BE468626A - - Google Patents

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Description


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  Totalisateur pour machines à enregistrer ou à calculer.      



   Cette invention a pour objet un totalisateur de con-   ception   et de construction nouvelles spéoialement applicable aux machines à enregistrer et à calculer. 



   Ce totalisateur comporte un mécanisme simple et effi- cace grâce auquel on peut, sous le contrôle des roues numéri- ques, actionner et commander des dispositifs mécaniques ou électriques places à l'extérieur du totalisateur pour effec- tuer n'importe quelles opérations comptables désirées. 



   La construction de ce totalisateur est étudié pour qu'il se compose d'un nombre réduit d'organes, qu'il soit de manoeuvre plus simple, de fabrication plus économique et de fonctionnement plus sûr pour les opérations comptables désirées qu'on est appelé à faire au cours de la pratique quotidienne des machines auxquelles il s'applique. 



   En outre, la construction de ce totalisateur est spé-   cialement   perfectionnée en vue d'incorporer un mécanisme d'ad- dition de-1 parfois appelé "mécanisme de 1 automatique". 



   L'invention est matérialisée de façon générale dans 

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 une machine à calculer et à imprimer, de préférence du type "Remington". comportant un bâti, un chariot à mouvement de va- et-vient, et un totalisateur monté sur ce chariot et recevant les écritures comptables au mement où il franchit un certain point de la machine pour se trouver associé arec le mécanisme usuel d'actionnement assurant l'addition ou la soustraction des montants dans le totalisateur. 



   Suivant   l'invention,   le totalisateur comprend un certain nombre de roues placées de manière à représenter les valeurs numériques introduites dedans, ainsi qu'un certain nombre de doigts faisant saillie pur rapport à lui, des organes associés avec ces roues étant reliés aux doigts respectifs, de manière à les amener d'une position à une nuire au moment où les roues respectives se meuvent d'une position à une autre position. 



   Plus particulièrement, les doigts sont déplacés spéciale- ment quand les roues viennent occuper leurs positions respecti- ves correspondant au zéro ou s'écartent de ces positions. 



  S'il s'agit de constituer un dispositif destiné à contrôler l'addition de-1 dons les machines de ce type, les doigts sont associés avec une plaque fixe montée sur le bâti et, quand ils occupent une certaine position, ils sont en contact avec cette plaque au   moment   où le chariot la franchit. Quand les doigts occupent une outre position, ils ne sont pas en contact avec la plaque. Les roues du totalisateur sont équipées de telle sorte que quand elles se trouvent en position zéro, le   mécanis-   me de liaison avec les   o.oigts   amène ces derniers à une position dans laquelle ils ne soient pas en contact avec la plaque. Par ailleurs, quand les roues occupent n'importe quelle position excepté la position zéro, les doigts sont disposés de manière à bien être en contact avec la plaque. 



   De préférence, suivant une des   adaptât ions   possibles du dispositif, les doigts qui sont en contaot avec la plaque maintiennent formé un circuit électrique dans lequel est bran- ohé un relais. Quand tous les doigts sont hors de contact 

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 avec la plaque, ce circuit est coupé, de sorte que le relais est privé de courant pour effectuer la fermeture d'un contact établissant un circuit propre à l'impression d'un oomplément de dizaine dans l'inscription d'un total. Cette disposition peut, bien entendu, trouver son application pour donner d'au- tres résultats nouveaux et utiles en dehors de ce qui vient d'être dit. 



   Plus particulièrement encore, la maohine oomprend un dispositif grâce auquel, quand tous les doigts occupent une position prédéterminée, un élément marquant "libre" a la   possibilité   de venir occuper une position telle qu'un signal ou symbole "libre" soit imprimé au moment convenable. 



   Des moyens sont également prévus   grâce   auxquels, quand la manivelle d'aotionnement est sur le point d'intro- des nombres dans le totalisateur et que ses roues doivent être déplacées, la liaison entre les roues et les organes de commande des doigts est temporairement supprimée pour permettre aux roues de se déplacer librement pendant leur rotation. 



   Dans les dessins annexés : 
La fig. 1 est une vue en plan du dessus avec une brisure partielle, certains organes étant supposés supprimés, de ce totalisateur perfectionné. 



   La fig. 2 est une vue de face du totalisateur, certains organes étant supposés supprimés, montrant sa coopération avec la plaque montée sur le bâti. 



   La fig.3 est une vue en coupe verticale du totalisateur, et du bâti de la machine (certains organes étant supposés sup- primés pour ne pas embrouiller le dessina en regardant par le coté droit du totalisateur représenté en   fig.   2, son carter étant enlevé. 



   La fig. 4 est une vue partielle schématisée montrant certains des organes en les supposant dégagés de la machine, ces organes étant représentés dans la position qu'ils occu- 

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 pent quand la roue numérique est en position zéro. 



