BE468316A - - Google Patents

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BE468316A
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    • C22METALLURGY; FERROUS OR NON-FERROUS ALLOYS; TREATMENT OF ALLOYS OR NON-FERROUS METALS
    • C22BPRODUCTION AND REFINING OF METALS; PRETREATMENT OF RAW MATERIALS
    • C22B9/00General processes of refining or remelting of metals; Apparatus for electroslag or arc remelting of metals
    • C22B9/05Refining by treating with gases, e.g. gas flushing also refining by means of a material generating gas in situ
    • CCHEMISTRY; METALLURGY
    • C21METALLURGY OF IRON
    • C21CPROCESSING OF PIG-IRON, e.g. REFINING, MANUFACTURE OF WROUGHT-IRON OR STEEL; TREATMENT IN MOLTEN STATE OF FERROUS ALLOYS
    • C21C5/00Manufacture of carbon-steel, e.g. plain mild steel, medium carbon steel or cast steel or stainless steel
    • C21C5/28Manufacture of steel in the converter
    • C21C5/30Regulating or controlling the blowing
    • C21C5/34Blowing through the bath

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Description


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  Perfectionnements aux procédés d'affinage des métaux. 



  La présente invention se rapporte à l'affinage des mé- taux, tant ferreux que non ferreux. 



   Beaucoup d'impuretés qui se trouvent dans les métaux sont normalement éliminées par oxydation,   lorsque on   fait fondre le métal et qu'on   amené   de l'air ou de l'oxygène en contact avec les impuretés de manière qu'elles soient éliminées à l'état gazeux ou à l'état solide sous forme de scories. La transformation. de la fonte en acier est un exemple de ce procédé connu et la présente invention, bien qu'elle n'y soit pas exclusivement limi- tée, peut être appliquée d'une manière particulièrement   avanta-   geuse à un pareil procédé d'affinage. 



   Suivant l'invention, le procédé d'affinage consiste à ;;injecter dans le métal en   fusion, par   projection, un fluide oxy- dant à une vitesse telle qu'une proportion suffisante du fluide      

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   .pénètre   dans le métal pour y réagir sur les impuretés oxyaables et les éliminer du métal, et ce procédé est caractérisa en ce que le fluide employé ne contient pas plus de 30 % d'azote et une quanti- té d'oxygène comprise entre 70 % et   98   %. 



   Le mélange d'oxygène et d'azote peut être un gaz ou un liquide, chacun de ceux-ci présentant ses avantages propres. 



  Ainsi, par exemple, l'un des avantages qutoffre l'emploi d'un liquide au lieu d'un gaz pour le jet est que le liquide possède une plus grande force de pénétration dans le métal; si donc on le désire, la tuyère de projection peut être maintenue à une plus grande distance du métal. Un autre avantage résulte du fait que le mélange oxygène-azote est produit à l'état liquide pendant la fabrication normale, et peut être transporté et emmagasiné plus économiquement qu' un gaz. 



   Le fluide qui contient l'oxygène peut être projeté de haut en 'cas sur la surface du métal fondu à traiter, à une telle vitesse que la majeure partie du jet de fluide pénètre dans le bain. La vitesse du fluide à la surface du métal, nécessaire pour provoquer cette pénétration sensiblement complète doit nécessai- renient varier suivant les   circonstances   dans chaque cas. En parti-   culier   elle varie en fonction de la viscosité et de la densité du métal à traiter.

   On a trouvé, par   exemple,qu'une   tuyère de 0,32 pouce de diamètre interne, dont le bec se trouve à 6 pouces au- dessus de la surface d'un bain de fonte en fusion nécessite une pression de gaz de 7   @@ 8     atmosphères   pour refouler environ 10.000 pieds cubes de gaz par heure dans le bain à une vitesse d'environ 1250 pieds(sec.,cette vitesse étant obtenue par.un profil conve- nable de la tuyère. Les vitesses de cet   ordre   de grandeur sont dé- sirables en vue d'obtenir une pénétration et un effet   optimum   du fluide, mais des vitesses inférieures peuvent être   employées   en donnant lieu à une réduction correspondante de la production d'o- 

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 xygène.

   L'oxygène ainsi réfléchi peut être utilisé pour brûler 'les gaz combustibles engendrés, tels que l'oxyde de carbone, en produisant ainsi une chaleur supplémentaire. 



