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Dispositif de calage pour portes, dispositifs de fermeture ou autres objets, se déolenohant automatiquement lorsque la température du local monte .
L'invention est relative à un dispositif de calage ou de fixation se déclenchant automatiquement dans le cas où la température monte dans une pièce ou dansun local et applica- ble, par exemple, aux portes à coulisse, portes à battants, vo- lets ou devantures à rouleaux, rideaux, ainsi qu'aux appareils avertisseurs et appareils protecteurs contre l'incendie, estinc- teurs, eto..
Conformément à l'invention,,.Il doit se produire di- rectement, en cas de danger d'incendie, par alite de la dilata- tion d'un corps, par exemple d'une barre de métal ou d'un agent liquide ou gazeux contenu dans un vase, un déclenchement direct d'un dispositif de calage par exemple d'une porte ou son équi- valent, et cela sans aucun intermédiaire de circuit électrique
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ou d'autres moyen)* électriques de commande .
Grâce à cette manoeuvre directe du dispositif de calage, par exemple d'un verrou d'une porte à coulisse, on obtient le déclenchement parfaitement sûr de la porte en cas d'incendie, et cela même déjà lorsque la température du local n'augmente que dans de faibles proportions ..
L'invention constate en ce q'un corps dilatable, par exemple une barre à coefficient de dilat ation élevé,, aotionne, par l'intermédiaire ci' organe. de transmission, tels que des leviers, des tiges, ou autres moyens analogues, directement, par voie mécanique, le dispositif de fermeture, tel que le verrou, lequel est relié d'une manière réglable et oalable, avec les organes de transmission, pour permettre, lors du déclen- ahement mécanique direct du dispositif de calage, un réglage à divers degrés de chaleur, et cela également par voie méoanique .
Au point de vue de l'invention, il importe que le verrou soit relié d'une manière réglable et oalable ou blooable aux organes de transmission, de manière qu'on puisse également régler le dispositif pour que, même dans un local plus froid, le déclenchement se produise lors d'une faible élévation de la température, comme par exemple par suite d'un incendie.
L'utilisation d'un conducteur électrique ne garantit pas un déclenchement irréprochable, oar naturellement la ligne électrique se trouve interrompue en cas d'incendie. Cet inconvé- nient ne saurait non plus stse supprimé par l'emploi d'un aircuit de courant permanent ou de repos, attendu que, pour la manoeuvre du dispositif, il est absolument nécessaire d'avoir un circuit de travail qui est au jet à l'interruption .
L'invention peut être réalisée de différentes manières. On peut l'appliquer pour une porte à fermeture automatique sous la orme d'une porte à coulisse aveo rails de guidage
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obliquez ou dans le cas de portes à battants avec pentures à ressort ou pentures aveo surfaces d'appui inclinées. L'invention peut aussi 8tre appliquée avantageusement ,en particulier dans le cas de devantures ou volets à rouleaux ou à rideaux, ou leur équivalent, ou pour le déclenchement d'appareils avertisseurs ou protecteurs contre l'incendie .
Plusieurs formes d'exéoution de l'invention sont montrées, à titre d'exemple, dans le dessin annexé dans lequel :
Figure 1 est une vue d'un système de porte à coulisse au-dessus duquel est disposé le dispositif de déclenchement automatique.
Figure 2 montre,à une plus grande échelle, une vue partielle du système de verrouillage .
Figure 3 montre le système de verrouillage suivant la ligne de coupe III-III .
Figure 4 est une vue d'une autre forme d'exécution du dispositif .
Figure 5 montre le dispositif suivant la figure 4 appliqué a. une porte à battant .
Figure 6 est une coupe transversale du dispositif, selon une su tre forme d'exécution .
Figure 7 est une coupe longitudinale .
Figure. 8 et 9 montrent l'installation du dispositif sur une porte, respectivement fermée et ouverte
Figure 10 montre en coupe une autre forme d'exécution du dispositif, et
Figure 11 est un plan correspondant, le couvercle du dispositif étant enlevé .
Figure 12 est une vue avec coupe partielle d'une autre forme d'exécution du dispositif .
Figure 13 eat un plan-coupe suivant la ligne XIIIXIII de la figure 12.
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Dans la forme d'exécution suivant les figures 1 A 3, le dispositif se compose de la barre à dilatation 1 disposée au-dessus du rail de roulement, agissant sur le levier ooudé, à l'extrémité de gauche, et fixée à demeure à l'extrémité de droite, à une plaque de support 3, en fer de préférence.
