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"Procédé et installation pour la fabrication de tubes à structure hélicoïdale, et tubes ainsi fabriqués".
La présente invention concerne un procédé et l'instal- lation pour la fabrication de tubes à structure hélicoïdale et les tubes ainsi fabriqués, et concerné plus spécialement les tubes de papier et/ou de carton.
Jusqu'à présent, il a été courant de confectionner des tubes à structure hélicoïdale (pour plus de simplicité, dénommés ci-après et dans les revendications "tubes hélicoidaux") en enrou-
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lant tout d'abord hélicoïdalement autour d'un mandrin une certaine longueur de matière, avec les bords des enroulements successifs en contact mutuel, en sorte de former un joint de butée hélicoïdal ou de superposer à l'hélice ainsi formée une seconde hélice identique mais décalée par rapport à la première et préférable- ment disposée de telle manière que le joint de butée hélicoïdal de la deuxième hélice soit placé à mi-chemin entre les spires du premier joint ci-avant; les deux enroulements hélicoïdaux sont solidarisés par collage.
Des couches supplémentaires peuvent ê-tre superposées semblablement.Ia matière composant la première hélice peut être la même ou une autre que celle des hélices successives.
Le tube ainsi formé est réalisé par un procédé continu et est sectionné transversalement à intervalles donnés, à l'aide d'une scie, en longueur de 12 à 15 pouces; chaque longueur est ensuite découpée en une pluralité d'anneaux, par sectionnement transver- sal du tube, la longueur de chaque anneau étant préférablement mais non nécessairement la même, et étant déterminée avec préci- sion.
Pour la fabrication de tels anneaux découpés à partir de tubes, et destinés à servir de réci-oients, c'est-à- dire d'enveloppes, devant être exposés à l'humidité (par exemple pour des corps éclairants) il n'a pas jusqu'ici été possible de réaliser convenablement ces tubes par simple enroulement hélicoï- dal, pour la raison qu'ils se déroulent rapidement ; pour cette raison, ces tubes ont généralement été confectionnés en enroulant une feuille du matériau approprié plusieurs fois autour d'un mandrin en sorte de former un tube non hélicoïdal qui est ensuite sectionné,en fonction de l'usage auquel il est destiné, en longueurs appropriées.
L'un des désavantages inhérent s à cette méthode est qu'un tel tube revient considérablement plus cher qu'un enrobement hélicoïdal;si de plus des impressions doivent apparaître à la périphérie d'une surface extérieure de chaque récipient, seul l'enroulement extérieur doit être imprimé,
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ce qui, du point de vue d'une opération d'impression, n'est pas économique puisqu'une surface relativement étendue de matière doit passer à l'impression pour n'être imprimée que sur une surface relativement restreinte.
Un important objet de la présente invention vise à éliminer ces désavantages et concerne une méthode et une machi- ne, plus particulièrement pour la production d'une manière inter- rompue et continue de tubes hélicoïdaux enroulés présentant sur leur surface extérieure un motif disposé circonférentiellement, ledit motif - imprimé - étant continuellement répété tout au long de la tubulure dont la surface extérieure précitée est un enveloppement hélicoïdal.
La présente invention procure une méthode pour la production de tubes enroulés en hélice et présentant un motif imprimé disposé circonféréntiellement et répété tout au long du tube, ladite méthode consistant à enrouler hélicoidalement une bande ou ruban intérieur.autour d'un mandin pour former une couche tubulaire interne, puis de superposer un second ruban présentant le motif. imprimé disposé en diagonadans le sens de la longueur, avant ou pendant l'enroulement, ce deuxième ruban étant enroulé hélicoidalement pour former la couche extérieure tubulaire présentant le motif imprimé disposé extérieurement en anneaux.
Conformément à une caractéristique de l'invention le tube en formation est découpé à la longueur voulue au sortir du mandrin, le sectionnement étant régi dans le temps par un détec- teur actionné par des repères de contrôle disposés sur ledit deuxième ruban.
Les marges ou spires successives d'une couche se superposent partiellement pour former de préférence un joint hélicoïdal à recouvrement. L'importance du recouvrement peut être modifiée à volonté, et pour pouvoir maintenir le pas des enrou- lements, la largeur de la matière des couches ultérieures excè-
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dent celle de la couche sous-jacente de la valeur du recouvre- ment de la couche additionnelle. En pratique, après quelques spires de la première couche la seconde couche est superposée, et les deux couches sont enduites simultanément. Le recouvrement de la couche extérieure ajoute considérablement à la solidité du tube et le coût supplémentaire que représente la matière extra pour le recouvrement est peu élevé.
