" Dispositif pour la réunion de morceaux de
films ".
Pour la production normale d'un endroit de collage dans
<EMI ID=1.1>
du film, la couche d'émulsion à Il'une des extrémités, du film. On enduisait ensuite dtunè, matière collante appropriée les surfaces à réunir, et on appliquait les extrémités l'une sur l'au-
<EMI ID=2.1>
semblage: entre les faces précédemment séparées est achevé(. Dans la réalisation de ce mode de procéder, on rencontre des inconvénients déterminés. C'est ainsi, par exemple, que le raclage de
<EMI ID=3.1> car dtune part la couche d'émulsion doit être enlevée complètement, et d'autre part la couche du support ne doit pas être affaiblie dans une mesure inadmissible. A la limite entre le film raclé et le film intact, il se produit, en tout cas', sous un effort de flexion, une gorge ou entaille, qui est agrandie encore davantage lorsque l'endroit de collage est terminé, car l'autre film est alors collé sur la partie raclée, de sorte que cette partie est relativement très rigide. De même que le raclage dépend de l'habilité personnelle du colleur, l'application de
la colle est aussi soumise à des variations qui expliquent la résistance variable des collages obtenus. Ces difficultés augmentent, lorsque les travaux doivent être effectués dans l'obscurité. Pour le film de nitrate de cellulose, tel qutil a été utilisé jusqu'à présent, ces inconvénients n'étaient pas si considérables que pour le film de sécurité de plus en plus adopté. Un autre inconvénient des endroits de collage actuels consiste
en ce qu'en plus de l'effet d'entaille ou de gorge, un défaut encore plus grave peut résulter du fait qu'il existe des arêtes, qui passent plus difficilement à travers les machines de traitement des films où elles peuvent ocoasionner des troubles. La solidité ne s'est pas montrée suffisante non plus dans les machines à développer.
On a adopté une série dtautres méthodes qui représentent l'idéal en ce sens qu'elles évitent tout épaississement, du fait qu'il existe un recouvrement oblique ou seulement très court,
qui est formé par application de solvants et de chaleur, de manière qu'il ne se produise aucun épaississement. Mais on a pu constater toujours que la résistance des liaisons de ce genre
est plus faible que celle de la matière du film, car de légers défauts d'homogénéité ne peuvent pas être évités. D'autre part, la couche d'émulsion ne se trouve pas liée, de sorte qu'il se produit aussi dans ce cas un certain effet d'entaille ou de. gorge.
Un autre moyen pour produire des liaisons consiste dans l'emploi de bandes auxiliaires. Ce procédé reçoit une application très générale, par exemple pour les courroies, les empaquetages, etc...'Son application est possible aussi pour les films et elle a été tentée déjà par l'interoalation d'une bande de celluloïd dépourvue de couche coulée, mais elle présente cependant certains inconvénients en ce sens qu'elle comporte deux endroits de collage qui sont une cause de dangers. Son avantage essentiel parait être que l'enlèvement de la couche d'émulsion n'est pas nécessaire, ce qui présente de l'importance en particulier dans l'obscurité. Mais ce procédé a pour inconvénient essentiel d'exiger des quantités relativement grandes de colle pour les deux endroits de collage.
Pendant l'évaporation, la matière se contracte à l'endroit de collage, ce qui peut occasionner une déformation qui devient d'autant plus accentuée que la colle a été appliquée d'une manière moins uniforme. La succession nécessitée par l'interoalation d'une bande auxiliaire en celluloïd pur dépourvu de couche coulée, à savoir : film pourvu de couche coulée - celluloïd dépourvu de couche coulée film pourvu de couche coulée, a aussi pour conséquence une surface instable autour de l'endroit de collage. On a effectué aussi d'une manière analogue des liaisons de films dans lesquelles une bande auxiliaire a été pressée, sous application,
de pression et de chaleur, sur les extrémités des films à relier. En ce cas, la forme de la bande peut être choisie de façon à suffire aux exigences du film sonore, du fait qu t elle passe de manière imperméable à la lumière, et de façon essentiellement oblique sur la partie perméable à la lumière; tous bruits
<EMI ID=4.1>
caniques, décrits plus haut, subsistent cependant entièrement.