   La grande vitesse du jet de fluide a pour effet que la source des réactions chimiques d'oxydation se trouve à l'intérieur du bain à une bonne distance de la garniture réfractaire du four. 



  Ces réactions sont habituellement exothermiques, la chaleur déve- loppée étant fréquemment la seule chaleur nécessaire pour main- tenir le métal à la température et à la fluidité voulues. Le fait que les réactions se produisent à l'intérieur du bain assu- re l'utilisatin de la chaleur développée à un degré maximum. 



  D'autre part, la détente du gaz à la sortie de la tuyère sert à maintenir la tuyère froide. La pénétration du jet remplit aussi la fonction utile d'agiter le bain de manière que les réactions se produisent uniformément et au degré maximum. On peut régler la marche de l'affinage en faisant varier l'inclinaison du jet ,par rapport à la surface ou en faisant varier la vitesse des gaz ou leur composition. 



   L'une des plus grandes difficultés qu'on a rencontrées   jusqu'ici   dans l'affinage des métaux en faisant passer un courant d'air relativement faible à travers le métal est que l'azote et quelquefois l'hydrogène sont absorbés et restent dans le métal à la fin de l'opération d'affinage. On a déjà proposé de vaincre cette difficulté en employant de l'oxygène pur, mais cette idée n'a jamais été appliquée sur une large échelle en raison du prix relativement élevé de l'oxygène pur. 



   Toutefois, on a maintenant trouvé que si le jet de fluide projeté à grande vitesse dans le métal est forme d'oxygène ne contenant pas plus de 30 % d'azote, pratiquement rien de ce dernier gaz n'est absorbé par le métal. D'autre- part, on a trouvé qu'il était trop coûteux d'employer un fluide contenant plus de 

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 98 $o d'oxygène, en sorte que pour réaliser la présenta invention on a donné, aux rapports de l'azote, à 11 oXYiS -n dans le fluide àaffindge des valeurs comprises entre )0/70 et 2/bd. 
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  Le pourcentage préféré de la, teneur an azote ast compris 
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 entre 5 0 et 25 fih et actusilement le prix de l'oxY68n1 contenant ce pourcentage d'azote :3 'it relativement cas et n 1 rll",,)iC!l,-; pd-s 1 t dr plicatton industrielle de l'invention. 



  Si l'on utilise l 1 itlv,ütion pour tranaformej.' de 1d fon- te en acier, on peut employer eL,: 1 t d,1.c pendant 1.....J.:u:e"ùf31't:;) partie de 110lÎ1ct.tion de conversion, jusqu là. cc quu .0,--Ut-atz- la. moitié de la teneur en carbone ait été oxydée et tax.aim:r le! Soufflage à l'aide d' oxygen3 ne coutenaat po-e .J?lU!:3 OE.; j0 $o d'azote pour produire des 'pulles d'oxyde de carbone qui, en sléldvdzlt, à trct.- vers le métal entraînent tout azote pr: .3,:nt dans le iàétal ou retenu pendant la ijr,3,ui ère partie du soufflage. 



  L'invention peut 3tr, appliquée de r11 V(;n:8'S lilCU1iÈn"3s au procédé Bessemer connu; é:Ün8i, par ex#ni>1e, dant! le procédé Bessemer basiqu3 usuel, 1e soufflage peut se faile jusqu1à la fin (.le la période de rld.1ltll'$ du caraone, après quoi on fait bas- culer le, convertisseur vers le 'Où.s, on coupe l'arrivée d'air et 
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 on envoie un jet à grande vitesse d'oxygène et d'azote, à l'état liquide ou gazeux, pour oxyder les impuretés restantes, le déga- 
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 geauent de chaleur s'achevant de la manière habituelle, on fait pé- 
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 nétrer le jet dans la surface du bain de métal fondu de l'une ou 
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 l'autre ma.nièl'8' ci-aes,3us décrite .

   Suivant une variante, on peut prolonger le soufflage 
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 normal du Bessemer jusqu'à, ce que la majeure partie du phosphore 
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 ait été éliminée, après qui on fait basculer le conveitlaseu de 
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 haut.en bas, on enlève le laitier et-on ajoute une nouvelle quan- 
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 tité de carbone, notamment par llado.1tion de fonte, ou ue métal 
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 du mélangeur, on y ajoute de la chaux et, si on le désire, d t au- 
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 /fl ' ' 

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 très fondants, et on continue ensuite le soufflage pendant quel- ques minutes au jet d'oxygène/azote à grande vitesse, de manière à obtenir un acier à basse teneur en azote.On achève alors l'élabora- tion de l'acier jusqu'à l'obtention. de la composition désirée par   1'addition   de   terra-manganèse,   spiegel, aluminium, etc. 



