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La présente invention est relative a des perfectionnements, changements et additions à celles, objet du brevet principal et vise des ci?-
<EMI ID=2.1> lignes à ondes stationnaires et offrent, grâce à des connexions ap-
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Une telle structure est généralement coûteuse, encombrante et impose des sujétions indésirables; on doit en général éviter cette solution
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frant des constantes de réactance localisées. C'est tout spécialement
le cas lorsque la fréquence à laquelle doit fonctionner l'appareil.est susceptible de varier dans des proportions, sensibles.
L'invention a essentiellement pour objet un circuit intermédiaire de construction économique se plaçant entre étages comportant des tubes électroniques et réalisant des couplages à haute fréquence, la réactance localisée y étant utilisée pour faire varier l'accord sur une gamme étendue, dans laquelle figurent les fréquences pour lesquelles les constantes réparties sont déterminantes.
L'invention vise plus particulièrement les couplages de ce genre servant dans un montage changeur de fréquence comportant, par exemple, deux tubes amplificateurs couplés avec un tube changeur de fréquence, les amplificateurs fonctionnant à des fréquences variant dans de larges limites et ne diffèrent entre elles que d'un très petit pourcentage.
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la possibilité d'obtenir le réglage étendu désiré en utilisant seulement des dispositifs à inductance localisée dont les limites de fréquence ren=.
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On comprendra mieux les caractéristiques et avantages de l'invention en se référant à la description jointe et aux figures qui l'accompagnent, l'une et les autres étant consacrées à des formes de réalisation de l'invention qui ne sont données qu'à titre d'exemple et qui n'ont, en aucune manière, un caractère limitatif.
La figure 1 représente un circuit établi suivant l'invention.
Les figures 2 à 4 représentent un dispositif à inductance destiné à un tel circuit.
La figure 5 précise la structure mécanique d'un tel dispositif. Dans la figure 1, le tube électronique 1 est destiné à fonctionner <EMI ID=7.1> <EMI ID=8.1> d'un tube 4, à travers un condensateur de couplage 5, des oscillations d'une fréquence différente. Introduites dans le tube 1, entre la cathode 7 et la grille 6, elles se combinent pour produire, dans le circuit de sortie dutube 1, des oscillations à la fréquence de battement, que
de conducteurs 8 transmettent à un circuit de charge quelconque.
L'invention peut avantageusement trouver place, par exemple, dans les postes de contrôle destinés aux stations de radiodiffusion à modulation de fréquence, par exemple dans une gamme de 260 à 350 MHz.
L'onde porteuse dont il s'agit de contrôler la fréquence est appliquée au circuit de grille 9, 10 du tube 4 à travers un condensateur de couplagell. Amplifiée par ce tube, l'onde à contr8ler est appliquée au circuit de grille 6, 7 du tube 1, où elle est mélangée avec une onde de
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quence allant de 254,6 à 344,6 MHz, par exemple, pour correspondre aux fréquences indiquées plus haut; soit 5,4 MHz de moins que la fréquence
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La fréquence de battement émanent du circuit 8 doit donc être de 5,4 MHz.
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quences pour lesquelles la réactance répartie à d'importants effets, de sorte qu'on pourrait très logiquement, donner aux circuits correspondants des caractéristiques de réactance répartie, comportant des conducteurs parallèles avec curseur de règlage formant pont, c'est-à-dire des lignes à onde stationnaire. Mais pour un appareil destiné à contrôler le fonctionnement d'une station de radiodiffusion, cette solution logique conduirait à un poste coûteux, encombrant, exigeant des dispositifs de couplage appropriés à des fréquences trop différentes; au lieu de dispositifs à inductance répartie, ontrouve donc avantage à adopter des inductances localisées, ce que l'invention permet de faire, économiquement et d'une manière applicable à toutes fréquences appartenant à la somme envisagée.
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les places 12, 13 et 14; l'élément d'inductance 12 est entre anode et
<EMI ID=13.1> l'élément 14 entre anode et cathode du tube 4.
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les condensateurs 43, 44 et 44' * ces derniers sont des condensateurs---
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pour les longueurs d'onde considérées. Leurs dimensions et celles de
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tance.
Cependant, et bien qu'on ait placé les tubes 2 et 4 aussi près que possible du tube 1, à 350 MHz, les connexions entre les tubes 2 et 4 d'une part et le tube 1, d'autre part, représentent une portion appréciable d'un quart d'onde, d'où résulte une très sensible impédance opposée au passage des oscillations de l'ordre de 360 MHz. C'est dans ces conditions que, réalisés sous la forme qu'on va décrire, les éléments d'inductance, objet de l'invention, transmettent très bien les oscillations considérées dans leur parcours entre chacun des deux tubes 2 et 4
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de la manière suivante.
