BE511232A - - Google Patents

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BE511232A
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Description

       

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  PROCEDE ET MOYENS PERFECTIONNES POUR PREVENIR LE FANAGE DES PLANTES ET 
POUR REVIGORER DES PLANTES FANEES JUSOU'A LA FRAICHEUR COMPLETE. 



   Si une plante frâche et pleine de sève, par exemple un légume, est détachée de sa racine, sa teneur en liquide diminue graduellement par suite de la transpiration et de l'évaporation de l'eau contenue dans les cellules remplies de liquider et après un certain temps dont la durée dépend de la température, de l'humidité et d'autres facteurs de l'atmosphère exté- rieure, la plante commence à se faner et finit par se détruire complètement. 



   Jusqu'à   présent'on   ne disposait d'aucun moyen pratique pour ar- rêter ces phénomènes de destruction   ipévitables   et nuisibles. 



   Le but primordial de la présente invention est de créer un procé- dé pour parer au fanage des plantes. Sous le terme "plantes" on entend ci-après, par exemple, légumes, fleurs et fruits. 



   Un autre but de la présente invention est de rendre à des plantes déjà fanées leur fraîcheur et leur turgescence complètes. 



   Ceci s'effectue conformément à la présente invention en infiltrant du liquide, comme de l'eau ou une solution aqueuse, principalement par les stomates, dans les espaces intercellulaires, de manière à les saturer com- plètement ou partiellement, et en répétant l'opération à intervalles appro- priés. Ainsi une grande réserve d'eau est emmagasinée dans les plantes avec cet effet visuel que les plantes acquièrent un aspect plus turgescent qu'elles ne l'avaient avant le traitement. 



   Les tiges pendantes des plantes déjà fanées se redressent tout de suite et redeviennent rigides, les feuilles fanées se déploient à nouveau et les fruits ridés retrouvent leur rondeur naturelle. 



   Les plantes traitées suivant la présente invention restent frai- ches et comestibles et conservent une haute valeur nutritive pendant des 

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 périodes plus longues que ce qui est autrement possible.- 
Comme le traitement ne nécessite que très peu de temps pour son application effective = un cycle complet ne dure   seumement   que 1 à 10 minu- tes - et comme le développement d'un grand choix de moyens a été réalisé pour le traitement de petites,moyennes et grandes quantités de plantes, la présente invention constitue un progrès important pour la conservation de matières alimentaires essentielles et de valeur, dont un pourcentage élevé serait autrement perdu pour la consommation   humaine.   



   On désigne ici sous le nom de "super-turgescence" l'état dans lequel les plantes contiennent plus d'eau que dans leur état normal de frai- cheuro Pour parer au fanage des plantes, ou pour rendre aux plantes déjà fanées leur fraîcheur complète, il est essentiel de changer leut état normal en état de super turgescence et de les maintenir dans cet état pendant tou- te la période prévue pour leur conservation. 



   Conformément à l'un des aspects de la présente invention, on crée un procédé pour empêcher le fanage des plantes et pour rendre aux plantes fanées leur fraîcheur complète, suivant lequel les plantes sont mises en contact avec un liquide, soumis à, une condition quelconque choisie parmi plusieurs conditions de pression, par laquelle le liquide est obligé-de pé- nétrer et de saturer partiellement ou totalement'les espaces   interoellulai-   res de ces plantes. Ces conditions de pression du liquide peuvent être produites par la force centrifuge, l'énergie cinétique, une pression stati- que supérieure à la pression atmosphérique, des variations de pression au- dessus de la pression atmosphérique, des variations de pression au-dessus ou en-dessous de la pression atmosphérique ou encore des ondes de pression. 



   Ces différentes conditions de pression peuvent se répéter à in- tervalles appropriés. 



   La condition de pression résultant de la forme centrifuge peut être obtenue en submergeant les plantes à traiter dans un liquide contenu dans un tambour rotatif fermé et en faisant tourner ce tambour à grande vi- tesse autour de son axe. 



   La condition de pression résultant de l'énergie cinétique est obtenue en dirigeant un jet de liquide, divisé en fines particules et se déplaçant à grande vitesse, contre les surfaces des plantes à traiter. 



   La condition de pression résultant de la pression statique supérieure à la pression atmosphérique est obtenue en submergeant les plantes dans un liquide contenu dans un récipient fermé, en augmentant la pression dans ce récipient jusqu'au-dessus de la pression atmosphérique et obligeant ainsi le liquide à pénétrer et à saturer les espaces intercellu- laires des plantes. 



   Il a cependant été constaté qu'il est plus efficace d'utiliser des variations de pression à basse ou moyenne fréquence, soit au-dessus soit au-dessus et en-dessous de la pression atmosphérique, produites par des pom- pes appropriées. 



   Finalement on peut encore utiliser des ondes de pression et dans ce cas, les plantes sont submergées dans un liquide contenu dans un récipient fermé, le récipient étant secoué ou animé d'oscillations par voie mécanique ou bien des ondes de pressions de haute ou de très haute fréquence, peuvent être produites dans le liquide même, par exemple par des effets de magnétos- triction ou piezo-électriques. 



   Après remplissage des espaces intercellulaires des plantes par du liquide, les cellules voisines des espaces intercellulaires absorbent une partie du liquide par osmose à travers leurs membranes cellulaires et ce phénomène se propage rapidement de cellule en cellule à travers la plan- te entière jusqu'à ce que la totalité de ses tissus soient complètement sa- turés de liquide et retrouvent ainsi leur fraîcheur et turgescence complètes. 



  Ceci a lieu également si les plantes   étaiénts   déjà fanées auparavant de fa- çon avancée. 

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   Ce mouvement de liquide remplace donc en grande'partie les acti- vités des racines et du "système   vasculairé"   des plantes qui ont été   èndom--   magées en les coupant. Ainsi on peut de nouveau distribuer   du   liquide dans toute la masse des plantes et ceci constitue la raison principale pour la prolongation remarquable de la vie des plantes cueillies, traitées suivant ce procédé. 



   La restauration complète des plantes dont les espaces intercel- lulaires ont été plus ou moins complètement remplie, est immédiate et cela offre un spectacle des plus étonnants de voir sortir d'une machine ou d'un appareil des plantes complètement fanées qui ont retrouvé toute leurs fraî- cheur et turgescence après un traitement ne durant que quelques minutes. 



   En utilisant le système de saturation partiel des espaces inter- cellulaires, la restauration des plantes demande un certain temps qui dépend des conditions atmosphériques, de la nature des plantes, de leur condition avant le traitement et qui peut durer de 30 minutes à plusieurs heures. 



   La plus grande réserve possible de liquide peut être fournie aux plantes en saturant complètement de liquide les espaces intercellulaires. 



  Une telle condition des plantes a cependant un effet adverse sur la respi- ration et l'assimilation normales des cellules végétales en empêchant l'é- change de gaz à l'intérieur et à l'extérieur des espaces intercellulaires etsi cette condition persiste pendant un certain laps de temps, la putré- faction a lieu invariablement. ' 
Pour parer à ce sérieux désavantage, plusieurs procédés de satu- ration partielle des espaces intercellulaires ont été examinés. On   a-cepen-   dant constaté que ce mode de saturation n'offre aucune solution au problème, car une saturation partielle de ce genre a toujours pour résultat de satu- rer complètement de liquide certaines régions des espaces creux, qui sont aussi susceptibles d'être affectées par la putréfaction que des plantes com- plètement saturées. 



   La solution complète de ce problème consiste dans le développe- ment d'un autre aspect de la présente invention, conformément auquel on crée un procédé pour prévenir le fanage des plantes et pour revigorer les plantes fanées jusqu'à leur fraîcheur complète suivant lequel les plantes sont mi- ses en contact avec du liquide, qui est soumis à une condition de pression quelconque parmi plusieurs autres, par laquelle le liquide est obligé de pénétrer et de saturer partiellement ou complètement les espaces intercel- lulaires des plantes et une partie ou la plus grande partie du liquide qui a ainsi pénétré dans les plantes, est   subséquemment-   enlevé. 



   Le procédé comprend donc les moyens pour refouler le liquide dans les espaces intercellulaires des plantes et pour enlever par après une par- tie ou la plus grande partie de ce liquide. 



   Si,par exemple, une feuille est complètement infiltrée, tous ses espaces intercellulaires sont complètement saturés de liquide, en formant une région continue et ininterrompue de cavités internes inondées, s'éten- dant sur la feuille entière. 



   En cas de saturation seulement partielle il existe un grand nom- bre de larges poches de régions inondées, entourées de régions qui sont ou bien entièrement vides ou qui contiennent un grand nombre de petites poches de liquide infiltré, réparties de façon très uniforme. 



   En enlevant une partie du liquide indésirable de la feuille en- tièrement remplie, on aboutit d'abord à un état ressemblant de très près à une feuille partiellement saturée, c'est-à-dire dans laquelle la région d'infiltration continue se subdivise en un certain nombre de grandes poches de liquide, intercalées dans des régions contenant de petites poches de li- quide. 



   Ces trois conditions sont défavorables aux plantes et doivent être évitées. 

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   Si l'on poursuit ou répète l'opération de vidange des espaces intercellulaires, les grandes poches de liquide se subdivisent alors éga- lement en un réseau de petites poches. 



   Finalement, en poussant encore plus loin ou en répétant cette opération de vidange, les petites poches de liquide sont également enlevées des espaces intercellulaires et il ne reste qu'une mince couche de liquide, couvrant et adhérent fermement aux membranes des cellules qui forment les parois des espaces intercellulaires. Cette pellicule de liquide constitue un mouillage plus ou moins uniforme des surfaces intérieures des tissus des plantes et comme ces surfaces intérieures ont une aire beaucoup plus grande que les surfaces extérieures, ce mouillage interne fournit une quantité am- plement suffisante d'humidité pour satisfaire les besoins des cellules végé- tales si et quand c'est nécessaire. 



   Les deux dernières conditions des plantes sont très avantageuses et il faut essayer de les réaliser. Ni la pellicule mince de liquide, ni les petites poches de liquide n'ont d'influence de quelque importance sur l'échange normal de gaz des plantes et ne donnent lieu à la¯putréfaction. 



   Les légumes, les fleurs et certains fruits changent de couleur sous l'effet de l'infiltration; ceci est dû aux différences de réflection et de réfraction de la lumière qui passe ou qui est réfléchie par les espaces intercellulaires qui sont remplis ou d'air ou de liquide. Ainsi, les régions infiltrées des légumes verts apparaissent en couleur vert foncé et parfois "vitreuses" alors que les pétales des fleurs apparaissent trans- lucides avec les tons pastels plus délicats modifiés en nuances variées. 



   Ce fait particulier constitue un moyen aidé et ssignificatif pour juger du degré d'infiltration des espaces intercellulaires par du liquidé par simple   observation   visuelle du degré et de la distribution de;la décolo- ration des plantes. 



   L'infiltration d'un légume à feuilles par exemple, a été correc- tement exécutée dans ses stades divers si de grandes tâches d'un vert foncé (correspondant aux grandes poches) apparaissent après la saturation et si, après enlèvement d'une certaine partie du liquide, ces grandes tâches ont été remplacées par un réseau plus ou moins uniformément distribué de petites tâches vert foncé (correspondant aux petites poches) variant en grandeur depuis une tête d'épingle jusqu'à un petit pois. On continue à retirer du liquide, la couleur du réseau des petites taches devient plus claire, jus- qu'à ce qu'il disparaisse. Dans cette condition, le légume (ou la fleur) apparaît parfaitement normal, toute décoloration ayant disparu, mais la plante contient toujours du liquide additionnel sous forme de mouillage intérieur. 



   Par l'absorption de liquide par les cellules végétales et le mouil- lage intérieur, avec ou sans petites poches additionelles de liquide, l'état des plantes a été transformé de l'état naturel en état de super-turgescence. 



   Après un certain temps, une partie de cette réserve d'eau conte- nue dans les plantes aura disparu par suite de l'évaporation. Si l'entièreté de cette réserve d'eau est complètement épuisée, l'état de super-turgescen- ce sera perdu et les plantes se faneront de nouveau. Il faut avoir soin de répéter le traitement des plantes avant d'arriver à cet état de choses pour assurer les meilleurs résultats. 



   Plusieurs moyens et procédés ont été développés pour enlever le liquide indésirable des espaces intercellulaires. 



   Suivant un da ces procédés les plantes sont exposées à des con- ditions atmosphériques qui favorisent et accélèrent l'évaporation naturelle du liquide. Ainsi les plantes infiltrées auparavant, peuvent être exposées au soleil ou à une atmosphère chaude, de préférence de faible humidité, l'air peut être mis en circulation au moyen de courants naturels ou par le vent ou par des moyens artificiels tel qu'un ventilateur. Les plantes peuvent également être retournées de temps en temps de manière à exposer toutes les 

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 parties à l'air. 



   Cette évaporation naturelle demande un certain temps et l'on veil- lera à ce que l'enlèvement du liquide inutile s'effectue endéans 12 à 24 heures. 



   Si après ce temps, le résultat envisagé n'a pas été obtenu, ou dans des cas où l'évaporation naturelle ne peut avoir lieu, par exemple par suite de manque de temps, ou de conditions de temps favorables ou absence d'un opérateur entraîné et expérimenté, des moyens artificiels plus drasti- ques peuvent être utilisés. 



   Un de ces moyens artificiels pour enlever le liquide inutile des espaces intercellulaires des plantes, consiste à exposer ces plantes à l'ac- tion de la force centrifuge. Par exemple, pour effectuer cette opération, les plantes sont placées dans un tambour rotatif ne contenant aucun liquide et on fait tourner le tambour à grande vitesse autour de son axe, de manière à entraîner.lesplantes à une vitesse circonférentielle d'au moins 9 mètres par seconde. 



   Suivant un autre procédé, et après saturation des espaces inter- cellulaires des plantes par du liquide, le liquide inutile peut être enlevé en plaçant les plantes dans une chambre fermée ne contenant pas de liquide et soumises à pression supérieure à la pression atmosphérique, qui, par exem- ple, peut être de 14 kg. par cm. carré ou davantage. Cette opération de vidange peut se répéter, si c'est nécessaire, une ou plusieurs fois. 



   Après saturation ou saturation substantielle des espaces inter- cellulaires des plantes par du liquide, le liquide inutile peut être enlevé des espaces creux intérieurs des plantes en.introduisant les plantes dans une chambre fermée ne contenant aucun liquide et en soumettant la chambre à un vide qui peut être représenté par une colonne de mercure de 368 mm. ou plus. Cette opération peut se répéter une ou plusieurs fois si c'est né- cessaire, et cette répétition a pour résultat d'enlever une plus grande quantité liquide des plantes. 



   Ou bien, le liquide indésirable peut être enlevé des plantes en introduisant les plantes dans une chambre fermée ne contenant aucun liquide et en soumettant la chambre à des variations de pression à basse ou moyenne fréquence. Chaque type ou combinaison de variations de pression peut être utilisé. Par exemple, les variations de pression peuvent être entièrement supérieures à la pression atmosphérique ou entièrement inférieures à la pression atmosphérique ou bien elles peuvent varier d'une pression inférieu- re à la pression atmosphérique à une pression supérieure à la pression at- mosphérique et vice-versa. 



   Le liquide inutile peut également être enlevé par application de vibrations où oscillations purement mécaniques à moyenne ou à grande fré- quence. 



   On peut encore enlever le liquide inutile par un courant d'air très rapide pour faire sortir l'eau, courant ayant une vitesse de 7 mètres par seconde ou davantage. Si un courant d'air de ce genre est mis en con- tact avec les plantes, le liquide inutile est enlevé des espaces intercel- lulaires, et en outre, les surfaces extérieures des plantes seront séchées simultanément. 



   Après avoir subi l'un quelconque des traitements décrits ci-de- vant, les plantes peuvent être séchées sur leurs faces extérieures. Ceci constitue une phase essentielle car sans cela, la putréfaction se produi- rait rapidement. Le séchage des surfaces peut se faire en soumettant les plantes à la force centrifuge, à des mouvement de changement de direction d'accélération plus ou moins brusques, tels que des vibrations ou oscilla- tions mécaniques ou encore par l'action d'un courant d'air. 



     Pour'les   différentes opérations d'infiltration, on utilise nor- malement de l'eau froide limpide à laquelle on peut cependant, dans certains buts déterminés, ajouter d'autres substances. 

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   Si l'on veut réduire au minimum la perte d'eau infiltrée, on peut y ajouter des substances inhibitrices, telles que l'acide   2-4     dichlorophé=   noxy acétique, substance qui, utilisée à raison de 0,3 gr. par litre, réduit la transpiration des plantes d'environ à la moitié de sa valeur normale. 



  L'acide   beta-naphtoxy   acétique constitue un moyen similaire, qui utilisé à la même concentration, cause la fermeture des'stomates. 



   La perte de vitamines C dans les plantes déjà fanées peut être compensée en ajoutant au liquide d'infiltration de l'acide ascorbique en quantités appropriées. 



   Aux légumes destinés à être mis en conserve, on peut ajouter des substances médicinales de diverses façons. On peut, par exemple pour des    personnes anémiques, introduire du chlorure ferreux ; avecle liquide de sa-   turation de la vitamine C ou du gluconate de chaux peut être ajouté pour les personnes qui en auraient besoin. 



   Des colorants peuvent également être ajoutés, tels que par exem- ple pour les petits pois à mettre en conserve, de la   chlorophyle   sous forme colloïdale ou sous forme du sel de sodium d'acide   chlorophvlline-carbonique.   



  Plusieurs colorants différents peuvent encore être ajoutés au liquide d'in- filtration pour obtenir des effets remarquables avec les fleurs. A des fleurs blanches ordinaires ou légèrement colorées, on peut redonner des tons d'une ou plusieurs couleurs différentes allant des teintes les plus pales au noir. L'infiltration peut se borner uniquement aux fleurs de ma- nière à conserver aux feuilles leur couleur naturelle. Des couleurs à l'aniline solubles dans l'eau peuvent être utilisées, comme par exemple le safran, la fuchsine basique, la fuchsine basique, la fuchsine acide, le ru- bin S, le violet de méthylène, le carmin, le violet de méthyle B, l'indigo, le violet gentian B, le violet de crystal, le brun de manchester, le noir vénitien, la saffranine T. 



   Un autre but de l'invention comprend la préservation des produits après traitement ou entre des traitements successifs, et conformément à ce but de l'invention, les plantes, après infiltration des espaces intercellu- laires par du liquide suivant un procédé quelconque ou après traitement par l'un des procédés exposés ci-dessus, sont conservées dans une atmosphère froide. Ainsi par exemple l'air d'une chambre de stockage peut être main- tenu à une température allant-de 0  C. à 15  C. Par ailleurs, l'air peut être mis en circulation dans cette chambre au moyen d'un ventilateur ou de courants de convection. La chambre peut être équipée de moyens artificiels de réduction de la température. elle peut aussi contenir ou être arrosée de germicides ou d'ozone. Elle peut être illuminée au moyen d'une lumière ultra-violette.

   Des installations peuvent être prévues dans la chambre de stockage pour l'air et pour le tenir à un haut degré d'humidité. 



   Un autre but de l'invention se rapporte aux machines et appareils nécessaires à l'exécution des traitements de prévention du fanage des plan- tes et de revigoration complète des plantes fanées tels qu'on les représente sur les dessins en annexe sur lesquels : 
La figure 1 montre une coupe en élévation de profil d'une forme de machine. 



   La figure 1 A est une coupe verticale représentant une vue détail- lée d'une forme modifiée du couvercle. 



   La figure 1 B est une vue en plan de, la figure 1 A dont on a en- levé la partie supérieure. 



   La figure 2 est une coupe à travers une autre forme de machine. 



   La figure 3 est une coupe suivant la ligne 3-3 en fig. 2. 



   La figure 4 est une coupe représentant la soupape d'échappement agrandie. 



   La figure 5 est une coupe verticale à travers une autre forme de machine. 

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   La figure 6 est une coupe suivant la ligne 6-6 en fig. 5. 



   La figure 7 est une coupe suivant la ligne 7-7 en fig. 5. 



   La figure 8 est une vue détaillée d'une partie de cette machine. 



   La figure   9   est une coupe à travers une autre forme d'appareil. 



   La figure 10 est une coupe à travers une autre forme d'appareil. 



   La figure 11 est une vue en plan d'une autre forme d'appareil. 



   La figure 12 est une coupe suivant la ligne 12-12 de la figure 11. 



   La figure 13 est une coupe suivant la ligne 13-13 de la figure 11. 



   La figure 14 est une coupe à travers une autre forme d'appareil. 



   La figure 15 est une coupe suivant la ligne 15-15 de la figure   14.   



   La figure 16 est une coupe à travers une autre forme de machine. 



   La figure 17 est une coupe à travers une autre forme de machine. 



   La figure 18 est une coupe à travers une autre forme de machine. 



   La figure 19 est une vue agrandie d'une partie de cette machine. 



   La figure 20 est une vue schématique du circuit de pompage de la machine dans son autre position. 



   La figure 21 est une vue en plan d'une autre forme de machine. 



   La figure 22 est une coupe suivant la ligne 22-22 de la figure 21. 



   La figure 23 est une coupe verticale d'un détail. 



   La figure 24 est une coupe suivant la ligne   24-24   de la figure 22. 



   La figure 25 est une coupe suivant la ligne 25-25 de la figure 22. 



   La figure 26 est une coupe suivant la ligne 26-26 de la figure 25. 



   La figure 27 est une coupe à. travers la pompe de cette machine. 



   La figure 28 est une coupe suivant la ligne 28-28 de la figure 27. 



   La figure 29 est une vue représentant un type d'installation à fonctionnement continu conforme à l'invention. 



   La figure 30 est une vue d'un détail d'une partie de l'installa- tion. 



   La figuré 31 est une coupe à travers une autre forme de machine. 



   La figure 32 est une coupe d'un détail de cette machine. 



   La figure 33 est une coupe suivant la ligne 33-33 de la figure 31. 



   La figure 34 est une coupe détaillée de la soupape de contrôle. 



   La figure 35 est une coupe suivant la ligne 35-35 de la figure 34. 



   La figure 36 est une vue d'un autre type d'appareil. 



   La figure 37 est une vue en plan de cet appareil. 



   La figure 38 est une coupe suivant la ligne 38-38 de la figure 37. 

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   La figure 39 est une vue en plan d'un autre type d'appareil. 



   La figure 40 est une coupe suivant la ligne   40-40   de la fi- gure 39. 



   La figure   41   est une vue en plan de la figure 40. 



   Les constructions représentées   surrles   figures 1 à 4 sont des exemples du procéédé utilisant la force centrifuge comme moyen d'inffltra- tion d'eau dans les plantes. Les constructions sont.destinées au traitement de quantités moyennes de plantes s'élevant jusqu'aux environs de 50 kgr. par cycle. Le traitement est rapide et efficace et demandent de 3 à 8 mi- nutes pour un cycle complet d'opérations tel que décrit ci-après. 



   Dans la construction représentée sur la figure 1, la machine com- prend un tambour   400   monté sur un arbre vertical 401 porté pat un roulement à billes   402   contenu dans un manchon 403. A son extrémité inférieure, l'ar- bre   401   est pourvu d'une poulie   404   commandée par une courroie   405   à partir du moteur électrique   406.   



   La base de la machine est constituée par une pièce coulée en fonte 407 sur laquelle est fixée une enveloppe cylindrique extérieure   408.   La base   407   porte sur un côté une ouverture de décharge   409   et est montée sur des roues appropriées 410. La base est recourbée vers le bas en forme de canal comme on le voit en   411   pour rejoindre la décharge   409   et elle est pourvue de saillies   412   auxquelles sont attachés des bras 413 du manchon   403   au moyen des boulons   414   et des écrous 415.

   Cette connection comprend des manchons en caoutchouc pour permettre d'amortir les chocs provoqués par le tambour   400   par suite du déséquilibre des plantes qui y sont conte- nues, avant qu'ils ne soient transmis à la pièce en   407.   



   La partie supérieure de l'enveloppe extérieure 408 est pourvue d'un couvercle   416   articulé à l'enveloppe au moyen d'une charnière   417   de manière à maintenir le couvercle   416   dans la position ouverte par la bride 418 qui s'engage dans l'anneau 419 disposé au sommet de l'enveloppe. Cet anneau 419 possède une oreille en saillie qu'embrassent deux plaques 420 attachées au couvercle   416;   ces trois éléments sont pourvus de trous   421   destinés à recevoir une broche de fermeture pour bloquer le couvercle en position fermée et pour 'empêcher de claquer quand le tambour tourne. 



   Le tambour   400   est pourvu d'un couvercle 422 portant un anneau   423   qui s'étend vers le bas et un anneau formant joint   424   de manière à assurer le contact hermétique du couvercle avec la couronne supérieure du tambour. Le couvercle   422   comporte également un anneau de mise en place   425   monté à sa partie inférieure, pourvu d'un certain nombre de rainures qui sont découvertes quand le couvercle   422   est relevé. Des pistons à res- sort   427   sont logés dans des oreilles   428   placées sur la couronne du tambour. 



   L'arbre 401 traverse à l'intérieur du tambour vers le haut et sa partie supérieure est pourvue d'un pas de vis 429 sur lequel s'adapte un écrou   430   à poignées 431 qui permet de le tourner pour serrer de façon étanche le couvercle 422 sur le tambour. L'écrou 430 est pourvu d'une bride   432   qui vient au contact d'une plaque 433 fixée au sommet du couver- cle. 



   La partie supérieure de l'écrou 430 est pourvue d'un filet inté- rieur 434 de sens opposé au pas 429, disposé de manière à être apte à rece- voir le pas de vis 435 disposé à l'extrémité inférieure du pivot 436 dont l'extrémité supérieure porte une poignée   437.   Le pivot 436 est logé-dans un manchon 438 fixé dans le couvercle 416; un ressort 439 fonctionne entre le fond du manchon et la face inférieure de la poignée   437,   et doit être assez robuste pour pouvoir supporter le couvercle 422 quand il est porté par le couvercle 416 comme on l'explique ci-après. 



