BE430136A - - Google Patents

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BE430136A
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Description

       

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  MEMOIRE DESCRIPTIF déposé à l'appui d'une demande de BREVET d'INVENTION "Perfectionnements aux produits fabriqués à partir de matière fondue". 



   La présente invention est relative à la fabri- catioh de produits tirés de matière fondue métallique ou non métallique. 



   L'invention a pour objet la formation de produits métalliques et non métalliques de diverses sortes à partir de matières soumises à un refroidissement réglé ou se trouvant à l'état plastique, mais ne se trouvant pas à leur état fondu nommai. 



   L'invention se rapporte également à la formation 

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 de tels produits ayant une structure cristalline primaire fine, uniforme et homogène. 



   La plupart des produits métalliques obtenus jus- qu'ici provenaient de métal fondu qui avait été versé dans une lingotière, dans un moule de coulée au sable, dans une matrice ou entre des cylindres de formation pendant que ce métal se trouvait à l'état liquide. Lorsque la température diminuait, le métal fondu passait à l'état solide, les cris- taux solides se formant tout d'abord contre les parois du moule de la matrice ou des cylindres et se propageant vers la partie intérieure du produit, a travers le noyau encore liquide, ce qui donnait au produis coulé une structure pré- sentant trois zones distinctes ayant des caractéristiques différentes, à savoir :

   
1 / une enveloppe ou couche solidifiée à la péri-  phérie du produit, cette couche étant formée de petits cristaux non orientés (c'est-à-dire disposés nu hasard) et analogues à des filets ou veinules; les propriétés physiques de cette couche solidifiée et refroidie sont généralement beaucoup meilleures que celles des autres parties du produit et du produit fini après travail mécanique; cela est dû au fait que sa composition chimique est homogène, exempte de séparation ou ségrégation et correspond exactement à la com- position du métal fondu, ce dernier étant homogène dans le four ou dans la poche de coulée; 
2 / une couche de longs cristaux en forme de   co-   lonnes (également appelés aiguilles) orientés suivant l'axe de croissance des cristaux qui est opposé au sens d'écoule- ment de la chaleur;

   
3 / une   zone   centrale de grands cristaux à axes équidistants. 

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   Cette structure cristalline hétérogène est en outre caractérisée par une séparation sélective des consti- tuants de   l' alliage   et des impuretés, par des occlusions de   gaz,   par des retassures, par des cavités de diverses sortes ainsi que par d'autres phénomènes connus sous le nom   gênerai   de "lingotisme". Ce lingotisme est principalement dû à la structure cristalline hétérogène que présentent tous les produite   métalliques   obtenus jusqu'ici dans   l' industrie.   



   Ce procédé commun de fabrication de produits mé-   talliques   a une influence déterminante sur les propriétés et   caractéristiques     physiques   etautres des produits industriels soit lorsqu'ils sont coulés, soit lorsqu'ils sont travaillés mécaniquement, par exemple   âpres   forgeage, laminage, extru- sion ou formation mécanique, soit lorsqu'ils ont été traités au point de vue thermique.

   On admet généralement que cela est dû au fait que la structure du produit final (ou struc- ture secondaire) conserve encore certaines des caractéristi- ques de sa formation cristalline primitive hétérogène au mo- ment de la solidification du métal fondu ou est affectée par certaines de ces   caractéristiques,   ce qui a pour effet d'em- pêcher l'obtention des propriétés théoriques optima. le but de la métallurgie pendant des années a été d'obtenir dans lea produits métalliques une structure cris- talline vraiment homogène et uniforme et de recherches des procédas sûrs pour obtenir cette structure. 



   Diverses recherches récentes dans la cristallisa- tion des métaux ont montré   que   la structure cristalline non orientée de la couche solidifiée d'un lingot était due au refroidissement important (ou sous-refroidissement) résultant du contact de la matière fondue avec les parois froides du moule, contact qui crée pratiquement une cristallisation spontanée exempte de toute ségrégation ou séparation dans la 

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 couche solidifiée en question; cette cristallisation ou solidification provoque le   changeaient   de la structure cris-   talline   orientée en une structure   cristalline   non orientée à filets ou veinules. La section des cristaux dans la cou- che solidifiée diminue lorsque la vitesse de cristallisation augmente.

   D'une façon générale, la structure primaire de tout métal est commandée par les deux facteurs suivants : a) le nombre de noyaux cristallins par unité de poids et de temps à une température déterminée; b) la vitesse de cristallisation qui dépend de la rapidité de dissipation de la chaleur latente de fusion. 



   Le terme 'sous-refroidissement" ci-dessus utilisé indique une condition qui se présente lorsque, à la tempé- rature définie voisine du point de cristallisation ou infé- rieure à ce point, les conditions d'équilibre ne sont pas atteintes,   c'est-à-dire   lorsque la phase solide n'apparaît pas.

   Ainsi le métal se trouve dans un état meta-stable.   Dea   recherches faites au sujet du sous-refroidissement des mé- taux et alliages ont montré que cette condition pouvait se présenter pour certains métaux sous-refroidis à des tempé- ratures allant de 0,1  à 0,3 ; pour d'autres métaux tels que l'or, le cuivre, le bismuth,   l'antimoine,   le plomb, l'étain et un certain nombre d'alliages sous-fefroidis, ces tempé- ratures peuvent atteindre 30 à 45 ; ainsi tous les métaux et alliages peuvent être placés à un état de sous-refroidis- sement dans lequel ils conservent en grande partie la mo- bilité d'un liquide, bien qu'une partie de la phase solide puisse être précipitée;

   dans cet état, les métaux et alliages peuvent s'écouler dans des moules ou matrices et prendre d'eux-mêmes leur forme. pour rendre claire la distinction entre l'état fondu et l'état sous-refroidi ci-dessus indiqué, on peut dire 

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 que l'état fondu est celui dans lequel le métal ou alliage fondu est liquide et capable de s'écouler librement par gravite;

   sa chaleur -totale est la quantité de chaleur nécess   saire   pour l'amener à son point de fusion, plus la quantité de chaleur nécessaire qui correspond à sa chaleur de fusion, plus la quantité de chaleur supplémentaire utilisée comme surchauffage   durs   les traitements industriels,   surchauffage   qui peut aller   d'un   petit nombre de degrés jusqu'à 100 et 150  dans le cas d'acier, d'acier spécial ou d'autres métaux ou alliages à point de fusion élevé.

   L'état de sous-fefroi- dissement appliqué aux métaux ou alliages, état que l'on propose d'établir et de contrôler, est une condition qui résulte du traitement de métal ou alliage fondu tel que ce dernier est produit dans les fours industriels actuels, dans le but d'enlever de'ce métal ou alliage toute sa super-cha- leur de fusion et toute sa chaleur latente de fusion ou la plus grande partie de sa chaleur latente, dans le but d'a- mener sa température soit au voisinage de son point de cris- tallisation, soit légèrement au-dessous pour des métaux ou alliages ayant une échelle de plasticité assez grande avant que le métal ou alliage traité soit introduit, forcé ou poussé dans un moule ou dans une matrice ou des cy-   entre lindres à une vitesse déterminée.

   Ce métal ou alliage souslindres une vitesse déterminée. métal alliage sous-   refroidi introduit dans des moules ou des matrices ou entre des rouleaux dans cet état a encore beaucoup de la mobilité d'un liquide et, sous l'action de la vitesse à laquelle il est poussé, il se façonnera facilement de lui-même au con- tour des moules ou matrices. Le métal en question est en outre   caractérisé   par le fait que chacune de ses particules de composant les plus petites a déjà un noyau cristallin qui s'étend à une partie ou à la totalité de chaque particule suivant l'importance de la phase solide qui a été précipitée 

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 et suivant par conséquent le degré de sous-refroidissement. 



  Ces particules sous-refroidies entraînées dans un courant, dans un moule ou dans une matrice se conformeront simultané- ment au contour du moule ou de la matrice pour le ou la rem- plir et cristalliseront en pratique spontanément à partir d'un nombre infini de noyaux   cristallins   dans toute la masse du produit formé, ce qui créera dans ledit produit une struc- ture cristalline faite de très petits cristaux non orientés   (c'est-à-dire   disposés au hasard) et analogues à des filets ou veinules, cristaux qui sont distribués d'une façon homo-   gère   et   uniforme   à travers toute l'étendue du produit métal- lique solide:

   cette structure est complètement différente de   la   structure primaire décrite précédemment pour les mé- taux ou alliages fondus antérieurs. 



   Il résulte des recherches ci-dessus indiquées faites par divers savants que si un métal ou alliage peut être introduit ou forcé dans un moule ou une matrice ou en- tre des rouleaux de formation en étant sous-refroidi, de telle manière qu'il   pfésente   le nombre maximum de noyaux cristallins par unité de poids et à une température telle que sa chaleur latente de fusion ait été partiellement ou   totalement   enlevée, ce métal ou alliage, lorsqu'il s'é- coule et se conforme de lui-même dans le moule ou dans la matrice cristallisera spontanément à travers toute la masse du produit fini d'une manière analogue à ce qui se produit dans la cristallisation spontanée de la couche refroidie et solidifiée d'un lingot,

   ce   qui n   pour effet de donner à toute la masse du produit la même structure cristalline for- mée de petits cristaux non orientés et analogues à des filets ou veinules et également de donner audit produit les pro- priétés physiques optimum. 



   Le demandeur a observé ce qui   suit .   

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   Si une goutte de liquide, soit de l'eau, soit de   l'huile, soit du métal fondu, tombe sur une surface, se déd'une   plaçant rapidement,/substance qui est mouillée par le liqui- de, chaque portion de la goutte liquide, lorsqu'elle vient en contact avec la surface se déplaçant rapidement, mouille la surface et adhère à   celle-ci-,   elle s'allonge et est   por.-   tée par la surface en question de façon qu'elle forme une traînée ou une pellicule allongée d'épaisseur uniforme et ayant deux extrénlités plus ou moins paraboliques, la forme, la largeur, la longueur et l'épaisseur de cette pellicule ou traînée étant déterminées par la vitesse relative de la goutte qui tombe et de la surface mobile.

   En outre, dans le cas d'une goutte de métal fondu, l'allongement de cette goutte et sa cristallisation ou solidification 'une   pelli-   cule ou d'unt bande solide sont pratiquement simultanés. Le / en procédé qu'on utilise pour réaliser de sous-refroidissement est tiré de l'observation qui précède, mais au lieu que ce soit une goutte de liquide qui soit utilisée, c'est un cou- rant de métal fondu tel qu'il est obtenu dans des fours   in-   dustriels. 



   Un courant de métal fondu se déversant sur une surface se déplaçant rapidement, surface qui doit être mouil- lée par ledit métal, donne naissance à certains phénomènes déterminés.   Lorsque un   tel courant de métal fondu ou de tou- te autre substance fondue s'écoulant d'un trou de coulée ou d'une tuyère de coulée aux températures normales de coulée qui sont utilisées industriellement et à une cer- taine vitesse (déterminée par la hauteur du métal dans le récipient, dans la poche ou dans le four qui la contient ou   déterminée   par des pompes ou valves mécaniques qui pous- sent ledit courant hors du récipient), est intercepté par une surface solide métallique ou non métallique, plus froi- 

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   de,

   exempte d'humidité et se déplaçant à une vitesse uniforme / propre    supérieure à la vitesse   d'écoulement   de métal fondu, une surface continue de contact est créée à l'endroit où le mé- tal liquide et librement mobile se conforme instantanément de lui-même à la surface mobile solide.   C'est   ce qu'on   ap-   pelle dans le présent mémoire l'action de mouillage. Dans ces conditions, le métal fondu ou liquide est éloigné ins- tantanément et d'une façon continue de la partie principale du courant liquide, étant poussé de dessous ledit courant sous la forme d'une couche qui adhère à la surface mobile. 



  Cette couche se nivelle d'elle-même au point de vue hydros- tatique pendant qu'elle est transportée en travers du courant de métal fondu; ladite couche porte par elle-même autant de métal ou de substance fondu qu'elle peut en attirer sous l'action de ses forces intrinsèques d'attraction atomique et de cohésion moléculaire. Ainsi se trouve formée à partir du courant de métal fondu une pellicule ou couche continue de section et d'épaisseur uniformes, couche qui adhère à la sur- face solide mobile et qui est portée par celle-ci, surface à laquelle la pellicule ou couche cède de la chaleur depuis le moment où le contact s'est établi avec elle.

   La section transversale de cette couche de métal fondu est réglée et déterminée directement par la relation suivante : surface de la section transversale de la couche multipliée par la vites- se de la surface métallique mobile qui la porte = section transversale du courant de métal fondu multipliée par sa vitesse d'écoulement. 



   Far exemple, si un courant de métal fondu sort   d'u-   ne fente rectangulaire (extrémité de sortie d'une tuyère,par exemple) ayant 5 cm. de large sur 1cm,25 d'épaisseur à la vi- tesse de 0m,60 par seconde, s'écoule et se dépose sur une sur- face métallique se déplaçant à une vitesse de 15 mètres par 

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 seconde (soit   vingt-cinq   fois plus vite), la couche de mé- tal fondu aura une section déterminée de la façon suivante :

   
5 x 1,25 x 0,60/15 = 0cm2, 25 et l'épaisseur de la couche sera   de :   
0cm2, 25   = 0cm, 05 5cm   
Tous les métaux, alliages et substances fondus, lorsqu'ils se trouvent à l'état liquide et librement mobiles (à l'exception de certaines substances ou métaux qui ont une tension superficielle très élevée comme le mercure) ,  mouil-   leront une surface métallique propre, sèche et plus froide et adhéreront à cette surface; ils pourront ainsi subir une accélération pour être amenés à la vitesse et dans   la   direc- tion du mouvement de la surface métallique sous la forme ci- dessus indiquée d'une couche ou pellicule.

   La force adhési- ve considérée a une valeur   considérable   car le mouillage en- tre le métal fondu et   la surface   métallique mobile empêche la présence d'air ou de gaz entre le métal fondu et ladite pellicule. En outres le contact parfait dû à ce mouillage donné pleine liberté à la force d'attraction interatomique de s'exercer entre le métal de la surface mobile et le métal ou alliage fondu utilisé. Cette force a également une très grande valeur par centimètre carré. 



   Les deux facteurs ci-dessus indiqués, qu'il y en ait d'autres ou non, peuvent entrer facilement en ligne de compte pour considérer que la section métallique mobile et la pellicule de métal fondu qui y adhère agissent comme une seule section composite se déplaçant à la même vi- tesse et dans la même direction jusqu'à ce que la couche ou pellicule de métal fondu ait cessé d'adhérer complètement par suite de   la   contraction duc à la solidification. Même après cotte perte de l'adhérence, la couche ou pellicule maintenant solidifiée conserve la vitesse et la direction 

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 primitives qui lui ont été communiquées par la surface métallique mobile. 



   Bien que la couche de métal fondu adhère encore à la surface mobile et soit portée par elle en contact in- time' avec ladite surface, à la vitesse de cette surface et dans sa direction de mouvement, c'est-à-dire comme formant en fait une seule section bi-métallique,   l'échange   de cha- leur à travers toute l'épaisseur de la couche de métal fon- du et de la surface solide mobile est directement propor- tionnel à leurs   conductibilités   thermiques respectives, à la transmission de chaleur de   l'une   à l'autre et à la durée de leur contact. Ces coefficients de conductibilité ther-   mique   sont des propriétés connues des   métaux,   alliages et de beaucoup d'autres substances.

   On peut par conséquent   déter-   miner mathématiquement et établir les éléments des machines de fabrication, de façon que soit exactement réalisé n'im- porte quel refroidissement déterminé et de façon que soit réglée d'une manière absolue la quantité de chaleur enlevée du métal ou substance fondu en couche ou pellicule. 



   D'après ce qui précède, cn voit que toute quanti- té déterminée de chaleur peut être enlevée de   n'importe   quel métal fondu ou d'une pellicule soit pour le refroidir légèrement, soit pour le sous-refroidir à tout degré désiré, soit encore pour le solidifier   complètement   de telle manière que la pellicule puisse être utilisée d'une façon continue lorsqu'elle atteint la température ou l'état de sous-refroi- dissement désiré.

