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Dispositif pour donner une grande accélération à des moteurs à champ mobile servant à la coimian, navettes de métiers à tisser.
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Avec les commandes électriques à champ mc pour navettes de métiers à tisser connues, on n'a réussi jusqu'à présent, même approximativement, à aux navettes les vitesses qu'exigent les puissanc usuelles des métiers à moteur et qu'on a pu obten ailleurs à l'aide de dispositifs de chasse-navett mécanique s.
Selon l'invention, une accélération du dém et, par suite, une grande vitesse des navettes son
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/ dans une commande par champ électrique mobile en choisissant le pas ou division polaire du moteur à champ mobile aussi faible que possible pour diminuer le poids de l'induit, mais en élevant la fréquence du courant polyphasé imprimé à ce moteur à un multiple de la fréquence normale de 50 hertz. On prévoit, en même temps des éléments grâce auxquels les variations de tension provoquées par l'impédance du stator intercalée en avant delà partie non couverte par les surfaces polaires de l'induit sont compensées partiellement ou totalement.
La plus grande accélération de démarrage permet d'obtenir un nombre de duitesqui correspond au nombre de duites usuel qu'assurent jusqu'à présent les dispositifs mécaniques de chasse-navettes et un nombre de duites encore bien supérieur s'il s'agit d'un métier à tisser large.
Plusieurs réalisations du dispositif, objet de l'invention, sont illustrées à titre d'exemples par les dessins annexés, dans lesquels:
La figure 1 représente une partie du stator, étendu en ligne droite, du moteur à champ mobile ainsi que de l'induit en court-circuit ou à cage d'écureuil 1, qui couvre quatre divisions polaires de ce stator. En outre, la figure 1 représente une navette de tissage 3 ainsi que les galets 4. L'induit 1 est monté fixement dans la face inférieure de la navette 3.
La figure 2 représente le couplage de la commande à champ mobile.
La figure 3 représente un diagramme de tensions déterminé par le régulateur d'induction 8.
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Les figures 4 et 5 illustrent deux autre réalisations du dispositif, objet de l'invention La figure 6 montre comment les bobines d première et troisième positions changent de plac la partie formant stator du moteur à champ mobil On sait qu'il y a entre une commande à c. mobile rectiligne et un moteur à courant triphas d'une façon tout-à-fait générale une différence en ce sens que le noyau d'induit n'est pas fermé une forme circulaire, mais est étendu en ligne d Il s'ensuit que le flux de force d'une paire de divise, selon la position occupée dans chaque ca l'induit par rapport aux poles du champ indueteu le noyau d'induit, partiellement en deux parties partiellement en deux parties inégales et qu'en ce même flux ne se divise pas en deux branches. donné ce dernier cas, il faut doubler les dimens la section du noyau d'induit.
Ceci a pour conséqi doubler le poids du noyau de l'induit par rappor- d'un noyau d'induit normal, ce qui constitue tou' culièrement un obstacle, en raison des grandes mi fer d'induit, à la tendance à imprimer à l'indui' grande accélération nécessaire. Etant donné que : du noyau de l'induit est à peu près proportionne: pas ou division polaire, selon l'invention, pour des masses de fer aussi faibles que possible ava forte saturation magnétique du fer de l'induit, ; division polaire du stator et de l'induit est rei aussi petite que cela est possible en pratique ei compte des petites dimensions des dents du statoi
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de la dispersion.
Mais, étant donné que la réalisation d'une petite division polaire s'obtient aux dépens de la vitesse, il devient en même temps nécessaire d'utiliser une fréquence de service nettement supérieure à la fré- quence usuelle qui est autrement de 50 hertz. Bien entendu, il faut tenir compte de la haute fréquence d'induit qu'implique l'élévation de la fréquence de service en adaptant la résistance ohmique de l'enroulement à court- circuit à l'industivité augmentée de l'induit.
