentaire, similaire à celle de la figure 4, montrant le dispositif d'arrêt rendu opérant et la re- lation existant entre le dispositif d'arrêt et le dispositif de fermeture; = la figure 11 est une vue en coupe fragmentaire similaire à celle de la figure 5 montrant le dispositif d'arrêt rendu inopérant, et la figure 12 est une vue en coupe fragmentaire faite sensi- blement par 12-12 de la figure 9.
L'appareil photo graphique du type décrit ici comprend, d'une manière générale, un dispositif pour traiter une feuille photosensible impressionnée en superposant cette feuille photosensible sur une autre feuille et en répandant une mince couche d'une composition de traitement entre ces feuilles. La feuille photosensible peut comporter une couche d'halogénure d'argent. Dans l'un de ses modes de réalisation, la seconde feuille comporte une couche précipitant l'argent. La composition de traitement peut à titre d'exemple, comporter un révélateur, un solvant de l'halogénure d'argent et un alcali, En pratique, on superpose ces feuilles entre lesquelles est interposée une mince couche de composition de traitement en faisant avancer ces feuilles entre deux éléments presseurs.
Ce mode opératoire a pour résultat de développer l'image latente sur la feuille photosensible pour libérer l'argent et pour former,dans un cadre de la couche photosensible, un complexe soluble d'argent à partir d'un halogénure d'argent non impressionné pour permettre son transfert à l'autre feuille. Ce complexe, au moins en partie, peut être transféré par imbibition à un cadre de l'autre feuille où il peut être développé pour libérer l'argent afin de produire une image positive.
Le procédé photographique et les diverses espèces de feuilles photosensibles et autres feuilles auxquels on se réfère ici sont décrits en détail dans le brevet belge n 471.206 accordé le 31 mars 1947 pour "Perfectionnements à la photographie". Bien entendu, il est évident qu'avec l'appareil décrit ici, on n'est pas limité à l'utilisation d'espèces particulières de feuilles photosensibles ou autres feuilles, les expressions "feuille photosensible" et "autre feuille" étant utilisées dans leur sens le plus large pour désigner une première feuille qui est photosensible et une seconde feuille qui peut simplement aider à l'étalement de la composition de traitement sur la surface de la feuille photosensible ou qui peut, si on le désire, posséder d'autres caractéristiques.
D'une façon générale, le mode de réalisation objet de l'invention décrite ici et représentée sur le dessin annexé est un appareil photographique portatif dans lequel on prévoit une chambre d'impression et une chambre de traitement. On peut amener successivement les parties successives d'une feuille photosensible en position dans la chambre d'impression dans le but d'y produire des images latenteso A l'entrée de la chambre de traitement, on prévoit deux rouleaux presseurs qui sont conçus pour recevoir entre eux la feuille photosensible sortant de la chambre d'impression et pour superposer et faire coïncider la feuille photosensible avec une autre feuille.
L'autre feuille présente, sur l'une de ses surfaces, une suite de régions réceptrices d'images qui peuvent être amenées en coïncidence avec les cadres précités et une suite de poches contenant une composition de traitement sont fixées à ladite feuille, chaque poche étant associée à une région réceptrice d'images. Lorsque l'on fait avancer les feuilles superposées entre les rouleaux presseurs, la composition de traitement est éjectée hors d'une poche et est répandue sous forme d'une mince couche entre un cadre de la feuille photosensible et une région réceptrice d'image de l'autre feuille en formant, par suite, un "sandwich" qui avance dans la chambre de traitement.
On prévoit un dispositif d'arrêt pour faire cesser la progression du "sandwich" lorsque l'un des cadres et la région réceptrice d'image avec laquelle il coincide ont entièrement avancé entre les rouleaux. On laisse le cadre et la région précitée
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séjourner dans la chambre de traitement pendant une période de temps prédé- terminée au cours de laquelle limage latente dans le cadre se trouve déve- loppée et une épreuve positive se ferme dans la région réceptrice d'image avec laquelle coïncide le cadre précité A la fin de la période de temps pré- déterminée on peut ouvrir la chambre de traitement et extraire l'épreuve positive développée.,
En se référant maintenant au dessin,
sur lequel les mêmes nom-- bres de références désignent, les mêmes pièces, on voit que la figure 1 représente un appareil photographique portatif du type pliant, conforme à la présente invention. Un boîtier, désigné dans son ensemble par 20, supporte et renferme les diverses pièces constitutives de 1 appareil photographique. Un
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ensemble approprié 22 dobjectif e dobturateur (qui peut être de type classique mais qui est,, de pr f±:rece.1 du type décrit dans le brevet français n 960-373 du 24 octobre 1949 pour ''Perfectionnements relatifs aux mécapismes obturateurs des appareils photographiques" est associé au boîtier 20.