   Cet état, corme on l'a indiqué, résulte du temps et de la longueur déterminés de contact avec la surface mobile; la pellicule ou couche complètement formée est séparée d'une façon continue de la surface de refroidis- sement mobile en un point déterminé d'une façon précise après que cette couche a été sur une longueur déterminée en 

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   contact   avec la. surface en question. Lorsque la couche ou pellicule est enlevée, elle est dirigée d'une façon continue vers un moule (ou une matrice) dans lequel elle est intro- duite et qui est destiné à la recevoir, 
Dans ce qui va suivre, on va montrer comment de tels résultats peuvent être réalisés   conformément   à la pré- sente invention. 



   Lorsque la pellicule de métal doit être soumise à un refroidissement réduit (par exemple lorsqu'elle doit être dirigée vers des matrices compliquées et frappées à grande vitesse pour le moulage sous pression), on utilise une surface métallique mobile faite en un métal ayant une conductibilité relativement faible, tel que l'acier;

   cette surface peut être oxydée, pointe ou   recouverte   d'une subs- tance non   métallique   pour   réduire     encore   sa conductibilité thermiquc et pour/ la force interatomique d'adhé- diminuer rence de la couche de   métal   fondu à   ladite   surface pendant que se produit l'action de mouillage.   L'étendue   et la durée du contact entre la couche ou pellicule et la surface mobile sont réglées pour assurer l'enlèvement de la quantité exacte désirée de chaleur. Immédiatement au moment où cette opéra- tion s'accomplit, la direction de la surface mobile est brus- quement et continuellement changée.

   Cela oblige la pellicule à se séparer de la surface mobile au point ci- dessus indiqué et à conserver, pendant son déplacement, la vitesse et la direction primitives du mouvement qui lui a été   communiqué.   Dans cet état, elle passe directement dans l'orifice d'alimentation de la matrice et vient   frap-   per à grande vitesse   la   cavité de cette matrice. 



   Lorsque la couche ou pellicule doit être   sous--   refroidie à un état tel qu'elle présente le nombre maximum de noyaux cristallins et que sa chaleur latente de fusion 

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 soit pour la plus grande partie ou totalement enlevée, on utilise une surface métallique propre et sèche pour assurer   une   adhérence, un mouillage et un contact parfaits de la pellicule métallique et pour   enlever   rapidement la quantité de chaleur de la pellicule en question. La quantité exacte de chaleur à enlever de la pellicule ou couche métallique pour l'amener à l'état ci-dessus indiqué de sous-refroidis- sement est calculée et déterminée mathématiquement; il en est de même de la longueur exacte du contact avec la sur- face métallique mobile.

   Si l'on prend en considération tous les facteurs nécessaires, la machine est établie de telle façon que la surface mobile forme la couche   métalli-   que à la longueur exacte requise et porte cette couche, de manière qu'immédiatement après,la direction du mouvement de la surface mobile soit   changée     brusquement   et continuel- lement pour créer une force suffisante destinée à séparer la couche métallique et la surface mobile et à conserver à la couche métallique, pendant son déplacement, la direction et la vitesse qu'elle a acquises, dans le but do remplir le moule ou la matrice ou afin que la pellicule soit obligée de se déplacer sans être supportée dans le même sens et à la môme vitesse après qu'elle a abandonné la surface de sup- port,

   Ou bien encore la couche de métal sous-refroidie peut être soulevée ou séparée d'une autre façon à partir de la surface de refroidissement par un dispositif mécanique et être dirigée vers le moule ou vers la matrice. La couche' ou pellicule peut également être associée et fixée avec une autre couche ou pellicule sous-refroidie formée d'une façon analogue, la couche composite étant obligée de continuer à se déplacer dans la direction et à la vitesse acquises, dans le but de remplir des moulas ou des matrices.

   On peut fa- cilement obtenir ces résultats   puisque,     comme   on l'a noté, 

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 lorsque la couche de métal atteint l'état de sous-refroi- dissement ci-dessus indiqué, état dans lequel la phase solide est   partiellement   ou totalement précipitée, la force d'adhérence à la surface   métallique   mobile est proportion-   nellement   si réduite que la couche se   sépare   pratiquement d'elle-même   d'avec   la surface; en conséquence, un change- ment de   direction   de cette   surface   donne une séparation nette et complète. Il est à remarquer que cette couche ou pellicule a encore la composition homogène primitive du mé- tal fondu sans ségrégation.

   De la chaleur seulement a été enlevée de ce métal fondu pour créer cet état de sous-re- froidissement. Il y a une distribution uniforme des noyaux cristallins à travers toute la masse et aucun changement quel qu'il soit n'a été fait ou ne s'est produit dans sa composition chimique originale, par suite de l'absence de contact avec d'autres   éléments   ou de l'action de ces autres éléments susceptibles de réagir chimiquement avec la couche considérée. par conséquent, les produits formés à partir de cette couche   lorsqu'elle   vient remplir des moules ou des   matrices   et cristallise spontanément auront tous les avanta- ges de la composition chimique primitive homogène du métal fondu combiné avec une structure cristalline uniforme exemp- te de ségrégation. 



   La formation ci-dessus décrite du courant de mé- tal ou autre substance fondue transformé en une pellicule ou couche mince, le sous-refroidissement de cette couche et le choc de celle-ci dans les moules cu matrices sans aucun contact avec l'air ou des gaz ou sans contamination par cet air ou ces gaz présentent des avantages industriels extrême- ment importants et longtemps cherchés, mais qui n'avaient jusqu'ici jamais été obtenus à   la   connaissance du demandeur. 

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  Les opérations peuvent être   exécutées très   rapidement et sont directement applicables au traitement de la matière sortant des fours actuels de fusion à la vitesse à laquelle on peut disposer du   métal   fondu produit, ce qui permet de conserver la composition et la fluidité réglées dudit métal. par exemple, le courant normal provenant d'une poche con- tenant de l'acier tel qu'il est coulé   actuellement   dans des lingotières de grandes dimensions à des vitesses variai.! de 500 à 1500 kg par minute peut, comme on l'a indiqué ci-des- sus, être transforme en une pellicule et être sous-refroidi une température constante et déterminée avant que cette pellicule soit dirigée   dans   les moules.

   L'équipement néces- saire est   relativement simple   et peu coûteux ut consomme une   quantité   insignifiante d'énergie. Dans beaucoup de cas, l'en- semble du   fonctionnement   représente des économies réelles, car la chaleur provenant du la pellicule de métal fondu peut être facilement récupérée. 



   La présente invention se distingue des procédés antérieurs qui   comportaient   la fusion continue de fils ou d'objets analogues dans une flamme oxy-acétylènique ou oxhy- drique et l"atomisation de ce produit par un courant   d'air   sous forte pression. L'invention s.. distingue également des procédés dans lesquels un petit courant de métal à faible température est atomisé par un courant d'air ou de gaz sous forte pression et est dirigé vers une plaque ou matrice de réception. Ni l'un ni l'autre de ces procédés ne permet d'utiliser des métaux fondus provenant des grands fours in- dustriels et à la vitesse usuelle dont on peut disposer de ces métaux.

   En outre, la quantité d'air ou de gaz sous forte pression qui est nécessaire pour l'atomisation est très coûteuse par kilog de métal atomisé; de plus, le métal 

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 ainsi atomisé est   inévitablement   oxydé ou contaminé   chii-   que.mont. Il on résulte une altération ou une détérioration d'une importance telle que le produit ou revêtement atomise solide obtenu n'a aucune ressemblance réelle dans ses   appa-   rences ou dans ses propriétés avec le fil métallique solide ou le métal liquide à partir duquel il à été obtenu. 



  Conformément aux caractéristiques de l'invention, il n'est pas difficile dans les applications industrielles de réaliser la surface métallique mobile en un métal tel et ayant une 
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 longuearliellesqae la température de la section métallique   / - et   une mobile utilisée pour le refroidissement ne   dépasse   pas une 
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 >1 ane te,pér,ture 260  nvi-rcn toutc tVmpérature suffisamment 'pmsseu.r température de 260  cnvircn ou toute température suffisamment élevée susceptible de   provoquer   une distorsion, une déforma- tion ou une détérioration de la surface du métal de refroi- dissement utilisé. A cet égard, les facteurs de contrôle ou les desiderata sont susceptibles d'être déterminés d'une façon précise ou d'être calculés mathématiquement d'une fa- çon exacte.

   En outre, comme une longueur limitée et définie seulement de cette section métallique de refroidissement vient en contact avec une pellicule métallique fondue ayant une épaisseur désirée choisie, cette section de refroidissement pcut être refroidie   d'une   façon continue par de l'air, de l'eau, du mercure ou par tout autre agent de refroidissement après que la pellicule métallique a été séparée de cette section et elle peut être ainsi ramenée à sa température primitive avant qu'elle reçoive de nouveau du métal fondu. 



  De cette façon, des conditions constantes de température sont assurées pour le   refroidissement   du courant de métal fondu et une opération   véritablement   continue est réalisée. 



   La   plupart   des métaux et alliages µ l'état fondu contiennent des gas dissous ou occlus qui sont libérés lors- que la phase solide se précipite et que le métal se solidifie 

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 dans un l1loule C%-'t'1.151 'E,,¯" Wz sont enfermes à l' in- térieur des produits métalliques solidifiés sous la forme de bulles ou poches à gaz   '--lui     sont extrêmement   nuisibles, Conformément à l'invention, tous ces gaz ou sensiblement tous ces gaz sont libres de s'échapper, car ils sont libé-   res   et enlevés pendant que la pellicule métallique qui adhère à la surface mobile se refroidit rapidement.

   Lorsque la phase solide commence à se précipiter avant que la pelli- cule sous-refroidie soit dirigée   dans   un moule ou dans une matrice, les produits formés à partir de ce métal ou de cet   alliage sous-refroidi   sont   exempts de   gaz. 



   Lorsqu'on sous-refroidit le courant de métal fondu provenant d'une   poche   ou d'un four avant qu' il soit dirigé dans un moule, on peut p   @ovoquer   une   cristallisation   spontanée à travers toute la   masse   du produit   moule,   ce qui constitue un   moyen     efficace pour     déterminer   au point de vue   physique,   dans le produit sclide formé, une dimension uni- forme   dcs   grains.   Cortain@s   variations peuvent être obte- nues dans la section des cristaux uniformes formés si l'on fait varier et si l'on règle   l'importance   et la température du sous-refroidissement. 



   Tout ce qui précède s'applique avec autant   d'effi-   cacité aux substances non   métalliques   ou organiques à l'état fondu telles que le verre fondu, les roches fondues et autres substances   analogues,   l'invention n'étant nullement limitée aux métaux et alliages. 



   La présente invention rend possibles l' obtention et l'utilisation industrielles du la structure cristalline primaire nouvelle et spéciale qui est donnée aux produits métalliques conformément à ladite invention. Cette nouvelle structure primaire qui a unu forte résistance et qui présente des propriétés physiques   améliorées   est obtenue sans travail 

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 mécanique ou sans traitement thermique; elle est caractéri- sée par de petits cristaux non   orientes   (c'est-à-dire dis- posés au hasard), analogues à dos filets ou   veinules,   de coupe et de dimension sensiblement identiques et distribués d'une façon homogène et uniforme à travers toute la masse et dans chaque partie du produit solide.

   L'invention permet également d'assurer une uniformité chimique   dans   toute la masse du produit et d'obtenir des propriétés   phys@ques   mé- liorées exemptes de tout effet d'orientationß ces   qualités   sont ducs au fait que l'invention permet d'éviter los dé- fauts généralement inhérents à un lingot   primaire   ou   à   une pièce   moulée, défauts   tels que le súparation ou ségrégation, la composition chimique non uniforme, la   concentration   des impuretés et souillures à la limite des   cristaux   en forme de colonnes, la formation de cavités ou passages,

   les oc-   clusions   de gaz et   défauts   analogues et également les li- fines d'écoulement qui se forment à la suite du   travail   mécanique et do l'écrasement des grands   cri@rtaux.   



   Cette nouvelle structure primaire   spéciale   conser- ve la plupart des caractéristiques ci-dessus indiquées après travail mécanique tel que   laminage,   forgeage et extrusion et (ou) après   traitement thermique,   cette nouvelle structure se prêtant plus   facilement   due la structure des produits anté- rieurs à ces opérations en raison de son uniformité et don- nant au produit ainsi travaillé ou traité   une     structure   dis- tinctive différente   d   celle des produits   similaires tirant   leur origine d'un lingot ou d'un autre métal fondu coulé à la façon habituelle.

   En outre, l'effet de refroidissement et de solidification dû aux parois du moule (se produisant lorsque le métal fondu est versé dans un moule), la formation de la couche refroidie et solidifiée   subséquente   et les zones distinctes de cristallisation sont supprimés dans les produits 

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 faits à partir de métal ou alliage sous-r0froii. 



  L'invention   perçût   également   d'obtenir   une nouvel- 
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 le structure cristalline dans des alliages et plus parties- librement dans les alliages à forte teneur on composants de l'alliage tels, par exemple, que l'acier ra-oidc à outils et l'acier inoxydable. Dans ces alliages, -'ri '",l' ils sont coulés et à l'état fondu soit pour le "1oulil" (11). sable, soit dans les lingotières, une solidification .:.4'L"'.-:-.,e des mé- taux composants.se produit inévitablement à l'extérieur des cristaux en forme de colonnes et à ':xes éCJ.'7Í.0.::: Ti8nts qui se forment. Lorsque cela a lieu, cette scl-51 =:1'-ia-,=ion sélecti- ve donne aux cristaux une composition Cl1j ,':. - "'" plus hétéro- gène avec ségrégation ou séparation du ¯ . - ;. ¯ =; composants et des impuretés à la limite des cristaux.

   C0 "ci réduit considérablement les propriétés inhérentes p:.r '.cu.lières de ces alliages, propriétés en raison desquel102 r usae s'est développé, telles que résistance à la cc."'..'csion, aux acides, à l'abrasion, faculté de retrep0 coupe, ainsi que d' autres propriétés physiques. 



  Far l'effet du sous-rcfroidisscm3"i''j c' l'alliage fondu jusqu' au point où il cristallise spontanément à travers toute la masse du produit solide formé;   sous-refroidissement   qui constitue   l'une   des caractéristiques essentielles de la présente invention, la composition homogène primitive de l'alliage à   l'état   fondu est complètement maintenue dans chacun des petits cristaux formés et cette composition est encore maintenue après   travail   mécanique et traitement ther- 
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 mique.

   Cette structure cristalline entiè: ': :,'1, nouvelle et différente de celle des autres produits < < ¯; l:ra considé- rablement les propriétés intrinsèques   connues   de ces   allia-   ges et élargit le champ de leurs   application...   

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   En obligeant un courant do métal fondu à venir frapper sur un disque ou une plaque refroidie tournant   ra-   pidement et à évacuer ledit courant à la périphérie hors du contact avec l'air ou dans une atmosphère spéciale, on oblige la pellicule plastique sous-refroidie ainsi formée à se   bri-   ser en fines particules uniformes de la même dimension, de la même forme et de la même composition, ces particules se   dé-   plaçant, sans être supportées, dans la mên direction et à la même vitesse et venant se heurter les unes les autres dans un moule .

   Si l'on supprime le moule ou si l'on oblige /-de les particules à se déplacer à une plusgrande distance ou à   /¯de   refroidisse- travers un produit   pulvérulent   solide /on obtient ment des produits de toute composition désirée susceptibles d'ê- tre utilisés pour la métallurgie des produits en poudre et pour d'autres applications. 



