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pour procède de fabrication d'alliages de palladium et d'argent "
L'invention a poux objet un proaédé de fa- brioation d'alliages de palladium et d'argent qui se prât tent aux traitements thermiques tels que la trempe et sont par conséquent susceptibles de recevoir un grand nombre d'applications dans- l'industrie ,
Les alliages de palladium et d'argent ont reçu des applications dans quelques domaines limitée de l'in- dustrie à, titre de succédanés moins coûteux, du platine,com- me par exemple dans l'industrie des dents artificielles, dans l'industrie électrotechnique, pour la fabrication de contacts soumis à de faibles charges, entre autres.
Les alliages de palladium et d'argent présentent sur l'argent fin l'avantage de posséder une plus grande résistance chimique et mécanique. Toutefois, même dans le cas des
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Alliages les plù8 da.:ra qt.i contiennent des parties égales d'argent et de palladium , la dureté ne s'élève qu'au dot- ble environ de celle des deux éléments qtli. comme on le sait, sont des métaux très tendres . Oas alliages ne ne prêtent pas aüx traitements thermiques . si l'on adoute de l'or aux alliagee de palladium et d'argent , on obtient, aocme on devait a'y at- tendra , 4e8 alliage. '111i possèdent une wéoiotanee plùs gran- de mais qui ne sont pas non plus 8D.88eptibles d'être t mpdo o traite a thermiquement .
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Le présent procède de fabrication d'allia- ges de palladium et d'argent très avantageusement applicables
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dans ,1in4turt,1e consista dans l'incorporation à l'alliage dan autre clément qni sert aû durcissement proprement dit et quigpmr 80na'qùsnt. sera désignd 81-a¯",. sotls l'app*11 fiion de " 4f11'8iaunt ..
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Des recherches rationnelles ont démontré
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q'# grand nombre d*agents d'addition, par exemple le bd- l',il.:l:ib proposes ñoqµàtà ce joûr en v6.e db. d'hro1alilelDlDt d'
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autres alliages , ne rendent pas les alliages de palladium
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et dargent apTe8 à être transes ou traites themCOIment à un Aegz4 appréciable ; on y parvient toutefois avec l'ai-
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de d'antres agents d'addition .
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Comme à<1*eant*, non seulement on pact appliquer le .1ilioiWl1 et 1taluminiûm, cléments des utilises pour dqe1c d'antres alliages de mdt"nx rares, ainsi qÚ8 le magnésium, mais b grand nombre d'autre a cléments, en par- tioulier les m4t. dâ groupe da fer sont :remazqt1&blement .pp ,\'11!18 oh b#xt envisagé .
Ces ;rcia8ant8 ne sont tt.ail.. lears ancanement limites aixx métaux ; les mdtal1o%48. et A mime dans certains cas particuliers des corps gazenx ont
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donné des résultats satisfaisante à cet effet . il n'est non plus aucunement nécessaire à* ajouter ces duro1asants inàividuellement à titre d'éléments d'alliage ; ils peuvent an contraire gtre a,outéa à. l'élément fondamental sons forme d-alliage et , dana certains cas, cette addition petit time n'être effectuée qu'à un stade ultérieur du procédé de fa- brication de sorte qu'une partie de la fabrication s'et- fectue aveo une matière qui ne renferme pas encore oes durcissants.
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Des essais ont permis d'établir que la propos- tion de dtiroissant incorporée ne doit généralement pas dépas- ser l 1 L'énuméaation des divers 414mente 8Ùsoeptihles à ttre appliques conduirait trop loin et Il a11ffit, pour donner à l'homme du métier une règle qui lui permette d'obtenir avec certitude un résultat satisfaisant, d'inâiqûer qus le dU- closant est oaractéried pax le fait qttti, doit se dissoudre dans l'allioge fondamental dans une mesure considérablement plus grande aux températures élevées qù'a#x 1empdrat:àrea re- iativement basses . on trouvera la liste des éléments approv priés à cet effet dans les manuels et dans les diagrammes
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de fusion et tables qU'ils oantiennen Parmi les màtaûz du. groupe dû fer, le cobalt et le nickel sont prof érables a.ib:!ef.
