BE452161A - - Google Patents

Description

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  Construction en béton armé à ossature et panneaux de remplissage. 



   Le système actuel de construction en béton armé à ossature et mur de remplissage présente de nombreux inconvénients parmi lesquels on peut citer les suivants :
L'établissement de l'ossature en béton armé nécessite l'établissement préalable de coffrages pour couler les piliers, les chaînages, les planchers, les fermes, etc. Cela nécessite des dépenses importantes de bois de coffrage et de main-d'oeuvre spécialisée et beaucoup de temps. 



   Lorsque l'ossature est sur pied, on en remplit les vides par des murs de remplissage qui constituent une charge pour cette ossature sans lui apporter aucun élément de solidité et que, pour cette raison, on réalise aussi légers que possible, par exemple en une seule épaisseur de briques. Ces cloisons, peu épaisses et mal reliées à leur encadrement, sont une cause de mauvais isolement de l'immeuble contre l'humidité, les variations de température et les bruits. 



   La présente invention a pour objet de supprimer ces inconvénients. 



   La nouvelle construction est caractérisée par la fait que les murs sont constitués au moyen de deux parois en panneaux en béton armé munis sur leurs faces intérieures de nervures disposées de telle façon qu'en opposant- ces faces intérieures de deux panneaux, ces nervures forment des coffrages perdus renfermant l'ossature de la cons- 

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 truction, ce qui permet de réaliser en construction monolithe a ossature, par exemple, des murs d'extérieur ou ae refend, des cloisons, des planchers, des plafonds, des escaliers, des toitures. 



   Ces panneaux de mur a   nervures-coffrages   entièrement terminés en usine, avec leur enduit, permettent de bâtir rapidement et éconoiniquement avec peu de main-d'oeuvre spécialisée. Les extrémités des fers de l'armature des panneaux, laissées en attente dans les nervures-coffrages étant noyées dans l'ossature, les panneaux sent solidement liés aux éléments d'ossature qui les encadrent et ils deviennent pour celle-ci une cause de renforcement. Les murs creux bien liés à l'ossature sont à la fois hydrofuges et isolants   pour   la chaleur et pour le son. titre d'exemples, on a décrit ci-dessous et représenté aux dessins annexés diverses formes de réalisation d'une telle construction. 



   La figure 1 représente une coupe horizontale de mur,
La figure 2, une vue intérieure d'un panneau de mur,
La figure 3, une coupe verticale de ce panneau par le plan IIIIII de la figure 2,
La figure 4, une vue perspective de mur en construction,
La figure 5, un système de panneau à coffrage de largeur régla ble,
Les figures 6 et 7, deux systèmes de piliers-corniers,
Les figures 8 et 9 montrent la liaison horizontale des piliers verticaux de l'ossature,
La figure 10, un panneau pour ossature de poutre cachée pour linteaux et pour fermes,
La figure 11, un assemblage de panneaux pour plafonds et planchers,
La figure 12, un assemblage semblable pour escalier,
Les figures 13 à 16, des panneaux de toiture et leur assemblage. 



   Suivant la figure 1, une paroi du mur est constituée par une série de panneaux de béton armé   1,,3,   munis à chacune de leurs extrémités d'une nervure verticale 4 et b et en leur milieu de deux nervures verticales 6, 7. La deuxième paroi du mur est constituée par des panneaux semblables 8,9,10 munis des mêmes nervures et placés de 

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 façon à affronter entre elles les nervures des deux parois, on forme ainsi aux extrémités latérales de chaque panneau et en son milieu des coffrages perdus 11,12,13, dans lesquels on fonde les piliers de l'ossature. Les extrémités des fers de l'armature des panneaux 14, 15 font saillie dans les coffrages perdus des extrémités du panneau et sont noyées dans le béton au moment de la coulée des piliers.

   On obtient ainsi une construction monolithe formée de piliers contreventés par des caissons en béton armé, ce qui réalise un ensemble d'une grande robustesse et dans lequel le vide des murs constitue un dispositif d'isolement efficace contre les variations de température et le bruit. 



   La vue de la face intérieure du panneau   (fig.2)   et la coupe de ce panneau   (fig.3)   montrent qu'en plus des nervures verticales 4,5, 6 et 7 déjà indiquées sur la figure 1, qui forment coffrage perdu, un système de nervures horizontal 16,17,18 contribue à la solidité du panneau et à la tenue des nervures de coffrage pendant les transports des panneaux et pendant la coulée du béton dans les piliers. 



  Ces nervures sont échancrées en 19   (fig.l),   de façon à faciliter la circulation de l'air à l'intérieur du mur pour le rendre hydrofuge. 