   Afin que l'invention puisse être bien comprise, on va la décrire maintenant on se   referont   au dessin annexe sur lequel : 
La fig. 1 est une vue on plan par dessus d'un dis- que atomiseur rotatif et d'une partie   d'un   moule circulaire fixe de réception; 
La fig. 2 est une coupe verticale de l'atomiseur rotatif et du moule représentés sur la fig. 1, ainsi que du récipient amenant le métal fondu au   disquu     @tomiseur;   
La fig. 3 est une coupe verticale d'un disque atomiseur incliné associé à un moule différent qui peut être fixe ou rotatif et qui est destiné à recevoir les par- ticules atomisées suivant un jet en spirale; 
La fig. 4 est une coupe d'un produit obtenu avec machine représentée sur   la .fig.   3;

   
La fig. 5 est une coupe   verticale   du disque ato- miseur représenté sur la fig. 1 et   centrant   les jets ou la 

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 pluie de métal atomisé dans un moule rotatif pour outils façonnés; 
La fig. 6 est une coupe   transversale d'un   outil façonné formé de deux couches de métal; 
La fig. 7 est une coupe   transversale   d'un outil façonné formé de trois couches d'acier; 
La fig. 8 est une coupe verticale avec partie en élévation d'un appareil destine à   couler   ou à   couler   sous pression des produits individuels à partir   d'un   courant di- visé et recombiné de métal fondu ou   d'une   autre   matière   fondue;

   
La fig. 9 est une coupe   verticale:   avec partie en élévation, d'un appareil analogue à celui qui est repré- sente sur la fig. 8, mais dans   lequel le   produit moulé ou coulé sous pression est obtenu à partir d'un courant unique d'un métal fondu ou d'une autre matière fondu.3. 



   Si l'on se reporte eux fig, 1 et 2 on voitque le métal fondu 14 placé dans le récipient 13 s'écoule à travers une série d'orifices 15 dont le nombre,   la   dimension et la forme ont une influence sur le degré do sous-refroidissement désiré. Ce métal fondu vient en contact avec un disque rotatif 1 le long   d'une   ligne circonférentielle 2 (fig, 1), cette partie du disque ayant déjà une vitesse périphérique considérable qui empêche le métal fondu   d'adhérer   au disque d'atomisation ou de le brûler, ce qui se produirait probable- ment si le métal venait en contact avec le centre du disque. 



  Le disque atomiseur 1 est formé de deux parties, une partie supérieure 6 et une partie inférieure 7 séparées l'une de l'autre de façon que soit ménagé   entru   elles un espace 8 dans lequel un fluide de refroidissement tel que de l'eau peut   être     amené ,     L'enu   ou le fluide de refroidissement est amené à l'espace de réception 8 par un tuyau 9 disposé à 

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 l'intérieur d'un arbre 91 sur lequel le disque est monté et sort de l'espace 8 par un passage 92 prévu dans l'arbre en- tre le tuyau fixe 9 à eau et l'alésage axial 93 de l'arbre. 



  L'écoulement d'eau maintient le disque atomiseur à une température sensiblement constante du fait qu'il absorbe la cha-. leur qui a été communiquée au disque par le métal fondu, 
Le disque atomiseur 1 peut tourne:, dans un palier à billes 10 et dans d'autres paliers appropries (non repré- sentés) et il est entraîné à une vitesse de -dation élevée par un dispositif convenable non   représenté   qui estassocié à l'arbre 91. Le métal fondu tombant sur le disque rotatif suivant la ligne circulaire 2 forme une pellicule ou couche qui s'étend vers l'extérieur sur la surface de la partie supé- rieure 6 du disque depuis la ligne 2 jusqu'à la périphérie du disque; le métal, dans cet état de couche ou pellicule, perd de la chaleur par contact avec la surface   refr@ die   du disque et est sous-refroidi.

   La couche ou pellicule de mé- tal ainsi sous-refroidie, lorsqu'elle abandonne la périphé- rie du disque, se rompt et se transforme en   un?   pluie fine de particules atomisées qui sont entraînées à une vitesse élevée dans une direction qui se trouve précisément à 90  par rapport à l'axe de rotation du disque. Les particules de métal se déplaçant sous forme de pluie ou de jet et à une vitesse élevée pénètrent dans le moule circulaire fixe 16' à travers une fente circulaire 18 qui se trouve exactement sur le trajet de déplacement des particules.

   Ces particu- les sont solidifiées et sont réunies l'une à l'autre par contact ou choc l'une avec l'autre dans le moule et elles remplissent la cavité 4 du moule.   ,   
Dans le mode de réalisation représenté sur les fig, 1 et 2, la quantité de métal fondu suffisante pour rem- plir la cavité du moule est versée dans le récipient 13. 

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  Lorsque tout lu métal fondu a été atomisé et répandu par pluie ou jet, la partie supérieure 16 du moulo 16' est soulevée pour être séparée de la partie   inférieure   17. Le produit coulé, qui peut avoir la forme d'un élément circulaire formant une seule pièce ou étre sous formc de deux ou plusieurs sections (trois ont été représentées sur la fige 1), du fait que des pièces de   sép@ration 5   sont placées dans le moule, est séparé de la partie   17.   Le roulage (pour les sections de celui-ci) peut   présenter   une nervure   coulée   sur l'objet, cette nervure   correspondant   à la fente d'alimentation, si du métal en excès a été versé;

   niais   puisque   la   fente   a une largeur de l'ordre centème du de millimètre sculement ou même moins, cotte ner- vure peut   être   facilement rompue ou découpée et les sections peuvent   être     dressées   si coin est nécessaire dans des cylin- dres de redressement. Les plaques 11 et 12 placées sur les parties 16 et 17 du moule complètent la fermeture de l'espace dans lequel tourne le disque,   l'air   n'étant pas admis dans cet espace pendant la coulée du métal fondu.

   De cette panière, les particules atomisées, pendant qu'elles sont entraînées à vitesse élevée sous forme d'un jet ou d'une pluie à partir du disque et vers la cavité du moule, ne sont pas soumises à une oxydation possible; en outre, de préférence, l'air qui se trouve au voisinage du disque est aspiré au moyen d'un tuyau 19 de façon que le sous-refroidissement, l'atomisation et le choc ou contact soient réalisés sous vide. Si on le dési- re, de l'hydrogène, un mélange d'hydrogène et d'azote, du gaz d'éclairage ou du gaz connu aux Etats-Unis sous le nom de "blue gas" (gaz bleu) peut être forcé dans l'espace adjacent au disque et dans la cavité du moule; de tels'gaz sont avanta- geux pour le métal qui est divisé en gouttelettes et moulé. 



   Le sous-refroidissement du métal, la dimension des particules atomisées et la vitesse   à   laquelle les particules 

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 sont entraînées   peuvent   être réglés à volonté. L'écoulement du métal fondu à partir du récipient 13 dépend du nombre et de la surface des sections   transversales   des orifices 15 et peut être réalisé, quant aux dimensions et au nombre de jets de sortie, de   façon   qu'on puisse   traiter   de 25 à 50 kg de mé- tal fondu par   minute.   Lorsqu'au utilise un disque rotatif ayant un diamètre   extérieur   de 30 cm., le métal fondu peut   tomber   sur la   lign@     circulaire   2 de la partie supérieure   6,

     ligne   circulaire   dont le diamètre peut   varier   de 5 cm, à 25 cm., ce qui a pour effet de   faire   varier le temps pendant lequel la pellicule ou couche de métal fondu en déplacement se trouve en contact avec la surface supérieure du disque 1. 



  La température de la surface 6 du disque peut être réglée   pnr   variation de l'écoulement d'eau à   travers   l'espace 8 et elle peut Être maintenue à une valeur faible ou à une valeur d'environ 150 . La vitesse du disque rotatif peut varier en pratique de 800 tours à 6000 tours par minute  9 plus   la vitesse est   élevée,   plus est mince la pellicule formée et plus sont petites les dimensions des particules du métal fondu projeté ou divisé à partir du disque et plus sort gran- des également la vitesse et l'énergie de   choc   de ces parti-   cules.   



   Grâce à ces différents réglages, la dimension des grains du   métal produit   peut   être déterminée   et on peut obtenir des produits ayant une densité plus grande et une résistance plus forte que les produits industriels actuels. 



  En outre, si l'on réduit l'écoulement du métal fondu venant du récipient et si l'on augmente la longueur de son   dépla-   cement sur la surface du disque,le métal est sous-refroidi, c'est-à-dire qu'il est refroidi à une température inférieure à son point de solidification et la pellicule se rompt alors en particules déjà en partie ou entièrement solides; ces 

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 particules, par suite de leur vitesse, s'unissent les unes aux autres par choc ou contact pour former un produit soli- de mais sppngieux comportant des vides uniformes entre les particules. 



   Si, par exemple, les particules solides sous-re- froidies ne se heurtent pas et ne se choquent pas les unes avec les autres à une   distance   faible après qu'elles ont   abandonne   le disque rotatif pour former un produit solide, ruais si on les laisse se déplacer sur une distance de plu- sieurs mètres avant qu'elles viennent frapper contre les parois de   la   chambre, elles ne se heurtent pas les unes aux autres, mais sont recueillies sous formc de poudre.

   Suivant la vitesse qui est utilisée et suivant le degré de sous-re- froidissement, ces particules peuvent être formées de granu- les de tout poids désiré, ou se présenter sous   la   forme d'une fine poudre métallique, le premier produit pouvant être utilisé pour lus garnitures métalliques et le second pour la   fabrication   du peinture   métallique ou   pour l'utilisation dans la métallurgie des produits en poudre, Cette pluie de particules atomisées sous-refroidies, comme on   l'a   représen- té sur la fig, 2,   étant   obtenue soit dans une chambre ou espace étanche à l'air, soit sous le vide, soit dans une chambre remplie d'un gaz neutre, les granules ou particules ne sont pas soumis à   l'oxydation.   En outre, on peut utiliser un gaz spécial,

   tel que le gaz ammoniac, qui se   dissocie   sous l'effet do la   chaleur   des   particules   et, lorsqu'on utilise de   l'acier   ou   un autre   alliage susceptible   d'être   nitruré, les granules ou particules prennent une surface dure et ni-   trurée   qui est utile pour différentes applications.industriel- les. 



   L'appareil représenté permet le traitement de   mé-   taux ou alliages à faible point de fusion, aussi bien que 

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 des métaux ou alliages à point de fusion élevée on règle les conditions d'écoulement, du sous-refroidissement et d'a- Ionisation pour   qu'elles     conviennent   aux divers métaux ou alliages. Il est en outre à noter que, pratiquement, aucune partie de métal fondu n'est perdue, par exemple dans les parties supérieures des produits coulés, dans les parties contenant des retassures ou des cavités ou dans les parties correspondant aux jets de coulée, parties qui, dans les pro- duits solides formés   antérieurement,   devaient être coupées. 



   La fig. 3 montre un disque atomiseur rotatif uti- lisé en connexion avec un   recule   à   billette   ou à produit ana- logue; niais dans cet exemple le disque, au lieu   d'être   placé à 90  par rapport à l'axe de   l'arbre   qui le fait tourner, est placé suivant une direction inclinée par rapport à cet arbre, l'importance de l'inclinaison   dépendant   de la hau- teur de la billette ou du produit   analogue   qui doit être faite dans le moule 20,21, moule dont la cavité est en plan   perpendiculaire   à 1.'arbre.   Dans   cette disposition, le jet ou la pluie de métal lorsqu'il abandonne le disque rotatif 1 se déplace en ligne droite, comme on l'a ¯indiqué.

   par les   flèches,exactement   à 90  de   l'axe   de rotation de l'arbre pour forcer la section de la billette ou du produit analogue par distribution uniforme des particules suivant un trajet en hélice sur toute la hauteur ou   largeur   du produit formé. Les parties de moule 20 et 21 sont fixes ou peuvent tourner à faible vitesse, Les billettes   ainsi forcées   présentent des surfaces   satisfaisantes,   ont une structure   uniformc,   sont exemptes de retassures ou cavités formées par contraction et sont prêtes à être éliminées. 



   Sur la fig.   4,   on a représenté une section d'un produit ou pièce moulé tel'qu'on l'obtient en versant suc- cessivement dans le récipient 13 de la fig, l d'abord un 

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   certain   type de métal (par exemple de l'acier inoxydable 24), 
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 puis un rutre type de mé-tal 25 (tel que de 11 ncior à fible teneur on carbone) et cnfin de nouveau de   l'acier   inoxydable 24 si on le désire, de façon qu'une billette ou produit analogue soit formé dans le moule   de   la fig. 3, la billette 
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 /'faible nvpnt noyau.

   acier BXB/'tencur carbone des /-faible c 1 1 YF'rlt noyau '-'5 a.cicr fzrXzl'iineur cfrbone f-1--icus 24 en ncicr inoxydable, les couches étant parfaitement liées les unes aux autres par suite de la vitesse de choc, sans qu'il y ait aucune impureté, scorie ou oxyde à l'endroit de la jonction des différentes couches.   Cette   opération peut   Être     réalisée comme   on l'a   représente   sur les fig,   @   et 2 en espace clos ou sous vide ou dans une   atmosphère   de gaz utiles. 



   De la même panière, des billettes ou autres pro-   duits analogues   à revêtement de cuivre comportant une mince couche de cuivre parfaitement liée   à   un noyau d'acier et dif- férentes sortes de billettes ou de produits analogues bi-   métalliques   peuvent être obtenus. Dans chaque cas, la jonc- tion entre les métaux ou alliages distincts est exempte de gaz, d'oxyde et autres impuretés; en outre, les produits   peuvent   être laminés ou forgés sans qu'il se produise aucune rupture ou   réparation   aux points de jonction des métaux dis-   tincts.   



   La   fig.- 5   montre le môme disque rotatif et le même récipient de coulée que ceux   qui   ont été représentés sur les fig. 1 et 2, mais le jet atomisé est reçu dans un moule 27,   28   qui tourne   également   sous l'action   'd' une   poulie 32, le sens de la rotation étant le   même que   celui du disque rotatif ou étant l'inverse du sens de rotation de cc disque. Le moule   27,   28 comporte des cavités dont chacune correspond à la for me des outils ou au produit   formée   deux ou plusieurs de ces cavités recevant le jet   provenant   du disque rotatif. 



  Lorsqu'on fabrique des outils de coupe à deux couches   d'acier,   

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 on verso d'abord dans le récipient 13 un acier rapide do tout type de composition utilisé dans l'industrie, cet acier étant transformé en une pellicule nous-refroidie ct ntomisée dont les particules, lorsqu'elles   atteignent-les   cavités du moule et en raison de la rotation du moule 27-28, forment une   couche 35   parallèle   à     l'axe   de rotation du moule, Ensuite, un acier spécial, tenane, résistant, tel qu'un acier au chrone-nickel ou un acier au   chrome-vanadium,   est versé dans le   @pient   13 et est également sous-refroidi et   atomise;

       c@   eier se transforme par projection en une couche 36 adhé-   ra@   la couche 35 en acier rapide jusqu'à ce que les   cavi-   tés a outil prévues dans le moule soient remplies. Le second acier est versé dans la récipient   avant   quc l'acier rapide ait eté complètement   évacué,  de façon que les particules des   dou@   sortes d'aciers soient   mélangées     à.   l'endroit de la jonction   d'une   couche avec l'autre sur une épaisseur de   l'or-   dre du d'un millimètre; de cette façon, les deux cou-   / centième chas sont liées d'une façon tellement inséparable qu'elles ne   peuvent pas être séparées par un dispositif mécanique quel-- conque.

   Au récipient 13 peut être fixé un autre récipient 26 dans lequel on peut introduire de la ratière finement pul- vérisée telle que de la poudre de diamant ou des carbures mé- talliques en même temps que l'acier rapide est versé, de telle façon que la matière pulvérulente soit entraînée sur la pel- licule de métal fondu et soit dispersée d'une façon uniforme dans cette pellicule.

