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Machine pour mélanger, subdiviser et empaqueter les pudres médicinales
La présente invention se rapporte à une machine qui ac- complit automatiquement le mélange des poudres médicinales, leur subdivision en parties égales et la mise en paquet de ces parties, et qui peut être réglée de manière appropriée en relation à la quantité de paquets que l'on doit tirer d'une quantité de poudre à mélanger et à subdiviser.
On a réalisé l'invention au moyen d'un récipient on forme d'entonnoir où l'on verse les différentes qualités de poudre après les avoir pasées séparément, et dans lequel agit un mélangeur; le volume total et défini du mélange est ensuite introduit dans un conduit, préférablement gradué, qui se trou- ve sous le mélangeur susdit et qui est fermé inférieurement
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par une fermeture glissante, cette fermeture pouvant être simple ou double, Au-dessous de la fermeture il y a le diviseur qui est constitué par un élément mobile comportant un certain nombre de trous ou chambres de mesure ouverts en haut et en bas, chaque trou ou chambre de mesure correspondant en volume à une valeur donnée;
le mouvement de l'élément, (mouvement rectiligne ou de rotation suivant sa forme et la manière dont il est appliqué), amène l'une ou l'autre des dites chambres de mesure sous la fermeture d'extrémité du conduit qui est dispo- sé en prolongement du mélangeur de sorte que l'ouverture supé- rieure de la chambre de mesure à employer se trouvera sous la fermeture susdite, tandis que l'ouverture inférieure de cette chambre se trouvera au-dessus d'un autre moyen de fermeture; les deux moyens de fermeture au-dessus et au-dessous de Isolé- ment mobile comportant les chambres de mesure sont commandés directement ou indirectement par le même élément mécanique ;
l'actionnement de l'élément mobile avec les chambres de mesure de capacité différente est obtenu en partant d'un bouton, ou organe analogue, coopérant avec un indicateur et une échelle.
Un moteur approprié commande le mélangeur ; parl'intermé- diaire d'un accouplement, ce moteur commande aussi tous les au- tres organes de la machine. Le moyen de fermeture au-dessus de l'élément mobile comportant les chambres de différentes capa- cités, aussi bien que celui au-dessous du dit élément mobile sont commandés par le même arbre et préférablement par le même organe, et ils fonctionnent de manière telle que l'un d'eux s'ouvre seulement lorsque l'autre est fermé en obtenant ainsi des remplissages et des vidanges successifs de la chambre de mesure qui se trouve au-dessous du conduit et au-dessus du papier, avec lequel on fera le paquet de poudre médicinale.
Le papier arrive d'un rouleau autour duquel il est enroulé en position dépliée; il est tiré par intervalles par des rou-
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leaux moteurs adhérants et à génératrices parallèles à travers lesquels le ruban passe avec une conformation ou un repli en V clos ; préférablement, on applique un moule fixe approprié auquel le papier adhère et qui donne à celui-ci la conforma- tion à v nécessaire ; deux rouleaux susdits sont disposés au-dessous et outre la verticale passant par le trou inférieur de la chambre de mesure d'où la poudre (pour l'ouverture du moyen) de fermeture inférieur susdit) tombe dans ces périodes où le papier ne bouge pas;
un moyen de coulure approprié, ou éventuellement plusieurs de ces moyens disposés successive- ment, servent à donner aux bords supérieurs du ruban de papier déjà replié en V clos, deux replis successifs sur eux-mémes de manière à accomplir la fermeture longitudinale ; le but de rendre durable ce repli, on peut doter la machine de rou- leaux de pression supplémentaires.
Le ruban de papier, apréa avoir été replié de la manière susdite et chargé de doses égales de poudres médicinales dans d des points également espacés l'un de l'autre, passe successi- vement au dispositif de fermeture transversale et de coupure des paquets du ruban, e dispositif de fermeture transversale comprend des moyens qui sont commandés par le moteur qui action- ne à machine; ces moyens commandent en outre les ouvertures et les fermeturesuccessives d'un accouplement qui met en mou- vement (avec une relation de temps appropriée) les rouleaux moteurs du ruban susdits et un dispositif de coupure pour sé- parer le paquet de la partie précédente du ruban.