Bane le cas da.,iagira
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par parties égales de ad et as les élément ? 00 et al pr° . sentent le même avantage , mais , dans le cas dalliages pins riches en palladium, le cobalt assure une pins grande
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dt1ret.
de trempe tandis que dan s le cas 4.t.a11i.ges plus ri- ches en argent, c'est le nickel qui assure la plue grande dureté de trempe ,
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S1 .ne importance est attachée a l'obtention d alliages qui ne soient pas sujets à prendre une coloration
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defectueuse lorsqu'ils sont soit soumis à une température élevée , soit attaqués par des réactifs à forte teneur en soufre , il sera reoommandable de faire usage d'éléments qui donnent naissance à des oxydes et sulfures Incolores et qui, par conséquente même dans les conditions défavorables dont il vient d'être question, ne nuisent pas à la couleur de 1' alliage .
On trouvera avantageux dans oe cas par exemple d' employer l'étain comme agent de durcissement . Ce métal donne des résultats remarquables si l'on remplace par exemple la teneur en palladium de l'alliage ,entièrement ou en partie, par du platine ou d'autres métaux du même groupe , cette mo- dification pouvant être avantageuse dans de nombreux cas .
Une des caractéristiques du présent procède réside dans le fait que, dans certains cas appropries, la teneur en or des alliages peut s'élever jusqu'à 805 et da- vantage et que, mime lorsque ce pourantage d'or se trouve dépassé , la possibilité d'améliorer l'alliage par un trai- tement thermique . n'est pas à proprement parler perdue .
Le présent procédé permet en outre de s@b- etituer le cuivre en tout ou en partie à l'or , ce qui, in- décendamment de la difficulté actuelle de se procurer de 1' or , est extrêmement avantageux pour des raisons techniques .
La substitution partielle ou entière du cuivre à. l'or dans le présent procédé a donné des résultats particulièrement avantageux lorsqu'on attache une importance particulière à un accroissement de dureté proportionnellement dieve,toute- fois ,il convient de mentionner que , dans le cas d'allis- ges de ce genre, la résistance de l'alliage aux agents qui tendent à le ternir ou à le colorer , est diminuée surtout aux températures élevées .
Si le présent procédé doit en outre être développé à l'effet 4e rendre plus marquées certaines pro-
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priâtes particulières des alliages on d'en diminuer des propriétés nuisibles , il est recommandable d'ajouter de faibles quantités d'un autre élément ,qui est généralement le cinquième, et dont Inaction réside dans le fait d'une part , qu'il absorbe plus ou moins les impuretés que contient tout bain fondu , y compris les gaz , ou scorifie ces impu- retés ,et que d'autre part, il augmente l'atitude de l'al- liage à subir la trempe .en sait que le phosphorepar exem- ple,
a une forte action descendante et qu'il diminue aussi le point de fusion des alliages des métaux rares en rendant en marne temps le bain fondu lui-même plus fluide .Le tantale et les corps analogues sont connus par le pouvoir qu'ils possèdent d'absorber les gaz dans de nombreuses applications de l'industrie récente des alliages . Ces corps peuvent par conséquent @tre appliqués dux alliages suivant la présente invention pour modifier les propriétés de ces alliages dans un sens ou dans la'utre.
Il est aussi finalement important que, sous certaines conditions, le quatrième élément d'addition, c'est-à-dire le "durcissant", et bien entendu aussi le cinquième ,puissent, par une trempe réalisée d'une façon appropriée , être de nouveau éliminés pendant ou après cette opération cans nuire aux propriétés mécaniques et teohnolo- giques.
L'accroissement de la dureté des alliages précédemment décrits s'effectue dans le sens d'une trempe à ségrégation,c'est-à-dire que les alliages portés à des températures élevées et refroidis brusquement sont doux et que , au cours du traitement thermique ou revenu subséquent , leur dureté augmente considérablement et est parlée au-delà du double dans les cas les plus favorables . Tles essais ont permis d'établir que les températures les plus favorables
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sont de 700 à 1000' 0 environ pour le premier chauffage et de 400 à 700 0 environ pour le revenu après le refroidisse- ment brusque .