   Lorsque le métal se rompt et se trans- forme en pluie ou jet, les particules métalliques atomisées et les carbures en poudre sont tous deux entraînés ensemble dans la couche formée dans la matrice rotative ou le moule   rotatif.   On obtient ainsi un outil comportant des particules dures uniformément dispersées dans   un..   masse soit d'acier rapide, soit do tout autre métal du liaison tel que le cobalt, 

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 le nickel ou de bronze à forte résistance, Dans le récipient 26 peut   être   versé un autre métal fondu, par exemple du plomb et dans le récipient 13 on peut verser du bronze, de façon qu'une quantité plus   grande   de plomb puisse être disper- sée, sous forme de particules finement divisées, à travers le bronze constituant le métal de base,

   dans le but d'améliorer les propriétés du bronze destiné à former les   paliers   ou supports. Du graphite   finement   pulvérisé peut être utilisé dans le même but et dispersé à travers le métal de base. Dans ce qui précède, on a décrit certains des produits qui peuvent être obtenus par formation desdits produits   pu   moyen de par- ticules atomisées sous-refroidies, nu lieu que ce soit à partir d'un métal fondu coulé   d:ns   un moule. 



   Des fraises de toutes   sortes,   des forets, des per- foratrices, des scies circulaires et autres outils peuvent être formés de la même minière et comporter à leur surface extérieure un acier spécial dur de coupe ou un   alliage     résis-   tant à l'abrasion et un   noy@u   fait en un acier tenace et résistant ou un autre métal disposé à l'intérieur. En outre, conne dans les machines ordinaires do   coulée   sous pression, des insertions en ratières   métalliques   ou autres peuvent être faites dans les matrices pour former une partie de   1-il   pièce coulée après que les particules métalliques se sont   consoli-   dées sous l'action de la force du choc. 



   La   fige   6 montre un outil de façonnage, amené à la cote de rectification et formé d'une couche en acier rapide 35 contenant ou non dos carbures ou de la poudre de diamant dispersés dans ladite couche et une couche d'acier résistant 36 pour supporter l'outil. 



   La fig. 7 montre une   barre   pour mèches hélicoî- dales, cette   barre   comportant une couche   centrale   37 en    / secteurs acier rapide ou autre matière de coupe et deux 38   

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 en acier résistant qui   empêchent   la mèche de se   rompre.   



   La fig. 8 contre un mode de   réalisation   modifié de machine de   refroidissement   et de choc   dans laquelle   les sur- faces de refroidissement utilisées sont les faces de deux cylindres rotatifs refroidis par de l'eau. Le bfiti principal 51 supporte deux- arbres fixes 52 et   53'autour   desquels peu-   vent'tourner   des étriers 54 et   55.   Dans l'extrémité 56 de l'étrier 54 est   supportée   une bague   57   refroidie par de   l'eau,   cette bague étant reliée par des bras creux 58 et 59 à un moyeu 60 dont les   extrémités     se   présentant sous la forme d'un arbre creux 61 sont supportées dans des paliers 62 que présente l'étrier 54.

   Cet arlre 61 so prolonge à l'extérieur de l'étrier 54, le   prolongement   étant libre d'osciller dans   l'échancrure   63 que   présente   le bâti principal 51. Une roue dentée 64 est   clavetée   pu fixée   d'une   autre manière sur   l'ex-   trémité prolongée de l'arbre 61;   cette   roue dentée n le même pns diamétral qu approximativement le même pas diamétral que la face cylindrique 57a de la baguo   57.   Lorsque la bague 57 ut la roue dentée 64 sont en position de fonctionnement comme on l'a représenté, la roue dentée 64   engrené   sur la roue dentée 65 d'un dispositif de commande à vitesse   variable   qui lui est associé et qui n'a pas été représenté.

   Ainsi, la bague 57   tournera   dans le sens approprié et à toute vi- tusse périphérique choisie et désirée, 
De l'eau ou un autre liquide de refroidissement est amené par les bras creux 58 à la partie de la bague 57 à doubla   enveloppe;     l'écoulement     est limité   par des cloisons 66 et 67 et   l'eau   est amenée par des conduits 68 et 69 dans chaque   bras   59. Le liquide du refroidissement est amnsi ra- mené à l'arbre 61 qui comporte des raccords d'entrée d'eau à une extrémité et des raccords de sortie d'eau à l'autre   ex-   trémité, ce qui   permet   de réaliser une circulation continue 

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 de   l'eau   ou autre liquide de refroidissaient. 



   De même, dans   l'extrémité   70 de l'étrier 55 est supportée une bague   71   refroidie par de   l'eau.   et reliée   par   des bras creux 72 et 73 à un moyen   74   dont les extrémités ont la forme d'un arbre creux 75 et sont supportées dans des pa- liers 76 que présente l'étrier 55. Cet   arbre   75 se prolonge à l'extérieur de l'étrier 55, le prolongement étant libre d' osciller dans   CI IL,   77 que présente le bâti princi- pal 51.

   Sur l'extrémité   prolongée     de   l'arbre 75 est clave- tée ou fixée d'une autre façon une roue dentée 78 ayant le même pas diamétral ou approximativement le   môme   pas diamé- tral que la   face   cylindrique 79   de   la bague 71. Lorsque cet- te bague 71 et la roue   dentée   79 sont dans leur position de fonctionnement, comme on l'a   représenté,   la roue dentée 78   engrené   sur la; roue dentée 64 dont la rotation entraînera la rotation   d   la: face périphérique 79 de la bague 71 dans   le   sens opposé à celui du   mouvement   de la face périphérique 57a de la bague 57, mais à la   même   vitesse.

   La bague 71 est refroidie par une circulation   d'eau   de la même manière que celle   qui [1   été décrite à propos de la bague 57. Les étriers 54 et 55 présentent chacun un bras prolongé 54a et 55a res- pectivement comme on¯1'?   représenté.   Une tige 80, dont la partie inférieure supporte une plaque   Son,   est fixée à chacun de ces bras. Des poids   rainures   81 reposent sur les plaques 80a et peuvent   être   réglés de telle façon qu'ils équilibrent le poids des étriers 54 ut 55, des   bagues   57 et 71 ct de leurs engrenages sous une charge réglée d'une façon positive. 



   La largeur de la face périphérique 79 de la bague 71 et de la face périphérique 57a de la bague 57 est convena-   blement   choisie dans   chaque   cas d'après la largeur de la pel- licule métallique que l'on désire obtenir. L'épaisseur de ces faces cylindriques et la matière dont elles sont faites (par 

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 exemple   acier,   fonte, cuivre ou   autres   métaux fortement con- ducteurs au point de ,  @u@     thermique)

     sont choisies et détermi- nées de   telle   manière   qu'une     quantité   déterminée de   chaleur   soit enlevée des pellicules des divers métaux ou substances fondus de diverses épaisseurs qui doivent être formées sur lesdites   faces   et portées par elles pour réaliser des   longueurs   de contact réglables et   déterminées par   les facteurs qui ont été indiqués ci-dessus.

   Comme on l'a antérieurement   in@@qué,   l'état de la surface des parties 79 et 57a précitées peut être choisi du telle façon qu'il influe d'une façon appropriée sur la vitesse de transmission calorifique à partir de la pellicule de métal fondu, suivant les résultats que l'on dési- re obtenir dans n'importe quel cas déterminé. Le diamètre des bagues   57   et 71 est choisi   suffisamment     grnnd   pour que   .la   chaleur transmise à n'importe quelle portion des faces 57a et 79 soit dissipée à partir du cette portion par le système de refroidissement   avant   que la portion en question reçoive de nouveau du   métal   fondu. 



   Un récipient   82   est placé au-dessus de la sorte de poche formée entre les bagues 57 et 71, ce récipient étant porté par des supports   83     faisant partie   du   bti   51. Cc réci- pient est destiné à recevoir du fondu ou une autre   substance   fondue provenant d'un four de fusion ou d'une poche non représenté; ce récipient est destiné à maintenir une   ali.-   mentation en matière fondue pour le   fonctionnement   de la ma- chine. Il peut comporter un clapet   84     actionné   par un col de cygne et levier de commande de construction connue, ce qui permet d'ouvrir et de fermer l'orifice de coulée ou tuyère 85.

   Ainsi, un courant continu de matière fondue peut être   évacué   par la tuyère 25 ou bien des quantités de métal fondu suscoptibles   d'être   réglées successivement peuvent être 'déchargées d'une façon   intermittente.   

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   Sous le récipient 82, on a prévu une pièce coulée 86 forint chambre de distribution ayant la forme d'un canal   rectangulaire     femme.   Cette   chambre   est plus large   que   les faces des bagues 57 et 71 et clic comporte deux faces   dispo-   sées en regard de ce* bagues et qui- sont usinées d'une façon   complémentaire   par rapport aux faces des bagues en   qu@@tion.   



  Une fente est prévue au milieu de la chambre 86,   cet t     sente   correspondant à une largeur maximum de la pellicule qui loit être forcée par la machine, mais étant plus étroitc que la   largeur   dos faces 57a et 79, de façon que les bords de la   fent:   laissent une surface suffisante porter contre les fa- ces des bagues pour   assurer   un   joit   parfaitement étanche à l'air entre la pièce 86 et les faces des bagues précitées lorsque ces bagues tournent.

   Grâce à cette disposition, on forme une ouverture de dimensions déterminées entre les   faces des   bagues   précisées µ   l'endroit de leurs points de contact. res parties   latérales   rainurées ou échancrées 87 sont prévues dans la pièce moulée 86,ces parties   latérales   servant à enfermer ou à retenir en place une garniture laté- rale, ce qui a pour effet de   fermer   encore d'une   fnçon   étan- che les bords des bagues 57 et 71. A l'intérieur de la pièce moulée 86 est prévue une pièce coulée 88 à noyau et qui forme une chambre rectangulaire présentant deux fentes 89 et 90 de longueur et de largeur choisies. 



   Le courant de métal 91 sortant de la tuyère 85 s'écoule à-travers la chambre rectangulaire qui est de pré- férence revêtue de matière réfractaire; ce courant se divise en deux courants égaux qui sont évacués par les fentes pré- citées 89 et 90. Chacun de ces deux courants vient en con- tact avec une des faces 57a ou 79, se conforme de lui-même à ladite surface et est porté par elle sous la forme d'une pel- licule distincte 92 ou 93 dont les dimensions   correspo@ dent   

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 aux fentes d'alimentation 89 et 90.

   Les deux pellicules ou. couches se déplacent à la mm(. vitesse sur une longue'-.'' déter- minée: de contact avjc les f8C0S cylindriques :rcfroid ',.::-c1;1.tes, cette longueur AYçlnt étÉ' ?\nt6ricurur1\,,;ut c'lculÉ'o et .. ,¯lz alors obtenue par réglage élpi!ropriÓ des positions c:.,. ';-'",l1tCS d'alimentation 8S et 90, dentelle façon que la r. w-;- -¯ ,9e 
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 chaleur nécessaire soit enlevée des pellicules ou c...c au /-parcourue. onier.t où la longueur prédéterminée a été ?,.;; .,i r . qu'on atteint ce point, les deux pellicules   distincte-   sont amenées à s'agréger ou se réunir l'une à l'autre pour   '.Porter   une pellicule ou bande unique   recombinée   94.

   Ce résultat peut être obtenu par réglage de   l'espacement   entre faces   57   et 79 des   bagues   do façon que cet espacement soit égal à   l'épnisseur     totale   des deux pellicules. Le déplacement ulté- rieur de la pellicule réunie se   f.it   le long d'une ligne droite verticale, comme on le voit sur la   fig.   8. 



   La pellicule 94 se déplace dans la directi   @@n-   diquée à   travers   une chambre ou canal inférieur 94a   @   elle est absolument à   l'abri   du contact avec l'air et où elle ne frotte pas contre les parois dudit canal; en conséquence, elle attaque sous une forme non brisée,non divisée et non oxydée l'ouverture d'alimentation   d'un   moule ou d'une matrice 95 pour venir frapper le contour des cavités ou empreintes 96 de   ce   moule ou de cette matrice et pour se conformer d'el- le-même, sous l'action de sa vitesse de déplacement,au con- tour desdites cavités ou empreintes.

   Un tuyau 97 aboutit à l'espace   98   pour aspirer   l'air   contenu dans cet   espace   afin d'exécuter toute l'opération sous vide ou pour faire circuler ou introduire des gaz de différentes compositions dans l'espa- ce er question lorsqu'on désire agir dans une   atmosphère   spé- ciale pour développer une réaction chimique désirée aved la pellicule ou les pellicules de métal fondu. 

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   Bien que le moule ou la matrice 95 puisse être de toutes forme et construction convenables, on a   représenté     sur¯ le   dessin un moule ou une matrice faite en deux parties, chacune d'elles étant reliée par une tige   99   un piston 100 à   commande   pneumatique ou hydraulique. La matrice comporte des plaques-noyaux 101 et des plaques d'éjection 102 Il est à remarquer cependant que d'autres types de moules on de ma- trices peuvent être utilisés avec la machine décrito, car exemple des lingotières, des moules à sable ou des noules con- tinus.

   La machine   représentée.sur   la fig. 8 peut être établie à des dimensions et avec une capacité telles qu'une pellicule épaisse obtenue par réunion soit formée, refroidie et diri- gée à une vitesse relativement faible dons un moule, ou bien ladite machine peut être établie à des dimensions telles qu'elle   résiste   aux fortes vitesses périphériques des faces cylindriques pour forcer doux pellicules extrêmement minces centième de l'ordre d'un de millimètre d'épaisseur et pour entraîner la pellicule formée par réunion des deux pellieu- les précitées, dans des cavités de matrice ou de moule sans qu'il y ait, sous l'effet du frottement, perte de   vitesse,   les vitesses ainsi obtenues étant des vitesses qui n'ont pas pu jusqu'ici être réalisées dans les machines actuelles de coulée sous pression.

   Les produits coulés sous pression ou autres produits sont en outre caractérisés par le fait que toute leur nasse présente   la   nouvelle structure   primaire   désirable qui a été décrite ci-dessus. 



   Sur la fig, 9, on a représenté un mode de   réali-     sation   modifié d'un appareil   qui.,,   à certains égards; est d'une façon générale analogue à l'appareil de la fig. 8 et qui cst destiné à former d'une façon intermittente à partir d'un courant unique de matière fondue une succession de produits moulés ou coulés sous pression. Sur ladite fig. 9, 

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 la référence 117 désigne un récipient pour le métal   -Pondu   ou 
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 autre matière fondu,, cc récipient pouvant être faJi -- oute matière convenable susceptible de résister à la t,> zure dé -',;,bst8ncú fondue 118 qu'il contient.

   Ce réciT)- c:i-, 11?. - muni d'un couvercle 119 pY:1nt, d'un côté . il;: nol.- vor', " 0 e chargement 120 au moyen de laquelle du :nÉ.' ru -,-'on- du être introduit dans lu récipient à partie (- louer de on, d'une poche ou d'un autre appareil t:; , 1 ¯; ^.n rùp:;-,:, .\.:"'lté ou au moyen de laquelle du métal p-,u--v :'\ j: : .1"ro-   duit 2     l'état   solide. 



   Il est à remarquer que le récipient   117   est   entou-   
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 ré p:j une pièce moulée 121 placée à une certaine dic- G.1YlCe du récipient 117 et ayant une forme générale analogue à celle du   récipient   lui-même; on   forme   ainsi une chambre 122 entre 
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 le récipient 117 et la pièce moulée 121.

   Des gj'1z c:!.,' JClq peu- vent circuler BK-ixjE dnJ;lS cette chambre dans le but 0 .' .1:'.n- tenir la matière contenue dans le récipient à l'état   .1: ¯Indu   ou dans le but de fondre cette matière si c'est une lère   à   faible point de fusion telle que le plomb, le   zinc, ,   alu- minium ou leurs alliages.   Cette   fusion ou ce maintien a l'état de fusion peut être obtenu au moyen d'un ou de plu- sieurs brûleurs 123 d,. tout type convenable, brûleurs qui sont   alimentés par   du gaz ou par tout autre combustible con- venable dans le but de maintenir la chambre 122 remplie de gaz chauds de combustion, un carneau de sortie étant prévu, en   124.   