   Le pivot 436 est pourvu à cet effet d'un collier 440 et quand la machine doit être ouverte pour être remplie de plantes, le pivot 436 est poussé vers le bas jusqu'à ce que le bout conique du pas de vis 435 pénètre 

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 dans le bout évasé vers l'extérieur du filet intérieur   434.   Quand la poi- gnée 437 est tournée dans le sens approprié, le bout vissé 435 du pivot s'en- gage dans la partie intérieure filetée jusqu'à ce que le collier 440 vienne au contact de la tête de l'écrou   430,   puis la rotation de la poignée 437' dévisse l'écrou 430 de la partie supérieure de l'arbre 401.

   Quand l'écrou 430-est détaché de l'extrémité de l'arbre   401,   le ressort 439 soulève le pivot 436 et le couvercle 422 jusqu'à ce que le collier 440 vienne au con- tact de la face inférieure du manchon   438.   Le couvercle 416 peut alors s'ou- vrir et basculer dans sa position verticale avec le couvercle 422 qui y fer- mement attaché de telle manière que le couvercle 422 ne se sépare pas dé - la machine et ne soit pas déposé sur le plancher ou en un endroit quelconque où il pourrait être endommagé.

   Les plantes sont alors introduites dans le tambour tout en étant contenues dans un panier à traillis 441 pourvu d'un couvercle 442 et de poignées pliantes   443.   Le panier est mis en place dans le tambour au moyen des éléments de guidage circonférentielle   4440   
Le tambour 400 étant complètement rempli d'eau, le couvercle 416 est abaissé'et le pivot 436 est descendu jusqu'à ce que l'écrou 430 vienne au contact du bout supérieur de l'arbre   401.   La rotation de la poignée 437 dans le sens approprié visse l'écrou 430 légèrement dans le filet 429 puis le bout fileté 435 commence à se dévisser de l'écrou 430 jusqu'à ce qu'il soit complètement libre et que la poignée 437 remonté sous la pression du ressort.

   Le couvercle   416   est alors soulevé et l'écrou 430 fermement vissé à la main. Le couple élevé nécessaire à la fixation du couvercle exige un certain type de dispositif de blocage (non représenté) pour fixer le tambour   400.   Le couvercle 416 est alors fermé. L'opération de pénétration du liqui- de dans les espaces intercellulaires des plantes commence à ce moment. 



   Le moteur est mis en marche, et le tambour 400 commence à tourner. 



  L'eau si elle ne remplit pas complètement le tambour, après aboir atteint la vitesse du tambour, se dispose d'elle-même suivant un cylindre creux le long des parois du tambour, et les légumes =- qui sont plus lourds que l'eau- se disposent tout près du tamis. Dans le cylindre d'eau, la pression aug- mente rapidement proportionnellement au carré de sa distance à.l'axe de rotation. Cette.pression fait pénétrer l'eau dans les plantes et saturer les espaces intercellulaires en chassant en,même temps l'air qu'ils contien- nent. Les plantes se trouvant le plus près de la circonférence intérieure du tambour étant   exposées a.   la pression la plus haute, présenteront le plus haut pourcentage d'infiltration, ce pourcentage d'infiltration, ce pourcen- tage diminuant graduellement dans les couches disposées plus près de l'axe. 



  Après le temps   requis, le moteur est@déconnecté   et le frein 445 vient au' contact de la face'supérieure de- la poulie 404 en manoeuvrant la   pédale-447-du   levier à 
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 frein 446 a .1'.encontre de l'action dcrresBDrt.Jt.46A pour a!!:'l!1'êterfu3rrota:1ieE W tmlbar. 



  Le couvercle   416   est ouvert et-le couvercle 422 est soulevé légèrement, quand on dévisse   l'écrou   430 légèrement mais suffisamment pour permettre que les bouts supérieurs des fentes 426 remontent un peu- au-dessus de la couronne du tambour   400.   Le couvercle   416   est fermée le moteur est réenclenché et le tambour tourne. Les pistons 427 produisent un frottement additionnel qui empêche un mouvement relatif entre le couvercle 422 et le tambour   400.   



  L'eau s'échappe par les fentes 426 et est ditigée vers le bas par l'anneau 423 pour s'échapper finalement par la décharge   409.   C'est alors que l'on peut procéder au séchage des surfaces extérieures des plantes. En   continuant   à faire tourner le tambour pendant un certain temps approprié, les surfaces extérieures des plantes peuvent être¯séchées..Si la vitesse atteinte par le tambour est suffisamment élevée, une partie ou la plus grande partie du liquide infiltré peut être refoulée à l'extérieur, les surfaces -extérieures des plantes étant séchées simultanément. 



   On manoeuvre alors la poignée 437 de la manière déjà décrite plus haut pour soulever le couvercle 422, après quoi le couvercle 416 peut être basculé en arrière pour qu'on puisse enlever les légumes traités dans leur panier et les remplacer par des légumes à traiter. 



   Les figures 1A et 1B représentent une modification de la construc- tion désignée ci-dessus, dans laquelle des moyens sont prévus pour pouvoir 

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 soulever le couvercle du tambour et permettre l'échappement du liquide sans arrêter la rotation du tambour de manière que le temps nécessaire à la réa- lisation d'un cycle complet de traitement puisse être réduit. 



   Comme on le représente sur la figure lA, la construction du cou-   verple   448 est semblable à celle du couvercle 422 représentée sur la figure 1 et peut être fixée à l'extrémité supérieure de l'arbre   401.   La partie supérieure de l'arbre est pourvue d'un écrou 449 qui s'engage sur le filet 450 et le bout inférieur de l'écrou est pourvu d'un collier à rebord 451 qui peut glisser sur l'écrou et y est attaché au moyen d'une clavette 452. 



  En-dessous du collier 451 un autre écrou 453 se visse sur le bout inférieur de l'écrou 449 et un ressort 454 fonctionne entre la face supérieure de cet écrou et la bride relevée 455 du couvercle   448.   



   D'écrou 449 est pourvu d'un certain nombre (dans ce cas-ci 4) de paires de branches 456 disposées radialement. 



   Entre chaque paire de branches 456 est placé un pivot 457 sur lequel pivotent une paire de manivelles 458 supportant entre elles un galet 459 monté sur un 'pivot   460.   



   Le couvercle 448 est pourvu d'une bride annulaire   461   dirigée vers le haut. Un anneau 462 monté de manière à pouvoir glisser verticale- ment dans cette bride, est pourvu de poignées 463 disposées radialement et également de paires d'oreilles 464 dirigées radialement vers le centre et embrassant les branches 456 de l'écrou 449 de manière que, quand on fait tourner l'anneau 462 au moyen des poignées 463, les oreilles 464 font tour- ner l'écrou   449.   



   Un ressort 465 agit entre la partie inférieure des poignées 463 et les nervures 466 de la face supérieure du couvercle   448.   



   Des moyens semblables à ceux désignés sur-la figure 1 sont éga- lement prévus pour lever le couvercle et comportent un pivot 467 monté dans un manchon 468 fixé sur le couvercle extérieur 469, pourvu d'un bouton de manoeuvre 470 monté sur son extrémité supérieure et d'un ressort   471   agis- sant entre la partie inférieure du bouton 470 et la face supérieure de la bride du manchon   468.   Le pivot est pourvu d'un collier 472, est muni d'un pas de vis 473 à son extrémité et aussi d'un nombre approprié de bras 474 (en ce cas trois) disposés radialement qui portent sur leurs extrémités des galets 475 montés sur les pivots   476.   Ces galets sont.disposés verticalement au-dessus du bord supérieur de l'anneau   462.   



   Le fonctionnement de ce mécanisme est le suivant : Si l'on veut soulever le couvercle 448 pour permettre l'échappement du li- quide après que l'infiltration a été complète, on imprime un choc intense vers le bas au bouton 470 ou bien on le pousse vers le bas à la main de ma- nière que les cylindres 475 viennent au contact du bord supérieur de l'an- neau 462 et poussent celui-ci vers le bas à l'encontre de la pression du ressort 465 jusqu'à ce qu'il occupe la position représentée à gauche en poin- tillé sur la figure 1 A.

   Auparavant; la bridè 477 de l'anneau 462 dirigée vers l'intérieur empêche le mouvement des galets 459 mais aussitôt que l'an- neau est abaissé, 'les galets 459 se déplacent vers l'extérieur sous la forte pression du liquide exercée sur le couvercle 448 et sous   l'action   de la for- ce centrifuge dans la position indiquée en pointillés à gauche de la figure 1 A. Ce mouvement est rendu possible du fait que la ligne des centres des pivots 457 et 460 est écartée du point mort.

   Quand ceci est produit, la pression de liquide à l'intérieur du tambour, produite par la force centri- fuge agit pour soulever le couvercle 448 et déplace également le collier 451 vers le haut en maintenant sa surface supérieure au contact de la face inférieure des cylindres   459.   Ainsi le couvercle s'est   suffisamment   soule- vé pour permettre l'échappement du liquide au-dessus du bord supérieur du tambour sans que le tambour cesse de tourner. Quand la plus grande partie du liquide a été déchargée du tambour et que la pression du liquide dans le tambour est par conséquent insuffisante à maintenir le couvercle 448 dans sa position relevée, le ressort 454 remplit ce rôle et permet ainsi l'échap- 

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 pement de la dernière goutte du liquide. 



   Quand l'opération est terminée, le couvercle 448 peut être sou- levé au moyen du pivot 467 de la manière déjà   décrit,-pour   la construction précédente en abaissant le pivot 467 jusqu'à ce que son extrémité filetée   473's'engage   sur le filet de vis 478 de l'écrou   449.   L'abaissement du pi- vot 467 ainsi exécuté, pousse l'anneau 462 vers le bas jusqu'à ce qu'il occupe la position représentée en pointillé à droite de la figure 1 A. 



   L'extrémité filetée 473 se visse ensuite fermement en position et la continuation de sa rotation dévisse l'écrou 449 et soulève ainsi le couvercle 448 jusqu'à ce que l'écrou se détache de l'extrémité de l'arbre 
401; le ressort 471 agit ensuite pour soulever le couvercle 448 jusqu'à ce que le collier 472 vienne de nouveau au contact de la partie inférieure du manchon   468.   



   Pour remettre le couvercle   448   en place, on abaisse le couvercle 
469 en position et on abaisse le pivot 467 jusqu'à ce que l'écrou 449 s'en- gage partiellement sur le bout fileté 450 de l'arbre 401, après quoi la ma- nipulation du bouton 470 dévisse l'extrémité du pivot   467.   



   Une légère pression de la main exercée sur la face supérieure du couvercle 448 fait redescendre celui-ci à l'encontre de l'action du res- sort 454 et permet ainsi au ressort 465 de pousser l'anneau 462 et la bride 
477 vers le haut en dépassant les galets 459, et ramenant ces derniers et les manivelles 458 dans leur position d'origine. Le soulèvement de l'anneau 
462 est limité par la face supérieure de l'anneau 477 qui vient au contact des faces inférieures des branches   456.   On fait alors tourner l'anneau 462 à la main au moyen des poignées 463 jusqu'à ce qu'une forte pression soit exercée par l'écrou 449 par l'intermédiaire des manivelles 458, des cylindres 
459 et du collier 451 sur le couvercle 448, en appliquant celui-ci herméti- quement contre le bord supérieur du tambour. 



   Dans une autre construction représentée sur les figures 2 à 4, l'infiltration est également produite par la force,centrifuge. Dans ce cas, les plantes sont submergées dans de l'eau dans un tambour rotatif fermé 250 commandé par un moteur électrique 251 et tournant autour de son axe. Le tambour contient un tamis cylindrique 252 disposé concentriquement au tam- bour, de diamètre plus petit, mais de la même longueur. Après remplissage du tambour par des plantes et du liquide jusqu'à un niveau approprié on ferme le couvercle 253 à la partie supérieure du tambour et on fait tourner le tambour autour de son axe à très grande vitesse. 



   Après infiltration complète, l'eau peut s'échapper de la machine centrifuge sans l'arrêter. A cet effet, une soupape de levée 254 est pré- vue et est disposée radialement dans la paroi du tambour; cette soupape 254 est poussée contre son siège par la force centrifuge et un ressort 255. 



    -Ce   ressort est rattaché à un axe à pivot fixe monté sur des oreilles 256 à l'extérieur-du tambour, et le ressort est également rattaché à l'extrémité d'un levier 257 pivotant sur d'autres oreilles 258 placées sur le tambour, le levier lui=même étant pourvu d'un galet 259 fixé à son autre extrémité . 



   Le levier 257 est également fixé à la tige de la soupape 254. 



   Une barre de guidage recourbée 260 est disposée à l'intérieur de la trajectoire du galet et pivote sur un axe 261 disposé parallèlement à l'axe du tambour. La barre de guidage est maintenue en position par un ressort radial 262, mais elle peut être déplacée vers l'extérieur en tirant   un bouton attaché à la barre par une tige radiale 263 ; galet 259 du le-   vier 257 se déplace ainsi vers l'extérieur et le levier ouvre la soupape 
254, qui est maintenue ouverte par le ressort 255, se déplaçant au delà-du point mort la barre de guidage est ramenée à sa position d'origine au moyen du ressort radial 262. 



   L'eau s'échappe alors rapidement par la soupape et le séchage des plantes a lieu immédiatement après. Si le tambour tourne à une vitesse suffisamment élevée, le liquide inutile peut être éliminé également des es- 

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 paces intercellulaires par la force centrifuge. Quand cette opération est terminée, la soupape 254 peut se fermer en poussant vers l'intérieur un   se=   cond bouton, attaché à la tige 264 raccordée à une seconde barre de guidage 265 recourbée, qui pivote également sur l'enveloppe entourant 'le tambour. 



  Les deux barres de guidage sont recourbées et sont disposées circonférentiel- lement entre le tambour et son enveloppe. 



   L'infiltration par la force centrifuge se prête d'elle-même à une variation qui permet une opération continue. On peut aboutir à ce ré= sultat en adoptant une autre construction telle qu'elle est représentée sur' les figures 5 à 8, comportant un tambour 266 fixé sur un arbre vertical creux 267 à travers l'alésage central duquel passe un pivot de contrôle   268,   l'ex- trémité inférieure de ce pivot est pourvue d'un frein à tambour 268 A sur lequel une bande de freinage 268 B peut s'adapter, tandis que l'extrémité supérieure est munie d'un petit pignon 269 s'engrènant sur un pignon plus grand 270 monté sur un arbre vertical latéral 271, monté lui-même dans deux paliers disposés au sommet et au fond du tambour, cet arbre est dispo- sé parallèlement à l'arbre 267 mais cet espacé de ce dernier.

   Symétrique- ment à l'arbre latéral 271, par rapport à l'axe de rotation, un second arbre latéral 272 est prévu, également monté dans deux paliers au sommet et au fond du tambour. Deux pignons d'engrenage de mêmes dimensions 273 sont mon- tés sur chacun de ces arbres et s'engrènent mutuellement. 



   Au-desus de ces pignons, et également calées aux arbres latéraux, se trouvent deux plaques-supports ou croisillons 274 à trois bras supportant trois axes verticaux fixes   275.   Des supports composés de petits engrenages   276 et de gros colliers 277 tournent librement,autour de ces axes ; les   engrenages sont rattachés aux colliers au moyen de minces fusées. De plus, deux jeux de bras 277 A fixés à chacun des arbres latéraux sont raccordés au-dessus des colliers à des manchons verticaux perforés 278 qui   regoivent   des récipients à légumes verticaux, creux et cylindriques.

   Ces derniers comportent chacun une plaque de fond 280 munie de six saillues remontantes 281, une enveloppe cylindrique perforée 279 et un couvercle 282 fixé à l'en- veloppe par un joint à   bavonnette.   Le couvercle est muni d'un bouton cen- tral 283 à taquets d'arrêt tournant librement. Il est possible de placer moins (ou plus) de trois récipients à légumes sur chaque arbre latéral. 



  L'arbre creux 267 est commandé par un moteur électrique 284. 



   Le fonctionnement est le suivant : le tambour 266 est rempli d'eau jusqu'un niveau approprié et est animé d'un mouvement de rotation ra- pide autour de son axe vertical. Le frein à tambour 268 A étant dégagé, tout le mécanisme intérieur du tambour tourne à l'unisson du tambour, tout comme s'il y était fermement attaché; mais en freinant légèrement le tambour au moyen de la bande de freinage 268 B, le petit pignon 269 sur le pivot de contrôle 268 est retardé par rapport au tambour et fait tourner le pignon 270 de l'arbre latéral 271, et avec lui l'arbre lui-même et tous les éléments qui y sont rattachés, lentement autour de l'axe de l'arbre latéral 271, tan- dis que l'autre arbre latéral 272 et tout le mécanisme qui y est rattaché, tournent lentement en sens opposé sous l'action de l'engrenage.

   Le liquide contenu dans le tambour prend la forme d'un cylindre coaxial à l'axe du tam- bour, et ce cylindre d'eau présente une surface intérieure cylindrique 283 A. 



  En retardant légèrement le frein à tambour, les manchons 278, avec leurs récipients à légumes 279, pénètrent lentement et graduellement dans le cy- lindre de liquide jusqu'à une profondeur maximum pour émerger par   après'.   



  Les légumes y contenus sont ainsi-soumis à l'inflitration d'eau au cours du passage des récipients à travers les zones de pression et sont séchées superficiellement après avoir émergér de l'eau. 



   Il est possible de parer largement au désavantage d'une infil- tration irréguliaire déjà mentionné en communiquant aux-récipients un mou- vement de rotation indépendant. Ceci peut être réalisé au moyen d'une pla- que   285,   fixée au tambour et comportant deux jeux de dents d'engrenage in- térieur 286, dont chacune est concentrique à un des arbres latéraux 271 et 272, les dents d'engrenage intérieurs occupant les trois quarts de sa cir- conférence. Ces pignons intérieurs 286 engrènent avec les petits pignons 

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 276 montés sur les axes 275 portés sur les étrésillons   274, 'et   de cette ma- nière les pignons 276 tournent autour des axes,en même temps que leurs col- liers. Ces derniers comportent chacun 3 chevilles à ressort 287 parallèles aux axes mais écartées latéralement.

   Les ressorts 288 font rentrer les che- villes entièrement à l'intérieur des colliers 277 mais les chevilles peuvent être poussées vers le haut par la barre de guidage 289 fixée sur le tambour concentriquement aux arbres latéraux et pénétrant dans les ouvertures formées par les fusées étroites entre les pignons 276 et les colliers 277. 



   De même, chaque fois qu'un récipient à légumes au; cours de son mouvement circulaire autour des arbres latéraux, a atteint l'axe de rotation- du tambour, la   'bapde   du frein est écartée du tambour du frein par des moyens connus,et le pivot de contrôle 268 est rattaché de façon rigide à l'arbre creux 267, de manière à faire cesser tout mouvement,relatif intérieur dans le tambour. Les récipients atteignent successivement la position centrale- et dans cette position ils peuvent être saisis par leurs boutons, soit à la main soit au moyen d'un   instrument   approprié et être soulevés du tambour. 



  Une tubulure surélevée en forme d'entonnoir 290 disposée sur l'enveloppe extérieure facilite le placement et le guidage du récipient pendant l'opé- ration, et il est de même quand on introduit un récipient de légumes à trai- ter immédiatement après. Le récipient, mis en place, est accéléré rapidement par l'intermédiaire du manchon 278 tournant rapidement dans lequel il est placé par suite du frottement entre le fond 280 et le collier de support 277. Après un temps court déterminé, le pivot 268 est de nouveau automati- quement libéré de l'arbre creux 267 et légèrement retardé par freinage. 



  Les récipients commencent alors à tourner autour des arbres latéraux. Quand les petits pignons 276 atteignent les engrenages intérieurs 286, et engrènent avec eux, les colliers 277 se mettent à leur tour à tourner-autour des axes verticaux 275 sur lesquels ils sont montés. La barre de guidage 289   repôus-   se alors au moins un, et parfois   deux;,   des chevilles 287 du collier 277 vers le haut au moyen de leurs parties chanfreinées 289 A pour les faire pénétrer dans les encoches 281, et pour former de cette manière une connexion de com- mande avec le récipient, en le faisant tourner autour de son axe central propre pendant qu'il se déplace à travers le liquide sous pression et assu- . rant ainsi une infiltration uniforme de toutes les parties.

   Quand les pe- tits pignons d'engrenage 276 atteignent l'autre extrémité du pignon intérieur 286, ce mouvement de rotation est arrêté. Les chevilles 287 rentrent dans les colliers 277, et quand il atteint-l'axe central de rotation du tambour, le pivot 268 est calé sur l'arbre creux 267 et le mouvement"du récipient autour de l'arbre latéral est arrêté. Le récipient au centre du système est alors enlevé et rapidement remplacé par un autre contenant les produits non-traités et le cycle recommencera. Le retardement et le calage du pivot de contrôle 268 peuvent également s'effectuer au moyen   d'up   engrenage appro- prié commandé par l'arbre creux 267 ou d'autres moyens connus.

   Quand les récipients émergent du cylindre de liquide, à une vitesse de rotation suf- fisamment élevée, le liquide inutile peut être éliminé des espaces intercel- lulaires par la force centrifuge qui sèche en même temps les surfaces des plantes. 



   Il est également possible de produire l'infiltration des plan- tes au moyen d'ondes de pression produites dans le liquide. Dans ce procé- dé, les légumes sont complètement submergés dans l'eau dans un récipient fermé. De préférence, l'eau remplit le récipient complètement. Le récipient est alorss soumis à un mouvement de   va-et-vient   à une amplitude allant de 2,5 cm à 30 cm.' et à une fréquence de 0,5 à environ 30 par seconde. 



  Des ondes de pression sont ainsi produites à l'intérieur du récipient et l'infiltration se produite. Les espaces   intercellulaires   se saturent éga- lement si l'on augmente la fréquence des ondes de pression encore davantage même jusqu'à atteindre une fréquence.-supersonique tout en diminuant l'ampli- tude de façon correspondante. 



   Un autre procédé pour l'infiltration du luquide consiste dans l'usage de l'énergie cinétique sous forme d'un jet d'eau éventuellement pul- vérisé en particules très fines. L'énergie cinétique de ces particules doit 

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 être   toile   que le choc exercé sur les surfaces des plantes fait pénétrer les particules à travers les stomates dans les cavités intérieures. 



   Dans une construction représentée sur la figure 9, pour l'ap- plication de ce denier procédé, un tube 300 muni d'un alésage central 301 est raccordé à une conduite d'eau sous pression. L'alésage se termine par un petit trou 302 permettant la projection d'une fine pulvérisation d'eau. 



  A l'endroit où ce jet d'eau touche une feuille, une ligne étroite d'infil- tration apparaît, nettement visible sur la plupart des feuilles. Cet effet peut être même rendu plus apparant et permanant en dissolvant des matières colorantes dans l'eau. De cette façon on peut produire par infiltration des écritures et des dessins très nets sur les feuilles. Ecrire et dessi- ner suivant des lignes très fines sur les pétales des fleurs est parfois. difficile, puisque les stomates sont souvent dégénérés, petits ou immobiles. 



  Le piquage des pétales par une aiguille fine ou un jeu approprié de ces ai- guilles espacées de 2 à 3 mm. environ, facilité grandement l'infiltration ultérieure. Pour traiter des légumes et fleurs entiers, un traitement plus étendu est requis, et un autre type d'appareil est utilisé comme on le mon- tre sur la figure 10. Dans cette construction, l'eau sous pression est refoulée à travers un tube 303 au bout duquel est vissé un manchon 304 sur un pas de vis prévu sur le tube, maintenu en position par un écrou de blo- cage 305. L'autre bout de ce manchon se termine par une'ouverture conique 306 épousant étroitement et légèrement espacée, de la périphérie d'un disque 307 de forme semblable fixé à une tige 308 dépassant du bout du tube.

   L'eau traverse des petits trous espacés 309 au bout du tube pour être subdivisé en une fine pulvérisation de forme conique après être passée par l'espace convenablement réglé entre le manchon 304 et la périphérie du disque 307. 



  Cette pulvérisation d'eau ressemblant en quelque sorte à une brossé aux points de vue de son toucher et de son action a été dénommée "brosse d'eau". Pen- dant que la brosse d'eau passe lentement au-dessus des plantes, une infil- tration rapide se produit. L'appareil soit être ajusté de manière que l'é- nergie cinétique des particules d'eau soit insuffisante à endommager les plantes mais suffisamment grande pour produire l'infiltration à une vitesse raisonnable. 



   Dans une autre construction représentée sur les figures 11 à 13, on produit une brosse d'eau à section de forme aplatie. Dans cette construc- tion, un moulage en caoutchouc 310 est raccordé au tube 311 servant de pas- sage à l'eau sous pression. La pièce moulée a une section circulaire à une extrémité mais possède à l'autre extrémité une section allongée ou aplatie et se termine par une fente étroite 312. Cette ouverture peut être réglée au moyen de deux écrous 313 vissés sur des vis 314 d'une pince métallique comportant deux mâchoires articulées 315 venant au contact des faces oppo- sées de la pièce moulée 310: 
Il a été prouvé qu'un courant d'air d'une vitesse et d'un volume suffisants peut être utilisé efficacement pour sécher les plantes traitées pour enlever l'eau adhérent à leurs surfaces.

   Par analogie avec ce qui pré- cède, ce procédé a été dénommé *brosse d'air". Une combinaison de "brosse d'eau" et de   "brosse   d'air" est possible comme on le représente sur les fi- gures 14 et 15. La brosse d'air comporte un tuyau 316 raccordé à un tube d'approvisionnement d'air comprimé monté en parallèle par rapport au tube de la tuyère 317 de la brosse d'eau. La brosse d'air peut se terminer en forme d'entonnoir 318 et la brosse d'eau peut porter un entonnoir de dé- charge 319, et un tube 320, dirigé vers le bas partant de l'étranglement 321 et pénétrant dans un récipient à eau 322.

   Une soupape à plateau 323 est également prévue, qui tourne autour de la cheville 324 disposée paral- lêlement au tube de la tuyère, et permet le fanage du courant d'air par le tube de la brosse d'eau 317 mais l'empêche de passer par la brosse d'air 316. Quand l'infiltration est complète, on tourne la soupape 323 par simple pression du doigt sur sa périphérie pour fermer le tube de la brosse d'eau 319 et ouvrir le tube de la brosse d'air 318. Ces deux tuyaux ont une con- nexion commune 325 à la conduite d'approvisionnement d'air comprimé. Ils peuvent cependant être raccordés à différents approvisionnements d'air et à 

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 différentes pressions.

