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"Perfectionnements apportés aux dispositifs de sécurité pour canalisations de fluides gazeux, notamment de fluides inflam. mables ".
L'invention est relative aux dispositifs de sécuti- té pour canalisations de fluides gazeux, et elle concerne plus spécialement (parce que 'est en leur cas que son application paraît devoir offrir le plus d'intérêt), mais non exclusivement, parmi ces dispositifs, ceux à monter sur des canalisations dans lesquelles circule un fluide inflammable, tel que le gaz de ville.
Elle a pour but, surtout, de rendre tels, ces dis- positifs, qu'ils offrent une plus grande sécurité que jusque présent..
Elle consiste, principalement, pour ce qui est plus spécialement des dispositifs du genre en question destinés à permettre dtéviter que le fluide gazeux ne puisse se répandra dans l'atmosphère par suite de la rupture ou du décrochage
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du conduit amenant ledit fluide à un appareil d'alimentation, à constituer lesdits dispositifs par des obturateurs du type à joint hydraulique, et à combiner de façon telle, à ces obtu- rateurs, ledit conduit, que la rupture ou le décrochage de ce dernier puisse amener la formation du joint hydraulique arrêtant l'arrivée du fluide.
Elle consiste, mise à part cette disposition prin- cipale, en certaines autres dispositions qui s'utilisent de préférence en même temps, et dont il sera plus explicitement parlé ci-après. notamment, en une deuxième disposition -- relative aux dispositifs du genre en question adaptables sur les canalisations débitant un gaz inflammable et destinés à permettre d'arrêter l'arrivée du gaz à un appareil d'utilisation quand il n'est pas suscepti- ble d'être immédiatement enflammé--.
consistant à agencer de manière telle, les dispositifs du genre en question, que l'arri- vée du gaz vers ledit appareil ne soit possible que lorsqu'une matière, normalement solide ou tout au moins visqueuse à la température ambiante (par exemple de la paraffine), passe à l'état liquide, et à subordonner le passage de cette matière à l'état liquide,à lallumage d'une veilleuse alimentée par une dérivation Branchée sur la canalisation de gaz;
et en une troisième disposition relative aux appareils à gaz à brûleurs, consistant, pour allumer ces derniers, à avoir recours à des tubes porte-feu interposés entre lesdits brûleurs et au moins une veilleuse, l'ensemble étant tel que, lorsqu'tun brûleur est ouvert au passage du gaz, un mélange détonnant puisse se répandre dans le tube porte-feu corres- pondant et s'allumer au contact de la flamme de la veilleuse, ce qui a pour effet d'allumer en même temps ledit brûleur.
Elle vise plus particulièrement certains modes d'application (notamment celui où on l'applique aux dispositifs à adapter sur les égalisations de gaz de ville), ainsi que certains modes de réalisation, desdites dispositions; et elle
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vise plus particulièrement encore, et ce à titre de produits industriels nouveaux;
,le. dispositifs du genre en question comportant application de 'ces mêmes dispositions, les éléments spéciaux propres à leur établissement, ainsi que les installa- tions comprenant de semblables dispositifs,
Et elle pourra, de toute façon, être bien comprise à l'aide du complément de description qui suit, ainsi que des dessins 1-annexés, lesquels complément et dessins sont, bien entendu, donnés surtout à titre d'indication*.
Les fig. 1 et 2, de ces dessins, montrent respecta vement, en élévation et en vue en plan, l'ensemble d'un tournes à gaz de ville et de dispositifs de sécurité destinés à permet tre d'empêcher des dégagements de gaz intempestifs, ledit ensen ble étant établi conformément à l'invention.
Les fig. 3 et 4 montrent séparément, en coupe, établ suivant deux modes différents de réalisation, l'un desdits dis- positifs.
La fig. 5 montre, séparément, en coupe, un autre de ces dispositifs, établi conformément à l'invention.
La fig. 6 montre, en coupe, un semblable dispositif, établi conformément à un autre mode de réalisation de l'inven- tion.
La fige 7 montre, en vue schématique, l'ensemble de dispositif obturateurs a. faire comprendre, par exemple$' à une installation de chauffe-bain, ledit ensemble-étant établi conformément à 1 invention,
La fig. 8 montre, séparément, certains éléments de cet ensemble, établis, eux-mêmes, conformément à l'invention.
Selon l'invention, et plus spécialement selon ce- lui de ses modes d'application, ainsi que ceux des modes de réalisation, de ses diverses parties, auxquels il semble qu'il y ait lieu dtaccorder la préférence, disposant, par exemple;, d'une installation de gaz de ville, et se proposant de la munir de dispositifs de sécurité destinés à empêcher des dégagements
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de gaz intempestifs susceptibles de provoquer des asphyxies ou des explosions, on s'y prend comme suit, ou de façon ana- logue.