   Au fond du récipient 117 est prévue une ouverture 125 dans laquelle est placé un tube de déchargement 126 dont le   p@asage   s'évase vers l'extrémité supérieure   en 123   pour former un siège pour la partie inférieure du clapet   129.   Ce- lui- ci est fixé à une plaque 130 et descend à partir de cette 
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 pl[,Cl1J.I (ui est supportée par une pièce verticale l3J., laquel- le -" associée à la pièce coulée 121 de telle nn1 r,:: q)e 

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 les pièces   130   et 131, et par conséquent le clapet, puissent être soulevées et abaissées dans le but d'ouvrir et .de fermer respectivement l'orifice prévu nu fond du -récipient.

   Le sou- lèvement et l'abaissement pouvent être réalises de toute' manière convenable, par exemple par l'utilisation d'une tige 132 fixée à une extrémité à la plaque 130 et agissant dans un cylindre à piston,dans un dnsh-pot ou dans un solénoîde 133. 



  La pièce moulée 121 fait partie, comme on l'a indiqué, de la pièce coulée principale 134 sur laquelle   l'appareil   est monté. 



   A partir de la portion inférieure de la pièce mou- lée 121 s'étend vers le bas une pièce moulée tubulaire 135 légèrement arquée; cette pièce comporte une paroi latérale continue 136 et une paroi latérale discontinue 137, les sur- faces interrompues de cette dernière étant formées suivant un arc de cercle et formant ainsi des surface de support dans un but qui sera indiqué par la suite, ces surfaces de support étant maintenues lubrifiées de toute manière convenable. 



   A l'extrémité inférieure de cette pièce moulé ar- quée 135 est associé un moule ou une matrice convenable 138 qui peut être de toute forme désiréc convenable, ce moule (ou cette matrice)ne faisant pas en lui-même partie de   l'inven-   tion. Ledit moule (ou ladite matrice) est formé en deux par- ties présentant les rainures ou les contours désirés à l'in- térieur de façon que lorsque les deux parties sont assemblées, les rainures ou évidements en question définissent la forme du produit à fabriquer. 



   Sur la pièce moulée principale 135 est monté un   cy-   lindre 139 relativement grande ce cylindre étant muni de re- bords circulaires   140.   Ce cylindre est entraîné par un arbre excentré 141 muni d'une poulie   141.   Une roue à pignon ou un disque 142 de faibles dimensions est muni d'une poulie 143 et est entrainé par courroie au chaîne   144.   Du fait de cette disposition, le cylindre 139 peut osciller   au@our   de l'arbre 

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   @41   pour venir dans la position indiquée en pointillés en 
139a. La pièce 142 en même temps se déplace jusqu'à la position indiquée en pointillés en 142a.

   Dans ces positions, la   machine   est inopérante, mais elle peut être facilement mise en action de nouveau si l'on   ramené   les divers organes à leur position   indiquée'en     traita   pleins. les positions représentées en pointillé, des   réparations   ou des   réglages'peuvent   être faits si cela est nécessaire ou bien encore la machine peut simple- ment rester au repos,, 
Un cylindre 145 dans   lequel   agit un piston muni d'u- ne tige 146 sert à déplacer le disque 142 jusqu'à la position 
142a et vice-versa.

   Pour chaque position du disque 142, le cylindre à rebords 139 a une position correspondante, Un galet, une roue dentée ou un organe analogue 147'est prévu à l'extrémité de la tige de piston 146 pour permettre la   comman-   de. Puisque l'appareil fonctionne d'une façon intermittente ou discontinue, il est   avantageux   que le disque 142 ct le cy- lindre à rebords 139 soient à la position de repos à partir de laquelle ils peuvent être rapidement et facilement ramenés à la position de travail lorsque la   matière     118   s'écoule à   tra-   vers l'appareil pour produire une pellicule ou couche   147.   



   Lorsque   l'appareil     représenté   sur la fig. 9 fonction- ne, de la matière fondue est chargée dans le récipient 117 et la température de cette matière est maintenue suffisamment élevée pour qu'elle reste à   l'état   fondu. Le cylindre à re- bords 139 est alors déplacé dans la position indiquée en traits pleins, position dans laquelle ce cylindre ferme   la   partie discontinue 137 de   la   pièce moulée 135; le cylindre tourne alors en sens inverse des aiguilles d'une montre à une vitesse convenable.

   A ce moment, le clapet 129 est soulevé pen- dant une période de temps suffisante pour permettre à une quan- tité suffisante de matière fondue   d'être   déchargée par le tube 

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 126 pour remplir le moule ou la matrice 138, cette quantité étant déjà connue ou ayant été calculée antérieurement, comme il est facile de le comprendre d'après la   description   qui a été donnée à propos de la fig.   8.   Le clapet est ensuite abaissé pour fermer l'orifice après que la quantité désirée . de matière fondue n été déchargée.

   Lorsque la matière fon- due abandonne le tube 126, elle est interceptée par la surf- ce métallique du cylindre à rebords 139 et elle subit   immédia--   tement une accélération pour prendre la vitesse de ce cylin-   dro.   Pendant ce temps, le métal prend une forme analogue à une pellicule et devient plastique ou semi-solide à un degré suffisant pour qu'il puisse être nettement et proprement sé- paré du cylindre comme on l'a représenté et pour qu'il puisse se déplacer à la vitesse qu'il a acquise et dans la direction qu'il a prise jusqu'aux cavités du moule ou de la matrice où, sous l'action de sa force de choc, un produit'moulé ou coulé sous pression est formé, produit qui ait la structure primai- re refroidie et solidifiée et à composition uniforme telle qu'elle a été décrite précédemment.

   Comme on l'a expliqué précédemment, en outre, la durée de contact du métal et du cylindre est déterminée à   l'avance   pour obtenir l'état requis du métal. Après le temps nécessaire désiré, le moule est ou- vert et le produit ust enlevé de cc moule, cc produit ayant des propriétés et des caractéristiques au moins égales à cel-   les   des produits obtenus par certains procédés ordinaires et, dans beaucoup de cas, il a des qualités qui dépassent celles des produits antérieurs. 



   Il a été indiqué précédemment que l'appareil des fig. 1 et 2 pouvait être utilisé pour la fabrication de pou- dres à partir de la matière primitive. Il est évident que cela est également vrai de l'appareil représenté sur les au- 

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 tros figures; pour ce dernier, il est simplement nécessaire d'éviter l' action de choc grâce à laquelle   les   particules sous- refroidies   adhèrent   les unes aux autres   et. de..permettre   aux   -dites-particules   de se déplacer sur une distance telle qu'el-   solidifient   individuellement pour former la poudre constituée par de petites particules solides.

   Les moules représentés sur le dessin peuvent être remplacés par des récipients convenables placés dans une position telle qu'ils reçoivent et qu'ils recueillent la poudre en question. 



   Dans les divers modes de réalisation   d'appareils   représentés sur le dessin,   on [1   montré des moules qui sont susceptibles de donner des produits coulés individuels de forme prédéterminée. Toutefois, il doit être entendu qu'on peut utiliser des moules à partir desquels le produit est enlevé d'une   façon   continue, par   exemple-des .moules   ouverts aux extrémités peuvent être prévus pour la formation de ti- ges, de barres ou objets analogues, moules dans lesquels le produit est continuellement formé, à une extrémité, à partis de particules so choquant et est   cvacué   à l'autre extrémité suivant une longueur continue du produit,   par   des rouleaux, galets ou autres organes analogues. 



   En outre, un dispositif susceptible de soumettre le courant de particules sous-refroidies à des forces de façonnage convenables à l'intérieur du moule peut être prévu, grâce à quoi des produits creux tels que des tubes peuvent être obtenus. Par exemple, un mandrin rotatif peut être placé au centre du moule tubulaire ouvert aux extrémi- tés et le courant de particules sous-refroidies peut être projeté dans le moule au voisinage de sa partie latérale. 



  Le courant de particules est en conséquence conformé et consolidé lorsque le   mandrin   tourne pour se transformer en une pièce tubulaire correspondant à   la   partie annulaire pré- 

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 vue entre le moule et le mandrin; une longueur continue de tube peut être évacuée par l'extrémité ouverte du moule. Ce tube a une structure cristalline analogue à celle des pro- duits auxquels il a été fait allusion ci-dessus. 



   Il est évident que de nombreuses autres modifica-   tions   pourraient être apportées aux dispositifs décrits et représentés sans que l'économie générale de l'invention s'en trouve pour cela altérée. 



   REVENDICATIONS 
1. Produit tiré de matière fondue et caractérisé par le fait qu'il est formé de particules de ladite matière qui a été sous-refroidie à une température prédéterminée in- férieure au point de solidification de la matière, ces par- ticules étant agrégées les unes aux autres pour former un produit ayant une structure cristalline homogène. 



   2. produit tel que celui   revendiqué   sous 1 et caractérisé par le fait que les particules sous-refroidies précitées ont été agrégées les unes aux autres pendant qu'elles se trouvaient encore à une température inférieure au point de solidification précité pour former un solide homo- gène ayant uné structure cristalline primaire formée de pe- tits cristaux non orientés, ayant des dimensions sensible- ment identiques et ayant la même composition chimique que la matière fondue primitive. 

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  DESCRIPTIVE MEMORY filed in support of an INVENTION PATENT application "Improvements to products made from molten material".



   The present invention relates to the manufacture of products derived from metallic or non-metallic molten material.



   The object of the invention is the formation of metallic and non-metallic products of various kinds from materials subjected to controlled cooling or which are in the plastic state, but not in their named molten state.



   The invention also relates to the training

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 such products having a fine, uniform and homogeneous primary crystal structure.



   Most of the metal products obtained so far have come from molten metal which had been poured into an ingot mold, sand casting mold, die, or between forming rolls while this metal was in the state. liquid. As the temperature decreased, the molten metal went into a solid state, the solid crystals first forming against the walls of the die or roll mold and propagating to the inner part of the product, through the still liquid core, which gave the cast product a structure presenting three distinct zones with different characteristics, namely:

   
1 / an envelope or layer solidified at the periphery of the product, this layer being formed of small non-oriented crystals (that is to say, arranged randomly) and similar to strings or veins; the physical properties of this solidified and cooled layer are generally much better than those of other parts of the product and of the finished product after mechanical work; this is due to the fact that its chemical composition is homogeneous, free from separation or segregation and corresponds exactly to the composition of the molten metal, the latter being homogeneous in the furnace or in the ladle;
2 / a layer of long, column-shaped crystals (also called needles) oriented along the crystal growth axis which is opposite to the direction of heat flow;

   
3 / a central zone of large crystals with equidistant axes.

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   This heterogeneous crystal structure is further characterized by selective separation of alloy constituents and impurities, by gas occlusions, by shrinkage, by cavities of various kinds and by other phenomena known as. general name of "ingotism". This ingotism is mainly due to the heterogeneous crystal structure exhibited by all the metal products obtained so far in industry.



   This common method of manufacturing metal products has a decisive influence on the physical and other properties and characteristics of industrial products either when they are cast or when they are mechanically worked, for example by forging, rolling, extruding or otherwise. mechanical training, or when they have been thermally treated.

   It is generally accepted that this is due to the fact that the structure of the final product (or secondary structure) still retains some of the characteristics of its heterogeneous primitive crystal formation at the time of solidification of the molten metal or is affected by certain characteristics. of these characteristics, which has the effect of preventing obtaining the optimum theoretical properties. the aim of metallurgy for years has been to obtain in metal products a truly homogeneous and uniform crystalline structure and to research safe procedures to obtain this structure.



   Various recent researches in the crystallization of metals have shown that the unoriented crystal structure of the solidified layer of an ingot is due to the severe cooling (or sub-cooling) resulting from the contact of the molten material with the cold walls of the mold. , contact which practically creates a spontaneous crystallization free from any segregation or separation in the

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 solidified layer in question; this crystallization or solidification causes it to change from the oriented crystalline structure to a non-oriented strand or vein crystal structure. The cross section of the crystals in the solidified layer decreases as the rate of crystallization increases.

   In general, the primary structure of any metal is controlled by the following two factors: a) the number of crystal nuclei per unit of weight and time at a determined temperature; b) the rate of crystallization which depends on the rate of dissipation of the latent heat of fusion.



   The term 'subcooling' used above indicates a condition which arises when, at the defined temperature near or below the point of crystallization, equilibrium conditions are not reached, ie. that is, when the solid phase does not appear.

   Thus the metal is in a meta-stable state. Research on the subcooling of metals and alloys has shown that this condition can occur for certain metals subcooled to temperatures ranging from 0.1 to 0.3; for other metals such as gold, copper, bismuth, antimony, lead, tin and a number of sub-cooled alloys these temperatures can reach 30 to 45; thus all metals and alloys can be placed in a subcooled state in which they largely retain the mobility of a liquid, although some of the solid phase may be precipitated;

   in this state, metals and alloys can flow into molds or dies and take their shape on their own. to make clear the distinction between the molten state and the subcooled state above stated, we can say

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 that the molten state is that in which the molten metal or alloy is liquid and able to flow freely by gravity;

   its total heat is the quantity of heat required to bring it to its melting point, plus the quantity of heat required which corresponds to its heat of fusion, plus the quantity of additional heat used as superheating in industrial treatments, superheating which can range from a small number of degrees up to 100 and 150 in the case of steel, special steel or other high melting point metals or alloys.

   The state of under-cooling applied to metals or alloys, a state that it is proposed to establish and control, is a condition which results from the treatment of molten metal or alloy such as the latter is produced in industrial furnaces. current, in order to remove from this metal or alloy all its superheat of fusion and all of its latent heat of fusion or most of its latent heat, in order to bring its temperature either in the vicinity of its crystallization point, or slightly below for metals or alloys having a sufficiently large scale of plasticity before the metal or alloy treated is introduced, forced or pushed into a mold or into a die or cylinders at a determined speed.

   This metal or alloy underlindres a determined speed. Sub-cooled alloy metal introduced into molds or dies or between rollers in this state still has a lot of the mobility of a liquid and, under the action of the speed at which it is pushed, it will easily shape from it - even around molds or dies. The metal in question is further characterized by the fact that each of its smaller component particles already has a crystal nucleus which extends to part or all of each particle depending on the size of the solid phase which has been rushed

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 and therefore depending on the degree of subcooling.



  These sub-cooled particles entrained in a stream, in a mold or in a die will simultaneously conform to the contour of the mold or the die to fill it or it and will crystallize in practice spontaneously from an infinite number of. crystal nuclei throughout the mass of the product formed, which will create in said product a crystalline structure made up of very small, unoriented (that is to say randomly arranged) and threadlike or vein-like crystals, crystals which are distributed in a homogeneous and uniform manner throughout the entire extent of the solid metal product:

   this structure is completely different from the primary structure described above for the previous molten metals or alloys.



   It follows from the above indicated researches made by various scholars that if a metal or alloy can be introduced or forced into a mold or die or between forming rolls while being subcooled, in such a way that it may the maximum number of crystal nuclei per unit weight and at a temperature such that its latent heat of fusion has been partially or totally removed, that metal or alloy, when it flows and conforms by itself in the mold or die will spontaneously crystallize through the entire mass of the finished product in a manner analogous to what occurs in spontaneous crystallization of the cooled and solidified layer of an ingot,

   which has the effect of giving the whole mass of the product the same crystalline structure formed of small unoriented crystals similar to threads or veins and also of giving said product the optimum physical properties.



   The Applicant observed the following.

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   If a drop of liquid, either water, oil, or molten metal, falls on a surface, quickly settles, / substance which is wetted by the liquid, each portion of the liquid drop, when it comes into contact with the rapidly moving surface, wets the surface and adheres to it - it elongates and is carried by the surface in question in such a way that it forms a trail or an elongated film of uniform thickness and having two more or less parabolic ends, the shape, width, length and thickness of this film or trail being determined by the relative speed of the falling drop and of the moving surface .

   Further, in the case of a drop of molten metal, the elongation of that drop and its crystallization or solidification into a solid film or strip are substantially simultaneous. The process used to achieve subcooling is taken from the foregoing observation, but instead of a drop of liquid being used, it is a stream of molten metal such as it is obtained in industrial furnaces.



