<Desc/Clms Page number 1>
Combinaison de sauvetage.
------------------------
L'invention vise des combinaisons de sauvetage imper- méable appelées à être enfilées par-dessus les vêtements ha- bituels ; elle a pour but principal d'établir une combinaison de sauvetage simple et efficace, pouvant être mise et enlevée avec facilité.
La caractéristique principale de l'invention consiste en ce que l'étoffe imperméable de la combinaison, pouvant être du gutta-percha, du tissu caoutchouté, de la popeline imprégnée, ou analogue, est mince et flexible à un tel point que la combi- naison n'entrave par les mouvements de l'usager dans une mesure appréciable, afin que la combinaison puisse être utilisée à la fois comme vêtement de travail et combinaison, de sauvetage.
Les autres caractéristiques importantes de l'invention seront décrites ci-après.
L'invention est représentée dans les dessins schémati- ques annexés.
Fig. 1 montre la combinaison retournée avant d'être en- filée, ceci à une échelle légèrement plus grande que les au- tres figures.
Fig. 2 est une vue latérale de la combinaison enfilée, mais avant le reserrage de l'ouverture supérieure
<Desc/Clms Page number 2>
Fig. 3 montre la même combinaison après reserrage.
Fig. 4 est une vue antérieure de la combinaison après la fermeture.
Figs. 5 et 6 montrent la manière d'établir des manchet- tes étanches.
Fig. 7 montre une autre variante de manchette étanche.
La combinaison est établie en étoffe imperméable suffi- samment mincà et souple pour que la combinaison n'entrave pas notablement les mouvements de l'usager. selon l'invention, cette combinaison peut donc servir de vêtement de travail et de sauvetage à la fois. Lorsqu'un navire traverse une zone dangereuse, l'équipage et les passagers peuvent porter la com- binaison en permanence, vu que celle-ci n'entrave pas le tra- vail ou d'autres occupations. L'étoffe mince et souple offre, en utre, l'avantage que la combinaison peut être enfiléeaussi rapidement et aussi facilement que les vêtements ordinaires.
L'étoffe peut être du gutta-percha, du tissu caoutchouté, de la popeline imprégnée, ou une matière analogue, dont l'épaisseur est de préférence inférieure à 1 mm. La combinaison peut éven- tuellement être imprégnée après assemblage.
La combinaison est constituée par une large pièce 1 en forme de sac, faisant corps avec la culotte 2. Les jambes de cette dernière peuvent être fermées à leurs extrémités infé- riaures et présenter des parties élargies pour les pieds, ou bien, être fixées d'une manière étanche à des bottes ou galo- ches en caoutchouc 3, comme montré au dessin. Pour empêcher les pieds de floeter à la surface lorsque l'usager de la com- binaison se trouve dans l'eau, on peut munir les bottes de semelles pesantes 4, par exmple en plomb ou analogues, ou bien, utiliser des semellesintérieures en plomb. Le sac 1 présente des deux cotés des manches raglan 5 attachées par les coutures 15. Ces manches peuvent être munies de manchettes étanches à l'eau, qui seront décrites plus loin.
<Desc/Clms Page number 3>
La combinaison est assemblée d'une manière très simple, vu qu'elle ne comporte qu'une couture 14 sur les faces en re- gard des jambes, une couture 13 sur le devant allant,du four- chet au menton et, éventuellement, une couture dans le dos du fourchet jusque 1''extrémité supérieure de la combinaison, Cette dernière couture n'est cependant pas nécessaire lorsque l'étoffe a une largeur suffisante. Les coutures peuvent être recouvertes de bandes de bacoutchouc, ou analogues. Les diffé- rentes parties de la combinaison peuvent éventuellement être assemblées par collage.
Abstraction faite des manches, la combinaison est com- plètement fermée, sauf à la partie supérieure du sac 1, laquel- le présente une large ouverture 19 , comme montré à la Fig. 2.
C'est par cette ouverture que l'usager pénètre dans la combi- naison qu'il désire enfiler. La largeur dela combinaison est telle que, lorsque cette dernière n'est pas utilisée, elle peut être rabattue et retroussée par-dessus des bottes 3, comme montré à la Fig. 1. A partir de cette position, la combinaison peut être enfilée avec rapidité et facilité; l'usager enfonce ses jambes dans les bottes et relève la combinaison jusqu'à la position montrée à la Fig. 2. comme montré aux dessins, la combinaison peut être pourvue d'un capuchon 6 attaché au bord postérieur de l'ouverture 19. Le capuchon peut être cousu ou collé à la combinaison ou être fait d'un seul tenant avec celle-ci.