Après sciage du tube en longueurs déterminées ces tronçons peuvent être sectionnés en anneaux dont les bords peuvent être repliés ou refoulés, et la nécessité de soumettre le tube à. un traitement quelconque avant le sectionnement en anneaux est entièrement évitée, ce qui per- met de réaliser une importante économie.S'il est nécessaire d'utiliser les anneaux partiellement immergés dans l'eau, un disque est mis en position à l'une des extrémités et y est fixé, en veillant à le placer du côté où débute la spire de l'enrou- lement extérieur, l'autre extrémité n'étant pas susceptible de se dérouler, si ce n'est après détérioration de l'anneau ou après un tel déplacement du disque qu'il permette au bord où il était fixé de se dérouler intérieurement,
par exemple dans le cas de la dissolution ou la mauvaise qualité de l'adhésif.
L'invention concerne pour cela également un récipient formé d'un manchon cylindrique enroulé en hélice et d'un fond rapporté, ledit manchon comprenant au moins une couche d'un ruban de matière enroulé hélicoldalement, avec le début de sa spire au fond et maintenu par le fond rapporté ou base, le bord marginal hél icoïdal étant extérieurement recouvert par le bord correspondant de la spire suivante.
Il y a lieu de noter que l'invention n'est pas limi- tée aux tubes à deux couches. Par exemple, l'on peut utiliser une pluralité d'enveloppements superposés enroulés chacun avec un joint de butée - c'est-à-dire sans recouvrement - décalé d'une couche par rapport àl'autre, l'enveloppement extérieur
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présentant aeul;un recouvrement, selon un pas différent des couches intérieures, toutes les couches étant préférablement solidarisées par un adhésif. De plus, dans le cas de deux couches comme dans les autres cas, la couche extérieure et la ou l'une des couches intérieures peuvent toutes deux être enroulées à recouvrement.
Le motif imprimé ourautrement rendu apparent sera disposé en sorte sur le dernier ruban, lequel est préférablement enroulé à recouvrement, que l'impression ne soit pas cachée par le recouvrement, à l'exception peut-être d'un surplus prévu au droit d'un des bords du ruban enroulé. L'on peut donc bien
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que <-*" dire/l'impression d'un motif répété sur une longue bande de -Idt. matière constituant l'enveloppement extérieur est nettement plus économique que l'impression d'une feuille devant être appli- quée non spiralement ainsi que cela se pratique couramment par les méthodes précitées; de cette façon, la présente invention procure un article nouveau et réalise un progrès notable dans la fabrication de tubes enroulés à surface extérieure marquée.
L'invention procure également un procédé de fabrica- tion de tubes enroulés en hélice, qui consiste à enrouler héli- cofdalement un ruban ou une bande de matière sur un mandrin pour former un tube, puis à sectionner ce tube en tronçons à l'aide d'un organe sectionneir ou d'une pluralité de ceux-ci, pendant la fabrication du. tube et à répartir dans le temps ces opérations de façon à sectionner le tube en des endroits prédétermnés repé- rés sur sa surface.
On peut donc varier la souplesse de production des tronçons en modifiant la vitesse de conformation du tube ou celle du mouvement (préférablement du mouvement de retour) du mécanisme coupeur.
Les vitesses susdites peuvent être variées par tout moyen approprié, automatique et/ou manuel, par exemple par des
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moyens automatiques de contrôle influencés automatiquement par des marques de contrôle sur le tube ou la bande ; un réglage préalable des deux vitesses peut être opéré en ajustant manuel- lement'le dispositif de contrôle de ces vitesses. Préférablement, la position, c'est-à-dire l'inclinaison du ruban entraîné vers le mandrin, est automatiquement ou manuellement modifiable.
Le cas échéant, des marques de contrôle (pouvant consister en motifs imprimés sur la bande) peuvent être prévus sur le tube ou la bande pour indiquer les positions de sectionnement, en sorte qu'un oeil photoélectrique ou son équivalent peut vérifier si les positions de coupure correspondent aux prévisions. Lorsque le tube présente différents motifs sur sa surface extérieure lesdites marques de contrôle peuvent constituer une partie de ces motifs.
Préférablement, la disposition adoptée permettra d'utiliser pour l'enroulement des bandes de largeurs différentes et de sectionner les tubes en tronçons variables; dans de tels cas, les moyens de contrôle précités seront prévus pour opérer indépendamment de la largeur du ruban ou de la longueur des tronçons sectionnés.
Les caractéristiques ci-avant, ainsi que d'autres, dépendent du procédé de fabrication et du tube décrit ci-dessous avec référence aux dessins annexés dans lesquels la figure 1 est une vue longitudinale partielle du tube,représenté en coupe.
La figure 2 est une vue schématisant sommairement le procédé de fabrication.
La figure 3 montre la disposition extérieure d'une partie du ruban.
La figure 4 montre un tronçon de tube fini.
La fxgure 5 est une vue en perspective de la machine.
La figure 6 est une coupe partielle par la ligne VI-VI
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de la figure 5.
La figure 7 est une vue avec coupe partielle par la ligne VII-VII de la figure 6.
La figure 8 est une vue en plan par une variante d'exécution de la machine.
La figure 9 représente schématiquement le dispositif photo-sensible appliqué à la machine de la figure 8.
La figure 10 est le schéma des connexions électriques.
