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RACCORD POUR ECHAFAUDAGES, RAYONNAGES, CASIERS ET CONSTRUCTIONS.ANALOGUES.
La présente invention se rapporte d'une façon générale aux rac- . cords utilises habituellement pour l'assemblage des éléments tubulaires ou constitués par des profilés, fers, cornières, etc.,., des constructions métalli- ques démontables telles qu'échafaudages, rayonnages,. casier$, et constructi- ons analogues et d'une façon plus particulière, à un raccord de fabrication simple et rapide qui, bien que relativement léger, offre des possibilités d utilisation très variées mme dans les cas où l'assemblage doit présenter des qualités de résistance aux glissements assez rigoureuses.
La plupart des raccords utilisés jusqu$ici pour lassemblage de deux tubes ou éléments d'échafaudages comportent un noyau sur lequel sont prévus des sièges de réception des éléments métalliques de cet échafaudage, et avec lequel sont combinés des organes de serrage et de verrouillage de ces éléments pour empêcher tout glissement.Ces différents éléments du raccord sont relativement massifs et lourds pour offrir la résistance au serrage né- cessaire et permettre un blocage efficace.La quantité de matière utilisée pour leur fabrication engendre naturellement un prix de revient relativement élevé dont l'interférence sur la construction métallique elle-même n'est pas négligeable par suite du nombre de
raccords utilisés d'ordinaire;,
L'un des buts de l'invention est donc de réduire ce prix de revient de façon importante en facilitant l'usinage de ces raccords et en abaissant le prix de la matière utilisée pour leur fabrication sans pour cela réduire d'autant leur efficacité et leur résistance.,
Un autre but de l'invention est de permettre la réalisation d'un raccord utilisable pour l'assemblage sélectif d'éléments tubulaires et de profilés ou de fers cornières, ou bien de profilés et/ou de fers cornières entre eux
Un autre but de l'invention est de permettre la réalisation d'un raccord de ce type qui fournisse un assemblage des éléments capable de résis- ter à des efforts importants et qui soit d'une grande adaptabilité.
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Bien que, dans l'ensemble de la descriptinn, on considère plus particulièrement l'application de 1 invention aux échafaudages métalliques tubulaires,on comprendra que cette application ne doit pas être prisédans un sens limitatif, et qu'elle n'a été envisagée ici que pour- simplifier 1'
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eiqposé de l'invention et parce que ce problème de construction est celui ren- contré le plus communément.
La description qui va suivre;, faite en regard des dessins annexés donnés à titre d'exemples non limita, bits permettra de mieux comprendre l'in-
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vention.
. La fig. 1 est une vue en perspective d'tl...'1 raccord suivant l'.nven tion.
La figea 2 est un vue en perspective c1'lli"1 étrier en tôle obtenu par estampage et emboutissage.
La fige 3 est une vue en perspective d'un écrier venant de fonde- rie,
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La fige 4 est une vue en perspective d'une 'bride"
La fige 5 est une vue en élévation d'un raccord avec blocage des tubes par plans inclinés.
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La fligo à est une vue de face avec coupe partielle d'une autre for-' me de raccord selon l'inventiono Ia fig. 7 en est une vue correspondante d'extrémité.
La fige> 8 est une vue avec coupe partielle montrant l'adaptation de traverses en fers cornières sur vm montant tubulaire.
La fig. 9 est une vue en élévation d'un assemblage de deux traver- ses en fers cornières avec un montant tubulaire.
. La fige 10 en est une vue correspondant en piana
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La figo 11 est une vue en perspective d5uii étrier utilisable avec la forme de raccord selon les figuras 6 à 10.
Si l'on se reporte aux fige. 1 à 5 des dessins, le raccord suivant
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l'invention est formé par l'assemblage de deux étriers désignés d/une façon générale par les références 1 et 2, dont les branches médianes 3, sont amenées en contact par leur face interne, de sorte que les branches latérales 4. et 5 sont dirigées vers des côtés opposés du plan de séparation formé par ces branches médianes. Chaque étrier 1 ou 2 porte à l'extrémité des branches la- térales et 5 des ailes recourbées 6. et 7.
Dans le cas de la fig. 2, l'étrier 1. représenté est en tôle d'acier ou en toute autre matière convenable, découpé par estampage et amené à la for- me désirée par exemple par emboutissage. Le poids de cet étrier est donc ré- duit et sa fabrication peu coûteuse. Les ailes incurvées 6 et 2 de cet étrier présentent des mortaises longitudinales S et,2 dont le rôle sera indiqué plus loin.
