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"Perfectionnements aux récipients flexibles pour fl uide sous pression et à leurs procèdes de fabrication."
La présente invention est relative à des récipients flexibles pour fluide sous pression, et à leurs procédés de fabrication, et elle a plus particulièrement trait à des dispositifs de support flexibles, actionnés pneuma- tiquement, qui peuvent être utilisés, par exemple à la place de ressorts métalliques a pour supporter le châssis d' un véhicule automobile sur ses essieux, et à un procédé de fabrication de ces dispositifs.Des dispositifs de sup- port pneumatiques du genre mentionné peuvent être avanta- geusement employés dans de nombreuses installations dans
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lesquelles un oisuon eù un cylindre, une membrane ou. dia- phr-igme mé1:iJllique onu été utilises jusqu'ici.
L'invention i. principalement, pour obje& un .récipient
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flexible pour fluide sous ression et un procédé perfeo-
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u>iJ#pé àefjbricjtionàecerécigieng.conformémen.lfil invention, le r0cipieniJ flexible perfectionné pour aide
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SOUS pression comprend des parois formées de plasiears
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: comprenano une paire de soufflets annulaires et une partie
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/ uub.alaire cen&rale àe àiinélre assei grend, àe fiçon qae 1'écoulement du fluide entre les soufflets ne soiu pas en- vravé.
µ]]]]]]]L#]%fi%#fi#µ]]µ#fil'Jµµµµ#Jfiµ]àé]f]béiÙ]6iài]11]flf6]fl%àÙ=]]]] pienb flexible pour fluide sous pression consiste à fabri- quer un ensemble tabulaire comprenant des constituants de caouachoae non vuloanisé et à soumettre ensui'ee uni- j formémeni 1 i [n1i el' 1. e u. l' - da'dit ' ens embl vabulaire à 'une' prés-
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js%Jn exerc=àeversl)exµjrieariyouùens)oggosqgg à cette
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pression en des régions circonférentielles locales espacées
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/ àfin que l'inven.ùion Buisse êire clairerxenoe comprise eb aiS6men mise en oeuvre, elle va maintenant être dé- cri1Je plus en à4tsil en référence au dessin annexé qui re- i--pr{se!llJe-à-G1.tl'e-d'eiemle-un-mode-de-réalfsa[on--del----
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: invention e dens lequel :
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La fig. 1 esv une vue de cote d'une sorve de man- : drin sur lequel le e r é c 1 ; 1 en (fl exibl est initialement
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en coupe.
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La fig. 2 est une vue de coté d'un. récipient fle- xible qui a été construit sur le mandrin représenté fig.
1, après qu'il a été enlevé de ce dernier.
La fig. 3 est une coupe partielle, à plus grande échelle, d'un mandrin de construction, et d'un récipient flexible au cours de la première phase de sa construction sur ce mandrin.
Les figs. 4, 5 et 6 sont des vues analogies à la fig. 3 et montrent des phases ultérieures successives de la construction d'un récipient.
La fig. 7 est une coupe diamétrale faite par un ré- cipdent tel que celui représentéfig. 2, et par un appa- reil de moulage monté avec le dit récipient, tels qu'ils apparaissent avant que le récipient soit distendu et que le moule soit refermé sur celui-ci.,
La fig. 8 est une vue en coupe diamétrale du réci- pient, d'un moule fermé à l'intérieur duquel ce récipient est renfermé pendant la vuloanisation, et d'un appareil de vulcanisation électrique clans lequel le moule et le r éci- pient sont reçus pour effectuer la vulcanisation de ce dernier.
La fig. 9 est une vue de coté d'un récipient terminé et de ferrures destinées à y être fixées, certaines par- ti es étant arrachées et représentées en coupe.
La fig. 10 est une vue en plan partielledu réci- rien% à fluide sous pression représenté fig. 9.
La fig. 11 est une coupe diamétrale d'une bande pour bandage et d'un moule e à bandage, montrantcomment l'assem- blage est effectué avant que la dite bande soit distendue en forme de bandage.