Le bord antérieur de l'ouverture 19 située en avant du capuchon est muni d'orifices ou oeillets 7, convenablement espacés. Un lacet 8 est passé dans ces oeillets de façon que ses extrémités pendent sur le devant de la combinaison, tandis que la partie médiane du lacet longe la face postérieure du capuchon 6 et est guidée dans un ou plusieurs anneaux 9, ou analogues, attachés au capuchon.' Le bord 20 du capuchon peut être muni d'une bande élastique de serrage, appelée à presser
<Desc/Clms Page number 4>
ce bord d'une manière étanche contre la tête, Cette bande n'est cependant pas indispensable.
Lorsque la combinaison est enfilée, comme montré dans la Fig ; 2, on ferme l'ouverture 19 en tirant sur les extré- mités du lacet 8, de sorte que l'ouverture se rétrécit autour du cou, comme montré dans les Figs. 3 et 4. Le bord de l'ou- verture 19 furme ainsi des plis et des fronces 21 qui, par suite de la traction exercée sur le lacet, sont pressés les uns contre les autres et contre le cou, en même tempque le bord 2 0 du capuchon est pressé contre la tête. Des essais pratiques ont démontré que cette disposition assure une fer- meture étanche à l'eau de la combinaison. Après avoir fermé l'entrée 19, on fixe le lacet au moyen d'un noeud ou d'un dispositif de blocage automatique attaché au lacet.
Au lieu de longer la face postérieure du capuchon, le lacet peut tout aussi bien passer dans des oeillets placés le long du bord 20 du capuchon.
Le capuchon peut éventuellement être supprimé. Dans ce cas, les oeillets et le lacet sont disposés tout le long du bord de 1''ouverture 19, laquelle se resserre par une trac- tion du lacet.
La combinaison est relativement ample, de sorte que, à l'état fermé, elle contient une quantité d'air capable d'as- surer une flottabilité suffisante. Il importe cependant que la combinaison puisse être resserrée autour de la taille ; elle est donc munie d'une ceinture 10 attachée à la combinaison en un ou plusieurs points ou disposée pour glisser dans des pas- sants ou éléments analoguesfixés à la combinaison. Cette dernière peut également être munie d'un solide corselet ou d'une bande de renforcement 11 placée à l'extérieur ou à l'intérieur de la combinaison immédiatement au-dessous des emmanchures.
A cette ceinture, laquelle peut représenter une largeur relativement importante, est fixée une forte la-
<Desc/Clms Page number 5>
nière ou analogue, portant un crochet approprié la', qui per- met à l'usager de s'attacher à un radeau de sauvetage ou à un autre naufragé. La ceinture 11 peut éventuellement être munie de plusieurs lanières ou analogues, ou d'autres dispo- sitifs de sauvetage.
La combinaison peut également être munie de bretelles ou analogues, bien que ceci ne soit pas indispensable.
La combinaison peut éventuellement être munie d'un ou de plusieurs flotteurs, remplis par exemple de kapok, de poils de renne, ou autre matière appropriée. On peut également uti- liser, à titre de flotteurs, des coussins ou tubes en caoutchouc que l'on peut remplir d'air. Les flotteurs peuvent être rela- tivement minces et offrir une superficie relativement importante; ils peuvent être fixés en permanence à la face extérieure ou in- térieure de la combinaison. Les flotteurs peuvent également être constitués par des coussins de caoutchouc remplis de kapok ou analogues. Ces coussins sont placés dans des poches 12, à l'intérieur ou à l'extérieur de la combinaison lorsque celle-ci doit être utilisée aux fins de sauvetage. Lorsque la combinai- son est employée comme vêtement de travail, on peut enlever les cuussins.
Les poches 12 qui peuvent être placées n'importe où sur la combinaison en un nombre convenable et peuvent présenter n'importe quelle forme et dimensions appropriées, peuvent, en outre, servir à contenir de petites quantités de nourriture, un cuuteau, une lampe de poche électrique, un sifflet, une boussole, des fusées et autres objets d'équipement.
On peut aussi employer un flotteur ayant la forme d'un tube rempli de kapok ou d'air et placé autour du corps. Lorsque l'usager, étant occupé à un travail, désire assurer la liberté de la partie supérieure de son corps, la combinaison peut être rabattue autour de ce tube, par exemple jusqu'à la taille.