   A stream of molten metal flowing over a rapidly moving surface, which surface must be wetted by said metal, gives rise to certain determined phenomena. When such a stream of molten metal or any other molten substance flowing from a taphole or nozzle at normal casting temperatures which are used industrially and at a certain speed (determined by the height of the metal in the container, in the ladle or in the furnace which contains it or determined by pumps or mechanical valves which push the said current out of the container), is intercepted by a solid metallic or non-metallic surface, more cold -

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   of,

   free of moisture and moving at a uniform / clean velocity greater than the flow velocity of molten metal, a continuous contact surface is created where the liquid and freely moving metal instantly conforms to itself. even at the solid moving surface. This is what is referred to herein as the wetting action. Under these conditions, the molten or liquid metal is instantaneously and continuously removed from the main part of the liquid stream, being pushed from below said stream in the form of a layer which adheres to the moving surface.



  This layer levels itself hydrostatically as it is carried across the stream of molten metal; said layer carries by itself as much molten metal or substance as it can attract under the action of its intrinsic forces of atomic attraction and molecular cohesion. Thus there is formed from the stream of molten metal a film or continuous layer of uniform section and thickness, which layer adheres to the movable solid surface and which is carried by it, surface to which the film or layer gives off heat from the moment contact is established with her.

   The cross section of this layer of molten metal is regulated and determined directly by the following relation: area of the cross section of the layer multiplied by the speed of the movable metal surface which carries it = cross section of the stream of molten metal multiplied by its flow speed.



   For example, if a stream of molten metal exits a rectangular slit (outlet end of a nozzle, for example) having 5 cm. wide by 1cm, 25 thick at a speed of 0m, 60 per second, flows and is deposited on a metal surface moving at a speed of 15 meters per second.

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 second (ie twenty-five times faster), the layer of molten metal will have a section determined as follows:

   
5 x 1.25 x 0.60 / 15 = 0cm2, 25 and the layer thickness will be:
0cm2, 25 = 0cm, 05 5cm
All metals, alloys and molten substances, when they are in a liquid state and freely mobile (with the exception of certain substances or metals which have a very high surface tension such as mercury), will wet a metal surface. clean, drier and cooler and will adhere to that surface; they will thus be able to undergo an acceleration in order to be brought at the speed and in the direction of the movement of the metal surface in the above-indicated form of a layer or film.

   The adhesive force considered is of considerable value because the wetting between the molten metal and the movable metal surface prevents the presence of air or gas between the molten metal and said film. In addition, the perfect contact due to this wetting gives full freedom to the force of interatomic attraction to be exerted between the metal of the moving surface and the molten metal or alloy used. This force also has a very large value per square centimeter.



   The above two factors, whether there are others or not, can easily be taken into account to consider that the movable metal section and the film of molten metal adhering to it act as a single composite section. moving at the same speed and in the same direction until the layer or film of molten metal has ceased to adhere completely as a result of the contraction of the solidification. Even after loss of adhesion, the now solidified layer or film retains speed and direction

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 primitives which have been communicated to it by the mobile metal surface.



   Although the layer of molten metal still adheres to the moving surface and is carried by it in intimate contact with said surface, at the speed of that surface and in its direction of movement, i.e. as forming in fact a single bi-metallic section, the heat exchange through the entire thickness of the layer of molten metal and of the mobile solid surface is directly proportional to their respective thermal conductivities, to the transmission heat from one to another and the duration of their contact. These coefficients of thermal conductivity are known properties of metals, alloys and many other substances.

   It is therefore possible to mathematically determine and establish the elements of the manufacturing machines, in such a way that any given cooling is carried out exactly and in such a way that the quantity of heat removed from the metal or molten substance in a layer or film.



   From the foregoing it is seen that any determined amount of heat can be removed from any molten metal or film either to cool it slightly, or to subcool it to any desired degree, or again to solidify it completely so that the film can be used continuously when it reaches the desired temperature or subcooling state.

   This state, as has been indicated, results from the determined time and length of contact with the moving surface; the fully formed film or layer is continuously separated from the movable cooling surface at a precisely determined point after this layer has been over a determined length by

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   contact with the. surface in question. When the layer or film is removed, it is directed continuously towards a mold (or a die) in which it is introduced and which is intended to receive it,
In what follows, it will be shown how such results can be achieved in accordance with the present invention.



   When the metal film is to be subjected to reduced cooling (for example when it is to be directed to complicated dies and struck at high speed for die-casting), a movable metal surface made of a metal having conductivity is used. relatively weak, such as steel;

   this surface may be oxidized, spiked or coated with a non-metallic substance to further reduce its thermal conductivity and for the interatomic strength of adhesion of the molten metal layer to said surface while the coating is occurring. wetting action. The extent and duration of the contact between the layer or film and the moving surface is controlled to ensure the removal of the exact amount of heat desired. Immediately as this operation takes place, the direction of the moving surface is abruptly and continuously changed.

   This forces the film to separate from the movable surface at the point indicated above and to maintain, during its movement, the original speed and direction of the movement communicated to it. In this state, it passes directly into the feed orifice of the die and strikes the cavity of this die at high speed.



   When the layer or film is to be subcooled to a state such that it has the maximum number of crystal nuclei and its latent heat of fusion

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 either for the most part or totally removed, a clean, dry metal surface is used to ensure perfect adhesion, wetting and contact of the metal film and to quickly remove the amount of heat from the film in question. The exact amount of heat to be removed from the metal film or layer to bring it to the above indicated state of sub-cooling is calculated and determined mathematically; the same is true of the exact length of contact with the movable metal surface.

   Taking into consideration all the necessary factors, the machine is set up in such a way that the moving surface forms the metal layer to the exact length required and carries this layer, so that immediately afterwards, the direction of movement. of the moving surface is changed abruptly and continuously to create a sufficient force intended to separate the metallic layer and the moving surface and to maintain the metallic layer, during its displacement, in the direction and speed which it has acquired, in the purpose of filling the mold or the die or so that the film is forced to move without being supported in the same direction and at the same speed after leaving the support surface,

   Alternatively, the sub-cooled metal layer can be lifted or otherwise separated from the cooling surface by a mechanical device and directed towards the mold or the die. The layer or film may also be associated and fixed with another sub-cooled layer or film formed in a similar fashion, the composite layer being forced to continue to move in the direction and at the speed acquired, in order to fill molds or dies.

   These results can easily be obtained since, as noted,

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 when the metal layer reaches the above-indicated subcooling state, in which the solid phase is partially or totally precipitated, the adhesion force to the moving metal surface is proportionally so reduced that the layer practically separates itself from the surface; therefore, a change in direction of this surface results in a clean and complete separation. It should be noted that this layer or film still has the original homogeneous composition of the molten metal without segregation.

   Only heat has been removed from this molten metal to create this subcooling state. There is a uniform distribution of crystal nuclei throughout the mass and no change whatsoever has been made or has occurred in its original chemical composition as a result of the lack of contact with other elements or the action of these other elements likely to react chemically with the layer considered. therefore, the products formed from this layer when it fills molds or dies and spontaneously crystallizes will have all the advantages of the homogeneous primary chemical composition of the molten metal combined with a uniform crystal structure free from segregation. .



   The above-described formation of the stream of metal or other molten substance transformed into a film or thin layer, the sub-cooling of this layer and the impact thereof in the die-molds without any contact with air. or gases or without contamination by this air or these gases present industrial advantages which are extremely important and which have been sought for a long time, but which hitherto had never been obtained to the knowledge of the applicant.

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  The operations can be carried out very quickly and are directly applicable to the treatment of the material leaving current melting furnaces at the speed at which the molten metal produced can be disposed of, which makes it possible to maintain the controlled composition and fluidity of said metal. for example, the normal current from a ladle containing steel as it is currently cast in large-sized ingot molds at varying speeds. from 500 to 1500 kg per minute can, as indicated above, be formed into a film and be subcooled to a constant and determined temperature before this film is directed into the molds.

   The necessary equipment is relatively simple and inexpensive, and consumes an insignificant amount of energy. In many cases, the overall operation represents real savings, as the heat from the molten metal film can be easily recovered.



   The present invention differs from prior processes which involved the continuous melting of wires or the like in an oxyacetylene or oxyhydrogen flame and atomizing this product by a stream of air under high pressure. s .. also distinguishes processes in which a small stream of metal at low temperature is atomized by a stream of air or gas under high pressure and is directed to a receiving plate or die. of these processes does not allow the use of molten metals originating from large industrial furnaces and at the usual speed at which these metals are available.

   In addition, the amount of air or gas under high pressure which is necessary for atomization is very expensive per kilog of atomized metal; moreover, the metal

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 so atomized is inevitably oxidized or chemically contaminated. This results in such deterioration or deterioration that the resulting solid atomized product or coating has no real resemblance in appearance or properties to the solid wire or liquid metal from which it was derived. been obtained.



  According to the characteristics of the invention, it is not difficult in industrial applications to produce the movable metal surface in such a metal and having a
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 long, the temperature of the metal section / - and a mobile used for cooling does not exceed one
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 > 1 year, per, ture 260 nvi-rcn any temperature sufficiently 'pmsseu.r temperature of 260 cnvircn or any sufficiently high temperature liable to cause distortion, deformation or deterioration of the surface of the cooling metal used. In this regard, the control factors or desiderata are likely to be determined in a precise manner or to be calculated mathematically in an exact manner.

   Further, since only a limited and defined length of this cooling metal section comes into contact with a molten metal film having a selected desired thickness, this cooling section can be cooled continuously by air, water and gas. water, mercury or some other cooling medium after the metal film has been separated from this section and it can thus be returned to its original temperature before it receives molten metal again.



  In this way, constant temperature conditions are ensured for cooling the molten metal stream and a truly continuous operation is achieved.



   Most metals and alloys µ in the molten state contain dissolved or occluded gases which are released when the solid phase precipitates and the metal solidifies.

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 in a l1loule C% - 't'1.151' E ,, ¯ "Wz are enclosed inside solidified metal products in the form of bubbles or gas pockets' - they are extremely harmful, According to the In the invention, all or substantially all of these gases are free to escape, as they are released and removed while the metal film adhering to the moving surface cools rapidly.

   When the solid phase begins to precipitate before the sub-cooled film is directed into a mold or die, the products formed from this sub-cooled metal or alloy are gas-free.



   When the stream of molten metal from a ladle or furnace is sub-cooled before it is directed into a mold, spontaneous crystallization can be caused throughout the mass of the molded product. constitutes an effective means of determining from the physical point of view, in the formed sclid product, a uniform dimension of the grains. Cortain's variations can be obtained in the cross-section of the uniform crystals formed if one varies and regulates the amount and temperature of the subcooling.



   All of the above applies equally effectively to non-metallic or organic substances in the molten state such as molten glass, molten rocks and the like, the invention not being limited to metals and alloys.



   The present invention makes possible the industrial obtaining and use of the novel and special primary crystal structure which is imparted to metal products according to said invention. This new primary structure which has a high resistance and which has improved physical properties is obtained without labor.

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 mechanical or without heat treatment; it is characterized by small non-oriented crystals (that is to say arranged at random), analogous with threads or veins, of substantially identical cut and size and distributed in a homogeneous and uniform manner. through the whole mass and into each part of the solid product.

   The invention also makes it possible to ensure chemical uniformity throughout the mass of the product and to obtain improved physical properties free of any orientation effect. These qualities are due to the fact that the invention makes it possible to avoid the faults generally inherent in a primary ingot or a molded part, faults such as separation or segregation, non-uniform chemical composition, concentration of impurities and soils bordering on crystals in the form of columns, formation of cavities or passages,

   gas occlusions and the like and also flow lines which form as a result of mechanical work and the crushing of large crystals.



   This new special primary structure retains most of the characteristics indicated above after mechanical work such as rolling, forging and extrusion and (or) after heat treatment, this new structure lending itself more easily due to the structure of previous products. these operations by virtue of its uniformity and giving the product thus worked or treated a differentiating structure from that of similar products originating from an ingot or other molten metal cast in the usual way.

   In addition, the cooling and solidifying effect due to the walls of the mold (occurring when molten metal is poured into a mold), the formation of the subsequent cooled and solidified layer and the distinct zones of crystallization are suppressed in the products.

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 made from sub-r0froii metal or alloy.



  The invention also perceived to obtain a new
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 crystal structure in alloys and more freely in high content alloys or alloying components such as, for example, steel tool steel and stainless steel. In these alloys, -'ri '", they are cast and in the molten state either for the" 1oulil "(11). Sand, or in the molds, a solidification.:. 4'L"' .- : -., e of the component metals. inevitably occurs outside the columnar crystals and at ': xes éCJ.'7Í.0. ::: Ti8nts which form. When this occurs, this scl-51 =: 1'-ia -, = ion selective gives the crystals a Cl1j, ': composition. - "'" more heterogeneous with segregation or separation of ¯. -;. ¯ =; components and impurities bordering on crystals.

   C0 "ci greatly reduces the inherent properties of these alloys, properties due to which r usae has developed, such as resistance to dc, acids, csion. abrasion, ability to retrep0 cut, as well as other physical properties.



  Due to the effect of sub-cooling the molten alloy to the point where it spontaneously crystallizes through the whole mass of the solid product formed; sub-cooling which constitutes one of the essential characteristics of this invention, the original homogeneous composition of the alloy in the molten state is completely maintained in each of the small crystals formed and this composition is still maintained after mechanical work and heat treatment.
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 mique.

   This whole crystal structure: '::,' 1, new and different from that of the other products <<¯; l: considerably increases the known intrinsic properties of these alloys and widens the field of their application ...

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   By causing a stream of molten metal to strike on a rapidly rotating cooled disc or plate and to discharge said stream at the periphery out of contact with air or into a special atmosphere, the sub-cooled plastic film is forced thus formed to break up into fine uniform particles of the same size, shape and composition, these particles moving, unsupported, in the same direction and at the same speed and colliding each other in a mold.

   If the mold is removed or if the particles are forced to move a greater distance or to cool through a solid powdery product, products of any desired composition are obtained which are susceptible to be used in powder metallurgy and other applications.



   In order for the invention to be fully understood, it will now be described and refer to the appended drawing in which:
Fig. 1 is a plan view from above of a rotating atomizing disc and part of a fixed circular receiving mold;
Fig. 2 is a vertical section of the rotary atomizer and of the mold shown in FIG. 1, as well as the receptacle for bringing the molten metal to the atomizer disc;
Fig. 3 is a vertical section through an inclined atomizing disc associated with a different mold which may be fixed or rotating and which is intended to receive the atomized particles in a spiral jet;
Fig. 4 is a section of a product obtained with a machine shown in .fig. 3;

   
Fig. 5 is a vertical section through the atomizer disc shown in FIG. 1 and centering the jets or the

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 atomized metal rain in a rotating mold for shaped tools;
Fig. 6 is a cross section of a shaped tool formed from two layers of metal;
Fig. 7 is a cross section of a shaped tool formed from three layers of steel;
Fig. 8 is a vertical section with part in elevation of an apparatus for casting or pressure casting individual products from a divided and recombined stream of molten metal or other molten material;

   
Fig. 9 is a vertical section: with part in elevation, of an apparatus similar to that shown in FIG. 8, but in which the die-cast or die-cast product is obtained from a single stream of molten metal or other molten material.



   If we refer to them in figs, 1 and 2 we see that the molten metal 14 placed in the receptacle 13 flows through a series of orifices 15, the number, size and shape of which have an influence on the degree of desired subcooling. This molten metal comes into contact with a rotating disc 1 along a circumferential line 2 (fig, 1), this part of the disc already having a considerable peripheral speed which prevents the molten metal from adhering to the atomizing disc or from burn it, which would probably happen if the metal came in contact with the center of the disc.



  The atomizer disc 1 is formed of two parts, an upper part 6 and a lower part 7 separated from each other so that a space 8 is formed between them in which a cooling fluid such as water can be brought, The enu or the cooling fluid is brought to the receiving space 8 by a pipe 9 arranged at

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 the interior of a shaft 91 on which the disc is mounted and leaves the space 8 through a passage 92 provided in the shaft between the fixed water pipe 9 and the axial bore 93 of the shaft.



