BE424110A - - Google Patents

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BE424110A
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B21MECHANICAL METAL-WORKING WITHOUT ESSENTIALLY REMOVING MATERIAL; PUNCHING METAL
    • B21DWORKING OR PROCESSING OF SHEET METAL OR METAL TUBES, RODS OR PROFILES WITHOUT ESSENTIALLY REMOVING MATERIAL; PUNCHING METAL
    • B21D1/00Straightening, restoring form or removing local distortions of sheet metal or specific articles made therefrom; Stretching sheet metal combined with rolling
    • B21D1/02Straightening, restoring form or removing local distortions of sheet metal or specific articles made therefrom; Stretching sheet metal combined with rolling by rollers

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Mechanical Engineering (AREA)
  • Straightening Metal Sheet-Like Bodies (AREA)

Description


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  Machine à dresser les tôles. 



   La présente invention se rapporte à une machine à dresser les tôles, au moyen de rangées de cylindres dresseurs superposées et décalées l'une par rapport à l'autre, et dont l'écartement peut être réglé. Le réglage de la distance entre les cylindres dresseurs s'effectue en faisant monter ou descendre l'une des deux rangées de cylindres dresseurs. 



   En vue d'obtenir, dans une zone s'étendant dans la direction de traversée de la feuille de tôle à dresser, une flexion plus forte que dans les autres parties de la tôle, on a prévu, dans les machines à dresser les tôles, telles qu'on les connaît à ce jour, des organes porte-cylindres également réglables, grâce auxquels on peut fléchir ces cylindres dresseurs vers la tôle à dresser. Comme organe d'appui, on a déjà utilisé des rouleaux porteurs qui peuvent se déplacer dans le sens longitudinal des cylindres dresseurs, de sorte que ces rouleaux porteurs agissent à l'endroit des cylindres dresseurs où ces derniers devront opé- 

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 rer un fléchissement plus prononcé de la feuille de tôle.

   Cette construction à organes d'appui réglables accuse cependant l'in- convénient que la plus forte flexion des cylindres dresseurs - dans le cas où l'appui ne porterait pas sur la partie médiane de ceux-ci - ne se produit pas à l'endroit où agit le dit appui, mais toujours à un endroit situé vers la partie centrale des cylindres dresseurs. Il en résulte que, dans le cas où le dit appui ne porterait pas sur la partie médiane des cylindres dres- seurs, la flexion maximum n'est pas connue à l'ouvrier préposé à la machine, de sorte que la tôle pourra présenter des défauts. 



   L'objet de la présente invention permet de supprimer ces inconvénients inhérents aux machines connues à dresser les tôles. 



   L'idée nouvelle réside dans le fait que le ou les cylindres dresseurs faisant partie de l'une des deux rangées de cylindres dresseurs et qui sont plus courts que les autres cylindres dres- seurs et peuvent se déplacer longitudinalement par rapport à ces derniers, ainsi que perpendiculairement à la tôle à dresser, affectent une forme sphéroldale. 



   Lorsqu'un cylindre dresseur de cette nouvelle conformation sphéroldale est placé au-dessus de la zone qui, dans la feuille de tôle, doit subir la plus forte flexion, et qu'on le serre alors contre la dite zone, le cylindre dresseur agira sur la feuille de tôle à dresser exactement comme le ferait un cylindre fléchi, à cet endroit, au moyen d'un rouleau d'appui. Cependant, à l'encontre d'un cylindre fléchi comme il vient d'être dit, aucune pression spéciale - destinée à produire la flexion du cylindre dresseur - ne devra être exercée.

   En outre, le fléchis- sement maximum de la feuille de tôle s'effectuera en tout cas à l'endroit même où agit le cylindre dresseur sphéroldal de faible longueur, du fait que son action est directe, par opposition à ce que l'on observe dans les cas de rouleaux d'appui qui, pou- vant se déplacer dans le sens longitudinal, n'agissent sur la tôle à dresser que par l'intermédiaire d'un long cylindre dres- seur fléchi par ces derniers, auquel cas le fléchissement, comme il a déjà été expliqué, ne se produit à l'endroit de la pression 

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 exercée par le rouleau d'appui que lorsque ce dernier occupe la. position médiane, mais nullement dans les autres positions. 