La figure 11 représente un mécanisme d'actionnement de la scie tronçonneuse contrôlé par une cellule photo-sensible.
Les figures 12, 13, 14, 15, 16 et 17 représentent divers moyens de mesure de la longueur de la bande avant l'en- roulement, ou du tube enroulé, dans le but de contrôler le travail de la scie.
La figure 18 représente une variante de réalisation du dispositif tronçonneur, différant de la réalisation des figures 6, 7 et 11.
La figure 19 est une vue perspective générale d'une variante de la machine à fabriquer les tubes hélicoïdaux.
La figure 20 est une vue en plan partielle montrant les bandes s'enroulant sur le mandrin.
La figure 21 est une coupe partielle montrant sembla- blement l'enroulement des bandes sur le mandrin.
La figure 22 est une vue générale de la machine conforme à l'invention.
La figure 23 est une vue avec coupe partielle de pro- fil par ladite machine.
La figure 24 est une vue de détail montrant une disposition appropriée du dispositif de contrôle conforme à l'invention.
Dans ces figures, le tube 4 est formé sur un mandrin 1 stationnaire cylindrique, par l'application en spirale sur ce mandrin de deux bandes ou rubans de matière 2-3 constitués par
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exemple de papier, carton mince, tissu ou produit cellulosique, ce dernier étant entre autres celui vendu sous le nom déposé "CELLOPHANE". Les deux bandes sont enroulées autour du mandrin (depuis les sources 1 et 6 à la figure 5) et le tube en formation est entraîné en rotation sur le mandrin et propulsé de cette façon au moyen d'une courroie sans fin 1 disposée avec une spire complète autour du tube. Le mouvement de cette courroie fait tourner le tube et le visse en quelque sorte sur le mandrin 1 tout en attirant les rubans 2-3 de leur source respective 5-6 et en les appliquant hélicoldalement sur le mandrin.
En pratique (figure 2) le deuxième ruban ou bande 3 n'est appliquée après que le ruban ou bande 2 a formé au moins une spire complète de la couche interne du tube (ruban 2A des figures 1 et 2).
L'enroulement du premier ruban 2 sur le mandrin 1
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/ ne 7''' est tel que ses spires successives/se recouvrent ps-=------ t7 C! pour former un joint à recouvrement hélicoïdal, comme le montre la figure 1, mais le second ruban 3. est substantiellement plus large que le ruban 2 et est enroulé selon le même pas, avec ses bords latéraux formant un joint hélicoïdal à recouvrement visi- ble à la figure 1 (couche 3A); préférablement, les deux joints hélicoidaux ne se superposent pas mais au contraire sont distants longitudinalement d'environ un demi pas, en sorte que le joint hélicoïdal à recouvrement se situe environ au milieu entre deux spires du joint hélicoïdal interne bord à bord ou de butée.
Les deux couches 2A et 3A et le recouvrement sont solidarisés pendant le processus de fabrication. Dans ce but, le ruban 3. est dirigé vers le mandrin, pourvu d'adhésifs ou de colle. La couche adhésive peut être appliquée au ruban en faisant passer ce dernier par un dispositif encolleur 8 (figure 5) ou alternativement, le ruban peut être amené de sa réserve tout pré- paré, et il suffit alors d'humidifier l'adhésif au moyen de tout dispositif approprié.
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La machine de la figure ? révèle que les rubans traversent des moyens de guidage 2. pour se diriger vers le mandrin 1, et que l'entraînement de la machine se fait par un moteur électrique 10 tandis que l'angle d'attaque de la courroie 7 peut être modifié à l'aide d'un volant 11, sa tension dépen- dant du réglage effectué par le volant 12.
Il y a lieu de noter que le tube 1+ est réalisé par un processus continu. Eventuellement, le tube peut êtretronçonmé au départ du mandrin 1. Dans ce but, l'extrémité du tube peut entrer en contact avec une gachette 13 adaptée pour pouvoir fermer le circuit d'un interrupteur 14, ce qui met en action une scie 15 qui sépare un tronçon du tube;16représente une butée de l'extrémité du tube. Dans le mécanisme de sciage des,figures 5 à 7/la scie circulaire 15 est mue par un moteur électrique 17 et est montée sur un bras 19 pouvant, lorsque l'interrupteur 14 fonctionne, tourner sur un axe 20 et venir présenter la lame de la scie contre le tube qu'elle sectionne en l'accompagnant dans son mouvement axial.
Ce déplacement axial de la scie à la même vitesse que le tube 1+ est commandé par un moteur 21 entraî- nant un arbre 22 portant une transmission à friction 22a (figures 5 et 7), ce qui actionne périodiquement l'arbre 23 d'un tambour par l'intermédiaire d'un engrenage 24. Ce tambour 25 pouvant tourner librement sur l'arbre 23 comporte une rainure en spirale disposée circulairement et sa rotation est assurée par un méca- nisme à cliquet 27 et à roue à rochets 28. L'enclenchement du cliquet 27 est normalement empêché par un ergot 29 soumis à l'ac- tion d'un ressort ; lorsque l'interrupteur 14 ferme le circuit, un électro-aimant 30 permet l'engrènement du cliquet dans la roue à rochets 28. Le tambour 25 est en conséquence entraîné selon un tour complet.