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L'étrier 1 montré sur la il.g.3 vient de fonderie. Il peut être par exemple en acier coulé, en fonte malléable ou en toute autre matière convena- ble permettant sa,fabrication aisée. Il présente les mêmes caractéristiques que l'étrier de la fig. 2, mais on a prévu en outre sur la face inférieure
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de sa branche médiane 3. une gorge longitudinale 10 occupant toute la largeur de cet étrier et formant un siège incurvé pour la réception d'un tube de l'é- chafaudage, ce qui facilite dautant la mise en place de ce dernier.
Les inolinaisons des branches latérales 4. et 5 des étriers 1 et 2
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par rapport à la branche médiane 1 varient suivau1 les applications., et s'a- daptent notamment au diamètre des tubes à recevoir. Ces branches latérales . et¯1 peuvent être perpendiculaires par rapport à cette branche médiane, com- me montré par exemple sur la fig.
5. D'une façon générale, l'ensemble est étudié pour que le tube de l'échafaudage prenne appui suivant ses génératri-
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ces sur la partie centrale de la branche médiane de étrier opposé,, et après
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serrage sur la face interne des branches latérales 4, et µ au voisinage de leur
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point ds .ni 1 e; ? on pour former les ailes 6 et 7 -(Fig.l).
La bride de blocage Il du i";fl,;= logé dans 'un étrier 1 ou 2 est repré- santée sur la fige 4. Elle est par exemple en tôle d9acier découpée ou obte- nue par coulée et comporte une partie incurvée 12 bordée à une extrémité par ., 1 1-:< ., tlne . - dont le rôle sera l . P. , bourrelet aseoc.ie a. une rainure dont rôle sera expliqué ci-après, et wie mortaise transversale Ji. Lsattye extrémité de cette partie incurvée 12 se prolonge p;;.- une aile plane 1.: présentant une entaille 11 pour la péné- tra-tion d'm1 organe de serrage. La courbure de la partie 12 de la bride Il est étudiée pouv- former sensiblement une branche de parabole dont le sommet serait voisin de Italie 16.
Si lon se reporte maintenant à la i igo 1 qui montre le mode d'as= semblage des divers éléments du a o-d on remarque que la bride Il s'ap- pliq-sr sur l'étrier 1 ou en introduisant le bourrelet 12. de cette brides par une 2xtrémité,9 sous '!.Á..'I1e aile inevuwée 6 ou '1 de cet étrier. La courbure de cette aile t le diamètre du bourrelet 11 ,sont étudiés respectivement pour (jie nptte inti-oduction soit possible grâce à la présence de la rainure as- soùiê9 à re bourrelet jl,9 mais que ce dernier ne puisse normalement s'échapper de cette aile.
On introduit alors par glissement et rabattement la mortaise 12 sur l'a.i?e 6 ou 1; de manière à former une charnière permettant le libre pivotement de cette bride Il par rapport à l'étriera Le dégagement de cette bride ne peut plus alors être effectué qu'en ramenant la bride 11 dans ¯ sa position d'introduction c'est-à.-dire complètement rabattue vers l'arrière.
Apres 1 mi-e en place du tube le ou 19 dans l'6t.rier comme montré sur la fig.
1 on rabat la bride Il sur ce tube à la manière d'vu couvercle et l'on ser- re pour assurer le verrouillage du tube dans ce raccords à 1'¯aide d'un boulon
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'<'1 muni d'une tête à T ou à marteau 22 et faisant saillie par la mortaise 8 ou- 9 de 19 aile ± on 1 de 1'étrier, et c3:
un écrou 20 prenant appui sur la face supérieure plane de l'aile 16 de cette bride li¯ après engagement du boulon 21 dans 1?en41aille 120 Etant donné la forme en parabole de la partie incurvée 12 de cette bride, Inapplication de celle-ci sur le tube lË ou 12 va se faire suivant une génératrice diamétralement opposée à la génératrice suivant la-
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quelle ce tube 18 ou 12 prend appui sur l'aile latérale 6 ou 1 comme visible en particulier sur la fig. 50 Le prolongement de ce diamètre passe en outre par l'ro[8 darticulation de la bride Il sur l'étrier ou\au voisinage de cet axe. Cette particularité explique la possibilité de fabriquer un raccord rela- tivement léger fournissant toutefois une résistance satisfaisante.
En effets
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le serrage provoquant le verrouil18>ge du' tube 18 ou 12 se fait sur deux géné- ratrices diamétralement opposées du t,ube en travaillant- à 19 écr-a,sement de ce- lui-ci sans engendrer dans les éléments du raccord de traction ou de torsion nuisible. Cette bride 11 est en outre réversible sur l'étrier.
Dans la variante de la fige 5 une aile de l'étrier est plane com-
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me indiqué en 2..et présente un orifice permettant le passage d9lm pivot 2lt. associé a des plans inclinés en sens inverse ±± coopérant a la manière d'un excentrique avec les ailes de l'étrier et de la. bride Il de manière 8. réaliser le serrage d'vme façon en soi connue. Comme indiqué plus haut ce dispositif Je verrouillagepourrait d'ailleurs être de tout type désiré.