Dans ce cas, la combinaison se présente comme une culotte de
<Desc/Clms Page number 6>
caoutchouc ou dite de pêcheur, et peut, à tout moment, être rapidement relevée pour servir de combinaison de sauvetage, lorsqu'il est nécessaire de sauter dqns l'eau. Cependant le tube flotteur n'est pas montré aux dessins.
Il va de sui qu'au lieu d'un flotteur solidaire de la combinaison on peut utiliser une ceinture ou une veste de sauvetage facilement accessible et que l'on peut placer à l'extérieur ou à l'intérieur de la combinaison.
Comme déjà mentionné, les bords des manches de la com- binaison peuvent être pourvuesde manchettes élastiques qui s'adaptent autour des poignets d'une manière étanche à l'eau.
De telles manchettes peuvent être constituées par une bande de caoutchouc élastique de largeur convenable , cousue ou collée à l'extrémité de la manche. Selon les Figs. 5 et 6, on peut établir la manchette en retroussant la manche (Fig. 5) et en enfilant le bout 16 de cette manche par-dessus un moule 19', qui peut être cylindrique par exemple. La bande élastique 17 est ensuite collée à la manche après avoir été légèrement éti- rée, cette bande étant utilement placée dans une position telle que son bord dépasse légèrement celui de la manche. Une fois la bande élastique assujettie, on enlève le moule 19', ce qui a pour effet une légère contraction de cette bande et, par con- séquent, de l'ouverture de la manche.
On rabat ensuite la manche, à l'endroit (Fig. 6). $la suite de ces opérations et grâce à la dite contraction, le coté extérieur du buut de la manche présente des fronces, comme montré en 18, lesquelles permettent à ce bout de se détendre lorsqu'on passe la main à travers l'ouverture de la manche.
Selon la Fig. 7, on peut également réaliser une ouver- ture de manche étuncbe à l'eau on Fixant au bord de cet te ouverture une pièce de tissu caoutchouté 22, mince, souple et élastique. Cette pièce de tissu est pourvue d'un orifice central 23, à travers lequel on fait passer la main en enfi-
<Desc/Clms Page number 7>
lant la combinaison, le diamètre de l'orifice étant légèrement inférieur à celui du poignet.
Afin de réaliser une fermeture absolument étanche de la manche, on peut prévoir une manche intérieure supplémentaire 24, dont le bord est fermé d'une manière étanche par une pièce de tissu imperméable, souple ét élastique 25, munie d'un orifice central 26 pour l'avant-bras, Comme montré au dessin, les pièces 22 et 25 sont situées à une certaine distance l'une de l'autre.
On peut éventuellement employer, conjointement avec la combinaison, des gants ou mitaines pourvues d'un poignet élasti- que. Ces gants ou mitaines peuvent éventuellement être fixés en permanence à la combinaison.
D'autre part, les différents détails de la combinaison peuvent être modifiés de diverses manières. Par exemple, on peut supprimer les oeillets et le lacet. Dans ce cas, on réali- se la fermeture en enroulant le bord de l'ouverture supérieure de la combinaison autour de la tête et du cou et en le fixant à l'aide de crochets, de bandes ou analogues. pour assurer une fermeture étanche à l'eau, le bord de l'ouverture doit être muni d'une bande élastique. Dans le cas où la fermeture de la combi- naison doit être assurée par un fermoir à tirette, il est néces- saire de prévoir derrière celui-ci une bande de matière élasti- que ou non. Cette bande doit avoir une largeur suffisante pour permettre au sac 1 de s'ouvrir à sa largeur normale.
Des essais ont démontré qu'une personne flottant sur l' eau est en état d'absorber des aliments. Afin de permettre à l'usager de s'alimenter, l'ouverture supérieure doit être étroitement serrée au-dessous du nez, de façon que la bouche soit située au-dessous du bord de l'ouverture. Lorsque l'usager désire s'alimenter, il retire un bras ou les deux, d'une ou des manches, les ouvertures de ces dernières étant obturées par un bouchon ou une pince. Désormais, il peut mettre la ou les mains dans les poches des vêtements qu'il porte sous la combi-
<Desc/Clms Page number 8>
naison, ou dans les poches intérieures de celle-ci.
Il convient de remarquer que l'emploi de la combinai- son décrite ci-dessus permet de préserver la chaleur du corps pendant un temps prolongé, même lorsqu'un naufragé séjourne dans l'eau glaciale.
<Desc / Clms Page number 1>
Rescue suit.
------------------------
The invention relates to waterproof life-saving suits designed to be put on over the usual clothing; its main purpose is to establish a simple and effective rescue suit that can be put on and taken off with ease.