Finalement, le va-et-vient de la scie 15 est dû à la coopération d'un doigt 31 solidaire du bras 19 et disposé dans la rainure ou came 26 du tambour 25.
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Pour obtenir le mouvement transversal de la sie 15 par rapport au tube, une came 32 est disposée à chaque extrémité du tambour 25 pour déplacer une barre 33 entraînant un chariot 34 solidaire d'un prolongement ou console du bras 19. La scie 15 peut être partiellement enfermée dans un carter 35,la sciure étant aspirée par un ventilateur 36 à moteur électrique et un conduit flexible 37. Le tronçonnement est donc régulièrement réparti après qu'une longueur prédéterminée de tube ait été formée. Dans le cas où le tube doit porter des indications ou motifs répétés ( il faut comprendre par là des motifs décora- tifs, des inscriptions, etc..) plusieurs difficultés peuvent surgir.
Si le motif est appliqué sur le tube préalablement fabriqué et tronçonné sous forme d'une feuille d'enveloppement imprimée enroulée circonférentiellement, le prix de revient est accru de façon excessive.Si, comme dans le cas de la présente invention, le motif imprimé est répété continuellement le long de l'un des rubans, il faut veiller à ce que les lignes de tron- çonnement soient correctement distancées des motifs décoratifs ou autres, la distance en question pouvant varier fortement. Par exemple, il faut mentionner que pour produire des tronçons de huit pouces (appelés ci-après anneaux), la machine peut utilement être réglée pour scinder le tube en longueur de 16 1/2 pouces en sorte que chaque tube de 16 pouces ainsi formé peut donner naissance à deux anneaux de 8 pouces.
En supposant que la scie sectionne le tube au milieu d'un motif imprimé devant apparaître sur un anneau, cela signifie qu'avec chaque tube sectionné, on ne pourra produire qu'un seul anneau, ce qui élève le déchet à 50 %. Si les anneaux doivent mesurer 4 pouces, la perte sera moindre, mais même dans le cas d'anneaux d'environ 1 pouce de longueur ,la quantité de déchets serait telle que la valeur commerciale du procédé serait inappréciable. Grâce à la présente invention, le découpage du tube en longueur au moment de sa
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formation est contrôlé avec précision pour la position relative du motif imprimé, ce qui permet de réduire au minimum les parties de déchets.
La présente invention procure un procédé de fabrica- tion de tubes hélicoïdaux à partir de rubans de matière enroulés hélicoidalement autour d'un mandrin, le tube étant coupé en longueurs à sa sortie du mandrin, ce procédé étant caractérisé en ce que des motifs répétés sont produits tout le long du tube par des motifs répétés appliqués à la bande ou ruban avant son enroulement, et en ce que le découpage est contras dans le temps en sorte de découper le tube entre les motifs successifs,au moyen d'un détecteur commandé par une marque de contrôle sur le ruban.
Préférablement, le détecteur comprend une cellule photo-sensible par laquelle il n'est pas nécessaire que cette marque soit une irrégularité du'ruban (une.entaille par exemple); la marque peut consister en une surface caractéristique telle qu'une partie du motif imprimé lui-même ou une marque distinctive séparée de ce motif imprimé sur le ruban. La cellule photo-sensible peut être influencée par les modulations produites par une lumière incidente par l'absence ou la présence d'une marque de contrôle dans un faisceau lumineux dirigé sur elle depuis une source de lumière appropriée.
Ainsi, par exemple chaque fois qu'une marque de con- trôle s'interpose dans le faisceau la quantité de lumière attei- gnant la cellule est modifiée en sorte que,la réaction de la cellule, par l'intermédiaire d'un circuit de relais de type connu, met en action les outils sectionneurs des longueurs du tube.
La marque de contrôle peut contraster avec la surface adjacente de la bande par une plus grande transparence ou une plus grande opacité ou encore par un indice de réflexion différent. Bien entendu, la cellule photo-sensible peut travailler dans n'importe quelle bande du spectre convenable.
L'espace normalement requis à l'extrémité de chaque
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tronçon de tube pour les opérations ultérieures est 3/8 de pouce, équivalent à une dimension totale de 3/4 de pouce pour chaque objet. Il y a lieu de remarquer que si la profondeur de chaque anneau est voisine de 3/4 de pouce, il est égal du point de vue économique que cet espace soit occupé par un motif imprimé
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"'' ' standard/par une bande (par exemple une bande annulaire où doit fl se produire le sectionnement de la scie). Si le premier procédé est utilisé, une marque de contrôle distinctive doit évidemment être prévue dans l'impression standard. Par l'emploi de la dernière méthode, l'anneau circonférentiel ou bande en question peut également servir de marque de contrôle pour l'appareil à rayons lumineux.