   Si on utilise une conduite dd'approvisionnement d'air commune, il est possible de se passer d'un tube à brosse d'air séparé et de passe de l'infiltration au séchage en coupant l'approvisionnement d'eau au moyen d'un robinet placé sur le tube d'approvisionnement d'eau 320. Il a cependant été constaté que la brosse d'eau faisant usage de la pression hydrostatique pour accélerer les particules d'eau et telle que représentée sur les figures 10 à 13, est plus efficace que si on utilise de l'air compri- mé dans le même but. 



   Le mouvement rapide-de fines particules   t'eau   à travers l'air produit une évaporation considérable accompagnée d'une diminution de tempé- rature des plantes, ce qui est très avantageux. L'infiltration produite par l'énergie cinétique se prête également d'elle-même à l'application du procédé continu suivant lequel on fait passer les plantes sur un transporteur approprié dans. un tunnel contenant une longue bande de brosses d'eau suivie d'une longueur similaire de brosses d'air pour le séchage subséquento Les plantes peuvent être retournées mécaniquement pendant ce passage en assurant ainsi un traitement uniforme de toute la surface. Si on le désire, une cer- taine partie du liquide infiltré peut être éliminée, en augmentant la vitesse du courant d'air jusqu'à 7 mètres par seconde ou plus.

   En ce qui concerne ces types d'appareils utilisant l'énergie cinétique du liquide, il est es- sentiel que la vitesse du jet d'eau frappant les plantes, ne soit pas infé- rieure à 3,60 mètres par seconde sinon l'infiltration n'a pas lieu. Cette vitesse ne doit pas non plus être suffisamment élevée pour endommager les plantes. Le maximum de vitesse dépend des propriétés des plantes en trai- tement,   p.e.-une   épaisse feuille de choux peut supporter une plus grande vitesse de jet qu'une mince feuille de laitue. 



   Dans un autre type d'appareil représenté sur la figure 16? u- tilisant seulement la pression statique du liquide pour le traitement, on emploie un récipient 326 muni d'un couvercle 327 de forme non-circulaire qui peut être oval et qui s'adapte sur le récipient par l'intérieur. Une pompe 328 sert à enlever la pression dans le récipient et cette pompe peut pomper soit du liquide soit de l'air et peut fonctionner à l'électricité, à la main ou au pied. La pression à l'intérieur du récipient pousse le cou- vercle 327 contre la face inférieure d'un épaulement 329 dirigé vers l'in- térieur disposé à la partie supérieure du récipient et maintient le récipient fermé. Les plantes sont introduites dans le récipient dans un panier 330, et le récipient est rempli de liquide.

   Après avoir soumis l'intérieur du récipient à une pression supérieure à la pression atmosphérique au moyen de la pompe, la pression est relâchée. On peut répéter l'opération jusqu'à ce que les produits aient reçu une infiltration suffisante. Le liquide est déversé par après, les produits traités sont enlevés et'les surfaces sont séchées dans une essoreuse séparée ou au moyen d'un courant d'air rapide. 



  Ou bien, après avoir vidé le liquide du récipient, les espace intercellulai- res des plantes sont vidés par application d'une pression d'air supérieure à la pression atmosphérique. Après avoir relâché cette surpression, l'opé- ration peut être répétée une ou plusieurs fois jusqu'à ce qu'une quantité suffisante de   liquide   ait été éliminée des espaces intercellulaires. Après avoir vidé l'intérieur des plantes du liquide, les surfaces sont séchées comme-ci-dessus. 



   Dans la construction représentée sur la figure 17, le procédé illustré est celui faisant usage de variations de pression au-dessus de la pression atmosphérique pour produire l'infiltration dans les plantes. 



  On utilise un récipient 331 semblable à celui décrit en dernier lieu, qui comporte un rebord supérieur arrondi 332 coupé en forme d'ovale dans lequel s'ajuste par en-dessous un couvercle oval 333, qui, lorsque la pression dans le récipient augmente, est pressé contre la couronne, et ferme ainsi le récipient. Le fond du récipient 331 est raccordé à un tuyau 334 aboutis- sant à un réservoir d'eau 335 disposé aussi haut et aussi éloigné que pos- sible du récipient. Ce réservoir est rempli d'eau par le tuyau 335 A ame- nant l'eau sous pression et le niveau d'eau dans le réservoir est contrôlé par une soupape à flotteur 335 B. Une soupape 336 est montée sur le tuyau 

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 334 entre le réservoir et le récipient.

   Le tuyau 334, de grande section, se prolonge au delà du récipient et est muni à son autre extrémité d'un bé- lier hydraulique 337   de@construction   connue. Le fonctionnement est le sui- vant :le récipient est rempli de légumes à traiter (qui peuvent se trouver dans un panier 338 en treillis), puis on introduit le couvercle oval supé- rieur 333 et on le serre contre la couronne 332 en manipulant la poignée 338 A, et en soulevant ainsi la traverse 338 B qui est rattachée au couver- cle 333. On ouvre alors le robinet 339, monté sur le couvercle. Le réser- voir d'eau 335 a un volume suffisant pour permettre un remplissage rapide du récipient à légumes et celui-ci ou un arrangement similaire peut être utilisé conjointement à une autre forme de réalisation quelconque décrite dans la présente. Le remplissage se fait en ouvrant la soupape 336.

   Dès que le récipient est plein d'eau, on ferme le robinet 339 et l'excès d'eau s'échappe alors par la soupape du bélier hydraulique 337. Des ondes de pres- sion alternatives se produisent alors sous l'action connue du bélier hydrau- lique dans le récipient 331 et on répète ce traitement jusqu'à ce qu'on con- sidère que les plantes, sont suffisamment saturées. Puis on ferme la soupa- pe de contrôle 336 du tube 334, l'eau du récipient s'écoule par le bélier hydraulique et cet écoulement est facilité en ouvrant le robinet 339. On   ouvre   le récipient et on enlève les plantes traitées. Celles-ci peuvent alors été séchées superficiellement par l'un ou l'autre procédé suivant les besoins. 



   Dans une autre construction représentée sur les figures 18 à 20, on dispose d'une très grande liberté pour exécuter le traitement dans lequel le liquide est obligé de pénétrer et de saturer partiellement ou totalement les espaces intercellulaires des plantes en utilisant des variations de pres- sion alternatives soit en-dessous, soit au-dessus de la pression atmosphé- rique: On constate que ce procédé est'très efficace et a pour résultat un cycle-de saturation des plantes en un temps très court. La machine comporte un tambour 230 muni d'un couvercle 231 monté de manière à tourner sur un arbre creux 232 disposé sur l'axe du tambour.

   Un presse-étoupe 233 est mon- té sur le bout inférieur de l'arbre creux et cet arbre est raccordé par un tuyau 234 à une pompe à air 235 capable de produire un vide ou une pres- sion ou les deux par l'intermédiaire d'une soupape à deux voies 236, dont l'enveloppe porte 4 tubes. Ces quatre tubes sont également espacés autour du corps creux de la soupape à deux voies, et un tube 234 est raccordé au bout inférieur de l'arbre creux. Un autre tube 237 est raccordé à l'ouïe d'aspiration du corps de la pompe. Un autre tube 238 raccorde le refoule- ment du corps de la pompe à l'enveloppe de la soupape et le quatrième tube 239 est en communication avec l'atmosphère extérieure.

   La soupape qui peut osciller ou tourner dans son enveloppe, est pourvue de deux passages en for- me de L 240 qui la traversent, ces passages sont aptes à raccorder l'arbre creux à l'ouîe d'aspiration de la pompe par les deux tuyaux 234 et 237, l'au- tre passage pouvant raccorder le refoulement de la pompe à l'atmosphère ex- térieure par 'les autres tubes 238 et 239 Dans l'autre position de la spu- pape, représentée sur la figure 20, un des passages en forme de L relie l'ouïe d'aspiration de la pompe à l'atmosphère par les deux tubes 237 et 239 et l'autre passage en forme de L relie le refoulement de la pompe à l'arbre creux. 



   L'arbre creux 232 se prolonge   parlas tube   241 qui traverse le tambour vers le haut, jusqu'à, un endroit situé au-dessus du niveau de l'eau et est entouré d'un flotteur 242 portant une soupape 243 s'appuyant sur le siège   244   disposé dans une cloison du couvercle. Le couvercle se prolonge au-dessus de la cloison pour former le récipient 245 rempli d'eau jusqu'à un niveau approprié. Dans une des positions de la soupape à deux voies 236 l'air est aspiré du tambour jusqu'à ce que l'on atteigne le vide désiré. 



  En faisant tourner la soupape de 90  et en laissant fonctionner la pompe, l'air est refoulé-dans le tambour et fait pénétrer l'eau qui s'y trouve dans les espaces intercellulaires des légumes introduits dans le tambour. Ce cycle de variations de pression se répète et les plantes absorbent de plus en plus d'eau. En pompant de l'air au moyen de la pompe, un espace plutôt 

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 grand rempli   d'air   se forme au-dessus du niveau de l'eau qui descend dans le tambour. Ces opérations, spécialement la création d'un vide élevé, demandent de plus en plus de temps, ce qui n'est pas souhaitable. Le flotteur 242 pare à cet inconvénient.

   Il s'abaisse en même temps que le niveau de l'eau, ouvre la soupape 4 qui fonctionne entre le récipient 245 du couvercle et le tambour et permet à l'eau du récipient de relever le niveau de l'eau dans le tambour. La soupape à deux voies peut, être manoeuvrée quelques fois à la main ou encore mécaniquement, et permet d'ap- pliquer sur les plantes un certain nombre de vagues de pressions ou de vides par minute. 



   Ou bien on peut faire usage d'un diaphragme élastique animé d'oscillations mécaniques et raccordé à une chambre fermée contenant l'eau et les plantes. 



   Au moyen de ces systèmes, le nombre de variations de pression au-dessus ou en-dessous de la pression atmosphérique peut varier de moins de une par minute jusqu'environ 50 par seconde. A mesure que le temps utilisé par cycle diminue, l'énergie des impulsions doit être augmentée et on doit veiller à éviter l'accumulation de poches d'air en faisant usage de moyens semblables à ceux décrits auparavant, car ces poches d'air agissent comme milieu élastique et empêchent un accroissement suffisant de la pres- sion ou du vide. Finalement on peut encore utiliser des fréquences très élevées et même supersoniques engendrées par magnétostriction ou effet pie- zoélectrique. 



   Après avoir effectué la saturation, le liquide inutile peut ê- tre éliminé des plantes en vidant le récipient du liquide et en soumettant les plantes à des nouvelles variations de pression au-dessus ou en-dessous de la-pression atmosphérique. Ou bien, on peut les soumettre à l'action de la force centrifuge. Quand ce traitement est terminé les surfaces exté- rieures des plantes peuvent être séchées par la force centrifuge ou d'autres procédés décrits plus haut. Dans la dernière construction décrite, le tam- bour peut être animé d'un mouvement de rotation par un moteur électrique   246.   Un frein 247 manoeuvré par levier 248 est' prévu pour agir sur la pou- lie de commande   249,   et ralentir le tambour. 



   La construction représentée sur les figures 21 à 28 est également prévue pour le traitement de quantités moyennes de plantes jusque 50 kg. à la fois. Le traitement est rapide et ne demande que 2 à 5 minutes pour un cycle complet. 



   Ce procédé utilise également des variations de pression soit au dessus soit en-dessous de la pression atmosphérique pour produire l'infil- tration. 



   Un tambour 10, ouvert au-dessus, est supporté par le bout conique 12 de l'arbre 13 reposant sur des roulements à billes 14 et 15 et monte dans un logement à paliers 16. Ce logement est fixé à la partie inférieure d'un réservoir 17 qui entoure le tambour 10 complètement. Le fond du réservoir 17 possède une portion plane centrale 18 qui pénètre dans une auge 19 en forme de spirale dont le point le plus bas 20 est muni d'un tuyau de déchar- ge 21. 



   L'extrémité supérieure du réservoir 17 est pourvue d'un anneau circulaire 22 sur lequel est articulée en 23 une traverse   24.   Cette traver- se est creuse, en forme d'U et s'étend sur toute la largeur du réservoir; elle est pourvue à son extrémité extérieure d'un crochet 25 articulé sur la traverse au 26 et qui se raccroche à un bec 27 s'étendant vers le bas à partir de l'anneau   22 .   



   Une saillie creuse 28 est prévue sur la traverse 24, filetée à l'intérieur, qui reçoit un axe 29 pourvu d'un volant 30 manoeuvré à la; main. 



  L'extrémité inférieure de l'axe 29 porte un bec réduit 31 qui pénètre dans une fente du bec et corps de soupape 32 (figure 23). Ce corps porte un an- neau en caoutchouc formant joint 33 qui bouche .le trou 34 situé au centre d'un couvercle 35 recouvrant le tambour 10. Entre ces deux éléments se trou- 

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 ve un anneau 36 en caoutchouc formant joint. Une goupille de calage 37 dis- posée dans la saillie centrale 38 du couvercle 35 pénètre dans une fente 39 du corps de soupape 32 et empêche sa rotation. Un anneau fileté 40 vis- sé dans l'extrémité supérieure de la saillie 38 limite vers le haut le mou- vement du corps de soupape 32. La   traverse'24   porte une courte saillie 41 qui lui est perpendiculaire. 



   Deux pièces de pont 42 sont portées par la traverse 24 et sont pourvues de trous 43 dans lesquels pénètrent des chevilles 44 fixées aux saillies 45 du couvercle 35. Ces chevilles 44 possèdent des épaulements coniques 46 qui pénètrent par des cônes correspondants 47 des pièces de pont   42.   



   Des canaux longitudinaux 48 et 49 sont coulés dans la paroi cylin- drique du réservoir 17 (voir figure 25) et permettent le placement dans l'un d'eux d'un tube à eau 50, dont l'autre bout 51 est raccordé au moyen d'un tuyau flexible à une conduite d'eau. Ce tube 50 comprend également une sou- pape de contrôle 52 disposée dans une position appropriée et son bout supé- rieur est réduit en largeur et a une forme de courbe partiellement circulaire   s'étendant,au-dessus   du plafond du tambour 10. Ce bout 53 du tube 50 est monté à l'intérieur de la partie creuse de la traverse   24.   L'autre canal 49 protège les conducteurs d'un interrupteur à plots multiples 54 et d'un interrupteur de sécurité 55. 



   Le logement servant de palier 16 porte une bride 56 perpendicu- laire à l'arbre 13. Des manchons en caoutchouc sont montés dans des sail- lies de:la bride 56 et portent à leur tour des manchons métalliques, et tan- dis que les goujons 60 sont vissés dans les saillies prévues à la base du réservoir 17 et des plaques munies de rondelles à ressort dont disposées en-dessous des écrous   64.   Quand ces écrous 64 sont serrés contre les man- chons métalliques,

   les brides des   manchons   en caoutchouc sont comprimées dans une certaine mesure et ces manchons en caoutchouc absorbent les chocs qui autrement seraient directement transmis depuis-le tambour tournant 10 si les produits centrifugés à l'intérieur présentaient un déséquilibre sub- stantielo 
Le logement à palier 16 est également pourvu d'une plaque de base 66 coulée sur lui et cette plaque 66 porte un moteur électrique 69 et une pompe à air 70 qui peut être soit un compresseur soit une pompe à vide. 



  L'extrémité inférieure de l'arbre du moteur 69 est pourvue d'une poulie 71 à double gorge à partir de laquelle une courroie 72 manoeuvre une-poulie 73 montée à l'extrémité inférieure de l'arbre 13. L'autre courroie 74 com- mande une poulie 75 montée sur l'arbre de la pompe 76. 



   La pompe elle-même (figure 27) est du type à ailettes et est lu- brifiée uniquement par de l'eau. L'arbre 76 est fendu en 77 pour recevoir les deux ailettes 78 construites par exemple en une matière à base de rési- ne synthétique. L'extrémité supérieure de la fente 77 est fermée au moyen d'un bouchon métallique et l'extrémité supérieure de l'arbre 76 est couver- te par un capuchon métallique 81 pressé sur elle. Le capuchon 81, le bou- chon et le bout inférieurs de la fente 77, sont pourvus de trous respectifs 82 et 83 dont le trou inférieur 83 communique avec un alésage transversal 84 raccordé à une rainure circulaire 85 du couvercle inférieur 86 de la^ pompe. Le couvercle supérieur 87 comprend les lumières respectives d'entrée et de décharge 88 et 89, dont la première est raccordé à un tuyau d'alimen- tation 90. 



   Le couvercle supérieur 87 est muni d'une chambre 91 fermée au- dessus par un couvercle 92. Sur le côté de la chambre 91 est raccordé par une tubulure 93, un tube flexible en caoutchouc qui lui-même est raccordé par une seconde tubulure 95 à la partie inférieure du fond du réservoir 17. 



   Des anneaux en caoutchouc' 96 et 97 sont intercalés entre le corps de la pompe 98 (disposé excentriquement par rapport à l'arbre du rotor 76) et les couvercles supérieur et inférieur et ces trois éléments sont assem- blés au moyen des boulons 99. Sur le côté du corps de la pompe 98 se trou- 

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 ve une console 100 fixée à la plaque de base--66. 



   Un épaulement 102 de l'arbre 76 vient au contact d'un anneau en caoutchouc disposé dans un anneau en métal 104 dont la partie inférieure porte une languette et sert de siège à un -joint à diaphragme utilisant un anneau de carbone qui est retenu dans un logement en caoutchouc 106 et est pressé contre l'anneau 104 formant joint au moyen d'un ressort. Le joint à diaphragme lui-même est contenu dans un logement 108 vissé sur une sail- lie 86 du couvercle inférieur. L'eau, servant à la lubrification, peut des- cendre entre les ailettes 78 quand elles se séparent au cours de la rotation, de manière à atteindre la rainure annulaire 85. le moteur 69 peut être inversé au moyen de l'interrupteur 54 et' des accouplements à sens unique sont disposé de manière que, soit le tambour 10, soit la pompe 70 fonctionnent quand le moteur tourne dans l'un ou l'au- tre sens.

   Ils comportent des mâchoires dépassantes et sont disposés comme suit : la poulie   75   est folle sur l'arbre 76 et porte une extrémité d'un ressort en spirale 111 disposé autour du moyeu de la poulie et autour d'un manchon 112 fixé sur l'arbre 76 au moyen d'une cheville 113 et d'une clavet- te. Si la poulie   75   tourne, dans un sens, le ressort 111 enroulé autour du moyeu de la poulie et du manchon, sert fermement ces derniers et transmet le couple à l'arbre 76. Si cependant le moteur tourne dans l'autre sens, le ressort 111 se relâche et glisse librement sur le manchon 112. La même disposition s'applique à l'arbre 13 du tambour avec la seule différence que le ressort est enroulé dans l'autre sens de manière à embrasser l'arbre du tambour quand le moteur tourne dans le sens qui relâche la commande de l'arbre 76. 



   Un frein est disposé de manière à venir au contact d'un disque 115 partant du manchon fixé sur l'arbre 13 et ce frein est articulé à un levier de freinage 116 pivotant à une extrémité sur un boulon   117   fixé dans une oreille 118 partant du tube de décharge 21. L'autre extrémité du levier de freinage 116 est pourvue d'une pédale 117 A et un ressort 118 A maintient normalement le frein éloigné du disque 115. 



   Les raccordements de tubes de la pompe 70 tels que représentés sur les dessins, sont choisis de manière à permettre à la pompe de créer une pression supérieure à la pression atmosphérique à l'intérieur du tambour 10. Si l'on veut faire'fonctionner la pompe comme pompe à vide, les rac- 
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Le tuyau de décharge de la pompe est raccordé à un tube flexible en caoutchouc 118 B   qui .remonte   le long de la paroi du   réservoi'r   17 et pé- nètre dans l'espace creux existant en=dessous de la traverse 24 où il est raccordé à une tubulure 119 sur une saillue 120 coulée sur le couvercle 35. 



  Cette saillie porte également un manomètre 121. 



   Un ressort 122 est logé à l'intérieur de la traverse 24 et est calculé de manière à ce qu'il supporte le poids complet de la traverse et du couvercle 35, qui y sont raccordés de manière que lorsque le crochet 25 est détaché du bec 27, le ressort 122 soulève le couvercle. Le mouvement du couvercle est limité par une oreille 123 disposée à l'arrière de la tra- verse 24, et vient en contact avec une face de butée 124 sur un anneau 22. 



   Des moyens sont prévus pour empêcher la rotation du tambour 10 pendant qu'on abaisse le couvercle sur la face supérieure du tambour. Le bord du couvercle 35 se termine par un tablier 125 et le bord de ce tablier vient au contact d'un disque 126 formant saillie d'un capuchon 127 qui glis- se sur un tube 128 vissé sur le bout supérieur du canal 49 (figure 26). 



  Le tube 128 guide un piston 130 supporté par un ressort 131 et le bout infé- rieur du piston 130 vient au contact du piston 132 de l'interrupteur de sé- curité 55. En faisant fonctionner cet interrupteur, si le circuit du moteur 69 est établi de manière à commander le moteur dans un sens faisant tourner 

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 le tambour, le circuit est coupé alors que si le circuit est mis en mouve- ment pour faire tourner le moteur en sens inverse aucune action ne se pro- duit. 



   Un autre ressort 133 plus tendu que le ressort 131 est logé dans le chapeau 127 et tend à le soulever dès que le couvercle lui-même est sou- levé. Le mouvement vertical du capuchon 127 est limité par l'anneau 22. 



   Le fonctionnement de la machine est le suivant quand la traverse 24 et le couvercle 35 sont ouverts, le tambour 10 est accessible èt le panier en fil de fer 134 qui y est logé, peut être enlevé en le prenant par les poignées en fil de fer 135, soudées au couvercle 136 du récipient. Le récipient est ensuite rempli de légumes ou d'autres pro- duits à traiter, on le remet dans le tambour 10 et on ouvre alors la soupa- 52 ce qui fait couler l'eau par les tubes 50 et 53 dans le tambour et'le remplit jusqu'au sommet. L'espace entre le couvercle 136 du récipient et le couvercle 35 est calculé de manière que le volume du liquide qui y est contenu est absorbé par les plantes au cours-du traitement. Si les plantes pouvaient occuper cet espace, cette couche de plantes ne se saturait pas de liquide .

   La soupape 52 est alors fermée et la traverse 24 est remise en place avec le couvercle 35 qui y est raccordé. Après avoir accroché le crochet et le ben 27, le volant à main 30 peut alors être manoeuvré pour abaisser le couvercle 35 sur la face supérieure du tambour 10 en fermant''   celui-qi   hermétiquement. En supposant que la pompe 70 fonctionne comme pompe à pression, elle est alors manoeuvrée en faisant tourner la manette 137 de l'interrupteur 54 dans la position appropriée, sur quoi la pompe aug- - mente la pression à l'intérieur du tambour, aspire de l'air par le tube 90 raccordé au récipient 17   d'où   une certaine partie d'eau déchargée du tambour 10, retourne à la pompe.

   Quand la pompe est remise en marche pour le cycle suivant, -.cette eau est refoulée dans la chambre 91 qui en conserve une certaine partie alors que le restant passe dans le tambour 10. Pendant la marche, la pompe est lubrifiée de façon continue par l'eau retenue dans le récipient 91   d'où   elle s'écoule par les orifices 138 et 82 à l'intérieur de la pompe, en lubrifiant ainsi, toutes les pièces mobiles. 



   Après avoir obtenu une pression convenable supérieure à la pres- sion atmosphérique, indiquée par le manomètre 121, on tourne le volant à main 30 dans l'autre sens de manière à soulever la soupape 32 de son siège en permettant ainsi à l'air de s'échapper du tambour 10 pour amorcer les variations de pression qui sont essentielles en vue d'obtenu des résultats d'infiltration satisfaisants. Quand on à réduit la pression à une valeur désirée telle qu'indiquée par le manomètre 121, on tourne de nouveau le volant 30 pour fermer la   soupape.   Comme la pompe a été maintenue tout-le temps en marche, la pression dans le tambour 10 augmente rapidement et les variations de pression se poursuivent jusqu'à ce qu'une quantité suffisante de liquide ait été infiltrée.

   Si la pompe est montée de manière à fonction- ner comme pompe à vide, des variations de pression similaires en-dessous de la pression atmosphérique sont obtenues en ouvrant ou en fermant la sou- pape 32. 



   A la fin du traitement,le volant 30 est complètement tourné de manière à soulever le couvercle 35 et à le séparer du tambour. 



   En soulevant le couvercle, l'interrupteur de sécurité 55 est li- béré et le circuit est conditionné de manière que le moteur fasse tourner le tambour 10. Les chevilles 44 qui pénètrent également par leurs parties coniques dès que le couvercle est complètement soulevé et calent ainsi le couvercle contre la traverse 24. Par cet arrangement on évite le claque- ment et le secouage du couvercle dûs au déséquilibre des plantes soumises à la centrifugation. 



   La traverse'24 est articulé à deux oreilles 139 disposés sur l'an- neau 22 à une extrémité, alors que l'autre extrémité est guidée entre deux ailes 140, dont les extrémités supérieures sont évasées pour aider au guida- ge de la traverse 24 lorsqu'on la ferme. 

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   La manette de l'interrupteur 137 est alors mise en position ap- propriée pour faire tourner le tambour 10. L'eau se déverse au-dessus du bord supérieur du tambour, est recueillie dans le récipient 17 et déversée par le tube 21. Le tablier 125 du couvercle 35 dirige le courant d'eau vers le bas. Dès que la plus grande partie de l'eau est déversée, la vites- se du tambour augmente et les plantes sont séchées extérieurement. Si la vitesse du tambour est assez élevée, une partie ou la plus. grande partie du liquide infiltré peut être enlevée tout en séchant en même temps les surfaces des plantes. Après un temps approprié le moteur est mis hors cir- cuit et le tambour ralentit en mettant le frein en contact avec le'disque 115; le crochet 25 est ensuite libéré, le couvercle 35 s'ouvre et on lève les plantes du tambour 10.

   Le liquide inutile remplissant les espaces intercellulaires des plantes peut également être enlevé, au lieu d'être centrifugé comme on le dit plus haut, en créant des variations de pression appropriées à l'intérieur du tambour 10 lui-même) dont on a enlevé l'eau. 



