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BREVET D-INVENfiON.
CYLINDREr D.#RD41iro.R.
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Convention internationale: demande déposée aux Etats Unis
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d'l,m.éri.ue lac I. aaùt 3-934.
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La présente invention aonaerne des rouleaux ou cylindred imprimeurs perfectionnes et plus particulièrement des cylindre'a imprimeurs dune constitution nouvelle destinés â.. !tre- utilises pour l'impression par gravure? en crefum et pCl:11r l'impression tY-lfo.grapb:iQ..tt.e.
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Les cylindres imprimeurs du. type auquel se rapporte la
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présente invention sont utilises dans; la. gEs.V#Ce: rotative- et dans des procèdes dimpressian ana,Qg#es ainsi que- paur l'im pression typographique. Lors de leur emplaîp, ils; sont mantes -1- de. maniera z, pouvoir taue.r i.xa dans une presse d'imprime- rie de: façon à, a'apgre sur une feuille au toile à laquelle- ils transmettent une impression a. 1 encer.
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Antérieurement à la. présente invention, on connaissait trais types cylindres imprimeurs ayant une surface extérieure
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adaptée à recevoir des dessins a à'autres marques devant être împriméqs. Ces anciens cylindres lorsqu'ils étaient utilises pour la gravure en creux, comportalent une surface externe- en au:ivre dans laque-Ile' était grava le gessin! de manière à reaavei
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l'encre.. Lors de la fabrication d'un premier type: de cylindre,
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un cylindre en aui.n6c ple-in avec des parois d'une épaisseur assez considérable, est monté sous pression à l'aide d'une praa- se hydrauliquv sur un mandrirr ccBique Puna: presse d'imprimerie en creux.
L'intérieur cylindrique du cylindre en suivre; est
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é:'U.8ê de manière à s'adapter au mandrin conique: sur lequel il doit être fixe:.
Le deuxième- type: de cylindre- d'imprimerie antérieur com-
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perte un reocn:#rEmle;ut: en atsre appliqué. sur un noyau- en acier ou en fer par un procède galvano-plastique spéciale L'épaisseur de la couche de cuivre électrolytique: sur ces noyaux en acier ou
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en fer de ce deuxième type- de rouleau, Tarie de 1.,? à 3 5 mm.
Les cylindres imprîmeurs: d*un troisième type: qui était connu bien avant celui faisant L'objet de la présente invention, comportent un tube de =i wra sans jaînt pressé sur un noyau: en fer ou- en acier.. Ce -troisième type de cylindre imprimeur connu antérieurement est employé uniquement lorsque Il'en a besoin de cylindres de très grandes dimensions, Il'économie étant dans ce
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cas la principale aans±céra, et lorsque la surface est gra"- vée par un procédé p&otaBaphiqQer.
La fabrication de ces trais types de cylindres antérieur ment (xannue et briéoement décrits, ci-dès susr, présente de sérieux inconvénients, de: même: d'ailleurs- que leur utilisation.
Dans le premier type de cylindre: dans lequel on utilise-
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un tube; de- arln6é d'une- épaisseur considérable- qui est pressé sur un mandrin conique, la coquille en cuivre est très catiteuae.
Avant la présente invention qui sera décrite: ci-dessous', a*était le: seul type courant de- rouleau employé dans l'industrie: textfla Pour établir un dessin qui doit être imprimé, ces cylindres sont gravés par un procédé pl2at.ara.phiq<us à la main, par un panto- graphe ou. par matrf-gage, Lorsque le- nombre voulu, d'impressions a été réalisé avec la surface afnai préparée: ait raujealtà, cette surface est tournée- au meulée c manière à. 'ene:ve-r la dessin at ea ensuite pour une: nauvslle gr.