   L'une au l'autre de ces modifications au   procède   Bessemer conduit à un acier dont les teneurs en azote, soufre et phosphore sont comparables à celles de   l'acier   au four Martin ou de l'acier électrique. 



   On peut Introduire le jet dans le métal fondu soit par le bec du convertisseur soit par l'une des tuyères, peu importe que celles-ci se trouvent dans le fond ou les côtés du convertisseur. S'il s'agit   4'un   convertisseur à soufflage par le fond, on peut établir dans la plaque du fond, une porte, qu'on ouvre, après basculement du convertisseur vers le bas, pour permettre au jet de passer par les trous de tuyère. 



     'On   a trouvé que lorsqu'on modifie le procédé Bessemer normal en y incorporant la présente invention, c'est-à-dire lorsque le soufflage normal est remplacé par un jet à grande vitesse d'oxygène ne contenant pas plus de 30 % d'azote,'le phosphore est en substance entièrement éliminé avant l'élimina- tion de la totalité de carbone. Il s'ensuit que le procédé mo- difié offre le très grand avantage d'éviter la nécessité de recarburer le métal à la fin du soufflage. Il devient inutile de munir le Bessemer du fond usuel si le jet à grande vitesse est projeté dans le bain de métal fondu par une ou plusieurs tuyères, dont les ajutages sont situés à quelques pouces au-dessus de la surface du bain de métal.

   Dans le procédé connu, l'azote qui pas- se au travers du bain absorbe une grande partie de la chaleur dé- gagée, mais suivant la présente invention, comme la quantité d'a- zote est très fortement réduite, il y a une grande-économie de 

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 chaleur Les réactions se   produisent 'beaucoup   plus rapidement ce qui permet   d'atteind@e   des températures   plus élevées*   Il s'ensuit que le procédé peut être appliqué à la conversion de métaux   bruts   contenant des proportions beaucoup plus   faibles     d'éléments   géné-   rateurs   de chaleur   cornue   le silicium, le carbone et le phosphore. 



  En variante ou en outre, la procédé peut être   employé   pour des métaux brute comportant des pourcentages beaucoup plus élevée de      tournures ou rognures, étant donné que comme il a été indiqué ci- dessus on   n'introduit   pas d'azote dans le métal etévidemment pas non plus   d'hydrogène   puisqu'il n'y en a pas dans le jet. 



   - De la manière dont les convertisseurs   opéraient     Jusqu'ici   il n'admettaient pas d'additionner la charge de plus de 5 % de mitrailles ou autres déchets d'usinage, bien que 25 %   enviion   des lingots d'acier obtenus par ce procédé reviennent des ateliers sous forme de déchets. Il gerait extrêmement avantageux pour une usine autonome d'utiliser la totalité de ses propres déchets et au prix   ,où   sont actuellement les mitrailles d'acier, lequel est inférieur à la moitié de celui de la fonte, un pourcentage encore plus élevé de déchets constitue un nouvel avantage   important.   



     En   conséquence, un autre but de l'invention est de réa- liser un procédé pour 1'oxydation des impuretés contenues dans les métaux, qui ne soit pas limité comme   jusqu'ici   par les quan- tités relatives d'éléments générateurs de chaleur dumétal brut, de telle sorte que le procédé présente une grande souplesse, en ce sens qu'il peut convenir pour des charges dont les rapports des mitrailles au fer fondu varient considérablement et dont les compositions.du fer sont extrêmement différentes en ce qui   concer-   ne les éléments générateurs de chaleur ci-dessus mentionnés. 



   On atteint ce but en ajoutant au bain d'une manière con- tinue ou   d'une   manière   intermittente,   pendant que le jety pénètre, un élément générateur de chaleur tel que le carbone. 

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   Ce procédé spécial peut être réalisé dans un four fermé, garnissages   réfractaires,   basculant ou rotatif, pourvu de sorties ses deux extrémités pour l'échappement des gaz brûlant   au dessus   du métal. A chaque extrémité sont également aménagés un ou plusieurs ajutages à   1'aide.   desquels un mélange d'azoteet d'oxygène peut être projeté à une grande vitesse dans un bain de métal fondu reposant sur la sole du four.

