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"Perfectionnements aux appareils de signalisation appliqués aux assauts d'épée".
La présente invention est relative à certains perfectionnements apportés aux appareils du type de ceux comportant au bout de chaque lame d'épée un contact qui est relié à des fils électriques fins collés dans une gorge de la lame, puis à des fils souples passant dans le gant, la manche et la veste de l'excrimeur pour aboutir, en passant sur un enrouleur automatique permettant le libre déplacement des combattants, à un appareil électro-magnéti- que dans le but: d'indiquer par un moyen visuel ou sonore, ou
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bien encore par les deux moyens combinés, les coups d'épée portés par l'un des combattants; de couper le circuit de l'une des épées dès que l'autre a touché l'adversaire; de ne pas entrer en fonctionnement pour les coups portés sur la coqaille des épées;
de mettre en action les circuits des deux épées lorsqu'elles portent toutes deux une touche à un intervalle très rapproché.
L'appareil, objet de la présente invention, a pour but d'apporter certains perfectionnements à ce genre d'appareils en vue d'en simplifier le fonctionnement, donc de le rendre plus sût et moins délicat.
A cet effet, cet appareil est essentiellement caractérisé dans son ensemble en ce qu'il ne nécessite qu'une seule prise de courant et qu'un nombre restreint de contacts et de bobines magnétiques, les divers circuits qu'il comporte- s'interpénétrant au lieu d'être indépen- dants.
Ces perfectionnements consistent également en un nouveau moyen pour annaler les coups de coquilles au moyen de circuits électriques déséquilibrés et en une réalisation nouvelle du coup double avec divers moyens de règlage.
L'invention vise donc plus particulièrement encore, et ce à titre de produits industriels nouveaux, les appareils comportant application de semblables dispositions, pour signaler les touches au cours des assauts d'épée. elle pourra de toute façon être bien comprise l'aide de la descriion complémentaire qui suit
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et du dessin schématique ci-annexé, lesquels description et dessin sont, bien entendu, donnés surtout à titre d'indication.
Fig. 1 est un schéma d'ensemble de mont age ;
Figs. 2. @@ 3 et 4 représentent quelques variantes de réalisation des divers organes.
Selon l'invention chaque circuit est réa- lisé comme suite pour chaque épée.
Le circuit de l'épée a pouvant être fermé par le contact b porté en bout de la lame comporte en série deux électro-aimants c et d.
Celui c est susceptible d'attirer une palette mobile e branchée sur le circuit secondaire de la lampe! et de la sonnerie ± de signalisation.
Dans le même temps, cette palette e ferme un contact
L'électro-aimant en attirant son armature constituée par une palette h pivotant autour du point 1 provoque une coupure en k' dans le circuit primaire de l'épée adverse a'.
Les circuits électriques des deux épées a et a'sont alimentés par une source de courant m et comportent dans leur ensemble les mêmes organes, désignés par les mêmes lettres de référence.
Ainsi, lorsque le contact de l'une des épées, celui b par exemple de l'épée a, se ferme, du fait d'une touche portée sur l'adversaire, le circuit primaire comportant les deux électro-aimants c et d se trouve fermé, le courant de retour passant par le contact k et la palette h'
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L'électro ± en attirant la palette e provoque ainsi la fermeture du contact 1 et par conséquent, la lampe f et la sonnerie entrent en action avertissant immédiatement que le porteur de l'épée a' a été touché.
Mais, en même temps, l'électro d en attirant la palette h a provoqué la rupture du contact en k' créant ainsi une coupure dans le circuit primaire de lëpée adverse a' et empêchant.ainsi son circuit de 'fonctionner tant que la palette h reste attirée par son électro-aimant d.
De cette façon on connaît sans erreur possible le combattant qui a touché le premier.
Pour empêcher que l'appareil ne fonctionne lorsque l'un des contacts b ou l'est fermé à la suite d'un coup porté sur la coquille de l'épée adverse, ce qui est très fréquent au cours d'un assaut, l'appareil comporte le montage particulier suivant identique pour chacune des épées.
La coquille métallique n de l'épée est reliée électriquement à un électro-aimant o' placé en regard de celui c' et vice-versa pour la coquille n' de l'épée a' qui est reliée à un électro-aimant o placé en regard de celui c.
Ainsi, lorsque le contact b de l'épée a touche la ooquille n' de l'épée a', l'électro-aimant o se trouve mis en circuit par l'intermédiaire de la coquille métallique et conductrice n' et de la partie intèrieure du contact b.
Cet électro-aimant 0 qui fonctionne ainsi en parallèle avec celui c annule l'action exercée par ce dernier sur 1-- palette e et empêche la fermeture du contact j.
Pratiquement la palette mobile e est montée
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de telle sorte qu'à l'état de repos elle se trouve plus éloignée de l'électro ± que de celui o, pour que l'action de ce dernier soit prépondérante.