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Il va de soi quep sans sortir du cadre de l'invention$ on peut ap- porter des modifications aux réalisations qui viennent d'être décrites.
Dans le cas d'efforts de traction importants dans le sens longitudinal des tubes, on peut prévoir sur les sièges et (ou) les brides des encoches ou gorges pé- riphériques dans lesquelles viennent se loger des épanouissements formés en bout des tubes ou des embases prévues sur ceux-ci. Les deux étriers formant un raccord complet peuvent en outre être rendus solidaires l'un de l'autres par exemple par soudure;, rivetage? vissage;,etc.ou bien ils peuvent venir' de fonderie en une seule pièce.
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Si l'on considère maintenant la forme de réalisation de 1Inventi- on représentée sur les figures 6 à 11, le raccord sert, dans le cas considérée à l'assemblage d'lm élément tubulaire II et d'un fer cornière J se croisant à angle droit.Ce raccord est formé de deux étriers 33 et 34 en prise par leur partie médiane. L'étrier est.semblable à celui représenté sur les fi-
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gures 2 et 3. Le tube l est serré dans l'étrier 3, au moyen d'une bride 3 appliquée sur lui par serrage des deux écr-ou,,b sur les boulons J:19 dont les têtes 8 peuvent pivoter pour former charnières dans les ailes incurvées 12 de 1?étrier T,e tube 21 prend ainsi appui sur la partie médiane 4.Q de l'étrier ±± et assure sa solidarisation avec l'étrier 34.
On utilise dans l'exemple représenté un étrier venu d'emboutissage
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par exemple, et du type représenté sur la frigo 1l. La partie médiane 0. de cet étrier forme un logement pour la réception de la branche médiane de l'é- trier associé, et présente ici un orifice 41, par exemple pour le passage d'un goujon d'assemblage des étriers ou pour un but analogue. Les ailes 43 de l'étrier 33 sont incurvées comme montré sur le dessin et présentent des lu- mières 44 pour le passage d'une tige de boulon par exemple, dont la tête peut former pivot et est retenue dans la gorge formée sur la face inférieure
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des ailes 4,.2.
Les extrémités libres de ces ailes se trouvent sensiblement dans le même plan que la face inférieure de la partie médiane 40 et présen- tent des encoches en arc de cercle 45 dont le rôle sera indiqué plus loin.
Si désiré, on pourrait d'ailleurs supprimer cette lumière 44 comme dans la
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réalisation des fig 6 et 7.
Bien que l'on ait cité ici la fabrication de ces étriers par em- boutissage ils peuvent venir,si désiré de fonderie ou être obtenus par tout moyen convenable, les deux étriers associés pouvant Âtre au besoin coulés en- semble afin de réaliser un noyau monobloc.
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Dans la réalisation des fi g.-6 et 7, deux brides latérales 42 sont engagées par des lumières 7 sur les ailes de l'étrier 33. Les bords in- curvés des lumières 47 permettent d'obtenir un accouplement pivotant agis'- sant à la manière d'une charnière, tout en réalisant une construction solide
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et simple. Ces brides sont incurvées comme montré sur la fig.1 et sont alé- sées vers leur extrémité libre pour permettre le passage d"1..lll boulon sur lequel vient se visser un écrou de blocage 2. Le fer cornière à maintenir dans l'étrier 12 peut être disposé comme montrée avec les ailes,2-1 dirigées vers le noyau du raccord.
Lors du serrage de l'écrou 49, les brides de blo- cage 46 viennent alors s'appliquer fortement comme montré sur la face externe
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de ces ailes ' et appuient le fer cornière 26 sur la partie médiane de l'é- trier. L'effort de serrage est d'autant plus intense que le mode de blocage
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ainsi obtenu agitgar un bras de levier actif qui est dans 13 exemple consi- déré sensiblement dans un rapport de 3/1 à partir du pivot. Le blocage est donc extrêmement efficace. D'autre part,., les brides 46 agissent par déforma- tion pour réaliser un serrage élastique intense, et les charnières latérales obtenues évitent que l'ensemble ne soit soumis à une précontrainte incapable d'accepter la surcharge parfois importante due aux -vibrations de la construc- tion comme indiqué plus haut.
L'assemblage des étriers est tel que l'ensemble
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forme un bloc très compact, la distance entre les éléments 31, 2 de la cons- traction étant relativement faible. L'application des brides L6 sur les ai- les 3 du fer cornière 32 réalise en outre un auto-frottage de celui-ci.