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La fig. 12 est une vue en coupe diamétrale d'un bandage uerminé formé de la bande représentée fig. 11, suivant le procédé objet de l'invention, et d'un moule dans lequel lebandage est renfermé pendant la vulcanisa- tion.,
Le fig. 1 représente un mandrin de construction sur lequel les récipients flexibles perfectionnés sont ini- tialement fabriqués. Le dit mandrin comprend deux pièces en bois 15, 15, disposées suivant le même axe, ayant une forme générale tronconique et dont les petites extrémités sont disposées à proximité l'une de l'autre, ces petites extrémités rentrant à la facon des tubes d'une, longue.vue dans un manchon métallique cylindrique 16 dont la surface périphérique affleure la surface adjacente des dites pièces 15.
Chaque pièce 15 présente, à son extrémité la plus gran- de, une face d'extrémité @15a, qui est perpendiculaire à l'axe du mandrin, ainsi qu'une surface tronconique 15b dont la conicité est dirigée en sens inverse de celle de la pièce constituant un des éléments du mandrin et qui réunit cette dernière à la face d'extrémité 15a.
Des plaques métalliques amovibles 18, formant cha- peau, buttent centre chaque face d'extrémité15a du man- drin et sont disposées suivant le même axe que cette face d'extrémité. Chaque plaque 18 présente, sur son côté bu' - tant contre la pièce 15, une collerette circonférentielle 19, fisant saillie latéralement, qui surplombe la sur- f.:ce tronconique 15b de la pièce 15, la surface périphéri- que intérieure de la dite collerette étant biseautée pa- rallèlement à la dite surface 15b et étant légèrement es- pacée de celle-ci. La surface périphérique extérieure de
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la collerette 19 est inclinée en sens inverse de .sa péri- phérie intérieure et s'évase ainsi extérieurement vers la hase de la collerette.
Les pièces 15 du mandrin et les plaques ou chapeaux 18 présentent des ouvertures axiales, et sont/clavetés sur un arbre 20, entre un collier 21,monté à une extrémité du dit arbre, et un volant de manoeuvre 22 vissé sur l'autre extrémité de cet arbre. La partie d'extrémité filetée de l'arbre 20 présente un alésage axial 23, et un alésage transversal 24 relie l'extrémité intérieure de l'alésage 23 à la surface de l'arbre 20, cet alésage 24 débouchant dans une cavité ou chambre 25 formée à l'intérieur de la pièce 15 du mandrin. Des alé- sages radiaux 26, 26, pratiqués dans la pièce 15, relient la cavité 25 à la face extérieure de la pièce 15.
La partie d'extrémité de l'arbre 20 qui porte le collier 21 touril- lonne dans tout système de palier approprie (non repré- senté), et est reliée à un moyen de commande convenable (non représenté) à l'aide duquel on peut faire tourner le mandrin.
Dans la fabrication d'un récipient sur ledit man- drin, les plaques ou chapeaux 18 ne sont pas utilisés dans la phase initiale de l'opération de fabrication.
On fait tourner le mandrin, sans les dises plaques ou chapeaux, sur son axe, et les épaisseurs constitutives .respectives de caoutchouc et de tissu caoutchouté y sont amenées et fermement enroulées en position sur le dit mandrin. La disposition successive et le genre des diver- ses épaisseurs seront mieux compris en se reportant aux fige. 3 à 6. Les premières épaisseurs à appliquer sur le mandrin sont- formées de caoutchouc non vulcanisé et sont
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au nombre de quatre, les di-oes épaisseurs étant indiquées en 28, 28. Les épaisseurs 28 sont pressées fermement sur le tambour, ainsi que sur les surfaces tronconiques 15b,à cha- que extrémité de ce dernier, les parties marginales des dites épaisseurs s'étendant au delà des faces d'extrémité 15a du tambour ou mandrin.