   La section transversale du foyer est de préfé- rence elliptique ou ovoide, son grand axe étant vertical et de pré- férence plus long que son axe horizontal, car cette forme présente les avantages de donner lieu à un ciel ou une voûte de portée re- lativement faible de telle sorte que le chargement peut se faire par le haut et que par conséquent les parois tant avant   qu'arrire   du four peuvent présenter une inclinaison, qui n'est actuellement réalisée d'habitude qu'à la paroi arrière   d'un four   Martin de type conventionnel. Le foyer est pourvu à chaque extrémité   d'un   seul régénérateur à travers lequel on fait circuler les gaz brûlés et dans lequel l'air entrant pour la combustion est réchauffé.

   Le ren- versement se fait à des intervalles appropriés qui, en raison de la vitesse de l'opération, peuvent'coïncider avec le chargement. 



   Le four est chargé au début de métal fondu tel que de la fonte renfermant une proportion relativement élevée de carbone   et/ou   d'autres éléments engendrant de la chaleur, ou bien ce métal peut être fondu dans le four, après avoir été chargé, par des¯brûleurs à gaz. A l'aide d'ajutages à l'une des extrémités du four, on projette dans le bain de métal fondu un jet de fluide consistant de préférence en un mélange de   10 o   d'azote et 90 %   d'oxygène.   Le jet est dirigé de haut en bas sur la 'surface du métal, à une vi- tesse suffisamment élevée pour assurer la pénétratiôn de la quasi totalité du fluide dans le bain.

   Le jet sert à maintenir une vi-   goureuse   agitation de façon que les réactions oxydantes se pour- suivent, à l'intérieur du bain, à une très grande vitesse et avec 

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 un très grand rendement chimique en oxygène. 



   Le silicium et le phosphore passent dans le laitier, tandis que le carbone brûle en donnant de 1'oxyde de carbone qui s'élève au-dessus du métal et du laitier, où il brûle en se trans- formant en anhydride de carbone avec l'air ou l'oxygène ou   un   mé- lange d'oxygène et d'azote admis à l'extraite interne du four. 



  Toutes ces réactions sont exothermiques et fournissent une partie de la chaleur nécessaire pour maintenir   l'opération   en train. 



  On charge les mitrailles dans le four entre le centre de ce der- nier et l'extrémité de sortie, pendant la période de soufflage. 



   Le jet   d'oxygène-azote   conjointement avec un laitier approprié enlève une   grande   proportion de soufre, de telle sorte que l'addition directe de cnarbon, coke ou autre matière carbonée au bain'devient possiole. Il est toutefois préférable que la ma- tire carbonée niait qu'une faible teneur en soufre et en matiè- res volatiles. 



   On peut ajouter le carbone dans le bain soit d'une fa- con continue soit d'une   faon   intermittente et en quantités suffi- santes pour fournir par son oxydation la chaleur nécessaire pour maintenir la marche de   1'opération   et fondre les mitrailles ajou- tées.

   Le carbone ajouté au bain peut provenir dune "électrode massive" du type Soderberg pénétrant dans le four à   travers   le ciel à   l'extrémité   opposée à l'extrémité d'entrée et constituée par une matière carbonée telle que de l'anthracite ou du coke ag- gloméré au moyen de biai ou autre substance semolable,   logée   dans un gaine en acier et protégée a l'extérieur par une garniture   réfractair,;.   On peut élever et abaisser cette   électrode   à volonté à travers   un.   orifice à   refroidissement   par circulation d'eau ména- gé dans le ciel du Four.

   Suivant une variante, on peut ajouter le carbone au bain sous forme de charbon   pulvérisé   injecté dans le four à une grande vitesse soit conjointement avec le fluide oxy- 

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 dant, soit par des ajutages   séparés.   Ou encore, il peut être projeté dans le métal par une machine centrifuge du type à jet de sable. Dans l'un ou   11 autre   de ces deux derniers cas, le carbone peut être ajouté au bain du même côté du four que le jet, mais lorsqu'on emploie des   ?électrodes,,   il est préférable de faire descendre   l'électrode   dans la bain à l'extrémité de sortie du four de façon qu'elle ne gêne pas le jet. 