Les accidents inhérents à l'emploi du gaz peuvent se rattacher à différentes causes, telles que, notamment, la rupture partielle ou totale du tube souple rattachant le robinet obturateur de la canalisation principale à un ap- pareil d'utilisation, lorsqu'un tel tube souple est utilisé, le décrochage de l'une quelconque des extrémités de ce tube, l'extinction du gaz, sur l'appareil d'utilisation, par suite par exemple d'un débordement de liquide, ou par suite d'un courant d'air, la fermeture suivie de réouverture d'une canalisation de gaz extérieure, au moment où un appareil d'utilisation se trouve en fonctionnement, et, encore, l'ouverture intempestive d'un brûleur par inadvertance ou accrochage.
L'invention a pour objet divers dispositifs permet- tant d'éviter ces dégagements intempestifs, étant entendu que les dispositifs dont il va être question peuvent être, soit agencée, chacun d'eux, de manière à prévenir les accidents pouvant résulter de l'une seulement ou de quelques unes des causes qui viennent d'être indiquées, la protection de l'invention étant revendiquée pour chacun de ces dispositifs pris séparément, soit être groupés en un seul appareil permettant, à la fois, d'assurer une protection complète contre les dégagements intempestifs pouvant résulter de l'une quelconque des causes susindiquées.
A supposer, ainsi que représenté, à titre d'exemple, sur les fig. 1 et 2, que l'on dispose d'un appareil d'utilisa- tion tel qu'un fourneau, branché sur une canalisation A munie d'un robinet de commande B, ledit appareil étant relié au ro-
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binet par un tube souple,C (étant entendu que ce même appareil n'est représenté qu'à titre d'exemple, l'invention s'appliquant tous appareils tels que chaudières de chauffage central, chauffe-bains, séchoirs, fours, etc.), on peut venir combiner audit appareil, d'une part, un premier dispositif de sécurité Dit disposé immédiatement en aval du robinet B, et '.propre à permettre d'éviter un dégagement de gaz par rupture ou décrochage du tube C, et, d'autre part,
un deuxième dispositif E avantaçéu- sement disposé sur l'appareil d'utilisation, à ltendroit où . aboutit le tube souple C et propre à permettre d'éviter un dégagement intempestif pour l'une des trois autres causes
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sus-mentionnées, les deux dispositifs D et E étant par exemple réalisés de l'une des manières qui vont être indiquées.
Pour ce qui est, tout d'abord, du premier de ces dispositifs, on le constitue essentiellement par un obturateur du type à joint hydraulique, comportant par exemple une cloche mobile dont les bords peuvent être, ou non, immergés dans un liquide approprié, obturateur auquel on combine de façon telle, ledit tube souple C, que la rupture ou le décrochage de ce der- nier puisse amener, par déplacement de la cloche, la formation du joint hydraulique propre à arrêter l'arrivée du gaz, ce pourquoi, par exemple, ou bien, suivant un premier mode de réalisation illustré sur la fig.
3, on fait agir le tube de façon telle que sa rupture ou son décrochage puisse provoquer un déséquilibre de pression entre les faces intérieure et extérieure de la--cloche, l'une d'elles étant alors mise par exemple à l'atmosphère tan- dis que l'autre reçoit la pression du gaz, ou bien, suivant un deuxième mode de réalisation illustré sur la fig.
4, on fait agir ledit tube de façon telle que sa rupture ou son décrochage puisse provoquer le déplacement du
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niveau d'un liquide, niveau commandant la position de la sus- dite cloche, et, de toute façon, pour provoquer la variation de pression ou le déplacement de liquide, on a avantageusement recours à une disposition telle, que soit combiné, au tube souple proprement dit, amenant le gaz à l'appareil d'utilisation, un second tube souple relié de façon convenable à l'obturateur D, et propre à se rompre ou à se décrocher en même temps que le premier, les deux tubes en question étant, de préférence, concentriques l'un à l'autre.