Les dites parties marginales des épaisseurs sant ensuite coupées ou ébarbées de façon à être de niveau avec les surfaces 15a, comme représenté, ces der- nières servant de guides pour l'opéra%ion d'ébarbage. Deux épaisseurs de renforcement 29, assez étroites et formées d'une bande de caoutchouc non vulcanisé sont alors appli- quées circonférentiellement sur le tambour ou mandrin, cha- cune des dites épaisseurs étant disposée environ à mi-che- min encre le milieu du uambour ou mandrin et une face d'ex- trémité 15b de celui-ci. Une étroite bande de caoutchouc non vulcanisé 30 est également appliquée sur la couche su- périeure 28 sur chaque bord latéral de celle-ci.
L'épaisseur ou couche suivante à appliquer est fermée d'un tissu de corde sans urame ou à brame légère qui est enduit de caoutchouc sur les deux côtés. Cette couche ou épaisseur indiquée en 32, est coupée sur le biais et est montée sur le mandrin avec ses cordes disposées suivant un angled'environ 20 par rapport à l'axe du mandrin. La cou- che 32 a une largeur celleque ses parties latérales s'éten- dent sensiblement au delà des faces d'extrémité 15 du man- drin.
Les extrémités de la dite épaisseur ou couche sont réunies sur lemandrin de faon à former une sorte d'épissu- re étroite à recouvrement, et cette dernière est recouverte d'une mince bande de caoutchouc non vulcanisé (non représen- uée), ainsi qu'il est d'usage dans la fabrication des banda-
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ges en cordas .La couche ou épaisseur 32 est pressée ferme- ment sur les épaisseurs sous-jacentes dans la région de celles-ci comprise entre les régions tronconiques 15b du mandrin, et elle est laissée non attaohée à ces dernières régions, ainsi qu'il est plus clairement représenté fig. 3.
Ensuite, deux talons inextensibles sans fin en fil métallique, tels que le salon 33, sont placés sur le réci- pient en les faisant passer axialement sur l'extrémité libre de ce dernier. Les talons 33 sont formés d'une forte corde métallique à piano de longueur convenable, etils sont ren- dus Continus en soudant ensemble les extrémités respectives de la corde ou fil métallique. Les talons annulaires peu- vent recevoir un léger revêtement de caoutchouc, si on le désire, en les plongeant dans une composition visqueuse de caoutchouc et d'un solvant volatil.
Les parties marginales libres de la couche ou épaisseur de tissu 32 sont alors évasées, après quoi les plaques ou chapeaux 18 sont montés sur l'arbre 20 et fixés en place centre les faces d'extré- mité 15a du mandrin, la collerette 19, s'étendant latérale- ment, de chaque plaque ou chapeau, passant sous la partie marginal adjacente de la couche ou épaisseur 32.
Les dites parties marginales de la couche 32 sont alors pressées contre la surface périphérique extérieure des collerettes 19, comme indiqué en traits mixtes sur la fig. 4, et d'étroites bandes de caoutchouc vulcanisé 35 y sont appliquées dans les régions qui doivent recevoir les talons 33. Les talons annulaires 33 sont alors placés con- tre les bandes respectives 35, concentriquement au mandrin, après quoi les parties marginales de la couche 32 sont en- levées de la périphérie extérieure des plaques ou chapeaux
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18 et sont repliées sur les talons annulaires respectifs 33, de faqon à renfermer ces derniers, les bandes de caout- chouc 35 étant disposées entre les valons annulaires et le tissu.
En dedans des talons annulaires, .les parties margi- nales de la couche ou épaisseur 32 sont pressées contre le récipient sous-jacent, comme représenté.
Ensuite, une seconde épaisseur de tissu de corde 38, enduite de caoutchouc, est appliquée sur l'ensemble formé sur le mandrin et on l'y fait adhérer, les parties margi- nales de la dite épaisseur 38 s'étendant sur la périphérie extérieure des plaques ou chapeaux 18, comme montré fig. 5.