  Ces variations de pression peuvent être au-dessus ou en-dessous de la près- sion atmosphériques. 



   L'installation illustrée sur les figures 29 et 30 représente un autre exemple de traitement continu des légumes conformément à l'invention et grâce auquel de grandes quantités peuvent maintenues frâches ou être re- vigorées dans un laps de temps très court. Le procédé appliqué est celui qui utilise des variations de pression au-dessus ou en-dessous de la pression atmosphérique. 



   Dans ce cas, des caisses à claire voie 352 contenant des laitues ou d'autres légumes doivent être traitées en quantités telle qu'il ne soit pas nécessaire d'ouvrir les caisses. Le fonctionnement est le suivant : Les caisses 352 passent d'un goulot 353 ou d'un transporteur à rouleaux sur une plate-forme horizontale 354 au-dessus et en-dessous de laquelle passent une paire de chaînes-transporteuses 355 mues par des pignons 356 appropriés. 



  Des barres d'entraînement 357 sont montées sur la chaîne-transporteuse de manière qu'elles passent au-dessus de la surface supérieure de la plate-forme et elles sont disposées de manière qu'au moment où elles émergent du dessous de la plate-forme, elles se disposent sur la face -arrière de l'une des cais- ses 352, et la font avancer le long de la plate-forme. La commande de la chaîne-transporteuse n'est pas continue mais a lieu par étapes de durée dé- terminée de manière à donner à la chaîne un mouvement pas par pas. Dès que l'une des caisses arrive à un endroit voisin du milieu de la plate-forme, le mouvement de la chaîne s'arrête et la chaîne revient un peu en arrière sur une distance suffisante pour écarter la barre d'entraînement du dos de la caisse.

   Une cloche 358 descend alors au-dessus de la caisse, et est pour- vue à sa partie inférieure d'un anneau de joint en caoutchouc 359. La clo- che 358 est appuyée contre la table, on introduit   à   l'intérieur de la cloche par le tube 361 une quantité déterminée d'eau qui remplit entièrement la cloche puis on coupe l'alimentation d'eau. On applique alors une pression supérieure ou inférieure à pression atmosphérique en introduisant de l'air ou en aspirant l'air par le tuyau 360 par des moyens appropriés, tels qu'une pompe. On peut alors produire des variations de pression au-dessus ou en- dessous de la pression atmosphérique par l'un ou l'autre des procédés déjà décrits et jusqu'à ce qu'une quantité suffisante de liquide ait pénétré et saturé les espaces intercellulaires.

   Après la,fin de l'infiltration, on soulève la cloche de la plate-forme on la remet dans sa position surélevée   antérieure'et   l'eau est déchargée à l'égout d'une manière appropriée. 



   Si l'on veut éliminer une partie de l'eau infiltrée, on abaisse de nouveau la cloche 358,on la met.en contact avec la face supérieure de la plate-forme 354 et on applique une pression d'air ou un vide par le tuyau 360, pendant que le tuyau   361   reste fermé. 



   On peut aussi produire des variations de pression ou de vide et quand le vidange intérieur est complet, on relève de nouveau la cloche 358. 



  La chaîne-transporteuse reprend son mouvement, et pousse la caisse le long de la plate-forme sur un vibrateur. Ce dernier se compose d'une table ho- 

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 rizontale (ou inclinée) 362, manoeuvrée de manière connue, p.e. au moyen d'une bielle 363 fixée à la table qui est supportée par des bras à ressort inclinés, de façon à communiquer à la table un mouvement de secousse prenant également un petit mouvement vers le haut pet   verso;   leutbas   @   lo   @   de la surface supérieure de la table. Ce mouvement fait avancer les caisses le long de la table pour les conduire vers leurs destination finale.

   Le mouvement à secousse est en même temps combiné de manière que les caisses reçoivent des vibrations suffisantes pour enlever la plus grande partie de l'eau adhérant aux surfaces extérieures des légumes et contenue dans les poches creuses formées dans les légumes mais sans causer de dégâts'aux lé- 
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 des sacs et lewtraitément, peuiJr I,trà" 'wèseaemb:a:ab1e à8ceiui "décrit ci-dessus.

   Il est:ceen,n pessibBëcdé ta!:tfie:Bsp1usièl1lI'Bsa:ëaeBdantréoipientbs' ,à la fois   @   
Dans les cas où on dispose d'eau de conduites sans une pression et en quantité suffisantes, on peut utiliser une   machipe   simplifiée ne né- cessitant pas de commande électrique. La machine est très efficace, le temps nécessaire à un cycle complet varie de 5 à 10 minutes et le procédé d'infiltration appliqué est celui qui utilise des variations de pression en-dessous de la pression atmosphérique. La disposition peut être sembla- ble à celle représentée sur la figure 31, munie d'une pompe à éjecteur disposée à la partie supérieure de l'enveloppe extérieure, et l'eau sous pression, après avoir traversé l'éjecteur, peut être déversée à l'égoût par un tuyau de décharge.

   Dans ce cas, on peut utiliser une soupape à trois voies pour le réglage du courant d'eau. Cette soupape peut avoir une posi- tion dans laquelle l'eau est coupée, une autre position dans laquelle l'eau s'écoule par un tube et remplit le corps creux et une troisième position permettant à l'eau de passer par l'éjecteur. Ce principe, avec certaines modifications, est.représenté sur les figures 31 à 35. La machine comporte un corps creux ayant la forme d'un tambour 150 d'une forme légèrement coni- que, dont le diamètre le plus grand est disposé au sommet ouvert. A la partie inférieure du fond fermé se trouvent un ensemble d'aubes recourbées 151 disposées en un anneau circulaire.

   Le somme t ouvert du tambour est pour- vu d'un anneau en caoutchouc 152 ou autre matière appropriée, sur lequel repose un couvercle 153 articulé à une enveloppe extérieure   154.   La charnière 155 est disposée de manière à permettre au couvercle d'exécuter un mouvement limité en direction verticale. Ce couvercle est rattaché par une manivelle 156 à une traverse 157 s'étendant d'un bout à l'autre du couvercle articulée 
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   Le couvercle est pourvu d'une couronne dépassant vers le bas 162 . qui a un diamètre tel qu'elle puisse se disposer à proximité de la paroi intérieure de l'enveloppe 154. Le but de cette couronne est d'empêcher de renverser du liquide quand le couvercle est soulevé et qu'on fait tourner le tambour creux pour le vider. 



   A l'intérieur de l'espace annulaire 163 entre le tambour creux et l'enveloppe extérieure est montée une soupape à piston à positions mul- tiples   164   (figures 34 et 35) dont le piston cylindrique 165 porte un passa- ge 166, dirigé suivant une partie de son axe puis qui tourne ensuite à   l'angle   droit radialement vers la périphérie. 



   Le piston est muni d'une manette 167 au moyen de laquelle on peut le faire tourner dans plusieurs positions déterminées, et on peut le maintenir dans une quelconque de ces,positions au moyen d'un piston à res- sort. Une conduite d'alimentation   deau   168 est raccordée au fond du corps de la soupape et s'étend autour de l'espace 163. L'autre bout de la condui- te 168 est raccordé à la conduite d'alimentation d'eau par un tuyau flexible à travers une soupape 169. 

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   Le corps 170 de la soupape porte quatre lumières radiales dont une   171   est raccordée à un tube 172 dirigé vers le haut dont l'extrémité est recourbée et dirigée vers le tambour. La lumière suivante 173 est raccordée par un tuyau 174 à la conduite de refoulement d'une pompe à éjec- teur 175 qui débouche par un tube en forme d'entonnoir 176 dans l'enveloppe extérieure, la conduite d'aspiration est raccordée par un tuyau flexible 177 à la face inférieure du couvercle 153 et se prolonge de là par une con- duite 178 donnant accès à l'intérieur du tambour. Un indicateur de vide 179 est installé à cet endroit.

   La lumière suivante 180 du corps de la sou- pape est raccordée à un tuyau 181 dirigé vers le bas qui tourne ensuite sui- vant un angle tel qu'une tuyère 182 fixée à son extrémité dirige un jet d'eau contre la face avant des aubes 151 au fond du tambour. La dernière ouver- ture du corps de la soupape est raccordée à un tuyau 184 portant une tuyère 185 disposée de manière à envoyer un jet d'eau contre le dos des aubes re- courbées 151. 



   Pendant la marche, quand le couvercle 153 est ouvert., un récipient 186 en métal perforé ou en une autre matière, remplie de plantes à traiter, peut être introduit dans le tambour. En manoeuvrant la manette 167 de la soupape   164,   de manière à raccorder la conduite 166 au tuyau de remplissage 172, l'eau s'écoule par ce tube dans le tambour qu'on remplit ainsi jusqu'au sommet. La manette du piston de la soupape est alors tournée dans sa posi- tion suivante pour laquelle la conduite 166 ne se trouve vis-à-vis d'aucune des lumières; de sorte que le courant d'eau est interrompu. On ferme alors le couvercle du tambour et on le presse contre le joint annulaire en caout- chouc 152 au moyen de la vis 158, qui est serrée.

   On déplace alors la ma- nette 167 de manière à raccorder la conduite 166 de la soupape à la lumière suivante   173.   De l'eau sous pression pénètre alors dans la pompe à éjecteur 175, et produit ainsi un vide à l'intérieur du tambour. L'eau s'écoule par le tube de décharge 176; et se dirige de là dans l'enveloppe extérieure et vers une ouverture de décharge   187.   Après avoir produit un vide suffisam- ment élevé dans le tambour, le corps de la soupape de décharge 160 est ou- vert en tirant la poignée 161   jusqu9à   ce que le vide soit suffisamment ré- duit. Tel est le cas quand un vide équivalent à une colonne de mercure de 125 mm. est atteint, qu'on peut observer sur l'indicateur à vide 179.

   On laisse ensuite la soupape de décharge se refermer sous'l'action de son res- sort, ce qui a pour résultat que l'éjecteur qui a été maintenu en marche, produit une nouvelle augmentation du vide. Ces variations de pression en- dessous de la pression atmosphérique sont très efficaces pour obliger l'eau à saturer les espaces intercellulaires et on les poursuit jusqu'à ce que la saturation soit complète. Après cette opération on tourne davantage la manette de la soupape vers la lumière suivante 180; à ce moment, le courant d'eau est encore une fois interrompu, du fait que la conduite 166 est obstruée. 



  La soupape de décharge 160 est alors ouverte, la vis 158 du crochet 159 est dévissée et le couvercle du tambour est soulevé du joint en caoutchouc au moyen de trois pistons à ressort 188 montés dans l'enveloppe extérieure. 



  On fait alors tourner la manette   167   de la soupape vers la lumière suivante 180, ce qui a pour résultat que de l'eau sous pression s'écoule par le tu- be 181 et la tuyère 182 et se projette sur la face avant des aubes 151 de la turbine, en imprimant un mouvement au tambour creux, qui se met à tour- ner rapidement. 



   Le roulement à billes portant l'arbre 189 du tambour creux est lo- gé dans une enveloppe à palier 190 montée sur la face inférieure de l'enve- loppe extérieure; les paliers sont immergés dans l'huile, et l'enveloppe est protégée contre la pénétration de l'eau par un chapeau 191 monté sur l'arbre et s'étendant substantiellement au-dessus de la partie supérieure du logement des paliers 190. Une tubulure 192 s'élève du fond de l'envelop- pe extérieure et est recouverte par une tubulure semblable 193 descendant de la partie centrale du fond du tambour creux. 



  * Le tambour tournant à grande vitesse projette la totalité de l'eau qu'il contient au-dessus de son bord supérieur d'où elle s'écoule vers l'ou- verture de décharge, et après avoir gagné de la vitesse, les surfaces des 

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 plantes sont séchées par centrifugation. Si on le désire, une vitesse suf- fisante peut être atteinte pour éliminer une partie ou la plus grande partie du liquide qui a servi à remplir les espaces intercellulaires des plantes. 



  Ou bien on peut produire des variations de vide à l'intérieur du tambour pour réaliser le vidange intérieur. 



   En manipulant la manette 167 de la soupape pour la raccorder à la dernière lumière 183, un jet d'eau est dirigé par la tuyère 185 contre le dos des aubes 151 et freine ainsi le mouvement rotatif du tambour. Dès que ce mouvement est arrêté ou suffisamment retardé, on tourne la manette de la soupape dans la position d'arrêt pour laquelle la conduite 166 se dis- pose vis-à-vis de la face 194 qui arrête le courant d'eau. On soulève le cou- vercle du tambour, on enlève le panier contenant les plantes traitées et on en introduit et traite un autre panier contenant des produits non traite(. 



   Si   l'approvisionnement   d'eau ne convient pas tant en ce qui con- cerne la quantité que la pression, on peut utiliser une petite pompe à eau 195 commandée par un moteur électrique 196. Cette pompe reçoit par son ouïe d'aspiration l'eau d'un réservoir 197 disposé en-dessous du fond de l'enve- loppe extérieure et est raccordée au moyen d'un écran 198 à l'intérieur de l'enveloppe. La conduite de refoulement de la pompe débouche par un tuyau 199 à l'entrée du corps de la soupape. La soupape peut être disposée de manière que le remplissage du tambour par le tube 172, dirigé vers le haut, peut être effectué au moyen d'une alimentation instante, alors que les au- tres opérations à exécuter se font au moyen d'eau sous pression fournie par la pompe 195. 



   Une autre construction est représentée sur les figures 36 à 38 et constitue un appareil beaucoup plus simple destiné au traitement de petites quantités de plantes à la fois. Le procédé appliqué est le même que celui qui vient d'être déerit, et comprend une pompe à éjecteur composée d'un corps tubulaire droit 200 raccordé à une extrémité à un tuyau flexible 201, aboutissant à un robinet d'eau de conduite fournissant de l'eau sous pression. L'eau se décharge à l'extrémité opposée où une pièce moulée en caoutchouc 202 munie d'un tamis 203 est prévue pour réduire l'intensité du courant.

   Intérieurement le tube   200,possède   un étranglement étroit 204 à peu près au milieu de sa longueur, dans lequel un vide élevé est créé qui aspire de l'air par un orifice radial 205 communiquant avec la face   inférieu--   re d'un disque métallique formant partie intégrante du tube 200 et constituant le corps de la pompe à éjection. 



  Intérieurement le tube se rétrécit de chaque extrémité vers l'étranglement' 204 et du côté de l'entrée, le tube porte un épaulement intérieur 205 voisin de l'étranglement. A la partie inférieure du disque 206 est également fixée une rondelle en caoutchouc 207 munie d'une ouverture 208 disposée   vis-à-vis   du trou radial 205 et un tamis de protection peut être prévu pour protéger le trou. 



   Si le disque est disposé sur un pot 209 contenant les plantes immergées dans l'eau, et qu'on fait marcher la pompe à éjecteur en poussant en même temps le disque doucement contre la couronne du pot, un vide se pro- duit à l'intérieur du pot, et aspire le disque fermement sur le pot en for- mant ainsi un joint parfait. Après avoir produit un vide suffisamment éle- vé, l'accès d'eau sous pression est étranglé ou coupé en fermant plus ou moins le robinet d'eau contrôlant cet accès. L'action de la pompe à éjec- teur est réduite ou s'arrête et l'air est aspiré dans le pot par le bout ouvert du tube en réduisant ainsi le vide qui règne à l'intérieur.

   On répète l'ouverture et la fermeture du robinet jusqu'à ce que les plantes soient suffisamment saturées d'eauo 
Dans une autre construction représentée sur les figures 39 à 41, qui convient à l'emploi dans le ménage pour le traitement de petites quanti- tés de plantes et là où on ne dispose pas d'eau sous pression, l'appareil comprend une petite pompe à main construite pour fournir un vide pouvant atteindre jusque 725 mm   Hg.   servant à remplacer l'éjecteur. Cet appareil comprend un disque 210 muni sur sa face inférieure d'une rondelle en caout- 

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   chouc   211, d'une ouverture 212 ainsi que d'un tamis de protection comme dans la construction décrite en dernier lieu.

   Au-dessus du disque, et raccordé à lui, se trouve une tubulure 213 munie d'un côté d'un renforcement   214   des- tiné à recevoir le cylindre 215 de la pompe à main qui contient un piston 216 muni d'une ajutage en cuir 217 et d'une tige de piston 218. L'autre bout de la tige 218 glisse dans le couvercle 219 fixé à l'extrémité opposée du cylindre. Le   couvercle   219 est maintenu en'place au   moyen 'de   deux vis 220 qui pénètrent dans les filets de deux oreilles 221 fixées au disque. 



   Quand on tire le manche 222 de la tige du piston, de l'air est aspiré dans le cylindre 215 par un canal étroit 223 pratiqué dans la tubu-   lure.213,   et une fente 224 prévue dans une soupape en caoutchouc munie d'é- paulement 225, et cette fente se referme toutefois automatiquement à la cour- se de retour, pendant laquelle l'air passe   entre   le cylindre 215 et l'aju- tage en cuir 217. Le cylindre est pourvu d'une ouverture 226 voisine du manche pour laisser s'échapper l'air quand on tire le manche.

   Après avoir obtenu le vide nécessaire, une vis de décharge 227,   règlant   le passage de l'air par la tubulure et le disque, est légèrement tournée pour soulever la tête de la vis au-dessus de la rondelle 228 s'appuyant sur l'extrémité du passage d'air 223 et permettre à l'air de pénétrer par ce passage dans le pot 229 contenant les plantés. 



   L'opération peut être répétée jusqu'à ce que une quantité suffi- sante d'eau se soit infiltrée dans les plantes. Le liquide inutile peut être éliminé des plantes en vidant le pot de liquide, replaçant le couvercle sur lui et créant un vide comme on le décrit plus haut. On peut répéter cette opération aussi bien dans la construction présente que dans la construc- tion précédente jusqu'à ce qu'une quantité suffisante de liquide ait été éli- minée des plantes..Quand ce traitement est terminé, les surfaces extérieures des plantes peuvent être séchées en les faisant tourner très vite dans une petite machine centrifuge qui, dans ce cas peut être manoeuvrée à la main ou au pied. 



   Il est aussi possible de produire l'infiltration sans immerger les plantes dans de l'eau, au moyen d'un brouillard,   c'est-à-dire   d'une dispersion de petites particules d'eau suspendues dans l'air. Plusieurs procédés existent pour obtenir ces brouillards qui renferment un pourcenta- ge de liquide comparativement élevé par mètre cube d'air. Si on produit un brouillard de ce genre dans une chambre contenant des plantes. et si la chambre est ensuite soumise à un vide élevé, ou bien si on introduit ce brouillard dans une chambre à vide poussé, contenant des plantes, puis qu'on supprime le vide, le brouillard pénètre dans les espaces intercellulaires où son contenu en liquide se condense. La répétition de ces opérations a- boutit à des saturations très élevées des espaces intercellulaires des plan- tes.

   Ou bien, on peut encore pomper du brouillard dans la chambre contenant les plantes, en augmentant ainsi la pression dans la chambre jusqu'au-dessus de la pression atmosphérique. En relâchant cette surpression, le liquide contenu dans les espaces intercellulaires s'y condensera. On peut encore faire usage de la même manière d'air contenant un très haut degré d'humidi- té, de préférence voisin de 100%, en particulier quand les produits sont à une température inférieure à celle de l'air, en facilitant ainsi la con- densation dans les espaces intercellulaires. Ces procédés sont à recomman- der dans les cas où les plantes rie doivent pas être submergées dans l'eau. 



  Le procédé est rendu plus efficace en utilisant des variations.de pression, soit au-dessus soit en-dessous de la pression atmosphérique. 



   REVENDICATIONS. 

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  PERFECTED PROCESS AND MEANS FOR PREVENTING THE WANTING OF PLANTS AND
TO REVIVE WILD PLANTS TO COMPLETE FRESHNESS.



   If a fresh, sap-filled plant, for example a vegetable, is detached from its root, its liquid content gradually decreases as a result of transpiration and evaporation of the water contained in the liquid-filled cells and after a a certain time, the duration of which depends on temperature, humidity and other factors in the outside atmosphere, the plant begins to wilt and eventually destroys itself completely.



   Until now, no practical means were available to stop these inevitable and harmful phenomena of destruction.



   The primary object of the present invention is to provide a process for preventing wilting of plants. By the term "plants" is meant hereinafter, for example, vegetables, flowers and fruits.



   Another object of the present invention is to restore to plants which have already wilted their freshness and their complete turgor.



   This is carried out in accordance with the present invention by infiltrating liquid, such as water or an aqueous solution, mainly through the stomata, into the intercellular spaces, so as to saturate them completely or partially, and repeating the procedure. operation at suitable intervals. Thus a large reserve of water is stored in the plants with this visual effect that the plants acquire a more turgid appearance than they had before the treatment.



   The hanging stems of already withered plants straighten up and become rigid again, the withered leaves unfold again and the wrinkled fruits regain their natural roundness.



   Plants treated according to the present invention remain fresh and edible and retain high nutritional value for long periods of time.

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 longer periods than is otherwise possible.
As the treatment requires very little time for its effective application = a complete cycle only lasts 1 to 10 minutes - and as the development of a large choice of means has been carried out for the treatment of small, medium-sized and large quantities of plants, the present invention constitutes a significant advance in the conservation of essential and valuable food materials, a high percentage of which would otherwise be lost for human consumption.



   The term "super-turgor" is used here to denote the state in which plants contain more water than in their normal state of freshness To prevent wilting of plants, or to restore plants which have already wilted to their complete freshness , it is essential to change their normal state to a state of super turgor and to maintain them in this state for the entire period foreseen for their conservation.



   In accordance with one aspect of the present invention, a method is provided for preventing wilting of plants and for restoring wilted plants to their full freshness, wherein the plants are contacted with a liquid, subjected to any condition. chosen from several pressure conditions, by which the liquid is forced to enter and partially or totally saturate the inter-cellular spaces of these plants. These liquid pressure conditions can be produced by centrifugal force, kinetic energy, static pressure above atmospheric pressure, pressure changes above atmospheric pressure, pressure changes above or below atmospheric pressure. below atmospheric pressure or even pressure waves.



   These different pressure conditions can be repeated at appropriate intervals.



   The pressure condition resulting from the centrifugal form can be obtained by submerging the plants to be treated in a liquid contained in a closed rotating drum and by rotating this drum at high speed around its axis.



   The pressure condition resulting from kinetic energy is obtained by directing a jet of liquid, divided into fine particles and moving at high speed, against the surfaces of the plants to be treated.



   The pressure condition resulting from the static pressure higher than atmospheric pressure is obtained by submerging the plants in a liquid contained in a closed container, increasing the pressure in this container to above atmospheric pressure and thus forcing the liquid to penetrate and saturate the intercellular spaces of plants.



   However, it has been found that it is more efficient to use low or medium frequency pressure variations, either above or above and below atmospheric pressure, produced by suitable pumps.



   Finally, pressure waves can also be used and in this case, the plants are submerged in a liquid contained in a closed container, the container being shaken or animated by mechanical oscillations or else high or very high pressure waves. high frequency, can be produced in the liquid itself, for example by magnetostriction or piezoelectric effects.



   After filling the intercellular spaces of plants with liquid, the cells neighboring the intercellular spaces absorb part of the liquid by osmosis through their cell membranes and this phenomenon spreads rapidly from cell to cell throughout the entire plant until that all of its tissues are completely saturated with liquid and thus regain their complete freshness and turgor.



  This also takes place if the plants were already wilted earlier in an advanced way.

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   This movement of liquid therefore largely replaces the activities of the roots and of the "vascular system" of plants which have been damaged by cutting them. Thus we can again distribute liquid throughout the mass of plants and this is the main reason for the remarkable extension of the life of the plants picked, treated by this process.



   The complete restoration of plants whose intercellular spaces have been more or less completely filled, is immediate and it offers a spectacle of the most astonishing to see completely withered plants coming out of a machine or apparatus which have regained all their freshness and turgor after a treatment lasting only a few minutes.



   By using the system of partial saturation of the intercellular spaces, the restoration of the plants requires a certain time which depends on the atmospheric conditions, on the nature of the plants, their condition before the treatment and which can last from 30 minutes to several hours.



   The greatest possible reserve of liquid can be supplied to plants by completely saturating the intercellular spaces with liquid.



  Such a condition of plants, however, has an adverse effect on the normal respiration and assimilation of plant cells by preventing the exchange of gases in and out of the intercellular spaces and if this condition persists for a long time. certain period of time, putrefaction takes place invariably. '
To overcome this serious disadvantage, several methods of partial saturation of intercellular spaces have been examined. It has, however, been found that this mode of saturation does not offer any solution to the problem, since partial saturation of this kind always results in completely saturating certain regions of the hollow spaces with liquid, which are also susceptible to. be affected by putrefaction than fully saturated plants.



   The complete solution of this problem is the development of another aspect of the present invention, according to which a method is provided for preventing wilting of plants and for invigorating withered plants to their complete freshness whereby the plants come into contact with liquid, which is subjected to any one of several pressure conditions, by which the liquid is forced to penetrate and partially or completely saturate the intercellular spaces of plants and some or most much of the liquid which has thus entered the plants is subsequently removed.



   The method therefore comprises the means for conveying the liquid into the intercellular spaces of the plants and for subsequently removing part or the greater part of this liquid.



   If, for example, a leaf is completely infiltrated, all of its intercellular spaces are completely saturated with liquid, forming a continuous and unbroken region of inundated internal cavities, extending over the entire leaf.



   In the event of only partial saturation there are a large number of large pockets of inundated regions, surrounded by regions which are either entirely empty or which contain a large number of small pockets of infiltrated liquid, distributed very uniformly.



   Removing some of the unwanted liquid from the fully filled sheet first results in a condition very closely resembling a partially saturated sheet, i.e. in which the region of continuous infiltration subdivides. into a number of large pockets of liquid, interspersed in regions containing small pockets of liquid.



   These three conditions are unfavorable to plants and should be avoided.

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   If the operation of emptying the intercellular spaces is continued or repeated, the large pockets of liquid are then also subdivided into a network of small pockets.



   Eventually, by pushing even further or repeating this emptying operation, the small pockets of fluid are also removed from the intercellular spaces and only a thin layer of fluid remains, covering and firmly adhering to the membranes of the cells that form the walls. intercellular spaces. This film of liquid constitutes a more or less uniform wetting of the interior surfaces of plant tissues and since these interior surfaces have a much larger area than the exterior surfaces, this internal wetting provides a sufficient amount of moisture to satisfy the needs of the plants. needs of plant cells if and when necessary.