Si l'on suppose que l'on procède selon le premier des susdits modes de réalisation, on constitue par exemple l'obturateur D, en lui faisant comporter une capacité 1 recevant le gaz par un ajutage 2 ménagé à sa partie supérieure et susceptible d'être adapté sur le robinet de commande B. ladite capacité oontenant, sur un fond 3, une certaine quantité de liquide, par exemple de mercure 4, en faisanttraverser ledit fond, d'une part, par un conduit central 5 communiquant avec le tube souple intérieur 6 destiné à débiter le gaz à l'appareil d'utilisation, et, d'autre part* par des conduits 7 communiquant avec l'espace annulaire 8 séparant le tube souple 6 d'un tube auxiliaire extérieur 9.
lequel espace 8 est normalement étanche lorsque l'ensemble des deux tubes est en bon état ou en position correcte de fonctionnement, et en venant adapter, au-dessus des extrémités libres des conduits 5 et 6, un élément 10 comprenant, d'une part, en son centre, une cloche 11 recouvrant le conduit 5, et, 12 d'autre part, à sa périphérie, une couronne creuse/plongeant dans le mercure et couvrant les conduits 7, des orifices capillaires 12 étant prévus pour permettre de faire communia quer la partie supérieure de la capacité 1 avec l'intérieur de ladite couronne,
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l'ensemble étant tel que, lorsque le double tube 6, 9, est en bon état ou en posi- tion correcte de fonctionnement,
la pression de gaz à la partie supérieure de la capacité 1' étant alors la Même que celle à l'intérieur de la couronne 12, et de-l'espace ét anche 8 sépa- rant les deux tubes 6, 9, ltélément 10 occupe une position pour laquelle la cloche 11 ne trempe pas dans le mercure, le gaz pouvant donc accéder au tube 6, après avoir traversé des orifices 10 ménagés dans le fond de l'élément 10, entre la cloche 11 et la couronne 12, mais qu'au contraire, dès qu'il y a rupture ou décrochage du double tube, l'espace annulaire 8 (et, par suite l'intérieur de la couronne creuse 12) étant alors mis à l'atmosphère, il en résulte que Isolément 10 se déplace vers le bas et que les bords de la cloche 11 viennent plonger dans le mercure,
1+arrivée du.? gaz étant donc ainsi supprimée.
Dans ce dernier cas, le dégagement de gaz se borne alors au débit insignifiant des orifices capillaires 12 .
Pour assurer la fixation des tubes 6, 9, respecti- vement sur le dispositif D et sur ltappareil d'utilisation (ou sur le dispositif E), on pourra procéder de toute manière appropriée, par exemple en venant adapter les extrémités desdits tubes sur deux ajutages concentriques,, De toute façon, l'espace annulaire séparant lesdits tubes devra être dans issue du coté dudit appareil.
Enfin, les deux tubes pourront être maintenus à écartement constant par des bagues telles que 91.
Suivant le second des deux susdits modes de réali- sation (fig. 4), on a recours à une capacité 1 qui reçoit le gaz à sa partie supérieure tandis qu'on vient adapter le double tube 6, 9, à sa partie inférieure, on divise ladite capacité, par une paroi 13, en deux chambres 14 et 15 communiquant entre elles par un conduit 5
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ooagissant avec une cloche 11 et une masse de mercure ou autre liquide 4, de la même manière que déjà indiqué plus haut, la chambre inférieure 15 étant elle-même en communication avec le tube oentral 6 d'amenée de gaz,'par exemple par ltinter- médiaire de.canaux 15 , et on ménage, dans ladite chambre inférieure, à l'in- térieur par exemple d'une douille 16,
une certaine masse de liquide 17 dans laquelle peut pknger un flotteur 18 relié à la cloche 10, par exemple encore par une tige 19, ledit , liquida pouvant en outre se répandre, par des canaux 20, dans l'espace annulaire 8 séparant les deux tubes 6 et 9, l'ensemble étant tel, que, lors du fonctionnement normal, le niveau du liquide
17 dans la douille 16 soit assez élevé pour maintenir la clo- che 10 à sa position d'ouverture, mais, qu'au contraire, si le double tube 6, 9, vient
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â se rompre ou à se décrocher, le liquide 17 puisse.stéchap- per, ce qui amène la chute du flotteur 18 et de la cloche 10, l'arrivée de gaz étant ainsi coupée.
Dans ce dernier oas, il suffira, pour ramener le dispositif obturateur D à sa position de non obturation, après avoir remis en état le double tube, de réintroduire du liquide dans la douille 16, à travers un canal de remplis- sage approprié 21.
Pour ce qui est, maintenant,, du deuxième dispositif obturateur E on a recours, pour le réaliser, à une disposition telle$ que le passage du gaz à travers ce dispositif, vers l'ap- pareil d'utilisation, ne soit susceptible d'être rendu possible que lorsqu'une matière, normalement solide (ou tout au moins visqueuse), à la température ambiante, passe à l'état liquide,
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la fusion de cette matière étant subordonnée à l'allumage d'une veilleuse alimentée par une dérivation branchée sur la canalisation de gaz.
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A cet eeffet, par exemple (fig. 5), ,. é 4:.. i3 aww .