L'épaisseur 38 est sensiblement identique à l'épaisseur 32, sauf qu'elleest coupée sur le biaisdans le sens opposé, de sorte que les cordes de cette épaisseur 38 s'étendent transversalement aux cordes de l'épaisseur 32, comme montré f ig. 2.
Sur l'épaisseur de tissu 38 est montée une épaisseur 39 de caoutchouc non vulcanisé en feuille. Après que les diverses épaisseurs entrant dans la construction du réci- pient ont été fermement appliquées, lesparties marginales des épaisseurs 38 et 39 sont coupées ou ébarbées de façon à être de niveau avec les faces d'extrémité extérieures des plaques ou chapeaux 18, après quoi ces derniers sont enle- vés du mandrin.
Les parties latérales surplombantes de l'épaisseur 38, à laquelle adhère l'épaisseur ou couche de caoutchouc 39, sont ensuite repliées vers l'inférieur, de façon à en- velopper la partiedu récipient qui comprend le s talons annulaires 33. Finalement, les, parties des quatre épaisseurs 28 qui reposent sur les faces tronconiques 15b du mandrin,
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et sur les bandes 30, sont soulevées du mandrin, distendues vers l'extérieur et on les fait adhérer à la partie- adja- cente évasée du récipient qui comporte le talon, comme mon- tré clairement fig. 6. Ceci termine la fabrication du ré- cipient, qui est indiqué en C.
Le récipient 0 est détaché du mandrin de formation par la pression d'un fluide qui est admis entre le récipient et le mandrin à travers les alésages 23,24, la cavité 25 et les alésages 26 formés dans le dit mandrin. Le récipient est enlevé du mandrin en démontant ce dernier de l'arbre 20, en enlevant les pièces du mandrin axialement des extrémités respectives du réci- pient, et en retirant finalement le manchon 16 de chaque extrémité du récipient. Le récipient, dans sa forme actuel- le, est prêt à être monté dans un moule dans le but de vul- caniser ses parties en caoutchouc.
Le moule dans lequel le récipient 0 est vulcanisé. est plus clairement représenté figs. 7 et 8. Ce moule com- prend une partie intermédiaire 41 divisée transversalement et en deux pièces qui sont fixées ensemble par des vis à tête 42, de sorte que cette partie intermédiaire constitue un ensemble annulaire. La partie intermédiaire 41 présente une surfaoe de moulage cylindrique 41a, et deux surfaces de moulage annulaires, concentriques et concaves 41b, 41b, qui sont disposées radialement vers l'extérieur par rapport à la surface de moulage 41a et dont les périmètres intéri- eurs sont réunis aux extrémités respectives de la dite sur- face 41a.
Le moulecomprend également deux partiesannulai- res 43, 43 disposées suivant le même axe que la partie in- termédiaire 41 et destinées à s' emboîter sur la périphék- rie extérieure de cette dernière lorsque le moule est dans
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la position fermée. Chaque partie de moule 43 présente une surface de moulage annulaire, concentrique et concave 43b qui est alignée avec une surface de moulage 41b de la par- tie de moule 41. Les parties de moule 43 comprennent des plaques de fermeture 44, 44, percées d'une ouverture axiale, qui s'adaptemsur les périmètres intérieurs des parties 43 et y sont fixées d'une manière amovible par des vis à tête 45, 45.
Entre elles, chaque partie de moule 43 et sa plaque de fermeture 44 délimitent une cavité de moulage 43a pour la partie formant talon du récipient C. A la périphérie intérieure de chaque cavité de moulage 43a, la plaque de fermeture présente une collerette circonférentielle 46 qui est disposée sur la surface intérieure du récipient, dans le but expliqué ci-après.