Par l'intermédiaire du levier 2, la tige 4 'abaisse sous l'effet de la dilatation de la barre 1, ce qui a pour résultat de pousser le verrou 5 en descendant, par suite du mouvement d'abaissement du verrou 5, l'épaulement 6 représenté à la figure 2, lequel est fixé! la porte à coulisse 7, se trouve libéré et la porte peut se fermer. pour permettre de régler le déclenchement de la fermeture à différentes températures, la tige d'assemblage 4 est reliée au verrou 5 d'une manière réglable et oalable, par exemple au moyen d'une vis de fixation 9 s'engageant dans une fente 8.
La barre de dilatation 1 doit présenta)? en coupe trans- versale une forme telle qu' il se produise une absorption de ohaleur aussi rapide que possible, 0' est-!-dire doit être de préférence cruciforme en coupe transversale, pour éviter une oontor- sion de la barre à dilatation 1, on peut prévoir des paliers
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ou portées apxoçri'8 .
Le mouvement du verrou 5 doit être calculé comme suit :
Un incendie venant à se déclarer, on supposera que la fermeture se déclenche lorsque la température du local monte de 25 degrés Centigrades .
Avec une élévation de température de 25 degrés, une barre en aluminium de 2 mètres de long, se dilate de
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2z.4 x .0 xZ5 = 1, 23 um
100 Si on déduit la dilatation de la @ plaque de montage en fer, sur laquel- le la barre est fixée à l'extrémité de droite 0, 6 mm Il reste oomme dilatation O, 6 mm.
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En supposant que le petit bras de levier sur lequel agit par sa force, l'extrémité de gauohe de la barre à dilatation mesure 3 cm, et le grand bras de levier 30 cm, on obtient alors un mouvement du verrou de 0,6 x 10 = 6 mm.
Dans le cas où il serait fait usage de caoutchouc vulcanise, le mouvement augmenterait encore, cela va de soi, dans des proportions considérables .
La forme d'exécution du dispositif qui est représentée aux figures 4 et 5 se compose d'un appareil à dilatation réglable,, disposé de préférence dans un coffret couvert 10 qui est constitué par une plaque la! mobile dans des guides 11, 11a, laquelle porte un récipient clos 13, résistant à la compression, qui est établi par exemple en tôle de cuivre et qui est environné d'air de tous cotés. Ce vase 13 renferme l'agent à dilatation liquide ou gazeux 14, par exemple du mercure, de l'air, ou autre agent équivalent. A titre de partie motile de récipient, on dispose un piston 16, susceptible de se mouvoir dans un cylin- dre 15, et qui pourrait éventuellement aussi constituer une des parois du vase.
Le piston porte la tige du piston 17 qui est soumise # l'action du ressort 18 et est guidée, par exemple, dans des paliers 19 .
Lors du refroidissement de l'agent, le mouvement rétrograde du piston s'effectue sous l'action du ressort 18 .
La plaque 12 peut être réglée ou déplaoée au moyen de la tige filetée 20 qxi est montée dans une portée 21 et porte une tête de via 23. Par suite de l'ouverture d'un clapet 24, la tige 12 et avec elle le vase à dilatation ainsi que la tige de piston, peuvent alors être déplacés facilement à l'aide d'un tournevis.
Le dispositif de déclenchement du verrou 5, par exemple le verrou d'une porte 26, se compose d'un ooulisseau 27 qui porte le nez 28 et est guidé mobil e dans des coulisses ou barres de guidage 29. Le ressort 30 presse le coulisseau 27 contre l'extrémité de la tige du piston 17. Le nez 28 maintient
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dans la position de fermeture la tige de verrou 4 du verrou 5 soumis à l'action du ressort 25 .
Lorsque la pièce ou le local est smrchsuffé, la tige de piston 17 se meut vers la droite d'une quantité sur fisante pour que la pointe 4a de la tige de verrou 4 s'échappe du nez 28 . Si la température de la pièce ou du local vient # baisser, le piston 16 se meut avec la tige de piston 17 vers la gauche. On peut abaisser de nouveau la tige de verrou 4 qui est pourvue d'une poignée 4b, ce qui fait que la porte 26 peut être verrouillée. Sous l' aotion du ressort 30, le coulisseau 27 se meut alors également d'une quantité suffisante pour s'appuyer contre la tige 17. La tige 4 du verrou est alors de nouveau maintenue dans sa position de fermeture par le nez 28 de sorte que le dispositif est de nouveau prôt à fonctionner.