Bien qu'il soit du domaine de l'invention d'effectuer la détection sur le tube, de nombreux facteurs variables compre- nant entre autres la vibration du mandrin rendent préférable d'effectuer la détection pendant le déplacement de la bande vers le mandrin.
Conformément aux figures 3, 4, 9, 10 et 11, il est nécessaire d'apporter des motifs répétés 31¯sur la longueur du tube, et dans ce but, ces motifs sont répétés diagonalement tout au long de la bande extérieure 3 (figure 3) l'obliquité de ces motifs étant telle par rapport au pas de l'hélice que chaque motif soit formé circonférentiellement ou à angle droit avec l'axe du tube terminé. La longueur de chaque tube mesurée dia- gonalement sur la bande 3 est légèrement plus grande que la cir- conférence du tube terminé pour permettre le joint par recouvre- ment. Comme il est préférable de ménager des espaces blancs sur la surface du tube là où la scie doit opérer, ces blancs 39 seront prévus sur la bande 3 (figures 3 et 4).
A intervalles déterminés tout au long de la bande extérieure 3 est imprimée une ligne 40 formant une marque de con- trôle, et,tandis que la bande 3 se dirige vers le mandrin,ces marques se présentent successivement dans un faisceau lumineux
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=:émis par une source 41 au travers d'un condenseur 42,d'une fente 43 d'un diaphragme, et d'un collimateur 44. (Figure 9)..
Le faisceau incident est réfléchi par la surface de la bande vers une lentille 45 et une cellule photo-sensible 46 et préfé- rablement photo-électrique, en sorte que le passage d'une marque de la bande en mouvement dans le faisceau lumineux module ce dernier et entraîne une variation correspondante de la réaction électrique de la cellule. Celle-ci ainsi commandée sert à contrô- ler la scie circulaire 15 destinée à séparer en tronçons le tube émergeant du mandrin. Il s'ensuit donc bien que chaque coupure se fait rigoureusement à la même distance relativement aux impressions 38.
Pour obtenir ce résultat , le déplacement linéaire du tube 4 (selon l'axe du mandrin) doit être en relation fixe et invariable avec la longueur totale du tube occupée par un motif ou une série de motifs, et cette longueur est déterminée par le développement du tube,et cette longueur est donc disposée hélicoidalement sous forme du ruban 3 portant à intervalles bien déterminés les marques de contrôle 40.
L'efficacité et l'exactitude du sectionnement peuvent être influencées par de nombreux facteurs(par exemple, la varia- tion du diamètre du mandrin par suite de l'usure, les vibrations, modifications du calibre du papier ou de sa largeur, différences de fluidité de l'adhésif, variations accidentelles du pas de l'enroulement, inexactitudes de la localisation des impressions;).
D'autres facteurs pouvant produire des variations sont aussi les défauts mécaniques entraînant entre autres une variation du coëfficient de frottement des surfaces portantes, et la variation de la vitesse de commande du moyen moteur entraînant la machine (le:moteur électrique).
Dans.le but de corriger toutes les variations dues à l'une ou l'autre cause ci-dessus, on emploie un calibre devant correspondre à une longueur équivalant à un nombre convenable d'anneaux devant être sectionnés à partir d'un tronçon de tube.
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y - est <<%<<-'i't.a m par exemple la longueur de tube à sectionner/de 16 1/8 pouces et que la longueur totale des 14 anneaux correspondants donne 15 3/8 pouces la longueur du calibre est également 15 3/8 pouces.
Il a déjà été décrit par quel moyen la scie 15 peut être adaptée pour couper le tube 1+ en formation en toute position prédéterminée à l'intervention de moyens de contrôle à rayons lumineux explo- rant la bande 3. Il faut remarquer qu'une telle position relati- vement à l'impression peut être observée par l'opérateur, en sorte que,tout en permettant une certaine tolérance,la coupure est décalée par suite de l'un des facteurs variables susmentionnés l'opérateur peut vérifier un tube découpé à l'aide de son cali- bre et effectuer les réglages corrects pour ramener en position appropriée les divers plans de tronçonnement par la scie.
Ladite position prédéterminée peut être due à l'impression d'une ligne d'à peu près 3/16 de pouce de large disposée circonférentiellement autour du tube pour former l'anneau circonférentiel mentionné précédemment, la largeur dudit anneau permettant la tolérance nécessaire et indiquant à l'opérateur qu'il faut effectuer un réglage aussitôt que la scie entame le tube en dehors de la bande ou marque circonférentielle en question. Des contrôles périodique: peuvent suffire - par exemple au début de chaque journée de travail ou de chaque dangement d'équipe ou pour chaque nouveau rouleau de papier - car lorsque la machine est correctement réglée, il faut parfois un temps considérable avant que les facteurs variables acquièrent une influence suffisante capable d'exercer un dérégla- ge.