Tous les défauts signa.lés ci-dessus des différents collages de films peuvent être évités par la production de liaisons de films décrite ci-après. La marche de la production sera décrite d'abord dans ses différentes opérations de travail :
1.- Les films à relier sont coupés de façon nette, ce qui peut être effectué entre deux trous de perforation, par exemple sur le trait de l'image.
2.- Les extrémités des films sont posées bout à bout l'une contre l'autre, sans qu'il reste un intervalle appréciable entre elles. Le côté de la couche se trouve alors en bas.
3.- La bande auxiliaire, dtune largeur de quelques millimètres seulement, est placée sur le joint de séparation, de façon qutelle se trouve en contact uniforme avec les deux films sur toute la largeur. Avant son application, la bande auxiliaire a été humectée avec un solvant ou un amollissant.
4.- Sur la bande est pressé un poinçon dont la conformation est appropriée aux besoins, ainsi qu'il sera décrit plus loin.
5.- La soudure est effectuée par le chauffage d'une partie du poinçon. De ce fait, la bande auxiliaire reçoit la forme d'une ondulation uniforme exempte de joint.
6.- Le poinçon est refroidi rapidement, puis soulevé.
7.- La matière superflue est enlevée par coupage.
8.- Le film est retiré du dispositif et il possède déjà alors une solidité complète.
<EMI ID=5.1>
nière décrite sont les suivants :
<EMI ID=6.1>
clage; il ne peut donc se produire aucune détérioration du support. La suppression de ce travail est particulièrement importante, s'il doit être effectué dans l'obscurité ou sous un faible éclairage.
2.) Le film est relié de nouveau exactement dans le joint de séparation sans perte dtune image.
<EMI ID=7.1>
de soudure est renforcé, de sorte qu'une solidité suffisante est obtenue. Cela est particulièrement important sous le rap-
<EMI ID=8.1>
résistance qui doit être assez grande pour qu'une flexion dans l'endroit de la soudure soit grandement évitée.
4.) Par la conformation donnée à la bande, un passage uniforme du film lisse à l'endroit de la soudure est obtenu. Toutes arêtes vives derrière lesquelles pourrait s'amasser de la saleté, ou qui pourrait accrocher lorsqu'elles passent par des projecteurs ou des tireuses, sont évitées. Un faux recouvrement, qui est possible avec des endroits de collage ordinaires, ne peut pas se produire.
5.) La bande auxiliaire peut être colorée, ce qui peut évidemment être remarqué lors de la projection. Pour la reproduction de tracés sonores, cette coloration peut cependant avoir
<EMI ID=9.1>
absorbe la lumière active. La bande auxiliaire agit alors comme. :
une partie d'un tracé sonore en échelons, et elle évite, par <EMI ID=10.1> lorant peut encore être utilisé pour l'identification, par exemple du producteur de l'endroit -de soudure. Les entreprises
de location ou de distribution de films pourraient facilement reconnaître l'insertion d'endroits de collage ordinaires, car l'imitation d'un endroit de soudure n'est guère possible. L'enlèvement de certaines parties peut ainsi être prouvé facilement. Une autre identification ou un autre repérage est-possible par
<EMI ID=11.1>
sage par des marques, des chiffres, etc....
<EMI ID=12.1>
possible d'humecter la bande auxiliaire avec un soLvant ou un amollissant ntentrant que difficilement en ébullition. L'application se trouve ainsi très facilitée et elle est particulièrement uniforme, ce qui est très important pour la propreté et
la bonne reproduction.
7.) Par l'emploi de la chaleur, Il est possible d'activer grandement la liaison. En même temps, il est possible d'utiliser un amollissant qui ne s'évapore pas très vite comme les autres glutinants et ne provoque pas par rétrécissement une déformation à l'endroit de la soudure. La détermination de l'effet thermique en intensité et en durée est facilement possible, si l'on utilise un chauffage électrique de faible inertie.