En dehors de l'utilisation d'un faible pas polaire, d'une haute fréquence de service et d'une forte saturation du fer d'induit, il est prévu ici, pour diminuer encore davantage les masses,de fer sur le c8té supérieur du fer d'induit, des renfoncements 5, qui sont placés aux points où, par suite de la distribution du flux de force, il ne se produit que de faibles saturations magnétiques. Selon l'invention, on peut aussi constituer l'induit de façon qu'il recouvre une ou plusieurs divisions polaires de la partie du stator.
On obtient de cette manière la meilleure accélération possible pour 11 induit. Comme on peut en outre le voir par la figure 1, une autre différence impor- tante du moteur à champ mobile vis-à-vis d'un moteur normal c'est que le fer d'induit ne couvre qu'une partie du champ du stator, de sorte que l'enroulement de la partie de stator non couverte par les surfaces polaires de l'induit est intercalé comme impédance en avant de l'enroulement de la partie du stator couverte, c'est-à-dire de la partie se trouvant en action et réaction avec le rotor. La tension aux bornes du moteur à champ mobile se compose donc de la tension tombant sur la partie non
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couverte et de la tension tombant sur la partie c par l'induit.
La tension tombant sur la partie co par l'induit sera appelée dans ce qui suit "tensi service du moteur". Etant donné que, dans un mote courant triphasé et à induit à cage d'écureuil, 1 courant de démarrage varie du courant de court-ci au courant de marche à vide, Le rapport de la ten de l'impédance intercalée en avant à la tension d service du moteur varie de façon correspondante p le démarrage. Si, par conséquent, la tension régn bornes du moteur à champ mobile est constante, la diminution du courant de démarrage produit une au tation de la tension de service du moteur. Or, ce augmentation n'est favorable que dans la mesure c force tractive est accrue par elle, mais non pas autant que la tension de service augmentée implic partir d'une certaine valeur une aimantation de f inadmissible du fer actif.
La fluctuation indésir de la tension de service du moteur peut être supp ici d'une manière complète par l'utilisation de d sitifs de réglage à action automatique de constru connue, comme par exemple par un transformateur é réglage ou par un régulateur d'induction 8.
On a représenté graphiquement dans la fi les tension impliquées par le couplage de la comn La droite 9 désigne la tension de réseau existant droite 10 désigne la tension supplémentaire indu:! le régulateur d'induction 8, et la droite 11 la 1 régnant aux bornes du moteur à champ mobile, qui égale à la résultante des deux tensions 9 et 10.
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@ produit par le courant de court-ciréuit du moteur au moment du démarrage dans le régulateur d'induction 8 fait tourner l'induit du régulateur à induction jusqu'à une butée dans une mesure telle que la phase de la tension supplémentaire induite dans l'enroulement de stator du régulateur à industion assure l'augmentation de la résultante 11 nécessaire pour couvrir la chute de tension de la partie non ouverte du stator. Si le courant de démarrage rétrograde toujours de plus en plus pendant le démarrage, le couple agissant sur l'induit du régu- lateur a induction diminue de façon correspondante et l'induit du régulateur est rapproché de sa position de repos par suite de la force du ressort qui s'oppose au couple.
Dans la position de repos de l'induit du régu- lateur, la phase de la tension supplémentaire est alors modifiée dans une mesure voulue pour que la résultante 11 corresponde à la tension de marche à vide du moteur à champ mobile.
Pour diminuer la tension d'impédance de la partie du stator non couverte par l'induit, ainsi que la puis- sance réactive du moteur à champ mobile, l'auto-induction de la partie de stator non couverte est compensée par une réactance de capacité 6 montée en série avec l'enrou- lement du stator. Un moyen moins parfait pour régler la tension, mais suffisant quand même dans certaines conditions, par exemple avec de courts champs mobiles, consiste à ne pas supprimer complètement la fluctuation de la tension de service du moteur mais à la limiter.