On expliquera par quelques exemples le mode de fabrication des alliages de métaux rares applicables in- dustriellement suivant l'invention et les avantages de ces alliages , a) la dureté Brinell d'un alliage composé par
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parties égales cltargent et de palladium est 75 kg par mm , ]Par une addition de 16% de AU et de 4% de Ni ou. de 18% de à et der 8% de Oo, cette dureté s'élève , avant le traitement thermique , à 100/1,80 kg par mm , et par contre, après le traitement thermique,, à 150/180 kg par mé ,,De mme , par ltaddîtion de 10% de Ag et de 10% de Oo, on obtient une dure- té de trempe de 160 kg par mm2. b) Les alliages dont la composition est la
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suivante : M 60% , Ilg 80%, Ad 1fini ,8i 4% : ou ?a 60%, Ag 80%, AA 14%, 00 6% possèdent une dureté initiale de HO kg environ par mm2.
Le traitement thermique élève cette dureté
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à 800 kg par mm g dans le cas du premier alliage et à 830 kg par dans le cas du second o) Un alliage de la composition suivante ;
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Bd 40%, Ag 48% AU Sel, Ni 4% possède, apgbo le refroldisMMnt bzz on trempe proprement dite à partir de 100oe , Une da.re td r3,neli, de 119 kg par am et, après un traitement thermi- qn on revend à 430 1 0 # tne dureté de 180 kg par em 8 *(]et alliage se laisse travailler d%uno façon remarquablement bonne .
4) Un alliage composé de : Bd 60%, àg 80 m l6%t Ni possède,, après un traitement anliogÀê à celui de lee, upl9' 9) t une du.roté de 13D kg par H 8 à l'état doux et âne dureté de 800 kg par mm, ildtat cln3î
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e) Un alliage composé de Pa 60%, Ag z ,ce 8%, Co 5% donne, dans les marnes conditions, 165 kg par mm2 pour l'état doux et 275 kg par mm2 pour l'état trempé.
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f) Un alliage composé de s Pd 40%, Ag 52% 0& 4%, Sn 4% possède une dureté Brinell de 103 kg par mm pour l'état doux et de 2l! kg par nm 2 pour l'état dur . g) un alliage composé de :
Bd 400.. 50%, Gu 4% , Sa 4%, Rh 2% possède une dureté Brinell de iso kg par mm 2" pour l'état doux et de 271 kg par mm2 pour l'état dur , h) un alliage composé de : s l'd 30% ,gag 64%, et 8$ , Sa 4, a à l'état doux une dureté de 12Q kg par ime' et bzz l'état dur une dureté de 160.170 kg par mm2.
1) Dansle bas d'un alliage composé de 4= Pd 40%.
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Ag 40% , A let Sa 1%. la dureté, qui est de 110 kg par mu après le refroidissement brusque. s'élève à 115 kg pe0 mm parès le traitement thermique.
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k) Dans le cas d'in alliage composé de srd 90% , g. 5% ouas or&, on peut, par l'addition d'hydrogène, d,t.1iae ma- nière connue en soi, élever la dureté de 80/90 kg environ par nm 2 â une valeur supérieure à 130 kg par mm 2 .Cette ad dition d'hydrogène peut être effectuée après que la pièce a été terminée Par un chauffage à 300* environ,, on psitt élimi- ner de nouveau l'hydrogène ajouté sans que la dureté diminue.
1) Par l'addition de 3 à 4% environ de phosphore,
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de préférence sous forme de lb- CtL 9 b. Italliage de l'exemple f ) on diminue le point de fusion de 1',alliage de 150 0 environ sans que ses autres propriétés mécaniques et techno- logiques diminuent . En même temps , la facilité avec le,* quelle cet alliage se laisse mouler est considérablement aug-
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montée par 1'adàition de 2 .
Vette particularité joue notam- ment un rôle important lorsque , par exemple pour les appli- cations de ltart dentaire, il s'agit d'établir des pièoes mou-
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ldes de petites dimensions q3ipa an traitement thermique ap- proprié , effectué après qu'elles ont re ou
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leur forme finale, doivent avoir une dureté aussi grande que possible.