Dans le mode de réalisation représenté,, le boîtier 20 comporte une partie antérieure 24 qui présente une partie rentrante centrale 26 offrant une ouverture 28 transmettant la lumière: La partie 26 présente;,en outre, (figu- res 5 et 9) de# surfaces de guidage 30 qui entourent l'ouverture 28 et des éléments de guidage 32 prévus sur les cotés opposés de l'ouverture 28, ces éléments servant à mettre er place une feuille photosensible pour son impres-
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sion dans la surface focale de lobjectif de 1)
ensemb1e ?.2a Un soufflet ap- proprié 34 délimite un trajet optique allant de lobjectif de l'ensemble 22 à une feuille photosensible maintenue en position au voisinage de l'ouverture 28 par les surfaces 30 et les éléments 32. L une des extrémités du souf-
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flet 34 est fixée à l'ensemble 22 dune manière étanche à la lumière par un moyen tel qu'une plaque de serrage 36 bombée et présentant une ouverture centrale reliée de façon appropriée à 1'ensemble 22.
L'autre extrémité du soufflet 34 est fixée à la partie rentrante 26 de façon étanche à la lumière par un moyen tel qu'un joint 38 (figures 5 et 9) et des rebords de serra-
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ge 40 repliés vers 1 "'intérieure Un abattant 42 est monté à pivotement en 41 sur la partie antérieure 2.; cet abattant supporter l'ensenble 22 lorsqu'il se trouve dans la position d;; ouverture et,, en combinaison avec la partie rentrante 26.il recouvre et protège l'ensemble 22 lorsquil se trouve dans la position de fermeture.
Un dispositif approprié à biellettes, désigné dans son ensemble par 44, sert à redresser l'ensemble 22 lorsque l'abattant se
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trouve dans la position douver.ure 1/un des exemples de réserve de feuille photosensible qui peut être impressionnée et traitée dans appareil photographique de l'invention est représenté sur la figure 1 comme étant monté dans le boîtier 20.
Dette réserve se compose dune feuille photosensible 46 qui comporte., de.préféren cesun support approprié et une couche photosensible appropriée sur l'une des faces du supporte La couche photosensible peu+,, par exemple, se composer dune émulsion dhalogénure d'argent- et présente une suite de cadres qui sont destinés à recevoir une suite images latentes après "photoimpression". La réserve de feuille 46 est portée par une bobine 47 de type classique (figu- re 1 et 5) comportant une broche autour de laquelle est enroulée la feuille 46, deux disques 48 servant à aligner les spires successives de la feuille
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'46 et deux axes courts 49 s'étendant à partir des extrémités opposées de la bobine.
Pour supporter la réserve de feuille photosensible, on a prévu un élément 50 en forme d U (figurer 1, 5 et 7) comportant une partie 52 formant base et deux branches 540 En regardant la figure 7, on voit que la base 52 est fixée au bord inférieur de la partie antérieure 24 au moyen de rivets 56 et 58. Les branches 54 sont disposées au voisinage des bords opposés de la partie antérieure 24 et sont logées de façon fixe au moyen de deux parties
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courtes 60 tournées vers 1 "'intérieur et convenablement fixées à la partie antérieure 24. Chaque branche 54 présente une fente 62 qui peut recevoir l'un des axes courts 49.
Une fois que les axes courts 49 sont logés dans les fentes 62, les disques 48 empêchent le déplacement longitudinal de la bobine 47.Un ressort de freinage 66 (figures 5 et 7) dont la partie centrale peut
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être fixée à la base 52 par les rivets 56 et 58 et dont les extrémités por- tent contre les disques 48 sert à retenir les axes courts 49 dans les fentes
62 et à empêcher que la bobine 47 tourne trop vite.
Une autre feuille 70,qui peut être traitée en même temps que la feuille photosensible 46, provient comme on 1'a représenté sur la figure
1, d'une bobine 72. La feuille 70 comporte, de préférence, un support appro- prié et une couche appropriée réceptrice d'image sur l'une des faces du sup- port. La couche réceptrice d'image peut, par exemple, être constituée par l'une des compositions, à présent bien connues dans la technique, qui lui permettent de recevoir, dans ses régions successives réceptrices d'image, les épreuves positives des images latentes se trouvant dans les cadres de la feuille photosensible 46. On prévoit une suite de poches, désignées dans leur ensemble par 74 dans le mode de réalisation représenté, pour transpor- ter une composition de traitement liquide.
Comme représenté, les poches 74 sont fixées à la couche réceptrice d'image de la feuille 70 à intervalles régulièrement espacés depuis un endroit voisin de l'extrémité avant de celle-ci jusqu'à son extrémité arrière, les poches 74 étant espacées de manière que chaque poche soit associée à une région réceptrice d'image. Chaque poche est munie d'une partie que l'on peut faire éclater, tournée vers l'extrémité arrière de la feuille 70, cette partie pouvant éjecter la composition de traitement lorsque des forces opposées de compression sont appliquées sur la poche 74.
On prévoit des dispositifs pour supporter le rouleau 72 dans le boîtier 20. Comme représenté (figure 1) le rouleau 72 est monté dans un compartiment 80 dont les parois sont constituées par une portion 82 de la partie antérieure 24 et par diverses portions de deux éléments 84 et 86 en tôle. Des détails des éléments 84 et 86 sont particulièrement représentés sur les figures 2 et 3. L'élément 84 est convenablement fixé à la partie antérieure 24 au moyen d'un rivet 88 et est cintré en 90 pour constituer une paroi 92. Deux rebords 94 (dont l'un est représenté sur la figure 3) s'étendent à partir de la paroi 92 au voisinage de ses bords opposés et sont convenablement reliés à la portion 82.
