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Perfectionnements aux cycles en vue de permettre au cycliste de pédaler suivant des positions différentes.
La présente invention concerne des perfectionnements apportés à tous genres de cycles, et plus particulièrement aux bicyclettes, en vue de permettre au cycliste, tout en pé- dalant, de varier aisément son maintien sur la selle en vue de passer de la position normale de pédalage à une position de délassement, ou vice-versa.
Tout usager de la bicyclette n'a pas été sans souffrir de conserver trop longtemps sur la selle la position presque verticale qu'il doit adopter pour pédaler. On conçoit sans peine que si, sans arrêter sa promenade, le cycliste avait la
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faculté de reculer et d'incliner son corps vers l'arrière en abaissant en même temps son assise, il pourrait se délasser de ses fatigues par un pédalage presque horizontal, modifiant le travail musculaire ou intéressant d'autres muscles au pro- fit de ceux qui ont eu à fournir jusqu'ici tout l'effort.
C'est cet heureux résultat que la présente ingvention s'est efforcée d'obtenir par des modifications très simples apportées à la selle et à ses moyens de suspension. A cet effet, celle-ci doit être montée de façon à pouvoir sabais- ser en permettant au cycliste de se porter -vers l'arrière du cycle.
Dans une variante, le dispositif consiste à allonger no- tablement la selle usuelle et à la monter sur un dispositif dont l'élasticité sera utilisée différemment suivant les po- sitions que le cycliste occupera le long de cette selle; dans une deuxième variante, la selle pourra être de longueur or- dinaire, mais sera montée de façon à être abaissée et reculée à la volonté du cycliste, ou ramenée dans la position usuelle de marche sans que l'usager ait à desscendre de machine.
D'autres variantes seront décrites ci-après:
Le dessin ci-annexé montre, mais seulement à titre d'exemple, quelques modes de réalisation de la présente in- vention appliqués à la bicyclette.
Là fig. I est uhe élévation latérale d'une bicyclette comportant les perfectionnements apportés à la selle et à sa suspension suivant la première variante.
La fig. 2 montre schématiquement une construction diffé- rente de celle-ci.
Les fig. 3 et 4 représentent en ses deux positions extrê- mes un mode de suspension de la selle correspondant à la deuxième variante sus-énoncée.
Les fig. 5,6 et 7 se rapportent à d es variantes de réa- lisation.
Suivant la fig. I, on remarquera que le cadre, pour des
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raisons de résistance, affecte la forme d'un cadre renforcé de bicyclette de dame, dont on aurait supprimé le tube porte selle, ainsi que l'entretoise réunissant la partie supérieure de ce tube à la fourche arrière. Sur ce cadre I sont montées, grâce à des colliers de serrage 3, des lames de ressort 2, portant à leur extrémité la selle 4. Le siège réservé aux la- mes 2 sur le cadrer est relevé de façon telle qu'à vide ces lames seront légèrement redressées pour qu'en charge et en position de marche, elles reviennent à l'horizontale. La selle 4 sera allongée et de préférence relevée vers l'arrière pour que le cycliste puisse s'y glisser et se reposer sur le petit dossier ainsi réservé en vue d'occuper la position de délas- sement.
Son poids fera alors fléchir les lames de ressort et provoquera l'abaissement désiré de la selle suivant le poin- tillé de la fig. I. A ce moment, l'usager pourra passer du pé- dalage vertical ou de marche normale, au pédalage horizontal ou de demi-repos.
En vue de conserver au cadre sa forme usuelle et sa rigi- dité, celui-ci peut être surbaissé suivant la fig. 2, de façon à conserver à la selle la liberté d'oscillation nécessaire.
Il doit être également entendu qu'au lieu d'allonger la selle suivant la forme représentée, on pourra employer la selle actuelle en modifiant son montage sur les lames 2, pour lui permettre de coulisser aisément sur celles-ci.