La porte peut également Atre soumise à l'action d'un ressort d'une manière connue .
Le réglage du dispositif s'opère de la manière suivante :
A la figure 4, le dispositif est représenté de telle façon que la fermeture se déclenche ou s'ouvre à une augmentation de température de 40 degrés environ . Comme le piston est à une grande distance en arrière, la température de la pièce ou du local peut comportât*, au moment du réglage, environ 5 à 6 degrés au-dessus.
L'aiguille 31 fixée à la plaque 12 permet de lire sur l'échelle 32 disposée à l'extrémité de l'aiguille le degré de chaleur auquel le déclenchement a été réglé. Comme le déclenchement de la tige de verrou 4 doit toujours s'effectuer dans la m8me position du nez 28, le ré- glage du dispositif, quant au moment auquel le déclenchement doit se produire, s'effectue comme suit :
La chaleur de l'air contenu dans la pièce dans laqielle est disposé l'appareil est mesurée à l' aide d'un thermomètre d'après lequel on détermie à quel degré de sur-
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ohmffement par rapport au degré de chaleur de l'air au moment considéré, le déclenchement doit S'effectuer, Si, par exemple, la ohaleur de l'air est de 5 degrés 0 au-dessusde zéro, et si le déclenchement du dispositif de verrouillage de la porte doit s' effectuer à 45 degrés C au-dessus de zéro, on tairne l'axe 20 à l'aide d'un tournevis à l'endroit de la tête de vis 23, et cela jus qu'a ce que l'aiguille ou index indique 40 sur l'échelle. Le déclenchement t'effectuera alors à 45 degrés de chaleur.
Les graduations de l'échelle elle-même sont établies par étalonnage.
La tige de piston 17 peut également comporter un index 33 qui indique sur une échelle 34 la température normale de la pièce ou du looal .
A la plaoe d'un piston, on peut aussi employer une membrane, le cas éohéant,un corps dilatable ou extensible, établi par exemple en caoutchouc, en métal ou autre matière équivalente, de telle sorte que la tige de piston se trouve ainsi rattachée librement ou fermement à la paroi mobile ou déformable du récipient de dilatation .
Comme on le voit dans les figures 6 et 7, le disposa tif comprend un ressort qui ploie sous l'action de la chaleur, plus spécialement une barre bi-métallique 35 ou autre organe analogue ; cette barre est à son extrémité inférieure 36 montée de façon qu'elle puisse se mouvoir et par exemple tourner autour de l'axe 37, et pivoter dans son plan vertical sous l'action de la vis 38. Grâse à cette disposition, la distance séparant la barre bi-métallique 35 de la barre glissante 39 est variable, de façon qu'après que ladite barre bi-métallique 35 aura été ajustée, son extrémité supérieure aura à parcourir, en cas d'éohauffement, un chemin plus ou moins long avant d'arriver à exercer une pression sur la barre glissante 39 .
Sur la vis 38 est placé un disque 40, portant des traits de graduation chiffrés, dont la position est déterminée
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par un étalonnage. La barre bi-métallique 35 et aon mécanisme de réglage sont abrités oontre des troubles venant de l' extérieur, par une enveloppe 41 en matière de bonne conductibilité thermi- que, par exemple en tôle de cuivre. Cette enveloppe 41 est pourvue d'un tampon de fermetura amovible 42, qui après avoir été dévissé permet de tourner la vis 38 à l'aide d'un tourne-vis, en vue de réglage. La leoture de la température pour lamelle le réglage est fait peut se faire à travers un regard ménagé dans l'enveloppe 41.
Lorsque la barre bi-métallique 35 ploie par suite d'éohauffement et déplace ainsi la barre glissante 39 en sent longitudinal, la pièce pesante 43, montée da façon à pouvoir tourner autour du tourillon 44, s'abaisse d'une certaine hauteur; elle vient exercer une pression sur le levier 45 qui est monté sur le tourillon 46, et en soulevant par son autre extrémité le galet 47, ce levier libère le levier de verrouillage 48.
Ce levier 49 est monté de façon à pouvoir tourner autour de l'axe 49, et il exécute sous l'action du nez 50 du verrou à ressort 51 un mouvement de bascule. Par suite de ce mouvement, le talon 52 du levier de verrouillage 48, dont la position finale est tracée à tirets et pointa, vient se placer derrière la pièce pesante 43 .