Toutefois cet équipage mobile doit être suffisamment léger pour que dans un coup normal l'action de l'électro-aimant soit instantanée.
Comme l'on peut ainsi s'en rendre aisément compte ce montage pour annuler les coups portés sur la coquille, ne nécessite aucun contact supplémen- taire.
D'autre part, on estime en matière d'escripe que lorsque les deux combattants se donnent un coup d'épée dans un intervalle de temps assez rappro- ché ils doivent être déclarés touchés en même temps.
Ce problème est résolu par l'appareil de la façon suivante:
Le circuit primaire de l'une des épes provoquant en k ou ±tune coupure dans le circuit .primaire de l'épée adverse il s'agit d'obtenir un temps de décalage réglable entre l'infant où l'un des contacts 1 ou b'ferme son circuit primaire et celui ou se produit la rupture du circuit en k ou k:
Il est considérer qu'un électro-aimant excité par un courant donné développe une force d'attraction capable d'attirer des masses d'importance variable en des temps d'autant plus grands que cette masse est plus grande. Cette force d'attraction augmente d'autre part au fur et à mesure que diminue l'inter- valle existant entre le pôle de l'aimant et l'équipage mobile de telle sorte que son mouvement est uniformément accéléré.
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Les palettes h et h; sont donc montées chacune sur une lame de ressort p. p' qui oppose à leur déplacement une résistance qai augmente avec le déplacement. Ainsi, les deux résistances agissent en sens contraire l'une de l'autre, la vitesse de déplacement de ces palettes en direction du pôle de leur aimant respectif peut être rendue sensiblement constante par un choix judicieux des éléments-
Pour chaque palette une lame d'acier très
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souple g, (plus adupla que les ressorts , p!-) acoom- pagné son déplacement de façon à maintenir le contact en k, pendant une grande partie de la course.
Pour obtenir le réglage du décalage entre l'instant où l'un des contacts b ou b'se ferme et celui où se produit cette rupture en k, k', l'on peut agir sur l'un des organes suivants ou sur plusieurs d'entre eux la fois: a) on agit sur le levier r par l'intermédiaire d'une vis de butée s, ce qui permet de régler l'écartement dé la palette par rapport aux pôles de l'électro d; b) on déplace sur la palette une mass& t; c) on agit sur une vis permettant de régler le moment de la rupture k.
On pourrait également agir sur la force d'attraction de l'electro-aimant en intercalant sur le circuit primaire un rhéostat de quelque ohms.
On pourrait enfin retarder dans une certaine mesure la naissance du flux dans le champ de l'aimant en plaçant un enroulement tel que le courant induit qui s'y produit tende à s'opposer au passage du courant dans l'enroulement principal de l'électro.
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Une autre réalisation (figure 2) qui s'est révélée particulièrement intéressante dans la pratique consiste à disposer verticalement la palette h munie à sa partie inférieure de la masse t. On supprime ainsi la lame de ressort 2 et le mouvement de la palette vers les pôles de l'électro d est obtenu alors par oscillation de la palette autour d'un axe i et non par la flexion de la lame de ressort.
A une dertaine distance déterminée de l'axe i, on dispose sur le balancier h une lamelle de ressort plat isolée k qui ferme le circuit avec un contact u, ou le coupe selon que le balancier est en position de repos ou qu'il est attiré par l'électro.
En vue de diminuer la consommation du courant, il est avantageux de prévoir de plus un dispositif qui permette de couper le courant du circuit primaire dès que le circuit secondaire se trouve fermé, même si le contact mobile de l'épée continue à être fermé.
Il suffit à cet effet d'ajouter aux balanciers, un contact mobile par lame de ressort 2 et contact fixe! identique à celui précédent décrit utilisé pour couper le courant dans le circuit primaire de l'épée adverse.
Dans ce cas, ce dispositif est inséré en série dans le circuit primaire de l'épée qui porte le coup. Le fonction- nement de l'appareil est possible dans ce cas grâce à l'inertie très faible de la palette e, qui a le temps de fermer le circuit secondaire avant que la coupure dans le circuit primaire ait eu lieu par le mouvement du levier h.
De même on pourrait disposer la palette a comme montré figure 3. n raison de la différence de
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longueur des bras disposés de part et d'autre du pivot 4, la palette e repose constamment sur l'électro o.
En employant une sonnerie à double enroule- ment, on évite remploi de deux timbres et de deux battants.
L'ensemble de cette installation est complété par deux interrupteurs doubles permettant: l'un v de couper le circuit des sonneries tout en -hissant allumée la ou les lampes témoins f, f, l'autre !.de couper le circuit des lampes et des sonneries.