Ces apêratianz rapé-- tées de tournage, polissage, gravure- et impression, réduisent
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continuellement le diamètre: du. cylindre imprimeur, de- sorte que celui-ci devient trop petit pour un usage ultérieur, tout en laissant dans certains aaa, subsister plus de la moitié de: la quantité de cuivre initiale qui doit être jetée et qui n'a pas plus de valeur que- celle' des débris de au:1.ne:-. on comprend que le prix d'établissement de ce premier type. de cylindre connu es élevé et aussi que sa,: durée est courte et qu'il cause un déchet considérable d*une matière coûteuse.
Un inconvénient relatif à l'usage de ces rouleaux en cui vre plein consiste en ce que leur forme cylindrique initiale se trouve, très rapidement, déformée. ceci a- lieu à la. suite du près' sage répété du rouleau- en cuivre sur le mandrin relativement du en acier, le diamètre intérieur du rouleau. augmentant. à ahaque pressage.
Lorsque le diamètre intérieur du rouleau augmente, il n'est plus fixe d'une manière sure à la même place du mandrin, rendant nécessaire l'emploi de cales' en étoffe- au. de- "chemises" comme an les appelle dans le commerce, ces cales en étaffe étan1 enroulées autour du mandrin de manière à remplir le diamètre in- terne accru. Il est facile de voir que par suite de la pression énorme' appliquée- par la presse hydraulique le rouleau se trouve mis hors d'usage très rapidement.
Un autre inconvénient que présente l'utilisation du rou- leau en cuivre; plein consiste en ce que des points dura; et ten- dres existent: sur la surface de celui-ci. Ces points durs et ten dres résultent da plusieurs imperfections: telles que- les soufflu res dans le lingot de cuivre original à partir duquel le rouleau est fabriqué par perçage- et passai à. travers: une filière.
Les points durs et tendres du rouleau augmentent la difficulté de la gravure du dessin sur ce rouleau et sont particulièrement nuisi- biles lorsqu'on emploie paur réaliser le dessin le procédé photos- graphique- largement répandu,
Le deuxième type de rouleau connu qui parte à sa surface une couche de cuivre en plaque présente un défaut, très marqué.
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Lorsqu'on emploie pour faire le dessin sur le rouleau le proaédé manuel au le matrigage,, le cuivre. se détache en certains points du rouleau... Ceci est dû à l'allongement au au déplacement de la couche de recouvrement en cuivre qui. sont dûs aux chocs permanents nécessaires pour la gravure à la main ou à la grande pression d.u.
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poinçon dans le cas du ma..tricage. Ceci. est pratiquement le seul inconvénient d'un rouleau ou cylindre recouvert par le procédé électrolytique.
Le troisième type de rouleau connu peur l'impression par gravure en creux présente à l'usage des inconvénients si nom-
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breux que, comme indiqué a:L-deasus, il n'est plus du tout employa saut dans le cas spécial des rouleaux de grande dimension gravés par un procédé phato;graphiqse:. En premier lieu, il est presque impassible d'obtenir' on contact parfait, métal sur métal, entre le tube et le noyau: en pressant ae tube sur le noyau, et il exis- te par conséquent un danger permanent du. détachement du tube par suite: de la pression. D'autre part, ae rouleau présente de même que celui du premier type décrit ci-dessus, l'inconvénient con-
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aistant dans la présence de points durs et tendres au dans le manque d'uniformité dans le cuivre: 1u±-même.
Il présente égale- ment l'inconvénient: inhérent au:. deuxième- type; mais à un degré plus grsoëE car le cui-vre- n'est pas réuni au noyau..
Pour résumer les inconvénients des cylindres imprimeurs connus antérieurement et les difficultés inhérentes à leur em-
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p1.at, on peut dire que leur fabrication est coûteuse, que la. sur- face d'impression manque cPunliormi:f;é, sauf dans le cas du: dett- xi. type., et que seuls' les rouleaux d; premier type qui sont les plus coûteux et donnent lieu. au maximum de déchet, peuvent
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être employés lorsque le dessin doit êtroe réalisé par gravure- à la main au. par ma.trice:. Ancon de ces cylindres antérieurs ne /éùent une liaisou réelle entre le cuivre, et le rouleau, de base en fer ou. en acier.
