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"Perfectionnements apportés flux allumeurs en forme de "tisonnier".
L'invention' est relative à des allumeurs en forme de"tisonnier" pour allumer desfeux de chrbon ou analogue et elle a pour but de rendre ces dispositifs tels qu'ils soient très efficaces, utiles et propres.
Elle consiste, surtout, à agencer de manière te@ le les allumeurs du genre en(.question qu'ils puissent être, amenés à l'état incandescent à l'aide d'un courant éléctri- que approprié en comportant une résistance électrique ap- propriée (qui peut être recouverte d'un isolant) et nui esi logée ,dans une pièce, en une matière réfractaire, telle que de la terre réfractaire logée, à son tour, dans un ;
tube en un métal approprié, ce tube étant courbé suivant toute forme appropriée, les deux evtrémités du tube métal-, @ lique étant mon-
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tocs sur une poignée en une matière isolante et les deux extrémités du fil résistant étant connectées à des conduc- teurs isolés entre-eux et traversant la poignée isolante pour pouvoir être raccordés, par une prise de courant ap- propriée, à une installation électrique. Si on le désire, un fusible remplaçablepeut être intercale en un point ap- proprié du circuit.
Quand on se sertdu dispositif, on introduit lE! partie du tube, qui se trouve au-delà de la poignée, dans la heuille, le charbon, le colza ou analogue se trou- vant sur une grille, au besoin en se servant de l'appareil cornue d'un tisonnier, après quoi on raccorde la prise d.e courant et on fait passer le courant. Après peu de temps, la résistance chauffe l'allumeur et le tube métallique de- . vient incandescent.
On comprend aisément, lorsqu'on laisse le tisonnier en place pendent une courte période, qu'on obtienne l'allumage du :L'eu, Le circuit peut ensuite être interrompu etle tisonnier enlevé, l'enlèvement pouvant être retardé, si on le désire, jusqu'à ce que l'appareil cessed'être incandescent.
Il est évident que le tisonnier peut être réali- sé sous diverses formes différentes, mais pour la plupart , des méthodes, convenant à la'mise en oeuvre de l'invention, on constitue le tube métallique extérieur en acier doux et on lui donne un diamètre et une épaisseur convenables. Ce tube entoure une pièce, en une matière réfractaire ordi- naire, telle que de¯la terre réfractaire ou analogue, qui est elle-même tubulaire ou dans laquelle est enrobée un élément chauffant (fig enroulé en hélice) de manière que cet élément ne soit pas en contact avec le tube métallique extérieur.
Les deux extrémités du tube sont engagées dans une extrémité d'une poignée, en une matière isolante, et dont d'untre extrémité livre passade à des fils, par exem- - 2 -
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ple un cordon ordinaire, qui peuvent être connectés par une prise de courent appropriée à une instruction domestique.
Les deux-extrémités du tube métallique sont écnrtées de la distance voulue et au voisinage de la poignée, elles sortent parallèlement de celle-ci suivant des parties droites qui peuvent être entourées de manchons en une matière isolante pour l'électricité et/ou réfractaire.
Au delà de ces parties droites, Les deux parties tubulaires peuvent.être droites ou elles peuvent être cour- bées, tout en restant sensiblement parallèles et dans un même plan, pour recevoir toute forme appropriée pour cons- tituer la partie "utile" de 1-'allumeur.
Ainsi, par exemple, on peut adapter une forme 'en spirale dont les spires deviennent de plus en plus pe- tites alors que les tubes sont réunis, à la partie centra- le, par une partie courbée en S et de faible longueur. En réalité cette dernière partie courbée forme un double cou- de faisant partie intégrante d'un même tube à deux brancher
Le dessin ci-annexé montre, à titre d'exemple, un mode de réalisation de l'invention.
Les figs.l et 2 montrent, respectivement 'en élé-' vation (parties arrachées) et en vue de côté, un allumeur en forme de tisonnier électrique, établi selon l'invention.
A la partie supérieure de la fig.2 on a montré un tube en acier doux (replié sur lui-même) et recourbé en double spirale et dont les extrémités internes sont reliées entre-elles, l'ensemble affectant la,forme qu'on adopte parfoispour desplaques chauffantes, deschauffe-plats ou analogues. L'ensemble se termine par deux branches rectili- gnes 3 et 4 serrées dans une bague 5 à laquelle est fixée un manche tubulaire 6 de longueur voulue.
Dans le manche creux et dans le passage axial d'une poignée 7, montée sur celui-ci, sont logées des ron--
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délies isol-ntes et tronconiques entourant un cordon fle- xible à trois fils, un aboutissant à la branche 3, un au- tre àle bronche 4 et l'autre étant relié à la terre. Dans le tube en acier doux est logé, de la manière usuelle, un élément chauffant 11, constitué par un fil enroulé en hé- lice, et dont une partie est montrée sur la fig.l, ce fil étant enrobé dans de l'argile réfractaire et isolant de manière à être isolé par rapport aux parois métalliques du tube extérieur. Ceci correspond à la constitution or- dinqire de certains appareils chauffants.
La poignée 7 est prolongée par un manchon 8 en une matière isolante et portant une gaine protectrice et flexible 9, en caoutchouc, et dans laquelle passe le cor- don 10 à fils multiples. Ce dernier se termine par une rise de courant ou analogue (non montrée) à l'aide de laquelle il peut être connecté à une installation électri- que domestique. Le troisième fil du cordon 10 est relié 4 le terre et est connecté à l'intérieur du manchon de serrage 5 (en métal) comme indiqué en 12 sur la fig.l.
Pour se servir de l'appareil, on pose la partie 13 constituée par le tube métallique recourbé en double spirale et contenant l'élément chauffant 11 et oui forme un ensemble plat et en forme de grille, sur la couche vou-, lue (le charbon menu, de coke ou tout autre combustible qui se trouve dans un foyer. On recouvre la face supérieure de la grille 13 d'une autre couche de charbon menu ou ana- logue et on branche l'appareil sur le réseau. On se rend aisément compte de quelle manière on obtient, en peu de temps, l'allumage du charbon à l'aide de la grille incan- descente.
Le courant est ensuite interrompu et la grille peut être dégagée hors du foyer à l'aide de la poignée 7 laquelle, bien entendu, est restée à l'extérieur de ce- lui-ci. @
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Four d'autres modes.de réalisation de l'inven- tion, on peut recourber le tube de manière qu'il se trouve' dans un plan et que sa partie avant ait une forme en pointe ce qui facilite son introduction, par poussée, dans une masse de 'charbon contenue dans un foyer. A cet effet on peut, par exemple, donner à l'appareil la forme d'une pel- le plate et légèrement pointue.
De même on peut, si on le désire, remplacer la grille plane par une pièce de forme concave ou convexe, afin que, lorsque sa face supérieure est concave, on puis- se déposer sur celle-ci une certaine quantité de charbon menu. En outre, sous une forme simple, le tisonnier peut @ comporter un tube métalliaue avec une seule boucle, éta- blie dans le prolongement de la poignée, les parties la- térales de la boucle étant parallèlesou non en étant,par exemple, en zig-zag ou de forme ondulée.
Comme il va de'soi et comme il résulte déjà de ce qui précède, l'invention ne se limite, aucunement, à celui de ses modes d'application non plus qu'à ceux des modes de réalisation de ses diverses parties, ayant été plus spécialement indiqués ; en embrasse,au contraire, toutes les variantes.
REVENDICATIONS.
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