   The last two conditions of the plants are very advantageous and we must try to achieve them. Neither the thin film of liquid nor the small pockets of liquid have any influence on the normal gas exchange of plants and do not give rise to imputrefaction.



   Vegetables, flowers and some fruits change color under the effect of infiltration; this is due to the differences in reflection and refraction of the light which passes or is reflected by the intercellular spaces which are filled with either air or liquid. Thus, the infiltrated regions of green vegetables appear dark green and sometimes "glassy" while the flower petals appear translucent with the more delicate pastel tones modified in various shades.



   This particular fact constitutes an aided and significant means of judging the degree of infiltration of the intercellular spaces by liquid by simple visual observation of the degree and distribution of the discoloration of the plants.



   The infiltration of a leafy vegetable, for example, has been correctly executed in its various stages if large dark green spots (corresponding to large pockets) appear after saturation and if, after removal of a certain part of the liquid, these large spots have been replaced by a more or less uniformly distributed network of small dark green spots (corresponding to small pockets) varying in size from a pinhead to a pea. We continue to withdraw liquid, the color of the network of small spots becomes lighter, until it disappears. In this condition, the vegetable (or flower) appears perfectly normal with any discoloration gone, but the plant still contains additional liquid in the form of interior wetting.



   By absorption of liquid by the plant cells and internal wetting, with or without additional small pockets of liquid, the state of the plants has been transformed from the natural state into the state of super-turgor.



   After a while, part of this water reserve in the plants will be lost due to evaporation. If all of this water supply is completely exhausted, the super-turgor state will be lost and the plants will wilt again. Care should be taken to repeat the treatment of the plants before arriving at this state of affairs to ensure the best results.



   Several means and methods have been developed for removing unwanted fluid from intercellular spaces.



   According to one of these methods the plants are exposed to atmospheric conditions which promote and accelerate the natural evaporation of the liquid. Thus the plants infiltrated before, can be exposed to the sun or to a warm atmosphere, preferably of low humidity, the air can be circulated by means of natural currents or by the wind or by artificial means such as a fan . The plants can also be turned from time to time so as to expose all the

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 parts in the air.



   This natural evaporation takes some time, and care should be taken to remove unnecessary liquid within 12 to 24 hours.



   If after this time the intended result has not been obtained, or in cases where natural evaporation cannot take place, for example due to lack of time, or favorable weather conditions or absence of an operator trained and experienced, more drastic artificial means can be used.



   One of these artificial means of removing unnecessary fluid from the intercellular spaces of plants is to expose these plants to the action of centrifugal force. For example, to perform this operation, the plants are placed in a rotating drum containing no liquid and the drum is rotated at high speed around its axis, so as to drive the plants at a circumferential speed of at least 9 meters. per second.



   According to another method, and after saturating the intercellular spaces of the plants with liquid, the unnecessary liquid can be removed by placing the plants in a closed chamber containing no liquid and subjected to a pressure greater than atmospheric pressure, which, for example, can be 14 kg. per cm. square or more. This emptying operation can be repeated, if necessary, one or more times.



   After saturation or substantial saturation of the intercellular spaces of plants with liquid, unnecessary liquid can be removed from the interior hollow spaces of plants by introducing the plants into a closed chamber containing no liquid and subjecting the chamber to a vacuum which can be represented by a 368 mm column of mercury. or more. This can be repeated one or more times if necessary, and this repetition results in removing more liquid from the plants.



   Or, unwanted liquid can be removed from the plants by placing the plants in a closed chamber containing no liquid and subjecting the chamber to low or medium frequency pressure changes. Any type or combination of pressure variations can be used. For example, pressure variations may be entirely greater than atmospheric pressure or entirely below atmospheric pressure, or they may vary from a pressure below atmospheric pressure to a pressure above atmospheric pressure and vice versa. -versa.



   Unnecessary liquid can also be removed by application of vibrations or purely mechanical oscillations at medium or high frequency.



   The unnecessary liquid can still be removed by a very rapid air stream to force the water out, the stream having a speed of 7 meters per second or more. If such a current of air is brought into contact with the plants, unnecessary liquid is removed from the intercellular spaces, and furthermore, the exterior surfaces of the plants will be simultaneously dried.



   After having undergone any of the treatments described above, the plants can be dried on their outer surfaces. This is an essential phase because without it putrefaction would occur quickly. The surfaces can be dried by subjecting the plants to centrifugal force, to more or less abrupt movement of change of direction of acceleration, such as mechanical vibrations or oscillations or even by the action of a current. of air.



     For the various infiltration operations, clear cold water is normally used, to which, however, other substances can be added for certain purposes.

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   If you want to minimize the loss of infiltrated water, you can add inhibiting substances, such as 2-4 dichlorophen = noxy acetic acid, which substance is used in an amount of 0.3 gr. per liter, reduces plant transpiration to about half of its normal value.



  Beta-naphthoxy acetic acid is a similar means, which when used at the same concentration, causes stomata to close.



   The loss of vitamin C in already withered plants can be compensated for by adding ascorbic acid to the infiltrating liquid in appropriate amounts.



   Medicinal substances can be added to vegetables to be canned in various ways. It is possible, for example for anemic people, to introduce ferrous chloride; with the liquid saturating vitamin C or lime gluconate can be added for those who need it.



   Colorants can also be added, such as, for example, for peas for canning, chlorophyll in colloidal form or in the form of the sodium salt of chlorophyl carbonic acid.



  Several different dyes can still be added to the infiltration liquid to achieve remarkable effects with the flowers. To ordinary white flowers or slightly colored, we can restore tones of one or more different colors ranging from the palest shades to black. Infiltration may be confined to the flowers only so as to keep the leaves their natural color. Water soluble aniline colors can be used, such as saffron, basic fuchsin, basic fuchsin, acid fuchsin, ru- bin S, methylene violet, carmine, violet. methyl B, indigo, gentian violet B, crystal violet, manchester brown, venetian black, saffranin T.



   Another aim of the invention comprises the preservation of the products after treatment or between successive treatments, and in accordance with this aim of the invention, the plants, after infiltration of the intercellular spaces with liquid according to any method or after treatment. by one of the methods described above, are kept in a cold atmosphere. Thus, for example, the air in a storage chamber can be maintained at a temperature ranging from 0 C. to 15 C. In addition, the air can be circulated in this chamber by means of a fan. or convection currents. The chamber can be equipped with artificial means of reducing the temperature. it can also contain or be sprayed with germicides or ozone. It can be illuminated with ultra-violet light.

   Facilities may be provided in the storage chamber for air and for keeping it at a high degree of humidity.



   Another object of the invention relates to the machines and apparatus necessary for carrying out treatments for the prevention of wilting of plants and for the complete revitalization of wilted plants such as they are shown in the accompanying drawings in which:
Figure 1 shows a side elevational section of a machine form.



   Figure 1A is a vertical section showing a detailed view of a modified form of the cover.



   Figure 1B is a plan view of Figure 1A, the top of which has been removed.



   Figure 2 is a section through another form of machine.



   Figure 3 is a section taken along line 3-3 in fig. 2.



   Fig. 4 is a sectional view showing the enlarged exhaust valve.



   Figure 5 is a vertical section through another form of machine.

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   Figure 6 is a section taken along line 6-6 in fig. 5.



   Figure 7 is a section taken along line 7-7 in fig. 5.



   Figure 8 is a detailed view of part of this machine.



   Figure 9 is a section through another form of apparatus.



   Figure 10 is a section through another form of apparatus.



   Figure 11 is a plan view of another form of apparatus.



   Figure 12 is a section taken on line 12-12 of Figure 11.



   Figure 13 is a section taken on line 13-13 of Figure 11.



   Figure 14 is a section through another form of apparatus.



   Figure 15 is a section taken on line 15-15 of Figure 14.



   Figure 16 is a section through another form of machine.



   Figure 17 is a section through another form of machine.



   Figure 18 is a section through another form of machine.



   Figure 19 is an enlarged view of part of this machine.



   FIG. 20 is a schematic view of the pumping circuit of the machine in its other position.



   Figure 21 is a plan view of another form of machine.



   Figure 22 is a section taken on line 22-22 of Figure 21.



   Figure 23 is a vertical section of a detail.



   Figure 24 is a section taken on line 24-24 of Figure 22.



   Figure 25 is a section taken on line 25-25 of Figure 22.



   Figure 26 is a section taken on line 26-26 of Figure 25.



   Figure 27 is a section through. through the pump of this machine.



   Figure 28 is a section taken on line 28-28 of Figure 27.



   Fig. 29 is a view showing a type of continuous operation installation according to the invention.



   Figure 30 is a detail view of part of the installation.



   Figure 31 is a section through another form of machine.



   Figure 32 is a sectional view of a detail of this machine.



   Figure 33 is a section taken on line 33-33 of Figure 31.



   Figure 34 is a detailed sectional view of the control valve.



   Figure 35 is a section taken on line 35-35 of Figure 34.



   Figure 36 is a view of another type of apparatus.



   Figure 37 is a plan view of this apparatus.



   Figure 38 is a section taken on line 38-38 of Figure 37.

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   Figure 39 is a plan view of another type of apparatus.



   Figure 40 is a section taken on line 40-40 of Figure 39.



   Figure 41 is a plan view of Figure 40.



   The constructions shown in Figures 1 to 4 are examples of the process using centrifugal force as a means of infiltrating water into plants. The constructions are intended for the treatment of average quantities of plants up to around 50 kgr. per cycle. The treatment is fast and efficient and takes 3 to 8 minutes for a complete cycle of operations as described below.



   In the construction shown in Figure 1, the machine comprises a drum 400 mounted on a vertical shaft 401 supported by a ball bearing 402 contained in a sleeve 403. At its lower end, the shaft 401 is provided with a pulley 404 controlled by a belt 405 from the electric motor 406.



   The base of the machine is a cast iron casting 407 to which is attached an outer cylindrical casing 408. The base 407 carries on one side a discharge opening 409 and is mounted on suitable wheels 410. The base is curved towards the bottom in the form of a channel as seen at 411 to join the discharge 409 and it is provided with projections 412 to which are attached arms 413 of the sleeve 403 by means of the bolts 414 and the nuts 415.

   This connection includes rubber sleeves to allow shock absorption caused by drum 400 as a result of the imbalance of the plants contained therein, before they are transmitted to the part at 407.



   The upper part of the outer casing 408 is provided with a cover 416 hinged to the casing by means of a hinge 417 so as to maintain the cover 416 in the open position by the flange 418 which engages in it. ring 419 disposed at the top of the envelope. This ring 419 has a protruding lug embraced by two plates 420 attached to the cover 416; these three elements are provided with holes 421 for receiving a closure pin to lock the cover in the closed position and to prevent slamming when the drum rotates.



   The drum 400 is provided with a cover 422 carrying a ring 423 which extends downwards and a ring forming a seal 424 so as to ensure the hermetic contact of the cover with the upper crown of the drum. The cover 422 also has a locating ring 425 mounted at its bottom, provided with a number of grooves which are exposed when the cover 422 is raised. Spring pistons 427 are housed in lugs 428 placed on the crown of the drum.



   The shaft 401 passes through the interior of the drum upwards and its upper part is provided with a screw thread 429 on which fits a nut 430 with handles 431 which allows it to be turned to tighten the cover tightly. 422 on the drum. Nut 430 is provided with a flange 432 which comes into contact with a plate 433 fixed to the top of the cover.



   The upper part of the nut 430 is provided with an internal thread 434 in the opposite direction to the pitch 429, arranged so as to be able to receive the screw thread 435 disposed at the lower end of the pivot 436 of which the upper end carries a handle 437. The pivot 436 is housed in a sleeve 438 fixed in the cover 416; a spring 439 operates between the bottom of the sleeve and the underside of the handle 437, and must be strong enough to be able to support the cover 422 when carried by the cover 416 as will be explained below.



   Pivot 436 is provided for this purpose with a collar 440 and when the machine is to be opened to be filled with plants, pivot 436 is pushed down until the conical end of thread 435 enters.

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 in the outward flared end of the internal thread 434. When the handle 437 is turned in the appropriate direction, the screwed end 435 of the pivot engages in the internal threaded part until the collar 440 comes into contact with the head of the nut 430, then the rotation of the handle 437 'unscrews the nut 430 from the upper part of the shaft 401.

   When the nut 430 is released from the end of the shaft 401, the spring 439 lifts the pivot 436 and the cover 422 until the collar 440 contacts the underside of the sleeve 438. Cover 416 can then open and swing into its upright position with cover 422 securely attached thereto such that cover 422 does not come apart from the machine and is not placed on the floor or anywhere where it could be damaged.

   The plants are then introduced into the drum while being contained in a trellis basket 441 provided with a cover 442 and folding handles 443. The basket is placed in the drum by means of the circumferential guide elements 4440
With the drum 400 completely filled with water, the cover 416 is lowered and the pivot 436 is lowered until the nut 430 contacts the upper end of the shaft 401. The rotation of the handle 437 in the appropriate direction screws the nut 430 lightly into the thread 429 then the threaded end 435 begins to unscrew from the nut 430 until it is completely free and the handle 437 is reassembled under the pressure of the spring.

   The cover 416 is then lifted and the nut 430 screwed firmly in by hand. The high torque required to secure the cover requires some type of locking device (not shown) to secure the drum 400. The cover 416 is then closed. The operation of penetrating the liquid into the intercellular spaces of the plants begins at this time.



   The motor is started, and the drum 400 begins to rotate.



  The water if it does not completely fill the drum, after aboron reaches the speed of the drum, disposes of itself following a hollow cylinder along the walls of the drum, and the vegetables = - which are heavier than the water are placed near the sieve. In the water cylinder, the pressure increases rapidly in proportion to the square of its distance from the axis of rotation. This pressure causes water to penetrate into the plants and saturate the intercellular spaces while at the same time expelling the air which they contain. Plants closest to the inner circumference of the drum being exposed a. the higher pressure, will exhibit the highest percentage of infiltration, this percentage of infiltration, this percentage gradually decreasing in the layers arranged closer to the axis.



  After the required time, the motor is disconnected and the brake 445 comes into contact with the upper face of the pulley 404 by operating the pedal-447-of the lever to
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 brake 446 has .1 '. against the action dcrresBDrt.Jt.46A for a !!:' l! 1'êtfu3rrota: 1ieE W tmlbar.



  The cover 416 is opened and the cover 422 is lifted slightly, when the nut 430 is unscrewed slightly but enough to allow the upper ends of the slots 426 to rise a little above the crown of the drum 400. The cover 416 is closed the motor is restarted and the drum rotates. Pistons 427 produce additional friction which prevents relative movement between cover 422 and drum 400.



  Water escapes through slits 426 and is dipped down through ring 423 to ultimately escape through discharge 409. It is then that the outer surfaces of the plants can be dried. By continuing to rotate the drum for a suitable period of time, the outer surfaces of the plants may become dry. If the speed reached by the drum is high enough, some or most of the infiltrated liquid may be forced out. 'exterior, the exterior surfaces of the plants being dried simultaneously.



   The handle 437 is then operated in the manner already described above to lift the cover 422, after which the cover 416 can be tilted backwards so that the treated vegetables can be removed from their basket and replaced by vegetables to be treated.



   Figures 1A and 1B show a modification of the construction referred to above, in which means are provided to enable

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 lift the drum cover and allow the liquid to escape without stopping the rotation of the drum so that the time required to complete a complete treatment cycle can be reduced.



   As shown in Figure 1A, the construction of cover 448 is similar to that of cover 422 shown in Figure 1 and can be attached to the upper end of shaft 401. The upper part of the shaft has a nut 449 which engages the thread 450 and the lower end of the nut is provided with a flanged collar 451 which can slide over the nut and is attached to it by means of a key 452 .



  Below the collar 451 another nut 453 is screwed onto the lower end of the nut 449 and a spring 454 operates between the upper face of this nut and the raised flange 455 of the cover 448.



   Nut 449 is provided with a number (in this case 4) of pairs of legs 456 arranged radially.



   Between each pair of branches 456 is placed a pivot 457 on which pivot a pair of cranks 458 supporting between them a roller 459 mounted on a pivot 460.



   The cover 448 is provided with an annular flange 461 directed upwards. A ring 462 mounted so as to be able to slide vertically in this flange, is provided with handles 463 disposed radially and also with pairs of ears 464 directed radially towards the center and embracing the branches 456 of the nut 449 so that, when the ring 462 is rotated by the handles 463, the ears 464 rotate the nut 449.



   A spring 465 acts between the lower part of the handles 463 and the ribs 466 on the upper face of the cover 448.



   Means similar to those designated in FIG. 1 are also provided for lifting the cover and comprise a pivot 467 mounted in a sleeve 468 fixed on the outer cover 469, provided with an operating button 470 mounted on its upper end. and a spring 471 acting between the lower part of the button 470 and the upper face of the flange of the sleeve 468. The pivot is provided with a collar 472, is provided with a thread 473 at its end and also a suitable number of arms 474 (in this case three) arranged radially which carry on their ends rollers 475 mounted on the pivots 476. These rollers are arranged vertically above the upper edge of the ring 462.



   The operation of this mechanism is as follows: If you want to lift the cover 448 to allow the escape of the liquid after the infiltration has been complete, you apply an intense downward shock to the button 470 or you pushes it down by hand so that the cylinders 475 come into contact with the upper edge of the ring 462 and push the latter down against the pressure of the spring 465 until which it occupies the position shown on the left in dotted lines in figure 1A.

   Previously; the inwardly directed flange 477 of the ring 462 prevents the movement of the rollers 459 but as soon as the ring is lowered the rollers 459 move outwards under the strong pressure of the liquid exerted on the cover 448 and under the action of centrifugal force in the position indicated in dotted lines to the left of FIG. 1 A. This movement is made possible by the fact that the line of the centers of the pivots 457 and 460 is away from the neutral point.

   When this is done, the liquid pressure inside the drum produced by the centrifugal force acts to lift the cover 448 and also moves the collar 451 upward keeping its upper surface in contact with the underside of the legs. cylinders 459. Thus the cover has raised enough to allow the liquid to escape over the upper edge of the drum without the drum ceasing to rotate. When most of the liquid has been discharged from the drum and the liquid pressure in the drum is therefore insufficient to maintain the cover 448 in its raised position, the spring 454 fulfills this role and thus allows the escape.

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 pour the last drop of liquid.



   When the operation is finished, the cover 448 can be lifted by means of the pivot 467 in the manner already described, for the previous construction by lowering the pivot 467 until its threaded end 473 'engages on the thread. of screw 478 of the nut 449. The lowering of the pin 467 thus executed, pushes the ring 462 downwards until it occupies the position shown in dotted lines to the right of FIG. 1A.



   Threaded end 473 then screws firmly into position and continued rotation unscrews nut 449 and thus lifts cover 448 until the nut releases from the end of the shaft.
401; the spring 471 then acts to lift the cover 448 until the collar 472 again contacts the lower part of the sleeve 468.



   To put the cover 448 back in place, the cover is lowered
469 in position and the pivot 467 is lowered until the nut 449 partially engages the threaded end 450 of the shaft 401, after which the handling of the button 470 unscrews the end of the pivot 467.



   A slight pressure of the hand exerted on the upper face of the cover 448 causes the latter to descend against the action of the spring 454 and thus allows the spring 465 to push the ring 462 and the flange.
477 upwards by passing the rollers 459, and returning the latter and the cranks 458 to their original position. The lifting of the ring
462 is limited by the upper face of the ring 477 which comes into contact with the lower faces of the branches 456. The ring 462 is then rotated by hand by means of the handles 463 until a strong pressure is exerted. by nut 449 via cranks 458, cylinders
459 and collar 451 on cover 448, pressing the latter tightly against the upper edge of the drum.



   In another construction shown in Figures 2-4, infiltration is also produced by centrifugal force. In this case, the plants are submerged in water in a closed rotating drum 250 driven by an electric motor 251 and rotating around its axis. The drum contains a cylindrical screen 252 disposed concentrically with the drum, of smaller diameter, but of the same length. After filling the drum with plants and liquid to a suitable level, the cover 253 at the upper part of the drum is closed and the drum is rotated around its axis at very high speed.



   After complete infiltration, water can escape from the centrifugal machine without stopping it. For this purpose, a lift valve 254 is provided and is disposed radially in the wall of the drum; this valve 254 is pushed against its seat by centrifugal force and a spring 255.



    -This spring is attached to a fixed pivot pin mounted on ears 256 on the outside of the drum, and the spring is also attached to the end of a lever 257 pivoting on other ears 258 placed on the drum , the lever itself being provided with a roller 259 fixed at its other end.



   Lever 257 is also attached to valve stem 254.



   A curved guide bar 260 is disposed within the path of the roller and pivots on an axis 261 disposed parallel to the axis of the drum. The guide bar is held in position by a radial spring 262, but it can be moved outward by pulling a button attached to the bar by a radial rod 263; roller 259 of lever 257 thus moves outward and the lever opens the valve
254, which is held open by spring 255, moving past neutral the guide bar is returned to its original position by means of radial spring 262.



   The water then escapes quickly through the valve and the plants are dried immediately after. If the drum rotates at a sufficiently high speed, unnecessary liquid can also be removed from the es-

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 intercellular spaces by centrifugal force. When this operation is complete, valve 254 can be closed by pushing inward a second button, attached to rod 264 connected to a second curved guide bar 265, which also pivots on the casing surrounding the drum. .



  The two guide bars are curved and are disposed circumferentially between the drum and its casing.



   Centrifugal force infiltration lends itself to variation which allows for continuous operation. This can be achieved by adopting another construction as shown in Figures 5 to 8, comprising a drum 266 fixed to a hollow vertical shaft 267 through the central bore of which passes a control pivot. 268, the lower end of this pivot is provided with a drum brake 268 A on which a brake band 268 B can fit, while the upper end is provided with a small pinion 269 s' meshing with a larger pinion 270 mounted on a lateral vertical shaft 271, itself mounted in two bearings arranged at the top and at the bottom of the drum, this shaft is arranged parallel to the shaft 267 but spaced from the latter.

   Symmetrically to the side shaft 271, with respect to the axis of rotation, a second side shaft 272 is provided, also mounted in two bearings at the top and at the bottom of the drum. Two gear wheels of the same dimensions 273 are mounted on each of these shafts and mesh with each other.



   Above these pinions, and also wedged to the side shafts, are two support plates or braces 274 with three arms supporting three fixed vertical axes 275. Supports composed of small gears 276 and large collars 277 rotate freely, around it. these axes; the gears are attached to the collars by means of thin fuses. In addition, two sets of arms 277 A attached to each of the side shafts are connected above the collars to vertical perforated sleeves 278 which receive vertical, hollow and cylindrical vegetable containers.

   The latter each comprise a bottom plate 280 provided with six rising projections 281, a perforated cylindrical casing 279 and a cover 282 fixed to the casing by a bib seal. The cover is provided with a central knob 283 with freely rotating stop tabs. It is possible to place less (or more) than three vegetable containers on each side shaft.



  The hollow shaft 267 is driven by an electric motor 284.



   The operation is as follows: the drum 266 is filled with water to an appropriate level and is driven by a rapid rotational movement around its vertical axis. With the 268 A drum brake released, the entire inner drum mechanism rotates in unison with the drum, just as if it were firmly attached to it; but by slightly braking the drum by means of the brake band 268 B, the small pinion 269 on the control pivot 268 is retarded relative to the drum and rotates the pinion 270 of the side shaft 271, and with it the shaft itself and all the parts attached to it, slowly around the axis of the side shaft 271, while the other side shaft 272 and all the mechanism attached to it, slowly turn in the opposite direction under the action of the gear.

   The liquid contained in the drum takes the form of a cylinder coaxial with the axis of the drum, and this water cylinder has a cylindrical interior surface 283 A.



  By slightly retarding the drum brake, the sleeves 278, with their vegetable containers 279, slowly and gradually penetrate the liquid cylinder to a maximum depth to emerge thereafter.



  The vegetables contained therein are thus subjected to the inflection of water during the passage of the containers through the pressure zones and are dried superficially after having emerged from the water.



   The disadvantage of irregular infiltration already mentioned can be largely overcome by imparting an independent rotational movement to the containers. This can be achieved by means of a plate 285, attached to the drum and having two sets of inner gear teeth 286, each of which is concentric with one of the side shafts 271 and 272, the inner gear teeth occupying three quarters of its circumference. These inner gears 286 mesh with the small gears

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 276 mounted on the axles 275 carried on the struts 274, and in this way the pinions 276 rotate about the axles, together with their collars. The latter each comprise 3 spring pegs 287 parallel to the axes but spaced apart laterally.

   The springs 288 bring the pins entirely inside the collars 277 but the pins can be pushed upwards by the guide bar 289 fixed on the drum concentrically to the side shafts and entering the openings formed by the narrow rockets. between the pinions 276 and the collars 277.



   Likewise, whenever a vegetable container at; During its circular motion around the side shafts, has reached the axis of rotation of the drum, the brake valve is moved away from the brake drum by known means, and the control pivot 268 is rigidly attached to the 'hollow shaft 267, so as to stop all movement, relative interior in the drum. The containers successively reach the central position and in this position they can be grasped by their buttons, either by hand or by means of a suitable instrument and be lifted from the drum.



  An elevated funnel-shaped tubing 290 disposed on the outer casing facilitates placement and guidance of the container during operation, and the same is true when inserting a container of vegetables to be processed immediately thereafter. The container, in place, is accelerated rapidly via the rapidly rotating sleeve 278 in which it is placed due to the friction between the bottom 280 and the support collar 277. After a short determined time, the pivot 268 is of again automatically released from the hollow shaft 267 and slightly retarded by braking.



  The containers then begin to rotate around the side shafts. When the small pinions 276 reach the inner gears 286, and mesh with them, the collars 277 in turn begin to rotate-around the vertical axles 275 on which they are mounted. The guide bar 289 then pushes at least one, and sometimes two, of the pegs 287 of the collar 277 upwards by means of their chamfered parts 289 A to make them penetrate into the notches 281, and in this way to form a control connection with the container, rotating it about its own central axis as it moves through the liquid under pressure and assu-. thus ensuring a uniform infiltration of all parts.