Après refroidissement, la barre bi-métallique 35 reprend as position primitive. Si l'on tire alors la poignée 53 du verrou à ressort 51, le levier de verrouillage 48 reprend également aa position primitive et lève par son talon 52 la pièoe pesante 43. Sous la poussée du ressort 54, la barre glissante 39 qui repose dans la fente de cette pièce 43 est ramenée vivement à sa position première et retient ainsi de nouveau ladite pièce dans sa position haute. Le talon 52 du levier de verrouillage 48 glisse sous le galet 47 et se replace derrière l'ertrémité gauohe du levier 45, de façon qle le verrou à ressort 51
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soit de nouveau retenu dans la position bandée .
Le dispositif se f ixe par exemple à l'aide de l'équerre 55 et du collier 56, direotement sur le cadre de porte ou sur l'huisserie en fer de la porte incombustible .
Les figures 8 et 9 montrent la porte fermée et ouverte.
La porte proprement dite porte le verrou 57, qui lorsqu'elle est ouverte (fig.9),est poussez derrière l'extrémité 53 du verrou à ressort bandé 51. La porte est pourvue de pentures à ressort 58, de façon que lorsque le dispositif aura été déclenché et que par conséquent le verrou à ressort 51 se sera lancé en arrière, la porte se fermera brusquement d'elle-même .
Comme barre bi-métallique, on utilise une barre faite de deux métaux à coefficients de dilatation différents, appliqués l'un contre l'autre,, et formée par exemple de deux barres métalliques, réunies solidement par laminage, par galvanisation, etc.
Dans le dispositif représenté par les figures 10 et 11, la barre bi-aétallique 59 est faite en forme de ressort en Mélice, fixé en bas au disque 60 de l'axe 61. Cet axe est par le moyen d'un fort ressort 62 maintenu à frottement dans la position de réglage qui lui a été donnée chaque fois. Le disque 60 porte une aiguille 63 (fig.10) qui court sur une éohelle 64, visible à l'extérieur à travers une ouverture 65 De, l'enveloppe 66 .
L'axe 61 présente dans le bas une fente 67, de façon que l'on puisse à l'aide d'un tourne-vis déplacer, cet axe en vainquant le frottement produit par le ressort 62. A l'extrémité supérieure du ressert en hélice 59, on a ménagé sur une bague 68, (figs.9 et 10) un bras 69 qui prend sous le bras libre 70 d'un levier d'ancrage 71 monté de façon à pouvoir tourner .
Ce levier 71 présente un mentonnet 72 derrière lequel bute à l'état de repos, le bras 73 d'un levier pesant 75 qui peut tourner autour du tourillon 74. Ledit levier pesant 75 est pourvu d'une fente 76 dans laquelle pénètre un bouton 77 D'un
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marteau 78, qui peut tourner autour du boulon 79. Le marteau 78 porte un bouton 80 qui lorsque le marteau s'abaisse, actionne un levier d'arrêt 82 qui peut tourner autour du boulon 81, et qui est chargé d'un côté de façon à occuper à l'état de repos la position dans laquelle il est représenté dans la figure 10.
Dans oette position, le levier 82 trouve appui contre un boulon d'arrêt 83. Le levier de verrouillage 84 , qui peut tourner autour du boulon 85, arrête le verrou de déclenchement 51 qui est sous l'aotion du ressort 86 .
Voici le mode de fonctionnement du dispositif :
Lorsque le dispositif occupe la position que montre la figure 10, le verrou de déclenchement 51 est à la position d'arrêt. Si le ressort en hélice 59 s'échauffe alors de quelques degrés seulement, selon le réglage, le bras 69 est écarté latéralement et permet ainsi au levier d'ancrage 70, 71 de s'abaisser. Le mentonnet 72 libère le bras 73, et le levier pesant 75 ainsi que le marteau 78 s'abaissent, alors que le bouton 77 se meut dans la fente 76. Le bouton 80 heurte le levier d'arrêt 82. Par le moyen des leviers, on réalise un rapport de multiplication assez considérable, et le poids des deux leviers, savoir le poids du levier 75 et celui du marteau 78, exerce son action sur le levier d'arr#t 82.
Ce levier 82 libère le levier de verrouillage 84, et le verrou de déclenchement 51 est poussé en arrière par le ressort 86 .
En tournant l'axe 61, on pourra déplacer l'aiguille 63, et l'on arrive ainsi à régler à des degrés de chaleur différents, l'action du ressort en hélice 59 .
Lorsdu déclenchement, le levier de verrouillage 84, qui glisse, le long de la surface-came 87 du marteau 78, soulève de nouveau le marteau, et le résultat en est que le mécanisme de déclenchement est ramené directement à la position d'arrêt, immédiatement après que le déclenchementaura eu lieu.