   En vue d'empêcher que la feuille de tôle, lors de son intro- duction entre les cylindres dresseurs, se trouve - par son bord antérieur - arrêtée aux cylindres dresseurs sphéroïdaux, de fai- ble longueur, accusant une position plus avancée que les autres cylindres, arrêt qui déterminerait dans la feuille de tôle des ondulations transversales que, seul, un dressage ultérieur per- mettrait de faire disparaître, et en même temps en vue d'assurer un meilleur guidage de la feuille, la présente invention prévoit encore, à titre de perfectionnement, un dispositif de commande spécial destiné à assurer la rotation de ces petits cylindres dresseurs de forme sphéroïdale. 



   Une telle commande, pour la rotation des petits cylindres dresseurs sphéroïdaux, tout en supprimant les dits désavantages, n'en présente pas moins l'inconvénient qu'il apparaît, sur la tôle à dresser, des figures de dressage indésirables. Plus gran- des seront les forces de rotation qui augmentent au fur et à me- sure de l'accroissement de la pression de flexion, et plus le support des petits cylindres dresseurs sphéroidaux se trouve éloigné de l'endroit de commande de l'arbre de commande, plus fortement se manifestera le dit inconvénient. La raison en est peut-être que l'arbre de commande qui est relativement long et mince, subit, du fait de n'être porté que dans le support des petits cylindres dresseurs, des oscillations propres qui, appa- remment, produisent des vibrations dans le petit cylindre dres- seur en contact direct avec la tôle. 



   Pour parer à cet inconvénient, la présente invention prévoit que l'arbre de commande du ou des petits rouleaux dresseurs est supporté non seulement dans les supports de ces derniers, mais encore - au moins du côté d'où il est commandé - par un palier supplémentaire qui ne gêne en rien le déplacement longitudinal des petits cylindres dresseurs, qui peut participer aux mouvements de montée et de descente de ces derniers et qui, sous l'action d'un ressort ou autre moyen approprié, tend à reprendre la posi- 

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 tion normale, c'est-à-dire celle dans laquelle les petits cylin- dres dresseurs sont au même niveau que leur rangée de cylindres dresseurs. 



   Ce ou ces cylindres dresseurs sphéroïdaux, de faible lon-   gueur,   pourront être utilisés dans le mécanisme de dressage des machines à dresser les tôles, telles qu'on les connaît ; pour ce faire, il est disposé, aux différents endroits désirés, soit au-dessus d'une peire de cylindres dresseurs inférieure s'éten- dant d'un bout à l'autre, soit au-dessous d'une paire de cylin- ,dres dresseurs supérieure s'étendant d'un bout à l'autre, en rem- placement du long cylindre dresseur coopérant avec la dite paire, un ou plusieurs cylindres dresseurs sphéroidaux de plus faible longueur ; ceux-ci peuvent effectuer un mouvement de montée et de descente, indépendamment de la   réglabilité   verticale des cy- lindres dresseurs de la machine.

   De préférence, le montage du ou des petits cylindres dresseurs sphéroidaux s'effectue dans la par- tie centrale du mécanisme de dressage, vu qu'alors la tôle, pen- dant son passage, est tenue, en-deçà: et au-delà de cet.endroit, par les autres cylindres dresseurs de la machine. 



   Le réglage de la distance entre le ou les cylindres dresseurs sphéroidaux et les cylindres dresseurs antagonistes qui, s'éten- dant d'un bout à l'autre, coopèrent avec ces derniers, peut être effectué de différentes manières. Dans les exemples de réalisation représentés au dessin annexé, ce réglage se fait grâce à la mon- tée et la descente des petits cylindres dresseurs sphéroidaux. 



  Toutefois, le même résultat pourrait être obtenu par la montée et la descente des longs cylindres dresseurs, par rapport aux petits cylindres dresseurs de forme sphéroidale. 



   Le dessin annexé représente quatre formes de réalisation de machines à dresser les tôles comportant un ou plusieurs petits cylindres dresseurs sphéroidaux. 



   Les fig.l et 2/3 et 4/5 et 6/8 et 10 représentent, respec- tivement, chacune, une vue de devant et une coupe transversale d'un exemple de réalisation. 

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   La fig.7 est une vue de dessus d'une particularité construc- tive de la troisième forme d'exécution. 



   La fig. 9 est une vue de côté de la quatrième variante. 



   La fig.ll montre, en vue de devant, un détail constructif également de la quatrième forme de réalisation. 