  The flow of water maintains the atomizer disc at a substantially constant temperature because it absorbs heat. their which was communicated to the disc by the molten metal,
The atomizer disc 1 can rotate in a ball bearing 10 and in other suitable bearings (not shown) and it is driven at a high speed of -dation by a suitable device not shown which is associated with the shaft. 91. The molten metal falling on the rotating disc along the circular line 2 forms a film or layer which extends outwardly on the surface of the upper part 6 of the disc from line 2 to the periphery of the disc. disk; the metal in this layer or film state loses heat on contact with the cooled surface of the disc and is subcooled.

   The layer or film of metal thus sub-cooled, when it leaves the periphery of the disc, breaks and turns into a? fine rain of atomized particles which are entrained at a high speed in a direction which is precisely 90 from the axis of rotation of the disc. The metal particles moving in the form of rain or jet and at a high speed enter the fixed circular mold 16 'through a circular slit 18 which lies exactly in the path of movement of the particles.

   These particles are solidified and are united to each other by contact or shock with each other in the mold and they fill the cavity 4 of the mold. ,
In the embodiment shown in Figs, 1 and 2, the quantity of molten metal sufficient to fill the mold cavity is poured into the container 13.

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  When all the molten metal has been atomized and spread by rain or spray, the upper part 16 of the mold 16 'is lifted to be separated from the lower part 17. The cast product, which may have the shape of a circular element forming a single part or being in the form of two or more sections (three have been shown in fig 1), because of the separating parts 5 are placed in the mold, is separated from part 17. Rolling (for sections thereof) may have a rib cast on the object, this rib corresponding to the feed slot, if excess metal has been poured;

   However, since the slit is on the order of a hundredth of a millimeter or even less, the rib can be easily broken or cut and the sections can be straightened if wedge is required in straightening cylinders. The plates 11 and 12 placed on the parts 16 and 17 of the mold complete the closing of the space in which the disc rotates, the air not being admitted into this space during the casting of the molten metal.

   From this basket, the atomized particles, as they are entrained at high speed in the form of a jet or a rain from the disc and towards the mold cavity, are not subjected to possible oxidation; moreover, preferably, the air which is in the vicinity of the disc is sucked by means of a pipe 19 so that the sub-cooling, the atomization and the shock or contact are carried out under vacuum. If desired, hydrogen, a mixture of hydrogen and nitrogen, lighting gas or gas known in the United States as "blue gas" can be forced. in the space adjacent to the disc and in the mold cavity; such gases are beneficial to the metal which is divided into droplets and molded.



   The subcooling of the metal, the size of the atomized particles and the speed at which the particles

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 are driven can be adjusted at will. The flow of molten metal from the vessel 13 depends on the number and area of the cross sections of the orifices 15 and can be achieved, as to the size and number of the outlet jets, so that from 25 to 50 kg of molten metal per minute. When using a rotating disc having an outer diameter of 30 cm., The molten metal may fall on the circular line 2 of the upper part 6,

     circular line the diameter of which can vary from 5 cm to 25 cm, which has the effect of varying the time during which the film or layer of molten metal in movement is in contact with the upper surface of the disc 1.



  The temperature of the surface 6 of the disc can be regulated by varying the flow of water through the space 8 and it can be kept low or around 150. The speed of the rotating disc can vary in practice from 800 revolutions to 6000 revolutions per minute 9 the higher the speed, the thinner the film formed and the smaller the particle sizes of the molten metal projected or split from the disc and the more The speed and impact energy of these particles are also great.



   By virtue of these various settings, the grain size of the metal produced can be determined and products with greater density and greater strength can be obtained than current industrial products.



  Further, if the flow of molten metal from the vessel is reduced and the length of its travel over the surface of the disc is increased, the metal is sub-cooled, i.e. that it is cooled to a temperature below its solidification point and the film then breaks into particles which are already partly or entirely solid; these

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 The particles, by virtue of their speed, unite with each other by impact or contact to form a solid but sppngious product with uniform voids between the particles.



   If, for example, the sub-cooled solid particles do not collide and shock each other at a small distance after they have left the spinning disc to form a solid product, then if they are allows to move over a distance of several meters before they strike against the walls of the chamber, they do not collide with each other, but are collected in the form of powder.

   Depending on the speed which is used and the degree of subcooling, these particles may be formed into granules of any desired weight, or be in the form of a fine metal powder, the former being suitable for use. for the metallic fittings and the second for the manufacture of metallic paint or for the use in the metallurgy of powder products, This shower of sub-cooled atomized particles, as shown in fig, 2, being obtained either in an airtight chamber or space, or under vacuum, or in a chamber filled with an inert gas, the granules or particles are not subjected to oxidation. In addition, a special gas can be used,

   such as ammonia gas, which dissociates under the effect of the heat of the particles and, when steel or another alloy capable of being nitrided is used, the granules or particles take on a hard and nitrided surface which is useful for different industrial applications.



   The apparatus shown allows the treatment of low melting point metals or alloys, as well as

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 high melting point metals or alloys the flow, subcooling and ionization conditions are adjusted to suit the various metals or alloys. It should further be noted that practically no part of molten metal is lost, for example in the upper parts of the cast products, in the parts containing shrinkages or cavities or in the parts corresponding to the casting jets, parts which, in the solid products formed previously, had to be cut.



   Fig. 3 shows a rotating atomizing disc used in connection with a billet or like product recoil; but in this example the disc, instead of being placed at 90 with respect to the axis of the shaft which makes it rotate, is placed in a direction inclined with respect to this shaft, the extent of the inclination depending of the height of the billet or similar product which must be made in mold 20,21, the mold of which the cavity is in a plane perpendicular to the shaft. In this arrangement, the jet or the rain of metal when it leaves the rotating disc 1 moves in a straight line, as has been indicated.

   by the arrows, exactly 90 from the axis of rotation of the shaft to force the section of the billet or the like by uniform distribution of the particles in a helical path over the entire height or width of the product formed. The mold parts 20 and 21 are stationary or can rotate at low speed. The billets thus forced have satisfactory surfaces, have a uniform structure, are free from shrinkages or cavities formed by contraction and are ready for removal.



   In fig. 4, there is shown a section of a product or molded part as obtained by successively pouring into the container 13 of FIG.

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   certain type of metal (for example 24 stainless steel),
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 then another type of metal 25 (such as low carbon 11) and finally 24 stainless steel again if desired, so that a billet or the like is formed in the mold. of fig. 3, the billet
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 / 'weak kernel nvpnt.

   BXB steel / 'low carbon steel c 1 1 YF'rlt core' -'5 a.cicr fzrXzl'iineur cfrbone f-1 - icus 24 in stainless steel, the layers being perfectly bonded to each other as a result of the impact speed, without there being any impurity, slag or oxide at the place of the junction of the different layers. This operation can be carried out as shown in FIGS, @ and 2 in a closed space or under vacuum or in an atmosphere of useful gases.



   From the same basket, billets or the like copper-coated products having a thin layer of copper tightly bonded to a steel core and various kinds of bi-metallic billets or the like can be obtained. In each case, the junction between the separate metals or alloys is free from gas, oxide and other impurities; furthermore, the products can be rolled or forged without any breakage or repair occurring at the junction points of the separate metals.



   Fig. 5 shows the same rotating disc and the same casting vessel as those shown in Figs. 1 and 2, but the atomized jet is received in a mold 27, 28 which also rotates under the action of a pulley 32, the direction of rotation being the same as that of the rotating disc or being the reverse of the direction. of rotation of this disc. The mold 27, 28 comprises cavities each of which corresponds to the shape of the tools or to the product formed by two or more of these cavities receiving the jet coming from the rotating disc.



  When making cutting tools from two layers of steel,

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 firstly poured into the container 13 a high speed steel of any type of composition used in industry, this steel being transformed into a film we-cooled and tomized whose particles, when they reach the cavities of the mold and in due to the rotation of the mold 27-28, form a layer 35 parallel to the axis of rotation of the mold, Then a special, tenane, resistant steel, such as a chrome-nickel steel or a chrome-vanadium steel , is poured into @pient 13 and is also sub-cooled and atomized;

       This sprayed into a layer 36 adhered to the high speed steel layer 35 until the tool cavities provided in the mold were filled. The second steel is poured into the container before the high speed steel has been completely evacuated, so that the particles of the different kinds of steels are mixed with it. the place of the junction of one layer with the other over a thickness of the order of one millimeter; in this way the two hundredth eye are linked in such an inseparable way that they cannot be separated by any mechanical device.

   To the container 13 can be attached another container 26 into which finely pulverized dobby such as diamond powder or metal carbides can be introduced at the same time as the high speed steel is poured, so that the powdery material is carried over the film of molten metal and is uniformly dispersed in this film.

   When the metal breaks and turns into a rain or jet, the atomized metal particles and the powdered carbides are both entrained together in the layer formed in the rotating die or the rotating mold. A tool is thus obtained comprising hard particles uniformly dispersed in a mass either of high speed steel or of any other bond metal such as cobalt,

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 high resistance nickel or bronze, Into container 26 can be poured another molten metal, for example lead and in container 13 can be poured bronze, so that a larger quantity of lead can be dispersed. sée, in the form of finely divided particles, through the bronze constituting the base metal,

   in order to improve the properties of the bronze intended to form the bearings or supports. Finely pulverized graphite can be used for the same purpose and dispersed through the base metal. In the above, we have described some of the products which can be obtained by forming said products or by means of sub-cooled atomized particles, or rather from a molten metal cast in a mold.



   Cutters of all kinds, drills, drills, circular saws and other tools can be formed from the same hole and have on their outer surface a special hard cutting steel or an abrasion resistant alloy and a core made of a tough, tough steel or other metal disposed therein. Further, as in ordinary die casting machines, insertions of metal dobby or the like may be made in the dies to form part of the casting after the metal particles have consolidated under the action. of the force of the shock.



   Fig. 6 shows a shaping tool brought to the grinding dimension and formed of a layer of high speed steel 35 containing or not containing carbides or diamond powder dispersed in said layer and a layer of resistant steel 36 to support the tool.



   Fig. 7 shows a bar for helical bits, this bar comprising a central layer 37 of high-speed steel or other cutting material sectors and two 38

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 made of heavy-duty steel that prevents the bit from breaking.



   Fig. 8 against a modified embodiment of a cooling and shock machine in which the cooling surfaces used are the faces of two water-cooled rotating cylinders. The main frame 51 supports two fixed shafts 52 and 53 'around which stirrups 54 and 55 can rotate. In the end 56 of the stirrup 54 is supported a water-cooled ring 57, this ring being connected by hollow arms 58 and 59 to a hub 60, the ends of which are in the form of a hollow shaft 61 are supported in bearings 62 which the caliper 54 has.

   This arlre 61 so extends outside the caliper 54, the extension being free to oscillate in the notch 63 presented by the main frame 51. A toothed wheel 64 is keyed or fixed in another way on the extended end of shaft 61; this toothed wheel has the same diametrical pns that approximately the same diametrical pitch as the cylindrical face 57a of the baguo 57. When the ring 57 and the toothed wheel 64 are in the operating position as shown, the toothed wheel 64 is engaged on the toothed wheel 65 of a variable speed control device which is associated with it and which has not been shown.

   Thus, the ring 57 will rotate in the appropriate direction and at any selected and desired peripheral screw,
Water or other cooling liquid is supplied by the hollow arms 58 to the part of the ring 57 with the double envelope; the flow is limited by partitions 66 and 67 and the water is supplied by conduits 68 and 69 in each arm 59. The cooling liquid is brought back to the shaft 61 which has inlet connections d water at one end and water outlet fittings at the other end, allowing continuous circulation

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 water or other liquid cooled.



   Likewise, in the end 70 of the caliper 55 is supported a ring 71 cooled by water. and connected by hollow arms 72 and 73 to a means 74, the ends of which have the shape of a hollow shaft 75 and are supported in bearings 76 presented by the caliper 55. This shaft 75 is extended to the outside. of the caliper 55, the extension being free to oscillate in CI IL, 77 presented by the main frame 51.

   On the extended end of shaft 75 is keyed or otherwise fixed a toothed wheel 78 having the same diametrical pitch or approximately the same diameter pitch as the cylindrical face 79 of the ring 71. When this - The ring 71 and the toothed wheel 79 are in their operating position, as has been shown, the toothed wheel 78 meshed with the; toothed wheel 64 whose rotation will cause the rotation of the: peripheral face 79 of the ring 71 in the opposite direction to that of the movement of the peripheral face 57a of the ring 57, but at the same speed.

   The ring 71 is cooled by a circulation of water in the same manner as that which has been described with regard to the ring 57. The stirrups 54 and 55 each have an extended arm 54a and 55a respectively as on¯1 ' ? represented. A rod 80, the lower part of which supports a sound plate, is fixed to each of these arms. Grooved weights 81 rest on the plates 80a and can be adjusted such that they balance the weight of the calipers 54 and 55, rings 57 and 71 and their gears under a positively adjusted load.



   The width of the peripheral face 79 of the ring 71 and of the peripheral face 57a of the ring 57 is suitably chosen in each case according to the width of the metal film which is desired. The thickness of these cylindrical faces and the material of which they are made (by

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 example steel, cast iron, copper or other highly conductive metals at the thermal point)

     are chosen and determined in such a way that a determined quantity of heat is removed from the films of the various metals or molten substances of various thicknesses which are to be formed on said faces and carried by them in order to achieve adjustable contact lengths determined by the factors which have been indicated above.

   As previously stated, the surface condition of the aforementioned portions 79 and 57a can be selected such that it appropriately influences the rate of heat transfer from the film of the film. molten metal, depending on the results desired in any given case. The diameter of the rings 57 and 71 is chosen sufficiently large so that the heat transmitted to any portion of the faces 57a and 79 is dissipated from this portion by the cooling system before the portion in question receives heat again. molten metal.



   A container 82 is placed above the kind of pocket formed between the rings 57 and 71, this container being carried by supports 83 forming part of the frame 51. This container is intended to receive molten or other molten substance. from a melting furnace or a ladle, not shown; this receptacle is intended to maintain a supply of molten material for the operation of the machine. It may include a valve 84 actuated by a gooseneck and control lever of known construction, which makes it possible to open and close the pouring orifice or nozzle 85.

   Thus, a continuous stream of molten material can be discharged through nozzle 25 or else quantities of molten metal which can be sequentially adjusted can be discharged intermittently.

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   Under the container 82, there is provided a casting 86 forint dispensing chamber having the shape of a rectangular female channel. This chamber is wider than the faces of the rings 57 and 71 and clic comprises two faces disposed opposite this rings and which are machined in a complementary manner with respect to the faces of the rings in question.



  A slit is provided in the middle of the chamber 86, this t feels corresponding to a maximum width of the film which can be forced by the machine, but being narrower than the width of the faces 57a and 79, so that the edges of the film. slot: leave a sufficient surface to bear against the faces of the rings to ensure a perfectly airtight seal between the part 86 and the faces of the aforementioned rings when these rings rotate.

   By virtue of this arrangement, an opening of determined dimensions is formed between the faces of the rings specified μ the location of their points of contact. re grooved or scalloped side parts 87 are provided in the molded part 86, these side parts serving to enclose or retain in place a side trim, which has the effect of still sealing the edges of the parts in a watertight manner. rings 57 and 71. Inside the molded part 86 there is provided a core casting 88 which forms a rectangular chamber having two slots 89 and 90 of selected length and width.



   The metal stream 91 exiting from the nozzle 85 flows through the rectangular chamber which is preferably lined with refractory material; this current is divided into two equal currents which are evacuated through the aforementioned slots 89 and 90. Each of these two currents comes into contact with one of the faces 57a or 79, conforms of itself to said surface and is carried by it in the form of a separate film 92 or 93, the dimensions of which correspond

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 to the feed slots 89 and 90.