   La fig. 5 est une vue partielle en perspective de oer- tains des éléments de la machine. 



   La fig. 6 est une vue semblable de certains autres éléments. 



   Le mécanisme que prévoit l'invention et qui peut être appliqué à n'importe quel totalisateur est représenté ici comme étant appliqué de préférence à un totalisateur transver- sal ou horizontal du type "Remington" pour la passation auto- matique de toutes les écritures comptables. Comme représenté, le totalisateur est flanqué de flasques 10 et 11 faisant partie de son bâti et munid'un couvercle 12 délimitant avec ces flasques une capacité dans laquelle les divers organes assurant le fonctionnement sont convenablement logés et supportés.

   comme le montre en particulier la   fig.   5, dans laquelle on a supprimé   certains   organes pour rendre le dessin plus lisi- ble, les flasques latérales du bâti du totalisateur sont pourvus des organes usuels 13 à profil en queue d'aronde pour permettre la fixation au chariot s'il s'agit d'un totalisateur vertical ou à un coulisseau ou baladeur (non   représenté )   comme dans une machine de type connu. 



   Il est prévu une série de roues numériques 14 auxquelles sont fixés des pignons 15 pouvant se mouvoir avec elles. Chaque pignon est muni d'une dent plus oourte 16 et de dents   17   de dimensions uniformes. Un peigne 18 est prévu pour venir en oon- tact avec le pignon de chaque roue numérique et est étudié pour reposer contre la denture du pignon. Chaque peigne 18 pivote sur un axe 19 et possède un bras supérieur 20 artioulé grâoe à une biellette 21 sur le bras inférieur 22 d'un levier coudé dont l'autre bras 23 qui se dresse vers le haut fait saillie hors du carter du totalisateur pour former un doigt. Ce levier coudé pivote sur un axe 24.

   Il est prévu pour chaque roue numérique une combinaison indépendante d'éléments comprenant le peigne 18, le bras   20,   la biellette 21 et le levier coude 

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 22-23. Quand la roue numérique 14 occupe une position repré- sentant un signe autre que zéro, sa denture régulière oblige le système de levier sus-indiqué à prendre la position repré-   sentée   en fig. 3, auquel cas les doigts 23 font saillie à peu près verticalement vers le haut. 



   On sait que quand un totalisateur horizontal est déplacé avec le chariot au delà d'une position prédéterminée pour ins- crire automatiquement un total, quand le dernier signe autre que   zâro   dans le total est présenté aux doigts analyseurs, un méca- nisme d'addition de -1 est commandé pour fermer un circuit ou établir certaines connexions désirables, de façon que ce dernier signe puisse être imprimé sous la forme d'un complément de di- zaine coasse cela se produit ordinairement quand le total en cours d'impression est un total négatif. 



   Suivant une application à laquelle se prête l'invention, le totalisateur ici représenté est un totalisateur horizontal et le mécanisme sus-décrit peut être utilisé comme mécanisme d'addition de -1. Pour obtenir ce résultat, les doigts 23 quand ils sont disposés dans une certaine position, de préférence celle à laquelle ils sont amenés par la présence dans le totali- sateur de signes autres que zéro, sont prévus pour frotter contre la paroi inférieure d'une plaque de contact 25 pendant le mouve- ment des doigts sur une certaine portion prédéterminée du trajet du totalisateur dont ils font partie.

   Cette plaque 25 est constituée par un métal lui permettant de faire partie d'un cir- cuit électrique et est supportée élastiquement par un ressort 26 (voir   fig.2)   logé dans une rainure 27 pratiquée dans un ta- quet de   support 36.   Ce taquet est lui-même supporté par des plaquettes isolantes 29 de toute manière convenable à partir de la partie 30 du bâti fixe de la machine. 



   On sait que, quand le dernier signe autre que zéro dans un total négatif est sur le point   d'être   imprimé, une plaque   d'addition.de   -1 peut se déplacer pour fermer un inter- rupteur et déclencher le fonctionnement de certains circuits 

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 pour imprimer un complément de dizaine, selon la présente invention, la plaque de contact   25   est disposée de telle sort; sur la partie   30   du bâti que, quand le doigt 23 relié au dernier signe autre que zéro dans un total négatif franchit la plaque un peu avant que ce chiffre ne doive être imprimé, le circuit dont le doigt et la plaque font partie soit par là même inter- rompu, et qu'un reluis soit privé de courant pour appliquer des contacts, de façon à établir un circuit de complément de dizaine. 



  Ce circuit et ce relais sont représentés dans la fig. 4   OÙ   le relais est désigné par 31. Il est évident que le contact entre les doigts 23 et la plaque 25 peut être utilisé pour   commander   de nombreux autres circuits et même pour assurer, le cas échéant, des déplacements mécaniques. 