   Lorsqu'on   immerge   le carbone dans un bain de fer ou d'acier, il est connu que l'allure à laquelle le carbone se dis- sout est une fonction de la teneur en carbone du bain; elle est extrêmement rapide aux faibles teneuis et très lente lorsque la teneur en carbone du métal se rapproche de 3 %. 



   Pour des raisons du   domaine   de la métallurgie, il est désirable d'avoir un bouillonnement épurateur   d'oxyde   de carbone pour enlever toutes les impuretés gazeuses. Il est donc désira- ble, en raison de ces deux considérations, de maintenir la te- neur en carbone aux environs de 0,6 % à 1 % par exemple   pendant   la phase de l'opération au cours de laquelle on ajoute le carbo- ne au bain. Pour cette valeur le carbone se dissout   rapidement   et lorsqu'on arrête l'addition une quantité suffisante de car- bone reste dans le bain pour produire un bouillonnement finie- seur et assurer la teneur en carbone requise, en fin d'opération. 



   La valeur ci-dessus indiquée de   0,6 %   de carbone peut être abais- sée,   évidemment,   si on produit de l'acier à faible teneur en car- bone. On peut régler la teneur en carbone du bain par le degré d'admission d'oxygène, le degré d'admission de carbone et la fré-   quenee   des renversements si la circulation du bain est faible. 



   Si dans certaines phases de la marche de l'opération, la combustion du silicium ou du phosphore est seule à se produire, alors,   évidemment,   il n'y a aucun avantage à permettre à   l'air   de passer à travers les lumières, le degré d'admission d'air      

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 étant fonction du degré de production d'oxyde ae carbone. 



   Pendant l'opération le laitier est maintenu dans les conditions voulues   par   l'addition de chaux, a'oxyde de fer, de 
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 spath fluor, d 1 aluiiii^cie (le silice et autres fondants. D9 prsf é-   rence,   la chaux est   d'abord   broyée uux dimensions de 2" à 4" et les fines sont enlevées, 
On peut   augmenter   la   production   de métal et régler aus- si la température du   oain,   par l'addition de minerais de fer et d'oxydes de fer. Ce mode de réglage de la   température   peut être 
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 employé lorsqu'on ne aispose pas d'assez de uitrailles pour assu- rer un réglage aaéquat de la   température.   



     Apres fusion   de lu. totalité de la   charge   et soufflage   jusqu'à   obtention de la teneur   désirée   en carbone, on peut ache- 
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 ver l'acier de la manière usuelle par l'addition' de désoxydants et d'éléments dtdllid6e.. 



  Le jet à grande vitesse provoque une agitation énergi- 
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 que et un e ltraineÛ13nt du laitier dans le corps du métal en assu- rant ainsi un mélange intime et de$ réactions rapides. 



  Inefficacité avec laquelle l'oxyde du carbone dégagé 'oiilà pour former l'anhydiide caruonique est considérablement augmentée par Inaction des J'égé>.iài.ateur<: qui réchauffent l' dir de combustion. Li. four doit ,3....t' établi pour peimettre aux gaz de rester dans 1 foyer pendant un temps :;u1'fi.,jant pour assurer une comoustion compi te à 11 int leur du l;'OOI'dtoiléJ au four. 



  Les lumières à di7 sont ae préférence ûtdl7. de manière à diriger 1e' courant d'air de Haut en bas vers l'extrémi- té adjacente du bain dt le'long ae la surface du laitier et du métal. Les ajutages sont placée soit coLe-a-cSte avec les lumière à air   ou à   t avers celles-ci (ou dans ces doux positions à la foie) de façon que les jets frappent le bain aussi près que possi- 
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 ble du côté du bain où se trouvent les luinlèrea. Cette disposi- 

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 tion permet à   1''oxyde   de carbone produit par la combustion du bain   d'être     amène   en contact immédiat avec l'air réchauffé. Il peut être avantageux de retirer les tuyères à oxygène qui ne sont pas en service. 



   Si on le désire on peut exécuter .l'opération dans un four annulaire, pourvu   d'un   arbre vertical'central, dans lequel on fond les mitrailles, des jets à grande vitesse d'un mélange d'oxygène et   d'acte   étant. dirigés dans le métal fondu qui est recueilli dans une sole annulaire entourant   Marbre   central à un niveau situé en dessous de l'extrémité inférieure de l'arbre. 