The main feature of the invention is that the impermeable fabric of the coverall, which may be gutta-percha, rubberized fabric, impregnated poplin, or the like, is thin and flexible to such an extent that the coverall. the wearer does not obstruct the movements of the user to an appreciable extent, so that the suit can be used both as work clothing and as a rescue suit.
The other important characteristics of the invention will be described below.
The invention is shown in the accompanying schematic drawings.
Fig. 1 shows the combination turned upside down before being threaded, this on a scale slightly larger than the other figures.
Fig. 2 is a side view of the slipped on suit, but before the top opening has been retightened
<Desc / Clms Page number 2>
Fig. 3 shows the same combination after retightening.
Fig. 4 is a front view of the suit after closing.
Figs. 5 and 6 show how to establish waterproof sleeves.
Fig. 7 shows another variant of a waterproof sleeve.
The suit is made from a waterproof fabric that is thin and flexible enough so that the suit does not significantly hinder the movements of the user. according to the invention, this combination can therefore serve as both work and rescue clothing. When a ship passes through a danger zone, crew and passengers can wear the suit at all times, as it does not interfere with work or other occupations. The thin, supple fabric has the added advantage that the coveralls can be put on as quickly and easily as ordinary clothes.
The fabric may be gutta-percha, rubberized fabric, impregnated poplin, or the like, the thickness of which is preferably less than 1 mm. The combination can optionally be impregnated after assembly.
The jumpsuit is made up of a large bag-shaped piece 1, integral with the panty 2. The legs of the latter can be closed at their lower ends and have widened parts for the feet, or else be fixed in place. 'in a way waterproof to rubber boots or galoshes 3, as shown in the drawing. To prevent the feet from floating to the surface when the wearer of the suit is in the water, the boots can be fitted with heavy soles 4, eg of lead or the like, or alternatively, use of lead insoles. . The bag 1 has on both sides raglan sleeves 5 attached by the seams 15. These sleeves can be provided with waterproof cuffs, which will be described later.
<Desc / Clms Page number 3>
The jumpsuit is assembled in a very simple way, since it only has a seam 14 on the sides facing the legs, a seam 13 on the front going from the crotch to the chin and, optionally, a seam in the back of the crotch up to the upper end of the coverall. This last seam is however not necessary when the fabric is of sufficient width. The seams can be covered with rubber bands, or the like. The different parts of the suit can optionally be assembled by gluing.
Apart from the sleeves, the overalls are completely closed, except at the top of the bag 1, which has a wide opening 19, as shown in FIG. 2.
It is through this opening that the user enters the suit he wishes to put on. The width of the suit is such that, when it is not in use, it can be folded down and rolled up over the boots 3, as shown in FIG. 1. From this position the suit can be put on quickly and easily; the user pushes his legs into the boots and raises the suit to the position shown in Fig. 2. As shown in the drawings, the suit may be provided with a cap 6 attached to the posterior edge of the opening 19. The cap may be sewn or glued to the suit or be made integrally therewith.
The front edge of the opening 19 located in front of the cap is provided with orifices or eyelets 7, suitably spaced. A lace 8 is passed through these eyelets so that its ends hang down the front of the suit, while the middle part of the lace runs along the rear face of the cap 6 and is guided in one or more rings 9, or the like, attached to the cap.' The edge 20 of the cap can be provided with an elastic tightening band, called to press
<Desc / Clms Page number 4>
this edge tightly against the head, This tape is however not essential.
When the suit is put on, as shown in FIG; 2, the opening 19 is closed by pulling on the ends of the lace 8, so that the opening narrows around the neck, as shown in Figs. 3 and 4. The edge of the opening 19 thus forms pleats and gathers 21 which, as a result of the traction exerted on the lace, are pressed against each other and against the neck, at the same time as the edge. 20 of the cap is pressed against the head. Practical tests have shown that this arrangement ensures a watertight closure of the suit. After closing the entry 19, the lace is fixed by means of a knot or an automatic locking device attached to the lace.
Instead of running along the rear face of the cap, the lace can just as easily pass through eyelets placed along the edge of the cap.
The cap can optionally be removed. In this case, the eyelets and the lace are arranged along the edge of the opening 19, which is tightened by a pulling of the lace.
The suit is relatively loose, so that when closed it contains a quantity of air capable of providing sufficient buoyancy. However, it is important that the jumpsuit can be tightened around the waist; it is therefore provided with a belt 10 attached to the suit at one or more points or arranged to slide in loops or similar elements attached to the suit. The latter can also be provided with a strong corselet or a reinforcing strip 11 placed on the outside or inside of the suit immediately below the armholes.