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on fait comporter au dit'dispositif un récipient que l'on constitue par exemple par un tube cylindrique 22 se ter- minant à la base par une partle amineie au fond de laquelle on dispose une certaine quantité de liquide tel que du mercu- re 23, ledit tube étant fermé à sa partie supérieure par un chapeau 24, on fait déboucher, dans ce liquide 23, un tube d.'amenée de gaz 25 (qui fait par exemple suite au susdit tube souple 6), on adapte, à la partie supérieure du récipient, un tube de sortie de gaz 26 qui vient alimenter la rampe 27 de l'appa- reil dt alimentation (fig.
2), on dépose, au-dessus du mercure, une certaine quantité de paraffine ou autre matière analogue 28, et, enfin; on dispose une veilleuse 29 à la base du tu- be 22, cette veilleuse étant ménagée à la sortie d'un tube de même section, branohé par exemple sur le tube 'amenée 25.
Il résulte de ce qui précède que le passage du gaz, par barbotage à travers le mercure et la paraffine. n'est possible que lorsque ladite paraffine est amenée à l'état li- quide par la chaleur dégagée par la flamme de la veilleuse.
Il est par conséquent impossible$ notamment, qu'un dégagement de gaz puisse se produire par suite de la fer- meture suivie de l'ouverture de la canalisation générale d'ali- mentation, puisque cette éventualité amène l'extinction de 'la veilleuse, ou encore par suite de l'ouverture inopinée. dtun brûleur, la veilleuse n'étant pas allumée.
Mais il faut encore éviter qu'un dégagement de gaz ne puisse se produire par l'extinction d'un brûleur, la veilleu se restant allumée, et, à cet effet, Qn réunt la veilleuse 29, aux brûleurs,par des tubes porte-feu 30 dont les extremités libres aboutissent respectivement à proximité immédiate de la veilleuse et du brûleur correspondant.
On conçoit que, si on a soin d'agencer de façon con- venable ces tubes 30, par rapport aux brûleurs, pour que le
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mélange gazeux qui tend à pénétrer dans lesdits tubes, lors- que les brûleurs sont ouverts et non allumés, soit explosible, ce mélange s'allumera automatiquement à son arrivée devant la flamme de la veilleuse, et portera le feu aux brûleurs.
-En outre, de toute façon, ces tubes permettront d'allumer à volonté un brûleur quelconque; la manipulation de l'appareil d'utilisation sera donc réduite à l'allumage préalable de la veilleuse.
Dans le cas dtappareils d'utilisation concernant des débits de gaz importants, il est préférable de ne pas faire passer directement le gaz à travers la paraffine, et, à cet effet, on fait comporter, au dispositif obturateur E, des or- ganes d'obturation à joint hydraulique du genre de ceux dé- crits plus haut, organes interposés sur le passage du débit de gaz principal, et on commande, les déplacements de ces organes, par l'action d'une pression (ou d'une dépression) dont l'exis- tence est subordonnée au passage dtune faible portion du débit de gaz à travers un interrupteur à paraffine.
On réalise, par exemple, un dispositif répondant ces conditions, de la manière suivante (fig. 6).
On prévoit une capacité 31, séparée en deux chambres 32, 33, par une paroi 33, la chambre supérieure 32 contenant un liquide tel que du mercure 4, on fait arriver le gaz à,la partie supérieure, et échap- per à travers un tube 26 dont l'extrémité libre, à l'intérieur de la chambre 32, coagit avec une cloche 11 portée par un élément 10 percé d'orifices de passage la du genre de ceux décrits sur la fig, 3, on fait communiquer les deux chambres par des conduits 7 ooagissant avec une couronne creuse 12, on prolonge la chambre inférieure 33, vers le bas, par un tube 22, à mercure et à paraffine, ou simplement
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à paraffine, du genre de celui'décrit sur la fig. 5, on fait déboucher;
aq,fond de ce tube, une dérivation de gaz 34, reliée à la chambre supérieure 32, on dispose, sous le tube 22, une veilleuse 29 alimentée par un conduit de faible section 35 branché par exemple sur la dérivarion 34, et, enfin, on fait communiquer avec l'atmosphère la chambre inférieure 33, par un conduit de faible section 36, dont l'extrémité libre peut aboutir, soit à la veilleuse (auquel cas on peut prévoir un robi- net 37 sur le conduit 35, robinet que l'on ouvre qu'au moment de l'allumage de la veilleuse et que l'on peut ensuite fermer, lorsque le gaz arrive par le conduit 36), soit à un brûleur quelconque où les calories correspon- dant à cette dérivation de gaz puissent être utilisées,.
