BE421071A - - Google Patents

Description

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  Blocs et dalles pour maçonneries 
La présente invention se rapporte à une maçonnerie pour murs extérieurs ou intérieurs,spécialement conçue dans le but d'économie de poids, de main-d'oeuvre, de place et de maté- riaux, tout en réalisant une construction d'une isolation so- nore et thermique supérieure et permettant en même temps l'exé- cution de murs de toutes épaisseurs et pour toutes les sur- charges réparties ou concentrées pouvant se présenter dans un bâtiment. 



   Beaucoup de maçonneries an blocs creux ou dalles pleines sont connues, qui cherchent à réaliser des améliorations aux vieilles méthodes de maçonner en pierres ou briques, soit au point de vue technique, soit au point de vue économique. Mais aucune d'elles n'a pu remplacer la brique, en ce qui concerne les murs extérieurs au moins. , 
L'insuccès des nouvelles méthodes proposées est dû et aux combinaisons techniques trop compliquées, et aux matériaux 

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 employés   de   qualités inaptes ou insuffisantes. Pour obtenir des qualités d'isolation des murs, on s'est basé généralement sur des creux qu'on disposait à l'intérieur du mur et qu'on supposait très efficaces au point de vue isolation.

   Or, l'ex- périence a démontré que de tels creux ont un pouvoir d'isola- tion fort restreint à cause des courants de convection qui se forment à l'intérieur de ces creux et qui transmettent le froid ou la chaleur d'une paroi à l'autre. 



   D'autres ont essayé à solutionner le problème avec des blocs en béton poreux comme béton de cendrée ou béton de bims. Mais ces matériaux combinés ou non avec des creux, n'ont pas des qualités   suffisamment   supérieures à celles de la brique et sont généralement ou plus chers ou trop peu résistants. 



   La présente invention a pour but de créer une maçonnerie réalisant des progrès réels sur les types de maçonnerie conaus et notamment sur la   brigue   en éliminant tous les dé- fauts adhérents à ces matériaux fols que: poids très élevé, main-d'oeuvre importante pour le placement, résistance insuffisante pour des surcharges concentrées, isolations thermique et acoustique très restreintes, adaptation dif- ficile aux modes de construction modernes à carcasses en béton armé, en acier ou en bois ou aux revêtements de faça- des en dalles de pierre naturelle ou reconstituée,   etc...   



   Le but posé par l'invention   est   atteint par deux fac- teurs différents: d'une part par l'adoption d'une matière ayant les   u@lités   requises comme: légèreté, pouvoir d'i- solation très élevé, solidité et facilité de fabrication, facilité de le travailler comme le bois (scier, clouer, etc. ) et d'autre part, par l'élaboration d'un système de   maçonnerie   dont la combinaison   des.éléments   permet   l'exé-   cution facile et rapide de murs de toutes épaisseurs, ainsi que leur coordination avec des ossatures soit en béton armé, soit en acier, soit en bois ou autres matériaux. 

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   La matière dont fait usage la présente invention est un béton ou une composition à base d'un liant comme le ciment,   la'chaux,   le plâtre, la magnésie, etc..., et d'une ou plusieurs matières inertes renfermant des fibres s'agglo- mérant avec ces liants. Ces fibres peuvent être organiques comme laine ou copeaux de bois, sciure ou autres déchets de bois, paille, fibres de noix de coco ou de canne à sucre, poils de vache, déchets de l'industrie du bois ou textile ou autre matière à structure fibreuse ; elles peuvent consis- ter également en copeaux métalliques, laine d'acier, laine de verre, de laitier et autres matières appropriées. 



   Dans certains cas, et pour certaines raisons,   les'bé-   tons ou compositions décrites peuvent être remplacées par un béton ou composition ne contenant pas de fibres, tel que par exemple un béton à base de bims (pierre ponce), scories, laitier poreux; un béton cellulaire ou toute autre matière appropriée. 