L'on peut également utiliser un jack à, cinq lames, du modèle représenté (fig. ), les lampes 5 et 6 étant insérées dans un des circuits primaire, celles ! et 8 dans l'autre, celle E étant reliée à la source de courant et à un vibreur (signal sonore) ou à une lampe. (signal lumineux). ce montage permet d'obtenir le résultat suivant :
Le jack est logé dans une poire, et branché à un fil à cinq conduoteurs, long de quelques mètres.
L'arbitre du combat , en prononçant le commandement de "halte" appâta sur le bouton B. A partir de cet instant, les deux circuits primaires se trouvant coupés, aucune touche portée par les, épées @ ne fait actionner l'appareil. Le ou les touches déjà marquées continuent à l'être.
De plus, en appuyant sur B, l'arbitre actionne un signal sonore ou lumineux permettant de donner la preuve que l'emploi de la poire a été fait judicieusement. nfin, comme il va de soi et comme il réssort d'ailleurs déjà de ce qui précède,l'invention
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ne se limite aucunement au seul mode de réalisation mentionné ci-dessus, non plus qu'à celui de ses différentes parties ; elle en embrasse au contraire toutes les variantes de réalisation comportant application de semblables dispositions.
Notamment le circuit secondaire pourrait être relié au secteur de distribution électrique de la salle,par l'intermédiaire d'un relais, pour permettre une signalisation plps importantepermettant à tout un publie de suivre les phases d'un assaut.
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"Improvements to signaling devices applied to sword assaults".
The present invention relates to certain improvements made to devices of the type of those comprising at the end of each sword blade a contact which is connected to fine electrical wires stuck in a groove of the blade, then to flexible wires passing through the blade. glove, sleeve and jacket of the excrimeur to end up, passing over an automatic retractor allowing the free movement of the combatants, to an electro-magnetic device in order to: indicate by visual or sound means, or
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even more by the two combined means, the sword blows carried by one of the combatants; to cut the circuit of one of the swords as soon as the other touches the adversary; not to enter into operation for the blows struck on the cock of the swords;
to activate the circuits of the two swords when they both bear a touch at a very close interval.
The object of the present invention is to provide certain improvements to this type of device with a view to simplifying its operation, and therefore to making it safer and less delicate.
To this end, this device is essentially characterized as a whole in that it requires only one socket and a small number of contacts and magnetic coils, the various circuits that it comprises interpenetrating. instead of being independent.
These improvements also consist of a new means for canceling the blows of shells by means of unbalanced electrical circuits and of a new embodiment of the double blow with various means of adjustment.
The invention therefore relates more particularly still, and this as new industrial products, to devices comprising the application of similar provisions, for signaling hits during sword attacks. it can in any case be well understood using the following additional description
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and the attached schematic drawing, which description and drawing are, of course, given mainly by way of indication.
Fig. 1 is an overall assembly diagram;
Figs. 2. @@ 3 and 4 represent some variant embodiments of the various components.
According to the invention each circuit is implemented as a continuation for each sword.
The circuit of the sword a which can be closed by the contact b carried at the end of the blade comprises two electromagnets c and d in series.
This is likely to attract a mobile pallet connected to the secondary circuit of the lamp! and the ± signaling ringtone.
At the same time, this pallet closes a contact
The electromagnet by attracting its armature constituted by a pallet h pivoting around point 1 causes a cut in k 'in the primary circuit of the opposing sword a'.
The electrical circuits of the two swords a and a ′ are supplied by a current source m and as a whole comprise the same components, designated by the same reference letters.
Thus, when the contact of one of the swords, that b for example of the sword a, closes, due to a hit on the opponent, the primary circuit comprising the two electromagnets c and d is found closed, the return current flowing through contact k and pallet h '
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The electro ± by attracting the paddle e thus causes the closure of contact 1 and consequently the lamp f and the bell come into action, immediately warning that the bearer of the sword a 'has been hit.
But, at the same time, the electro d by attracting the paddle ha caused the breaking of the contact at k 'thus creating a cut in the primary circuit of the opposing sword a' and thus preventing its circuit from operating as long as the paddle h remains attracted to its electromagnet d.
In this way we know without possible error the fighter who hit the first.
To prevent the device from operating when one of the contacts b is closed as a result of a blow to the shell of the opposing sword, which is very common during an assault, l The apparatus comprises the following particular assembly identical for each of the swords.
The metal shell n of the sword is electrically connected to an electromagnet o 'placed opposite that c' and vice versa for the shell n 'of the sword a' which is connected to an electromagnet o placed next to that c.
Thus, when the contact b of the sword a touches the shell n 'of the sword a', the electromagnet o is switched on via the metallic and conductive shell n 'and the part inside of contact b.
This electromagnet 0 which thus operates in parallel with that c cancels the action exerted by the latter on 1-- pallet e and prevents the closing of contact j.