Pour cela sans tenir compte du point de vue traité ci-dessus, on choisit la fréquence de service de façon
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que la valeur absolué du glissement, que l'indu jusqu'au freinage, soit supérieure à celle du g de marche , vide, en sorte que le courant de d ne diminue que jusqu'à une valeur telle que l'a tion de la tension de service du moteur, qui es quente à cette diminution, ne dépasse pas une m admissible, compte tenu de la charge magnétique En ce qui concerne la commande de la nai tissage 3, il y a lieu d'observer que cette comn assurée par un cylindre de manoeuvre 7 relié de impérative à la commande du métier à tisser par organes de transmission appropriés de constructi Les contacts de ce cylindre de manoeuvre sont di de telle manière que les moments où s'opèrent la circuit,
l'inversion et la.mis hors circuit de 1 ment 12 du stator puissent être décalés les uns rapport aux autres d'une manière quelconque.
Comme on peut le voir par la figure 6, d partie da stator du moteur à champ mobile, les b( de la première et de la troisième positions peuve changer de place. On peut ainsi égaliser les rési inductivités, etc... dans les trois phases.
Les divers groupes de bobines sont couplé série. Le mode de couplage des groupes entre eux un couplage en étoile avec une tension de service 220 volts. Cette tension est amenée à la partie d réseau u, v, w. On relie les extrémités d'enrouler !, 1., !, qui conduisent normalement au point de j avec un démarreur, pour obtenir ainsi le meilleur ment possible. Selon l'invention, l'induit peut a:
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constitué de façon qu'il couvre une ou plusieurs divisions polaires de la partie de stator.
La réalisation exposée dans les figures 4 et 5 traite un autre développement de l'invention expliquée jusqu'à présent. Les moyens servant selon cette invention déjà expliquée pour diminuer sou supprimer complètement les fluctuations de tension indésirables pendant le démarrage consistent dans le choix d'une fréquence de service déterminée, ainsi que dans l'utilisation de dispositifs à action automatique d'ailleurs connus en soi pour le réglage de la tension. Mais l'utilisation d'une fréquence de service exactement adaptée n'est réalisable que lorsqu'on ne commande avec cette fréquence que des métiers à tisser dont la demie longueur de chemin de navette est plus petite que la distance de démarrage de la navette.
Dans les autres cas, il faut se servir du second moyen indiqué ci-dessus, c'est-à-dire empêcher une aimantation de grandeur inadmissible par des régula- teurs de tension à action automatique. Mais l'utilisation de dispositifs de ce genre complique et renchérit la commande à champ mobile dans une mesure très considéra- ble. Le problème que pose l'invention est de remédier à ces inconvénients. Selon qu'il s'agit de champs mobiles courts ou longs, puis de métiers à tisser étroits ou larges, on adoptera l'un ou l'autre des deux exemples de réalisation appropriés, représentés dans les figures 4 et 5. L'exemple de réalisation de la figure 4 est destiné à des champs mobiles courts tandis que l'exemple de réalisation de la figure 5 est destiné à des champs mobiles longs.
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Le but, d'empêcher une aimantation du fei de force inadmissible, produite par la fluctuati< tension mentionnée ci-dessus, est atteint, dans 1 de réalisation selon la figure 4 par le choix du déterminé entre la saturation du fer, le courant tation et le courant de démarrage maximum, de flan des valeurs admissibles de l'aimantation ne puise être dépassées même lorsque l'induit a atteint sc sement de marche à vide.
Le courant d'aimantatior moteur est alors choisi assez fort pour que la di entre le courant de court-circuit et le courant c à vide soit si faible que la variation de courant pondante pendant le démarrage n'ait pour résultat l'impédance de la partie de stator non couverte c variation de tension telle que la tension de serv augmentée du moteur c'est-à-dire la tension régna les parties de stator couvertes, ne charge magnét le fer actif que dans des limites admissibles.