Dans le deuxième, type de rauleaw, c'est-à-- dire: dans celui muni d'une couche: ds cuivre' électroly-tique, la.
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couche de cuivre ne fait qu'adhérer à la base dent elle se déta- che dans les conditions indiquées ci-dessus:, et elle tend égale- ment à s'en détacher par suite de la différence des coefficients.
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de dilatation entre le noyau- en aa:Ler et la couche. de cuivre.
Par suite du manque de. liaison entre le cuivre. et le rouleau de
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base, Les cylindres antérieurement; connus, se déforment à l'usay et ne donnent pas lieu, µ une impression parfaite de dessin.
Dans ces conditions, il n'existe à présent aucun cylindre
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imprîmear qui. puisse être employer quel que soit le procédé uti- lisé, potET réaliser le de-ssin au la marque- qui doit être imprima et qui puisse e!6a?e' fabriqué et utilisé dans n'importe quelle dimension voulue.
La présente invention permet de réaliser un cylindre im-
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primeur dans litCJ:.tlEt1. la couche externe- métallique présentant des propriétés qui la rendent spécia-lemect apprnpnié* paur 1. iÎDlpraa...
Si.OD en =et= ait paur l''impresaian tpczrapt.cu, se- trouve tinté gralement et par suit* inséparablement reli.ée â la base cu ayez see= support, constitué d.'un métal plus résistant et moins eto:à..teux Les cylindres imprimeurs actnstruits conformément à la. présente invention ne comportent aucun des inconvénients cités: ci'-dessus et peuvent être réalisés dans toutes les dimensions: avec toutes: les longueurs et tous les diamètres que l'on veut.
Ces cylindres perfectionnés suppriment toutes les difficultés mentionnées ci- dessus et présentent de nombreux: avantages que l'on ne trouve
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pas dans les cylindres imprimeurs o:graplù.<tuea- au en creux an- térieurement connus. Le prix et.un cylindre terminé faisant l'ch- jet de l'invention, sera considérablement inférieur- à celui de 1'un des trais types de rouleaux anciens de même dimension, et malgré ce; prix relativement bas, aes cylindres seront pratique- ment parfaits à. tous égards.
En plus de son application à la fabrication de cylindres imprimeurs nouveaux, la présente invention s'applique' également à la remise à neuf des cylindres usés, sait du type perfectionna
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décrit ci-dessus, soit du premier type des cylindres connus men- tionnés ci-dessus.
La présente invention a par conséquent pour objet de réa- liser un nouveau cylindre. imprimeur peu coûteux, destiné au pra-
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cédé d'impression typograpn-icLQS et. en ar<un, le cylindre perfec- tionné comprenant un rouleau de base en fer ou. métal analogue relativement ban marchai et une couche- intégralement et aonstam- ment reliée à ce dernier et constituée par un métal ayant les
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prapr±.étés nécessaires paur être employé dans les procédés d'im- pression particuliers envisagés.
La présente invention vise: en autre la réalisation d'un
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cylindre impr1me.u:r:: comprenant un noyau, en acier et une ceustie de cuivre, alliage de outre, de zinc:, au de tout autre- métal, de faute épaisseur voulus, re7liés au noyau. en acier d'une manière autogène, par un procédé de soudure:.
L'inventian oeona+rne également la réalistkion d'un cylin- dre: im.prime:m:: comprenant un noyau en acier forgé ou coulé. ou au- tre mata:L CtOnYenah1.e soudé à une couche extérieure: en cuivre, en alliage de auivre, au. autres métaux onnrenables.
L'invention a également pour objet la fabrication d'un rouleau. imprimeur pour tissus., comprenant une couche de cuivre reliée d'une: manière autogène- à. un rouleau d.e base en fer au en acier
L'invention est également relative à la réalisation d'un cylindre imprimeur comportant un rouleau support, ayant des pa- raïs d'une- épaisseur sensiblement uniforme et constitué de maniè- re: à pouvoir- 'être monté sur l'arbre (t'une: presse d'imprimerie
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un analague, le dit rouleau support ayant une #tmha externe- caulée en cuivre-, alliage: de cuivre. ou. analogus: reliée cleune manière auto-gène au. cylindre-.