   La forme et le format des éléments constituant la maçon- nerie dont fait objet la présente invention peuvent varier suivant le cas. En principe, l'élément principal est repré- senté par un bloc ou dalle ayant d'un côté au moins deux ner- vures. Ces éléments à nervures peuvent être combinés entre eux ou avec des dalles planes de format approprié de façon à former un mur creux stable et isolant à deux faces planes et dont les creux peuvent, à volonté, servir à recevoir une ossature en béton armé, en acier, en bois ou autre. 



   La forme, le matériau et la combinaison spéciale des blocs ou dalles permettent, en outre, leur placement à seo, sans mortier, la cohésion du mur étant, dans ce cas, assurée par des crampons ou agrafes métalliques ou autres placés au marteau. 



   Les figures ci-après montrent, à titre d'exemples, quel- 

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 ques formes d'éxécution de maçonneries suivant l'invention, sans toutefois limiter les applications aux illustrations présentées. 



   La fig.1 montre, en plan avec une partie en perspective, un mur en dalles nervurées suivant l'invention. 



   La fig.2 représente, en plan, une variante   d'exécution   de l'élément principal à deux ou plusieurs nervures dont la forme permet la confection d'une colonne en béton armé. 



   La   fi.3   montre, en plan, le type d'assise I d'une maçonnerie creuse moyennant deux éléments : l'élément ner- vuré et l'élément plan, placés alternativement à l'exté- rieur et à l'intérieur et à joints également alternatifs. 



   La fig.4 montre, en plan, une agrafe métallique. 



   La fig.5est une vue en plan de l'assise II par rap- port à l'assise I fig.3 
La fig.6est une vue'en plan d'un mur d'assise I combiné uniquement d'éléments nervurés. 



   La fig.7 est une vue en plan d'un mur d'assise II par rapport à l'assise I formé d'éléments plans. 



   La   ±15.il   montre, en   plan, un   mur formant assise 1 et II, combiné avec les mômes éléments nervurés qu'à la fig.2, avec carcasse an béton rmé. 



   La fig.9 représente, en plan, un mur d'assise I, creux, plus épais, combiné en éléments nervurés et dont l'épaisseur peut facilement être adaptée aux exigences de la carcasse. 



   La fig.10 montre, en plan, une assise II, par rapport à l'assise I fig.9, en éléments plans dont l'épaisseur peut être adaptée facilement aux exigences de la carcasse. 



   La fig.11 montre, en plan, un mur en dalles nervurées dont. les deux parois sont complètement indépendantes l'une de l'autre. 



   La   fig.12   représente, en plan, le même mur que la fig. 

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  11, dont le creux est rempli de béton armé ou de béton. 



   La fig.13 est une coupe verticale démontrant la solu- tion du linteau dans le cas d'un mur suivant la fig.l ou 2. 



   La fig.14 est une coupe verticale par un linteau d'un mur du type fig.3 à 12, en forme de U armé avec battée pour le châssis de fenêtre et un renforcement éventuel en béton armé placé au chantier. 



   La   fig.15   est une coupe verticale par l'appui d'un plan- cher en béton armé sur un mur du type fig.3 à 12. 



   La fig.16 est une coupe verticale par un linteau d'un mur du type fig.l ou   fig.2,   dont la partie portante est constituée par une poutre en bois. 



   La fig.17 est une coupe verticale par un linteau d'un mur suivant fig.3 à 12, en deux pièces dont la partie portan- te est représentée'par une poutrelle métallique enrobée par du béton. 



   La fig.18 est une coupe verticale par l'appui d'un gi- tage an bois. 



   Suivant un mode de réalisation représenté à la fig.l, le mur est formé de dalles 1 portant sur une des faces des nervures 3, formant une des parois, alors que l'autre paroi est formée par un panneau 3¯ de la même fabrication, ou d'un type courant dans le commerce; la superposition des blocs ou dalles forme, par leurs nervures 3, des colonnes raidis- santes donnant une grande stabilité au mur. 