Les lames de ressort 2 pourront également être rempla- cées par un tube rigide pivotant sur la potence du guidon, et soutenu élastiquement à l'autre extrémité par tous moyens ap- propriés.
Enfin, tout système amortisseur pourra être employé en vue de limiter les oscillations du porte selle élastique, par- ticulièrement sur les mauvaises routes. Ces oscillations pour- raient être de même utilisées et transformées en travail sur l'axe du pédalier, en reliant le système amortisseur par biellage et cliquets à. un rochet monté sur cet axe.
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Dans le mode de réalisation représenté à titre d'exemple aux fig. 3 et 4, le cadre usuel du cycle a été entièrement respecté. Par contre, la selle 4, de préférence légèrement re- levée à l'arrière pour former un léger dossier, est portée par tous organes de serrage appropriés sur deux barres hori- zontales parallèles 5, pouvant pivoter sur un axe 6, monté à la partie supérieure de biellettes 7, elles-mêmes touril- lannant en 8 sur un axe monté à l'extrémité de la tige porte selle.
Cette tige est coudée en 10 pour former appui à un res- sort de lame II qui y est maintenu par des. étriers 12. Les barres 5 sont réunies à l'arrière par deux tenons 13 munis de galets entre lesquels est engagée l'extrémité libre de la la- me élastique II. Par contre, à leur partie antérieure, les deux lames 5 sont séparées par une potence fixe 14 montée sur le tube horizontal supérieur 15 du cadre. Cette potence est percée à sa partie supérieure d'un trou transversal dans lequel peut s'engager une clavette 18.
Des orifices ménagés sur les lames 5 permettent, en engageant ou dégageant cette clavette, de maintenir la selle en position de marche norma- le (fig. 3) ou de l'abandonner pour prendre la position de demi-repos (fig. 4), sa chute étant amortie par l'action, tant du ressort II, que d'une autre lame élastique 16 montée sous le devant de la selle sur le cadre, en 17. Dans cette position]; les dits ressorts constituent pour la selle une suspension élastique qui ajoute à son confort.
On comprend que pour revenir de la position de demi- repos (fig. 4) à celle de marche normale (fig. 3), il suffit au cycliste de se dresser un moment sur ses pédales pour que, la selle se relevant sous l'action combinée des ressorts II et 16, il lui suffise d'engager la clavette 18 dans les orifices concordants de la potence 14 et des barres 5.
De ce qui précède, on constate que le caractère essen- tiel de cette deuxième variante étant d'obtenir sur un même
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cycle deux positions de pédalage par l'abaissement et le recul d'une selle usuelle, le même résultat pourrait être obtenu par l'emploi de deux selles disposées de toutes façons appro- priées dans les deux positions extrêmes représentées; une telle disposition rentrerait donc dans le cadre de la présen- te invention bien qu'il en résulterait une grave augmentation de poids et de prix.
Il doit être également prévu de modifier en conséquence la forme ou la construction du guidon, pour permettre au cycliste de le tenir aisément dans l'une ou l'autre position de péda- lage.
Dans la forme de réalisation suivant les fig. 5 et 6, les tubes 19,20 et 21 sont coupés à leur extrémité (fig.6) et sont réunis par deux plaques 22 qui sont situées à une certaine distance l'une de l'autre, qui sont traversées par des bou- lons d'assemblage (non représentés), et qui sont soudées aux tubes 19,20 et 21.
Dans l'espace laissé entre les plaques 22, sont logées des biellettes 23 et 24; la biellette 23 s'articule d'une part, en 25, à l'extrémité d'un ressort 26, relié à l'arma- ture de selle 27, et d'autre part en 28 autour d'un pivot ; la biellette 24 s'articule d'une part , en 29, autour de l'ar- mature de selle, et d'autre part autour d'un pivot 30.
La disposition toute spéciale da ressort 26 procure à la selle une suspension élastique idéale, ce qui est possible grâce au système d'armature de la dite selle formée par les lamelles 27.
