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Tampon ahsorbantcutilisable comme tampon vaginal.
La présente invention concerne les tampons absorbants destinés à être introduits dans les cavités du corps comme ' le canal vaginal pour l'absorption et la rétention des se- crétions liquides.
Il existe déjà de nombreux types de tampons absorbants pour l'hygiène cataméniale, mais ils ne sont pas entièrement satisfaisants. En effet, les tampons qui se dilatent longitudinalement quand ils sont humectés par du liquide sont aptes à exercer une certaine pression contre certains nerfs et muscles du corps.. C'est ainsi, par exemple, que cette dilatation longitudinale peut exercer une pression contre le vestibule du vagin dans une direction et contre les mus- cles du sphincter dans l'autre direction, La dilatation et la pression d'un tampon contre le vestibule du vagin peut se traduire par un bouchage et un serrage du canal d'écoulement de ce vestibule et être la cause d'une gêne grave, Q,uant à la pression s'exerçant de haut en bas sur les muscles du sphincter, elle se traduit par des gênes locales,
En ce qui concerne les tampons imaginés pour éviter cette dilatation
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longitudinale indésirable quand ils sont mouillés, ils ont par ailleurs une forme telle qu'ils ont l'inconvénient d'être trop peu absorbants et d'avoir une capacité de rétention du liquide trop faible. En outre, ieur forme et leurs dimensions sont telles que ces tampons ne peuvent être mis en place sans instruments speciaux et que leur aspect aussi bien à la vue qu'au toucher décourage les personnes tentées de les employer.
En ce qui concerne les nombreux essais effectués dans la technique antérieure pour résoudre le problème, on peut les résumer en disant que, malgré la commodité offerte par les tampons de ce genre, on n'est jamais parvenu à en produire un qui offre tout à la fois la sécurité d'application, la capacité requise, le confort et l'élégance capables de supplanter les serviettes périodiques communément employées et incommodes,
Un des buts de l'invention est de créer un tampon perfectionné de ce genre possédant, compte tenu de ses dimensions, une capacité d'absorption et de rétention du liquide excep- tionnellement grandes ce tampon étant spécialement étudié pour que, quand'il est mouillé,
il se dilate radialement plutôt que longitudinalement et soit par conséquent à la fois confortable et sûr, ce tampon formant en outre une coupelle destinée à recueillir et à retenir le liquide au cours de l'usage.
Un autre but de l'invention est de créer un tampon de ce genre dont la forme, les dimensions et la. compacité soient telles qu'il puisse être aisément mis en place par la personne qui s'en sert sans nécessiter de dispositif de pose spécial, ce tampon comportant une extrémité fuselée contenant relati- vement moins de matière.
Un autre but encore de l'invention est de créer un tampon de ce genre qui, tout en étant capable de conserver suffisamment la forme qui lui a. été donnée afin de pouvoir être posé comme décrit et comprimé, dans une mesure lui assurant une grande
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capacité d'absorption compte tenu de ses dimensions, soit néanmoins doux au toucher sur toutes les surfaces exposées, élégant pour la personne qui s'en sert et incapable d'irriter ou blesser les tissus sensibles des cavités dans lesquelles on l'introduit, ce tampon conservant sa forme avant son usage simplement à cause d'une compression intéressant des zones limitées de son étendue et sans exiger de colle et pouvant se dilater aussitôt qu'il est mouillé sans qu'on doive attendre le ramollissement de la colle.
Un autre but encore de l'invention est de créer un tampon de ce genre comportant une nappe interne en gaze ou autre matière plus absorbante capable de contribuer à la répartition de l'humidité, mais placée de manière à ne pouvoir venir en contact avec les tissus du corps de la personne, cette gaze contribuant également à conserver au tampon sa forme avant usage, la construction de ce tampon étant étudiée au surplus pour lui permettre d'être àbriqué à l'aide d'une matière absorbante en feuilles.
Ces divers buts et les avantages de l'invention sont atteints en constituant le tampon à l'aide d'une matière absorbante pouvant comprendre un seul morceau de matière ou plusieurs feuilles de matière pouvant avoir diverses formes et dimensions, leurs angles étant repliés pour former une pointe. Le tampon peut être constitué par la feuille de matière qui entoure la partie centrale.
Les replis de la matière plissée sont disposés, de préférence, le long de lignes espacées et s'étendant longitudinalement à cette partie plissée. La matière est ensuite comprimée latéralement à cette même partie. Cette compression donne lieu à un corps semicomprimé de forme sensiblement conique. L'extrémité de base, outre qu'elle est un peu plus grande, est plus molle et moins comprimée. Le sommet est non seulement plus petit mais plus fermement comprimé.