  En outre, dans les espaces compris entre les nervures verticales et les nervures horizontales, le panneau est pourvu d'un quadrillage de petites nervures de raidissement telles que 20 et 21. Les barres horizontales de l'armature du panneau dont les extrémités 14, 15 font saillie dans les coffrages perdus sont en principe placées à hauteur des nervures principales horizontales. L'armature est complétée en cas de besoin par un quadrillage de fers de faible diamètre ou par du métal déployé. 



   Les bords horizontaux des panneaux sont munis de gorges 22 permettant d'établir facilement des joints en mortier. 



   La face extérieure du panneau comporte l'enduit définitif : ciment, plâtre, etc.. de sorte que les panneaux une fois assemblés, il suffit de faire des raccords pour avoir un mur entièrement termina et qui est rapidement sec. 



   La figure 4 montre en perspective la construction d'un mur. on remarque que les panneaux des assises successives peuvent être déca- 

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 lés comme dans un appareillage de pierres de taille. Les piliers des extrémités des panneaux d'une assise correspondent à ceux au milieu des panneaux de l'assise supérieure. 



   Dans le système de panneau qui vient d'être décrit, les piliers ont une section constante. c'est au moment du moulage des panneaux qu'il convient donc de déterminer l'écartement et la profondeur des nervures suivant les nécessités de la construction a laquelle ils sont destinés. Cela constitue un empêchement à la construction en série. 



   La figure 5 montre un système de mur a piliers de largeur réglable qui permet l'emploi de panneaux standards. Il est constitué au moyen de panneaux 23 et   24   munis   intérieurement   d'une seule nervure verticale a une extrémité (nervure 25 pour le panneau 24).   A   son autre extrémité sont prévus an certain nombre de crans tels que 26 pour recevoir la nervure 27 du panneau 23 qui lui fait face sur l'autre paroi. 



   Ainsi, les panneaux 23 et 24 peuvent être plus ou moins décalés dans le sens horizontal de façon à   augmenter   ou à diminuer la distance entre une nervure 27 d'un panneau 23 et la nervure 28 du panneau opposé voisin 29. On détermine ainsi à   1'extrémité   de chaque couple de panneaux 23,24 avec l'extrémité du couple de panneaux voisins 29, 30, un coffrage perdu 31 de largeur variable à volonté et d'épaisseur constante. Un tel panneau pourrait avoir en plus une autre nervure vers son milieu. 



   On poarra utiliser ce panneau standard pour établir soit dans une même construction, des parties ayant des efforts différents à supporter, soit dans des constructions différentes plus ou moins légères des piliers ayant la section voulue pour les efforts qui leur sont appliqués. 



   L'établissement de piliers-corniers dans les angles des constructions sera particulièrement facile. 



   Par exemple, suivant la figure 6, le mur formé par le panneau extérieur 32 ayant une nervure 33 à une certaine distance de son extrémité 34 et le panneau opposé 35 ayant son extrémité en 36 a peine plus loin que la nervure 33, sera coupé perpendiculairement. par un 

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 mur analogue formé par les panneaux 37,38 dont 1 etté 39 et la nervure 40 formeront dans le coin de la construction avec l'extrémité 34 et la nervure 33 un coffrage perdu 41 dans lequel on coulera le pilier-cornier en béton armé. 



   Suivant la figure 7, les deux murs d'angle sont formés respectivement d'une part des deux panneaux 42-43 portant les nervures 44-45, d'autre part, par les deux panneaux 46-47 portant les nervures 48-49. 



  Les deux panneaux intérieurs 43 et 47 sont réunis par une pièce en croix 50,51, qui s'appuie sur les extrémités des panneaux intérieurs 43-37. En outre, la liaison est assurée par une pièce d'angle 52. On voit que les deux grands bras 50-51 de la pièce en croix viennent fermer les coffrages 53-54 dans lesquels on bâtira les piliers-corniera solidaires de chacun des murs et solidarisés entre eux par des armatures telles que 55 qui s'étendent d'un pilier dans l'autre. Le coffrage de coin 56 peut être occupé par un tuyau de descente en grès ou en fibro-ciment. 



   Les liaisons horizontales de la construction peuvent être établies par 'des chaînages organisés comme il est indiqué aux figures 8 et 9. 



   Les piliers 57 établis dans le mur à double paroi 58-59 se croisent avec un chaînage apparent 60 ou caché à l'intérieur du mur 61. 



  Ce chaînage est constitué par une sorte de rigole longitudinale pourvue à sa face inférieure de trous pour le passage des fers des piliers et recevant à son intérieur une armature de fer horizontale et du béton. C'est sur ce chaînage que reposent, entre les piliers, les poutres 62 qui supportent le plancher 63. 