Deux parois 96, analogues à des bras, partent des bords opposés de la paroi 92 et servent à retenir les extrémités opposées de la bobine 72. L'élément 86, analogue à l'élément 84, est fixé à la partie antérieure 24 au moyen d'un rivet 88. L'élément 86 est cintré en 98 pour former un prolongement 100 de la paroi 92. Deux branches 102, qui proviennent des bords opposés de Isolément 86, s'étendent de part et d'autre des parois 92 et 96 et sont fixées en 104 à la partie antérieure 24,
Conformément à la présente invention, on prévoit des dispositifs presseurs pour traiter les images latentes dans les cadres de la feuille 46.
Dans le mode de réalisation représenté, les dispositifs presseurs comportent deux rouleaux 106 et 108 (figures 1, 2 et 3) entre lesquels on peut faire avancer les feuilles 47 et 70 superposées. L'avancement d'un cadre de la feuille 46 et d'une région réceptrice d'image de la feuille 70 en- tre les rouleaux provoque l'éjection de la composition de traitement hors d'une poche 74 et l'étalement de cette composition de traitement entre les feuilles pour former un "sandwich" dans lequel l'image latente se trouvant dans le cadre est traitée et dans lequel il se forme une épreuve positive dans la région réceptrice d'image.
Le rouleau 106 est muni (figure 2) de deux parties terminales 110 à épaulement et d'une surface intermédiaire 112 exerçant la pression.
Le rouleau 108 présente une surface 114 exerçant la pression (figure 3).
Lorsque l'on fait avancer les feuilles 46 et 70 superposées entre les rouleaux 106 et 108, les parties terminales 110 à épaulement sont espacées de la surface 112 d'une distance égale à l'épaisseur totale des feuilles 46 et 70. Les rouleaux 106 et 108 sont construits de telle sorte que, dans de telles circonstances, la surface 112 soit espacée de la surface 114 d'une distance égale à l'épaisseur totale des feuilles 46 et 70, plus une faible quantité prédéterminée qui correspond à l'épaisseur de la couche de composition de traitement étalée entre les feuilles.
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Conformément à la présente invention, on prévoit des dispositifs qui délimitent une chambre d'impression dans laquelle on peut former les images latentes dans des cadres de la feuille 46 et une chambre de traitement étanche à la lumière dans laquelle on peut faire avancer un "sandwich" des portions de feuilles 46 et 70 sortant des rouleaux 106 et 108 et l'emmagasiner pendant une période de traitement prédéterminée. De tels dispositifs,dans le mode de réalisation représentée se composent dune pièce postérieure 116 et d'une pièce intermédiaire 118 du boîtier 20.
En regardant la figure lq on voit que la pièce postérieure 116 est fixée à pivotement à l'extrémité supérieure de la partie antérieure 24 au moyen d'une charnière 120 et que la pièce intermédiaire 118 est fixée à pivotement à lextrémité inférieure de la partie antérieure 24 au moyen d'une charnière 122. Les pièces 116 et 118, lorsqu'elles sont en position d'ouverture, permettent d'avoir accès à l'intérieur de l'appareil photographique. Lorsqu'elle se trouve en position de fermeture, la pièce 118 délimite une chambre d'impression en combinaison avec la partie antérieure 24 et le soufflet 34. Lorsquelles sont en position de fermeture, les pièces 116 et 118 délimitent, entre leurs surfaces voisines coopérantes, une chambre de traitement 123.
Une plaque de pression 124 (figures 1;, 2 et 5) sert à maintenir une partie de la feuille 46 en position d'impression sur les surfaces de guidage 30 et entre les éléments de guidage 32. Comme représenté, la plaque 124 est montée sur la pièce intermédiaire 118 par une lame de ressort 126 dont la partie centrale est convenablement reliée, en 127, à la pièce intermédiaire 118 et dont les extrémités sont convenablement reliées, en 129, à la plaque 124.
Dans le mode de réalisation représenté, le rouleau 106 (figu- re 3) est monté sur la pièce intermédiaire 118 et le rouleau 108 est monté sur la pièce arrière 116; les rouleaux sont montés de manière à se trouver juxtaposés de manière opérante lorsque les pièces 116 et 118 sont en position de fermeture et à être écartés l'un de l'autre pour permettre aux feuilles 46 et 70 de s'étendre entre eux lorsque les pièces 116 et 118 sont en position d-ouverture,
Dans le but d'engendrer la pression entre les rouleaux 106 et 108, on prévoit des dispositifs pour rappeler élastiquement le rouleau 106 vers le rouleau 108 lorsque les pièces 116 et 118 sont en position de fermeture.
Comme représenté (figure 2 et 3), le rouleau 106 est monté sur deux supports 128 qui sont disposés sur les bords opposés de l'extrémité libre de la pièce intermédiaire 118 par des moyens tels que des rivets 130. Chaque support 128 présente une fente-palier allongée dans laquelle fait saillie un manchon coulissant 134. Des axes courts 136 s'étendent à partir des extrémités opposées du rouleau 106 et sont regus dans les manchons 134. En raison de la construction coulissante des manchons 134 dans les fentes 132, le rouleau 106 peut se déplacer longitudinalement dans la fente 132 ou, autrement dit,peut se rapprocher et s écarter linéairement du rouleau 108 une fois que les rouleaux 106 et 108 sont juxtaposés de façon opérante.