Practically the mobile pallet e is mounted
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in such a way that in the state of rest it is further from the electro ± than from that o, so that the action of the latter is preponderant.
However, this moving assembly must be light enough so that in a normal stroke the action of the electromagnet is instantaneous.
As one can thus easily see this assembly to cancel the blows carried on the shell, does not require any additional contact.
On the other hand, it is considered in the matter of swordsmanship that when the two combatants strike each other with the sword in a fairly close time interval, they must be declared hit at the same time.
This problem is solved by the device as follows:
The primary circuit of one of the swords causing a cut in the primary circuit of the opposing sword in k or ± t, it is a question of obtaining an adjustable delay time between the child or one of the contacts 1 or b 'closes its primary circuit and that where the rupture of the circuit in k or k occurs:
It is considered that an electromagnet excited by a given current develops a force of attraction capable of attracting masses of variable importance in times which are all the greater as this mass is greater. This force of attraction increases on the other hand as the gap existing between the pole of the magnet and the moving assembly decreases so that its movement is uniformly accelerated.
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The h and h palettes; are therefore each mounted on a leaf spring p. p 'which opposes their displacement a resistance qai increases with displacement. Thus, the two resistors act in opposite directions to each other, the speed of movement of these pallets in the direction of the pole of their respective magnet can be made substantially constant by a judicious choice of the elements.
For each pallet a steel blade very
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flexible g, (more adupla than the springs, p! -) accompanied its displacement in order to maintain contact in k, during a large part of the stroke.
To obtain the adjustment of the offset between the moment when one of the contacts b or b 'closes and the moment when this rupture in k, k' occurs, one can act on one of the following components or on several of them at the same time: a) the lever r is acted by means of a stop screw s, which makes it possible to adjust the distance of the pallet with respect to the poles of the electro d; b) a mass &t; c) one acts on a screw making it possible to adjust the moment of rupture k.
One could also act on the force of attraction of the electromagnet by inserting on the primary circuit a rheostat of a few ohms.
Finally, we could delay to a certain extent the birth of the flux in the magnet's field by placing a winding such that the induced current which occurs there tends to oppose the passage of the current in the main winding of the magnet. electro.
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Another embodiment (FIG. 2) which has proved to be particularly advantageous in practice consists in arranging vertically the pallet h provided at its lower part with the mass t. The leaf spring 2 is thus eliminated and the movement of the pallet towards the poles of the electro d is then obtained by oscillation of the pallet about an axis i and not by the bending of the leaf spring.
At a certain determined distance from the axis i, an insulated flat spring blade k is placed on the balance h which closes the circuit with a contact u, or cuts it depending on whether the balance is in rest position or whether it is attracted to electro.
With a view to reducing the current consumption, it is advantageous to provide moreover a device which makes it possible to cut off the current of the primary circuit as soon as the secondary circuit is closed, even if the movable contact of the sword continues to be closed.
To this end, it suffices to add to the balances, a movable contact by leaf spring 2 and fixed contact! identical to the previous one described used to cut the current in the primary circuit of the opposing sword.
In this case, this device is inserted in series in the primary circuit of the sword which carries the blow. The operation of the device is possible in this case thanks to the very low inertia of the pallet e, which has time to close the secondary circuit before the cut in the primary circuit has taken place by the movement of the lever. h.
Likewise, the pallet a could be arranged as shown in figure 3. n due to the difference in
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length of the arms arranged on either side of the pivot 4, the pallet e constantly rests on the electro o.
By using a double winding bell, the use of two gongs and two leaves is avoided.
The whole of this installation is completed by two double switches allowing: one v to cut the ringing circuit while - hoisting the indicator light (s) f, f on, the other!. To cut the light circuit and ringtones.
You can also use a jack with five blades, of the model shown (fig.), Lamps 5 and 6 being inserted in one of the primary circuits, those! and 8 in the other, that E being connected to the current source and to a vibrator (sound signal) or to a lamp. (light signal). this assembly allows to obtain the following result:
The jack is housed in a pear, and connected to a five-conductor wire, a few meters long.
The combat referee, while pronouncing the command of "halt" baited on button B. From this moment, the two primary circuits being cut, no touch carried by the swords @ does not activate the apparatus. The key (s) already marked will continue to be marked.
In addition, by pressing B, the referee activates a sound or light signal making it possible to prove that the use of the pear was judiciously done. Finally, as it goes without saying and as it moreover already emerges from what precedes, the invention
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is in no way limited to the single embodiment mentioned above, nor to that of its various parts; on the contrary, it embraces all the variant embodiments comprising the application of similar provisions.
In particular, the secondary circuit could be connected to the electrical distribution sector of the room, via a relay, to allow important plps signaling allowing a whole public to follow the phases of an assault.