Les figures 4 et 5 servent toutes deux à l'exemple de réalisation dans l'hypothèse de méti tisser larges. La figure 4 est une élévation d'ur allongé comportant trois sections d'enroulement 1 La figure 5 représente schématiquement les trois d'enroulement. Les sections d'enroulement 13 et 1 les sections de démarrage et de freinage de la ne de tissage. La section d'enroulement 14 est par c section du chemin de navette, qui est parcouru pe navette 3 en majeure partie à sa vitesse finale. de spires du trajet 14 est différent de ceux des 13 et 15. On le choisit assez grand pour qu'il cc
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à la tension de marche à vide de la partie de stator couverte.
Dans les métiers à tisser très larges, le nombre de spires de la section 14 est augmenté pour diminuer les pertes du courant d'aimantation par le cuivre rationnellement dans une mesure telle que le courant d'aimantation de cette section d'enroulement ait une valeur tellement faible que le champ engendré par lui est précisément encore suffisant pour maintenir la vitesse de marche à vide normale de l'induit.
Les conducteurs 16, 17, 18 amenant le courant aux trois sections d'enroulement conduisent à un cylindre de manoeuvre de construction connue à l'aide duquel la navette est commandée. Les contacts réglables de ce cylindre de manoeuvre sont ajustésde façon que la section du moment ne puisse être mise enncircuit que lorsque l'induit de la navette de tissage se trouve dans sa portée.
La mise en circuit d'une section d'enroulement ne se fait par conséquent qu'après l'entrée de l'induit, et sa mise hors circuit se fait avant sa sortie. Si une section d'enroulement était maintenue sous tension sans que l'induit se trouvât dans sa portée, la tension de service du stator ne serait formée, en raison de l'absence du flux de force principal, que par la tension de dispersion et la composante de la chute de tension ohmique.
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Une plus grande vitesse de démarrage peut donnée à l'induit et par là à la navette 3 pa- électrique à l'aide.des sections d'enroulement 15 représentées dans les figures ., et 5 et expli ci-dessus. Mais, pour pouvoir augmenter encore la vitesse de démarrage déjà ainsi accrue de la selon un autre développement de l'invention on frapper la navette à la fin de son trajet contr organe élastique, de telle manière que ce derni mis sous tension par la force vive de la navett contre lui et que cette tension soit utilisée p mouvement de retour de la navette. Selon l'exem réalisation représenté par la figure 7, on a ut comme organe élastique, un ressort de compressi qui est monté sur une broche 23 portant le tacu longitudinalement . entre ce taquet et la paro battant 26.
La navette 3 entrant dans la botte 22 est reçue de la façon connue par le taquet 2 en marne temps maintenue et freinée par le frein la boite, puis elle comprime en outre le ressor compression 21. Après dégagement du frein 25 pa levier 27 disposé au-dessous de la botte à nave et mobile à partir du battant, la navette 3 est du freinage usuel et il est donné au taquet 2l ment libéré de ce fait, par le ressort comprimé vitesse de démarrage accrue qui se transmet à 1 5. L'utilisation d'un autre organe élastique po obtenir une plus grande vitesse de démarrage es sentée dans la figure 8.
Conformément à cette f un ressort de traction 29 est fixé d'une part à botte à navettes 22 en 28 et d'autre part au ta La navette 3 entrant dans la botte à navettes 2
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frappant ainsi contre ie taauet 24, ce qui fait que le ressort de traction 29 est mis sous un état tendu.
Lors de la libération de le navette 3 par le frein 25, le ressort de trsction 29 peut se contracter et imprimer ainsi à la navette une accélération supplémentaire à sa vitesse initiale.
Le dégagement du taquet 24 et la détente cons-'-- quente du ressort 21 se font par un coin 34, qui se déplace sous un nez 35 disposé sur le crochet 30 et qui soulève le crochet 30 dans une position de chasse déterminée. A cette fin, le coin 34 peut coulisser sur un bras 36 et ce dernier est disposé fixement sur une paroi 37 du métier. Pour régler la libération du taquet 24 et du ressort 21 conformément au mouvement de chasse et pour pouvoir choisir le moment exact pour l'accélé- ration de démarrage supplémentaire, le déplacement du coin 34 sur le bras 36 est réalisé de la faqon suivante : on prévoit sur le coin 34 une fente 38; qui permet une position d'avancement et une position de recul après desserrage des vis 39 vissées dans le bras 36 et passées par la fente 38.