Les disposi- tifs repliant les bords terminaux du paquets agissent de ma- nière à coopérer avec des moyens capables de retenir le paquet pendant le repli des deux bords terminaux* susdits.
Un dispositif d'engommage ou de collage est prévu pour fer- mer le paquer définitivement.
Le dispositif est muni d'un interrupteur électrique auto-
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v matique destiné à arrêter le moteur et donc à. interrompre le fonctionnement du dispositif lorsque l'un a atteint le nombre de paquets désiré; cet interrupteur comporté deux éléments, dont un au moins est mobile et est déplacé initialement à la main en mesure proportionnelle au nombre de paquets que l'on doit préparer, tandis que l'autre élément, ou bien aussi l'é- lément précité, est commandé ou sont commandés par le même moyen qui commande l'avancement du papier et la coupure des paquets
Dans les dessins ci-joints, on a illustré à seul titre d'exemple, un dispositif d'après la présente invention.
La fig.l de ces dessins est une coupe verticale longitu- dinale du dispositif.
La fig. 2 montre le dispositif partiellement en plan et par- tiellement en coupe horizontale, le tout étant représenté schématiquement.
La fig.3 montre une coupe verticale transversale en cor- respondance de l'élément qui donne au repli du papier la forme initiale voulue*
La fig.4 montre une coupe horizontale passant par l'axe de l'accouplement qui commande un groupe de mécanismes (rou- leaux d'entraînement, etc.) du dispositif.
Les figs.5 et 6 montrent, en échelle agrandie, séparément et respectivement, la première en vue latérale et la deuxiè- me en plan, un moyen subsidiaire pour le meilleur fonction- nement du dispositif.
Les fiés.?,8 et 9,10 montrent, en échelle agrandie, respec- tivement en vue latérale et en plan deux parties de la machine.
La machine comporte une trémie ou entonnoir 1 où les subs- tances médicinales sont versées séparément, après avoir été mesurées séparément à, l'aide d'une éprouvette ou d'une manière quelconque.
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La trémie est fermée dans la partie inférieure par le dis- positif de fermeture 8. Le moteur 5, au moyen du groupe vis sans fin-roue hélicoidale 4, est en rotation l'arbre 4' sur lequel cette roue est montée et sur lequel se trouve une pou- lie à dents 76 qui au moyen d'une chaine 77 et d'une autre poulie 78 met en rotation l'arbre 5' sur lequel est montée l'une des deux roues coniques 3 au moyen desquelles le mélan- geur 2 est mis en rotation; de cette façon, on réalise un mé- lange intime des différentes parties constituant la poudre à diviser. En ouvrant ensuite le passage au moyen du dispositif 8, ce mélange est obligé de descendre dans le mesurateur 8' au-dessous, qui est muni d'une échelle de lecture.
Une fois qu'on connaît le volume total des poudres à frac- tionner et le nombre des parties dans lesquelles ce volume doit être subdivisé, on établit le volume de chaque partie élémen- taire et après on choisit le trou de l'élément diviseur 9 qui, ayant une capacité égale au volume déterminé pour chaque paquet, correspond au cas en question.
Le mesurateur 9 peut être remué à la main ou bien au moyen d'un bouton, en obtenant de le déplacer convenablement de ma- nière à faire correspondre au-dessous du conduit 8' la chambre de mesure qui a la capacité appropriée ; afin de faciliter la mise de l'élément 9 dans la position exacte, il est prévu un indicateur 9' et une échelle graduée 9" sur la face supérieure du disque 9. Un manchon de commande l' sert à ouvrir ou à fer,- mer le joint à dents l'en arrêtant ou en mettant en marche, au moyen de la roue à dents 16, toute la partie de la machine outre le mélangeur.