   Quand une roue numérique quelconque 14 se trouve à zéro, son peigne 18 repose contre sa dent plus courte 16, ce qui per- met ainsi à ce peigne de s'abaisser davantage et d'actionner par là même la timonerie pour faire pivoter le doigt relié à elle jusqu'à la position représentée en fig. 4. Dans cette posi- tion, il n'est pas en contact avec la plaque 25 quand le totali- sateur franchit cette plaque. on voit clairement par les figs.2 et 4 que le totalisateur, les doigts, la plaque 25 et le relais 31 font partie d'un circuit qui so ferme chaque fois qu'Il y a au moins un doigt en contact avec la plaque   25   mais que ce cir- cuit est coupé quand le dernier doigt dressé franchit la plaque pour venir occuper la position dans laquelle le signe corres- pondant doit être imprimé. 



   Quand toutes les roues numériques sont à zéro et indi- quent ainsi que le totalisateur est libre, un dispositif prévu par l'invention et aotionnable dans ces conditions opératoires permet l'impression d'un signe   indiquant,   qu'en effet il est libre. Dans la fig. 3, on voit en outre un balancier univer- sel 32 supporté de façon pivotante par un axe 33 s'étendant entre les flasques latérales 10   et}!   du totalisateur. Ce ba- lancier présente des fentes espacées dans lesquelles sont engagées 

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 les parties arrière des biellettes 21. Chacune de ces biellet- tes est munie d'un bouton 34 faisant saillie latéralement'et placé en faoe du balancier 32. Quand la biellette 21 se déplace vers l'arrière, ce bouton 34 fait pivoter le balanoier en sens inverse des aiguilles d'une montre.

   Chaque biellette 21 est réunie à une extrémité d'un ressort 35 dont l'autre extrémité est assujettie à un organe fixe tel qu'un piston 36 de la ma- ohine. Ce ressort 35 tend à maintenir la biellette 21 en posi- tion avant et, par conséquent, à appuyer le peigne 18 contre la denture du pignon 15. Comme représenté en fig. 3, le peigne 18 repose oontre une des dents régulières du pignon de la roue numé- rique, de sorte que la biellette 21 se trouve en arrière et que le doigt 23 relié à elle occupe sa position relevée pour se trou- ver en contact aveo la plaque 25 quand le totalisateur franchit cette plaque.

   Comme le balancier 32 subit le contact des bou- tons 34 solidaires de toutes les biellettes 21, il est évident que tant qu'une biellette se trouve en position arrière, indi- quant ainsi un ohiffre autre que zéro dans une roue numérique au moins, le balancier 32 est mainteu dans la position   représen-   tée dans cette figure. 



   A son extrémité de droite, le balanoier 32 est lui-même muni d'un bouton 37 destiné à porter contre l'extrémité supé- rieure du bras 38 d'un levier coudé pivotant sur un axe 39 et dont l'autre   bras 4.0   est fourchu, comme figuré en 41. Cette partie fourchue sert de logement à l'extrémité d'un bras 42 qui peut tourner sur un axe 43 et fait partie d'un secteur 44 pourvu d'une denture venant en prise aveo la denture d'un pi- gnon analyseur 45 pouvant tourner sur un arbre 46 et pourvu d'une dent   d'analyser*   On conçoit que, quand l'extrémité supérieure du bras 38 est repoussée par le bouton 37 solidaire du balancier 32, la dent 47 est amenée à une certaine position, tandis que quand le balanoier est laissé libre de pivoter dans le sens des aiguilles d'un montre, et que la biellette 21 se meut vers l'avant,

   un ressort 48 attaché à une extrémité au 

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 bras 38 et à son autre extrémité à un organe fixe 49 de la machine impose à la dent 47 un mouvement qui l'amène à une autre position. un voit donc que, quand tous les peignes 18 s'ap- puient contre les dents inférieures des pignons des roues nuré- riques 14, le balancier 32 a la possibilité de revenir à sa position normale, tandis que le bras 38 peut avancer et que le doigt 47 peut venir occuper une position d'engagement d'un doigt d'analyse (non représenté) afin d'imprimer un signe "libre" de façon similaire à l'analyse des dents par des doigts d'exploration dans une machine connue. 



   Pour permettre une rotation libre et non entravée des roues numéiques quand cela est nécessaire et notamment pendant le dégagement ou la passation   d'une   écriture, il est prévu un dispositif spécial de conception nouvelle. Ce dispositif est associé avec une griffe maîtresse de type connu désignée par 50. Quand une écriture est passée et après que les roues doivent tourner, cette griffe 50 est actionnée par le mécanisme de commande bien connu pour immobiliser le chariot à la posi- tion sur laquelle le totalisateur est monté et également pour commander un levier contourné 51 dont l'extrémité inférieure attaque la griffe 50 quand on le manoeuvre.