8.) Par une construction appropriée, il est possible de réduire l'inertie du chauffage au point qu'après quelques secondes, après l'interruption du courant de'chauffage, on peut retirer de la presse l'endroit de soudure, à l'état de solidité complète. La presse est déjà refroidie au point que le contact de parties chaudes est évité.
9.) Il est possible, dtautre part, d'établir la presse .
de manière que les différentes opérations puissent être automatisées dans une large mesure. Après l'introduction du film, la bande auxiliaire est amenée, pendant l'abaissement du poinçon, sur un dispositif humecteur, et est placée sur le joint de séparation. En même temps, est remonté un mouvement d'horlogerie qui laisse arriver le courant de chauffage après abaissement complet du poinçon, et le coupe de nouveau après un peu de temps, exactement réglable. Après un autre court laps de temps, le dispositif de verrouillage, qui maintient la pression sur le poinçon, est déverrouillé, de sorte que la presse s'ouvre. La liaison est alors achevée jusqu'à l'ébarbage latéral qui est effectué par des couteaux appropriés sur le support utilisé. Après l'enlèvement du film, la presse est aussitôt prête pour une nouvelle utilisation.
La production d'une liaison de film, telle quelle a été décrite plus haut, exige un dispositif qui diffère essentiellement de ceux connus. Il peut être modifié ou complété de manière différente.
La figure 1 du dessin annexé montre les parties les plus importantes. 1 est le film à relier, sur lequel est posée la bande auxiliaire J3, ainsi que le montre la figure 2.en coupe longitudinale pour le film. Le film repose sur un support lisse 3 avec lequel il est en contact par le côté de l'émulsion. La face 4 du poinçon, qui doit donner la forme voulue, reçoit sa pression d'en haut. La forme définitive de la liaison est montrée dans la figure 4. Les parties appartenant au poinçon doivent être façonnées très soigneusement, afin de satisfaire aux <EMI ID=13.1>
un revêtement dur et protecteur, par exemple en chrome. Tandis
<EMI ID=14.1>
<EMI ID=15.1>
sistante à la chaleur, par exemple en mica, est appliquée sur la partie 4 qui est pourvue d'une rainure en son milieu. Cette couche isolante empêche que la bande de chauffage 7 soit mise
<EMI ID=16.1>
ble Que possible la transmission de la chaleur, la bande, et
<EMI ID=17.1>
<EMI ID=18.1>
chauffage 4 sont maintenues et reliées à la source de courant
<EMI ID=19.1>
<EMI ID=20.1>
tout un bon contact avec son entourage. Cela est secondé par
le fait que, pendant la soudure, une pression est exercée par
le ressort 10 sur l'endroit de liaison du film. La force de cette pression peut être réglée par la vis 11, Le verrouillage
12 assure qu'après une pression unique suffisante sur la poignée 13, il ne se produise aucune détente, avant que le déverrouillage de cette position de travail soit effectué . Ce déverrouillage est effectué seulement après que la soudure est achevée et après un court refroidissement. A cet effet, la poignée est relevée en haut dans la position de repos. Le trou oblong ménagé dans la partie 15 du poinçon permet un mouvement suffisant, tan-
<EMI ID=21.1>
il se produise une détente inutile du ressort. Le boulon 14peut être retiré facilement, ce qui est nécessaire si le poinçon doit être changé. Il suffit alors de détacher les arrivées
<EMI ID=22.1>
<EMI ID=23.1>
chauffée d'abord, de sorte que la liaison du film est effectuée. Lorsque le courant est coupé, il doit se produire aussi rapidement que possible un refroidissement. Ce refroidissement a lieu par le fait que les plaques métalliques 3 et 4 transmettent la chaleur au métal massif 15 et 16. Ces deux dernières parties la cèdent à l'entourage. Il est donc nécessaire que celles-ci aient une surface suffisante pour que leur température ne devienne pas trop élevée. Mais ce n'est pas seulement l'écoulement de la chaleur après la soudure qui a de l'importance, car le refroidissement est plutôt nécessaire aussi pendant la durée du travail, sinon une bande inutilement large serait influencée.