Le plissement de la matière pendant le faconnage du tampon
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lui imprime une série de plis ou ondulations qui intéressent en particulier ses côtés et sa. partie supérieure. Ceci donne au tampon une forme cannelée avec parois courbes et cannelures s'éten- dant radialement vers le centre entre ses parties courbes.
La compression est effectuée, de préférence, en des endroits espacés tels que les points ou dans des rainures radiales mais pas sur les parties courbes. Grâce à cela,, les surfaces exposées ne sont comprimées qu'à demi, de sorte qu'elles conservent les caractéristiques de molesse et de souplesse du coton non comprimé à l'aide duquel le tampon est, de préférence,constitué.
Ce mode de façonnage de la matière conjugué à son mode de compression en des points espacés entre la, surface donne au tampon final une paroi sensiblement continue en matière douce non comprimée possédant une valeur d'absorption immédiate et maximum, bien que la masse totale de matière confinée par la compression sous le volume final du tampon soit relagivement grande.
Le mode de façonnage et de compression du tampon produit et maintient également dans la matière des ondulations qui apparaissent dans une mesure considérable à la surface du tampon même, ce qui lui donne une plus grande capacité d'absorption que cela ne serait le cas si la surface externe était parfaitement circulaire, comme cela serait le cas si l'on appliquait une tension plus ou moins uniforme sur la totalité de la surface circonférentielle.
Les bords et/ou les coins de la partie plissée qui compren- nent le sommet du tampon peuvent avoir une forme pointue sensiblement conique. La base du corps peut présenter un cran qui lui est imprimé, de préférence en forme de cône et qui convient pour permettre à la personne qui utilise le tampon d'introduire l'angle de son doigt et aussi pour recevoir un cordonnet de dégagement et d'empaquetage fixé à la matière.
La compression a pour but de permettre à la matière de con-
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server sa forme au moins en partie ou tout au moins de la conserver -dans la partie qui est la plus fermement comprimée, de façon que le tampon puisse être enveloppé et empaqueté sous une forme ad hoc, ce qui en même temps d'ailleurs facilite l'usage du tampon après enlèvement de son enveloppe. Autrement dit, quand cette dernière est enlevée la masse de matière peut conserver sensiblement sa forme et ses dimensions pendant un laps de temps considérable avant son application. Il est donc inutile de recourir à un applicateur enserrant le tampon.
Le présent tampon comprend, suivant l'invention, un corps allongé à forme de préférence fuselée, dont le gres bout est mou et peut recevoir l'ongle du doigt de la personne qui utilise le tampon tandis que l'autre bout, plus petit, est ferme, lisse et sensiblement conique pour faciliter l'insertion du tampon, Les côtés du corps sont cannelés, c'est-à-dire que la matière est repliée vers l'intérieur à la hauteur des lignes s'étendant longitudinalement à ce corps, comme décrit ci-après.
L'état semi-comprimé du corps formé par cette matière empêche à coup sûr les fibres de la base du tampon de se feutrer de sorte qu'elles ont tendance à reprendre leur état rectiligne. cet état non feutré des fibres du gros bout du tampon fait office d'articulation, de sorte que quand le corps est imbibé de liquide la partie plissée d'ouvré et se dilate radialement, l'ouverture de cette partie plissée ressemblant beaucoup à l'épanouissement d'une tulipe et formant une cavité en forme de coupelle qui recoit et retient le liquide.
Cette caractéristique d'expansion radiale et d'ouverture de la partie plissée du tampon empêche qu'il n'exerce une pression sur l'embouchure de la cavité du corps dans lequel il est introduit et contre les muscles du sphincter, tandis que l'ouverture centrale en forme de coupe ainsi délimitée donne au tampon une capacité extraordinairement grande d'absorption et de rétention du liquide. En outre, cette structure
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plissée du tampon augmente beaucoup sa surfa,ce d'absorption.
La présence de la gaze soit sur la face interne de la feuille en coton plissée, soit entre deux feuilles de coton, assure un raidissement de la matiere qui, autant qu'on puisse s'en rendre compte, contribue à donner à ce tampon sa possibilité de conserver partiellement sa forme et de s'épanouir par pivotement quand il est comprimé à demi. Fendant cette compression, la gaze se trouve rabattue dans les plis qui se forment pendant le plissement, et ces plis contribuent à maintenir le tampon sous sa, forme plissée jusqu'à ce qu'il soit souillé au cours de l'usage. La gaze est plus absorbante que le coton et exercer, en outre, une certaine attraction par capillarité sur le liquide.
Autrement dit, la. gaze attire le liquide vers le bas dans les couches plissées du coton, ce qui réalise une répartition rapide de ce liquide dans toute la masse du tampon. La, gaze contribue, en outre, à renforcer le tampon pour lui permettre de mieux supporter la. traction exercée sur lui à, l'aide du cordonnet de dégagement qui est, de préférence, replié en boucle à, travers la partie centrale de la matière.