Au-dessous du tuyau 8' il y a une fermeture 12 (en deux parties pivotées sur le pivot 12' et destinée à se mouvoir avec des mouvements opposés, à la façon des ciseaux), et au- dessous de cette fermeture est monté mobile l'élément de me-
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@ sure 9 ; sous celui-ci il y a aussi une autre fermeture 15 ; cesfermetures sont actionnées de la manière suivante:
la roue 16 portée par l'antre 5' met en marche l'arbre 17 au moyen de la roue 18 et d'une chaîne (non représentée dans le dessin) sur l'arbre 17 est montée la roue 19 qui, au moyen de la roue 19' et d'une chaîne (non représentée), transmet le mouvement à l'arbre 20 dont on parlera plus loin, Sur l'arbre 17 est montée la came 21 qui, pendant son mouvement de rotation, heurte simultanément contre les leviers 22 et 23 en les déplaçant, ces leviers étant respectivement pivotés en 22' et en 23'; à cause de sa conformation, le, carnet 21 actionne en premier temps le levier 22 et successivement (après que le levier 22 a repris sa position) le levier 23, le levier 22, au moyen des tiges 22" cause la rotation des plaques 12 de sorte à écarter ces deux plaques l'une de l'autre et à donner libre passage à la poudre qui sortira du tuyau 8';
le ressort 24 ramèhe, aussitôt que possible, les plaques 12 à leur position de fermeture; alors la came 21, au moyen du levier 23, qui tourne autour du pivot 23' oblige la fermetu- re inférieure 15 à se déplacer de manière à découvrir l'ou- verture inférieure de la chambre de mesure utilisée et simul- tanément comprimant le ressort 25 qui ramènera la fermeture 15 dans sa position de fermeture aussitôt que la came 21 le permettra; le phénomène se répète successivement d'une maniè- re identique.
Au moment où les plaques 12 sont écartées et la fermeture 15 est au dehors de la chambre de mesure utilisée, une quan- tité déterminée de poudre tombe et remplit ladite chambre; au moment successif où les fermetures 12 sont en position de fermeture et la fermeture 15 est déplacée, le. poudre contenue dans la chambre de mesure utilisée de l'élément 9 tombe sur le ruban de papi er .
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-.La masse, de volume déterminé, de poudre ainsi mesurée et laissée tomber, va se disposer sur le ruban de papier 27 au- dessous qui provient du rouleau 28 disposé à gauche dans les figures 1 et 2. Ce ruban est replié en forme de V clos au moyen d'un couple de rouleaux verticaux 29 ; un élément de guide 30 soutenu par le bras 30' et avec ses bords repliés 31 et un moule intérieur 32, sert à donner au ruban de papier, d'une manière sûre, le. forme en V voulue, et aussi à éviter que la poudre, sous l'action des vibrations de la machine, puisse se déplacer le long du papier sur lequel elle est tombée;
en plus, le moule 32 est porté par la tige 33 qui, au moyen du levier 34, pivoté en 34' etde la, camez 35, montée sur l'arbre 48, retient de temps en temps la poudre sur le papier en mouvement (fig.3). Au fur et à mesure que le ryban passe, ses deux bords supérieurs latéraux adhérants entre eux sont repliés deux fois sur eux-mêmes au moyen du couple de rou- leaux 36.
Le dernier couple de rouleaux 37, (à droite des fige.1 et 2) est mis en rotation par le moteur 5 par l'in- termédiaire de l'arbre 20 susmentionné; en effet le mouvement passe de l'arbre 20 à travers la roue 38 à la roue 40 montée folle sur l'arbre 41 et solidaire de l'une des parties d'un accouplement 32, dont l'autre moitié est poussée par le res- sort 43 dans la direction de 44, de manière à fermer cet accouplement et à transmettre le mouvement de rota,tion à l'arbre 41, aux roues coniques 45 et à l'arbre 46 sur lequel les rouleaux 37 susdits sont montés, qui font avancer le ru- ban de papier, par intermittence.