Avant que le film puisse être relié dans la presse, il doit être coupé de façon exacte, ce qui a lieu en le plaçant dans un calibre qui est combiné avec des ciseaux, de manière que la coupe soit pratiquée le long d'une ligne exactement déterminée, de préférence exactement entre deux trous de perforation. Le film est amené ensuite dans une position bien déterminée au moyen de chevilles d'ajustage, qui sont fixées à la pièce 16. La distance doit être un peu plus petite que celle donnée par la division entre les trous de perforation car, pendant la soudure, les parties sont écartées l'une de l'autre vers les deux côtés par le pressage, Blême si elles sont enserrées très fortement, car elles se déforment aussi élastiquement. Un échappement pendant le pressage est évité aussi par la plaque 4, qui vient s'appliquer dans la surface entière.
Lorsque les deux extrémités de film ont été introduites, la bande auxiliaire 3. doit être amenée sur le joint de séparation. La figure 1 montre un dispositif auxiliaire qui exécute automatiquement cette marche de travail, lorsque le poinçon est amené de sa position de re-
<EMI ID=24.1>
<EMI ID=25.1>
pondant ménagé dans une roue dentée 18. Un autre arrêt 19, qui est fixé au palier 20, s'oppose à un mouvement de retour lors de la levée de la poignée. Les dents de la roue 18 engrènent
<EMI ID=26.1>
transporteur 22 auquel elle est reliée rigidement. Le rouleau
<EMI ID=27.1>
un peu plus que la longueur de bande nécessaire soit tiré du
<EMI ID=28.1>
et qu'en même temps la bande ne reçoive plus de mouvement lors du pressage du poinçon, la roue 18 présente des intervalles ap-
<EMI ID=29.1>
tée d'une manière sûre, il est prévu un rouleau 24, auquel un
<EMI ID=30.1>
<EMI ID=31.1>
maintenues dans la position de repos prévue par un dispositif d'arrêt non représenté. Dans le cas de films ^particulièrement larges, la bande auxiliaire doit être conduite par des moyens de transport ou par un bras de guidage, qui saisit la bande et
<EMI ID=32.1> <EMI ID=33.1>
<EMI ID=34.1>
13, la bande de film est transportée après engrènement des roues dentées, mais elle n'est d'abord pas humectée. Ce n'est qu'après un certain mouvement de rotation qu'il se produit un contact
<EMI ID=35.1>
partie non humectée de la bande est avancée au-delà du film et sert au guidage. Elle est amenée dans la position voulue par une
<EMI ID=36.1>
Pour l'humectation de la bande, on utilise un amollissant qui doit être approprié pour la cellulose à relier. Les substances de ce genre présentent l'avantage de s'évaporer difficilement et d'être difficilement inflammables. Elles sont aussi retenues très fortement par le film, de sorte qu'il ne se produit aucun rétrécissement notable qui pourrait occasionner une déformation.
Après que toutes les préparations sont achevées, la liaison ou réunion par soudure a lieu. A cet effet, la bande de chauffage 2. est parcourue par un courant intense. La durée et l'intensité du courant doivent avoir une valeur déterminée. Ce résultat est obtenu si l'on intercale dans le conducteur venant
du réseau une résistance réglable 55 et une horloge commutatrice
35. Par un transformateur 36, le courant est amené à la bande
par des conducteurs de peu de longueur 34. pour le contrôle, un compteur d'électricité peut être intercalé dans ce montage. L'horloge peut être actionnée d'une manière simple à la main.
Il est cependant possible aussi de l'actionner par exemple par l'abaissement de la poignée 13, ce qui simplifie la manipulation.