   Both dandruff or. layers move at mm (. speed over a long '-.' 'determined: contact with the cylindrical f8C0S: rcfroid',. :: - c1; 1.tes, this length HAS been '? \ nt6ricurur1 \ ,,; ut c'lculÉ'o and .., ¯lz then obtained by elpi! ropriÓ adjustment of the positions c:.,. '; -' ", l1tCS feed 8S and 90, lace so that the r. w -; - -¯, 9th
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 required heat either removed from the films or c ... c au / -courée. onier.t where the predetermined length was?,. ;; ., i r. Upon reaching this point, the two distinct films are caused to aggregate or join together to provide a single recombinant film or strip 94.

   This result can be obtained by adjusting the spacing between faces 57 and 79 of the rings so that this spacing is equal to the total thickness of the two films. The further displacement of the joined film takes place along a straight vertical line, as seen in fig. 8.



   The film 94 moves in the direction indicated through a lower chamber or channel 94a where it is absolutely protected from contact with air and where it does not rub against the walls of said channel; consequently, it attacks in an unbroken, undivided and unoxidized form the feed opening of a mold or a die 95 to strike the contour of the cavities or indentations 96 of this mold or of this die and in order to conform of itself, under the action of its speed of movement, around said cavities or indentations.

   A pipe 97 terminates at the space 98 to suck the air contained in this space in order to carry out the entire operation under vacuum or to circulate or introduce gases of different compositions into the space in question when desires to act in a special atmosphere to develop a desired chemical reaction with the film or films of molten metal.

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   Although the mold or die 95 can be of any suitable shape and construction, the drawing shows a mold or die made of two parts, each of which is connected by a rod 99 to a pneumatically operated piston 100. or hydraulic. The die comprises core plates 101 and ejection plates 102 It should be noted, however, that other types of molds or matrixes can be used with the machine described, for example ingots, sand molds or molds. continuous clouds.

   The machine shown in fig. 8 can be set to dimensions and with a capacity such that a thick film obtained by joining is formed, cooled and directed at a relatively low speed in a mold, or said machine can be set to such dimensions as it resists the high peripheral speeds of the cylindrical faces to force soft extremely thin films hundredth of the order of a millimeter in thickness and to entrain the film formed by joining the two aforementioned films into die cavities or mold without there being, under the effect of friction, loss of speed, the speeds thus obtained being speeds which have not hitherto been possible to be achieved in current die-casting machines.

   Die cast products or other products are further characterized in that their entire trap exhibits the desirable novel primary structure which has been described above.



   In Fig. 9 there is shown a modified embodiment of an apparatus which, in certain respects; is generally similar to the apparatus of FIG. 8 and which is intended to form intermittently from a single stream of molten material a succession of molded or die-cast products. On said fig. 9,

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 the reference 117 designates a container for the metal -Welded or
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 other molten material ,, this container may be faJi - oute suitable material capable of withstanding the t,> zure de - ',;, bst8ncú 118 that it contains.

   This story) - c: i-, 11 ?. - fitted with a 119 pY: 1nt cover, on one side. il ;: nol.- vor ', "0 th loading 120 by means of which of: nÉ.' ru -, - 'on- had to be introduced into the part container (- rent from one, from a pocket or from another device t :;, 1 ¯; ^ .n rùp:; -,:,. \ .: "'lté or by means of which the metal p-, u - v:' \ j:: .1" reduces 2 the solid state.



   It should be noted that the receptacle 117 is surrounded
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 d: j a molded part 121 placed at a certain dic- G.1YlCe from the container 117 and having a general shape similar to that of the container itself; a chamber 122 is thus formed between
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 the container 117 and the molded part 121.

   Some gj'1z c:!., 'JClq can circulate BK-ixjE dnJ; lS this chamber in the goal 0.' .1: '. N- keep the material contained in the receptacle in the state .1: ¯ Indu or with the aim of melting this material if it is a low-melting point such as lead, zinc, , aluminum or their alloys. This fusion or this maintenance in the state of fusion can be obtained by means of one or more burners 123 d i. any suitable type, burners which are supplied with gas or any other suitable fuel for the purpose of keeping the chamber 122 filled with hot combustion gases, an outlet flue being provided, at 124.



   At the bottom of the container 117 is provided an opening 125 in which is placed an unloading tube 126, the port of which widens towards the upper end at 123 to form a seat for the lower part of the valve 129. This is ci is attached to a plate 130 and descends from this
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 pl [, Cl1J.I (ui is supported by a vertical part l3J., which - "associated with the casting 121 of such nn1 r, :: q) e

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 the parts 130 and 131, and therefore the valve, can be raised and lowered in order to open and .de respectively close the orifice provided at the bottom of the container.

   The raising and lowering can be accomplished in any suitable manner, for example by the use of a rod 132 attached at one end to the plate 130 and acting in a piston cylinder, in a dnsh-pot or in a 133 solenoid.



  The casting 121 is, as noted, part of the main casting 134 on which the apparatus is mounted.



   From the lower portion of the molded part 121 extends downwardly a slightly arched tubular molded part 135; this part comprises a continuous side wall 136 and a discontinuous side wall 137, the interrupted surfaces of the latter being formed in an arc of a circle and thus forming support surfaces for a purpose which will be indicated later, these surfaces of support being kept lubricated in any suitable manner.



   Associated with the lower end of this arched molded part 135 is a suitable mold or die 138 which may be of any suitable desired shape, this mold (or die) not in itself forming part of the invention. - tion. Said mold (or said die) is formed in two parts having the desired grooves or contours inside so that when the two parts are assembled, the grooves or recesses in question define the shape of the product to be manufactured. .



   On the main molded part 135 is mounted a relatively large cylinder 139, this cylinder being provided with circular edges 140. This cylinder is driven by an eccentric shaft 141 provided with a pulley 141. A pinion wheel or a disc 142 of small dimensions is provided with a pulley 143 and is driven by a belt to the chain 144. Due to this arrangement, the cylinder 139 can oscillate around the shaft

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   @ 41 to come to the position indicated in dotted lines in
139a. Workpiece 142 at the same time moves to the position shown in dotted lines at 142a.

   In these positions, the machine is inoperative, but it can easily be put into action again if the various components are returned to their position indicated and treated full. the positions shown in dotted lines, repairs or adjustments can be made if necessary or the machine can simply remain at rest,
A cylinder 145 in which a piston provided with a rod 146 acts serves to move the disc 142 to the position
142a and vice versa.

   For each position of disc 142, flanged cylinder 139 has a corresponding position. A roller, toothed wheel, or the like 147 ′ is provided at the end of piston rod 146 to provide control. Since the apparatus operates intermittently or discontinuously, it is advantageous that the disc 142 and the flanged cylinder 139 are in the home position from which they can be quickly and easily returned to the working position. as the material 118 flows through the apparatus to produce a film or layer 147.



   When the apparatus shown in FIG. In operation, molten material is charged into vessel 117 and the temperature of this material is kept high enough to remain in the molten state. The rimmed cylinder 139 is then moved to the position indicated in solid lines, a position in which this cylinder closes the discontinuous part 137 of the molded part 135; the cylinder then rotates counterclockwise at a suitable speed.

   At this point, the valve 129 is lifted for a period of time sufficient to allow a sufficient amount of molten material to be discharged from the tube.

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 126 to fill the mold or die 138, this quantity being already known or having been calculated previously, as it is easy to understand from the description which has been given in connection with FIG. 8. The valve is then lowered to close the orifice after the desired amount. of molten material was discharged.

   When the molten material leaves the tube 126, it is intercepted by the metal surface of the flanged cylinder 139 and it is immediately accelerated to take up the speed of that cylinder. During this time, the metal assumes a film-like form and becomes plastic or semi-solid to a sufficient degree so that it can be neatly and cleanly separated from the cylinder as shown and so that it can. move at the speed it has acquired and in the direction it has taken to the cavities of the mold or die where, under the action of its impact force, a molded or die-cast product is formed which has the cooled and solidified primary structure and uniform composition as previously described.

   As explained above, further, the contact time of the metal and the cylinder is determined in advance to achieve the required state of the metal. After the desired necessary time, the mold is opened and the product is removed from this mold, this product having properties and characteristics at least equal to those of products obtained by certain ordinary processes and, in many cases, it has qualities which exceed those of previous products.



   It was previously indicated that the apparatus of FIGS. 1 and 2 could be used for the manufacture of powders from the original material. It is evident that this is also true of the apparatus shown in the other

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 three figures; for the latter, it is simply necessary to avoid the impact action by which the subcooled particles adhere to each other and. to allow said particles to move a distance such that they individually solidify to form powder consisting of small solid particles.

   The molds shown in the drawing can be replaced by suitable containers placed in a position such that they receive and collect the powder in question.



   In the various embodiments of the apparatus shown in the drawing, molds are shown which are capable of producing individual cast products of predetermined shape. However, it should be understood that molds from which the product is continuously removed can be used, for example, molds open at the ends can be provided for forming rods, bars or objects. analogues, molds in which the product is continuously formed at one end from particles so shocking and is evacuated at the other end along a continuous length of the product, by rollers, rollers or other similar members.



   Further, a device capable of subjecting the stream of sub-cooled particles to suitable shaping forces inside the mold can be provided, whereby hollow products such as tubes can be obtained. For example, a rotating mandrel can be placed in the center of the tubular mold open at the ends and the stream of subcooled particles can be projected into the mold in the vicinity of its side portion.



  The particle stream is accordingly shaped and consolidated as the mandrel rotates to transform into a tubular part corresponding to the pre-annular portion.

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 view between the mold and the mandrel; a continuous length of tube can be discharged through the open end of the mold. This tube has a crystal structure analogous to that of the products alluded to above.



   It is obvious that numerous other modifications could be made to the devices described and shown without the general economy of the invention being thereby impaired.



   CLAIMS
1. Product drawn from molten material and characterized in that it is formed of particles of said material which has been sub-cooled to a predetermined temperature below the solidification point of the material, these particles being aggregated together. to each other to form a product having a homogeneous crystal structure.



   2. product such as that claimed under 1 and characterized in that the aforementioned sub-cooled particles have been aggregated with each other while they were still at a temperature below the aforementioned solidification point to form a homo- gene having a primary crystal structure formed of small unoriented crystals, having substantially the same dimensions and having the same chemical composition as the original melt.

** ATTENTION ** end of DESC field can contain start of CLMS **.


    

Claims (1)

3. Produit moulé tel que celui revendiqué sous 1 ou 2 et caractérisé par le fait que les particules sous-re- froidies précitées ont été projetées individuellement dans un moule de façon que ces particules se choquent dans ledit moule pendant qu'elles se trouvent encore à une température inférieure au point de solidification et forment un produit moulé ayant une structure cristalline solide homogène. <Desc/Clms Page number 41> 3. Molded product such as that claimed under 1 or 2 and characterized in that the aforementioned sub-cooled particles have been individually sprayed into a mold so that these particles collide in said mold while they are still there. at a temperature below the solidifying point and form a molded product having a homogeneous solid crystal structure. <Desc / Clms Page number 41> 4. produit tel que celui revendiqué sous 1, 2 ou 3 et caractérisé par le fait que les particules préci- tées proviennent de la rupture d'uncourant continu analogue à une pellicule de la matière sous-refroidie précitée. 4. product such as that claimed under 1, 2 or 3 and characterized in that the aforementioned particles originate from the rupture of a direct current similar to a film of the aforementioned sub-cooled material. 5. Produit moulé tel que celui revendiqué sous 3 ou 4 et ayant la forme soit d'une pièce moulée individuel- le, soit d'une (pièce ----------- continue de matière moulée continue obtenue par évacuation/de la structure obtenue telle qu'elle a été formée. 5. Molded product such as that claimed in 3 or 4 and having the form either of an individual molded part or of a (continuous ----------- part of continuous molded material obtained by evacuation / of the resulting structure as it was formed. 6. Produit tel que celui revendiqué sous l'une quelconque des revendications précédentes et caractérisé par le fait que les particules précitées ont été soumises à une atmosphère déterminée, soit une atmosphère protectrice, soit une atmosphère susceptible de produire une modification déterminée des particules, avant l'agrégation des particules les unes aux autres pour former le produit. 6. Product such as that claimed in any one of the preceding claims and characterized in that the aforementioned particles have been subjected to a determined atmosphere, either a protective atmosphere or an atmosphere capable of producing a determined modification of the particles, before the aggregation of the particles together to form the product. 7, produit tel que celui revendiqué sous l'une quélconque des revendications précédentes et caractérisé par le fait que des particules uniformément distribuées d'autres matières (par exemple des particules abrasives ou du graphite) ont été introduites sous la forme solide en même temps que les particules fondues précitées, pendant la formation du produit. 7, product such as that claimed under any one of the preceding claims and characterized in that uniformly distributed particles of other materials (for example abrasive particles or graphite) have been introduced in the solid form at the same time as the aforementioned molten particles, during the formation of the product. 8. Produit tel que celui revendiqué sous l'une quelconque des revendications précédentes et caractérisé par le fait qu'il copporte plusieurs couches ou portions de matières différentes faisant corps les unes avec les autres, par exemple un noyau d'acier recouvert d'une couche rela- tivement mince de cuivre. 8. Product such as that claimed under any one of the preceding claims and characterized in that it co-carries several layers or portions of different materials forming one with the other, for example a steel core covered with a relatively thin layer of copper. 9. Produit métallique tel que celui revendiqué sous l'une quelconque des revendications 1 à 8 et ayant la forme d'un outil de coupe. <Desc/Clms Page number 42> 9. A metallic product such as that claimed in any one of claims 1 to 8 and having the form of a cutting tool. <Desc / Clms Page number 42> 10. Produit métallique tel que celui revendiqué sous l'une quelconque des revendications 1 à 8 et ayant la forme d'un outil à coupe rapide à travers la masse duquel des particules dures, telles que des particules de carbure métallique,ou de diamant, sont dispersées. 10. A metallic product such as that claimed in any one of claims 1 to 8 and having the form of a fast cutting tool through the mass of which hard particles, such as particles of metal carbide, or of diamond, are scattered. 11. Produit métallique tel que celui revendiqué sous l'une quelconque des revendications 1 à 8 et ayant la forme d'un outil composé d'une partie en acier rapide et d'une partie en acier spécial tenace. 11. A metal product as claimed in any one of claims 1 to 8 and having the form of a tool composed of a high speed steel part and a tough special steel part. 12. Produit métallique spongieux tel que celui revendiqué sous 1 à 8 et présentant des vides de dimension uniforme, vides qui sont distribués d'une façon uniforme dans le produit en question. 12. A spongy metal product such as that claimed under 1 to 8 and having voids of uniform size, voids which are uniformly distributed throughout the product in question. 13. Produit métallique tel que celui revendiqué sous 1 à 8 et ayant la forme d'une électrode, telle qu'une anode soluble destinée à être utilisée pour les dép8ts: électrolytiques. 13. Metallic product such as that claimed under 1 to 8 and having the form of an electrode, such as a soluble anode intended to be used for electrolytic deposits. 14. Produit tel que celui revendiqué sous l'une quelconque des revendications 1 à 8 et ayant la forme d'un produit creux tel qu'un tube sans soudure. 14. A product such as that claimed in any one of claims 1 to 8 and having the form of a hollow product such as a seamless tube. RESUME SUCCINCT Produit tiré de matière fondue et caractérisé par le fait qu'il est formé de particules de ladite matière, sous-refroidie à une température inférieure au point de solidification, ces particules étant agrégées les unes aux autres pour former un produit ayant une structure cristalli- ne homogène faite de petits cristaux non orientés, ayant sensiblement la même dimension et la même composition chi- mique que la matière fondue primitive; ce produit peut se présenter sous diverses formes : pièce coulée individuelle à une couche, pièce coulée individuelle à plusieurs couches de compositions différentes, pièce coulée dans laquelle sont distribuées uniformément des particules d'autres matières, BRIEF SUMMARY Product taken from molten material and characterized by the fact that it is formed of particles of said material, sub-cooled to a temperature below the solidification point, these particles being aggregated with each other to form a product having a crystalline structure. not homogeneous made up of small, unoriented crystals having substantially the same size and chemical composition as the original melt; this product can be in various forms: individual single-layer casting, individual multi-layer casting of different compositions, casting in which particles of other materials are uniformly distributed,
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