Un autre objet de la présente invention est un cylindre imprimeur typographique, comportant une couche en bronze, laiton, zinc; au analogue:, soudée d'une manière autogène à un rouleau de base en acier au en fer.
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D'autres caractéristiques de l'invention seront mieux com - prises en se repartant à la de cription détaillée ci-dessus, et au dessin annexé dans lequel an a représente à titre d'exemple, deux formes de réalisation de l'invention.
La fig. 1 est une coupe élévation d'une forme de réalisa- tien d'un cylindre imprimeur- conforme à l'invention.
La fig. 2 est une vue en bâtît dU!. cylindre: de la fig. 1, l'arbre. support ayant été omis pour plus de clarté.
La fig. 3 est une vue en occupe: élévation d'orne- autre fermi de réalisatian du cylindre imprimeur.
La fig. 4 est une vue en coupe suivant la ligne 4 - 4 de la fig. 3.
Deux formes de réalisation ont été choisies pour illustre] la présente invention, mais il est bien entendu et cela, appâtait] d'ailleurs dans la description complète@ qui suit.. qu'en adaptant les procédés de soudure décrits ci-dessous, on peut appliquer du fer au de l'acier soûlé à l'intérieur d'un; ce-quille en couine o@ en alliage de cuivre. on peut par suite;
, réaliser des cylindres imprimeurs perfectionnés de tous genres et de tous types des ires
Dans la fige 1, un rouleau de base 9, en fer ou en acier, est recouvert extérieurement par une couche 11 en cuivre cu autre métal convenable'. Cette couche 11 est appliquée de la manière dé- fin:Le ci-dessous, de manière à être- solidaire du. rouleau de base-
9. Le chiffre! 12 représente la soudure: qui relia les métaux diffé rents.
Afin d'effectuer une soudure correcte entre le cuivre ou les métaux analogues et l'acier ou analogue,,, le cuivre doit être chauffé à une température sensiblement, supérieure à son paint de fusion, et il doit être parte à la température de soudure au der fusion de l'acier. Cette: soudure, donne lieu à une. liaison équiva- lente à celle existant entre des pièces en fer au en acier, lors- qu'elles ont été fusionnées par soudure. La couche 11 Réserver se propriétés- initiales, les changements, s'ils se produisent, étant limités à la mince pellicule 12.
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Lors de l'application de la coucha 11, il est préférable de recouvrir les extrémités du rouleau de base 9, comme représen- té en 14. En recouvrant toute la surface extérieure du rouleau 9, celui-ci se trouve protégé contre l'action de l'acide employé dans les procédés de gravure- photographiques. Les extrémités de rouleau, de base 9 sont également protégées contre la rouille et contre les attaques par certaines encres ou teintures employées dans l'impression.
Afin que le rouleau qui vient d'être décrit puisse être utilité dans les presses d'imprimerie, on lui donne à l'intérieur par forgeage- ou usinage, au.:par les deux à la fois, une forme lui permettant d'être fixé sur un mandrin au. broche 15 de type appro- prié à la presse utilisée et ne formant pas partie de la présente invention. L'arbre- 15 peut être pourvu:, au voisinage- d'une extré- mité-, d'une cannelure 16, qui reçoit une clavette- 17, constituée du même métal que le rouleau, de base: 9.
Conformément au macis= de montage: décrit dans le brevet américain n 1,891,405, du même in- venteur, déposé le 20 décembre 1932, les extrémïtés du cylindre de base sont évasées intérieurement, comme représenté en 18, et des cônes fendus 19, de forme correspondante, sant disposés de manière: à pouvoir coulisser sur l'arbre- 15. L'un de ces cônes, parte contre une rondelle amovible: 20, logée dans une gorge pra- tiquée dans l'arbre, et l'autre cône s'applique contre un organe d'étanchéité comportant un anneau. 21. et un écrou 22. L'anneau 21 s'appuie centre une deuxième rondelle amovible 20.