   When the small gear pinions 276 reach the other end of the inner gear 286, this rotational movement is stopped. The pegs 287 fit into the collars 277, and when it reaches the central axis of rotation of the drum, the pivot 268 is wedged on the hollow shaft 267 and the movement of the container around the side shaft is stopped. container in the center of the system is then removed and quickly replaced with one containing the untreated product and the cycle will begin again. The delay and timing of the control pivot 268 can also be accomplished by means of a suitable controlled gear. by the hollow shaft 267 or other known means.

   When the vessels emerge from the liquid cylinder at a sufficiently high rotational speed, unnecessary liquid can be removed from the intercellular spaces by centrifugal force which simultaneously dries the surfaces of the plants.



   It is also possible to produce infiltration of plants by means of pressure waves produced in the liquid. In this process, the vegetables are completely submerged in water in a closed container. Preferably, the water fills the container completely. The container is then subjected to a reciprocating movement at an amplitude ranging from 2.5 cm to 30 cm. and at a rate of 0.5 to about 30 per second.



  Pressure waves are thus produced inside the container and infiltration occurs. The intercellular spaces also become saturated if the frequency of the pressure waves is increased even more until reaching a supersonic frequency while decreasing the amplitude correspondingly.



   Another process for the infiltration of the luquid consists in the use of kinetic energy in the form of a jet of water possibly sprayed into very fine particles. The kinetic energy of these particles must

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 be a web that the impact exerted on the surfaces of plants causes the particles to penetrate through the stomata into the interior cavities.



   In a construction shown in Figure 9, for the application of this latter process, a tube 300 with a central bore 301 is connected to a pressurized water line. The bore ends with a small hole 302 allowing the projection of a fine spray of water.



  Where this water jet hits a leaf, a narrow line of infiltration appears, clearly visible on most leaves. This effect can even be made more visible and permanent by dissolving coloring matters in water. In this way, very clear writings and designs can be produced by infiltration on the sheets. Writing and drawing in very fine lines on the petals of flowers is sometimes. difficult, since the stomata are often degenerate, small or immobile.



  The pricking of the petals with a fine needle or a suitable set of these needles spaced 2 to 3 mm. approximately, greatly facilitated subsequent infiltration. To treat whole vegetables and flowers, a more extensive treatment is required, and another type of apparatus is used as shown in Fig. 10. In this construction, the pressurized water is discharged through a tube. 303 at the end of which is screwed a sleeve 304 on a thread provided on the tube, held in position by a locking nut 305. The other end of this sleeve ends in a conical opening 306 closely and slightly conforming to spaced from the periphery of a similarly shaped disc 307 attached to a rod 308 protruding from the end of the tube.

   The water passes through small spaced holes 309 at the end of the tube to be subdivided into a fine conical-shaped spray after passing through the properly adjusted space between the sleeve 304 and the periphery of the disc 307.



  This spray of water resembling a brush in terms of its touch and action has been called a "water brush". As the water brush slowly passes over the plants, rapid infiltration occurs. The apparatus must be adjusted so that the kinetic energy of the water particles is insufficient to damage plants but large enough to produce infiltration at a reasonable rate.



   In another construction shown in Figures 11 to 13, a water brush with a flattened cross section is produced. In this construction, a rubber molding 310 is connected to the tube 311 serving as a pressurized water passage. The molded part has a circular section at one end but has an elongated or flattened section at the other end and ends with a narrow slot 312. This opening can be adjusted by means of two nuts 313 screwed onto screws 314 of one size. metal clamp comprising two articulated jaws 315 coming into contact with the opposite faces of the molded part 310:
It has been proven that an air stream of sufficient speed and volume can be used effectively to dry treated plants to remove water adhering to their surfaces.

   By analogy with the above, this process has been referred to as "air brush". A combination of "water brush" and "air brush" is possible as shown in Figs. 14. and 15. The air brush has a pipe 316 connected to a compressed air supply tube mounted in parallel with the tube of the water brush nozzle 317. The air brush may terminate in funnel form 318 and the water brush may carry a discharge funnel 319, and a tube 320, directed downwardly from the constriction 321 and entering a water container 322.

   A plate valve 323 is also provided which rotates around the peg 324 disposed parallel to the nozzle tube, and allows the air stream to wilt through the water brush tube 317 but prevents it from swirling. pass through the air brush 316. When the infiltration is complete, the valve 323 is turned by simply pressing the finger on its periphery to close the tube of the water brush 319 and open the tube of the air brush. 318. These two pipes have a common connection 325 to the compressed air supply line. They can however be connected to different air supplies and to

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 different pressures.

   If a common air supply line is used, it is possible to dispense with a separate air brush tube and pass from infiltration to drying by shutting off the water supply by means of a tap placed on the water supply tube 320. It has however been found that the water brush making use of hydrostatic pressure to accelerate the water particles and as shown in Figures 10 to 13, is more efficient than using compressed air for the same purpose.



   The rapid movement of fine particles of water through the air produces considerable evaporation accompanied by a decrease in plant temperature, which is very beneficial. The infiltration produced by kinetic energy also lends itself by itself to the application of the continuous process whereby the plants are passed on a suitable conveyor in. a tunnel containing a long strip of water brushes followed by a similar length of air brushes for subsequent drying. Plants can be turned mechanically during this passage thus ensuring uniform treatment of the entire surface. If desired, some of the infiltrated liquid can be removed, increasing the speed of the air stream to 7 meters per second or more.

   With regard to these types of apparatus using the kinetic energy of the liquid, it is essential that the speed of the water jet striking the plants, is not less than 3.60 meters per second otherwise the infiltration does not take place. This speed should also not be high enough to damage the plants. The maximum speed depends on the properties of the plants being treated, eg a thick cabbage leaf can withstand a higher spray speed than a thin lettuce leaf.



   In another type of apparatus shown in Figure 16? Using only the static pressure of the liquid for the treatment, a vessel 326 is employed with a non-circular shaped cover 327 which may be oval and which fits the vessel from the inside. A pump 328 serves to relieve the pressure in the vessel and this pump can pump either liquid or air and can be operated by electricity, by hand or by foot. Pressure inside the container pushes lid 327 against the underside of an inwardly directed shoulder 329 provided at the top of the container and holds the container closed. The plants are introduced into the container in a basket 330, and the container is filled with liquid.

   After subjecting the interior of the container to a pressure greater than atmospheric pressure by means of the pump, the pressure is released. The operation can be repeated until the products have received sufficient infiltration. The liquid is then poured out, the treated products are removed and the surfaces are dried in a separate wringer or by means of a rapid air stream.



  Or, after emptying the liquid from the container, the intercellular spaces of the plants are emptied by application of an air pressure greater than atmospheric pressure. After releasing this excess pressure, the operation may be repeated one or more times until a sufficient quantity of liquid has been removed from the intercellular spaces. After emptying the interior of the plants of the liquid, the surfaces are dried as above.



   In the construction shown in Fig. 17, the process illustrated is that making use of pressure changes above atmospheric pressure to produce infiltration into the plants.



  A container 331 similar to that described last is used, which has a rounded upper rim 332 cut in the shape of an oval in which fits from below an oval cover 333, which, as the pressure in the container increases, is pressed against the crown, and thus closes the container. The bottom of the container 331 is connected to a pipe 334 terminating in a water tank 335 disposed as high and as far away from the container as possible. This tank is filled with water by the pipe 335 A supplying the water under pressure and the water level in the tank is controlled by a float valve 335 B. A valve 336 is mounted on the pipe.

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 334 between the tank and the container.

   The pipe 334, of large section, extends beyond the receptacle and is provided at its other end with a hydraulic ram 337 of known construction. The operation is as follows: the container is filled with vegetables to be treated (which can be found in a trellis basket 338), then the upper oval cover 333 is introduced and it is tightened against the crown 332 by manipulating the handle 338 A, and thus lifting the cross member 338 B which is attached to the cover 333. The valve 339, mounted on the cover, is then opened. The water tank 335 has sufficient volume to permit rapid filling of the vegetable container and this or a similar arrangement may be used in conjunction with any other embodiment described herein. The filling is done by opening the valve 336.

   As soon as the container is full of water, the tap 339 is closed and the excess water then escapes through the valve of the hydraulic ram 337. Alternating pressure waves then occur under the known action of the valve. hydraulic ram in container 331 and this treatment is repeated until the plants are considered to be sufficiently saturated. Then the control valve 336 of the tube 334 is closed, the water in the container flows through the hydraulic ram and this flow is facilitated by opening the tap 339. The container is opened and the treated plants are removed. These can then be dried superficially by one or the other method as required.



   In another construction shown in Figs. 18-20, great freedom is available to perform the treatment in which the liquid is forced to penetrate and partially or totally saturate the intercellular spaces of the plants using pressure variations. Alternative options either below or above atmospheric pressure: This process is found to be very efficient and results in a cycle of saturation of the plants in a very short time. The machine comprises a drum 230 provided with a cover 231 mounted so as to rotate on a hollow shaft 232 arranged on the axis of the drum.

   A stuffing box 233 is mounted on the lower end of the hollow shaft and this shaft is connected by a pipe 234 to an air pump 235 capable of producing a vacuum or a pressure or both through it. a two-way valve 236, the casing of which carries 4 tubes. These four tubes are equally spaced around the hollow body of the two-way valve, and a tube 234 is connected to the lower end of the hollow shaft. Another tube 237 is connected to the suction port of the pump body. Another tube 238 connects the discharge from the pump body to the valve casing and the fourth tube 239 is in communication with the outside atmosphere.

   The valve which can oscillate or rotate in its casing, is provided with two passages in the form of L 240 which cross it, these passages are able to connect the hollow shaft to the suction port of the pump by the two pipes 234 and 237, the other passage being able to connect the discharge of the pump to the outside atmosphere by 'the other pipes 238 and 239 In the other position of the pump, shown in figure 20, one of the L-shaped passages connects the suction inlet of the pump to the atmosphere through the two tubes 237 and 239 and the other L-shaped passage connects the discharge of the pump to the hollow shaft.



   The hollow shaft 232 is extended by the tube 241 which crosses the drum upwards, to a place situated above the water level and is surrounded by a float 242 carrying a valve 243 based on the seat 244 disposed in a partition of the cover. The cover extends above the partition to form the container 245 filled with water to a suitable level. In one of the positions of the two-way valve 236 air is drawn from the drum until the desired vacuum is reached.



  By turning the valve 90 and letting the pump run, the air is forced back into the drum and causes the water therein to penetrate the intercellular spaces of the vegetables introduced into the drum. This cycle of pressure variations repeats itself and the plants absorb more and more water. By pumping air through the pump, a rather

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 large filled with air forms above the level of the water going down into the drum. These operations, especially the creation of a high vacuum, take more and more time, which is not desirable. The float 242 overcomes this drawback.

   It lowers together with the water level, opens the valve 4 which operates between the container 245 of the cover and the drum and allows the water in the container to raise the level of the water in the drum. The two-way valve can be operated a few times by hand or even mechanically, and makes it possible to apply to the plants a certain number of waves of pressure or vacuum per minute.



   Or one can make use of an elastic diaphragm animated by mechanical oscillations and connected to a closed chamber containing the water and the plants.



   Using these systems, the number of pressure changes above or below atmospheric pressure can vary from less than one per minute to about 50 per second. As the time used per cycle decreases, the energy of the pulses must be increased and care must be taken to avoid the accumulation of air pockets by making use of means similar to those previously described, as these air pockets act as an elastic medium and prevent a sufficient increase in pressure or vacuum. Finally, it is still possible to use very high and even supersonic frequencies generated by magnetostriction or the piezoelectric effect.



   After saturation has been achieved, unnecessary liquid can be removed from the plants by emptying the liquid container and subjecting the plants to further pressure changes above or below atmospheric pressure. Or, they can be subjected to the action of centrifugal force. When this treatment is complete the exterior surfaces of the plants can be dried by centrifugal force or other methods described above. In the last construction described, the drum can be driven in a rotational movement by an electric motor 246. A brake 247 operated by lever 248 is provided to act on the control pulley 249, and slow the drum. .



   The construction shown in Figures 21 to 28 is also intended for the treatment of average quantities of plants up to 50 kg. at a time. The treatment is quick and takes only 2 to 5 minutes for a complete cycle.



   This process also uses pressure variations either above or below atmospheric pressure to produce infiltration.



   A drum 10, open above, is supported by the conical end 12 of the shaft 13 resting on ball bearings 14 and 15 and mounts in a bearing housing 16. This housing is fixed to the lower part of a housing. reservoir 17 which surrounds the drum 10 completely. The bottom of the tank 17 has a central flat portion 18 which penetrates into a spiral-shaped trough 19, the lowest point 20 of which is provided with a discharge pipe 21.



   The upper end of the reservoir 17 is provided with a circular ring 22 on which is articulated at 23 a cross member 24. This cross member is hollow, U-shaped and extends over the entire width of the reservoir; it is provided at its outer end with a hook 25 articulated on the cross member at 26 and which hooks to a spout 27 extending downward from the ring 22.



   A hollow projection 28 is provided on the cross member 24, threaded on the inside, which receives a pin 29 provided with a handwheel 30 operated at the; hand.



  The lower end of the pin 29 carries a reduced spout 31 which enters a slot in the spout and valve body 32 (Figure 23). This body carries a rubber ring forming a gasket 33 which closes the hole 34 located in the center of a cover 35 covering the drum 10. Between these two elements is located.

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 ve a rubber ring 36 forming a seal. A timing pin 37 disposed in the central projection 38 of the cover 35 penetrates a slot 39 of the valve body 32 and prevents its rotation. A threaded ring 40 screwed into the upper end of protrusion 38 upwardly restricts movement of valve body 32. Cross member 24 has a short protrusion 41 perpendicular to it.



   Two bridge pieces 42 are carried by the cross member 24 and are provided with holes 43 into which penetrate pins 44 fixed to the projections 45 of the cover 35. These pins 44 have conical shoulders 46 which penetrate through corresponding cones 47 of the bridge pieces 42.



   Longitudinal channels 48 and 49 are cast in the cylindrical wall of the tank 17 (see figure 25) and allow the placement in one of them of a water tube 50, the other end 51 of which is connected to the. through a flexible hose to a water pipe. This tube 50 also comprises a control valve 52 disposed in a suitable position and its upper end is reduced in width and has a shape of a partially circular curve extending above the ceiling of the drum 10. This end 53 of the tube 50 is mounted inside the hollow part of the cross member 24. The other channel 49 protects the conductors of a multi-pad switch 54 and a safety switch 55.



   The housing serving as a bearing 16 carries a flange 56 perpendicular to the shaft 13. Rubber sleeves are mounted in protrusions of the flange 56 and in turn carry metal sleeves, and while the studs 60 are screwed into the projections provided at the base of the tank 17 and the plates provided with spring washers which are arranged below the nuts 64. When these nuts 64 are tightened against the metal sleeves,

   the flanges of the rubber sleeves are compressed to a certain extent and these rubber sleeves absorb shocks which would otherwise be transmitted directly from the rotating drum 10 if the products centrifuged therein were substantially unbalanced.
The bearing housing 16 is also provided with a base plate 66 cast on it and this plate 66 carries an electric motor 69 and an air pump 70 which can be either a compressor or a vacuum pump.



  The lower end of the motor shaft 69 is provided with a double groove pulley 71 from which a belt 72 operates a pulley 73 mounted at the lower end of the shaft 13. The other belt 74 controls a pulley 75 mounted on the pump shaft 76.



   The pump itself (figure 27) is of the vane type and is lubricated only by water. The shaft 76 is split at 77 to receive the two fins 78 constructed, for example, from a material based on synthetic resin. The upper end of the slot 77 is closed by means of a metal plug and the upper end of the shaft 76 is covered by a metal cap 81 pressed onto it. The cap 81, the stopper and the lower end of the slot 77 are provided with respective holes 82 and 83, the lower hole 83 of which communicates with a transverse bore 84 connected to a circular groove 85 of the lower cover 86 of the pump. . The top cover 87 includes the respective inlet and outlet ports 88 and 89, the first of which is connected to a supply pipe 90.



   The upper cover 87 is provided with a chamber 91 closed above by a cover 92. On the side of the chamber 91 is connected by a pipe 93, a flexible rubber tube which itself is connected by a second pipe 95. at the bottom of the tank bottom 17.



   Rubber rings' 96 and 97 are interposed between the pump body 98 (disposed eccentrically with respect to the rotor shaft 76) and the upper and lower covers and these three parts are assembled by means of the bolts 99. On the side of the pump body 98 is located

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 ve a console 100 attached to the base plate - 66.



   A shoulder 102 of the shaft 76 comes into contact with a rubber ring disposed in a metal ring 104, the lower part of which carries a tongue and serves as a seat for a diaphragm seal using a carbon ring which is retained in it. a rubber housing 106 and is pressed against the seal ring 104 by means of a spring. The diaphragm seal itself is contained in a housing 108 screwed onto a projection 86 of the bottom cover. Water, used for lubrication, can descend between the fins 78 as they separate during rotation, so as to reach the annular groove 85. the motor 69 can be reversed by means of the switch 54 and One-way couplings are arranged so that either drum 10 or pump 70 operates when the motor is rotating in either direction.

   They have projecting jaws and are arranged as follows: the pulley 75 is idle on the shaft 76 and carries one end of a spiral spring 111 disposed around the hub of the pulley and around a sleeve 112 fixed on the shaft 76 by means of a pin 113 and a key. If the pulley 75 turns, in one direction, the spring 111 wound around the hub of the pulley and the sleeve, firmly serves the latter and transmits the torque to the shaft 76. If, however, the motor turns in the other direction, the spring 111 releases and slides freely on the sleeve 112. The same arrangement applies to the shaft 13 of the drum with the only difference that the spring is wound in the other direction so as to embrace the shaft of the drum when the motor rotates in the direction that releases the shaft control 76.



   A brake is arranged so as to come into contact with a disc 115 starting from the sleeve fixed on the shaft 13 and this brake is articulated to a brake lever 116 pivoting at one end on a bolt 117 fixed in a lug 118 starting from the discharge tube 21. The other end of the brake lever 116 is provided with a pedal 117 A and a spring 118 A normally keeps the brake away from the disc 115.



   The tube connections of the pump 70 as shown in the drawings are chosen so as to allow the pump to create a pressure greater than atmospheric pressure inside the drum 10. If it is desired to operate the pump. pump as vacuum pump, the connections
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The discharge pipe of the pump is connected to a flexible rubber tube 118 B which runs up the wall of the reservoir 17 and enters the hollow space existing below the cross member 24 where it is connected to a pipe 119 on a projection 120 cast on the cover 35.



  This projection also carries a pressure gauge 121.



   A spring 122 is housed within the cross member 24 and is calculated to support the full weight of the cross member and cover 35, which are connected thereto such that when the hook 25 is released from the spout 27, the spring 122 lifts the cover. The movement of the cover is limited by a lug 123 disposed at the rear of the cross member 24, and comes into contact with a stop face 124 on a ring 22.



   Means are provided to prevent rotation of the drum 10 while the cover is lowered on the upper face of the drum. The edge of the cover 35 ends with an apron 125 and the edge of this apron comes into contact with a disc 126 protruding from a cap 127 which slides on a tube 128 screwed onto the upper end of the channel 49 (figure 26).



  The tube 128 guides a piston 130 supported by a spring 131 and the lower end of the piston 130 contacts the piston 132 of the safety switch 55. By operating this switch, if the motor circuit 69 is set up to control the motor in a rotating direction

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 drum, the circuit is cut off, whereas if the circuit is set in motion to turn the motor in the reverse direction, no action occurs.



   Another spring 133 tighter than spring 131 is housed in the cap 127 and tends to lift it as soon as the cover itself is lifted. The vertical movement of the cap 127 is limited by the ring 22.



   The operation of the machine is as follows when the cross member 24 and the cover 35 are open, the drum 10 is accessible and the wire basket 134 which is housed therein, can be removed by gripping it by the wire handles. 135, welded to the lid 136 of the container. The container is then filled with vegetables or other products to be treated, returned to the drum 10 and then the valve 52 is opened which causes the water to flow through the tubes 50 and 53 into the drum and ' fills it to the top. The space between the container lid 136 and the lid 35 is calculated so that the volume of the liquid contained therein is taken up by the plants during processing. If plants could occupy this space, this layer of plants would not become saturated with liquid.

   The valve 52 is then closed and the cross member 24 is replaced with the cover 35 which is connected thereto. After having hooked the hook and the bin 27, the handwheel 30 can then be maneuvered to lower the cover 35 on the upper face of the drum 10 by closing it tightly. Assuming that the pump 70 is functioning as a pressure pump, it is then operated by rotating the handle 137 of the switch 54 to the appropriate position, whereupon the pump increases the pressure inside the drum, sucks up air through the tube 90 connected to the container 17 from where a certain part of the water discharged from the drum 10, returns to the pump.

   When the pump is restarted for the next cycle, this water is pumped into chamber 91 which retains a certain part of it while the remainder passes into drum 10. During operation, the pump is continuously lubricated by the water retained in the container 91 from which it flows through the orifices 138 and 82 inside the pump, thus lubricating all the moving parts.



   After obtaining a suitable pressure above atmospheric pressure indicated by the pressure gauge 121, the handwheel 30 is turned in the other direction so as to lift the valve 32 from its seat, thereby allowing air to flow out. escape from the drum 10 to initiate the pressure variations which are essential in order to obtain satisfactory infiltration results. When the pressure is reduced to a desired value as indicated by the pressure gauge 121, the handwheel 30 is again turned to close the valve. Since the pump has been kept running all the time, the pressure in the drum 10 increases rapidly and the pressure changes continue until a sufficient amount of liquid has been infiltrated.

   If the pump is mounted to function as a vacuum pump, similar pressure changes below atmospheric pressure are obtained by opening or closing valve 32.



   At the end of the treatment, the handwheel 30 is completely rotated so as to lift the cover 35 and separate it from the drum.



   By lifting the cover, the safety switch 55 is released and the circuit is conditioned so that the motor rotates the drum 10. The pins 44 which also enter through their conical parts as soon as the cover is fully raised and wedge thus the cover against the cross member 24. This arrangement avoids the slamming and shaking of the cover due to the imbalance of the plants subjected to centrifugation.



   The cross member '24 is articulated with two ears 139 arranged on the ring 22 at one end, while the other end is guided between two wings 140, the upper ends of which are flared to help guide the cross member. 24 when it is closed.

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   The handle of the switch 137 is then put in the appropriate position to rotate the drum 10. The water flows over the upper edge of the drum, is collected in the container 17 and discharged through the tube 21. The apron 125 of cover 35 directs the flow of water downward. As soon as most of the water is poured out, the speed of the drum increases and the plants are dried on the outside. If the drum speed is high enough, part or more. much of the infiltrated liquid can be removed while at the same time drying the surfaces of the plants. After a suitable time the motor is switched off and the drum slows down by bringing the brake into contact with the disc 115; the hook 25 is then released, the cover 35 opens and the plants are lifted from the drum 10.

   Unnecessary liquid filling the intercellular spaces of the plants can also be removed, instead of being centrifuged as mentioned above, by creating appropriate pressure variations inside the drum 10 itself) from which it has been removed. 'water.



  These pressure variations can be above or below atmospheric pressure.



   The plant illustrated in Figures 29 and 30 shows another example of continuous processing of vegetables in accordance with the invention and whereby large quantities can be kept fresh or recovered in a very short period of time. The method applied is that which uses pressure variations above or below atmospheric pressure.



   In this case, crates 352 containing lettuce or other vegetables should be processed in such quantities that it is not necessary to open the crates. The operation is as follows: The boxes 352 pass from a neck 353 or a roller conveyor on a horizontal platform 354 above and below which pass a pair of conveyor chains 355 driven by sprockets 356 appropriate.



  Drive bars 357 are mounted on the conveyor chain so that they pass over the top surface of the platform and are arranged so that when they emerge from the underside of the platform. form, they are arranged on the rear face of one of the boxes 352, and cause it to advance along the platform. The control of the conveyor chain is not continuous but takes place in stages of determined duration so as to give the chain a step by step movement. As soon as one of the crates arrives at a point near the middle of the platform, the movement of the chain stops and the chain returns a little backwards a sufficient distance to move the drive bar away from the back of the platform. the box.

   A bell 358 then descends above the body, and is provided at its lower part with a ring of rubber seal 359. The bell 358 is pressed against the table, one introduced inside the chamber. bell through tube 361 a determined quantity of water which completely fills the bell and then the water supply is cut off. A pressure higher or lower than atmospheric pressure is then applied by introducing air or by sucking air through the pipe 360 by suitable means, such as a pump. Pressure variations above or below atmospheric pressure can then be produced by any of the methods already described and until a sufficient quantity of liquid has penetrated and saturated the intercellular spaces. .

   After the infiltration is complete, the bell is lifted from the platform, returned to its previous raised position, and the water is discharged to the sewer in a suitable manner.



   If it is desired to remove some of the infiltrated water, the bell 358 is lowered again, it is brought into contact with the upper face of the platform 354 and an air pressure or a vacuum is applied through it. the pipe 360, while the pipe 361 remains closed.



   It is also possible to produce variations in pressure or vacuum and when the internal draining is complete, the bell 358 is raised again.



  The conveyor chain resumes its movement, and pushes the crate along the platform on a vibrator. The latter consists of a table ho-

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 horizontal (or inclined) 362, operated in a known manner, eg by means of a connecting rod 363 fixed to the table which is supported by inclined spring arms, so as to impart to the table a shaking movement also taking a small movement upward pet verso; leutbas @ lo @ from the top surface of the table. This movement moves the crates along the table to lead them to their final destination.

   The shaking motion is at the same time combined so that the crates receive sufficient vibrations to remove most of the water adhering to the outer surfaces of the vegetables and contained in the hollow pockets formed in the vegetables but without causing damage. to the
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   He is: ceen, n pessibBëcdé ta!: Tfie: Bsp1usièl1lI'Bsa: ëaeBdantréoipientbs', both @
In cases where water from pipes is available without sufficient pressure and in sufficient quantity, a simplified machine can be used which does not require an electric control. The machine is very efficient, the time required for a complete cycle varies from 5 to 10 minutes and the applied infiltration process is one that uses pressure variations below atmospheric pressure. The arrangement may be similar to that shown in Figure 31, provided with an ejector pump disposed at the top of the outer casing, and the pressurized water, after passing through the ejector, can be discharged. to the sewer by a discharge pipe.