Une des plaques de fermeture 44 comporte une tige 47 montée d'une manière permanente dans son ouverture axiale, la dire tige s'étendant à partir de la face intérieure de la dite plaque 44, vers l'autre pla- que 44, et son extrémité libre est filetée, comme indiqué en 48. L'extrémité libre de la tige 47 présente un alésage axial 49 qui est taraudé en 50 à son extrémité extérieure et qui présente, à son extrémité intérieure,un alésage trans- versal 51 qui relie le dit alésage 49 à la surface de la tige 47. La plaque de fermeture 44 dans laquelle est montée la tige 47, présente une ouverture taraudée 52 destinée à recevoir un raccord de tuyau décrit: plus loin.
Dans l'opération consistant à renfermer le récipient C à l'inférieur du moule, les moitiés respectives de la partie 41 du moule sont assemblées autour de la région mék- diane du récipient et assjuetties ensemble à l'aide des vis 42, et il n'existe qu'un léger jeu entre le récipient C et
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la surface de moulage 41a de la partie 41 du moule. Les parties 43 du moule sont alors montées sur les parties d' extrémité respectives du récipient c, ce qui est effectué en déformant légèrement les parties formant talon du dit récipient et en les faisant passer à travers l'ouverture axiale de la partie 43 du moule.
Les parties formant talon du récipient C sont alors placées dans les cavités de mou- lage 43a des parties 43 du moule, et étroitement renfer- mées dans les dites parties en montant les plaques de fer- meture 44 sur les parties 43 du moule et en les assujet- tissant en position à l'aide des vis à tête 45. Un prolon- gemenu fileté 55 est ensuite vissé dans l'alésage 49 de la tige 47, ce prolongement faissent saillie à trovers 1'oover- tare axiale de la plaque de fermebure opposée 44. Un adap- tateur en forme de chapeau 56 est monûé sur la partie d' extrémité libre du prolongement 55, entre la dite plaque de fermeture et un écrou 57 vissé sur le dit prolongement.
Les diverses parties du moule sont maintenues en aligne- ment axial en les montant sur un support approprié compre- nant un montant 58 présentant une broche 59, dirigée vers' le haut, sur laquelle la partie 41 du moule est montée de façon à pouvoir tourner, et portant deux barres horizontales parallèles, telles que la barre 60, qui supportent les parties 43, 43 du mouleetpermettent leur mouvement axial.
Un tuyau 61, relié à une source appropriée d'air sous pres- sion (non représentée) est vissé dans l'ouverture b2 d'une des plaques de fermeture 44.
Le récipient 0 est alors distendu pour lui donner la forme d'un soufflet en admettant lentement de l'air à l'intérieur du récipient, sous une pression de 0 kg 350 à
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0 kg 490, et, concurremment) en rapprochant les parties du moule axialement l'une vers l'antre pour y renfermer le récipient distendu. Le déplacement axial des parties du moule est effectué en vissant l'écrou 57 le long du pro- longement 55 à l'aide d'un ouuil approprié, tel que. la clé à douille/Des que le moule est complètement fermé et qui que le réciopient qui/y est renfermé est complètement distendu, le conduit flexible à air 61 est détaché, de façon à faire cesser la pression régnant dans le moule.
Le prolongement 55 et l'adaptateur 56 sont alors enlevés, et le moule est maintenu assemblé à l'aide d'un écrou à chapeau 63, fig. 8, qui est monté sur l'extrémité filetée 48 de la tige 47, la dite extrémité de la tige s'étendant à travers la pla- que de fermeture 44 lorsque le moule est fermé. Le récio- pient est alors prêt à être vulcanisé, cette vulcanisation étant effectuée à l'aide de la chaleur et de la pression d'un fluide. La vulcanisation peut être réalisée dans un appareil de chauffage à pot utilisant de la vapeur comme agent de chauffage du moule) le moule peut être chauffé électriquement.
Ce dernier mode de chauffage est décrit ici, l'appareil pour effectuer la vulcanisation étant repré- senté fig. 8. l'appareil de vulcanisation comprend un enroulement électrique 65 encourant un mandrin tubulaire en bois 66 comportant un couvercle 67 , ainsi qu'une base 68 qui est convenblemen fendue en 69 pour permettre le passage à travers celle-ci de la tuyauterie nécessaire . Des moyens de contrôle appropriés (non représentés) sont prévus pour contrôler lecourant électrique dans l'enroulement 63.