   Dans les trois premières formes d'exécution, les cylindres dresseurs inférieurs b sont disposés dans le bâti de la   machi-   ne, tandis que le   sommier   se trouvant au-dessus du bâti porte les cylindres dresseurs supérieurs c. La distance entre les ran- gées des cylindres   dresseurs b     et.2   peut être réglée au moyen de tiges filetées a2 qui, d'une part, sont disposées, par leur par- tie dépourvue de filet, dans le bâti de la machine, de manière à pouvoir tourner sans se déplacer dans le sens longitudinal, mais dont la partie filetée a3 est guidée, d'autre part, dans des filets femelles du sommier   ..   Le dispositif de réglage pour la distance des rangées des cylindres dresseurs b et c pourrait être de toute autre construction connue en soi. 



   Dans la partie médiane, au-dessus des deux longs cylindres dresseurs b1, b1 s'étendant d'un bout à l'autre, est disposé-, d'après la présente invention, un petit cylindre dresseur d de forme sphéroidale. Indépendamment de la réglabilité verticale réciproque des rangées de cylindres dresseurs b et c, le petit cylindre sphéroïdal d pourra, par rapport à ses cylindres dres- seurs antagonistes b1, b1, être relevé et abaissé en vue d'impri- mer aux tôles e une flexion particulièrement forte dans des zones de faible largeur, dans la direction de la traversée de la tôle. 



   Pour amener le petit cylindre dresseur sphéroidal d à l'en- droit où devra s'opérer la flexion, on le déplace dans le sens de son axe longitudinal ; ce réglage peut être effectué par tout dispositif approprié au but. Dans l'exemple représenté au dessin, ce mécanisme de réglage est constitué par un arbre   fileté f   dis- posé dans le sommier a1 de manière à pouvoir tourner, mais ne pouvant pas se déplacer dans le sens longitudinal. Cette tige commande le support à du petit cylindre dresseur sphéroïdal d, 

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 lequel organe h comporte un filet femelle. En faisant tourner le volant à main f1, on détermine le déplacement du cylindre dres- seur d jusqu'à l'endroit où devra se produire la flexion. 



   La montée ou la descente du petit cylindre dresseur d peut aussi être obtenue par tout dispositif voulu permettant d'obtenir le serrage nécessaire au fléchissement. 



   D'après le premier exemple de réalisation (voir fig,l et 2), on utilise pour ce faire le cylindre excentrique 1 monté dans le sommier al de manière à pouvoir tourner et s'appuyant, à la par- tie supérieure, sur toute sa longueur ; le volant à main il com- mandant l'engrenage à vis sans fin t/u, permet de faire pivoter ce cylindre excentrique qui porte sur le support h du cylindre dresseur sphéroïdal d. 



   Les fig. 3 et 4 représentent un dispositif de fléchissement, à fonctionnement hydraulique, relié à la conduite de pression v et qui, en vue du déplacement longitudinal ,s'appuie au moyen de galets q, contre le sommier a1. 



   Suivant l'exemple de réalisation représenté aux fig.5 à 7, on obtient la pression nécessaire à la flexion au moyen d'un ti- roir en forme de coin r disposé entre le sommier a1 et le support h et dont le déplacement est obtenu en faisant tourner le volant à main   rl   commandant la tige filetée s qui ne peut se déplacer dans le sens longitudinal. 



   Dans toutes les formes de construction représentées, la ro- tation des petits cylindres dresseurs sphéroïdaux d est obtenue du fait que ces derniers sont disposés sur un arbre commandé d1 porté par les supports mobiles   h   et comportant une rainure d5 pour la clavette d6 ; les dits cylindres peuvent se déplacer lon- gitudinalement sur cet arbre. 



   Suivant la quatrième variante, les châssis à palier b2 et c1 portant, respectivement, les cylindres dresseurs inférieurs b et les cylindres dresseurs supérieurs c, sont disposés dans le bâti    de   telle manière que la distance entre les dits cylindres est 

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 également réglable. A cette fin, les châssis à palier cl sont montés dans un sommier a5 qui - la construction en est connue - peut monter et descendre dans le bâti a4 de la machine. Dans cette forme de réalisation, deux cylindres dresseurs   inférieure b   s'é- tendant sur toute la longueur de la machine à dresser les tôles et qui, dans la direction de traversée des feuilles, sont dispo- sés l'un après l'autre, coopèrent avec deux petits cylindres dresseurs sphéroïdaux d, placés l'un à côté de l'autre.