   Le procédé peut aussi être réalisé dans un convertie-   s eur   Bessemer, un four Martin, un four électrique ou tout autre four approprié pourvu ou non de récupérateurs, 
On remarquera que le procédé décrit en dernier lieu est très souple quant au choix du rapportdes mitrailles au fer fondu, ce qui permet de profiter du cours prévalant des mi- trailles ou du fer. D'autre part la consommation de combustible pour la production d'un acier Martin est considérablement ré- duite, 
Dans l'un ou l'autre des procédés ci-dessus, les mé- langes oxygène-azote peuvent être préchauffés avec ou sans l'ap- point de la'chaleur perdue des gaz dégagés au cours de la ré- action principale. Par ailleurs, ou en même temps, le métal brut peut être préchauffé.

   L'opération peut être exécutée dans un four à arc électrique ou un four à induction, le métal brut étant préchauffé électriquement, auquel cas -   .en   complément du soufflage - l'acier peut être achevé par un   cnauffage   sous un laitier   désoxydant.   Par ce procédé, on peut   @@tenir   des aciers ordinaires et au carbone de même qualité que les aciers électri- ques., , 

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 La chaleur peut également être engendrée par des ad- ditions convenables soit au jet soit au métal. 
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  Ainsi on peut insuffler avec e jet, ou par a'autres moyens, comme par exemple une admission de gaz séparée, un 31é- ment facilement oxydable (métal ou alliage), c'est-à.-dire un la- . ment qui possède une grande chetleur d'oxydation, CO;1LÜ,:;; le carbone, le silicium, l'aluminium, le calcium, le magnêsiut.i ou ua,utxea métaux ou alliages. Le 'out dans ce cas est d'augmenter la tempé- rature localement là où 1 jet frappe le bdin de faon à provo- quer plus rapidement Inaction oxydante. Ces nitlér>s sont de pré- férence ajoutécs à un état finement czivisé, par exemple sou'3 forme de tournures broyées ou de poudre* Ces .Additions peuvent, si on la désire, être introuuites deins 1 bwin autrement qut.t.aojrezl du jet. 



  D'autre part, on peut insuffler ild.'3 le 1<iàtai, 3imulta- némant avec le jet, un combustiuls 6d.Z-UX ou liquide, tel que le gaz de fours à coke, le b z âe gazogène, le gctz pauvre, l'huile ou le goudron. Le gaz ou liquide additionnel (loi être due telle meiniëre qu'il brûle dvec une certaine lIdXti8 de 11oxy:;è110 provenant du jet de manière à augmenter 10.. tei<ipà.;at1c-#.w 10c;,le.llent. 



  Dans l'un ou l'autre des deux cas mentionnes du dernier lieu on peut atteindre ues t'3..,?éra.tures plu.= élevées, ou 01.:'11 lea additions de mitrailles p-:uvent se f<.11l,3 0n ,UldSS0, pir ex ,,)arée.9 ou d'une façon continue, penàant l'opération de D u-fi &c. 



  Ou encore, on peut fondre les tournures Q t dcier dans un cubilot ou autre four, en contact avec des matières caloonées, et y insuffler ultérieurement le jet, le carbone absorbe Ud':'!S le cu- bilot ou autre four étant utilisé comme combustible pendant le soufflage du 8 t . , Le jet peut être tel qu'il t'ouâni3se un excès d'oxygène, de telle sorte qu'il brûle l'oxyde de carbone engendré par 1 roxy- 
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 dation du carbone et le transforme en anhydride de carbone sur 
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 n 

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 la surface du laitier ou du métal en produisant ainsi une chaleur additionnelle qui peut être utilisée pour fondre une plus grande quantité de mitrailles d'acier.

   On peut arriver à ce résultat en réglant l'angle ou la vitesse du jet de manière que la totalité du mélange oxygène-azote ne pénètre pas dans le métal,   l'oxygène   en excès ou "réfléchi" servant à brûler l'oxyde de carbone libéré. 



   Des fondants, tels que la chaux, la castine, le spath- fluor, l'alumine et la silice, peuvent être ajoutés dans le but de former un laitier pour enlever ou neutraliser la silice, le pentoxyde de phosphore, et tout autre produit de l'opération doxy- dation. On peut aussi appliquer le procédé -qui consiste à préparer un laitier initial pour éliminer la silice et l'oxyde de   manga-   nèse, les oxydes de titanium ou de vanadium, à enlever le laitier . et à préparer ensuite un second laitier pour éliminer le   phospho-   re. Une double formation   de   laitier peut également être provoquée      pour obtenir des aciersà basse teneur en phosphore ou soufre. 