   In this case, a three-way valve can be used for adjusting the water flow. This valve can have a position in which the water is cut off, another position in which the water flows through a tube and fills the hollow body and a third position allowing the water to pass through the ejector. . This principle, with certain modifications, is shown in Figures 31 to 35. The machine comprises a hollow body in the form of a drum 150 of a slightly conical shape, the largest diameter of which is disposed at the top. open. At the lower part of the closed bottom there is a set of curved vanes 151 arranged in a circular ring.

   The open sum t of the drum is provided with a ring of rubber 152 or other suitable material, on which rests a cover 153 hinged to an outer casing 154. The hinge 155 is disposed so as to allow the cover to perform a limited movement in vertical direction. This cover is attached by a crank 156 to a cross member 157 extending from one end to the other of the hinged cover
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   The cover is provided with a crown protruding downwards 162. which has a diameter such that it can be placed near the inner wall of the casing 154. The purpose of this crown is to prevent liquid from spilling when the cover is lifted and the hollow drum is rotated to empty it.



   Inside the annular space 163 between the hollow drum and the outer casing is mounted a multi-position piston valve 164 (Figures 34 and 35), the cylindrical piston 165 of which carries a passage 166, directed following part of its axis then which then rotates at a right angle radially towards the periphery.



   The piston is provided with a handle 167 by means of which it can be rotated in several determined positions, and it can be maintained in any of these positions by means of a spring piston. A water supply line 168 is connected to the bottom of the valve body and extends around the space 163. The other end of the line 168 is connected to the water supply line by a flexible pipe through a valve 169.

  <Desc / Clms Page number 23>

 



   The body 170 of the valve carries four radial ports, one of which 171 is connected to a tube 172 directed upwards, the end of which is curved and directed towards the drum. The next lumen 173 is connected by a pipe 174 to the discharge line of an ejector pump 175 which opens through a funnel-shaped tube 176 into the outer casing, the suction line is connected by a flexible pipe 177 to the underside of the cover 153 and is extended from there by a duct 178 giving access to the interior of the drum. A vacuum indicator 179 is installed at this location.

   The next lumen 180 of the valve body is connected to a downwardly directed pipe 181 which then rotates at an angle such that a nozzle 182 attached to its end directs a jet of water against the front face of the valve. vanes 151 at the bottom of the drum. The last opening of the valve body is connected to a pipe 184 carrying a nozzle 185 arranged to send a jet of water against the back of the curved vanes 151.



   During operation, when the cover 153 is open., A container 186 of perforated metal or other material, filled with plants to be treated, can be introduced into the drum. By operating the lever 167 of the valve 164, so as to connect the line 166 to the filling pipe 172, the water flows through this tube into the drum which is thus filled to the top. The lever of the valve piston is then turned to its next position in which the line 166 is not opposite any of the ports; so that the water flow is interrupted. The drum cover is then closed and pressed against the rubber ring seal 152 by means of the screw 158, which is tightened.

   The stalk 167 is then moved so as to connect the line 166 of the valve to the next port 173. Pressurized water then enters the ejector pump 175, and thus produces a vacuum inside the drum. . The water flows through the discharge tube 176; and proceeds from there into the outer casing and to a discharge opening 187. After producing a sufficiently high vacuum in the drum, the body of the discharge valve 160 is opened by pulling the handle 161 until that the vacuum is sufficiently reduced. This is the case when a vacuum equivalent to a column of mercury of 125 mm. is reached, which can be seen on the empty indicator 179.

   The relief valve is then allowed to close again under the action of its spring, resulting in the ejector, which has been kept in operation, producing a further increase in vacuum. These pressure variations below atmospheric pressure are very effective in forcing water to saturate the intercellular spaces and are continued until saturation is complete. After this operation the handle of the valve is turned further towards the next light 180; at this time, the flow of water is once again interrupted, because the line 166 is blocked.



  The relief valve 160 is then opened, the screw 158 of the hook 159 is unscrewed and the drum cover is lifted from the rubber seal by means of three spring pistons 188 mounted in the outer casing.



  The handle 167 of the valve is then rotated towards the next port 180, which results in pressurized water flowing through the tube 181 and the nozzle 182 and projecting onto the front face of the blades. 151 of the turbine, by imparting movement to the hollow drum, which begins to spin rapidly.



   The ball bearing carrying the shaft 189 of the hollow drum is housed in a bearing shell 190 mounted on the underside of the outer shell; the bearings are submerged in oil, and the casing is protected against the ingress of water by a cap 191 mounted on the shaft and extending substantially above the top of the bearing housing 190. A tubing 192 rises from the bottom of the outer casing and is covered by a similar tubing 193 descending from the central part of the bottom of the hollow drum.



  * The high speed rotating drum throws all of the water it contains over its upper edge from where it flows to the discharge opening, and after gaining speed, the surfaces of

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 plants are dried by centrifugation. If desired, a sufficient speed can be achieved to remove some or most of the liquid which has served to fill the intercellular spaces of the plants.



  Or it is possible to produce variations in the vacuum inside the drum to achieve the internal emptying.



   By manipulating the handle 167 of the valve to connect it to the last lumen 183, a jet of water is directed by the nozzle 185 against the back of the vanes 151 and thus slows down the rotary movement of the drum. As soon as this movement is stopped or sufficiently delayed, the handle of the valve is turned to the stop position for which the pipe 166 is disposed vis-à-vis the face 194 which stops the flow of water. Lift the drum cover, remove the basket containing the treated plants and insert and process another basket containing untreated products (.



   If the water supply is not suitable both in terms of quantity and pressure, a small water pump 195 controlled by an electric motor 196 can be used. This pump receives through its suction inlet the pump. water from a reservoir 197 disposed below the bottom of the outer casing and is connected by means of a screen 198 inside the casing. The pump delivery line opens through a pipe 199 at the inlet of the valve body. The valve can be arranged so that the filling of the drum through the tube 172, directed upwards, can be effected by means of an instantaneous supply, while the other operations to be carried out are by means of water under pressure supplied by the pump 195.



   Another construction is shown in Figures 36-38 and constitutes a much simpler apparatus for treating small quantities of plants at a time. The method applied is the same as that just described, and comprises an ejector pump composed of a straight tubular body 200 connected at one end to a flexible pipe 201, resulting in a mains water tap providing water under pressure. The water discharges at the opposite end where a rubber molded part 202 with a screen 203 is provided to reduce the amperage.

   Internally, the tube 200 has a narrow constriction 204 at about the middle of its length, in which a high vacuum is created which draws air through a radial orifice 205 communicating with the underside of a metal disc. forming an integral part of the tube 200 and constituting the body of the ejection pump.



  Internally the tube tapers from each end towards the constriction 204 and on the inlet side the tube has an inner shoulder 205 adjacent to the constriction. Also fixed to the lower part of the disc 206 is a rubber washer 207 provided with an opening 208 disposed vis-à-vis the radial hole 205 and a protective screen may be provided to protect the hole.



   If the disc is placed on a pot 209 containing the plants submerged in water, and the ejector pump is operated while at the same time pushing the disc gently against the crown of the pot, a vacuum will occur at the same time. inside the pot, and sucks the disc firmly onto the pot, thus forming a perfect seal. After having produced a sufficiently high vacuum, the pressurized water access is throttled or cut off by more or less closing the water tap controlling this access. The action of the ejector pump is reduced or stopped and air is drawn into the pot through the open end of the tube, thereby reducing the vacuum inside.

   We repeat the opening and closing of the tap until the plants are sufficiently saturated with water.
In another construction shown in Figures 39 to 41 which is suitable for use in the household for the treatment of small quantities of plants and where water under pressure is not available, the apparatus comprises a small hand pump built to provide a vacuum of up to 725 mm Hg. to replace the ejector. This apparatus comprises a disc 210 provided on its underside with a rubber washer.

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   chouc 211, an opening 212 as well as a protective screen as in the construction described last.

   Above the disc, and connected to it, is a tubing 213 provided on one side with a reinforcement 214 intended to receive the cylinder 215 of the hand pump which contains a piston 216 provided with a nozzle in. leather 217 and a piston rod 218. The other end of the rod 218 slides into the cover 219 attached to the opposite end of the cylinder. The cover 219 is held in place by means of two screws 220 which penetrate the threads of two ears 221 attached to the disc.



   When the handle 222 is pulled from the piston rod, air is sucked into the cylinder 215 through a narrow channel 223 made in the tubing. 213, and a slot 224 provided in a rubber valve fitted with a valve. - shoulder 225, and this slot however closes automatically in the return flow, during which the air passes between the cylinder 215 and the leather fitting 217. The cylinder is provided with an opening 226 adjacent to the handle to let air escape when you pull the handle.

   After obtaining the necessary vacuum, a relief screw 227, regulating the passage of air through the tubing and the disc, is rotated slightly to raise the head of the screw above the washer 228 resting on the end of the air passage 223 and allow air to enter through this passage into the pot 229 containing the plants.



   The operation can be repeated until a sufficient quantity of water has seeped into the plants. Unnecessary liquid can be removed from the plants by emptying the jar of liquid, placing the lid back on it and creating a vacuum as described above. This operation can be repeated both in the present construction and in the previous construction until a sufficient quantity of liquid has been removed from the plants. When this treatment is completed, the outer surfaces of the plants can be dried by rotating them very quickly in a small centrifugal machine which in this case can be operated by hand or by foot.



   It is also possible to produce infiltration without immersing the plants in water, by means of a fog, that is to say a dispersion of small particles of water suspended in the air. Several methods exist to obtain these mists which contain a comparatively high percentage of liquid per cubic meter of air. If you produce a mist like this in a room with plants. and if the chamber is subsequently subjected to a high vacuum, or if this mist is introduced into a high vacuum chamber, containing plants, and then the vacuum is removed, the mist enters the intercellular spaces where its liquid content condenses. The repetition of these operations brings about very high saturations of the intercellular spaces of the plants.

   Alternatively, fog can still be pumped into the chamber containing the plants, thereby increasing the pressure in the chamber to above atmospheric pressure. By releasing this excess pressure, the liquid contained in the intercellular spaces will condense there. It is also possible to use in the same way air containing a very high degree of humidity, preferably close to 100%, in particular when the products are at a temperature lower than that of air, thus facilitating condensation in the intercellular spaces. These procedures are recommended in cases where the plants are not to be submerged in water.



  The process is made more efficient by using variations in pressure, either above or below atmospheric pressure.



   CLAIMS.

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Claims (1)