   Afin d'o- pérer le fléchissement spécial désiré, les cylindres dresseurs d peuvent, indépendamment des autres cylindres dresseurs supérieurs c, monter et descendre par rapport à leurs deux cylindres dres- seurs antagonistes b. 



   En vue de placer les cylindres dresseurs sphéroïdaux d à l'endroit correspondant à la zone   qui,   dans la tôle à dresser, doit subir une flexion particulièrement prononcée, il faut égale- ment déplacer ces cylindres d le long des cylindres dresseurs b. 



  Le dispositif de réglage consiste par exemple en deux arbres file- tés f2 et g, dont l'un traverse l'autre ; ces arbres sont montés dans le sommier a5 de manière à pouvoir tourner, sans pouvoir se    déplacer longitudinalement ; rapport au sommier ils sont   également immobiles dans le sens vertical, et ils sont vissés dans les filets femelles   hl   (voir   fig.10)   prévus dans les supports h, et ce de telle manière que ces organes à filet femelle peuvent monter et descendre, mais ne peuvent se déplacer dans le sens de la longueur. En faisant tourner les volants à   main f     et =1,   on amène les organes à filet femelle hl et, avec ceux-ci les supports h et ainsi donc les cylindres dresseurs d, aux endroits où le fléchissement désiré doit se produire.

   L'arbre fileté g est creux et est traversé par l'arbre fileté f2, par la partie dépourvue de filet, de celui-ci. 



   Les moyens destinés à effectuer la montée et la descente des deux cylindres dresseurs d sont, dans ce quatrième exemple de réalisation, conçus de telle manière que chaque cylindre puisse 

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 être monté ou abaissé, individuellement, jusqu'à l'obtention du serrage désiré. Pour ce faire, il est joint, à chaque cylindre dresseur   d,   un cylindre excentrique n   (fig.10)   ou o pouvant pi- voter dans le sommier a5 et s'appuyant contre celui-ci. Chacun de ces cylindres excentriques est commandé par un engrenage à vis sans fin n1 ou o1 ; en vue de pouvoir actionner le cylindre excentrique n, celui-ci comporte une partie de plus faible dia- mètre qui traverse le cylindre excentrique o. 



   Dans le présent exemple de réalisation, la rotation des cy- lindres dresseurs d est assurée par un arbre de commande qui se compose des parties d2 et d3 et de l'organe d'accouplement élas- tique d4 reliant ces deux parties l'une à l'autre. Exactement comme les cylindres dresseurs b et c, l'arbre de commande d2, d3, d4 est actionné, par l'intermédiaire d'une pièce intercalaire d7, par des dispositifs de commande tels qu'on les utilise d'or- dinaire dans les machines à dresser les tôles. La rotation des organes      et d3 est transmise aux cylindres dresseurs d au moyen d'une rainure d5 dans laquelle peut se déplacer une clavette d6 qui est fixée à demeure dans les cylindres dresseurs d.

   En vue d'empêcher les arêtes vives de la rainure d5 de venir en contact avec les coussinets des supports h, il est disposé, sur les par- ties d2 et d3 de l'arbre de commande, des douilles de protection d3 (fig.ll) qui tournent avec les parties d2 et d 3. 



   Suivant la présente invention, les parties d2 et d3 sont portées non seulement dans les supports h., mais encore dans des paliers disposés de telle manière qu'ils ne gênent pas le dépla- cement longitudinal des cylindres dresseurs d, tout en pouvant participer aux mouvements de montée et de descente de ceux-ci ; en outre, sous l'action des ressorts hélicoidaux k1, ils tendent à revenir dans la position normale, c'est-à-dire celle qui est représentée aux figures 9 et 10, position dans laquelle les cy- lindres dresseurs d se trouvent à la même hauteur que les cylin- dres dresseurs c. L'emplacement approprié pour ces paliers sup-   plémentaires   se trouve entre les châssis à palier c1 des cylin- dres dresseurs c   (fig.9).   

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   Les paliers k y sont disposés de sorte qu'ils ne peuvent céder dans la direction de traversée des tôles et sont, au moyen de tiges k2 avec ressorts hélicoidaux kl, suspendus dans le som- mier a5 de telle manière qu'ils pourront participer aux mouve- ments de montée et de descente qu'effectuent les supports h et, avec ceux-ci, les organes d2 et d3 de l'arbre de commande. 