Le moule estmonté d-ns l'appareil de vulcanisation sur un axe
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vertical, et un tuyau d'échappement 70 est vissé d-uns 1' ouverture 52, cette dernière étant située à la partie su- périeure du moule. Un tuyau à fluide souspression 71 est vissé dans'une ouverture axiale formée dans l'écrou à chapeau 63,à la base du moule.
Les deux tuyaux 70 et 71 s'étendent à travers la fente 69 formée dans l'appareil de vulcanisation jusqu'à l'extérieur de celui-ci, où le tuyau
70 est pourvu d'un robinet d'arrêt approprié (non représen- té), et le tuyau 71 est relié à un robinet à trois voies (non représente) par lequel de l'air, de l'eau chaude, ou de l'eau froide peuve être admis dans ledit tuyau et à 1' intérieur du récipient placé dans le moule.
Pour vulcaniser le récipient c. après que le moule a été monté dans l'appareil de vulcanisation, le tuyau 70 est fermé et de l'air sous pression est admis dans le tuyau
71, cet air passant à travers l'érou à chapeau 63, les alésages 49 et 51 formés dans la tige 47, et de là à l'in- térieur du récipient. A l'intérieur du moule est créée une pression d'air atteignant environ 5 kgs 600 par centimètre carré, dans le but de faire épouser au récipient la forme de la cavité de moulage du moule. Ensuite, letuyau 70 est ouvert, et l'air contenu dans le moule est remplacé par de l'eau froide admise par le tuyau 71.
Dès que l'air est complètement évacué du récipient, le tuyau 70 est fermé et la pression hydraulique est poussée jusqu'à 14 kgs par centimètre carré. Le récipient se trouvant dans les condi- tions décrites, l'enroulement 65 est excité, de sorte que des courants de Fouoault sont/engendrés dans le moule mé- tallique pour chauffer celui-ci à la température de vulca- nisation. Cet état de choses est maintenu pendant environ
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5-minzW és. é t:c.â 70 sv :lârs ôvért, , dé l'éâ
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chaude à une uew ,br:;uure de lil,5'0. est mise en circulation /yir=ve rj 1 = ¯r#c%é%en%¯ùgendana¯.1e¯ re sve¯àe¯1ù¯oeériJàe ¯àe ¯¯¯¯¯¯ vulcanisation qui est/environ 30 minuzes.
La collerette¯¯¯¯¯ 6, irsnés ùur 1 plaçuë dë férnétûré 4, emséché q!e l'eau chaude entrante frappe direetemenu contre la surface intérieure Ju rlci,Jienù et le vulcanise ainsi d'une manière excessive. Après vulcanisation, l'eau est vacuée de l'in- crie'r du rciien, le moule est, ouver-c, et le récipient uermins es'c enlevé, ce dernier *yan alors 1',:speci montré figs. 9 et 10. Ceci termine le cycle d' oéraions.
La caracc4ri sui que consistan'u à main'cenir de l'eau frdi-
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de dns le mazle pend-.n'c le phase initiale de la vulcanisa- tion assure que celle-ci progresse de la surface extérieure du vers s- surface innérieure, de sorte que le
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Caoutchouc entoursn'c les torons des épaisseurs de corde 32, 38 sera "durci" ou vulcanisé au delà de 11.3t--u mou que les épaisseurs de caoutchouc soient amollies par l'admission â' em.z chaude à l'intérieur du mou- le.