La course de la biellette 23 est limitée par une butée 31.
La biellette 24 est maintenue dans la position représentée à la fig. 5 grâce à un corbeau' 32 articulé sur elle par le pi- vet 33, et s'engageant autour d'une entretoise 34. Ce corbeau est muni d'un plan incliné 35 et est maintenu dans sa posi- tion d' engagement par un ressort 36. Pour faire passer la biellette 24 de la position 24 dans la position 24.., onagit
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sur une manette 37 en la faisant tourner autour de son axe 28.
Cette manette étant prolongée par un bras 59, l'extrémité de celui-ci vient pousser sur le plan incliné 35, et soulève le corbeau 32, ce qui a pour effet de dégager celui-ci de l'en- tretoise 34 ; la biellette 24 peut alors osciller dans le sens de la flèche F1 pour venir reposer sur une entretoise 40.
Pour maintenir la biellette 24 dans la position 241, elle est prolongée par une partie 41, avec plan incliné 42.En ou- tre, l'extrémité du bras 39 delà manette 37 est munie d'une biellette 43 reliée par son autre extrémité à un levier en équerre 44 oscillant autour d'un axe 45. Un des bras de ce levier est muni d'un épaulement 46. Le levier 44 est soumis. à l'action dtun ressort 47.
On peut éventuellement prévoir une coulisse au moyen de laquelle la biellette 24 peut, dans la position abaissée, coulisser de quelques millimètres sur l'axe 30.
Lors du passage de la position 24 à la position 241, le talon 41 rencontre l'épaulement 46, oblige celui-ci de s'ef- facer en comprimant le ressort 47, et quand la position 241 est atteinte, ltépaulement 46 est repoussé sous le talon 41 par le ressort 47, ce qui bloque la biellette 24.
Pour ramener la biellette 24 dans sa position primitive, on agit sur la manette 37 dans le sens de la flèche F, qui dé- gage l'épaulement 46 par l'intermédiaire des organes 39,43 et 44. La biellette 24 est libérée et peut remonter ; remon- tant, le plan incliné 35 du corbeau 32 vient en contact avec l'entretoise 34 qui, de ce fait, se soulève, et vient prendre sur cette entretoise, en bloquant à nouveau la biellette dans la position 24.
Cette biellette 24 est sous l'influence d'un ressort qui se tend pendant le pivotement de la selle de haut en bas pour ensuite la ramener automatiquement de bas en haut.
Comme on le comprendra, lorsque le cycliste agit sur la manette 37 (fig. 5), il peut produire l'abaissement et le dé-
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placement vers. l'arrière de la selle 27, dans la position 271 tandis que les bielles 23 et 24 passent dans les positions 231 et 241 où elles maintiennent la selle dans la position 271.
Par les manoeuvres décrites, on peut donc faire passer aisément la selle de la position de pédalage vertical, dans celle de pédalage oblique, 'est à dire celle dans laquelle le cycliste repose sur la selle occupant la position 271.
La pièce 44 étant constamment soumise à l'action du res- sort 47, la manette 37 est toujours ramenée dans sa position élevée. Il en résulte que la main du cycliste n'aura qu'à. ap- puyer sur la manette 37 pour libérer la selle, quelle que soit la position occupée par lui.
Le mécanisme décrit s'applique à des cadres ayant subi une transformation. On peut toutefois également appliquer ce mécanisme aux cadres existants. Dans ce cas, le tube porte- selle usuel fera corps, à sa partie supérieure, avec une barre horizontale sur laquelle seront fixées les deux plaques 22 et la distance séparant ces plaques sera suffisante pour y loger les tubes 19,20,21.
La commande reste la même que celle décrite aux fig. 5 et 6, sauf qu'elle se trouve répétée extérieurement sur chacune des plaques. 22; seule la manette 37 res.tera unique et tout en pivotant encore autour de 38, se prolonge par un dispositif en forme de fourche, dont chacune des branches se trouve d'un des cotés de l'ensemble des plaques.