En tirant le verrou à ressort 51 en avant, on doit alors mettre
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le dispositif de nouveau en position de verrouillage de la porte.
Dans la f igure 10, on a encore montré que le dispositif pourra éventuellement être mis en oonnexion avec un appareil d'alarme électrique. A cet effet, on a disposé un ressort de contact électrique 88, qui au moment du déclenchement est serré contre le contact 89 par le levier de verrouillage 84, de façon que le circuit 90 se ferme .
Dans les figures 12 et 13, on a montré une forme d'exé. oution du dispositif où le verrou de déclenchement agit en sens vertical. Ici un ressort 91, établi sous forme de fourche ouverte, sert à tenir la porte. Une oheville 92, fixée dans la porte, entre dans le ressort 91, Avec ce système, on pourra libérer la porte en retirant, c'est-à-dire en tirant en haut le verrou de déclenchement 51 auquel le ressort 91 est fixé : mais on peut aussi fermer la porte en la tirant violemment de façon à arracher la cheville 92 dudit ressort 91.
Pour fermer la porte, on n'aura donc qu'a user d'un peu plus de force, sans que le dispositif de calage qui réagit sur des degrés de température soit influencé, on pourra de même lors de l'ouverture de la porte, l'arrêter sans plus de façons au dispositif de calage, attendu que la cheville d'arrêt 92 rentre vivement sous pression dans le ressort fourchu 91.
Le réglage a des degrés de chaleur différents auxquels le déclenchement doit avoir lieu, peut se faire aussi en disposant le bras 70 du levier d'ancrage 71, soit la barre glissante 39, de façon qu'on puisse les ajuster par rapport à la barre bimétallique .
Eventuellement un autre appareil, par exemple un extincteur, etc., peut 8tre mis en fonctionnement par le cirouit électrique .
On pourra évidemment aussi choisir une construction simplifiée du mécanisme de transmission. Il serait notamment possible de faire agir la barre bi-métallique directement sur
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le marteau, qui alors de son côté peut âtre ajustable .
- REVENDICATIONS -
1- Dispositif de calage se déclenohant automatiquement lors de l'élévation de température d'un local, applicable notam- ment aux portea à coulisses, portes à battants, devantures ou volets à rouleaux, appareils avertisseurs, appareils de proteotion contre l'incendie, extincteurs, etc., dispositif caracté- risé par ce fait qu'un corps à dilatation (l, 14) agit, par l'intermédiaire d'organes de transmission telsque des leviers, des tiges ou leur équivalent (2,4, 17, 27), directement par voie mécanise, sur le dispositif de fermeture, par exemple le verrou ( 4, 5) qui est relié d'une manière, réglable et blooable aux organes de transmission (2, 4, 17, 27)
pour permettre, en cas de déclenchement mécanique direct du dispositif de blooage, un réglage également par voie mécanique, à différents degrés de chaleur .
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Timing device for doors, locking devices or other objects, which peels off automatically when the room temperature rises.
The invention relates to a wedging or fixing device that is triggered automatically in the event that the temperature rises in a room or in a room and can be applied, for example, to sliding doors, swing doors, shutters or storefronts with rollers, curtains, as well as warning devices and fire protection devices, arresters, etc.
In accordance with the invention, it must occur directly, in case of danger of fire, by alite of the expansion of a body, for example of a metal bar or of a liquid agent. or gas contained in a vessel, direct triggering of a setting device, for example a door or its equivalent, and this without any electrical circuit intermediary
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or other means) * electric control.
Thanks to this direct operation of the wedging device, for example a lock of a sliding door, the door can be fully released in the event of a fire, even when the temperature of the room does not increase. only in small proportions.
The invention finds that an expandable body, for example a bar with a high coefficient of expansion ,, aotionne, via this organ. transmission, such as levers, rods, or other similar means, directly, mechanically, the closing device, such as the lock, which is connected in an adjustable and oalable manner, with the transmission members, for allow, during the direct mechanical release of the wedging device, an adjustment to various degrees of heat, and this also mechanically.
From the point of view of the invention, it is important that the lock be connected in an adjustable and oalable or blooable manner to the transmission members, so that the device can also be adjusted so that, even in a colder room, tripping occurs when the temperature rises a little, for example following a fire.
The use of an electrical conductor does not guarantee flawless tripping, as the electrical line is naturally interrupted in the event of a fire. This drawback cannot either be eliminated by the use of a permanent or resting current aircuit, since, for the operation of the device, it is absolutely necessary to have a working circuit which is jet-jet. the interruption.