   Ce levier 51 pi- vote sur l'axe 39 et se prolonge par une partie supérieure 52 munie d'une saillie arrondie destinée, quand ce levier est soulevé par la griffe 50, à attaquer et faire pivoter une équerre d'arrêt 54. Cette équerre est de type connu dans ce genre de machine, mais elle est   raunie   ici, suivant l'invention, d'un prolongement supplémentaire 55 pourvu d'un crochet 56 pendant normalement et placé au-dessus et hors de contact des lèvres 57 dirigées vers l'arrière et solidaires de chacun des bras 20 des peignes 18.

   Ce prolongement 55 de l'équerre 54 s'étend en travers de la machine et est supporté en   58.   quand la griffe 50 est actionnàe, ce prolongement 55 se déplace en sens inverse des aiguilles d'une montre (comme représenté en fig. 3) et soulève très légèrement les peignes 

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18 pour les soustraire à la pression de la denture des pi- gnons 15, de sorte que les roues sont libres de tourner sous 1%pulsion requise chaque fois que cela est nécessaire. 



  Etant donné que les griffes   50 ne   sont   commandées   que tempo- rairement, les peignes 18 sont ramenés à leur position normale avant que le totalisateur ne puisse venir occuper la position suivante. Ce dernier dispositif est donc actionné pendant la passation d'une écriture, c'est-à-dire pendant la rotation des roues numériques pour les libérer momentanément de l'effet retardateur dû à la pression du peigne 18. 



   Diverses variantes de construction sont possibles, bien entendu sans s'écarter de l'invention qui n'est pas limi- tée aux détails qui viennent d'être décrits.

Claims (1)

  1. RESUME ----------- Totalisateur pourvu d'un certain nombre de roues numé- riques, applicable aux machines à enregistrer ou à calculer et caractérisé par les particularités suivantes, considérées sé- parément ou en combinaison : a) Un certain nombre de doigts font saillie hors du totalisateur et sont étudiés pour commander des circuits éleo- triques ou des transmissions mécaniques, et un dispositif as- sooié aux roues numériques est relié aux doigts respectifs afin de les déplacer d'une certaine position à une autre au moment où les roues respectives se meuvent elles-mêmes d'une - position à une autre, par exemple à partir de la position zéro ou vers la position zéro.
    b) Le dispositif associé aux roues numériques et relié aux doigts respectifs comprend plusieurs peignes dont chacun est mobile sous l'action de sa roue respective lors de son mouvement d'une position à une autre, et un embiellage reliant chaque peigne à son doigt respectif pour transmettre à celui-ci le mouvement du peigne. c) un doigt est prvu pour chaque roue numérique, et <Desc/Clms Page number 10> chaque doigt est relié individuellement à sa roue respective.
    d) Le totalisateur comporte un bâti et un chariot à va-et-vient pourvu d'une pluque de oontact montée en position fixe sur le bâti de la machine, les doigts du totalisateur étant étudiés pour venir en contact avec les plaques lorsqu'ils occupent une cert@ine position et pour être hors de contact avec elles quand ils occupent une autre position lorsque le totalisateur franchit cette plaque. e) Le totalisateur qui est combiné avec un dispositif à signal "libre" qui est mobile pour venir occuper soit une position de travail, soit une position de repos, comporte des organes associas avec ce dispositif et avec les doigts pour maintenir ce dispositif en position de repos chaque fois que l'un quelconque de ces doigts ou plusieurs d'entre eux se trouvent dans une position prédéterminée.
    f) Le totalisateur est équipé d'organes actionnés, quand une écriture est passée dans l'une quelconque des roues numériques, pour attaquer les peignes et faire cesser leur engagement avec les roues, et les peignes viennent de préfé- rence en prise avec lesdites roues sous l'effet d'une pression. g} Chaque peigne presse normalement contre la denture d'un pignon qui se meut aveo chaque roue numérique, le dispo- sitif de dégagement obligeant les peignes à cesser leur pression sur le pignon quand ce dispositif est actionné. h) Ce dispositif de dégagement est constitué par une griffe étudiée pour être actionnée quand une écriture est passée dans une roue numérique, un levier déplacé par cette griffe et des organes solidaires de ce levier et attaquant une équerre qui attaque à son tour les divers peignes pour faire cesser la pression s'exerçant sur les pignons.
    i) Chaque peigne est relié aux doigts respectifs au moyen d'une biellette dont chacune porte un bouton, et le dispositif à signaux libres ou d'effacement est étudié pour être actionné par l'équerre qui possède une position normale <Desc/Clms Page number 11> et est attaquée pa@r l'un quelconque des boutons quand la biellette respective est déplacée.
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