Les dispositifs de rappel élastiquedans le mode de réalisation représenté, se composent de deux ressorts fléchis 138. sensiblement en forme d'U (figures 2 et 3) qui sont montés sur les côtés opposés du boîtier 20, chaque ressort étant monté entre une paroi 96 de Isolément 84 et une paroi latérale de la partie antérieure 34. Chaque ressort. 138 comporte deux branches 139 et 140.
Les ressorts 138 sont montés sur les bords opposés de l'élément 86, les branches 140 sétendant dans deux fentes allongées 142 prévues aux bords opposés du prolongement 100 et les branches 139 s'étendant dans deux fentes 144 pratiquées dans les branches 102. Les parties crochues 146 et 148 des ressorts 138 empêchent les branches 139 et 140 de sortir des fentes 144 et 142, respectivement. Les fentes 142 sont suffisamment allongées pour permettre aux branches 140 de se rapprocher et de sécarter de façon importante des branches 139. Les branches 140 présentent des prolongements arqués 150 qui portent contre des gorges périphériques 152 prévues sur les périphéries des manchons 134.
En regardant la figure 3, on voit que, si la pièce intermédiaire 118 est en position d'ouverture, les prolongements arqués 150 sont espacés
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des manchons 134 et que les parties crochues 148 sont rappelées élastique- ment pour venir buter contre les extrémités de gauche des fentes 142. Si lon fait pivoter à la fois la pièce intermédiaire 118 et la pièce arrière
116 en position de fermeture;, les prolongements arqués 150 portent contre les manchons 134 et repoussent le rouleau 106 contre le rouleau 108.
Dans le mode de réalisation représentée l'étalement efficace de la composition de traitement 76 entre les feuilles 46 et 70 dépend de l'endroit où sexercent les forces de compression des rouleaux 106 et 108 et de leur sens. Afin que ces forces de compression s'appliquent à 1'en- droit voulu et s'exercent correctement, il est désirable que les rouleaux soient alignés de façon précise. En conséquence, on prévoit des dispositifs pour aligner les rouleaux de façon opérante lorsque la pièce intermédiaire
118 et la pièce arrière 116 sont en position de fermeture. Dans le mode de réalisation représentée le rouleau 108 est monté (figure 3) sur la pièce arrière 116 par un moyen tel qu'un berceau 154.
Le berceau 154 comporte u- ne chape 156 et deux branches 158 dont chacune présente une fente-palier allongée 160. Des axes courts 162 s'étendent à partir des extrémités oppo- sées du rouleau 108 et s'étendent dans les fentes 160. Un manchon 164, représenté sur la figure 3 en traits interrompus, est monté sur chaque axe court 162 entre une branche 158 du berceau 154 et une extrémité du rouleau 108.
Deux doigts 166 s'étendant à partir des supports 128 et viennent buter contre les manchons 164 dans le but d'aligner les rouleaux 106 et 108 lorsque la pièce intermédiaire 118 et la pièce arrière 116 sont en position de fermetureEn regardant la figure 3, on voit que, lors de l'avancement des feuilles 46 et 70 entre les rouleaux 106 et 108, le rouleau 108 est repoussé vers le bas ainsi que les axes courts 162 qui se déplacent dans les fentes 160 s'étendant verticalement jusqu'à ce que les manchons 164 portent contre les doigts 1660
En pratique, la feuille 46 part de la boite 47 (figure 1), passe au delà des surfaces de guidage 30 (figure 5) et arrive au contact du rouleau 106 (figure 1).
La feuille 70 (figure 1) part de la bobine 72, arrive au contact du rouleau 108 et se superpose à la feuille 46 pour former avec celle-ci un "sandwich" qui passe entre les rouleaux et dans la chambre de traitement 123. En regardant la figure 1, on voit que les parties inférieures de la pièce arrière 116 et de la pièce intermédiaire 118 sont construites de manière à constituer une chambre de traitement 123 présentant un passage de sortie 168 par lequel on peut extraire les portions du "sand- wich" placé dans la chambre de traitement. L'usager, en saisissant la partie avant du "sandwich" sortant du passage 168, peut tirer le "sandwich" par le passage 168 et faire, par suite, avancer les parties non traitées des feuilles 46 et 70 entre les rouleaux 106 et 108 et dans la chambre de traitement 123.
Ainsion peut faire avancer un cadre de la feuille 46, initialement placé en vue de son impression sur les surfaces de guidage 30, pour le faire coïncider avec une région réceptrice d'image de la feuille 70. La continuation de l'avancement des feuilles 46 et 70 entre les rouleaux 106 et 108 provoque l'éjection de la composition de traitement 76 hors de la poche 74 associée audit cadre et à la région réceptrice d'image et provoque l'étalement de la composition de traitement entre elles pour former un "sandwich".
Le cadre et la région réceptrice d'image avancent à partir des rouleaux 106 et 108 dans la chambre de traitement 123 et peuvent y séjourner pendant une période de temps prédéterminée au cours de laquelle l'image latente du cadre est traitée et au cours de laquelle il se forme une épreuve positive dans la région réceptrice dàimage.