To this belt, which may represent a relatively large width, is attached a strong la-
<Desc / Clms Page number 5>
or the like, carrying a suitable hook 1a ', which allows the user to attach himself to a life raft or other castaway. The belt 11 may optionally be provided with several straps or the like, or with other rescue devices.
The suit can also be provided with suspenders or the like, although this is not essential.
The combination can optionally be provided with one or more floats, for example filled with kapok, reindeer hair, or other suitable material. Rubber cushions or tubes which can be filled with air can also be used as floats. The floats can be relatively thin and offer a relatively large surface area; they can be permanently attached to the outside or inside of the suit. The floats can also be constituted by rubber cushions filled with kapok or the like. These cushions are placed in pockets 12, inside or outside the suit when the latter is to be used for rescue purposes. When the coverall is used as work clothing, the covers can be removed.
The pockets 12 which can be placed anywhere on the suit in a suitable number and can be of any suitable shape and size, can furthermore be used to hold small amounts of food, a bowl, a cooking lamp. electric pocket, whistle, compass, rockets and other items of equipment.
One can also use a float in the form of a tube filled with kapok or air and placed around the body. When the user, being busy at work, wishes to ensure the freedom of the upper part of his body, the suit can be folded around this tube, for example up to the waist.
In this case, the jumpsuit looks like a panty
<Desc / Clms Page number 6>
rubber or so called fisherman, and can, at any time, be quickly raised to serve as a rescue suit, when it is necessary to jump into the water. However, the float tube is not shown in the drawings.
It goes without saying that instead of a float integral with the suit, it is possible to use a belt or a life jacket which is easily accessible and which can be placed outside or inside the suit.
As already mentioned, the edges of the sleeves of the coverall can be provided with elastic cuffs which fit around the wrists in a waterproof manner.
Such cuffs may consist of an elastic rubber band of suitable width, sewn or glued to the end of the sleeve. According to Figs. 5 and 6, the cuff can be established by rolling up the sleeve (Fig. 5) and threading the end 16 of this sleeve over a mold 19 ', which may be cylindrical for example. The elastic band 17 is then glued to the sleeve after having been slightly stretched, this band being usefully placed in a position such that its edge slightly protrudes that of the sleeve. Once the elastic band is secured, the mold 19 'is removed, which results in a slight contraction of this band and, consequently, of the opening of the sleeve.
The sleeve is then folded back to the place (Fig. 6). $ following these operations and thanks to said contraction, the outer side of the sleeve of the sleeve has gathers, as shown in 18, which allow this end to relax when passing the hand through the opening of the sleeve. the sleeve.
According to FIG. 7, it is also possible to make an opening of the sleeve with water by fixing to the edge of this opening a piece of rubberized fabric 22, thin, flexible and elastic. This piece of fabric is provided with a central orifice 23, through which the hand is passed finally.
<Desc / Clms Page number 7>
in the suit, the diameter of the hole being slightly smaller than that of the wrist.
In order to achieve an absolutely tight closure of the sleeve, an additional inner sleeve 24 can be provided, the edge of which is closed in a sealed manner by a piece of waterproof, flexible and elastic fabric 25, provided with a central orifice 26 for the forearm, As shown in the drawing, parts 22 and 25 are located at a certain distance from each other.
Gloves or mittens provided with an elastic cuff can optionally be used in conjunction with the suit. These gloves or mittens can optionally be permanently attached to the suit.
On the other hand, the different details of the combination can be changed in various ways. For example, we can remove the eyelets and the lace. In this case, the closure is effected by wrapping the edge of the upper opening of the suit around the head and neck and securing it with hooks, bands or the like. to ensure a watertight seal, the edge of the opening must be fitted with an elastic band. In the event that the combination is to be closed by a pull-tab clasp, it is necessary to provide behind the latter a strip of elastic material or not. This strip must have a sufficient width to allow the bag 1 to open to its normal width.
Tests have shown that a person floating in water is able to absorb food. In order to allow the user to eat, the upper opening should be tightly squeezed below the nose, so that the mouth is located below the edge of the opening. When the user wishes to eat, he removes one or both arms from one or more sleeves, the openings of the latter being closed by a plug or a clamp. From now on, he can put his hand or hands in the pockets of the clothes he is wearing under the suit.
<Desc / Clms Page number 8>
naison, or in the interior pockets thereof.
It should be noted that the use of the combination described above allows the preservation of body heat for a prolonged time, even when a castaway is in freezing water.