Il est bien en- tendit que tout autre moyen convenable- peut être employé pour le montage du. rouleau, de base sur un arbre ou analogue dans le but d'être utilisé dans une presse d'imprimeries
En munissant le cylindre de base 9 avec une couche Il, sou- dée d'une manière autogène:, on peut soûler la. couche sur le rou- leau en obtenant ainsi une liaison intime entre le rouleau de baser et la coucher par fusion sur les surfaces en contact, au bien
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an peut réaliser une coquille. 11 indépendante et la relier au rouleau de base 9, par fusion ou en coulant le cylindre de base à l'intérieur- de:, la coquille de la manière qui sera décrite ci- dessus.
Si on utilise la première- de. ses méthodes pour effectue la fusion des métaux, on doit employer une température considér blement supérieure, à. celle de fusion dit cuivre, et il est préfé rable de souder d'abord sur le rouleau. de base une mince pellic
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le: métallique initiale, une couche extérie--ure: de' même métal. Ce permet de couler la, couche extérieure! à. une température appropr à la. Mulee dru aulyre; au. autre: mâtal donnant lieu â une couche externe perfectionnée. Lorsque la couche' externe métallique est
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roule&, elle- se, trouve: intégralement reliéu à la. pellicule mâta.: lique, de sorte que le rouleau de base., le pellicule soudée et la aauahe extérieure oaulee ne forment qu*un seul t:0:U!.t;.
Comma :b diqué précédemment, on peut aaulsr le rouleau des base 9 à 1"inti rieur d'une coquille: 1I îndëpemdante, en employant pour cela 161 moyens connus en fonderies pour donner une forme', intérieure conv@
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nable a rculea-z 9.
En réalisant le premier des procédês indiquer ci-dessus pour Inapplication de la couche II, le rouleau de- base 9, lequel dans le cas le plus simple, peut être constitué par un tube en fer ou en acier, est préparé sur sa surface extérieure par un nettoyage soigneux à l'aide de tout. moyen connue tel qu'un jet
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abrasif, dans le cas ou il est recouvert d*écaàles et oxyde.
Si on le désire, le rouleau. peut être nettoyé par immer- sion dans un acide, de préférence l'acide chlorhydrique au fluai
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hydrique, car ces acides forment une pelI.i#ule protectrice de chlorure ou. fluorure; on peut également combiner le nettoyage
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abrasif et acide. La pellicule appliquée par voie chimicitze, par suite du décapage avec un acide, se volatilise rapidement lorsqu le métal de recouvrement fondu est mis en contact avec le roulea
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de base et déo:a1rl're une surface, métallique- propre: sur laquelle
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agît le métal fondu facilitant ainsi la soudure.
Après nettoyage, le rouleau de baser est de préférence chauffé jusqu'au point de fusion du métal, Le cuivre, alliage de. cuivre:, ou autre métal de recouvrement, doit être également ahauf- fé jusqu'au point de fusion du métal- constituant le rouleau de âase, et maintenu à cette température pendant toute la durée de l'opération de recouvrement, par s caducs, dans le cas où ce métal de recouvrement est applique à l'état fondu.
Le chauffage préli- minaire du.rouleau.de base sert à empêcher une perte de chaleur dans le métal de recouvrement fortement chauffé et à porter ce métal, à sa température de fusïan. Le rouleau de base chauffé est centre dans un moule-, dans lequel an verse le métal de recouvre- ment fortement chauffé, Dans cette phase du processus de soudure, le moule est chauffé sensiblement à la même température que le métal fondu, de. soudure, et l'introduction de ce métal dans le moule se fait sous vide- de manière. à éviter l'oxydation, les soufflures, et toutes autres imperfections, qui pourraient être provoquées dans la. couche externe par la présence des gaz.