On prévoit un dispositif de fermeture approprié, tel qu'un volet 170 (figures 1, 4 et 5) pour permettre à 1'usager d'extraire l'épreuve positive non-développée de la chambre de traitement 123. Comme représenté, le volet 170 est articulé en 172, à la pièce arrière 116 du boîtier 20. Le volet 170 se compose d'un élément extérieur 174 et d'un élément intérieur 176, tous deux analogues à une feuille. L'élément 176 est muni de plusieurs nervures 178, dont les surfaces convexes servent à guider le "sandwich" au
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fur et à mesure quil avance dans la chambre de traitement 123.
On prévoit des dispositifs appropriés pour verrouiller le volet 170 en position de fer- meture, ces dispositifs sous la forme représentée,comportant un chariot 180 de section en forme d'U, dont les branches circulent sur les surfaces concaves de deux des nervures 178 susmentionnées.
Une languette 182 s'étend à partir du chariot 180 et s'étend à travers une fente 184 pratiquée dans la pièce arrière 116 lorsque le volet 170 se trouve dans la position de fermeture., Au moyen d'un dispositif tel qu'un bouton 186 qui peut être embouti vers l'extérieur du chariot 180 et qui passe à travers une fente allongée 188 ménagée dans Isolément 174, l'usager peut faire glisser la languette -182 dans la fente 184 dans le but de verrouiller le volet 170 en position de fermeture ou bien il peut faire glisser la languette 182 hors de la fente 184 dans le but de permettre l'ouverture du volet 170. Un prolongement 190 du chariot 180 est muni d'une saillie 192 qui peut coopérer avec deux évidements 194 de Isolément 176 pour immobiliser la languette 182 en position verrouillée ou déverrouillée.
Une fois qu'une région réceptrice d'ima- ge et un cadre avec lequel elle est mise en coïncidence ont séjourné dans la chambre de traitement 123 pendant une période de temps de traitement prédéterminée, on peut ouvrir le volet 170. On peut maintenant détacher l'épreuve positive du reste de la feuille 70, cette action étant aidée par une série de perforations (non représentées) qui séparent la région réceptrice d image davec le reste de la feuille 70 et, en même temps, .on peut la détacher du cadre de la feuille 46 avec lequel elle a été mise en coïncidence.
Il est désirable que la lumière ne pénètre pas dans la chambre 123 au cours du traitement d'un cadre et d'une région réceptrice d'image mise en coïncidence dans cette dernière. Conformément à la présente invention, on prévoit des dispositifs pour rendre la sortie 168 étanche à la lumière.
Comme représenté, ce dispositif se compose d'une barre 196 (figures 1, 4 et 5) articulée en 198 à la pièce arrière 116 et comportant des parties marginales qui, une fois que la barre 198 est en position de fermeture, viennent en contact étroit avec les parties du bottier 20 qui sont voisines du passage 168. Un moyen tel qu'un ressort enroulé 200 peut rappeler les parties marginales de la barre 196 en position de fermeture. Le bord 202 de la barre 196 est normalement en contact avec les feuilles superposées 46 et 70 s'étendant à partir de la sortie 168 et sert de lame de coupe au moyen de laquelle l'usager peut séparer les parties du "sandwich" sortant du passage 168 d'avec les parties restant dans la chambre 123.
On prévoit des dispositifs de verrouillage pour immobiliser la pièce arrière 116 en position de fermeture, ces dispositifs de verrouillage fonctionnant au voisinage des bords du boîtier 20 afin de ne pas gêner le passage de sortie 168 (figures 5, 6, 7 et 8). Les dispositifs de verrouillage sous la forme représentée, se composent de deux supports 203 et 204 qui sont convenablement fixés aux bords opposés de la pièce arrière 116, de manière à se trouver de part et d'autre de la chambre 123. Le support 203 présente un évidement 206. Le support 204 (figure 8) présente un évidement 208 et une partie entaillée 210.
Un élément allongé ou lame 212 qui est monté pour pouvoir coulisser sur la partie avant 24 grâce à des fentes appropriées 214 pratiquées dans les branches 54 de l'élément 50 de section en forme d'U, peut coopérer avec les supports 203 et 204 de la manière suivante. Les extrémités de la lame 212 constituent deux saillies 216 et 218, la lame 212 étant repliée sur elle-même, comme indiqué en 220, de manière que les saillies 216 et 218 s'étendent dans le même sens, La lame 212 peut être disposée de façon opérante afin que les saillies 216 et 218 s'engagent respectivement dans les évidements 206 et 208 pour fixer la pièce arrière 116 à la partie antérieure 24.
La lame 212 peut être placée de manière à être rendue inopérante pour que les saillies 216 et 218 soient dégagées des évidements 206 et 208 respectivement afin de permettre le pivotement de la pièce arrière 116 par rapport à la partie antérieure 24.