L'armature 27 de la selle peut se prolonger par des bras 48 (fig. 6 et 7) repliéa vers l'intérieur et vers le bas, et à l'extrémité de ces bras 48 se trouve un axe 49 pouvant tourner librement, et sur lequel, entre les pattes 48, est calé un segment 50. Sur cet arbre 49 sont également calés deux bras 51 se terminant par un dossier 52. Les deux extrémités de l'a- xe 49 sont munies de ressorts en spirale 53 tendant à mainte- nir le dossier rabattu vers le bas.
Sur la partie périphéri- que du segment, est fixée une lame flexible 54 se fixant par
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son autre extrémité aux biellettes 23.. Il en résulte que, lorsque la selle 27 est amenée en 271, et que la biellette 23 passe en 231,la distance 55-56 augmente; le segment 50 exécute un mouvement de rotation, ce qui entraine l'axe 49,les bras 51 et le dossier 52, à l'encontre de l'action du res- sort 53. Le cycliste peut donc s'appuyer sur un dossier lors- que la selle se trouve dans la position abaissée; par contre, ce dossier s'efface dans la position relevée.
Les deux positions recherchées de la selle peuvent égale- ment être obtenues par n'importe quel système ayant pour base un cadre présentant à. l'arrière un pan coupé à angle ap- proprié et dont la pente serait utilisée avec ou sans pivote- ment de la selle.
Un système de ce genre permettrait l'emploi de tous les genres de selles actuellement en usage.
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Improvements to cycles to allow the cyclist to pedal in different positions.
The present invention relates to improvements made to all types of cycles, and more particularly to bicycles, with a view to allowing the cyclist, while pedaling, to easily vary his hold on the saddle in order to pass from the normal pedaling position. to a relaxed position, or vice versa.
Any user of the bicycle has not been without pain in keeping too long in the saddle the almost vertical position which he must adopt in order to pedal. It is easy to see that if, without stopping his walk, the cyclist had the
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ability to move back and tilt his body backwards while lowering his seat at the same time, he could relax his fatigue by an almost horizontal pedaling, modifying muscular work or involving other muscles for the benefit of those who have had to provide all the effort so far.
It is this happy result that the present invention has attempted to obtain by very simple modifications made to the saddle and to its suspension means. To this end, it must be mounted in such a way as to be able to cut down by allowing the cyclist to carry himself towards the rear of the cycle.
In a variant, the device consists in considerably lengthening the usual saddle and in mounting it on a device whose elasticity will be used differently depending on the positions that the cyclist will occupy along this saddle; in a second variant, the saddle may be of ordinary length, but will be mounted so as to be lowered and retracted at the will of the cyclist, or brought back to the usual running position without the user having to dismount the machine.
Other variants will be described below:
The accompanying drawing shows, but only by way of example, some embodiments of the present invention applied to the bicycle.
There fig. I is a side elevation of a bicycle comprising the improvements made to the saddle and its suspension according to the first variant.
Fig. 2 schematically shows a different construction thereof.
Figs. 3 and 4 represent in its two extreme positions a mode of suspension of the saddle corresponding to the second variant mentioned above.
Figs. 5, 6 and 7 relate to alternative embodiments.
According to fig. I, we will notice that the frame, for
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reasons of resistance, affects the shape of a reinforced frame of a lady's bicycle, from which the saddle support tube, as well as the spacer connecting the upper part of this tube to the rear fork, have been removed. On this frame I are mounted, thanks to clamps 3, leaf springs 2, carrying at their end the saddle 4. The seat reserved for the leaves 2 on the frame is raised in such a way that these are empty. The blades will be slightly straightened so that when loaded and in running position, they return to the horizontal. The saddle 4 will be lengthened and preferably raised towards the rear so that the cyclist can slip into it and rest on the small backrest thus reserved in order to occupy the relaxation position.