Après que le rouleau de: base a été chauffé, il peut être placé, avant l'introduction dit matai, de recouvrement, dans une atmosphère neutre, à l'intérieur du. meule, afin d'éviter toute possibilité d'oxydation avant cette introduction; le dispositif utilise pour vider le moule pendant l'introduction du métal est utilisé pour l'alimenter- en gaz neutre:, cette alimentation pou- vant être coupée lorsque le vide est substitué à ce gaz. Si on le désire, l'introduction du métal peut être effectuée dans une atmosphère neutre, sans recourir au vide:.
Pendant 1'introduction du métal, an peut utiliser- tous les moyens convenables pour- évi- ter l'oxydation indésirable- du rouleam chauffé et du métal. De préférence, le moule et le rouleau sont chauffés ensemble.
Comme indiqué ci-dessus, il est préférable de souder d'abord une- mince pellicule de métal de recouvrement ou d'un mé-
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tal avec lequel le métal de base et le. métal de recouvrement se combinent rapidement, et de couler ensuite, sur cette pellicule une chemise plus épaisse du métal de recouvrement.
Lors de l'ap- plication de la. pellinule soudée, le rouleau de base est chauffé d'abord, de préférence sans contact avec l'atmosphère et, si on veut, en présence d'un gaz neutre, et il est immergé dans un bai@ de métal de recouvrement fortement chauffé, dans lequel an le laisse séjourner pendant un court intervalle: de temps. Lorsqu'il est retiré du bain, le rouleau: se trouve recouvert par une fine couche nu pellicule du. métal de recouvrement qui- est intimement reliée avec lui, Le rouleau muni de la pellicule: soudée est en- suite centré dans un maula, le rouleau et le moule:
étant de pré- férence chauffés, approximativement à la température de. fusion du métal de recouvrement qui doit être coulé dessus, et une cou- che de métal convenable, chauffe à sa. température: de fusion,, tel que le cuivre, le zinc ou analogue au un alliage: tel que le lai- tan, le bronze ou analogue, qui se combinera, avec la pellicule, est coulée sur la pellicule soudée avec laquelle elle se trouve intégralement reliée. Entre les opérations d'immersion et de cou- lée, le rouleau recouvert par la pellicule est placé de préféren- ce dans une atmosphère neutre, au empêche par un autre moyen de s'oxyder.
Ceci peut être réalisé en remplissant le moule avec un gaz neutre- et en y plaçant: le rouleau immédiatement après son im- mersion dans. le; bain de métal fondu fortement chauffé.
En réalisant d'abord, une pellicule soldée de cuivre de la manière qui vient d'être décrite, on petit couler, sur cette pelli =le, du laiton, du bronze ou analogue:, lesquels à l'état fondu se combinent rapidement avec la. pellicule, de: cuivre, aux tempéra- tures habituelles de la coulée du lation, du bronze ou du zinc.
Ces alliages: de cuivre peuvent être' unis rapidement et directe- ment avec le cylindre: de base: par le: procédé de; scudure et codée décrit ci-dessus, si la surface du rouleau de base est d'abord. traitée avec des vapeurs d'étain, de zinc ou de tout autre métal
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ayant un point de fusion peu élevé et capable de s'unir rapide- ment au fer ou. à l'acfer.
Le métal à point de fusion peu élevé utilisé pour traiter la. surface de l'anneau de base en fer au en aciers, ne forme pas sur ce dernier une couche d'une épaisseur appréciable, mais les vapeurs se combinent avec le métal. à la. surface du: rouleau de base produisant, ainsi un alliage @uperficiel d'un type particulier, et partent également la surface du rouleau à une température relativement élevée.
Les vapeurs métalliques empêchent l'oxydation du rouleau. Apres avoir préparé les rouleaux de base en les soumettant à l'action des vapeurs métalliques, on les centre dans un moule, et le.laiton, le: bronze, au autre métal, est versé autour du rouleau, comme indiqué ci-dessus, La coquille en laiton au en bronze coulé, et le rouleau de base, deviennent solidaires.