Un élément coulissant 222 pouvant être commandé à la main permet à un usager de positionner sélectivement la lame 212; cet élément coulissant 222 peut aller et venir sur la partie avant 24. L'élément coulissant
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222 présente une extrémité repliée 224 que l'usager peut saisir entre ses doigts et deux fentes allongées 225 dans lesquelles s'étendent les rivets
56 et 58. On prévoit une bande métallique 226 pour relier de façon opérante l'élément coulissant 222 et la lame 212. La bande 226 présente une saillie
228 qui en fait partie intégrante et qui fait saillie dans une encoche 230 prévue dans la lame 212.
La bande 226 est reliée à Isolément coulissant 222 au moyen de deux rivets 232 qui sétendent à travers deux fentes allongées
234 ménagées dans la partie avant 24, 1une des extrémités de chaque rivet 232 étant fixée à la bande 226 et l'autre extrémité étant fixe à l'élément coulissant 222. Un élément 238 de section en forme d'U est fixé à la partie avant 24 par les rivets 56 et 58 dans le but de masquer la majeure partie de l'élément coulissant 222
On prévoit des écrans appropriés pour interdire l'entrée de la lumière dans la chambre d'impression 123 lorsque le volet 170 ou la barre
196 ou encore les deux sont ouverts.
L'un de ces écrans est représenté en 240 (figures 1, 9 et 12) comme comportant un élément en tôle convenablement fixé à la pièce transversale 156 du berceau 1540 En regardant la figure 1, on voit que la partie inférieure de l'écran 240 est pliée vers l'intérieur en 242 et porte normalement contre une surface de la feuille 70 s'étendant dans la chambre 123. La partie supérieure 244 de l'écran 240 sert à retenir la bobine 72 dans la chambre 80.
On prévoit un dispositif d'arrêt pour interrompre le déplace- ment du "sandwich" lorsque ce dernier a avancé d'une longueur prédéterminée entre les rouleaux 106 et 108. Le dispositif d'arret, dans le mode de réa- lisation représenté, comporte un frein 246 (figures 1, 9 et 12) qui est mon- té pour pouvoir coulisser sur une surface de l'écran 240, par exemple au moyen de deux saillies 248 (figure 12) faisant partie intégrante de 1 écran 240. Le frein 246 est cintré dans sa partie médiane, en 249, et présente plusieurs dents 250.
En se reportant à la figure 9, on voit que le frein 246 est opérant lorsqu'il a été repoussé vers le bas dans une position où il arrête l'avancement des feuilles 46 et 70; lorsque le frein 246 est re- poussé vers le bas, les dents 250 perforent les feuilles 46 et 70 et les serrent contre le rouleau 106. Grâce à la partie cintrée 249, la partie in- férieure du frein 246 se comporte comme une came qui suit le rouleau 108 dans le but de diriger convenablement les dents 250 vers le rouleau 106.
Les saillies 248 se trouvent dans un plan qui est espacé d'une manière tel- le du plan du corps principal de 1.9 écran 240 que le frein 246 peut pivoter légèrement grâce à Inaction de came de la partie inférieure du frein 246.
On peut dire que le frein 246 est rendu inopérant lorsqu'il a été rappelé vers le haut dans une position où il est écarté du rouleau 108 et des feuil- les 46 et 70. Normalement, le frein 246 est rappelé vers le haut dans une position où il est rendu inopérant au moyen d'un ressort 251 en fil métal- lique (figure 12) dont le centre est relié au frein 246 et dont les extré- mités sont reliées à l'écran 240.
Conformément à la présente invention, on prévoit des disposi- tifs de commande pour actionner le frein 246 après avancement d'un cadre de la feuille 46 et de la région réceptrice d'image de la feuille 70 avec la- quelle il est mis en coïncidence dans la chambre de traitement 123. En vue de son utilisation dans le mode de réalisation représenté, la feuille 70 peut présenter des paires d'ouvertures 235 régulièrement espacées (l'une de celles-ci est représentée sur la figure 1), les ouvertures d'une paire étant situées aux bords opposés de la feuille 70 et l'une des paires étant associée à une région réceptrice dimage. Comme représenté (figures 9, 10, 11 et 12),
le dispositif de commande comprend une enclume 252 qui fait par- tie intégrante du prolongement 100 de l'élément 86 et qui offre une surface sur laquelle la feuille 70 peut se déplacer au cours de son avancement.
Cette surface présente deux évidements 254 sur lesquels les paires douver- tures 255 peuvent se déplacer en alignement avec eux. Deux doigts d'arrèt 256, qui sont dans l'alignement des évidements 254 et qui sont prévus pour s'engager dans une paire d'ouvertures 255 pratiquées dans la feuille 70, font saillie à travers une paire de fentes 257 (figure 12) ménagées dans
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1 écran 240; ces doigts sont montés de la manière suivante : deux axes courts 258. à épaulement, sont supportés sur les branches 158 du berceau 154; deux leviers 260 sont montés à pivotement et peuvent coulisser sur les axes 258 au moyen de fentes allongées 261 dans lesquelles s'étendent les axes ; un pont 262 de section en forme d'U relie l'un des leviers 260 à l'autre et s'étend en travers de l'appareil photographique.