Its weight will then cause the leaf springs to bend and cause the desired lowering of the saddle according to the dotted line in fig. I. At this time, the user can switch from vertical pedaling or normal walking, to horizontal pedaling or half-rest.
In order to keep the frame in its usual shape and its rigidity, the latter can be lowered according to FIG. 2, so as to maintain the necessary freedom of oscillation in the saddle.
It should also be understood that instead of extending the saddle according to the shape shown, the current saddle can be used by modifying its mounting on the blades 2, to allow it to slide easily on them.
The leaf spring 2 could also be replaced by a rigid tube pivoting on the stem of the handlebar, and elastically supported at the other end by any suitable means.
Finally, any damping system can be used in order to limit the oscillations of the elastic saddle holder, particularly on bad roads. These oscillations could also be used and transformed into work on the crankshaft, by connecting the damping system by connecting rods and pawls to. a ratchet mounted on this axis.
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In the embodiment shown by way of example in FIGS. 3 and 4, the usual framework of the cycle has been fully respected. On the other hand, the saddle 4, preferably slightly raised at the rear to form a slight backrest, is carried by any suitable clamping members on two parallel horizontal bars 5, which can pivot on an axis 6, mounted at the bottom. upper part of connecting rods 7, themselves rotating at 8 on a pin mounted at the end of the seat post.
This rod is bent at 10 to form a support for a blade spring II which is held there by. brackets 12. The bars 5 are joined at the rear by two tenons 13 provided with rollers between which is engaged the free end of the elastic blade II. On the other hand, at their front part, the two blades 5 are separated by a fixed bracket 14 mounted on the upper horizontal tube 15 of the frame. This stem is pierced at its upper part with a transverse hole in which a key 18 can engage.
Openings made on the blades 5 make it possible, by engaging or disengaging this key, to keep the saddle in the normal running position (fig. 3) or to abandon it to take the half-rest position (fig. 4). , its fall being damped by the action of both spring II and another elastic blade 16 mounted under the front of the saddle on the frame, at 17. In this position]; the said springs constitute an elastic suspension for the saddle which adds to its comfort.
We understand that to return from the half-rest position (fig. 4) to that of normal walking (fig. 3), the cyclist just needs to stand up for a moment on his pedals so that, the saddle is raised under the combined action of springs II and 16, it suffices to engage the key 18 in the corresponding holes of the bracket 14 and of the bars 5.
From the foregoing, it can be seen that the essential character of this second variant being to obtain on the same
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cycle two pedaling positions by lowering and backing a standard saddle, the same result could be obtained by using two saddles arranged in any suitable manner in the two extreme positions shown; such an arrangement would therefore come within the scope of the present invention although this would result in a serious increase in weight and price.
Provision should also be made for the shape or construction of the handlebars to be modified accordingly, to enable the cyclist to easily hold it in one or the other pedaling position.
In the embodiment according to FIGS. 5 and 6, the tubes 19, 20 and 21 are cut at their end (fig. 6) and are joined by two plates 22 which are located at a certain distance from each other, which are crossed by bou- assembly lons (not shown), and which are welded to tubes 19, 20 and 21.
In the space left between the plates 22, are housed rods 23 and 24; the connecting rod 23 is articulated on the one hand, at 25, at the end of a spring 26, connected to the saddle frame 27, and on the other hand at 28 around a pivot; the connecting rod 24 is articulated on the one hand, at 29, around the saddle frame, and on the other hand around a pivot 30.
The very special arrangement of the spring 26 gives the saddle an ideal elastic suspension, which is possible thanks to the reinforcement system of said saddle formed by the strips 27.
The stroke of the rod 23 is limited by a stop 31.
The rod 24 is maintained in the position shown in FIG. 5 by means of a corbel 32 articulated on it by the pin 33, and engaging around a spacer 34. This corbel is provided with an inclined plane 35 and is maintained in its engaging position by a spring 36. To cause the rod 24 to pass from position 24 to position 24 .., we act
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on a lever 37 by rotating it around its axis 28.