   Les linteaux peuvent être constitués par une ossature en treillis de béton armé coulée dans des panneaux spéciaux tels que celui représenté schématiquement en fig.10, en vue de l'intérieur. Ce panneau, entre les coffrages-nervures pour piliers verticaux précédemment indiqué tels que 64-65-66, comporte également des coffrages-nervures diagonaux tels que 67-68 et horizontaux tels que 69-70 qui font communiquer les premiers entre eux. Ainsi, les piliers établis dans les coffrages 64-65-66 seront.contreventés par des liaisons de béton armé établies suivant les diagonales 67-68 et suivant les horizontales 69- 70. 

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   Ces panneaux spéciaux servent également a établir des poutres dissimulées dans les cloisons   -Lorsqu'il   n'exista pas de mur portant à l'étape inférieur ou Gans   les   cloisons des combles pour constituer des fermes cachées. 



   Suivant la figure 11, un plafond est constitué par des panneaux de plafond 71-72 portant a leurs extrémités des nervures 73 qui, par leur rapprochement avec les nervures 74 .les panneaux voisins, forment une rigole ouverte 75 à section médiane rétrécie. on met ces panneaux en place en les   soutenant   par des pianches et par des étais puis, ayant disposé à l'intérieur aes gouttières 75 des barres a'acier qui se prolongent au-dessus du chaînage horizontal aestiné à supporter le plafond, on coule le   bétoa   dans ces rigoles, On forme ainsi une séria de solives qui supportent le plafond. 



   Des nervures de renforcement 76 sont prévues   coolie   en 19   (fig.l)   pour raidir le panneau. 



   Suivant la même figure 11, le plancher sera établi sur des solives en beton armé préparées à l'avance ou des solives en fer 77 reposant sur le chaînage horizontal, en principe par   1' intermédiaire   d'un matériau élastique pour empêcher la transmission des viorations du plancher au plafond. Sur ces solives 77, on posera des dalles 78 en béton armé formant le plancher, ces dalles sont raidies par des nervures qui étrésillonnent les solives. 



   Dans le cas où le plancher et le plafond sont légers, les solives de plafond 75 peuvent servir de support au plancher 78. La hauteur des nervures 73-74 sera alors plus grande,   héan@eins   l'épaisseur de l'ensemble se trouvera réduite ; toutefois, son isolation sera moins bonne et il faudra maintenir en place plus longtemps les étais de plafond. 



   Suivant la figure 12, montrant en coupe un escalier, celui-ci est organisé comme l'ensemble plafond-plancher de la figure 11. Des panneaux de plafond 79, analogues aux panneaux 71 et 72 de la figure 11, comportant des nervures semblables, constituent le dessous d'escalier. Des crémaillères en béton armé 80, préparées d'avance, correspondent aux solives 77 du plancher. Enfin, des marches 81 et des contre-marches 82 correspondent aux dalles de plancher. 

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   La réalisation d'une toiture suivant cette nouvelle construction est représentée en figures 13 à 16. Un panneau de toiture 83 comporte à sa partie supérieure une gouttière intérieure 84 dans laquelle vient s'emboîter l'une des lèvres de la dalle supérieure 85, tandis qu'elle-même comporte à sa partie inférieure une double lèvre 86 pour venir s'emboîter sur le bord de la dalle suivante. sur ses côtés, la dalle comporte deux nervures en forme d'L, 87, 88, tournées vers l'extrémité. Dans ces nervures, dirigées suivant les lignes de plus grande pente, on coule les pièces prismatiques en béton armé qui formeront les chevrons de la toiture s'appuyant sur les pannes horizontales en béton armé coulées dans les gouttières 84.

   Comme dans tous les panneaux déjà décrits, on prévoit des nervures de raidissement 89 et les extrémités des fers de l'armature des panneaux 90 sont noyées dans l'ossature de la toiture. 



   Le faite du toit sera formé par. un panneau angulaire 91 prenant son appui sur les deux panneaux inférieurs. Le panneau situé au bord du toit pourra porter une gouttière 92 en béton armé. 



   Dans le cas   où   la toiture comporterait une croupe, les panneaux de croupe (fig.15) seront constitués par des dièdres 93 munis, comme les panneaux 83, à leur partie supérieure, d'une   gouttière   84 et, sur leurs côtés, disposés suivant des lignes de plus grande pente, de nervures formant coffrages perdus, 87-88, pour l'établissement des chevrons servant à supporter les dits panneaux en s'appuyant   eux-mê-   mes sur les pannes établies dans les gouttières   84.   



   REVENDICATIONS. 