1/ Procédé pour prévenir le fanage des plantes et pour restituer aux plantes fanées leur fraîcheur complète,caractérisé en ce que les plantes sont mises en contact avec un liquide soumis à une condition quelconque de pression choisie parmi plusieurs, de manière que le liquide soit obligé de pénétrer partiellement au complètement dans les espaces intercellulaires des plantes. <Desc/Clms Page number 26> 1 / A method for preventing wilting of plants and for restoring withered plants their complete freshness, characterized in that the plants are brought into contact with a liquid subjected to any pressure condition chosen from among several, so that the liquid is forced to penetrate partially to completely into the intercellular spaces of plants. <Desc / Clms Page number 26> 2/ Procédé suivant la revendication 1, caractérisé en ce que la condition de pression est réalisée par l'action de la force centrifuge sur le liquide. 2 / A method according to claim 1, characterized in that the pressure condition is achieved by the action of centrifugal force on the liquid. 3/ Procédé suivant la revendication l', caractérisé en ce que la condition de pression est réalisée par l'action de l'énergie cinétique du liquide. 3 / A method according to claim l ', characterized in that the pressure condition is achieved by the action of the kinetic energy of the liquid. 4/ Procédé suivant la revendication 1, caractérisé en ce que la condition de pression consiste en l'application d'une pression statique su- périeure à la pression atmosphérique. 4 / A method according to claim 1, characterized in that the pressure condition consists of the application of a static pressure greater than atmospheric pressure. 5/ Procédé suivant la revendication 1, caractérisé¯en ce que la condition de pression consiste en variations de pression au-dessus de la pression atmosphérique. 5 / A method according to claim 1, characterized in that the pressure condition consists of pressure variations above atmospheric pressure. 6/ Procédé suivant la revendication 1, caractérisé en ce que la condition de pression consiste en variations de pression au-dessus ou en- dessous de la pression atmosphérique ou vice-versa. 6 / A method according to claim 1, characterized in that the pressure condition consists of pressure variations above or below atmospheric pressure or vice versa. 7/ Procédé suivant la revendication 1, caractérisé en ce que la condition de pression consiste en ondes de pression produites dans le li- quide. 7 / A method according to claim 1, characterized in that the pressure condition consists of pressure waves produced in the liquid. 8/ Procédé suivant la revendication.1, caractérisé en ce que l'on introduit les plantes à traiter dans un récipient fermé, dans lequel on in- troduit un gaz contenant un liquide soit en dessous soit au-dessus du point de saturation et dans lequel le gaz est soumis à une pression supérieure ou inférieure à la pression atmosphérique ou à des variations de pression au-dessus ou en-dessous de la pression atmosphérique. 8 / A method according to claim 1, characterized in that the plants to be treated are introduced into a closed container, in which a gas containing a liquid is introduced either below or above the saturation point and in wherein the gas is subjected to a pressure above or below atmospheric pressure or to pressure changes above or below atmospheric pressure. 9/ Procédé suivant l'une quelconque des revendications 1 à 8, caractérisé en ce que la condition de pression est appliquée de .façon répé- tée une ou plusieurs fois à des intervalles de temps appropriés pour main- tenir les plantes dans leur état de super-turgescence. 9 / A method according to any one of claims 1 to 8, characterized in that the pressure condition is applied repeatedly one or more times at appropriate time intervals to maintain the plants in their state of. super-turgor. 10/ Procédé pour prévenir le fanage de plantes et pour restituer aux plantes fanées leur fraîcheur complète suivant l'une quelconque des re- vendications 1 à 9, caractérisé en ce qu'une partie ou la plus grande partie du liquide qui a pénétré dans les espaces intercellulaires des plantes est subséquemment retirée. 10 / A method for preventing wilting of plants and for restoring wilted plants to their complete freshness according to any one of claims 1 to 9, characterized in that a part or the greater part of the liquid which has penetrated into the intercellular spaces of plants is subsequently removed. Il/ Procédé suivant la revendication 10, caractérisé en ce qu'une partie ou la plus grande partie du liquide est retirée des espaces intercel- lulaires en exposant les plantes à des conditions atmosphériques qui favori- sent l'évaporation naturelle du liquide. The method of claim 10, characterized in that part or most of the liquid is removed from the intercellular spaces by exposing the plants to atmospheric conditions which favor the natural evaporation of the liquid. 12/ Procédé suivant la revendication 10, caractérisé en ce qu'une partie ou la plus grande partie du liquide est retirée des espaces intercel- lulaires en soumettant les plantes à l'action de la force centrifuge. 12 / A method according to claim 10, characterized in that part or most of the liquid is withdrawn from the intercellular spaces by subjecting the plants to the action of centrifugal force. 13/ Procédé suivant la revendication 12, caractérisé en ce qu'on introduit les plantes dans un tambour rotatif qui ne contient aucun liquide et qu'on fait tourner le tambour autour de son axe de manière que les plan- tes se meuvent à une vitesse de 10 mètres par seconde ou davantage. 13 / A method according to claim 12, characterized in that the plants are introduced into a rotating drum which does not contain any liquid and the drum is rotated around its axis so that the plants move at a speed. of 10 meters per second or more. 14/ Procédé suivant la revendication 10, caractérisé en ce qu'on retire une partie ou la plus grande partie du liquide des espaces intercel- lulaires en soumettant les plantes à une pression supérieure à la pression atmosphérique. 14 / A method according to claim 10, characterized in that part or most of the liquid is removed from the intercellular spaces by subjecting the plants to a pressure greater than atmospheric pressure. 15/ Procédé suivant la revendication 14, caractérisé en ce qu'on dispose les plantes dans une chambre fermée ne contenant aucun liquide et qu'on applique à la chambre une pression de 1,4 kg. par cm. carré ou supé- rieure. 15 / A method according to claim 14, characterized in that the plants are placed in a closed chamber containing no liquid and that a pressure of 1.4 kg is applied to the chamber. per cm. square or greater. 16/ Procédé suivant la revendication 10, caractérisé en ce qu'on retire une partie ou la plus grande partie du liquide des espaces intercel- lulaires des plantes en soumettant les plantes à l'action du vide. <Desc/Clms Page number 27> 16 / A method according to claim 10, characterized in that part or most of the liquid is removed from the intercellular spaces of the plants by subjecting the plants to the action of a vacuum. <Desc / Clms Page number 27> 17/ Procédé suivant la revendication 16, caractérisé en ce qu'on introduit les plantes dans une chambre fermée ne contenant aucun liquide et qu'on applique à l'intérieur de la chambre un vide équivalent à une co- lonne de mercure de-368 mm. ou davantage. 17 / A method according to claim 16, characterized in that the plants are introduced into a closed chamber containing no liquid and that a vacuum is applied inside the chamber equivalent to a column of -368 mercury. mm. or more. 18/ Procédé suivant la revendication 10, caractérisé en ce qu'on retire une partie ou la plus grande partie du liquide en soumettant les plan- tes à des variations de pression. 18 / A method according to claim 10, characterized in that part or most of the liquid is removed by subjecting the plants to pressure variations. 19/ Procédé suivant la revendication 18, caractérisé en ce qu'on introduit les plantes dans une chambre ferméerne contenant aucun liquide et qu'on applique à l'intérieur de la chambre des variations de pression soit au-dessus soit en-dessous de la pression atmosphérique. 19 / A method according to claim 18, characterized in that the plants are introduced into a closed chamber containing no liquid and that pressure variations are applied inside the chamber either above or below the atmospheric pressure. 20/ Procédé suivant la revendication 10, caractérisé en ce qu'on retire une partie ou la plus grande partie du liquide des espaces intercel- lulaires des plantes en soumettant les plantes à des oscillations et vibra- tions mécaniques. 20 / A method according to claim 10, characterized in that part or most of the liquid is removed from the intercellular spaces of the plants by subjecting the plants to mechanical oscillations and vibrations. 21/ Procédé suivant la revendication 10, caractérisé en ce qu'on retire une partie ou la plus grande partie du liquide des espaces intercel- lulaires des plantes en soumettant les plantes à l'action d'un courant d'air. 21 / A method according to claim 10, characterized in that part or most of the liquid is removed from the intercellular spaces of the plants by subjecting the plants to the action of a current of air. 22/ Procédé suivant la revendication 21, caractérisé en ce que le courant d'air a une vitesse de 7 mètres par seconde ou davantage. 22 / A method according to claim 21, characterized in that the air flow has a speed of 7 meters per second or more. 23/ Procédé suivant l'une quelconque des revendications 10 à 22, caractérisé en ce qu'on retire le liquide des espaces intercellulaires des plantes de façon répétée une ou plusieurs fois à l'intervalles de temps ap- propriés . 23 / A method according to any one of claims 10 to 22, characterized in that the liquid is withdrawn from the intercellular spaces of the plants repeatedly one or more times at the appropriate time intervals. 24. Procédé suivant l'une quelconque des revendications 1 à 23, caractérisé en ce qu'on sèche les surfaces extérieures des plantes après traitement - 25/ Procédé suivant la revendication 24, caractérisé en ce qu'on effectue le séchage des surfaces extérieures en soumettant les plantes à l'action de la force centrifuge. 24. A method according to any one of claims 1 to 23, characterized in that the outer surfaces of the plants are dried after treatment - 25 / A method according to claim 24, characterized in that the drying of the outer surfaces is carried out by subjecting the plants to the action of centrifugal force. 26/ Procédé suivant la revendication 24, caractérisé en ce qu'on sèche les surfaces extérieures des plantes en soumettant les plantes à des oscillations ou vibrations mécaniques. 26 / A method according to claim 24, characterized in that the outer surfaces of the plants are dried by subjecting the plants to mechanical oscillations or vibrations. 27/ Procédé suivait la revendication 24, caractérisé en ce qu'on sèche les surfaces extérieures des plantes en soumettant les plantes à l'ac- tion d'un courant d'air rapide. 27 / A method according to claim 24, characterized in that the outer surfaces of the plants are dried by subjecting the plants to the action of a rapid air current. 28/ Procédé suivant l'une quelconque des revendications 1 à 27, caractérisé en ce qu'on maintient les plantes dans une atmosphère fraîche après le traitement ou entre des traitements successifs. 28 / A method according to any one of claims 1 to 27, characterized in that the plants are maintained in a cool atmosphere after the treatment or between successive treatments. 29/ Procédé suivant la revendication 28, caractérisé en ce qu'on maintient l'air à l'intérieur de la chambre de stockage dans un intervalle de :!température allant de 0 C à 15 C. 29 / A method according to claim 28, characterized in that the air is maintained inside the storage chamber in a range of:! Temperature ranging from 0 C to 15 C. 30/ Procédé suivant la revendication 28, caractérisé en ce qu'on prévoit des moyens de maintenir un degré d'humidité élevé dans la chambre de stockage. 30 / A method according to claim 28, characterized in that there is provided means for maintaining a high degree of humidity in the storage chamber. 31/ Machine pour la réalisation des procédés suivant les revendi- cations 1, 2, 12 et 25 caractérisée en ce qu'elle comprend un tambour apte à contenir les plantes ét un liquide, monté de manière à pouvoir tourner autour d'un arbre vertical; un arbre traversant le tambour vers le haut et apte à s'adapter de façon démontable à un couvercle du tambour, en prévoyant des moyens d'assemblages entre le couvercle et l'arbre de manière à ce que le couvercle s'applique de façon étanche sur le tambour. 31 / Machine for carrying out the processes according to claims 1, 2, 12 and 25 characterized in that it comprises a drum capable of containing the plants and a liquid, mounted so as to be able to rotate around a vertical shaft ; a shaft passing through the drum upwards and capable of adapting in a removable manner to a cover of the drum, by providing means of assembly between the cover and the shaft so that the cover is applied in a sealed manner on the drum. 32/ Machine pour la réalisation des procédés suivant l'une quel- conque des revendications 1, 2, 12 et 25, caractérisée en ce qu'elle comprend un tambour apte à contenir les plantes et un liquide, monté de façon à pou- <Desc/Clms Page number 28> voir tourner autour d'un arbre vertical, qui traverser-le tambour vers le haut et s'adapte dé façon démontable à un couvercle du tambour, en prévoyant des moyens d'assemblage entre le couvercle et l'arbre de manière à ce que le couvercle s'applique de façon étanche sur le tambour, et des moyens pour soulever le couvercle à une certaine distance limitée pendant que le tambour continue à tourner pour permettre l'échappement du liquide du tambour. 32 / Machine for carrying out the processes according to any one of claims 1, 2, 12 and 25, characterized in that it comprises a drum capable of containing the plants and a liquid, mounted so as to <Desc / Clms Page number 28> see rotating around a vertical shaft, which crosses the drum upwards and adapts in a removable manner to a cover of the drum, by providing means of assembly between the cover and the shaft so that the cover fits tightly to the drum, and means for raising the cover a limited distance while the drum continues to rotate to allow liquid to escape from the drum. 33/ Machine pour la réalisation des procédés suivant l'une quel- conque des revendications 1, 2, 9 à 12, 23 à 25, caractérisée en ce qu'elle comprend un tambour apte à contenir les plantes et un liquide, monté de ma- nière à pouvoir tourner autour d'un axe vertical, une soupape mobile ra- dialement montée sur le tambour, apte à régler une lumière prévue dans la paroi du tambour munie d'une tige dirigée radialement et raccordée à un le- vier à ressort monté sur pivot à l'extérieur du tambour, et des moyens mon- tés sur une enveloppe extérieure entourant le tambour aptes à être commandés périodiquement pour manoeuvrer le levier pendant la rotation du tambour de manière à ouvrir et à fermer périodiquement la soupape. 33 / Machine for carrying out the processes according to any one of claims 1, 2, 9 to 12, 23 to 25, characterized in that it comprises a drum capable of containing the plants and a liquid, mounted from my - nere to be able to turn around a vertical axis, a movable valve mounted radially on the drum, able to adjust a slot provided in the wall of the drum provided with a rod directed radially and connected to a spring-loaded lever mounted on a pivot outside the drum, and means mounted on an outer casing surrounding the drum capable of being periodically controlled to operate the lever during the rotation of the drum so as to periodically open and close the valve. 34/ Machine suivant la revendication 33, caractérisée en ce que ces moyens comportent une paire de guides recourbés montés circonférentiel- lement à l'intérieur de l'enveloppe extérieure et aptes à se mouvoir sépa- rément sur la trajectoire d'un galet supporté par le levier de manière à ce que ce levier pivote et ouvre ou ferme la soupape suivant que l'un ou l'autre des guides est en contact avec le galet. 34 / Machine according to claim 33, characterized in that these means comprise a pair of curved guides mounted circumferentially inside the outer casing and capable of moving separately on the path of a roller supported by the lever so that this lever pivots and opens or closes the valve depending on whether one or the other of the guides is in contact with the roller. 35/ Machine pour la réalisation des procédés suivant les reven- dications 1,2, 9 à 12, .et 23 à 25, caractérisée en ce qu'elle comprend un tambour apte à contenir du liquide et monté de manière à pouvoir tourner autour d'un axe vertical, une paire d'arbres verticaux montés de manière à pouvoir tourner à l'intérieur du tambour et disposés symétriquement par rapport à l'axe de rotation du tambour, chaque arbre portant un certain nom- bre de bras disposés radialement aptes à supporter à leurs extrémités des récipients perforés destinés à recevoir les plantes; 35 / Machine for carrying out the processes according to claims 1, 2, 9 to 12,. And 23 to 25, characterized in that it comprises a drum capable of containing liquid and mounted so as to be able to rotate around it. 'a vertical axis, a pair of vertical shafts mounted so as to be able to rotate inside the drum and arranged symmetrically with respect to the axis of rotation of the drum, each shaft carrying a number of radially arranged arms capable of to support at their ends perforated containers intended to receive the plants; un engrenage[ raccordant ces arbres à un arbre de commanda qui traverse un arbre creux commandant le tambour, et des moyens pour ralentir l'arbre de commande de manière à ce que les arbres verticaux soient animés d'un mouvement de rotation rela- tif par rapport au tambour en communiquant aux récipients à l'intérieur du tambour un mouvement de rotation autour des arbres verticaux pendant que le tambour est lui-même animé d'un mouvement de rotation. a gear [connecting these shafts to a control shaft which passes through a hollow shaft controlling the drum, and means for slowing down the control shaft so that the vertical shafts are given a relative rotational movement by relative to the drum by imparting to the containers inside the drum a rotational movement around the vertical shafts while the drum is itself driven in a rotational movement. 36/ Machine suivant la revendication 35, caractérisée en ce qu'un engrenage est associé à chacun des bras des arbres verticaux du tambour apte à coopérer avec un engrenage disposé sur la paroi intérieure de manière à communiquer aux récipients un mouvement de rotation relatif autour de leurs axes propres en même temps qu'un mouvement de rotation autour de l'axe du tambour. 36 / Machine according to claim 35, characterized in that a gear is associated with each of the arms of the vertical shafts of the drum adapted to cooperate with a gear disposed on the inner wall so as to impart to the containers a relative rotational movement around their own axes at the same time as a rotational movement around the axis of the drum. 37/ Appareil pour l'application des procédés suivant les reven- ducations 1 ou 3 caractérisé en ce qu'il comprend un corps tubulaire creux dont l'une des extrémités porte une lumière apte à être raccordée à un tube d'approvisionnement de liquide sous pression, l'autre extrémité de ce corps étant pourvue d'une petite lumière permettant l'échappement du liquide sous forme d'un jet fin, l'arrangement étant tel que la vitesse avec laquelle le liquide est projeté contre les plantes;n'est pas inférieure à 4 mètres par seconde. 37 / Apparatus for the application of the methods according to claims 1 or 3 characterized in that it comprises a hollow tubular body, one of the ends of which carries a lumen suitable for being connected to a liquid supply tube under pressure, the other end of this body being provided with a small lumen allowing the escape of the liquid in the form of a fine jet, the arrangement being such that the speed with which the liquid is projected against the plants; n ' is not less than 4 meters per second. 38/ Appareil pour l'application du procédé suivant les revendica- tions 1 à 3 caractérisé en ce qu'il comprend un élément tubulaire creux, une tige partant de l'une de ses extrémités, un disque conique disposé à l'extrémité de la tige et un manchon monté de fagon réglable sur l'élément tubulaire et entourant la tige et le disque, le bout de ce. manchon portant une lumière formant avec le disque une issue annulaire'étroite pour laisser s'échapper le liquide sous pression sous forme d'un jet fin, l'arrangement étant tel que la vitesse à laquelle le liquide est projeté sur les plantes n'est. pas inférieure à 4 mètres par seconde. <Desc/Clms Page number 29> 38 / Apparatus for the application of the method according to claims 1 to 3 characterized in that it comprises a hollow tubular element, a rod extending from one of its ends, a conical disc disposed at the end of the rod and a sleeve mounted adjustable on the tubular member and surrounding the rod and disc, the end of this. sleeve carrying a lumen forming with the disc a narrow annular outlet for allowing the liquid under pressure to escape in the form of a fine jet, the arrangement being such that the speed at which the liquid is projected on the plants is not . not less than 4 meters per second. <Desc / Clms Page number 29> 39/ Appareil pour l'application du procédé suivant les revendi- cations 1¯ou 3,.caractérisé en ce qu'il comprend un corps creux'en caoutchouc serré entre une paire de plaques articulées et apte à être raccordé à une-- extrémité à une conduite d'alimentation d'eau sous pression, le-corps creux y portant un passage transversal se terminant par une fente étroite à l'ex- trémité opposée à celle apte à 'être raccordée à la conduite d'eau. 39 / Apparatus for the application of the method according to claims 1¯ or 3, characterized in that it comprises a hollow rubber body clamped between a pair of articulated plates and suitable for being connected at one end to a pressurized water supply line, the hollow body carrying therein a transverse passage terminating in a narrow slit at the end opposite to that suitable for connection to the water line. 40/ Appareil pour l'application du procédé suivant les revendi- cations 1 ou 3 caractérisé en ce qu'il comprend un pistolet pulvérisateur à jet d'air comportant un étranglement étroit en communication avec un tube qui pénètre dans un récipient à liquide de manière à aspirer du liquide de ce récipient et à le pulvériser au moyen du pistolet, l'arrangement étant conçu de manière que la vitesse à laquelle les particules de liquide se pro- jettent contre les plantes ne soit pas inférieure à 4 mètres par seconde. 40 / Apparatus for the application of the method according to claims 1 or 3 characterized in that it comprises an air jet spray gun comprising a narrow constriction in communication with a tube which enters a liquid container so sucking liquid from this container and spraying it by means of the gun, the arrangement being designed so that the speed at which the particles of liquid are projected against the plants is not less than 4 meters per second. 41/ Appareil pour l'application du procédé suivant les revendi- cations 1 ou 3 caractérisé en ce qu'il comprend un pistolet pulvérisateur à deux secteurs à air-disposés l'un au-dessus de l'autre, l'éjecteur infé- rieur étant raccordé à un récipient à liquide de manière à aspirer du liqui- de et à le pulvériser dans le pistolet, une soupape de contrôle étant pré- vue pour l'alimentation d'air des deux éjecteurs de manière à pouvoir uti- liser l'éjecteur à air pur ou l'éjecteur pulvérisateur de liquide, l'arran- gement étant conçu de manière que la vitesse à laquelle le jet se projette contre les plantes ne soit--pas inférieure à 4 mètres par seconde. 41 / Apparatus for the application of the method according to claims 1 or 3 characterized in that it comprises a spray gun with two air sectors disposed one above the other, the lower ejector The first part being connected to a liquid container so as to suck liquid in and spray it into the gun, a control valve being provided for the supply of air to the two ejectors so that it can be used. A clean air ejector or a liquid atomizing ejector, the arrangement being so designed that the speed at which the jet is projected against the plants is not less than 4 meters per second. 42/ Appareil pour l'application du procédé suivant les revendi- cations 1, 4, 9 à 11, 14, 15, 18 et 24, caractérisé en ce qu'il comprend un corps creux apte à contenir les plantes et un liquide, un couvercle démonta- ble apte à s'appliquer de façon étanche à l'air sur une ouverture disposée au sommet du corps et un tube reliant'l'intérieur de ce corps à une pompe apte à augmenter la pression à l'intérieur du corps. 42 / Apparatus for applying the method according to claims 1, 4, 9 to 11, 14, 15, 18 and 24, characterized in that it comprises a hollow body capable of containing the plants and a liquid, a removable cover adapted to be applied in an airtight manner on an opening arranged at the top of the body and a tube connecting the interior of this body to a pump capable of increasing the pressure inside the body. 43/ Appareil pour l'application du procédé suivant l'une quelcon- que des revendications 1, 5, 7, 9 à 119 caractérisé en ce qu'il comprend un récipient apte à contenir les plantes et un liquide, un couvercle démon- table apte à s'appliquer de façon étanche à l'air sur une ouverture du ré- cipient, un tube reliant l'intérieur du récipient à un réservoir à liquide, disposé en position surélevée par rapport au récipient, une soupape de con- trôle dans le tube entre le récipient et le réservoir et un bélier hydrau- lique relié à un prolongement du,tube au-delà du récipient. 43 / Apparatus for the application of the method according to any one of claims 1, 5, 7, 9 to 119 characterized in that it comprises a container suitable for containing plants and a liquid, a removable cover able to be applied in an airtight manner on an opening of the receptacle, a tube connecting the interior of the receptacle to a liquid reservoir, arranged in a raised position relative to the receptacle, a control valve in the tube between the container and the reservoir and a hydraulic ram connected to an extension of the tube beyond the container. 44/ Machine pour l'application du procédé suivant l'une quelcon- que des revendications l, 5, 6, 7, 9 à 19, 23 à 25, caractérisée en ce qu'elle comprend un corps creux portant une extrémité ouverte apte à rece- voir les plantes et un liquide, un élément de fermeture pour fermer l'ouver- ture et former un joint étanche sur le corps, un tube reliant l'intérieur du corps à une pompe, capable d'augmenter ou de diminuer la pression à l'in- térieur du corps. 44 / Machine for the application of the method according to any one of claims l, 5, 6, 7, 9 to 19, 23 to 25, characterized in that it comprises a hollow body carrying an open end capable of receive the plants and a liquid, a closure element to close the opening and form a tight seal on the body, a tube connecting the interior of the body to a pump, capable of increasing or decreasing the pressure inside the body. 45/ Machine pour l'application du procédé suivant l'une quelcon- que des revendications 1, 5, 6, 7, 9 à 19, 23 à 25, caractérisée en ce qu'elle comprend un tambour apte à recevoir les plantes et le liquide de manière à pouvoir tourner autour d'un arbre vertical, l'intérieur du tambour étant relié par un tube à une lumière d'une soupape à deux voies, apte à osciller ou à tourner autour de son axe et dont deux autres lumières sont respecti- vement raccordées aux conduites d'aspiration et de refoulement d'une pompe, apte à augmenter ou à diminuer la pression à l'intérieur du tambour. 45 / Machine for the application of the method according to any one of claims 1, 5, 6, 7, 9 to 19, 23 to 25, characterized in that it comprises a drum suitable for receiving the plants and the liquid so as to be able to rotate around a vertical shaft, the interior of the drum being connected by a tube to a lumen of a two-way valve, capable of oscillating or rotating around its axis and of which two other lumens are respectively connected to the suction and delivery pipes of a pump, able to increase or decrease the pressure inside the drum. 46/ Machine suivant la revendication 45, caractérisée en ce qu'elle comprend un tambour apte à contenir les plantes et un liquide, monté de manière à pouvoir tourner autour d'un arbre creux vertical dont l'extré- mité inférieure est reliée par un tube à une lumière d'une soupape à deux voies pouvant osciller ou tourner autour de son axe, deux autres lumières de la soupape étant reliées respectivement aux conduites d'aspiration et de refoulement d'une pompe apte à augmenter ou à diminuer la pression à l'intérieur du tambour, un tube relié à une extrémité de l'arbre creux se <Desc/Clms Page number 30> prolongeant vers le haut à L'intérieur du tambour et une soupape réglée par un flotteur à l'intérieur du tambour, 46 / Machine according to claim 45, characterized in that it comprises a drum suitable for containing the plants and a liquid, mounted so as to be able to rotate around a vertical hollow shaft, the lower end of which is connected by a one-lumen tube of a two-way valve capable of oscillating or rotating around its axis, two other lumens of the valve being respectively connected to the suction and discharge pipes of a pump capable of increasing or reducing the pressure at inside the drum, a tube connected to one end of the hollow shaft is <Desc / Clms Page number 30> extending upwards inside the drum and a valve regulated by a float inside the drum, apte à régler l'ouverture'du couvercle du tambour au-dessus de laquelle est disposé un récipient à liquide.- 47/ Machine pour l'application du procédé suivant l'une quelcon- que des revendications 1, 5, 6, 9 à 19, 23 à 25, caractérisée en ce qu'élle comprend un corps creux muni d'une ouverture apte à contenir les plantes et un liquide, un élément de fermeture apte à fermer l'ouverture et à fermer un joint étanche sur une lumière disposée sur le corps ou sur le corps l'é- lément de fermeture réglée par une soupape apte à permettre des variations de pression à l'intérieur du corps creux par la manoeuvre de la soupape de réglage de la lumière, adapted to adjust the opening of the drum cover above which is placed a liquid container. 47 / Machine for the application of the method according to any one of claims 1, 5, 6, 9 to 19, 23 to 25, characterized in that it comprises a hollow body provided with an opening capable of containing plants and a liquid, a closure element adapted to close the opening and to close a tight seal on a lumen arranged on the body or on the body the closure element adjusted by a valve capable of allowing variations in pressure inside the hollow body by operating the light adjustment valve, des moyens pour faire tourner le corps autour d'un axe fixe par rapport au corps et des moyens de pompage raccordés au corps et permettant d'augmenter ou de diminuer la pression à l'intérieur du corps. means for rotating the body around an axis fixed relative to the body and pumping means connected to the body and making it possible to increase or decrease the pressure inside the body. 48/ Machine suivant la revendication 47, caractérisée en ce qu'elle comprend un tambour ouvert au-dessus., monté de manière à pouvoir tourner autour d'un axe vertical dans un récipient extérieur et portant un couvercle de fermeture de son extrémité ouverte qui est supporté par une traverse montée sur pivot sur le récipient extérieur et est muni d'une lumière réglée par une soupape et de moyens de manoeuvre manuelle de la soupape de réglage de la lumière disposés de façon à pouvoir soulever- et abais,ser le couvercle. 48 / Machine according to claim 47, characterized in that it comprises a drum open above., Mounted so as to be able to rotate about a vertical axis in an outer container and carrying a cover for closing its open end which is supported by a cross member mounted on a pivot on the outer container and is provided with a lumen adjusted by a valve and means for manual operation of the lumen adjustment valve arranged so as to be able to lift and lower the cover . 49/ Machine suivant les revendications 47 ou 48, caractérisée en ce que le tambour est commandé par un moteur électrique qui commande éga- lement les moyens de pompage, des accouplements à sens unique fonctionnant de façon opposée étant inclus dans la commande du tambour et des moyens de pompage et un interrupteur de sécurité étant prévu monté sur le récipient extérieur et apte à être manoeuvré par le couvercle du tambour de manière que le circuit électrique commandant le moteur dans le-sens propre à com- mander le tambour soit rendu inopérant aussi longtemps que le couvercle est posé sur le tambour. 49 / Machine according to claims 47 or 48, characterized in that the drum is controlled by an electric motor which also controls the pumping means, one-way couplings operating in opposite fashion being included in the control of the drum and pumping means and a safety switch being provided mounted on the outer container and able to be operated by the drum cover so that the electric circuit controlling the motor in the proper direction to control the drum is rendered inoperative for as long that the cover is on the drum. 50/ Machine suivant l'une quelconque des revendications 47 à 49, caractérisée en ce qu'elle comprend une pompe à palettes possédant une pai- re de palettes montées de manière à pouvoir glisser sur un rotor disposé excentriquement à l'intérieur d'une enveloppe extérieure, un réservoir à eau au-dessus de l'enveloppe et des passages dans l'enveloppe et dans le rotor pour permettre à l'eau de descendre entre les parois intérieures des palettes pour lubrifier toutes les pièces de glissement de la pompe. 50 / Machine according to any one of claims 47 to 49, characterized in that it comprises a vane pump having a pair of vanes mounted so as to be able to slide on a rotor disposed eccentrically inside a outer casing, a water reservoir above the casing, and passages in the casing and in the rotor to allow water to descend between the inner walls of the vanes to lubricate all sliding parts of the pump. 51/ Appareil pour l'application du procédé suivant l'une quelcon- que des revendications 1, 4, 5, 9 à 11, 14 à 23, 24, 26, 27, 28 à 30, carac- térisé en ce qu'il comprend un transporteur pour amener des caisses à claire- voie ou des récipients analogues pour plantes le long d'une plate-forme ho- rizontale, une chambre en forme de cloche montée au-dessus de la plate-forme et reliée à une alimentation de liquide, des moyens de pompage raccordés opérativement à la chambre pour augmenter ou diminuer la pression dans la chambre et des moyens pour abaisser la chambre de manière à recouvrir une caisse à claire-voie ou un autre récipient disposé sur la plate-forme., la chambre s'appliquant alors de façon, 51 / Apparatus for the application of the method according to any one of claims 1, 4, 5, 9 to 11, 14 to 23, 24, 26, 27, 28 to 30, charac- terized in that it comprises a conveyor for bringing crates or the like plant containers along a horizontal platform, a bell-shaped chamber mounted above the platform and connected to a supply of liquid, pumping means operatively connected to the chamber to increase or decrease the pressure in the chamber and means for lowering the chamber so as to cover a crate or other container disposed on the platform. chamber then applying in a way, à former joint étanche sur la plate-for- me' de manière qu'elle puisse se remplir de liquide et qu'on puisse augmenter ou diminuer la pression qui règne à l'intérieur. forming a watertight seal on the platform so that it can be filled with liquid and the pressure inside it can be increased or decreased. 52/ Appareil suivant la revendication 51, caractérisé en ce que le transporteur est commandé par un mouvement pas à pas et s'arrête pé- riodiquement de manière à disposer une caisse à claire-voie ou analogue en- dessous de la chambre. 52 / Apparatus according to claim 51, characterized in that the conveyor is controlled by a step-by-step movement and stops periodically so as to have a crate or the like below the chamber. 53/ Appareil suivant les revendications. 51 ou 52, caractérisé en ce que les caisses à claire-voie passent de la plate-forme*sur un vibra- teur comportant une table horizontale animée d'un mouvement horizontal de va- et-vient et d'un mouvement vertical vers le haut et vers le bas. 53 / Apparatus according to claims. 51 or 52, characterized in that the crates pass from the platform * to a vibrator comprising a horizontal table animated by a horizontal reciprocating movement and a vertical movement towards the top. up and down. 54/ Machine pour l'application du procédé suivant l'une quelcon- que des revendications 1, 2, 6, 9 à 13, 16, 17, 23 à 25, caractérisée en ce <Desc/Clms Page number 31> qu'elle comprend un corps creux-portant une ouverture et'apte à contenir les plantes et un liquide, un élément de fermeture de l'ouverture et de fermeture de l'ouverture et de formation d'un joint étanche sur le corps qui est pourvu d'aubes de turbines actionnées par de l'eau sous pression de manière à faire tourner le corps autour d'un axe fixe par rapport au corps, et dés moyens de pompage raccordés opérativement au corps pour aug- menter ou diminuer la pression à l'intérieur du corps. 54 / Machine for applying the method according to any one of claims 1, 2, 6, 9 to 13, 16, 17, 23 to 25, characterized in that <Desc / Clms Page number 31> that it comprises a hollow body-carrying an opening and' adapted to contain plants and a liquid, an element for closing the opening and closing the opening and forming a tight seal on the body which is provided with turbine blades actuated by pressurized water so as to rotate the body about an axis fixed relative to the body, and pumping means operatively connected to the body to increase or decrease the pressure to inside the body. 55/ Machine suivant la revendication 54, caractérisée en ce que- les moyens' de pompage comportent un éjecteur ou une pointe à éjecteur action- née par de l'eau sous pression. 55 / Machine according to claim 54, characterized in that the pumping means comprise an ejector or an ejector tip actuated by pressurized water. 56. Machine suivant les revendications 54 ou 55, caractérisée en ce qu'elle possède une. soupape unique à lumières- multiples pour le ré- glage du fonctionnement des aubes de turbine et de la pompe, le remplissage du corps-creux par de l'eau-et l'arrêt, du mouvement de rotation du corps creux. 56. Machine according to claims 54 or 55, characterized in that it has a. single valve with multiple lumens for adjusting the operation of the turbine blades and the pump, filling the hollow body with water and stopping the rotational movement of the hollow body. 57/ Appareil pour iapplication du procédé suivant l'une quelconque des revendications 1, 6,9 à 11, 16, 17 à 19, 23, 24, caractérisé en ce qu'il comprend une plaque en forme de disque apte à s'adapter de façon étanche à l'air sur le bord supérieur d'un récipient contenant les plantes et un liquide portant une lumière communiquant avec la partie étranglée d'une poin- te à éjecteur fixée à la plaque et apte à être alimentée en liquide sous pression de manière à aspirer de l'air du récipient par la lumière. 57 / Apparatus for iapplication of the method according to any one of claims 1, 6.9 to 11, 16, 17 to 19, 23, 24, characterized in that it comprises a disc-shaped plate adapted to adapt in an airtight manner on the upper edge of a container containing the plants and a liquid carrying a lumen communicating with the constricted part of an ejector tip fixed to the plate and adapted to be supplied with liquid under pressure so as to suck air from the container through the lumen. 58/ Appareil pour l'application du procédé suivant l'une quelcon- que des revendications 1, 6,9 à 11, 16 à 19, 23 et 24, caractérisé en ce qu'il comprend une plaque en forme de disque apte à.former un joint étanche à l'air sur le bord supérieur d'un récipient pour plantes et liquide, une pompe du type à piston fixée à la plaque et dont la conduite d'aspiration communique avec une ouverture de la plaque de manière que de l'air puisse être aspiré du récipient et une soupape associée à cette ouverture permet- tant l'accès de l'air extérieur dans le récipient. 58 / Apparatus for applying the method according to any one of claims 1, 6.9 to 11, 16 to 19, 23 and 24, characterized in that it comprises a disk-shaped plate suitable for. forming an airtight seal on the top edge of a container for plants and liquid, a piston-type pump attached to the plate and the suction line of which communicates with an opening in the plate so that air can be drawn from the container and a valve associated with this opening allows access of outside air into the container. 59/ Procédé pour prévenir le fanage de plantes et pour restituer à des plantes fanées leur fraîcheur complète substantiellement comme décrit en se référant aux dessins en annexe et comme représenté sur ces dessins. 59 / Process for preventing the wilting of plants and for restoring to wilted plants their substantially complete freshness as described with reference to the accompanying drawings and as shown in these drawings. 60/ Appareil pour le traitement de plantes pour prévenir leur fanage et restituer aux plantes fanées leur fraîcheur complète substantiel- lement comme décrit en se référant aux Figures 1, lA, et 1B et comme repré- senté sur ces figures. 60 / Apparatus for treating plants to prevent their wilting and to restore wilted plants to their substantially complete freshness as described with reference to Figures 1, 1A, and 1B and as shown in these figures. 61/ Appareil pour le traitement de plantes pour prévenir leur fanage et restituer aux plantes fanées leur fraîcheur complète substantiel- lement comme décrit en se référant aux figures, 2, 3 et 4 et comme représen- té sur ces figures. 61 / Apparatus for the treatment of plants to prevent their withering and to restore wilted plants to their substantially complete freshness as described with reference to figures, 2, 3 and 4 and as shown in these figures. 62/ Appareil pour le traitement de plantes pour prévenir leur fanage et restituer à des plantes fanées leur fraîcheur complète, substan- tiellement comme décrit en se référant aux figures 5, 6, 7 et 8 et comme représenté sur ces figures. 62 / Apparatus for the treatment of plants to prevent their wilting and to restore wilted plants to their complete freshness, substantially as described with reference to figures 5, 6, 7 and 8 and as shown in these figures. 63/ Appareil pour le traitement de plantes pour prévenir leur fanage et restituer aux plantes fanées leur fraîcheur complète, substantiel- lement comme décrit en se référant aux figures 9, 10, 11, 12 et 13 et comme représenté sur ces figures. 63 / Apparatus for treating plants to prevent their wilting and to restore wilted plants to their full freshness, substantially as described with reference to Figures 9, 10, 11, 12 and 13 and as shown in these figures. 64/ Appareil pour lé traitement de plantes pour prévenir leur fanage et restituer aux plantes fanées leur fraîcheur complète, substantiel- lement comme décrit en se référant aux figures 14 et 15 et comme représenté sur ces figures. 64 / Apparatus for treating plants to prevent their wilting and restore wilted plants to their complete freshness, substantially as described with reference to Figures 14 and 15 and as shown in these figures. 65/ Appareil pour le traitement de plantes pour prévenir leur fanage et restituer à des plantes fanées leur fraîcheur complète, substan- tiellement comme décrit en se référant à la figure 16 et comme représenté sur cette figure. <Desc/Clms Page number 32> 65 / Apparatus for treating plants to prevent their wilting and to restore wilted plants to their complete freshness, substantially as described with reference to figure 16 and as shown in that figure. <Desc / Clms Page number 32> 66/ Appareil pour le traitement de plantes'pour prévenir'leur fanage et restituer à des plantes fanées leur fraîcheur complète, substan- tiellement comme décrit en se référant à la figure 17 et comme représenté sur cette figure. 66 / Apparatus for the treatment of plants to prevent their wilting and to restore wilted plants to their complete freshness, substantially as described with reference to figure 17 and as shown in that figure. 67/ Appareil pour le traitement de plantes pour prévenir leur fanage et restituer à des plantes fanées leur fraîcheur complète, substan- tiellement comme décrit en se référant aux figures 18, 19et 20 et comme représenté sur ces figures. 67 / Apparatus for the treatment of plants to prevent their withering and to restore wilted plants to their complete freshness, substantially as described with reference to Figures 18, 19 and 20 and as shown in these figures. 68/ Appareil pour le traitement de plantes pour prévenir leur fanage et restituer à des plantes fanées leur fraîcheur complète, substan- tiellement comme décrit en se référant aux figures 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27 et 28. 68 / Apparatus for the treatment of plants to prevent their wilting and to restore to wilted plants their complete freshness, substantially as described with reference to figures 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27 and 28. 69/ Appareil pour le traitement de plantes pour prévenir leur fanage et restituer à des plantes fanées leur fraîcheur complète substantiel- lement comme décrit en se référant aux figures 29 et 30 et comme représenté sur ces figures. 69 / Apparatus for the treatment of plants to prevent their wilting and to restore wilted plants to their substantially complete freshness as described with reference to Figures 29 and 30 and as shown in these figures. 70/ Appareil pour le traitement de plantes pour prévenir leur fanage et restituer à des plantes fanées leur fraîcheur complète, substan- tiellement comme décrit en se référant aux figures 31,32, 33, 34 et 35 et comme représenté sur ces figures. 70 / Apparatus for the treatment of plants to prevent their withering and to restore wilted plants to their complete freshness, substantially as described with reference to Figures 31, 32, 33, 34 and 35 and as shown in these figures. 71/ Appareil pour le traitement de plantes pour prévenir leur fanage et restituer à des plantes fanées leur fraîcheur complète, substan- tiellement comme décrit en se référant aux figures 36,37 et 38 et comme représenté sur ces figures. 71 / Apparatus for the treatment of plants to prevent their wilting and to restore wilted plants to their complete freshness, substantially as described with reference to Figures 36,37 and 38 and as shown in these figures. 72/ Appareil pour le traitement de plantes pour prévenir leur fanage et restituer à des plantes fanées leur fraîcheur complète, substan- tiellement comme décrit en se référant aux figures 39,40 et 41 et comme représenté sur ces figures. en annexe 17 dessins. 72 / Apparatus for the treatment of plants to prevent their withering and to restore wilted plants to their complete freshness, substantially as described with reference to Figures 39, 40 and 41 and as shown in these figures. in appendix 17 drawings.
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