Dans le dessin annexé :
Fig. 1 est une vue en perspective montrant trois morceaux rectangulaires de matiere en feuille constituant par leur superposition un panneau feuilleté pour la, fabrication de ce tampon,
Figs. 2, 3, 4 et sont des vues en perspective montrant différentes formes et dimensions que peuvent prendre ces pièces de matière utilisable dans la fabrication de ce tempon.
Fig. 6 est une vue en perspective du tampon en position par- tiellement ouverte ou épanouie.
Fige 7 est une vue en section droite par la ligne 7-7 de la Fig. 6.
Fig. 8 est une vue en perspective du tampon terminé, mais dépourvu d'enveloppe.
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Fig. 9 est une vue en perspective du tampon pourvu de son enveloppe.
Fig. 10 est une vue en perspective d'une variante de réalisation de ce tampon montrant la compression intéressant des points espacés de se, surface plutôt que des lignes.
Figs. 1 à 5 représentent plusieurs matières en feuille et pièces feuilletées et permettent de se rendre compte de la vaste gamme de réalisations que permet l'invention pour la fabrication du présent tampon. Dans la Fig. l est représentée une pièce feuilletée comprenant deux morceaux rectangulaires 21 et 22 de matière absorbante molle telle qu'étoffe de coton entre lesquels sont interposées une ou plusieurs épaisseurs de gaze plus ou moins raide 24. Ces morceaux 21 et 22 de matière absorbante sont plus longs que larges, de sorte que quand l'un d'eux est appliqué par dessus l'autre, et que ses dimensions les plus grandes lui sont perpendi- culaires, les extrémités de chaque morceau dépassent les côtés latéraux de l'autre et constituent avec eux huit angles distincts.
Ceci donne naissance à huit pointes qui formeront l'extrémité supérieure conique du tampon, quand il est plissé en forme de bourse comme décrit ci-après. La gaze 24 interposée entre les deux couches de coton peut avoir n'importe quelles dimensions et formes conve- nables sauf que, si l'on veut obtenir les meilleurs résultats, elle ne doit pas dépasser l'extrémité externe de la partie en coton.
Un cordonnet convenable 25 forme une boucle à travers la partie centrale du corps feuilleté du tampon et un noeud 26 est prévu sur cette boucle Fig.l, de façon que quund on tire à soi sur l'une ou l'autre extrémité du cordonnet ce noeud vient en prise avec la matière. Au lieu de faire un noeud sur la boucle du cordonnet, on peut d'ailleurs faire un noeud 27, Fig.2, du côté de la matière qui se trouve à l'opposé de la boucle.
Au lieu de prévoir un corps de matière feuilletée (comme le
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montre la Fig. 1) on peut utiliser un morceau unique d'une matière absorbante molle, comme une pièce rectangulaire 28, Fig.2, une pièce triangulaire 32, Fig. 5, ou une pièce ayant n'importe quelle autre forme désirée. Le cas échéant deux ou plusieurs pièces de ce genre peuvent être combinées. Dans la Fig.3 deux pièces carrées 34 et 35 sont superposées l'une à. l'autre à 45 , ce qui ménage nuit angles distincts qui, quand la. matière est plissée et comprimée, intéressent la partie sommitale du tampon. ces pièces peuvent être ou non pourvues entre elles d'une gaze.
Deux pièces 32 33 en forme de triangles équilatéraux, Fig. 5, sont également prévues avec un certain chevauchement pour former six angles distincts avec ou sans interposition de gaze. On peut également utiliser avec satisfaction la variante de disposition des feuilles de coton et de gaze qui est représenté dans la Fig.4. Dans cette 'éalisation, une piece de gaze circulaire 36 est placée entre deux pièces rectangulaires de coton ayant différentes dimensions.
Ainsi donc, quelle que soit la forme de la matiere absorbante molle, qu'elle soit rectagulaire, triangulaire ou polygonale, il doil être entendu qu'on peut utiliser avec elle une ou plusieurs épaisseurs de gaze et que s'il est prévu plus d'un morceau de matière absorbante molle, on peut y intercaler une ou plusieurs couches de gaze ou les appliquer contre le côté destiné à constituer les surfaces internes du tampon quand la matière est plissée.
La, ou les pieces d'étoffé de coton et de gaze, si cette dernière est prévue, peuvent être découpées à même de la matière en feuille et assemblées à la main ou à la machine. Le cordonnet est alors fixé, de préférence, de l'une ou l'autre des manieres décrites. L'ébauche plane qui est représentée dans les Figs. 1 à 5 est alors toute prête pour l'opération de plissage en forme de bourse et de compression.