La cellule photo-sensible 46 est connectée à un circuit amplificateur (figure 10) à tube électronique 47 ampli- ficateur des impulsions. Ces dernières sont appliquées à la grille d'un relais 48 à atmosphère gazeuse , en sorte de faire circuler un courant de l'anode à la cathode du relais chaque fois qu'une marque 40 se présente dans le faisceau lumineux.
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De cette façon, le courant circulant dans le circuit contenant un interrupteur à déclenchement ou à limite. 49 actionne un relais supplémentaire 50 pouvant exciter l'électro-aimant 30 dont la fonction,est de libérer l'ergot 29 de la figure 6 ou son équivalent à la figure 10. La réaction immédiate de la cellu- le photo,sensible provoque donc bien le déplacement bngitudinal du moteur 17 et de la scie circulaire 15 à la même vitesse liné- aire et dans le même sens que le déplacement du tube 1. Pendant ce déplacement, la lame de la scie est déplacée latéralement le long du tube pour produire le sectionnement, après quoi la scie est déplacée latéralement en direction inverse et est replacée en position initiale avec son moteur sous l'effet du tambour à cames 25.
Ce mouvement latéral peut être produit à l'intervention de tout moyen approprié tel que déjà décrit pour les figures 6 et 7, et le moteur oscille autour du guide 20. En fin de trajectoire, le moteur commande u n interrupteur de limitation ou de réenclen- chement 49 qui interrompt le circuit du relais à gaz 48 en sorte de remettre l'ergot 29 sous la dépendance des éléments élastiques précédemment cités.
La figure 8 montre que l'appareil d'exploration décrit ci-avant 56 peut être appliqué à une troisième bande 3'; cette dernière peut être appliquée à l'aide d'un adhésif,étendu sur la bande lors de son passage à travers un dispositif encolleur
8'.
L'appareil peut être associé au dispositif encolleur 8' ou peut être monté sur un chariot en tant qu'unité indépendan- te, dans lequel cas le dispositif encolleur 8' peut être mobile vers une position telle que l'appareil indépendant en question soit interposé entre lui et la machine proprement dite.
La production linéaire de tubes pour une consommation linéaire donnée de ruban peut être variée par modification du pas
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des enroulements - c'est-à-dire en modifiant la largeur du recouvrement hélicoïdal - et cela peut se faire en ajustant l'angle d'attaque de la courroie. Cet ajustement de l'angle se fait par exemple manuellement au moyen du volant 11.
Les figures 12 à 17 représentent d'autres procédés de contrôle du sectionnement.
Conformément à la figure 12, le ruban 3 se déplaçant vers le mandrin passe par un tambour 21 contrôlant les moyens d'actionnement du couteau ou de l'outil équivalent destiné à tronçonner le tube. La circonférence du tambour 51 est la même que la longueur du ruban enroulé sur chaque tronçon de tube, et la disposition est telle que le tambour 51 actionne le dispositif coupeur 15 à raison de une fois par révolution.
Le ruban 3 guidé par la périphérie du tambour est empêché de glisser sur celui-ci à l'intervention de moyens connus, par exemple des poulies 52 soumises à l'influence d'un ressort en sorte de main- tenir la bande en contact étroit avec le tambour .Une pièce proéminente 54 est associée au tambour de manière qu'à chaque révolution cette pièce 54 commande le dispositif sectionneur (par exemple en manoeuvrant un interrupteur 55 d'un circuit de commande électrique). La circonférence du tambour mesureur 51 sera préférablement la même que celle du cylindre imprimeur por- tant les motifs à appliquer sur la bande. Le mécanisme précité peut être combiné avec le dispositif d'encollage 8.
Bien entendu, dans le cas où l'invention fait usage d'un tambour mesureur, un organe proéminent de ce tambour peut à son tour s'engager dans des perforations de la bande en sorte d'assurer un synchronisme parfait. Une marque distinctive telle qu'une bande co-lorée peut être apportée sur la bande en l'impri- mant de place en place et une marque distinctive peut être apportée sur le tambour mesureur. Lors du démarrage de la machine la marque distinctive du ruban est amenée en coincidence avec
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celle du tambour en sorte d'assurer que le tronçonnement du tube se produira aux endroits désirés.
Des moyens de réglage seront de préférence prévus pour permettre la variation de l'épaisseur,de la texture et des autres propriétés de la bande ou du ruban employé en sorte de permettre également le rétrécissement ou l'allongement de la bande, et certaines inégalitésdans l'impression. La circonférence effective du tambour peut par exemple être réglable; selon une variante le tambour guidant la bande, c'est-à-dire le tambour mesureur, peut entraîner un second tambour ou organe similaire par l'intervention de transmissionsà rapport variable, ledit deuxième tambour entraînant à son tour les moyens de contrôle et, partant, de commande de la découpeuse eu des autres dispositifs de sectionnement.