   Dans la dite position normale des cylindres dresseurs d lors de laquelle les paliers k reposent, par l'intermédiaire des tiges k2 et de la pièce d'appui k3, contre les disques excentri- ques n2 ou o2, les ressorts hélicoidaux k1 sont quelque peu tendus, ce que l'1on obtient par un serrage approprié des écrous   k4   (fig. 9). Le poids des paliers k et de leurs organes de régla- ge et de fixation k1, k2, k3 et k4 sera donc supporté tout à fait et directement par le sommier a5;il en est de même du poids des supports h.

   A cette fin, ceux-ci comportent un évide- ment h2 (fig.10) dans lequel pénètre la proéminence a6 du sommier a5; sur cette proéminence repose, par l'intermédiaire d'une base ml mobile sur la proéminence a6, un ressort hélicoïdal m, dont l'autre extrémité s'appuie contre la partie h3 du support   h.   Au lieu de prévoir les évidements destinés à recevoir les ressorts m, dans le support h, on pourrait tout aussi bien les disposer dans le sommier a5, cette variante constructive étant également représentée à la fig.10. Dans ce cas, la proéminence h4 du support h pénètre dans l'évidement a7 du sommier a5.

   Le ressort de suspension m repose alors, d'une part sur la proémi- nence   h4   et, d'autre part, sur l'appui m2 qui, par rapport au sommier a5, peut se déplacer dans le sens de la longueur des cy- lindres dresseurs, et qui pénètre dans un petit logement h5 pra- tiqué dans le support h, de sorte que cette pièce participe aux déplacements de ce dernier, le long des cylindres dresseurs. La tension des ressorts m est réglée de telle manière que le poids des supports h ne constitue pas de charge pour les parties d2 et d3 d3 l'arbre de commande, et que ces supports h s'appuient toujours, avec une certaine tension, contre les cylindres excen- triques n et o. 

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   Les disques excentriques n2 et o2 sont fixés sur les touril- lons des cylindres excentriques n et o, et participent aux pivo- tements de ces derniers. Leur pourtour est tel qu'ils transmet- tent, par l'intermédiaire de la pièce   k3   et des tiges k2, aux paliers k, exactement le même mouvement perpendiculaire à la longueur des cylindres dresseurs, que les cylindres excentriques   n   et o par rapport aux supports h.

   Il en résulte que chaque pa- lier k des parties d2 / d3 de l'arbre de commande se trouve tou- jours au même niveau que les paliers du support   h   correspondant, de sorte qu'on empêche tout effort de flexion dans les parties d2 et d3 de l'arbre de commande, inconvénient qui pourrait par exemple résulter du fait, que les parties d2 ou d3 de l'arbre de- vraient, lors de la descente des cylindres dresseurs d, entraîner elles-mêmes vers le bas leurs paliers k. Les écarts relativement insignifiants dans la position verticale des parties d'arbre d2 et d3,sont compensés par l'organe d'accouplement   d4   ou tout au- tre dispositif d'accouplement approprié au but. 



   En prolongeant les cylindres excentriques n et o, des deux côtés frontaux du sommier a5, les pièces k3 pourraient, sous l'action des ressorts k1, être directement en contact avec les extrémités ainsi prolongées des cylindres n et o, variante cons- tructive qui ne nécessiterait plus les disques excentriques n2 et o2. 



   Le fait de prévoir des paliers k aux extrémités extérieures des parties d2 et d3 de l'arbre de commande apporte encore l'avan- tage que ceux-ci servent d'organe d'appui à un ressort   hélicoï-   dal en forme de ruban p   (fig.ll),   placé autour de chaque arbre partiel d2 et   d3 ;   l'autre extrémité de ce ressort vient se met- tre contre le support   h,   le diamètre de ce ressort étant égal ou légèrement inférieur à celui des cylindres dresseurs c.

   Ce ressort hélicoïdal plat occupe, quelle quesoit la position des cylindres dresseurs d. automatiquement tout l'espace libre compris entre le support   h   et le palier k, ce qui empêche que, lors de l'étirage par exemple de zones médianes longitudinales des feuil- 

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 les de tôle, les coins au bord avant de celles-ci se contournent vers le haut, inconvénient qui déterminerait l'arrêt de la tôle étirée dans sa partie médiane longitudinale, les dits coins con- tournés se heurtant au cylindre dresseur c qui suit le cylindre dresseur d, tandis que la partie arrière de la feuille de tôle continue à avancer de sorte que celle-ci subit des déformations et des bosses telles qu'elle deviendra inutilisable ;

   à ces in- convénients s'ajoutent les difficultés et la perte de temps qu'il y a à l'enlèvement, des rangées de cylindres dresseurs, de la feuille de tôle déformée. 