Un tel ensemble fonctionne de façon telle que, lorsque la paraffine est liquide, la pression dans les deux chambres 32, 33 est sensiblement la même, puisque les gaz passe dans la dérivation 34, et à travers la paraffine, d'ou il résulte que Isolément 10 est dans une position d'équili- bre pour laquelle la cloche 11 laisse passer le débit de gaz principal, tandis qu'au contraire, dès que la paraffine se solidifie, la pression dans la chambre 32 (laquelle est en communication avec l'atmosphère par le conduit 36) tombe à la valeur de la pression atmosphérique, ce qui provoque un abaissement de l'élément 10, la cloche 11 venant s'immerger dans le mercure.
Avantageusement,en outre, on peut prévoir, dans le tube 22, par exemple au dessus du niveau de paraffine, une toile métallique 38 sur laquelle, dès que la veilleuse est étéinte, peut se produite un voile de paraffine solidifiée, une telle toile permettant d'accélérer le fonctionnement de l'appareil à la fermeture.
Dans ce qui précède, la disposition qui consiste
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à commander le passage du gaz par la liquéfaction de la paraffi- ne était réalisée par des moyens automatiques, Mais on peut aussi prévoir l'utilisation d'une telle disposition en vue de permettre, ou non, à l'opérateur, suivant que la paraffine est solide ou liquide, de manoeuvrer un robinet.
A cet effet et à supposer qu'on veuille, par exemple, empêcher un dégagement intempestif de gaz dans un chauffe-bain, on combine, à un robinet ordinaire 2, un robinet auxili- aire 38 susceptible d'être relié au premier par une biellette à coulisse 39, de sorte que le second robinet ne soit commandé par la premier que lors de la fermeture, on prévoit, à l'intérieur d'un récipient 40, une masse de paraffine 41 dans laquelle on fait plonger des organes soli- daires du robinet auxiliaire, organes tels, par exemple que des palettes 42, et on fait aboutir, à ce récipient 40, une veilleuse
43 ménagée à l'extrémité d'un canal 44 aboutissant en aval du robinet principal 2.
On conçoit donc que, lorsqu'on a ouvert le robinet 2, l'ouverture du robinet auxiliaire 38 ne peut elle-même être obtenue qu'après qu'on a allumé la veilleuse 42. Celle-ci peut, bien entendu, être combinée à une veilleuse ordinaire 45 des- tinée à allumer la rampe à gaz et lui être reliée par un tube porte-feu 30.
Enfin, les deux robinets peuvent être combinés à un dispositif, de type usuel propre à ne laisser passer le gaz que lorsque l'eau traverse le serpentin de l'appareil à une vitesse suffisante.
En suite de quoi, quel que soit le mode de réalisa- tion adopté, on peut réaliser, grâce à l'invention, des dispo- sitifs de sécurité dont le fonctionnement résulte suffisamment de ce qui précède pour qu'il soit inutile d'insister à son sujet, et qui présente, par rapport aux dispositifs du genre plus .en question, déjà existants, l'avantage d'être plus simples et
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plus sûrs que jusqu'à présent.
Comme il va de soi, et comme il résulte d'ailleurs déjà de ce qui précède, l'invention ne se limite nullement à ceux de ses modes d'application, non plus qu'à ceux des modes de réalisation de ses diverses parties, ayant plus spéciale- ment été envisagés ; en embrasse, au contraire, toutes les variantes, notamment celles où les dispositifs de sécurité décrits commanderaient plusieurs appareils d'utilisation.
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"Improvements to safety devices for gaseous fluid pipelines, in particular flammable fluids".
The invention relates to safety devices for gaseous fluid pipelines, and it relates more particularly (because in their case its application seems to be of the greatest interest), but not exclusively, among these devices. , those to be mounted on pipes in which a flammable fluid circulates, such as town gas.
Its main aim is to make these devices such that they offer greater security than hitherto.
It consists, mainly, as regards more specifically devices of the kind in question intended to prevent the gaseous fluid from being able to spread into the atmosphere as a result of the rupture or the release.
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of the conduit bringing said fluid to a supply apparatus, to constitute said devices by shutters of the hydraulic seal type, and to combine in such a manner, with these shutters, said conduit, that the latter rupture or detachment can cause the formation of the hydraulic seal stopping the flow of fluid.
It consists, apart from this main provision, of certain other provisions which are preferably used at the same time, and which will be discussed more explicitly below. in particular, in a second provision - relating to devices of the kind in question adaptable to pipes delivering a flammable gas and intended to make it possible to stop the gas supply to an appliance for use when it is not likely to be immediately ignited--.
consisting in arranging the devices of the type in question in such a way that the arrival of gas to said apparatus is only possible when a material which is normally solid or at least viscous at ambient temperature (for example gas). paraffin), passes to the liquid state, and to subject the passage of this material to the liquid state, to the ignition of a pilot light supplied by a bypass connected to the gas pipe;
and in a third arrangement relating to gas appliances with burners, consisting, in order to ignite the latter, in having recourse to fire tubes interposed between said burners and at least one pilot, the assembly being such that, when a burner is open to the passage of gas, an explosive mixture can spread in the corresponding fire-carrying tube and ignite on contact with the pilot flame, which has the effect of igniting said burner at the same time.