   On peut préparer les laitiers au préalable si on le dé- sire. 



   Dans chacun de ces cas, l'oxygène du jet réagit non seu- lement avec les éléments constitutifs du métal mais aussi avec le latier, en augmentant ainsi la teneur en oxygène de ce dernier et par conséquent les réactions oxydantes d'une façon générale. 



   Le jet est établi sous un angle quelconque entre 15  et 90  par rapport à l'horizontale, mais de préférence entre 30  et 75  tandis que la distance du jet au métal et/ou au laitier doit être comprise entre 1 et 20 pouces, de préférence entre 4 et 12 pouces. 



   A mesure que le volume de laitier et de étal augmente celui-ci par l'addition de mitrailles - le niveau du métal chan- ge et on rend le jet ajustable de   faon   qu'il puisée être mainte- nu à une distance plus ou moins constante da bain métallique. 



    A   

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La section du jet peut ne pas 'être circulaire et avoir par exemple une forme rectangulaire ou aplatie si  c'est   nécessaire. 



   Le jet peut être   prêtée   contre les éclaooussures ou   l'écume   du laitier ou du   métal,   au   moyeu   d'un tube en   métal   réfrac- taire ou par un revêtement réfactaire plastique. La tuyère et le tube sont de   préférence   exécutés en une substance susceptible de résister à l'oxydation, qui peut être un métal pu une   te@re   ré-   fractaire.   



     Plusieurs   jets convenablement situés dans le four peuvent être employés   simultanément,   et si on le   désire   chacun   d'eux   peut être   animé d'un     mouvement    vibratoire   oe   manière   à couvrir une plus large surface du bain. 



     La   jet sert à faire circuler et agiter le métal et le laitier, ce qui est utile si des éléments   d'alliages   tels que le nickel ou le molybdène doivent être ajoutés, et il assure l'unifor- mité de la composition et de la   température   dans tout le bain. 



   Le procédé peut -être appliqué à   l'affinage   de   métaux   autres que le fer, par   exemple   aux   mélanges   employés pour le souf-   flage   des bains de sulfures en fusion, qu'on appelle mattes, tels que les sulfures de cuivre/fei ou les sulfures de cuivre/nickel/fer, où les principales impuretés à éliminer sont le fer et le soufre. 



   Le procédé de soufflage au jet décrit   ci-dessus   peut être   employé     conjointement   avec d'autres procédés d'élaboration de 1'a- cier ou d'affinage connus. Par exemple le jet peut être employé pour fondre ou réchauffer du Métal brut et le procédé Martin ou le procédé Bessemer, acide ou basique, peuvent être utilisés pour ache. ver l'affinage du métal.   D'autre   part, le procédé Martin ou le procédé Bessemer, acide ou basique, peuvent être employés pour réchauffer le métal, après quoi le jet est employé pour affiner le métal. Dans le cas du procédé Martin, le traitement du   métal   peut être achevé en   retirant   le jet et en employant de nouveau la procé- dé Martin. 

 <Desc/Clms Page number 15> 

 



   Ou encore, on peutappliquer le procédé électrique nor- mal pour fondre la charge, après quoi des jets oxydants à grande vitesse sont insufflés dans le métal, pour effectuer les'prin-   ci;pales   opérations d'affinage, puis on peut procéder à la désoxy- dation et à la désulfuration de la manière normale au four élec- trique. 



   La présente invention peut être employée dans son appli- càtion au four Martin normal, non pas'tant en vue d'améliorer la qualité de l'acier que dans le but de rendre le procédé moins   coû-   teux. Ainsi le temps que prend l'opération ae conversion au four Martin peut être réduit dans des proportions très notables par ltintroduction à travers les portes de chargement ou à .travers la paroi arrière du four de jets à grande vitesse qui projettent un gaz oxydant dans le bain   métallique   pendant   Inexécution   du procédé Martin normal. 



   Dans les'revendications   c-aprs,   1à où il est ques- tion de projection d'un jet de fluide sur du métal en fusion, cette expression doit être considérée comme s'étendant au cas où le jet frappe en.réalité le laitier à la.surface du métal fondu et agit sur le métal en passant au travers du laitier et en at- teignant le métal, et/ou en renouvelant le laitier de manière régénérer ou augmenter son pouvoir d'agir sur le métal. 