   D'après le quatrième exemple de réalisation, la rangée su- périeure de cylindres dresseurs c comprenant les petits cylindres sphéroidaux d peut monter et descendre non seulement par rapport aux cylindres inférieurs b, mais pourra encore, par rapport à ces derniers, être inclinée de la manière connue, de telle sorte que les deux plans dans lesquels se trouvent, d'une part, les axes longitudinaux des cylindres dresseurs supérieurs c et, d'autre part, ceux des cylindres dresseurs inférieurs b, forment un angle aigu, ce qui est d'une grande importance pour la sortie bien plane des feuilles de tôle entrant au sommet de l'angle, entre les cylindres dresseurs b et   c.   



   REVENDICATIONS. 



   1. Machine à dresser les tôles à deux rangées de cylindres dresseurs dont l'écartement réciproque est réglable, caractérisée en ce que le ou les cylindres dresseurs (d ou d d) faisant par- tie de l'une de ces rangées et qui sont plus courts que les aù- , tres cylindres dresseurs (b bl c) et qui peuvent, par rapport à ces derniers, se déplacer longitudinalement, et perpendiculaire- ment contre la tôle à dresser (e), accusent une forme sphéroidale.

Claims (1)

  1. 2. Machine à dresser les tôles suivant revendication 1, ca- ractérisée en ce que le déplacement longitudinal du petit cylin- dre dresseur sphéroïdal (d) s'opère à l'aide d'un arbre fileté <Desc/Clms Page number 12> (f, f2,g) pouvant tourner mais ne pouvant se déplacer longitudi- nalement et aboutissant dans un filet femelle pratiqué dans le support (h) mobile dans le sens longitudinal et portant le petit cylindre dresseur sphéroidal (d).
    3. Machine à dresser les tôles suivant revendications 1 et 2, caractérisée en ce que, dans le cas de plusieurs petits cylin- dres dresseurs sphéroïdaux (d d) juxtaposés, l'un des deux arbres filetés (f2 g) destinés à opérer le déplacement longitudinal de ces derniers forme un tube, de sorte que le second arbre (f2) traverse, par sa partie dépourvue de filet, le premier arbre creux (g).
    4. Machine à dresser les tôles suivant revendication 1, ca- ractérisée en ce que le déplacement vertical du ou des petits cylindres dresseurs sphéroidaux (d d), contre la tôle à dresser (e), s'effectue au moyen d'un cylindre excentrique (i n o) monté de manière à pouvoir pivoter, contre lequel s'appuie le support (h) du cylindre dresseur sphéroïdal (d).
    5. Machine à dresser les tôles suivant revendications 1 et 4, caractérisée en ce que, dans le cas de plusieurs petits cy- lindres dresseurs sphéroïdaux (d d) juxtaposés, l'un des deux cylindres excentriques (n o) destinés à opérer le déplacement vertical de ces derniers forme un tube, tandis que l'autre cy- lindre excentrique (n), en vue du mouvement de pivotement qui doit lui être imprimé, traverse le premier cylindre creux (o), au moyen d'une partie de plus faible diamètre.
    6. Machine à dresser les tôles suivant revendication 1, caractérisée en ce que le déplacement vertical des petits cylin- dres dresseurs sphéroïdaux (d d), vers la tôle à dresser (e) s'effectue, dans chacun d'eux, au moyen d'un tiroir en forme de coin (r) inséré entre le sommier (al) de la machine portant la rangée de cylindres dresseurs (c), et le support (h) du petit cylindre dresseur sphéroidal (d), et dont le déplacement est ef- fectué par un volant à main (r1) commandant une,tige filetée (s) ne pouvant se déplacer dans le sens longitudinal. <Desc/Clms Page number 13>
    7. Machine à dresser les tôles suivant revendication 1, ca- ractérisée en ce que le déplacement vertical du ou des petits cylindres dresseurs sphéroïdaux (d), contre la tôle à dresser (e), s'opère, hydrauliquement, au moyen d'un dispositif de serrage hy- draulique, tel qu'il est représenté aux figures 3 et 4.
    8. Machine à dresser les tôles suivant revendication 1, ca- ractérisée en ce que le ou les petits cylindres dresseurs sphérol- daux (d d) sont aussi munis d'un dispositif assurant leur rotation.