Les axes d'arrêt 256 sont montés sur ce pont, Gn prévoit des dispositifs élastiques pour repousser les doigts d'arrêt 256 pour leur permettre de s'engager dans une paire d'ouvertures 255 avec laquelle ils viennent s'aligner au cours de l'avancement de la feuille 70 sur la surface de l'enclume 252. Comme représenté, le dispositif élastique comporte deux ressorts 263, situés aux bords opposés du boîtier 20, chaque ressort 263 étant relié en 264 à la pièce arrière 116 et à un levier 260, par exemple par une saillie 265.
Les ressorts 263 rappellent le pont 262 et, par conséquent, les doigts d'arrêt 256 suivent un déplacement résultant comportant une première composante sensiblement perpendiculaire à l'enclume et orientée vers celle-ci et une seconde composante sensiblement parallèle au sens d'avancement de la feuille 70 et en sens inverse de celuici au delà de l'enclume 252. En regardant les figures 9, 10, 11 et 12, on voit que le déplacement vers le haut du pont 262 cesse lorsque l'extrémité inférieure de la fente 261 porte contre l'axe court 258.
Afin que le frein 246 réponde à la coopération des doigts d'arrêt 256 avec une paire d'ouvertures 255 pratiquées dans la feuille 70, le pont 262 sur lequel les doigts d'arrêt 256 sont montés et le frein 246 sont reliés entre eux de façon opérante. Dans le mode de réalisation représenté, le pont 262 et le frein 246 sont munis de rebords 259 et 266 (figures 9 et 12) respectivement qui portent l'un contre l'autre, ce qui fait que l'introduction d'au moins lun des doigts 256 dans une ouverture 255 de la feuille 70 au cours de son avancement (figures 9, 10, 11 et 12) provoque le déplacement vers le bas du pont 262 et l'actionnement du frein 246.
On prévoit des dispositifs pour permettre le dégagement des a- xes 256 d'une paire d'ouvertures 255 de la feuille 70 de manière à permettre le déplacement vers le haut du pont 262 en raison de la contraction des ressorts 263 et le déplacement vers le haut ou mise hors d'action du frein 246 en raison de Inaction du ressort 251. Il est évident que la mise hors d'action du frein 246 permet la répétition du cycle d'impression et de traitement.
Dans le mode de réalisation représenté, le dispositif de désolidarisation comporte deux mécanismes similaires situés aux bords opposés du boîtier 20. Chaque mécanisme comprend un levier de renvoi 274 monté à pivotement sur l'un des axes courts 258. A l'une de ses extrémités, le levier de renvoi 274 présente une rampe 276. Chaque levier 260 est muni d'un doigt 278 contre .lequel peut porter la rampe 276 lorsque le levier se trouve dans sa position la plus basse, le levier étant repoussé dans cette position lorsque les doigts d'arrêt 256 s'engagent dans les ouvertures 255 de la feuille 70 au cours de l'avancement de celle-ci.
Sur les figures 10 et 11, on voit que, lorsque le levier 260 se trouve dans sa position la plus basse, la rotation dans le sens des aiguilles d'une montre du levier de renvoi 274, en raison de la venue en contact de la rampe 276 avec le doigt 278, provoque la rotation dans le sens des aiguilles d'une montre du pont 262 et le dégagement des doigts d'arret 256 hors des ouvertures 255 de la feuille 70. Après désolidarisation des doigts d'arrêt 256 hors des ouvertures 255 de la feuille 70, les ressorts 263 rappellent le pont 262 et chaque levier 260 dans leur position la plus haute en permettant, par suite, la mise hors d'action du frein 246.
Dans le mode de réalisation représenté, on prévoit des dispositifs pour relier la barre 196 au levier de renvoi 274 de manière que l'usager puisse ouvrir la barre 196 pour saisir l'extrémité avant du "sandwich" et puisse faire avancer ce dernier entre les rouleaux 106 et 108, le frein ayant été rendu inopérant par l'ouverture de la barre 196.
Comme représenté,
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ce dispositifcomporte deux biellettes 280 situées sur les bords opposés du boîtier 20,, 1 une des extrémités @e chaque biellette étant reliée, comme indiqué en 282, à l'un des leviers de renvoi 274 et l'autre extrémité étant reliée à un prolongement 284 de la barre 196" En se référant aux figures 10 et 11, on voit que cette construction est telle quune rotation de 90 en sens inverse des aiguilles d'une montre de la barre 196 provoque la rotation dans le sens des aiguilles dune montre de chaque levier de renvoi 274, la sortie des doigts darrêt 256 hors des ouvertures 255 de la feuille 70 et la mise hors d'action résultants du frein 246.
après avoir fait tourner la barre 196 en sens inverse des aiguilles d'une montre pour rendre inopérant le frein 246.on fait alors tourner la barre 196 dans le sens des aiguilles d'une montre jusquà ce que le bord 202 repose contre le "sandwich" s'étendant à partir de la sortie 168 de manière qu'au cours de 1 avancement et du traitement du "sandwich",
un minimum de lumière pénètre dans la chambre de traitement 1230 Un tel déplacement dans le sens des aiguilles d'une montre provoque normalement le déplacement en sens inverse des aiguilles d'une montre du levier de renvoi 274 jusquà une position dans laquelle la rampe 276 est située à 1-'extérieur de la région dans laquelle le doigt 278 avance lorsque les doigts d'arret 256 s'engagent de nouveau dans les ouvertures 255 de la feuille 70. Le déplacement dans le sens inverse des aiguilles d'une montre de chaque levier de renvoi 274 est limité par deux saillies 286 qui sont reliées aux branches 158 du berceau 154.