Si toutefois par suite des irrégularités des facteurs variables le tube n'est pas sectionné au droit des em- placements corrects, ce défaut peut être corrigé par le réglage de la vitesse du second tambour en question, jusqu'au moment où les intervalles des plans de sectionnement sont ramenés à leur valeur requise. Par exemple à la figure 12, la pièce proéminente 54 peut être réglée circonférentiellement. La disposition est préférablement-telle que le tube soit sectionné à traversla marque distinctive, ce qui permet à l'opérateur de se rendre rapidement compte de l'exactitude de l'opération et, le cas échéant, d'appor- ter les corrections nécessaires .
Suivant la variante d'exécution de la figure 13, le dispositif de mesure est associé au mandrin sur lequel s'enroule le tube. A proximité de ce mandrin se trouve un tambour, une roue ou un organe similaire 57 maintenu en contact avec le tube hélicoïdal 4 pendant l'avancement et la rotation dudit tube.
La poulie 57 comporte un dispositif (représenté ici comme étant un interrupteur 55a actionné par un plongeur 58) fonctionnant pour contrôler le couteau ou la découpeuse pour les tronçons du
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tube, et la disposition des différents organes est telle que ladite poulie ou son équivalent déclenche le couteau sectionnant le tube enroulé après le passage d'une longueur prédéterminée de bande sur le mandrin. Selon une autre variante, conformément à la figure 14, le ruban ou bande} se dirigeant vers le mandrin glisse sur une surface 59 présentant une fenêtre 60 à travers laquelle s'étend une pièce 61 convenablement fixée sur une chaîne sans fin 62 par exemple.
La pièce ou butée 61 traverse une per- foration 63 de la bande qui provoque de cette façon l'entraî- nement de la chaîne 62 laquelle porte en outre d'autres butées semblables, pouvant par la suite coopérer avec des encoches équivalentes prévues dans la bande d'enroulement. Les perfora- tions de la bande sont distancées de façon appropriée et la chaîne sans fin est associée à des moyens de contrôle du couteau ou de la découpeuse (par exemple un interrupteur 55b actionné par les butées 61); cette façon d'opérer permet de contrôler avec précision, c'est-à-dire de commander exactement, la longueur de chaque tronçon de tube en formation.
Ainsi que le montre la figure 5, l'interrupteur 55c peut être commandé par des proéminences convenablement espacées
64 prévues sur le ruban 3. A la figure 15, le ruban 3 présente des perforations ou des découpures convenablementespacées 63, ledit ruban circulant entre deux conducteurs 65 et 67 portant chacun respectivement une brosse 66 (ou une telle brosse pour l'un seul dès deux conducteurs) de manière que lorsque les per- forations atteignent le dispositif palpeur, les deux contacts ferment un circuit ou permettent une décharge électro-statique.
A la figure 17, le ruban 3. circule entre deux surfaces partici- pant d'une soupape à gaz 68-69 et ses perforations servent à interrompre ou établir la communication entre deux tubes 70-71 d'une canalisation pneumatique, ou à vide.
Selon un mode préférable d'exécution du dispositif
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conforme à l'invention.Le mécanisme sectionneur comprenant soit un couteau unique, soit une pluralité de couteaux 151 (ceux-ci pouvant être initialement ajustés sur la longueur du tube) est prévu pour pourvoir effectuer la ou les coupures à intervalles constants pour une largeur du ruban déterminée relativement au diamètre donné du mandrin et à la longueur désirée du tronçon de tube, et dans des conditions équivalentes la vitesse de production du tube est normalement constante en sorte que le sectionnement sera effectué en des endroits déterminés relative- ment aux marques de contrôle, par exemple les motifs imprimés sur le tube.
Néanmoins, des moyens de contrôle sont prévus pour fonctionner automatiquement au cas où la coupure du tube.ne se ferait pas aux endroits requis, ces moyens pouvant simultané- ment régler la vitesse de production du tube et ainsi corriger la faute.
L'un des types convenables des constructions de la machine représentés aux figures 22 à 24 comporte un mandrin mobile constituant un prolongement d'un mandrin fixe 1 creux , et ce mandrin 100 peut être déplacé axialement par rapport au mandrin 1 au moyen d'une tige 101 traversant le mandrin 1 vers un dispositif de commande 102. Les couteaux 151 sont également reliés à la tige 101 par une pièce de liaison 103. Le dispositif 102 comprend principalement des vis de commande 104 fixées à la tige 101 et munies d'un écrou fileté 105 maintenu axialement fixe dans un palier 106.
De part et d'autre de l'écrou 105 se trouve un embrayage à friction 107-108 librement rotatif sur la vis de commande mais pouvant être alternativement engagé avec ou libéré de l'écrou 105 par des leviers coudés 109-110 commandés par des sonéloideslll-112. Les embrayages 107-108 sont entraînés en rotation en sens inverses par des chaînes 113-114 et des pignons 115-116 depuis un arbre de transmission 118 entraîné par un moteur électrique 117. La commande de l'embrayage 107 qui
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détermine le retour du mécanisme sectionneur s'effectue à l'intervention d'un variateur de vitesse 119 et d'un mécanisme de changement de marche 120 grâce à quoi la vitesse de retour du mécanisme susdit peut être variée conformément à la
longueur du tronçon détaché du tube. Les embrayages sont enclenchés automatiquement par une tige de sélection 121 pouvant se déplacer simultanément à la tige 101 ; dans ce but, la tige 121 porte deux cames 122 sur lesquelles peuvent être guidés les organes de commande des interrupteurs 123-124-125-126 servant respectivement à exciter ou désexciter les sonéloïdes 111-112 au moment voulu.