D'après une autre réalisation prévue, l'horloge commutatrice déclenche le verrouillage 12 après un temps déterminé, de sorte que la presse peut être ouverte par un ressort 50, figure
7. Au lieu de l'horloge, on peut utiliser aussi un petit moteur électrique à vitesse de rotation constante, dont le courant de
<EMI ID=37.1>
par un interrupteur 51, figure 7. L'emploi d'un thermo-interrup-
<EMI ID=38.1>
dans le cas de soudures très fréquentes, le refroidissement du
<EMI ID=39.1>
terrupteur a une constante de temps pour le refroidissement, égale ou analogue à celle du poinçon, le temps de chauffage avec
<EMI ID=40.1>
qutauoun réglage complémentaire est nécessaire.
Une autre réalisation est possible par une deuxième bande bimétallique 47. Par celle-ci, l'ouverture de la presse peut être provoquée. Si l'on intercale devant le transformateur de chauffage-, avant Inachèvement de la soudure, par l'ouverture de l'interrupteur 46, un élément de chauffage 48 d'un ohmage élevé <EMI ID=41.1> lage en un temps très court après l'achèvement de la soudure, par le fait, que la, fermeture 12 est poussée vers l'extérieur,
<EMI ID=42.1>
car extérieurement à la ligne A - A, puis la presse sera ouverte par le ressort 50. L'interrupteur 51 est alors ouvert, par le levier 13, de sorte que l'installation sera sans courant. Après introduction du film et fermeture de la presse, la soudure sui-
<EMI ID=43.1>
mentaire soit nécessaire. Lorsque la presse a été ouverte après
<EMI ID=44.1>
sur les deux côtés du film. Cela est effectué, de préférence, sur le support 3 qui est légèrement plus étroit que le film.
La figure 6 représente l'une des nombreuses possibilités d'exécution du dispositif. Dans une partie 37 fixée à la plaque de <EMI ID=45.1>
<EMI ID=46.1> l'axe 43 est monté dans la partie 38. A cette dernière, les couteaux 40 et 41 sont fixés par la partie 42. Lorsqu'on rabat les couteaux à l'aide de la poignée 44, ils coupent les deux parties de la bande 2 sur les deux côtés du film. En les relevant, les couteaux disparaissent dans un évidement de la partie
<EMI ID=47.1>
tact. Pour retirer le film, on fait tourner tout le clapet vers le haut autour de l'axe 39 et on enlève le film à l'état fini. Pendant la coupe, la bande 2 est abaissée par le couteau 41 et, après la coupe, elle est relevée par la partie 45. Si tel n'était pas le cas, la bande 3 serait pressée contre la partie 16 lors du prochain transport et elle ne viendrait pas dans la position exacte. La partie 45 est donc nécessaire pour un travail sûr. Elle possède une faoe oblique et elle est poussée vers le haut par un ressort.
Si les trous de perforation n'ont qu'un petit intervalle entre eux, comme dans le film normal, le danger existe que ceux des trous qui se trouvent dans le voisinage de l'endroit de la soudure soient diminués de grandeur. Il est alors nécessaire de chasser la matière superflue. Une autre possibilité consiste à remplir les trous complètement par des plaquettes ajustées posées sur la plaque 3_ ou par des goujons 53. Ce dernier cas est montré dans la figure 8. Les goujons 53 ne peuvent pas recevoir une longueur quelconque, sinon ils devraient pénétrer dans le
<EMI ID=48.1>
sage des goujons est bien possible, mais elle présenterait des inconvénients. Afin de compenser les inégalités d'épaisseur du film et de faciliter sa pose, les goujons peuvent être poussés quelque peu vers l'extérieur par des ressorts 54. Par l'abaissement du poinçon, ils sont amenés dans la position exacte. Comme
<EMI ID=49.1>
biseautés en haut et ils joignent très bien. En même temps, ils assurent un bon écoulement de la chaleur, de sorte que la matière coule moins au voisinage des goujons. '