   Le panneau 2 est cloué contre les   nervures 5   de l'élé- ment principal   1.   



   Suivant les nécessités de la construction, les creux 4 peuvent être tous ou en partie remplis de béton ou de béton armé 5 de façon à former carcasse portante. 



   Cette carcasse peut également être représentée par des éléments en acier, en bois ou en d'autres matières appropri- 

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 ées; le mur forme alors protection de la. carcasse contre les effets des intempéries et du feu. 



   Les dalles nervurées 1 peuvent constituer la face extérieure ou intérieure du mur. Dans le dernier cas, la paroi extérieure sera formée par un panneau ou dalle en natériau résistant,   cornue la   pierre reconstituée ou terre cuite émaillée par exemple, fixée contre les nervures de la dalle 3, par des crampons ou   agrafes .±   (fig.4) en fer ou à l'aide d'autres moyens appropriés connus. 



   Les pointes du   crampon.±   (fig.4) sont de préférence formées de façon à avoir leurs côtés intérieurs obliques afin de serrer automatiquement les deux éléments à relier lorsqu'on enfonce les pointes, alors que la partie reliant les pointes est forcée par un plat ne demandant qu'un joint de maçonnerie d'épaisseur très réduite. 



   Une variante d'exécution de l'élément principal 1 re- présentée à la   fig.2   possède au moins deux nervures 3, dont la forme échancrée .par exemple, permet la confection d'une colonne 3 en béton armé sans coffrage, et avant l'applica- tion du panneau 2. Les joints, dans ce cas, sont superpo-      ses. 



   Aux   figs. et   3, sont représentés respectivement les types d'assises I et II   d'une   maçonnerie creuse   moyennant   deux éléments : l'élément nervuré 1 et l'élémentplan 2 placés alternativement à l'extérieur, à l'intérieur et à joints alternatifs. 



   Les   creux     peuvent,   recevoir, suivant les nécessités, une carcasse en béton armé 5 ou toute autre ossature. Le mortier peut être remplacé par des agrafes 6 métalliques ou autres. 



   Les   figs.6   et 7   montrent   les assises I et II d'un mur combiné, pour l'assise I uniquement d'éléments nervurés 1 et, pour la seconde assise, d'éléments plans 2 et 7. Ce 

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 mode de réalisation facilite le placement dans les creux 2 d'une ossature en béton armé 5, en bois 8 ou en toute autre matière appropriée. 



   A la fig. 8, il est représenté un mur formé par la com- binaison d'éléments 1 de la fig.2 avec carcasse amplifiée en béton armé 5 formant à la fois assises I et II. 



   Une variante des figures 6 et 7 facilitant   l'augmenta. -   'tion de l'épaisseur du mur est représentée en assise I à la fig.9, tandis que l'assise II est montrée à la fig.10. La combinaison des éléments nervurés à: la fig.9 et plans à la fig.10, permet d'augmenter par les éléments plans 7 la dis- tance entre les parois extérieures et intérieures. La li- aison par les éléments plans 7 ne doit pas nécessairement se   faire à chaque nervure ; demême que le renforcement du mur   par'une carcasse 5* peut se faire à volonté et suivant les exigences. 



   Pour isolation acoustique tel que le montre la fig.ll, un mur en dalles nervurées 1 dont les deux parois sont complètement indépendantes l'une de l'autre, convient tout spécialement. 



   Un tel mur présente encore l'avantage d'avoir une grande stabilité pour un minimum d'encombrement; pour aug- menter la stabilité du mur, l'on peut, suivent la   fig.12,   remplir le creux de béton armé 5 ou de béton. 



   La solution du linteau dans la cas d'un mur suivant la fig.l ou 2 est réalisée à la   fig.l3.   La partie en bé- ton 5'   'peut être   plus ou moins haute et être solidaire des ' colonnes avec lesquelles elle forme alors carcasse monoli- the. La partie portante peut également être constituée par une poutre en bois 8'. 