Au lieu d'épaissir la pellicule: soudée en ajoutant après immersion du rouleau, du métal par coulée, le métal supplémentai- re nécessaire peut être déposé sur la pellicule de recouvrement soudée par voie électrolytique, ce qui permet d'obtenir une cou- cas de gravure: d'une très grande uniformité, en cuivre électraly- tique, ou en un autre métal rendu intégralement solidaire du rait- leau: de base, résultat souhaitable.qui n'avait jamais été possi- ble d'obtenir antérieurement. un rouleau imprimeur- comportant un recouvrement externe qui en est solidaire, et qui est aanstitué par du laiton au par du bronze, convient particulièrement aux procédés d'impression typographiques.
Le rouleau, imprimeur, solidaire de son recouvre- ment en cuivre, et réalisé de la manière décrite ci-dessus, au de celle qui sera indiquée plus bas, convient également pour l'im- pression typographique, et sa valeur est encore augmentée pour cet emploi en le recouvrant après gravure, par une couche: de chrome.
On peut réaliser le cylindre: à plusieurs métaux formant une seule pièce, conformément à la présente invention, en coulant le noyau en fer ou en acier- à l'intérieur d'un cylindre externe en cuivre pleins, ayant une épaisseur correspondante à celle qui
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est nécessaire pour la.. chemise en cuivre, du. cylindre terminé. E@ coulant, le rouleau de base de cette manière, on peut le modeler intérieurement en prévoyant dans le. meule un noyau, conformément à la pratique courante de la fanderie, de; sorte que, un usinage final très peu important sera nécessaire- pour préparer l'inté- rieur du rouleau- de: ûaae pour son montage sur un arbre;
ou broche tel que- celui représenté par exemple en fig, 1.
Lors de la fabrication d'un cylindre imprimeur, comportan un cylindre de, base coule, la coquille au ahemise externe, en cuivre ou en alliage de cuivre,, est placée dans un moule ayant u forme extérieure: cylindrique, et avec lequel la coquille au che- mise est en contact, La surface interne de la. coquille;, contre laquelle le rouleau de base. doit être coule est recouverte par u peinture protectrice aontenant un métal de: nettoyage' en poudre-, tel que l'aluminium. Le fer ou. l'acier fondu- qui doit constituer le rouleau de base coulé, est ensuite versé dans le: moule, et, en remplissant la moule:, il fait fondre la couche de peinture: pro- tectrice; et vient en contact avec la surface métallique, propre de la chemise.
Le métal fondu provoque: la fusion de la surface contre laquelle il est coulé, de sorte- que le rouleau, de base coulé interne et la chemise intérieure, se trouvent réunis par soudure. on comprend d'après ae qui vient d'être: dit, que la pré- sente invention permet de réaliser -'les, cylindres imprimeurs de toutes dimensions, dans lesquels à l'usage, la couche métallique de recouvrement ne peut se séparer du rouleau de hase dans n'im- parte: quelle phase du processus d'impression pour lesquels les cylindres imprime.urs perfectionnés peuvent être utilisés, soit par suite des différences des coefficients, de dilatation des mé- taux, lors des variations de température:, soit pendant les opéra- tiens:
subséquentes, relatives à la préparation du cylindre pour l'application de nouveaux dessins ou.marques destinés à être: im- primés, que ces dessins et marques soient gravés par un procédé
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photographique, au pantographe au à la main, au par tout autre procédé employé pour la préparation des cylindres imprimés pour la gravure en areux.
Lors de la réalisation des cylindres imprimeurs perfea- tionnés, soudés, destinés à l'impression, il est envisagé de pro- duite ces cylindres avec une cauc:he ayant une épaisseur suffisan- te pour pouvoir graver successivement plusieurs dessins. Lors- qu'un dessin a été utilisé, la surface de la couche externe est meulée et palie. de manière à recevoir un nouveau dessin.
Lorsque à. la suite de l'impression de plusieurs dessins successifs, le cylindre est usé et toute la. matière de la chemise a été prati- quement enlevée par meulage, le cylindre peut être remis à neuf rapidement et à peu de frais, en coulant du métal nouveau, sur celui de l'ancienne couche qui reste sur ce cylindre; cette opé- ration est effectuée de la même manière que celle qui a été dé- crite ci-dessus pour l'application du métal sur la pellicule re- couvrant les rouleaux.