La construction précitée peut aussi être utilisée avec le ressort de traction 29 représenté dans la figure 8. Suivant la construction représentée dans la figure 11, il est également possible de tendre les ressorts 21, 29 dont l'utilisation a été proposée par le mouvement de chasse. Une barre 42 est articulée ici avec le serre-navette 41 connu, disposé sur la masse de battant 40 et actionné par le mouvement de chasse; cette barre est également articulée avec le taquet 24 Le serre-navette 41 mis en mouvement de la façon connue par le battant du métier transmet ce mouvement également au taquet 24 (direction de la flèche A) et met ainsi
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sous tension le ressort de traction 29 relié à taquet et fixé sur la barre 23.
L'arrérage et 1 libération du ressort 29 se font de nouveau par moyens expliqués à l'aide des figures 9 et 10.
REVENDICATIONS.
1.- Dispositif pour donner une grande acc tion à l'induit des moteurs à champ mobile serv la commande des navettes de métiers à tisser, c risé en ce que la division polaire du moteur es petite pour diminuer le poids de l'induit et la quence du courant polyphasé imprimé s'élève à u ple de la frécuence normale de 50 hertz, puis i prévu des moyens par lesquels les variations de provoquées par l'impédance de stator intercalée avant de 3a partie non couverte par les surfaces de l'induit sont compensées partiellement ou to 2.- Dispositif suivant la revendication 1 térisé en ce que l'induit du moteur à champ mob couvre une ou plusieurs divisions polaires de 1 du stator.
3.- Dispositif suivant la revendication 1 térisé en ce que le fer d'induit moulé fixement la navette de tissage comporte des renfoncement, points de basse saturation magnétique.
I+,- Dispositif suivant la revendication 1 térisé en ce que la fréquence imprimée au moteu champ mobile est choisie de façon que l'induit gne pas le glissement de marche à.vide jusqu'au cement du freinage.
5.- Dispositif suivant la revendication 1 térisé par des dispositifs de réglage fonctionnai automatiquement, par exemple des régulateurs d'. qui compensent les fluctuations de tension prod
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Device for giving a great acceleration to movable field motors used in coimian, shuttles of looms.
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With the known electric field controls mc for shuttles of weaving looms, it has so far not been possible, even approximately, to achieve at the shuttles the speeds required by the usual powers of motorized looms and which have been obtained. elsewhere using mechanical shuttle chasers.
According to the invention, an acceleration of the start and, consequently, a high speed of the shuttles are
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/ in a control by mobile electric field by choosing the pitch or polar division of the moving field motor as low as possible to reduce the weight of the armature, but by raising the frequency of the polyphase current imparted to this motor to a multiple of the normal frequency of 50 hertz. At the same time, elements are provided by which the voltage variations caused by the impedance of the stator interposed in front of the part not covered by the pole surfaces of the armature are partially or totally compensated.
The greater start-up acceleration makes it possible to obtain a number of picks which corresponds to the usual number of picks provided up to now by mechanical shuttles and a much higher number of picks in the case of a wide loom.
Several embodiments of the device, object of the invention, are illustrated by way of example by the appended drawings, in which:
Figure 1 shows part of the stator, extended in a straight line, of the moving field motor as well as of the short-circuited or squirrel cage armature 1, which covers four pole divisions of this stator. In addition, Figure 1 shows a weaving shuttle 3 as well as the rollers 4. The armature 1 is fixedly mounted in the underside of the shuttle 3.
Figure 2 shows the coupling of the moving field control.
Figure 3 shows a voltage diagram determined by the induction regulator 8.