   Pour le linteau d'un.mur du type des   fig.3   à 12, sa forme est celle d'un U armé (fig.14) avec battée-9 pour 

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 le châssis de fenêtre et un renformement éventuel en béton armé 5' placé au chantier; la partie portante peut également être constituée par une poutrelle métallique 10 enrobée dans du béton   (fig.17)   
L'appui d'un plancher en béton armé sur un mur du type fig.3 à 12, est représenté à la   fig.15,   la pièce 11 formant coffrage pour un cadre horizontal en béton armé 5" portant le plancher 12. 



   Lors d'un gîtage en bois 13 (fig.18), les pièces 11 servent de coffrage à la poutre en béton armé 5" formant couronne. 



   Les éléments composant les murs creux isolants et les éléments accessoires comme linteaux et   analogues,   sont cons- titués par un béton isolant spécial composé principalement d'un liant comme ciment, plâtre, ou chaux, et de matières inertes contenant des fibres de bois ou autres fibres végé- tales minéralisées ou non, ou de tout autre béton ou composi- tion isolante. 



   L'assemblage des éléments peut se faire sans mortier, à sec, avec ou sans placement dans les joints d'une matière compressible   cornue   du feutre par exemple, la stabilité et la cohérence du mur étant assurées soit uniquement par le poids de la construction se traduisant en frottement, soit en établissant supplémentairement une liaison entre ces éléments par des clous, agrafes, crampons ou autres moyens appropriés. 



   L'étanchéité des joints du mur peut être assurée par une couche de sable, d'argile, ou toute autre matière appro- priée placée dans les dits joints. 



   L'invention a été décrite et illustrée à titre purement indicatif et nullement limitatif, et il va de soi que de très nombreuses modifications peuvent être apportées à ses détails 

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Claims (1)

1. sans s'écarter de son esprit., RESUME ------------- 1) Blocs et dalles pour maçonneries, caractérisés par le fait qu'ils sont réalisés en une composition à base d'un liant comme le ciment, la,chaux, le plâtre, la magnésie, etc. et des matières Fibreuses, copeaux métalliques, laine d'acier, laine de verre, de laitier et autres appropriées, éventuel- lement tout autre béton ou composition isolante convenable, ces blocs et dalles étant munis de nervures qui,'en superpo- sans les blocs ou dalles, forment colonnes raidissantes, donnant la stabilité nécessaire au mur.

   2) Combinaison du bloc et de la dalle à nervures suivant 1, pour former.mur, caractérisée par le fait qu'une des faces est constituée par un panneau mince'simplement cloué contre la face des dites nervures de façon à réaliser des creux com- plètement fermés qui peuvent être à volonté munis d'un renfor- cement en béton, béton armé, acier, bois, ou autre matériau 3) Combinaison de blocs et dalles à nervures suivant 1, caractérisée par le fait que la faoe extérieure du mur est formée par des dalles ou plaques en pierre naturelle ou arti- ficielle eu en terre cuite émaillée ou non, dalles fixées con- tre les bouts des nervures des blocs ou dalles nervurées for- mantparoi intérieure, moyennant ancrages, agrafages, ou autres moyens appropriés.

   4) Comb'inaison du bloc et de la dalle à nervures suivant 1, avec des¯dalles planes pour former mur creux,caractérisée par le fait que les deux parois sont de même épaisseur et cons- tituées alternativement par l'élément nervuré et l'élément plan,les nervures formant liaison des déux parois et laissant des creux pouvant être munis à volonté d'une ossature.

   5) Combinaison du bloc et de la dalle à nervures suivant <Desc/Clms Page number 10> 1, avec des dalles planes pour former mur creux, caractérisée par le fait que les assises sont alternativement composées d'éléments à nervures et d'éléments plans avec liaison des parois intérieures et extérieures formées par les nervures des dalles placées bout à bout dans l'une assise et par des dalles planes de la largeur des creux dans l'autre assise.