La ou les feuilles de matière ainsi assemblées sont alors
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plissées et mises selon une forme à peu prés semblable à celle que montre la Fig. 6 la partie centre,le voisine du cordonnet formant la base c'est-à-dire le fond du tampon, tandis que les bords de la matière en feuille constituent sa partie supérieure. Le tampon à paroi plissée présente des ondulations externes 40 et des replis ou ondulations internes 41 (Fig.7). si l'on utilise des pièces de matière de forme carrée ou triangulaire, les angles de ces pièces forment les pointes 42 (Fig.6). Ce plissement peut être opéré à la main ou à l'aide de n'importe quel appareil convenable.
La matière ainsi plissée est alors soumise à une compression selon des zones séparées espacées pour l'obliger à conserver sa forme.
De préférence, les forces de compression radiales sont utilisées pour comprimer la matiere dans les replis ou ondulations internes 41. Dans la pratique, si ceci est très difficile, les forces de compression peuvent contribuer à la conformation et à la distribution des ondulations internes. Ces forces de conformation et de compression peuvent aussi donner naissance aux on. dulations externes 40 dans le sens radial bien qu'une pression relativement faible soit appliquée aux ondulations externes 40 de manière à ne pas détruire la paroi externe molle. La compression primaire est assurée par les efforts de compression qui peuvent donner naissance à des lignes 43 à forte compression.
Une réalisation préférée du tampon fini ainsi établi et capable de conserver à peu près rigoureusement sa forme est représentée dans la Fig. 7. Ce tampon a un profil cannelé et comprend les surfaces courbes 40 à application douce et les parties comprimées 43, La base molle est figurée avec un cran 44 dans lequel la personne peut introduire l'ongle d'un de ses doigts, et le sommet du tampon 45 est conique.
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Une autre réalisation du tampon fini est représentée dans la.
Fig. 10. Ici, la compression intéresse des parties espées 50 au lieu d'intéresser les lignes 43. Dans ce cas aussi, la compression intéressant ces parties est suffisamment grande pour mainte- nir le tampon à l'état comprimé Sans nécessiter de colle, ce qui laisse la partie externe relativement non comprimée et douce au toucher.
A la suite de sa conformation, le tampon est introduit dans une enveloppe 110 formant sachet (voir Fig.9) et engainé dedans..
Ceci contribue à lui permettre de conserver sa forme grâce à la résistance de cette enveloppe, Celle-ci est également, de préférence, impermeable a 1''humidité et aux germes; elle peut être constituée pa.r une matière telle que la. "cellophane".
Un petit ruban de déchirure 46 s'étend dans la longueur du tampon et de son enveloppe pour permettre d'arracher aisément celle-ci en tirant simplement dans le sens latéral sur ce petit ruban.
On peut également se rendre compte de la forme et de la structure du tampon en examinant la. Fig. 6 qui montre de quelle façon il se présente apres qu'on l'a dégagé de son enveloppe et qu'on lui a permis de s'épanouir radialement. Les parties 40 molles et non comprimées de la, paroi externe du tampon sont nettement visibles ainsi que les parties comprimées 43,
Quand le tampon est soumis à l'humidité ou à un liquide, il s'ouvre davantage pour ressembler à une tulipe en cours d'épanouissement, jusqu'à ce qu'il prenne une forme en coupelle et éventuellement une forme plane à moins qu'il ne soit resserré sur lui-même.
L'état semi-comprimé de la, matière constitutive de ce tampon assure que les fibres de la matière de la base ou partie centrale 47 de son corps ne sont pas rompues ou feutrées mais demeurent
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non affectuées par les opérations de compression et de mise en forme. L'état non comprimé et non feutré des fibres dans la partie inférieure du tampon lui permet, en outre, de s'épanouir par déploiement étant donné que, quand les fibres sont libères,,' elles tendent à reprendre sensiblement la forme plane quelles avaient avant le plissage et la compression.
Ainsi donc, quand l'enveloppe est dégagée du tampon et que celui-ci a la possibilité de se dilater, notamment quand sa partie terminale conique est souillée, la matière tend à s'ouvrir radialement comme si elle était articulée à sa base. Cette caractéristique d'épanouissement du tampon est mise en évidence par la Fig. 6. Au sommet où le tampon s'ouvre, il présente évidemment une grande surface qui englabe les diverses ondulations 40 et 41 et par là même possède une grande capacité d'absorption.
Cet épanouissement à la manière d'une tulipe permet au tampon de prendre une forme en coupelle formée d'une matière absorbante et capable de retenir le liquide. C'est là un grand aven- tage du présent tampon par rapport aux tampons de rétention filés ou bourrés fabriqués jusqu'à présent.
La fabrication de ce tempon perfectionné peut avoir lieu à la main, ou à l'aide d'un procédé mécanique utilisant un appareil comme celui décrit dans un brevet jumeau.
Diverses variantes de réalisation peuvent être apportées à ce tampon sans s'écarter de l'invention.
Revendications.
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