It relates more particularly to certain modes of application (in particular that where it is applied to devices to be adapted to town gas equalizations), as well as certain embodiments of said provisions; and she
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is more particularly aimed at new industrial products;
,the. devices of the kind in question comprising the application of these same provisions, special elements specific to their establishment, as well as installations comprising similar devices,
And it can, in any case, be well understood with the aid of the additional description which follows, as well as the appended drawings 1, which supplement and drawings are, of course, given above all by way of indication *.
Figs. 1 and 2, of these drawings, respectively show, in elevation and in plan view, the assembly of a town gas burner and safety devices intended to make it possible to prevent untimely releases of gas, said ensen ble being established in accordance with the invention.
Figs. 3 and 4 show separately, in section, established according to two different embodiments, one of said devices.
Fig. 5 shows, separately, in section, another of these devices, established in accordance with the invention.
Fig. 6 shows, in section, a similar device, established in accordance with another embodiment of the invention.
Fig. 7 shows, in schematic view, the entire shutter device a. make understand, for example $ 'to a bath heater installation, said assembly being established in accordance with 1 invention,
Fig. 8 shows, separately, certain elements of this assembly, established themselves in accordance with the invention.
According to the invention, and more especially according to its modes of application, as well as those of the embodiments, of its various parts, to which it seems that preference should be given, having, for example; , a town gas installation, and proposing to provide it with safety devices intended to prevent
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of unwanted gases liable to cause asphyxiation or explosions, the procedure is as follows, or similar.
The accidents inherent in the use of gas can be linked to various causes, such as, in particular, the partial or total rupture of the flexible tube connecting the shut-off valve of the main pipe to an appliance, when such flexible tube is used, the unhooking of any of the ends of this tube, the extinction of the gas, on the apparatus of use, for example as a result of an overflow of liquid, or as a result of a current air, the closing followed by reopening of an external gas pipe, when a user device is in operation, and, again, the untimely opening of a burner by inadvertent or interlocking.
The object of the invention is various devices making it possible to avoid these untimely releases, it being understood that the devices in question can either be arranged, each of them, so as to prevent accidents which may result from the accident. one or only a few of the causes which have just been indicated, the protection of the invention being claimed for each of these devices taken separately, or be grouped into a single device allowing, at the same time, to ensure complete protection against untimely releases that may result from any of the above-mentioned causes.
Assuming, as shown, by way of example, in FIGS. 1 and 2, that there is a device for use such as a stove, connected to a pipe A provided with a control valve B, said device being connected to the ro-
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binet by a flexible tube, C (it being understood that this same device is shown only by way of example, the invention applying to all devices such as central heating boilers, bath heaters, dryers, ovens, etc. .), we can combine said device, on the one hand, a first safety device Said disposed immediately downstream of the valve B, and '. suitable for preventing the release of gas by rupture or detachment of the tube C, And on the other hand,
a second device E avantaçéu-ement disposed on the user apparatus, at the place where. ends the flexible tube C and clean to prevent untimely release for one of the other three causes
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mentioned above, the two devices D and E being for example produced in one of the ways which will be indicated.
As regards, first of all, the first of these devices, it is essentially constituted by a shutter of the hydraulic seal type, comprising for example a movable bell whose edges may or may not be immersed in a suitable liquid, shutter to which is combined in such a way, said flexible tube C, that the rupture or the detachment of the latter can cause, by displacement of the bell, the formation of the proper hydraulic seal to stop the arrival of gas, which is why, for example, or else, according to a first embodiment illustrated in FIG.
3, the tube is made to act in such a way that its rupture or its unhooking can cause a pressure imbalance between the inner and outer faces of the - bell, one of them then being placed for example in the tan atmosphere - Say that the other receives the gas pressure, or else, according to a second embodiment illustrated in FIG.
4, said tube is made to act in such a way that its rupture or its unhooking can cause the displacement of the
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level of a liquid, level controlling the position of the said bell, and, in any case, to cause the pressure variation or the displacement of liquid, recourse is had to an arrangement such that, in combination, the tube flexible itself, bringing the gas to the device of use, a second flexible tube suitably connected to the shutter D, and capable of breaking or unhooking at the same time as the first, the two tubes in question preferably being concentric to each other.