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Figures 4 and 5 illustrate two other embodiments of the device, object of the invention Figure 6 shows how the coils of the first and third positions change place the part forming the stator of the mobile field motor It is known that there is between a command to c. mobile rectilinear and a three-phase current motor in a quite general way a difference in that the armature core is not closed a circular shape, but is extended in line d It follows that the force flux of a pair of divides, according to the position occupied in each ca the armature with respect to the poles of the inductive field, the armature core, partially in two parts partially in two unequal parts and that in this same flux no not split into two branches. given this last case, it is necessary to double the dimensions the section of the armature core.
This has the consequence of doubling the weight of the armature core in relation to a normal armature core, which is always an obstacle, due to the large armature size, to the tendency to print. the indui 'great acceleration required. Given that: of the core of the armature is approximately proportionne: pitch or polar division, according to the invention, for masses of iron as low as possible ava strong magnetic saturation of the iron of the armature,; polar division of stator and armature is made as small as is practically possible taking into account the small dimensions of stator teeth
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of the dispersion.
However, since the achievement of a small polar division comes at the expense of speed, at the same time it becomes necessary to use an operating frequency significantly higher than the usual frequency which is otherwise 50 hertz. Of course, account must be taken of the high armature frequency involved in raising the operating frequency by adapting the ohmic resistance of the short-circuited winding to the increased industivity of the armature.
Apart from the use of a low pole pitch, a high operating frequency and a high saturation of the armature iron, it is planned here, to further reduce the masses, of iron on the upper side. of the armature iron, recesses 5, which are placed at the points where, as a result of the distribution of the force flux, only weak magnetic saturations occur. According to the invention, it is also possible to constitute the armature so that it covers one or more polar divisions of the part of the stator.
In this way the best possible acceleration is obtained for the armature 11. As can further be seen from Figure 1, another important difference of the moving field motor from a normal motor is that the armature iron only covers part of the field. of the stator, so that the winding of the stator part not covered by the pole surfaces of the armature is interposed as impedance ahead of the winding of the stator part covered, i.e. the part in action and reaction with the rotor. The voltage across the moving field motor therefore consists of the voltage falling on the non
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covered and the voltage falling on part c by the armature.
The tension falling on the part co by the armature will be called in what follows “engine service tension”. Since, in a three-phase motor with squirrel-cage armature, 1 starting current varies from the short-current to the no-load current, the ratio of the ten of the impedance inserted in front to the motor operating voltage varies correspondingly p starting. If, therefore, the voltage at the terminals of the moving field motor is constant, the decrease in the starting current produces an increase in the operating voltage of the motor. Now, this increase is only favorable to the extent that c tractive force is increased by it, but not as much as the increased operating voltage implic from a certain value an inadmissible magnetization of f of the active iron.
The unwanted fluctuation of the motor's operating voltage can be completely suppressed by the use of self-acting regulating devices of known construction, such as for example by a regulating transformer or by an induction regulator. 8.
The voltages implied by the coupling of the comn have been graphically represented in the line. Line 9 designates the existing network voltage line 10 designates the additional undue voltage :! the induction regulator 8, and the straight line 11 la 1 prevailing at the terminals of the moving field motor, which equals the resultant of the two voltages 9 and 10.
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@ produced by the short-circuited current of the motor at the time of starting in the induction regulator 8 rotates the armature of the induction regulator up to a stop to such an extent that the phase of the additional voltage induced in the The stator winding of the industion regulator provides the increase in the resultant 11 necessary to cover the voltage drop of the unopened part of the stator. If the starting current always downshifts more and more during starting, the torque acting on the armature of the induction regulator decreases correspondingly and the armature of the regulator is brought closer to its rest position as a result of the force. of the spring which opposes the couple.
In the rest position of the armature of the regulator, the phase of the additional voltage is then modified to a desired extent so that the resultant 11 corresponds to the no-load voltage of the moving field motor.
To decrease the impedance voltage of the part of the stator not covered by the armature, as well as the reactive power of the moving field motor, the self-induction of the part of the stator not covered is compensated by a reactance of capacity 6 mounted in series with the stator winding. A less perfect way to regulate the voltage, but still sufficient under certain conditions, for example with short moving fields, is not to completely suppress the fluctuation of the motor operating voltage but to limit it.