Chacune des trois réactances 12, 13 et 14, règlée pour la très h&ute fréquence en jeu, entre en résonance avec la capacité interne entre les électrodes qu'elle relie, les fréquences de ces diverses résonances étant intermédiaires aux deux fréquences appliquées. En résonnant de la sorte, les éléments 12, 13 et 14, créent de très fortes impédances aux dites fréquences, entre les électrodes correspondantes des tubes. Comme
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ce est pratiquement la même pour toutes deux, la surtension du circuit n'est pas aussi élevée, mais les deux fréquences en jeu tombent toutes
de
deux près du maximum de la courbe/résonance. Ces impédances entre électrodes sont si grandes que les impédances des conducteurs de liaison, y
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14 se comportent comme si, fonctionnant en parallèle, elles résonnaient comme une seule inductance associée à la somme des capacités aux bornes du circuit et que, par combinaison shunt des trois inductances, l'inductance totale aux bornes du circuit se trouve réduite à une valeur assez faible pour que la résonance se produise aux plus hautes fréquen-
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Les inductances sont si écartées entre elles qu'elles ne sont pratiquement pas couplées et qu'une telle réduction dans l'inductance est très possible. On pourrait suggérer la mise en parallèle des trois indt Lances, qu'alors on brancherait entre deux mêmes points d'un circuit; mais leur inductance mutuelle, si elles étaient très rapprochées, empêcherait de ramener l'induction aux valeurs réduites que commandent les fréquences très élevées (même si on disposait ces inductances à angle droit).
On pourrait aussi suggérer la réduction du système à une seule inductance, associée à des lames plus nombreuses de condensateurs. Mais une baisse d'inductance n'en résulterait pas, en raison de l'inductance mutuelle entre lames. Il semble donc que l'invention se comporte confor mément à la théorie indiquée plus haut, particulièrement au sommet de 1 gamme des fréquences.
Quelle que soit la théorie de son fonctionnement, on a trouvé que le dispositif décrit réalise de façon satisfaisante la transmission à
variations portait sur les inductances concentras] toutes les fréquences de la gammé 860=350 MHz, par le seul jeu des/13
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principal, est représentée dans les figures 2. à 5. Un élément d'une tel.
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par estampage, comme les lames des condensateurs à air.
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me 43, 44 et 44' (figure 1), elle l'est aussi à des électrodes comme
<EMI ID=24.1> lames de condensateurs à air) réduisent pratiquement à 0 dans la position de couverture complète, l'inductance entre les bornes 23 et
84.
Par le retour des lames mobiles à leur position première (25 figur
2), l'inductance de l'élément 20 est ramenée de zéro à une valeur assez élevre en raison de la fréquence utilisée.
La figure 3 donne une vue perspective d'une inductance comportant <EMI ID=25.1>
lames parallèles mobiles 25, montées sur un arbre central commun, dont les positions extrêmes correspondant évidemment à une inductance zéro et à une inductance maxima double de l'inductance maxima qu'on atteignait avec un seul élément fixe.
La figure 4 représente deux lames statoriques réunies en parallèle en 86', connexion qui diminue l'inductance réalisable. On peut augmenter le nombre des lames mobiles en raison du nombre des lames inductive fixes et faire de celles-ci des montages à volonté série, parallèle et série-parallèle. <EMI ID=26.1>
Les plaques 25 et 20 alternent entre elles, ces dernières étant en paré lèle, montées sur le socle 29 par l'intermédiaire d'une matière isolante 28.
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Les dispositifs décrits sont de cons�ction simple. Leur bâti est pratiquement celui d'un condensateur réglable à air. Pour transformer
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de substituer un arbre isolant à l'arbre du rotor de condensateur.
Les lames statori ues étant en un métal rigide, on peut y pratiqui les perçages qui seraient nécessaires ou utiles pour le montage et on
<EMI ID=30.1> L'expérience a montre que les inductances du type décrit, permettant d'atteindre les plus hautes fréquences de la gamme désirée; au sommet de cette -gamme les trois inductances de la figure 1 peuvent être nécessaires, soit entre 300 et 350 MHz; deux suffisent pour la gamme 260 à 300 MHz, l'élément à supprimer de préférence étant l'inductance 13; il suffit pour éliminer cet élément 13 d'en couper la dérivation (figure 1) de part et d'autre de 13-43, aux deux points de coupure désignés par X sur la dérivation 13-43.
Le tube 4 de la figure 1 peut comporter de préférence, une grille-
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à travers la résistance 39. La grille d'arrêt est, comme à l'habitude, reliée à la cathode du tube. Le condensateur 41 ne fait pas obstacle aux fréquences élevées de fonctionnement, à la liaison masse de la gril-
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44' associés de même au circuit de tube 2 fig. 1).
La cathode du tube 1 est reliée à la terre à travers le condensateur 46' disposé aussi près que possible de la cathode et n'ayant qu'une faible capacité. Elle est également à la masse pour les courants à la fréquence de 5,4 MHz, à travers un gros condensateur 47 monté aux bornes d'une résistance 48 de polarisation de la cathode.
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tion d'une forme de réalisation de l'invention, il convient d'observer que l'exemple ainsi donné est susceptible d'inspirer de nombreuses variantes, offrent plus ou moins d'analogie avec la réalisation décrite; il va de soi, par conséquent, que ces variantes rentreraient comme elle dans le cadre de l'invention.