    9. Machine à dresser les tôles suivant revendications 1 et 8, caractérisée en ce que le ou les petits cylindres dresseurs sphéroldaux (d d) comportent un alésage longitudinal et sont dis- posés, de manière à pouvoir être déplacés longitudinalement, sur un arbre commandé (dl) à rainure à clavette porté par des sup - ports mobiles (h).
    10. Machine à dresser les tôles suivant revendications 1, 8 et 9, caractérisée en ce que l'arbre de commande (d2, d3) est porté non seulement dans les supports (h) du ou des cylindres dresseurs sphéroidaux (d d), mais encore - au moins du côté. d'où il reçoit son mouvement de rotation - par un palier supplémentai- re (k) qui ne gêne pas le déplacement longitudinal du ou des pe- tits cylindres sphéroïdaux (d d) et qui peut participer aux mou- vements de montée et de descente de ces derniers, dans des dispo- sitifs de guidage, et qui, sous l'action d'un ressort (k1) ou de tout autre moyen approprié, tend à revenir à la position normale, c'est-à-dire celle dans laquelle le ou les cylindres dresseurs sphéroidaux (d d) se trouvent au même niveau que leur rangée de cylindres dresseurs (c), 11.
    Machine à dresser les tôles suivant revendications 1 et 10, caractérisée en ce que le ou les paliers (k) de l'arbre de commande (d2 d3) sont combinés avec les organes assurant le ré- glage vertical du ou des cylindres dresseurs sphéroidaux (d d), de telle manière qu'ils participent à la montée et à la descente de ceux-ci (d d). <Desc/Clms Page number 14>
    12. Machine à dresser les tôles suivant revendications 1, 4 et 5, caractérisée en ce que le ou les paliers (k) de l'arbre de commande (d2 d3) des cylindres dresseurs coopèrent avec les cylindres excentriques (n ou o), soit directement, soit par l'in- termédiaire de disques excentriques (n2 ou o2) montés sur les tou- rillons de ces derniers, de manière à participer à la montée et à la descente des supports (h) des cylindres dresseurs sphéroi- daux.
    13. Machine à dresser les tôles suivant revendications 1, 8, 9 et 10, comportant plusieurs cylindres dresseurs sphéroïdaux, auxquels est imprimé un mouvement de rotation et qui peuvent monter et descendre indépendamment l'un de l'autre, caractérisée en ce que le mouvement de rotation est transmis par un seul arbre de commande (d2 d3 d4) divisé en plusieurs parties (d2 et d3) dont chacune correspond à un support (h) des cylindres dresseurs sphéroïdaux (d), et dont la position verticale est réglable et reliées l'une à l'autre au moyen d'un organe d'accouplement élastique (d4).
    14. Machine à dresser les tôles suivant revendications 1, 10 à 12, caractérisée en ce que le ou les supports (h) des cylin- dres dresseurs sphéroidaux, ainsi que le ou les paliers (k) de l'arbre de commande s'appuient, au moyen de ressorts (m k1) s'appuyant dans le sommier (a5), respectivement contre les cylin- dres excentriques (n o) ou les disques excentriques (n2 02).
    15. Machine à dresser les tôles suivant revendications 1 et 10, caractérisée en ce qu'il est disposé, sur l'arbre de com- mande (d d3), des bandes faisant ressort dans le sens longitudi- nal, par exemple sous forme de ressorts hélicoïdaux plats (p), s'appuyant, d'une part, contre le support (h) et, d'autre part, contre un palier (k) et qui, dans toutes les positions du support (h), s'étendent sur tout l'espace compris entre leurs bases d'ap- pui (h et k).
    16. Machine à dresser les tôles suivant revendications 1, <Desc/Clms Page number 15> 10 et 15, caractérisée en ce que le diamètre de la bande-ressort ' (p) disposée avec faible jeu sur l'arbre de commande (d2 d3) est à peu près égal à celui des cylindres dresseurs (c).
    17. Machine à dresser les tôles suivant revendications 1 et 2, à support à cylindre dresseur pouvant, au moyen d'un arbre fileté, se déplacer le long des cylindres dresseurs, caractérisée en ce que l'arbre fileté (f2) aboutit dans un filet femelle (hl) prévu dans le support (h) de manière à pouvoir monter et descen- . dre, mais qui ne peut se déplacer longitudinalement.
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