**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.

Claims (1)

1. 1. Construction en béton armé comportant une ossature et des murs de remplissage, caractérisée par le fait que les murs sont constitués au moyen de deux parois en panneaux en béton armé munis sur leurs faces intérieures de nervures disposées de telle façon qu'en opposant ces faces intérieures de deux panneaux, ces nervures forment des coffrages perdus renfermant l'ossature de la construction, ce qui permet de réaliser en construction monolithe, à ossature, par exemple, des murs d'extérieur ou de refend, des cloisons, des planchers et des plafonds, des escaliers, des toitures. <Desc/Clms Page number 8>

   2. Construction suivant revendication 1, caractérisée en ce qu'une paroi double, par exemple de mur, est constituée par deux jeux de panneaux en béton armé formant des rectangles à grands côtés horizontaux munis chacun, vers l'intérieur du mur, à une certaine distance de chacune de leurs extrémités, d'une nervure verticale en I et en leur milieu, de deux nervures verticales en I relativement rapprochées, les nervures correspondantes de deux panneaux, affrontés par leurs nervures et des panneaux voisins délimitant, aux extrémités et au milieu de chaque panneau, les coffrages formés de piliers, par exemple rectangulaires, les fers d'armature des panneaux ayant leurs extrémités libres en forme de crochet qui viennent se noyer dans les piliers des extrémités des panneaux,

   des nervures de raidissement contreventant les nervures-coffrages et renforçant le panneau, les bords de panneaux horizontaux étant munis d'une gorge de joint, les panneaux de la face extérieure de ce mur creux monolitne à ossature intérieure pouvant être decalés Horizontalement d'une assise à l'autre.

   3. Construction suivant revendications 1 et 2, caractérisée en ce qu'une paroi double à piliers de largeur réglable est constituée par deux jeux de panneaux ayant chacun, soit une seule nervure à une certaine distance d'une extrémité, soit en plus une autre nervure vers son milieu, deux de ces panneaux étant opposés l'un à l'autre, en position tête-bêche avec un décalage plus ou moins accentué pour le réglage duquel des crans sont prévus à l'extrémité sans nervure du panneau pour recevoir la nervure du panneau opposé.

   4. Construction suivant revendications 1 à 3, caractérisée en ce qu'un pilier-cornier est constitué dans le coffrage formé par le rapprochement à angle droit de deux murs dont les panneaux extérieurs d'extrémité décalés par rapport aux panneaux intérieurs ont chacun une nervure vers leur extrémité.

   5. Construction suivant revendications 1 à 4, caractérisée en ce qu'un double pilier-cornier creux pour tuyau de descente est constitué par deux jeux de panneaux placés angulairement qui sont réunis par une pièce en croix et par une pièce d'angle pour former les coffrages de deux piliers terminant respectivement chacun des murs. <Desc/Clms Page number 9>

   6. Construction suivant revendications 1 à 5, caractérisée en ce que les chaînages horizontaux sont constitués par des rigoles en bé- ton armé posées sur les sommets, des piliers et percées de trous pour le passage des fers des piliers.

   7. Construction suivant revendications 1 à 6, caractérisée en ce que les linteaux, les fermes et, d'une façon générale, les poutres qui peuvent être dissimulées dans les murs et cloisons sont constitués par des files de panneaux spéciaux dont les nervures-coffrages de piliers sont contreventés par un treillis de nervures-coffrages qui les font communiquer et dans lesquelles on coule, en même temps que dans les piliers, l'ossature de ces linteaux, fermes et poutres.

   8. Construction suivant revendications 1 à 7, caractérisée en ce qu'un plafond est constitué par des panneaux dont la face supérieure est munie près de chacun des bords opposés d'une nervure-coffrage, deux nervures voisines formant un coffrage ouvert à section médiane rétrécie dans lequel sont disposés les fers horizontaux et le béton formant les solives cachées supportant. le plafond.

   9. Construction suivant revendications 1 à 8, caractérisée en ce qu'un plancher est constitué par des solives sur lesquelles sont posées jointivement des dalles armées comportant des nervures de raidissement et de contreventement.

   10. Construction suivant revendications 1, 8 et. 9, caractérisée en ce que les solives de support du plafond portent également le plancher.

   11. Construction suivant revendications 1 à 10, caractérisée en ce qu'un escalier est constitué par des panneaux de dessous de marches analogues aux panneaux de plafond, avec des nervures entre lesquelles on coule une ossature-, par des crémaillères et par des marches et des contre-marches.

   12. Construction suivant revendications 1 à 11, caractérisée en ce que la toiture est constituée par des panneaux comme ceux d'une paroi de mur, dont les nervures-coffrages sur le bord supérieur et les bords latéraux sont recourbées en forme d'L de façon à constituer des coffrages servant, ceux des nervures supérieures pour couler les pannes qui s'appuient sur les fermes et ceux des nervures latérales pour couler les chevrons, le bord inférieur des panneaux comportant des lèvres qui s'emboîtent sur le bord supérieur du panneau inférieur, les panneaux de faite étant emboîtés de cette manière sur les deux panneaux inférieurs et les panneaux de croupes étant reliés aux panneaux adjacents, les panneaux du bord du toit pouvant comporter une gouttière en béton armé, -------------------------------------------