On a montré en traits mixtes sur la figa6 le mode d'assemblage de deux éléments tubulaires au moyen du raccord considéré. Les brides latéra-
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les sont alors écartées pour permettre la mise en place du tube 2Q et5 par un calcul convenable de la longueur des brides 46 et du diamètre du tu- be 50, on obtient un serrage efficace en trois points périphériques écartés de 120 , travaillant donc à l'écrasement du tube et empêchant tout glisse- ment. Il serait d'ailleurs possible également de serrer un fer cornière ou un profilé disposé autrement.
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Dans le mode de réalisation de la fiv.8. on a représenté le mode ,d'assemblage d'un montant tubulaire 51 et de deux traverses en fers cornières
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' i2, 21 légèrement écartés l'un de l'autre verticalement. Les étriers 33 uti- lisés à cet-effet spnt ici du type représenté sur la fig.11, et les fers cor- nières i2y'3.
sont serrés par une bride médiane 2k en forme de V appliquée sur la partie angulaire des fers cornières par des boulons de serrage 55 dont les têtes sont retenues à pivotement dans les ailes recourbées des étriers 33, et
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par des écrous 6 ces boulons traversant des trous prévus dans des ailes µz
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de cette bride Comme montré sur le dessin, l'étrier 33 prend appui sur le tube 51 formant le montant par les extrémités de ses branches latérales re- courbées.
La charge imposée par exemple au fer cornière 52 se transmet par ce- lui-ci au raccord sous forme d'un couple ayant tendance à faire pivoter le fer cornière dans le sens des aiguillas d'une montre en regardant la fig. 8, de sorte que l'aile inférieure 43' de l'étrier 33 est fortement appliquée con- tre le tube 51. Cette application vient renforcer l'effet de blocage obtenu pour éviter le glissement. Il se produit ainsi en effet un auto-serrage qui assure le grippage entre cette.extrémité ' et le tube 5,1 par l'intermédiai- re de l'encoche en arc de cercle 45 prévue vers ladite extrémité.
On remarquera en conséquence que ce serrage des éléments de la cons- truction permet de réaliser un blocage efficace.
Sur les figures 9 et 10 on a représenté le raccord suivant l'in- vention appliqué à l'assemblage de deux traverses en fers cornières 60 avec un montanttubulaire 61.Dans cette forme- de réalisation de l'invention, on retrouve deux étriers 62, 62, du type représenté à la fig. 11 coopérant avec des brides latérales 63, 64 serrées par des boulons 65, 65, et écrous 66, 66. Les étriers 62, 62 coopèrent en outre avec des étriers 67,67 grâce auxquels le montant tubulaire 61 est serré par une bride 70 serrée par deux écrous 68, 68 se vissant sur les boulons 69, 69.
La figure lle3t une vue en perspective d'une forme de réalisation de l'étrier destiné à être utilisé avec la forme de raccord selon l'invention.
On remarquera que les extrémités libres sont situées sensiblement dans le plan de la face inférieure de la partie médiane de telle sorte qu'elles peuvent por- ter contre l'élément de la construction qui est enserré dans l'étrier corres- pondant. A la fig. Il.9 les extrémités libres sont de forme arquée, comme on le voit en 45 de sorte qu'elles s'adaptent à un élément tubulaire sur lequel l'étrier doit être serrée Il est entendu toutefois que les extrémités libres 43 pourraient être prolongées au-dessous du niveau de la partie médiane 40 de façon à venir en contact avec la face interne d'un élément de la construc- --'.ion ayant une forme autre que tubulaire, telle qu'un profilée un fer en U ou en Va
REVENDICATIONS
1 - Raccord pour échafaudages', rayonnages, casiers et constructions démontables analogues.,
constitué par la réunion de deux étriers en prise par leur partie médiane et sur les extrémités libres desquels sont articulés des éléments de serrage montés à la manière d'une charnière et destinés à serrer des éléments de la construction contre lesdits étriers.
2 - Raccord pour échafaudages rayonnages., casiers et constructions démontables analogues, constitué par la réunion de deux étriers en prise de façon amovible par leur partie médiane et sur les extrémités libres desquels est articulée au moins une.bride de serrage montée à la manière dune charniè- re, des moyens étant prévus pour maintenir ces brides de serrage contre des éléments de la construction démontable et serrer ces derniers contre lesdits étriers.
3 - Raccord pour constructions métalliques telles qu'échafaudages, rayonnages, casiers et constructions analogues, comportant des étriers de ré- ception des éléments de la construction en prise par leurs branches médianes et formant sièges pour ces éléments, ces ,étriers présentant vers la partie extrême de leurs branches latérales des ailes d'accrochage pour une bride de serrage applicable sur la face libre'de l'élément, et des organes de verrouil- la.ge et de serrage de cette bride dans la position désirée sur ledit élément de la construction.