For that without taking into account the point of view treated above, one chooses the frequency of service so
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that the absolute value of the slip, that the undue amount until braking, is greater than that of the running g, empty, so that the current of d decreases only to a value such that the a tion of the operating voltage of the motor, which is equivalent to this reduction, does not exceed one permissible m, taking into account the magnetic load.With regard to the control of nai weaving 3, it should be noted that this comn ensured by an operating cylinder 7 connected imperatively to the control of the weaving loom by suitable transmission members of construction. The contacts of this operating cylinder are di such that the times when the circuit operates,
the inversion and the disconnection of 1 ment 12 of the stator can be offset relative to each other in any way.
As can be seen from figure 6, d part of the stator of the moving field motor, the b (of the first and third positions can change places. We can thus equalize the resistances, etc.) in the three phases.
The various groups of coils are series coupled. The mode of coupling of the groups between them a star coupling with an operating voltage of 220 volts. This voltage is brought to the network part u, v, w. The ends of winding!, 1.,!, Which normally lead to point j are connected with a starter, in order to obtain the best possible ment. According to the invention, the armature can a:
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made so that it covers one or more polar divisions of the stator part.
The embodiment shown in Figures 4 and 5 deals with a further development of the invention explained heretofore. The means used according to this invention already explained to reduce or completely eliminate undesirable voltage fluctuations during starting consist in the choice of a determined operating frequency, as well as in the use of self-acting devices known per se. for tension adjustment. However, the use of an exactly adapted operating frequency is achievable only when controlling with this frequency only looms whose half shuttle path length is smaller than the starting distance of the shuttle.
In other cases, it is necessary to use the second means indicated above, that is to say to prevent magnetization of inadmissible magnitude by automatically acting voltage regulators. But the use of devices of this kind complicates and increases the cost of moving field control to a very considerable extent. The problem posed by the invention is to remedy these drawbacks. Depending on whether it is a question of short or long moving fields, then of narrow or wide looms, one or the other of the two suitable embodiments, shown in FIGS. 4 and 5, will be adopted. embodiment of FIG. 4 is intended for short mobile fields while the exemplary embodiment of FIG. 5 is intended for long mobile fields.
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The goal, to prevent magnetization of the fei of inadmissible force, produced by the fluctuati <voltage mentioned above, is achieved, in the embodiment according to figure 4 by the choice of the determined between the saturation of the iron, the current tation and the maximum starting current, within the allowable values of the magnetization cannot be exceeded even when the armature has reached no-load stage.
The motor magnet current is then chosen high enough so that the di between the short-circuit current and the no-load current c is so low that the variation in current weighting during starting does not result in the impedance of the motor. uncovered stator part c voltage variation such that the increased operating voltage of the motor, i.e. the voltage prevailed over the covered stator parts, does not magnetize the active iron only within admissible limits.
Figures 4 and 5 both serve as an exemplary embodiment in the hypothesis of broad weaving. Figure 4 is an elevational view of an elongate having three winding sections. Figure 5 shows schematically the three winding sections. Winding sections 13 and 1 the starting and braking sections of the weaving web. The winding section 14 is by c section of the shuttle path, which is traversed pe shuttle 3 mostly at its final speed. of turns of path 14 is different from those of 13 and 15. It is chosen large enough so that it
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to the no-load voltage of the covered stator part.
In very wide looms, the number of turns of section 14 is increased to decrease the losses of the magnetization current by the copper rationally to such an extent that the magnetization current of this winding section has a value. so weak that the field generated by it is precisely still sufficient to maintain the normal idling speed of the armature.
The conductors 16, 17, 18 carrying the current to the three winding sections lead to an operating cylinder of known construction with the aid of which the shuttle is controlled. The adjustable contacts of this maneuvering cylinder are adjusted so that the current section can only be turned on when the armature of the weaving shuttle is within range.