If it is assumed that one proceeds according to the first of the aforesaid embodiments, one constitutes for example the shutter D, by making it comprise a capacity 1 receiving the gas by a nozzle 2 formed at its upper part and capable of 'be fitted to the control valve B. said capacity containing, on a base 3, a certain quantity of liquid, for example mercury 4, by passing said base, on the one hand, by a central duct 5 communicating with the tube flexible interior 6 intended to deliver the gas to the device for use, and, on the other hand * via ducts 7 communicating with the annular space 8 separating the flexible tube 6 from an external auxiliary tube 9.
which space 8 is normally sealed when the assembly of the two tubes is in good condition or in the correct operating position, and by fitting, above the free ends of the conduits 5 and 6, an element 10 comprising, on the one hand , in its center, a bell 11 covering the conduit 5, and, 12 on the other hand, at its periphery, a hollow crown / immersed in the mercury and covering the conduits 7, capillary orifices 12 being provided to allow communia quer the upper part of capacity 1 with the interior of said crown,
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the assembly being such that, when the double tube 6, 9, is in good condition or in the correct operating position,
the gas pressure at the top of the capacity 1 'then being the same as that inside the ring 12, and the reed space 8 separating the two tubes 6, 9, the element 10 occupies a position for which the bell 11 does not soak in mercury, the gas can therefore access the tube 6, after passing through orifices 10 formed in the bottom of the element 10, between the bell 11 and the crown 12, but that 'on the contrary, as soon as there is rupture or detachment of the double tube, the annular space 8 (and, consequently the interior of the hollow ring 12) then being vented to the atmosphere, it follows that Isolation 10 moves downwards and the edges of the bell 11 plunge into the mercury,
1 + arrival of.? gas being thus eliminated.
In the latter case, the release of gas is then limited to the insignificant flow rate of the capillary orifices 12.
To ensure the fixing of the tubes 6, 9, respectively on the device D and on the device for use (or on the device E), one can proceed in any suitable manner, for example by adapting the ends of said tubes on two concentric nozzles ,, Anyway, the annular space separating said tubes will have to be in the side of said device.
Finally, the two tubes can be kept at constant spacing by rings such as 91.
According to the second of the two aforementioned embodiments (fig. 4), recourse is had to a capacitor 1 which receives the gas at its upper part while the double tube 6, 9 is adapted to its lower part, said capacity is divided by a wall 13 into two chambers 14 and 15 communicating with each other by a duct 5
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ooacting with a bell 11 and a mass of mercury or other liquid 4, in the same way as already indicated above, the lower chamber 15 itself being in communication with the central tube 6 for supplying gas, 'for example by ltintermediate de.chanaux 15, and in said lower chamber, the interior for example of a socket 16 is provided,
a certain mass of liquid 17 in which can pknger a float 18 connected to the bell 10, for example again by a rod 19, said liquid being able furthermore to spread, through channels 20, into the annular space 8 separating the two tubes 6 and 9, the assembly being such that, during normal operation, the level of the liquid
17 in the socket 16 is high enough to keep the bell 10 in its open position, but, on the contrary, if the double tube 6, 9, comes
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â break or come off, the liquid 17 can.stéchap- per, which causes the fall of the float 18 and the bell 10, the gas supply being thus cut off.
In the latter case, it will suffice, in order to return the obturator device D to its non-obturating position, after having restored the double tube, to reintroduce liquid into the socket 16, through an appropriate filling channel 21.
As regards, now, the second obturator device E, recourse is had to an arrangement such as that the passage of gas through this device, towards the appliance of use, is not liable to '' be made possible when a material, normally solid (or at least viscous), at room temperature, changes to the liquid state,
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the melting of this material being subject to the ignition of a pilot light supplied by a bypass connected to the gas pipe.
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For this purpose, for example (fig. 5),,. é 4: .. i3 aww.
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the said device is made to include a container which is constituted for example by a cylindrical tube 22 terminating at the base with an amine part at the bottom of which there is a certain quantity of liquid such as mercury 23 , said tube being closed at its upper part by a cap 24, a gas supply tube 25 (which for example follows the aforesaid flexible tube 6) is made to open into this liquid 23, and is adapted to the upper part of the receptacle, a gas outlet tube 26 which supplies the ramp 27 of the supply device (fig.
2), a certain quantity of paraffin or other similar material is deposited on top of the mercury 28, and, finally; a pilot light 29 is placed at the base of the tube 22, this pilot light being provided at the outlet of a tube of the same section, branohé for example on the supply tube 25.
It follows from the above that the passage of gas, by bubbling through the mercury and paraffin. is only possible when said paraffin is brought to the liquid state by the heat given off by the pilot flame.
It is therefore impossible $ in particular, that a release of gas can occur as a result of the closing followed by the opening of the general supply pipe, since this eventuality leads to the extinction of the pilot light. , or even as a result of the unexpected opening. of a burner, the pilot not being lit.
