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" Procéde et dispositif pour la fabrication des paumelles " l'invention concerne un procédé et un dispositif pour la fabrication des paumelles de portes, de fenêtres et ana- logues.
Dans les paumelles de conception connue, la fiche du , gonâ est fixée par des goupilles chassées transversalement à travers le rouleau et la fiche. Ce mode de fixation est relativement diffieils et désavantageux du fait que les goupilles prennent facilement du jeu. Généralement, on in- tereale en outre entre les deux paumelles une ronâelle autour de la fiche du gond.
On connaît aussi un procédé qui consiste à fixer les g onds fiches de/dans les moitiés des paumelles correspondantes,
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grace au fait que la fiohe du gond est formée de deux fiches, dont les faces frontales sont évidées coniquement ou autre- ment , tandis que l'on prévoit dans le galet ou rouleau de la paumelle une rainure repoussée dans laquelle les bords des parties entaillées des deux éléments s'encastrent sous l'effet d'une pression axiale. Mais, ce mode d'assemblage exi- ge des travaux préparatoires coûteux. En outre, il n'existe qu'un seul point d'assemblage à l'intérieur du rouleau de la paumelle qui prend ainsi facilement du jeu.
A l'opposé de ceci, l'invention réside dans le fait que la fiche du gond à l'endroit oú il sort dela douille de la paumelle est refoulé axialement de manière à former an collet qui forme siège de portée pour la moitié de paumelle sapé- rieure. Ce collet se continue,le cas échéant,par une gorge creuse par une partie de fiche abritée dans la douille de la paumelle en formant gorge . Dans une autre variante du procé- dé, la téte du gond qui se pose sur l'autre face frontale de la douille de la paumelle est également refoulée .
Le procédé conforme à l'invention peut aussi, légèrement modifié, en fonction de la forme différente de 1a pièce être appliqué à la fixation du petit tourillon de la seconde moitié de paumelle.
Tour réaliser le procédé conforme à l'invention, on se sert d'un dispositif qui se compose essentiellement de joues ou mâchoires qui emprisonnent entièrement la moitié de pau- melle avec la fiche du gond introduite et en outre d'une matrice possédant en creux la forme de la tête du gond et d'un poinçon refouleur à trou cylindrique ou pénètre l'ex- trémité de la tige de la fiche du gond.
Ensuite, les joues' sont brutes au point d'attaque de manière que la surface périphérique de la douille de la fiche
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soit également non dégrossie en vue de faciliter et de main- tenir, en vue d'un objectif connu le dépôt d'un badigeon ultérieur.
Le dessin montre le processus conforme au procédé et le dispositif nécessaire pour sa réalisation, à titre d'exem- ple. la figure 1 montre une moitié de paumelle en vue en plar du avec a fiches gond refoulée. La figure 2 la même en coupe travers le rouleau de la paumelle. Les figures 3, 4 et 5 représentent des moitiés de paumelle avec fiche de gond en collaboration avec l'outil qui sert à réaliser le procédé.
La figure 6 est une coupe à travers l'autre moitié de apu- melle qui porte le petit tourillon. la fiche du gond a d'une douille de paumelle peut pré- senter, ainsi que le montre la figure 3, une tête b refou- lée à une extrémité. On l'introduit librement dans le rou- leau c de la paumelle d. On peut toutefois aussi procéder comme le montre la figure 4. Dans le dispositif conforme à cette dernière, la fiche al se compose d'un élément métal- lique cylindrique que l'on introduit dtabord librement dans du le rouleau c. On serre le rouleau avec la fiche%gond entre des mâchoires e et f représentées en vue en plan de dessus par la figure 5.
La mâchoire e a la forme d'une cornière tandis que la mâchoire f a une forme rectangulaire. La forme est o spendant sans importance et on peu.t choisir en conséquen- ce la forme la plus appropriée au but poursuivi.
En serrant les mâchoires e et f, on emprisonne la fiche libre dans le rouleau e. Du côté de la tête, le gond est soutenu lors du processus de l'estampage qui se pratique à présent dans une matrice h, qui de préférence est encas- tré rigidement. La partie de la fiche qui dépasse le rouleau e est supportée sur un passage de la matrice supérieure i
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conçue sous forme de piston de pression.
Le passage de ce dernier est suffisamment profond pour qu'il reste entre sa face frontale et la face frontale du rouleau c, un espace libre déterminé, par exemple d'environ 6 millimètres. lors de la pression qui se fait sentir à présent , la partie libre de la fiche est refoulée pour former un collet k , ainsi que le montrent les figures 1 et 2. Ainsi que le montre la figure 4, on peut aussi refouler en n'orne temps 1a tête b de la fiche du gond. A cette fin, la fiche al dépasse par l'intermédiaire . d'un tourillon a2 l'autre face frontale de la paumelle. Lors du processus de la pression, le tourillon est maintenu dans un évidement m de la matrice h1.
On peut toutefois aussi faire appel au procédé qui consiste à donner la matrice supérieure et à la contre-matrice un mouvement dedéplacement axial ou encore monter à demeure la contre-matrice et ne rendre mobile que la matrice supérieure que l'on meut dans une plus faible mesure en direction axiale entre des mâchoires de fixa- tioss e et ! plus grandes.
Ainsi que le montre la figure 2, le collet k , ainsi que la tête b se poursuivent avec un épaissi n et o résultant du re- foulement dans le rouleau c. lorsque les mâchoires d'arrêt.! et f sont brutes sur les faces chargées de donner la pression, on peut aussi dans le cadre de l'invention faire brute la surface du manteau du rou- leau,ce qui donne une meilleure assise au badigeon ou peinture, dont on revêt 1e dispositif par le suite.
Il va de soi que lors de la fixation du petit tourillon dans le rouleau! de la moitié de paumelle r plus courte, on ne peut pas former de collet du type présenté par la fiche du gond.
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Au lieu de celui-ci , on forme toutefois, en opérant pour le surplus exactement de la même manière, des bourrelets ± sur le tourillon p par refoulement et ces bourrelets pénètrent alors dans des gorges ménagées dans le rouleau s. Avant que se donne la pression de refoulement, la matière du tourillon pénètre dans la gorge.
Pour pratiquer des gorges ou autres creux de forme quel- conque dans le rouleau.2,. il ne faut pas de processus opéra- toire spécial. Ces creux sont formés directement lors du taillage ou du dressage de la paumelle avec des outils a.ppro- priés.
REVENDIGATIONE.
1. Procédé pour la fabrication des paumelles, caractérisé par le fait que l'on refoule les fiches ou tourillons consis- tant uniquement en un morceau de fer rond, à l'intérieur de la touille de la paumelle , de telle manière qu'il se produise un déplacement de matière sur toute la longueur du fer rond se trouvant dans la douille de la paumelle, en suite de quoi un cer- tain nombre de rainures rigoles ou autres creux ménagées à l'in- térieur de la douille se remplissent de matière.