The invention can be carried out in different ways. It can be applied for a self-closing door under the elm of a sliding door with guide rails
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oblique or in the case of swing doors with spring hinges or hinges with inclined bearing surfaces. The invention can also be applied advantageously, in particular in the case of storefronts or shutters with rollers or curtains, or their equivalent, or for the triggering of warning devices or fire protection.
Several embodiments of the invention are shown, by way of example, in the accompanying drawing in which:
Figure 1 is a view of a sliding door system above which is disposed the automatic release device.
Figure 2 shows, on a larger scale, a partial view of the locking system.
Figure 3 shows the locking system along section line III-III.
Figure 4 is a view of another embodiment of the device.
Figure 5 shows the device according to figure 4 applied a. a swing door.
Figure 6 is a cross section of the device, according to one embodiment.
Figure 7 is a longitudinal section.
Figure. 8 and 9 show the installation of the device on a door, respectively closed and open
Figure 10 shows in section another embodiment of the device, and
Figure 11 is a corresponding plan with the device cover removed.
Figure 12 is a partial sectional view of another embodiment of the device.
Figure 13 is a sectional plan taken along line XIIIXIII of figure 12.
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In the embodiment according to Figures 1 to 3, the device consists of the expansion bar 1 arranged above the running rail, acting on the elbow lever, at the left end, and permanently fixed to the right end, to a support plate 3, preferably iron.
By means of the lever 2, the rod 4 'lowers under the effect of the expansion of the bar 1, which results in pushing the latch 5 downwards, as a result of the lowering movement of the latch 5, l 'shoulder 6 shown in Figure 2, which is fixed! the sliding door 7 is released and the door can be closed. to allow the triggering of the closure to be adjusted at different temperatures, the assembly rod 4 is connected to the latch 5 in an adjustable and oalable manner, for example by means of a fixing screw 9 which engages in a slot 8 .
Expansion bar 1 must present a)? in cross-section such a shape as to produce as rapid heat absorption as possible, which is to say should preferably be cruciform in cross-section, in order to avoid deformation of the expansion bar 1 , we can provide stages
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or litters apxoçri'8.
The movement of latch 5 should be calculated as follows:
As a fire breaks out, it will be assumed that the closure is triggered when the temperature of the room rises by 25 degrees Centigrade.
With a temperature rise of 25 degrees, an aluminum bar 2 meters long, expands by
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2z.4 x .0 xZ5 = 1.23 um
100 If we deduct the expansion of the @ iron mounting plate, to which the bar is attached at the right end 0.6 mm It remains as the expansion 0.6 mm.
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Assuming that the small lever arm on which the gauohe end of the expansion bar acts by its force is 3 cm, and the large lever arm 30 cm, then we obtain a movement of the latch of 0.6 x 10 = 6 mm.
In the event that vulcanized rubber is used, the movement would, of course, still increase in considerable proportions.
The embodiment of the device which is shown in Figures 4 and 5 consists of an adjustable expansion device ,, preferably disposed in a covered box 10 which consists of a plate! movable in guides 11, 11a, which carries a closed container 13, resistant to compression, which is made for example of sheet copper and which is surrounded by air from all sides. This vessel 13 contains the liquid or gaseous expansion agent 14, for example mercury, air, or other equivalent agent. As a moving part of the container, there is a piston 16 capable of moving in a cylinder 15, and which could possibly also constitute one of the walls of the vessel.
The piston carries the piston rod 17 which is subjected to the action of the spring 18 and is guided, for example, in bearings 19.
During cooling of the medium, the retrograde movement of the piston takes place under the action of the spring 18.
The plate 12 can be adjusted or moved by means of the threaded rod 20 which is mounted in a bearing 21 and carries a via head 23. As a result of the opening of a valve 24, the rod 12 and with it the vessel expansion valve as well as the piston rod, can then be easily moved using a screwdriver.
The device for triggering the latch 5, for example the latch of a door 26, consists of a slider 27 which carries the nose 28 and is guided movably in slides or guide bars 29. The spring 30 presses the slider. 27 against the end of the piston rod 17. The nose 28 maintains
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in the closed position the latch rod 4 of the latch 5 subjected to the action of the spring 25.