Cette méthode pour remettre à neuf les rouleaux usés en saudant sur ces rouleaux une couche de métal, peut être également utilisée paur récupérer les rouleaux de cui- vre usés appartenant au premier des trais types de rouleaux anté- rieurement. cornais. On comprend également: que pour éviter la dimi- nution du diamètre et de la périphérie du cylindre imprimeur per- fectionné, on peut le recouvrir- arec une. matière nouvelle déposée électrolytiquement, dès que le premier dessin a été enlevé.
Lors- qu'il est utilisé de cette: manière, la cylindre imprimeur perfec- tionné conservera, toujours sensiblement le même diamètre et, com- me sa durée est pratiquement infinie, il peut être utilisé paur imprimer un nombre infini de dessins, sans changer de forme.
Les fige. 3 et 4 du.dessin représentent une autre forme de. réalisation du rouleau perfectionné faisant l'objet de l'in- vention. En se reportant au détail de ces figures, an verra. que la. principale- différence: entre les rouleaux des figs. 1 et 3, réside dans l'épaisseur uniforme de la parai du. rouleau 9. Le.
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rouleau de hase au cylindre- 9, est constitué par une parai d'une épaisseur sensiblement uniforme- sur toute sa langueur, les surfa-
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ces coniques la, traisines des extrémités du rouleau étant réali- sées en diminuant la diamètre; de ce rouleau sur- une faible lon- gueur au voisinage de chaque extrémité comme représenté en 23.
La clavette 17 qui est introduite dans une cannelure ménagée dans un arbre au broche semblable à l'arbre eu broche' 15 de la fig. 1, est constituée par le même métal que le rouleau de basa 9, à l'en-
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droit ou sa seatien présente un diamètre, diminuée Ce rouleau de base peut être réalisé économiquement par forgeage à partir d'un tube en acier standard sans nécessiter un enlèvement de- métal
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comme dans la aonstruatÊoEn du rouleau suivant la. fig. 1. Dans les cylindres impnimeurG antérieurement onnus, les. rouleaux de base ne pouvaient pas comporter la. structure: décrits à propos des figs. 3 et 4 dit dessin.
En fait, la surface périphé-
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rique des rouleaux de. base: des cylindres imprtmsura réalisés jus- qu'à présent doit êtroe cylindrique ptzisdue: la. surface d"inpres- sion est appliquée par vois éle:ctro1yt1.<itte: et sa. forme extérieure dépend de la forme du reulesal ee base.
En at7.ant et en soudant la chemise externe; sur le rouleau de basa, la surface- externe de ce dernier peut présenter pratiquement toutes les formes que l'on
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irondra. qui ne dépendront c:. des mé.thade:s: et da.-s. mQye<na employéa pour la fabricatien de aes rouleaux de base-, La couche métallique 11 est toujours soudée au rouleau de hase 9, par l'un des procédés indiqués #iessttS et reocurre les extrémités du rouleau de base en 14, On notcra que 1"âpaîssunàe la couche: est variable par suite des Tariatiens:
du diamètre du rouleau de- base, tout au long de celui-ci, cette épaisseur étant maxima. en regard des sections réduites 23 du. rouleau, de base.
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Il est clair d'après la description complète ci-dessus de l'invention, que le cylindre imprimeur perfectionné qui en fait l'objet, peut être réalisé d'une manière économique, possède une durée utile supérieure à celle des cylindres imprimeurs de tous
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types antérieurement connus, et peut être utilisé pour remplacer au renouveler les anciens cylindres.
Il est bien entendu que l'invention peut être réalisée d'autres façons différentes, sans sartir pour aela du cadre de ses caractéristiques essentielles, et que les formes de réalisa- tion décrites ci-dessus et représentées au dessin, ne doivent être considérées que comme des exemples non limitatifs.