Ainsi, les cordes de renforcemenz iendues en-cranv dans la cor-siricuidn du récipient sonv empêchées de prendre du moa end>n la vulewnisian e1 de se délaaer à ir=wers les couches inférieures de caoutchouc, de sdrùe que le ré- JiiJ5iÔÙôiÔifiié%iV%%1%OEiht16é7
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¯¯¯¯¯¯¯ aLe ßerés2nt;: fig-¯9,¯le-récilien flexible ௯¯¯¯¯¯¯
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fluide sous pression comprend deux soufflets annulaires
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75, 21.n,'-,s âxirîmn, d¯i lés scins rânsvrsaés-------
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respectives s'4wendenu sensibleoeena suivnc un arc de cer- cle plus gr-md qu'un demi-cercle, les par-cies inférieures ¯¯3ikJJ¯sj)uffljc¯j=tnt¯reunies¯par¯une¯pa
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cénrlé 76 snsibl mnt ubnlire.
Ce2 dnière àun diamètre --axséz-eranà-é'i-bei -*ie i-' %CDwi émenG- àù-±Yviàe-entre-ies ------ soufflets n'est vas sensiblement retardé. Les côtés laé- u¯rjgqp¯elJig#es¯àes¯sogz¯flets¯¯kràsenleni¯àes¯ouver%ures¯àé=¯¯¯¯ limitées par des rebords 77, 77 destinés à être reliés, par des organes d'attache appropriés, tels que des bagues de serrage annulaire 78, 78, à des plaques d' extrémité 79,
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79.
Une bague 80 pau évre moe autour de la paroi ubulai- : re oenbrale 76 pour la surpporuer.Afin d'assurer une ampli- 1 tude maximum de flexion axiale eu une stJbil iu'3 maximum j¯avec¯ine ¯fµexgon minyoemrù des¯ o ordesj¯le¯rõiàieng¯csµ¯de ¯¯¯¯¯ préférence proportionné de facon que les dites ouvertures marginales aien un diamècre sensiblement égal à la moi-
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i-Ie-aa-granQ-afam-éreaes-soQl1e1s-e-Ia-dr&e-Daiie------- j¯tub lgire ¯a ¯un à#amkupe¯ scnsibl emcn%¯ég=1 ¯à¯tr ois ¯huyg%é=¯¯¯¯ mes du. grand diamètre des soufflets et une longueur sensi- blement égale à un quart de'la longueur totale normale du
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réoipien'c.
Le présent mode de fabrication est également applki-
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µµôà6±µµµµLiµfl#*flfiàfifiiZ#µh##dµÎµ##µµµù#µhj±Ôôµàié]&Qmfiµi'iiµµµ] La fig. 11 montre une bande pour bandage fabriquée suivant le mode de fabrication usuel sur tambour. La dite bande
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[[[[0}[sJ[[y1g[Q[Q[I[[[[[= comportant des parties marginales formant talons 83 et une partie de roulement 84.
L'intérieur de la dite bande est pourvu 'd'une couche ou revêtement formé d'un composé de¯¯¯
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i-cao'ouc-[mpeiméable-e5-La-bande-es-confor.mée-inlllin----- troudisant dans un moule à bandage 86 en adoptant la faqon
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,àboiérer at %is+e R .Ur COn#JDler i eréoikient àloiit <kr dessus, savoir: en distendant la bande dans le moule à 1;
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aide de la pression d'un fluide, et en remplissant ensuite la cavité du bandage avec de l'eau froide sous une pression suffisantepour maintenir lebandage en contact avecla cavité du moule, pendant que l'extérieur du bandage est soumis à la température de vulcanisation. Les cordes du b-ndage sont -insi moulées dans la forme voulue et se fi- xent avnt que le revêtement intérieur de caoutchouc im- perméable @it été amolli par la température élevée.
Ensuite, l'eau froide se trouvent dans la cavité du bandage est rem- . lacée par de l'eau à la température et à la pression de vul@nisation pour terminer le bandage 87, comme montré fig. 12.
L'invention permet la fabrication économique d'arti- cles creux, distendus et renforcés en caoutchouc sans avoir utiliser un récipient pour le fluide, et elle permet également d'obtenir les autres avantages spécifiés dans le préambule de la pr ésete description.
Il est entendu que des modifications peuvent être -,.-,Portées à l'invention sans sortir pour cela de son cadre.