   6) combinaison de blocs et de dalles à nervures suivant 1, pour former mur creux à double paroi, caractérisée par le fait que les nervures des blocs ou dalles des parois in- térieures et extérieures sont placées bout à bout et que les joints des blocs ou dalles sont superposés, la liaison entre éléments étant assurée ou par des agrafes ou crampons, ou par du béton remplissant tous ou partie des creux.

   7) Combinaison de blocs et dalles à nervures suivant 1, avec des éléments plans pour former mur creux à double paroi, caractérisée par le fait que la distance entre les deux parois estplus grande que la somme de la longueur.des ner- vures des éléments nervurés, la liaison des deux parois étant assurée par des dalles planes placées entre les bouts des nervures dans l'une assise et par des dalles planes plus longues de la somme de la longueur des nervures placées entre les parois forcées par les dalles planes de l'autre assise.

   8) Combinaison de blocs et dalles à nervures suivant 1, pour former un creux à double paroi, caractérisée par le fait que les deux parois sont complètement indépendantes l'un de l'autre et que les nervures de l'une entrent dans les creux de l'autre de manière que le creux continu entre les deux parois, forne méandre et que l'épaisseur totale du mur soit plus petite que la somme des épaisseurs des élé- ments.

   9) Eléments armés ou non pour linteaux et appuis de gîtages pour les murs suivant 2 à 8, caractérisés par le fait <Desc/Clms Page number 11> que ces éléments sont en forme de L ou de U avec ou sans battée pour le ohassis de sorte à pouvoir reoevoir un ren- forcement soit en béton armé sans coffrage coulé dans la cuve . formée par les éléments, soit en acier ou en bois ou toute autre matière appropriée.

   10) Murs creux isolants suivant 2 à 9, caractérisés par le fait que les creux peuvent être utilisés, suivant les be- soins de la construction, à recevoir un renforcement formant ossature du bâtiment, soit en forme de colonnes et poutres en béton armé coulé sans coffrage dans les creux du mur, les remplissant tous ou en partie, soit en forme de 'carcasse métallique ou en bois dont les éléments du mur constituent protection contre le feu et les intempéries, soit en remplis- àant les creux du mur par du béton non armé ou autre matière appropriée au but à atteindre.

   Il) Murs creux isolants et éléments les composant, suivant 1 à 10, caraetérisés par le fait que les éléments com- me blocs ou dalles nervurés et dalles planes ainsi que les élé- ments 'accessoires comme linteaux, et analogues, sont consti- tués par un béton isolant spécial composé principalement .d'un liant comme ciment, plâtre ou chaux et de matières inertes contenant des fibres de bois ou autres fibres végétales miné- ralisées ou non.

   12) Murs creux isolants suivant 2 à 11, caractérisés par le fait que l'assemblage des éléments se fait sans mortier,- à sec, avec ou sans placement dans les joints, d'une matière compressible somme du feutre ou toute autre et en assurant la ,stabilité et la cohérence du mur soit seule par le poids de la construction se traduisant en frottement, soit en établissant supplémentairement une liaison entre les éléments par des clous, agrafes, crampons eu autres moyens appropriés.

   13) Murs'creux isolants suivant 12, caractérisés par le fait <Desc/Clms Page number 12> que l'étanchéité des joints du mur est assurée par une cou- che de sable, d'argile, ou de toute autre matière appropriée placée dans les joints.

   14) Crampon spécial métallique pour maçonneries suivant 12 et 13, caractérisé par le fait que ses pointes sont formées de façon à avoir leurs côtés intérieurs obliques de manière à serrer automatiquement les deux éléments à relier lorsqu'on enfonce les pointes et que la partie reliant les pointes est formée par un plat ne demandant qu'un joint de maçonnerie d'épaisseur très réduite.