A winding section is therefore switched on only after the armature has entered, and it is switched off before its exit. If a winding section were kept under tension without the armature being within its reach, the working voltage of the stator would be formed, due to the absence of the main force flow, only by the dispersion voltage and the component of the ohmic voltage drop.
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A higher starting speed can be given to the armature and thereby to the pa-electric shuttle 3 with the aid of the winding sections 15 shown in Figs., And 5 and explained above. But, in order to be able to further increase the already thus increased starting speed of the according to another development of the invention, the shuttle is struck at the end of its travel against the elastic member, in such a way that the latter is put under tension by the live force. of the shuttle against it and that this tension be used p return movement of the shuttle. According to the embodiment shown in Figure 7, there is ut as an elastic member, a compression spring which is mounted on a pin 23 carrying the tacu longitudinally. between this cleat and the beating wall 26.
The shuttle 3 entering the boot 22 is received in the known manner by the cleat 2 in time maintained and braked by the brake the box, then it further compresses the compression spring 21. After release of the brake 25 by lever 27 placed at the - below the boot with nave and movable from the leaf, the shuttle 3 is of the usual braking and it is given to the cleat 2l ment released as a result, by the compressed spring increased starting speed which is transmitted to 1 5. L The use of another resilient member to obtain a higher starting speed is felt in figure 8.
In accordance with this f a tension spring 29 is fixed on the one hand to the shuttle boot 22 at 28 and on the other hand to the ta The shuttle 3 entering the shuttle boot 2
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thus striking against the taauet 24, whereby the tension spring 29 is put in a tensioned state.
When the shuttle 3 is released by the brake 25, the traction spring 29 can contract and thus impart to the shuttle an additional acceleration to its initial speed.
The release of the cleat 24 and the consequent relaxation of the spring 21 are effected by a wedge 34, which moves under a nose 35 disposed on the hook 30 and which raises the hook 30 in a predetermined hunting position. To this end, the wedge 34 can slide on an arm 36 and the latter is fixedly disposed on a wall 37 of the loom. In order to adjust the release of the catch 24 and the spring 21 in accordance with the hunting movement and to be able to choose the exact moment for the additional starting acceleration, the displacement of the wedge 34 on the arm 36 is carried out as follows: provides on the corner 34 a slot 38; which allows an advancing position and a retreating position after loosening the screws 39 screwed into the arm 36 and passed through the slot 38.
The aforementioned construction can also be used with the tension spring 29 shown in figure 8. Following the construction shown in figure 11, it is also possible to tension the springs 21, 29, the use of which has been proposed by the movement of hunt. A bar 42 is articulated here with the known shuttle clamp 41, arranged on the leaf mass 40 and actuated by the hunting movement; this bar is also articulated with the cleat 24 The shuttle clamp 41 set in motion in the known manner by the leaf of the trade transmits this movement also to the cleat 24 (direction of arrow A) and thus sets
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under tension the tension spring 29 connected to the cleat and fixed on the bar 23.
The stopping and 1 release of the spring 29 is again done by means explained with the aid of Figures 9 and 10.
CLAIMS.
1.- Device for giving a large acc tion to the armature of the moving field motors serving the control of the shuttles of the looms, made in that the polar division of the motor is small to reduce the weight of the armature and the quence of the printed polyphase current amounts to u ple of the normal frequency of 50 hertz, then i provided means by which the variations of caused by the interposed stator impedance before 3a part not covered by the surfaces of the 2.- Device according to claim 1 terized in that the armature of the mob field motor covers one or more polar divisions of 1 of the stator.
3.- Device according to claim 1 terized in that the armature iron fixedly molded the weaving shuttle has recesses, points of low magnetic saturation.
I +, - Device according to claim 1 terized in that the frequency imparted to the moteu movable field is chosen so that the armature does not interfere with the sliding of step à.vide until the braking starts.
5.- Device according to claim 1 terized by automatically functioning adjustment devices, for example regulators. which compensate for fluctuations in voltage produced