La courroie d'entraînement hélicoïdal du tube peut acquérir des vitesses variables grâce à son entraînement par chaînes et pignons 127-128, avec lesquels coopère un dispositif de contrôle de la vitesse 119 dépendant de l'axe principal 118; le réglage de cette vitesse permet de varier le rapport de la largeur de la bande de matière à enrouler et du diamètre donné du mandrin.
Un appareil photo-sensible semblable à celui qui a été décrit ci-avant ou un mécanisme compteur comportant un relais photo-électrique et un relais pas à pas sont adaptés à la machine; le relais pas à pas est disposé pour être soumis à l'influence de marques de contrôle sur la matière en ruban, ces marques pouvant être le cas échéant une partie du motif im- primé sur la bande. Cet appareil à rayons lumineux ou dispositif compteur peut être disposé en tout lieu approprié à l'observation des dites marques de contrôle, et il est de plus associé à un mécanisme disposé en position x à la. figurer et apte, lorsque le synchronisme entre l'opération de tronçonnement et d'enregis- trement par rayons lumineux disparaît, à ajuster le contrôleur de vitesse 129 de façon à modifier en conséquence la production du tube et, partant, corriger la faute.
Par une disposition al- ternative, le dispositif associé au mécanisme à rayons lumineux
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peut être disposé en sorte de pouvoir influencer les moyens de contrôle 119 de la vitesse de retour des couteaux. Le même appa- reil qui modifie le contrôle de la vitesse de la courroie peut servir à modifier également le contrôle de la vitesse de retour des couteaux, mais bien entendu ces deux appareils peuvent être distincts l'un de l'autre pour chaque contrôle à effectuer.
Selon une variante, l'extrémité du tube entre en contact avec une gachette de butée (qui peut être initialement réglée) de façon que lorsque ladite gachette est engagée par le tube en dehors du synchronisme avec l'opération de découpage, des moyens associés à la gachette et au mécanisme trarcheur entrent en action pour ajuster la vitesse de production du tube ou pour déplacer la face de découpage des couteaux relativement au tube en formation. Il faut également comprendre que tout dispositif de contrôle décrit ci-avant peut être utilisé soit à la variation de vitesse de production du tube, soit à celle de la vitesse de retour des couteaux.
Selon une autre variante, l'inclinaison ou la position de la bande imprimée se déplaçant vers le mandrin peut être modifiée comme il apparaît aux figures 20 ou 21, en sorte de pouvoir avancer ou retarder les positions des marques de contrôle relativement à la scie.
L'inclinaison dudit ruban peut être modifiée à l'inter. vention de tout moyen convenable; par exemple la portion de bande à enrouler disposée entre le dispositif entraîneur .8 et le mandrin peut être modifiée manuellement à une position intermédiaire le long de la bande, c'est-à-dire relevée ou abaissée, par exemple à l'intervention d'un volant 3a et d'une vis 3b capables de modi- fier verticalement la position d'une pièce de guidage 3c sur la- quelle passe la bande.
Selon une autre variante encore, l'ensemble de l'ap- pareil encolleur est déplaçable dans une direction substantielle- ment normale à la direction de ladite portion de ruban ou bande
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et ce, manuellement ou à l'aide d'un volant 8a et d'une vis 8b; l'ensemble est utilement muni de galets 8c guidés par des rails 8d. Eventuellement, les appareils à rayons lumineux - c'est-à- dire photosensibles - peuvent être utilisés pour effectuer divers réglages de la bande automatiquement sous l'influence de marques de contrôle disposées sur ladite bande de matière.
REVENDICATIONS.
1.- Procédé de fabrication de tubes hélicoïdaux, caractérisé en ce qu'il consiste à enrouler hélicoïdalement sur un mandrin une bande ou ruban de matière pour/former un tube, à sectionner en tronçons ce tube au moment de sa formation à l'aide d'un ou de=plusieurs organes sectionneurs, et à synchroniser les opérations en sorte que le tube soit coupé en des endroits appro- priés.
2.- Procédé de fabrication de tubes hélicoïdaux présentant un motif disposé circonférentiellement et répété tout au long du tube, caractérisé en ce qu'il consiste à enrouler un ruban intérieur hél-icoidalement autour d'un mandrin pour former une couche tubulaire intérieure ,puis à enrouler une deuxième bande hélicoïdalement, ladite bande présentant ledit motif répété diagonalement sur toute sa longueur et apporté avant ou pendant l'enroulement, en sorte de former une couche tubulaire extérieure présentant un motif disposé en anneaux circulaires successifs.