This lever being extended by an arm 59, the end of the latter pushes on the inclined plane 35, and lifts the corbel 32, which has the effect of disengaging the latter from the spacer 34; the rod 24 can then oscillate in the direction of the arrow F1 to come to rest on a spacer 40.
To keep the rod 24 in position 241, it is extended by a part 41, with an inclined plane 42. In addition, the end of the arm 39 of the handle 37 is provided with a rod 43 connected by its other end to an angled lever 44 oscillating about an axis 45. One of the arms of this lever is provided with a shoulder 46. The lever 44 is subjected. to the action of a spring 47.
It is optionally possible to provide a slide by means of which the rod 24 can, in the lowered position, slide a few millimeters on the axis 30.
When changing from position 24 to position 241, heel 41 meets shoulder 46, forces the latter to collapse by compressing spring 47, and when position 241 is reached, shoulder 46 is pushed back under. the heel 41 by the spring 47, which blocks the rod 24.
To return the rod 24 to its original position, the lever 37 is acted in the direction of the arrow F, which releases the shoulder 46 by means of the members 39, 43 and 44. The rod 24 is released and can go up; As it goes up, the inclined plane 35 of the corbel 32 comes into contact with the spacer 34 which, as a result, rises, and comes to take on this spacer, again locking the rod in position 24.
This rod 24 is under the influence of a spring which is stretched during the pivoting of the saddle from top to bottom and then automatically brings it back from bottom to top.
As will be understood, when the cyclist acts on the lever 37 (fig. 5), he can produce the lowering and lowering.
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placement towards. the rear of the saddle 27, in the position 271 while the connecting rods 23 and 24 pass in the positions 231 and 241 where they maintain the saddle in the position 271.
By the maneuvers described, the saddle can therefore be easily changed from the vertical pedaling position to that of oblique pedaling, that is to say the one in which the cyclist rests on the saddle occupying position 271.
The part 44 being constantly subjected to the action of the spring 47, the lever 37 is always returned to its raised position. It follows that the hand of the cyclist will only have. press the handle 37 to release the saddle, whatever the position it occupies.
The described mechanism applies to frames that have undergone a transformation. However, this mechanism can also be applied to existing frameworks. In this case, the usual saddle-carrying tube will form a body, at its upper part, with a horizontal bar on which the two plates 22 will be fixed and the distance separating these plates will be sufficient to accommodate the tubes 19,20,21 therein.
The command remains the same as that described in fig. 5 and 6, except that it is repeated externally on each of the plates. 22; only the handle 37 res.tera unique and while still pivoting around 38, is extended by a fork-shaped device, each of the branches of which is located on one side of all the plates.
The frame 27 of the saddle can be extended by arms 48 (fig. 6 and 7) folded inwards and downwards, and at the end of these arms 48 is an axis 49 which can rotate freely, and on which, between the tabs 48, is wedged a segment 50. On this shaft 49 are also wedged two arms 51 ending in a backrest 52. The two ends of the pin 49 are provided with spiral springs 53 tending to keep the backrest folded down.
On the peripheral part of the segment is fixed a flexible blade 54 which is fixed by
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its other end to the rods 23 .. It follows that, when the saddle 27 is brought to 271, and the rod 23 passes through 231, the distance 55-56 increases; the segment 50 performs a rotational movement, which drives the axis 49, the arms 51 and the backrest 52, counter to the action of the spring 53. The cyclist can therefore lean on a backrest during - that the saddle is in the lowered position; on the other hand, this backrest is erased in the raised position.
The two desired positions of the saddle can also be obtained by any system based on a frame having to. the rear a cutaway at an appropriate angle and the slope of which would be used with or without pivoting of the saddle.
A system of this kind would allow the use of all kinds of saddles currently in use.