**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.

Claims (1)

  1. REVENDICATIONS EMI15.1 --------------------------- 1.- Procédé pour l'affinage de métal en fusion par pro- jection d'un fluide oxydant dans le métal à une vitesse telle qu'une proportion suffisante du fluide pénètre dans le métal pour y réagir avec les impuretés oxyda;ales du métal et les éliminer, caractérisé en ce que le fluide employé ne contient pas plus de EMI15.2 30 % d'azote et une proportion dtoxygène comprise entre ?0 µÉ et 98 % <Desc/Clms Page number 16> 2.- Procédé suivant la revendication 1, caractérisé en ce que le fluide oxydant est un mélange liquide comportant prin- cipalement de l'oxygène et de l'azote.
    3.- Procédé suivant la revendication 1, caractérisé en ce que le fluide oxydant est projeté sur la surface du bain de métal à affiner, par une tuyère située à certaine distance au- dessus du métal.
    4.- Procédé suivant la revendication 1, caractérisé en ce que le fluide est projeté dans le métal à une vitesse qui n'est pas inférieure à 1250 pieds par seconde.
    5.- Procédé suivant la revendication 1, caractérisé en ce que le métal est d'abord traité par un fluide oxydant conte- nant plus de 30 % d'azote et L'AFFINAGE est achevé à l'aide d'un fluide qui ne contient pas plus de 30 d'azote et une quantité d'oxygène comprise entre 70 % et 98 %.
    6.- Procédé suivant la revendication l, caractérisé en ce qu'une substance génératrice de chaleur.telle qu'une matière carbonée est ajoutée au métal avant ou pendant que le fluide oxy- dant est projeté dans ie métal.
    7.- Procédé suivant la revendication 4, caractérisé en ce que au carbone provenant d'une tige de matière carbonée immer- gée dans le métal est ajouté à celui-ci avant la fin de l'affinage.
    8.- Procédé suivant la revendication 1, caractérisé'en ce que le fluide oxydant est utilisé comme véhicule pour amener une substance génératrice de chaleur, telle qu'une matière carbonée, dans le bain.
    9.- Procédé suivant la revendication l, caractérisé en ce que des mitrailles de métal sont ajoutées au métal pendant le soufflage.
    10.- Procédé suivant la revendication 1, caractérisé en ce que le métal dans lequel on effectue le soufflage consiste 'en <Desc/Clms Page number 17> mitrailles d'acier fondues dans un cubilot de manière à absorber du carbone,, ou contient des mitrailles d'acier ainsi traitées.
    11.- Procédé suivant la revendication l, caractérisé en ce que l'affinage est effectué dans un convertisseur Bessemer.
    12.- Procédé pour l'affinage de métal fondu, caractérisé en ce que le métal est soumis à un soufflage préliminaire dans un convertisseur Bessemer de la manière connue et est ensuite soumis au soufflage suivant la revendication 1.
    13.- Procédé pour l'affinage de métaux en fusion, ca- ractérisé en ce que le métal est soumis au soufflage dans un con- vertisseui Bessemer jusqu'à ce que la majeure partie du phosphore soit éliminée, après quoi le laitier est enlevé, une nouvelle quantité de carbone et ensuite de la cnaux sont ajoutées, et le métal est affiné suivant la revendication 1.
    14. - Procédé suivant la revendication 1, caractérisé en ce que le métal est affiné par le procédé normal au four Martin modifié.par l'addition d'un ou de plusieurs jets d'un fluide oxy- dant qu'on projette dans le métal à l'intérieur au four de manière augmenter la vitesse de l'affinage.
    - 15.- Procédé suivant la revendication 1, caractérisé en ce que le.procédé d'affinage est exécuté dans un four électrique et que le traitement du métal est 'achevé sous un laitier avec application d'un chauffage électrique.
    16.- Procédé suivant la revendication l, caractérisé en ce que le soufflage est effectué d'une manière réversible, comme au four Martin, dans un four ayant une tuyère de soufflage et un récupérateur à chaque extrémité.
    17.- Procédé suivant la revendication l, caractérisé en ce que les métaux affinés sont des alliages¯de cuivre ou de cuivre- nickel, obtenus par fusion de mélanges de sulfures.
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Cited By (1)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
US2580614A (en) * 1947-02-15 1952-01-01 Air Reduction Manufacture of open-hearth steel

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* Cited by examiner, † Cited by third party
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