Afin que les dispositifsde verrouillage fonctionnent normalement pour arrêter l'avancement du "sandwich" dans la chambre de traitement 123 bien que la barre 196 soit complètement ouverte, couverture dans laquelle chaque levier de renvoi reçoit l'axe court 258 est de plus grand diamètre que la partie de l'axe court qu'elle reçoit. Un dispositif élastique tel que la lame de ressort 285 (figure 12) est convenablement fixé à l'axe court 258 pour rappeler le levier de renvoi 274 dans la position verticale.
Cette construction permet le pivotement du levier de renvoi 274 dans un plan qui comprend l'axe longitudinal de l'axe court 258. Cest ainsi que, si la barre 196 est complètement ouverte de manière que le levier de renvoi 274 occupe sa position extrême dans le sens des ai- guilles d'une montre,la rampe 276 faisant saillie dans la région dans laquelle le doigt 278 avance lorsque les doigts d'arrêt 256 s'engagent de nouveau dans les ouvertures 255 de la feuille 70;, 1'avancement du. doigt 278 dans cette région est néanmoins possible.
Lorsqu'un tel avancement se produite le doigt 278 bute contre la rampe 276 pour provoquer le pivotement du levier de renvoi 274 dans un plan qui comprend laxe longitudinal de l'axe court 2580 On peut maintenant désolidariser les doigts d'arret 256 et les ouvertures 255 dans lesquelles ils sont engagés en fermant d'abord la barre 196 et en la faisant ensuite pivoter jusqu'à sa position de complète ouverture.
Lors du fonctionnement de l'appareil photographique représenté, on fait pivoter de la partie arrière 116 et la partie intermédiaire 118 jusqu'à la position douverture pour permettre d'avoir accès à 1?intérieur du boîtier 20. On monte la bobine 47 sur Isolément 50 et on introduit la bobine 72 dans le compartiment 80. On extrait la feuille 46 de la bobine 47 pour la faire passer sur les surfaces de guidage 30, ce qui amène en position les cadres de la feuille 46 dans la surface focale de l'objectif de l'ensemble 22. Les feuilles 46 et 70 sont maintenant superposées et s'étendent à partir du rouleau 106 le long de la surface arrière de la pièce intermédiaire 118 jusqu)en un point situé au delà de son extrémité articulée.
On.fait maintenant pivoter la pièce arrière 116 jusqu'à la position de fermeture dans le but de juxtaposer de fagon opérante les rouleaux 106 et 108 et de constituer la chambre de traitement 123. On saisit à présent les extrémités avant des feuilles 46 et 70 et on les extrait de la chambre de traitement 123 jusqu'à ce que les doigts d'arrêt 256 sengagent dans les ouvertures 255 de la feuille 70 qui sont associées au cadre avant de la feuille 46. Le cadre avant de la feuille 46 se trouve maintenant en position d'impression. Après impression de ce cadre, on fait pivoter la barre 196 jusqu'à la position de complète ouverture pour faire sortir les doigts d'arrêt des ouvertures 255 dans lesquelles ils sont engagés.
L'usager peut à nouveau saisir les extrémités
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avant des feuilles 46 et 70 et peut faire avancer les feuilles entre les rouleaux 106 et 108 jusqu'à ce que les doigts d'arrêt 256 s'engagent encore une fois dans les ouvertures 255 de la feuille 70. Au cours de l'avancement des feuilles 46 et 70 entre les rouleaux 106 et 108 et dans la chambre de traitement 123,la composition de traitement 76 se trouve éjectée du bord arrière d'une poche 74 et se répand entre un cadre de la feuille 46 et une région réceptrice dimage de la feuille 70,la composition de traitement agissant pour traiter le cadre et pour former dans la région réceptrice d'image une épreuve positive.
Une fois que le cadre et la région réceptrice d'image superposés ont séjourné dans la chambre de traitement 123 pendant une période de traitement prédéterminée on ouvre le volet 170 et on détache du reste de la feuille 70 la partie de feuille 70 qui porte l'épreuve positive et on la décolle en même temps du cadre de la feuille 46.
Au fur et à mesure que le cycle d'impression et de traitement se poursuit, on peut régulièrement séparer du reste des feuilles 46 et 70 les parties des feuilles 46 et 70 qui dépassent de la sortie 168 en les coupant au moyen du bord 202 de la barre 196.
Il est bien évident que l'on peut appliquer l'invention décrite ici à des structures photographiques autres que l'appareil photographique représenté ici. On peut, par exemple, appliquer l'invention à diverses unités de traitement qui ne sont pas directement associées à un dispositif d'impression photographique.
REVENDICATIONS.
1. Appareil photographique, comportant une chambre dans laquelle on peut faire avancer une feuille, un dispositif d'arrêt qui, une fois rendu opérant., peut coopérer avec une ouverture pratiquée dans la feuille pour arrêter l'avancement de cette dernière, et un dispositif de fermeture mobile destiné à une sortie de cette chambre et pouvant, par son déplacement., mettre hors d'action le dispositif d'arrêt.