Cet arbre 20 commande aus- si, par l'intermédiaire du couple de roues coniques 47 l'ar- bre 53' sur lequel il y a, en haut, le roue conique 61 qui, avec l'autre roue conique 61, actionne l'arbre 48 sur lequel se trouve la came 49 agissant sur le levier 50 commandant les ouvertures de l'accouplement 42 susdit; à l'extrémité
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inférieure de l'arbre 53 est monté le pignon 51 qui transmet le mouvement du moteur 5 au groupe de repliage et de coupure représenté à droite des fige.1 et 2. Le pignon 51 engrène avec le pignon 52 ; ces pignons tourneront en direction oppo- sée 51' et 52'; au bout @ inférieur dd l'arbre 53' et sur un pivot 53" sont montés respectivement deux secteurs 51" et 52" dont le deuxième est monté plus en avant que l'autre par rapport au mouvement.
Les deux secteurs 51" et 52" occupent une position telle qu'ils viennent à engrener pendant la ro- tation, avec les pignons 54 et 55 montés sur les arbres 56,57 sur lesquels sont montées, fixées sur les arbres, les palettes 58,59 qui sont mises en rotation respectivement suivant 58' et 59';
grâce à la panière suivante laquelle les secteurs 51" et 52" sont montés, le. palette 59 commencera et finira ses mouvements avant la palette 58' Des ressorte 60 ramènent les palettes à la posi tion de la fi.2. Au moyen des roues coni- ques 61 on transmet un mouvement de rotation à l'arbre 48; une tige 63 qui se prolonge en une fourche 64, est pivotée en 63' et est soumise à l'action d'une came 63" laquelle, en coo- pération avec un ressort donne à le, fourche 64 ,un mouvement intermittent et alternatif, grâce auquel la fourche 64 retient le paquet jusqu'à ce que les palettes 58 et 59 le replient ses extrémités grâce à leurs rotations suivant 58' et 59'.
-l'arbre 53' qui, au moyen du pignon 51 commande la palette 58, commande aussi, au moyen des pignons 61, les ciseaux 62, destinés à couper du ruban 27 la partie qui constituera le paquet.
Le dispositif de repliage transversal et de fermeture du paquet, aussi bien que de coupure de ce paquet du ruban de papier fonctionne de la manière suivante:
Quand le ruban, après avoir été replié et serré par les rouleaux conformateurs 36, arrive à la hauteur de la palette
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59 celle-ci, au même instant où le ruban arrive, commencera à accomplir un mouvement de rotation suivant la flèche 59' jusqu'à ce qu'elle atteint un angle de 180 ; pendant ce mou- vement la fourche 64 est poussée par le. came 63" contre le pa- pier, l'arrête et facilite ainsi un repliment transversal exact quelques instants après le commencement de la rotation de la palette 59 le coupe-papier coupe le ruban de papier au moyen des ciseaux 62 ;
aprèscette coupure, la palette 58 effectue son mouvement suivant 58'le mouvement de la palette 58 étant en retard par rapport à celui de le. palette 59 et étant suc- cessif au mouvement des ciseaux 62 ; est obtenu grâce au fait que tous ces mouvements sont causés par un arbre unique 53'.
.L'arbre 48, au moyen de la came 49, dévraie de temps en temps l'accouplement 42 en rendant l'arbre 41 fou et en arrê- tant automatiquement le mouvement d'avancement du ruban de papier.
Le tambour 65 qui remplit le rôle d'arrêter automatiquement le moteur 5 lorsque l'on aatteint la quantité de paquets voulur, est constitué en matière isolante électrique, tendis que sur lui est enroulée et fixée une feuille de tôle en matériel conducteur électrique et pourvue de gradins 66, chaque gradin étant distant de la génératrice initiale (passant par le premier gradin) de la surface cylindrique d'une quantité cor- respondant,é à un certain nombre de tours faits par le moteur et donc par le dispositif et par ses différentes parties actives. e tambour 65 est monté sur l'arbre 76 tournant sur le sup- port horizontal 77.