When the room or the room is warmed up, the piston rod 17 moves to the right by a sufficient amount so that the tip 4a of the locking rod 4 escapes from the nose 28. If the room or room temperature drops, piston 16 moves with piston rod 17 to the left. The lock rod 4 can be lowered again, which is provided with a handle 4b, so that the door 26 can be locked. Under the aotion of the spring 30, the slide 27 then also moves in an amount sufficient to rest against the rod 17. The rod 4 of the lock is then again held in its closed position by the nose 28 so that the device is ready to operate again.
The door can also be subjected to the action of a spring in a known manner.
The device is adjusted as follows:
In FIG. 4, the device is shown in such a way that the closure is triggered or opened at an increase in temperature of approximately 40 degrees. As the piston is a long way back, the room or room temperature may be about 5 to 6 degrees higher when setting it.
The needle 31 fixed to the plate 12 makes it possible to read on the scale 32 placed at the end of the needle the degree of heat to which the trigger has been set. As the release of the latch rod 4 must always take place in the same position of the nose 28, the adjustment of the device, as regards the moment at which the release must occur, is carried out as follows:
The heat of the air contained in the room in which the apparatus is placed is measured with the aid of a thermometer from which it is determined to what degree of excess.
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ohmff in relation to the degree of heat of the air at the moment in question, the triggering must take place, if, for example, the heat of the air is 5 degrees 0 above zero, and if the triggering of the the door must be locked at 45 degrees C above zero, the axis 20 is silenced using a screwdriver at the location of the screw head 23, and this until that the hand or index indicates 40 on the scale. The trigger will then effect you at 45 degrees of heat.
The graduations of the scale itself are established by calibration.
The piston rod 17 may also have an index 33 which indicates on a scale 34 the normal temperature of the room or looal.
Instead of a piston, it is also possible to use a diaphragm, if necessary an expandable or extensible body, made for example of rubber, metal or other equivalent material, so that the piston rod is thus attached. freely or firmly to the movable or deformable wall of the expansion vessel.
As seen in Figures 6 and 7, the arrangement comprises a spring which bends under the action of heat, more especially a bi-metallic bar 35 or other similar member; this bar is at its lower end 36 mounted so that it can move and for example rotate around the axis 37, and pivot in its vertical plane under the action of the screw 38. Thanks to this arrangement, the distance separating the bi-metallic bar 35 from the sliding bar 39 is variable, so that after said bi-metallic bar 35 has been adjusted, its upper end will have to travel, in the event of heating, a more or less long path before being able to exert pressure on the sliding bar 39.
On the screw 38 is placed a disc 40, bearing numbered graduation lines, the position of which is determined
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by calibration. The bi-metallic bar 35 and its adjustment mechanism are protected against disturbances from the outside by a casing 41 of material of good thermal conductivity, for example of sheet copper. This casing 41 is provided with a removable closing pad 42, which, after being unscrewed, allows the screw 38 to be turned using a screwdriver, for adjustment. The temperature reading for the slat, the adjustment can be made through a sight glass provided in the casing 41.
When the bi-metallic bar 35 bends as a result of heating and thus moves the sliding bar 39 in longitudinal direction, the heavy part 43, mounted so as to be able to rotate around the journal 44, is lowered to a certain height; it exerts pressure on the lever 45 which is mounted on the journal 46, and by lifting the roller 47 by its other end, this lever releases the locking lever 48.
This lever 49 is mounted so as to be able to rotate around the axis 49, and it performs under the action of the nose 50 of the spring latch 51 a rocking movement. As a result of this movement, the heel 52 of the locking lever 48, whose final position is dotted and pointed, comes to be placed behind the heavy part 43.
After cooling, the bi-metallic bar 35 returns to its original position. If the handle 53 of the spring latch 51 is then pulled, the locking lever 48 also resumes its original position and lifts the heavy piece 43 by its heel 52. Under the pressure of the spring 54, the sliding bar 39 which rests in it. the slot of this part 43 is brought back sharply to its first position and thus again retains said part in its upper position. The heel 52 of the locking lever 48 slides under the roller 47 and is replaced behind the left end of the lever 45, so that the spring lock 51
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or again retained in the bandaged position.
The device is fixed for example using the square 55 and the collar 56, specifically on the door frame or on the iron frame of the incombustible door.
Figures 8 and 9 show the door closed and open.
The door itself carries the latch 57, which when opened (fig.9), is pushed behind the end 53 of the spring loaded latch 51. The door is provided with spring hinges 58, so that when the device will have been triggered and therefore the spring latch 51 will have launched backwards, the door will suddenly close by itself.
As a bi-metallic bar, use is made of a bar made of two metals with different expansion coefficients, applied against each other, and formed, for example, of two metal bars, firmly joined by rolling, by galvanizing, etc.