But it is also necessary to prevent a release of gas from being able to occur by the extinction of a burner, the pilot remaining lit, and, for this purpose, Qn joins the pilot 29, to the burners, by support tubes. fire 30, the free ends of which respectively end in the immediate vicinity of the pilot light and the corresponding burner.
It will be appreciated that, if care is taken to arrange these tubes 30 in a suitable manner, with respect to the burners, so that the
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gas mixture which tends to penetrate into said tubes, when the burners are open and not ignited, is explosive, this mixture will ignite automatically when it arrives in front of the pilot flame, and will ignite the burners.
-In addition, anyway, these tubes will light any burner at will; handling of the operating device will therefore be reduced to the prior lighting of the pilot.
In the case of devices for use concerning high gas flow rates, it is preferable not to pass the gas directly through the paraffin, and, for this purpose, the obturator device E is made to include d. 'hydraulic seal shutter of the type described above, members interposed on the passage of the main gas flow, and the movements of these members are controlled by the action of a pressure (or a vacuum ), the existence of which is subject to passing a small portion of the gas flow through a paraffin switch.
A device meeting these conditions is produced, for example, as follows (FIG. 6).
A capacity 31 is provided, separated into two chambers 32, 33, by a wall 33, the upper chamber 32 containing a liquid such as mercury 4, the gas is made to arrive at, the upper part, and escape through a tube 26, the free end of which, inside the chamber 32, coacts with a bell 11 carried by an element 10 pierced with passage orifices la of the type described in FIG. 3, the two are made to communicate chambers by conduits 7 ooacting with a hollow crown 12, the lower chamber 33 is extended, downwards, by a tube 22, mercury and paraffin, or simply
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paraffin, of the kind described in FIG. 5, one makes uncork;
aq, bottom of this tube, a gas bypass 34, connected to the upper chamber 32, there is, under the tube 22, a pilot light 29 fed by a small section duct 35 connected for example to the bypass 34, and, finally , the lower chamber 33 is made to communicate with the atmosphere via a duct of small section 36, the free end of which can lead either to the pilot light (in which case a valve 37 can be provided on the duct 35, valve that one opens only when the pilot is ignited and which can then be closed, when the gas arrives through the pipe 36), or at any burner where the calories corresponding to this bypass of gas can be used ,.
Such an assembly operates in such a way that, when the paraffin is liquid, the pressure in the two chambers 32, 33 is substantially the same, since the gases pass into the bypass 34, and through the paraffin, from which it follows that In isolation 10 is in an equilibrium position for which the bell 11 allows the main gas flow to pass, while on the contrary, as soon as the paraffin solidifies, the pressure in the chamber 32 (which is in communication with the 'atmosphere through line 36) drops to the value of atmospheric pressure, which causes element 10 to drop, bell 11 being submerged in mercury.
Advantageously, in addition, there can be provided, in the tube 22, for example above the paraffin level, a wire cloth 38 on which, as soon as the pilot light is turned off, a veil of solidified paraffin can be produced, such a cloth allowing to speed up the operation of the device on closing.
In the foregoing, the provision which consists
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to control the passage of the gas by the liquefaction of the paraffin was carried out by automatic means, But it is also possible to provide for the use of such an arrangement in order to allow, or not, the operator, depending on whether the paraffin is solid or liquid, to operate a tap.
To this end and supposing that one wishes, for example, to prevent an untimely release of gas in a bath heater, one combines, with an ordinary valve 2, an auxiliary valve 38 capable of being connected to the first by a slide rod 39, so that the second valve is only controlled by the first when closing, there is provided, inside a container 40, a mass of paraffin 41 in which solid members are immersed. daires of the auxiliary valve, members such as, for example, vanes 42, and a pilot light is brought to this receptacle 40
43 provided at the end of a channel 44 leading downstream of the main valve 2.
It will therefore be understood that, when the valve 2 has been opened, the opening of the auxiliary valve 38 can itself only be obtained after the pilot light 42 has been lit. This can, of course, be combined. to an ordinary pilot burner 45 intended to ignite the gas train and be connected to it by a fire tube 30.
Finally, the two taps can be combined with a device, of the usual type suitable for allowing gas to pass only when the water passes through the coil of the apparatus at a sufficient speed.
As a result, whatever the embodiment adopted, it is possible, thanks to the invention, to produce safety devices whose operation results sufficiently from the foregoing for it to be unnecessary to insist. about it, and which has, compared to the devices of the kind more. in question, already existing, the advantage of being simpler and
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more secure than so far.
As goes without saying, and as it follows moreover already from the above, the invention is in no way limited to those of its modes of application, nor to those of the embodiments of its various parts, having been more specifically considered; embraces, on the contrary, all the variants thereof, in particular those where the safety devices described would control several devices of use.