Ce tambour 65 présente à son extrémité une partie 78 d'un accouplement à dents (ou à friction), dont la deuxième partie 79 est reliée à ou actionnée par une roue 80 hélicoïdale, commandée par une vis 81 montée sur l'arbre 17;
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67-est un indicateur qui fonctionne simultanément comme inter- rupteur pour le moteur de la manière suivante:
l'indicateur 67 est déplacé de manière à correspondre avec sa position au nom- bre de paquets que l'on doit faire et il constitue un inter- rupteur électrique qui viendra ouvrir le contact sur le circuit d'alimentation du moteur, lorsque la machine a accompli un nom- bre déterminé d'opérations ( repliages transversaux au moyen des palettes 58 et 59, coupes au moyen du coupe-papier 62), c'est-à dire, lorsqu'elle a formé une quantité déterminée de paquets, dans ce but, les deux conducteurs 83 et 84 provenant du réseau extérieur, sont reliés l'un au moteur 5 et @ l'autre à l'ex- trémité de laplaque 66 susdite, tandis qu'un autre conducteur 82 relie l'indicateur 67 avec l'autre borne du moteur 5.
La réalisation pratique de l'invention peut naturellement donner lieu à des modifications et des additions, par exemple, on peut remplacer les éléments de commande et transmission fle- xibles par des éléments de transmission rigides et à came dans le but d'avoir plus sûrement un synchronisme rigoureux dans le fonctionnement des différentes parties constituant l'ensemble; un dispositif d'engommage consistant dans un récipient 69 et dans les tubes 70 pourra coopérer avec les palettes 58 et 59 pour gommer une seule face ('celle intérieure) du paquet re- plié ;
dans ce but les palettes 58 et 59 présentent des encoches 71 et 72 qui, tandis qu'elles contraignent les deux parties repliées du paquet à frôler l'extrémité pourvue d'un petit pinceau des tubes 70, passent librement grâce à ces encoches, par rapport à ladite extrémité, après avoir replié le paquet.
73 représente un tiroir destiné à recevoir les paquets,
Le dispositif suivent la présente invention peut être aussi pourvu d'un dispositif capable de faciliter la chute de la poudre médicinale du tube 8' au dosateur 9 et de celui-ci au ruban de papier 27. En effet, on pourra appliquer un percuteur
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ou vibrateur 74 qui est soulevé par la came 75 tant que le dispositif de fermeture 12 est ouvert pour laisser passer la poudre médicinale du tube o' au dosateur 9. Le choc donné par le vibrateur 74 est suffisant pour remuer la poudre qui, éven- tuellement, avait rencontré des difficultés dans la chute.
La même chose a lieu lorsque le dispositif de fermeture 15 est ouvert ; le vibrateur 74 qui jusqu'à ce moment a été soutenu par la deuxième saillie de la came ?5, tombe et heurte contre le dosateur 9 en aidant la poudre contenue dans l'un de ses chambres à passer et à tomber sur le ruban de papier 27; la, came 75 est montée sur le même arbre 17 sur lequel est montée la came 24 de commande des dispositifs de fermeture 12 et 15 à laquelle elle est juxtaposée. La position réciproque convenable des cames 75 et 24 assure la relation de fonction- nement appropriée entre le vibrateur 74 et les dispositifs de fermeture 12 et 15.
REVENDICATIONS
1.- Une machine automatique pour mélanger les poudres, no- tamment les poudres médicinales, pour subdiviser ces poudres dans des parties égales et pour les empaqueter, caractérisée pa@ la combinaison d'un mélangeur, d'un mesurateur, d'un élément adjustable en position comportant des cavités de mesure, cha- que cavité ayant une capacité donnée qui est différente, sui- vant une certaine loi, de la capatité des autres cavités, de moyens de fermeture interposés entre le mélangeur et l'élément muni des cavités de mesure, de moyens de fermeture placés au- dessous des dites cavités et de moyens pour guider et déplacer le ruban de papier au-dessous de l'élément pourvu des cavités de mesure.