In the device represented by Figures 10 and 11, the bi-aetallic bar 59 is made in the form of a Melice spring, fixed at the bottom to the disc 60 of the axis 61. This axis is by means of a strong spring 62 frictionally held in the adjustment position given to it each time. The disc 60 carries a needle 63 (fig. 10) which runs on an eohelle 64, visible on the outside through an opening 65 De, the envelope 66.
The axis 61 has a slot 67 at the bottom, so that it is possible, using a screwdriver, to move this axis by overcoming the friction produced by the spring 62. At the upper end of the spring as a helix 59, there is provided on a ring 68 (figs.9 and 10) an arm 69 which takes under the free arm 70 of an anchoring lever 71 mounted so as to be able to rotate.
This lever 71 has a chin 72 behind which in the rest state abuts the arm 73 of a heavy lever 75 which can rotate around the journal 74. Said heavy lever 75 is provided with a slot 76 into which a button penetrates. 77 of a
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hammer 78, which can rotate around bolt 79. Hammer 78 carries a button 80 which, when the hammer is lowered, actuates a stop lever 82 which can rotate around bolt 81, and which is loaded on one side of the hammer. so as to occupy in the idle state the position in which it is shown in Figure 10.
In this position, the lever 82 bears against a stop bolt 83. The locking lever 84, which can rotate around the bolt 85, stops the trip latch 51 which is under the action of the spring 86.
Here is how the device works:
When the device occupies the position shown in Figure 10, the trigger lock 51 is in the off position. If the helical spring 59 then heats up by only a few degrees, depending on the setting, the arm 69 is moved laterally and thus allows the anchor lever 70, 71 to lower. Chin 72 releases arm 73, and heavy lever 75 and hammer 78 are lowered, while button 77 moves into slot 76. Button 80 hits stop lever 82. By means of the levers. , one achieves a rather considerable multiplication ratio, and the weight of the two levers, namely the weight of the lever 75 and that of the hammer 78, exerts its action on the stop lever 82.
This lever 82 releases the locking lever 84, and the trigger lock 51 is pushed back by the spring 86.
By turning the axis 61, we can move the needle 63, and we can thus adjust to different degrees of heat, the action of the helical spring 59.
Upon release, the locking lever 84, which slides along the cam surface 87 of the hammer 78, again lifts the hammer, and the result is that the release mechanism is returned directly to the off position, immediately after the trigger has taken place.
By pulling the spring latch 51 forward, one must then put
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the device back to the door locked position.
In f igure 10, it has also been shown that the device could possibly be put in oonnection with an electrical alarm device. For this purpose, an electrical contact spring 88 has been arranged, which at the time of triggering is clamped against the contact 89 by the locking lever 84, so that the circuit 90 closes.
In Figures 12 and 13, a form of exe has been shown. oution of the device where the trigger lock acts in a vertical direction. Here a spring 91, established in the form of an open fork, is used to hold the door. An oheville 92, fixed in the door, enters the spring 91. With this system, the door can be released by removing, that is to say by pulling up the release latch 51 to which the spring 91 is attached: but the door can also be closed by pulling it violently so as to tear the pin 92 from said spring 91.
To close the door, we will therefore only have to use a little more force, without the setting device which reacts on temperature degrees being influenced, we can in the same way when opening the door , stop it without further ado using the setting device, given that the stop pin 92 comes under pressure quickly into the forked spring 91.
The adjustment has different degrees of heat at which the release must take place, can also be done by arranging the arm 70 of the anchor lever 71, that is to say the sliding bar 39, so that they can be adjusted relative to the bar. bimetallic.
Optionally another device, for example a fire extinguisher, etc., can be operated by the electrical circuit.
We can obviously also choose a simplified construction of the transmission mechanism. In particular, it would be possible to make the bi-metallic bar act directly on
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the hammer, which in turn can be adjustable.
- CLAIMS -
1- Timing device that is triggered automatically when the temperature of a room rises, applicable in particular to sliding doors, swing doors, fronts or roller shutters, warning devices, fire protection devices, fire extinguishers, etc., device characterized by the fact that an expansion body (l, 14) acts, by means of transmission members such as levers, rods or their equivalent (2,4, 17, 27), directly by mechanical means, on the closing device, for example the latch (4, 5) which is connected in an adjustable and blockable manner to the transmission members (2, 4, 17, 27)
to allow, in the event of direct mechanical triggering of the blocking device, an adjustment also by mechanical means, at different degrees of heat.