Lorsque le traitement thermique est combiné aveo un autre traitement en particulier avec la cémentation, oe qui peut être effectué en une seule opération, on obtient des duretés qui, dans certaine cas,, peuvent excéder de 100% et davantage les valeurs indiquées ci-dessus pour les alliages .
Par la cémentation, il s'effectue en effet une diffusion mutuelle des divers éléments d'alliage qui favorise la ségrégation finement dispersée qui est importante pour le durcissement, en mime tempe'que la trame cristalline renforce la diffusion .0'est précisément en raison du fait que les pré- sents alliages rente ment quatre ou plus de quatre éléments qu'on peut obtenir par cette combinaison de divers procédés de durcissement un accroissement considérable des propriétés utiles , cet accroissement étant surtout du* au fait que, dans tous les cas, même dans le cas de pièces moulées relativement épa@sses,
les alliages finis sont absolument homogènes , o'est -à-dire qu'il ne s'agit pas de pièces moulées simplement plus ou moins fortement influencées par une variation de la surface,,
L'accroissement des propriétés technologiques est caractérisé par l'exemple suivant :
Une tôle faite d'un alliage composé de Pd 40 %, Ag 50, Au 6%.
Sn 4% se rompt après quelques milliers d'ox- cillations lorsque l'alliage-est à l'état doux ; après un traitement thermique, elle résiste à 15.000 oscillations ; tandis que le procédé de cémentation et de traitement thermique combiné donne une résistance à l'oscillation de 45.000 alter- nances doubles, outre que la dureté s'élève à 300 kg par mm2 et davantage . une propriété particulièrement caractéristique . d'une partie du présent alliage réside notamment dans le fait
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que, entre les limites de températures de 600 et 650 O. envi- ron, il subit une transformation de sa structure qui, dans le cas présent.
est caractérisée par le fait que les limiter des grains des alliages se dissolvent plus ou moins fortement, et même complètement dans le cas d'un traitement oorreot et que toute l'étendue d'une surface polie prend un aspect uni- formément strié .Comme on sait que les limites des grains sont toujours des zones mécaniquement faibles où se produisent prin- cipalement les ruptures et défaillances analogues , un traite- ment de ltalliage qui provoque la disparition des limites des grains produira un état technologique particulièrement favora- ble Il est par conséquent recommandable, pour autant que cela. soit faisable, de réaliser cet état par un traitement thermi- que au-dessus de 600 C. environ .
Ces résultats sont mis en évidence par les quatre gravures jointes qui sont des reproductions de surfaces polies des nouveaux alliages soumis au présent procédé de trai- teme nt thermique .
La gravure échantillon N 1 montre un alliage porté à 1000 0; cet alliage est parfaitement homogène et muni de limites de cristaux nettement marquées.
La gravure échantillon N 2 montre le même allia- ge ayant été traité thermiquement un peu au-dessous de 600.0, les ségrégations qui se sont produites près des limites des cristaux ressortent clairement .
La gravure échantillon N 3 montre le même al- liage après un traitement thermique de 7 heures à 650 C.
La gravure éohantillon N 4 représente le même alliage après un traitement thermique de 14 heures à 6µ0'.ON voit nettement la disparition des limites des cristaux et la surface polie homogène.
**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.
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for the process of manufacturing palladium and silver alloys "
The invention relates to a process for the manufacture of palladium and silver alloys which lends itself to heat treatments such as quenching and is therefore liable to receive a large number of applications in industry. ,
Alloys of palladium and silver have received applications in a few limited areas of industry as less expensive substitutes for platinum, for example in the artificial tooth industry, in industry. electrical engineering, for the manufacture of contacts subjected to low loads, among others.
Palladium and silver alloys have the advantage over fine silver of having greater chemical and mechanical resistance. However, even in the case of
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Alloys the most 8 da.:ra qt.i contain equal parts of silver and palladium, the hardness is only about dotable of that of the two elements qtli. as we know, are very soft metals. Oas alloys do not lend themselves to heat treatment. if we add gold to the alloys of palladium and silver, we obtain, as we should have expected, the 4th alloy. '111i have a larger weight, but are also not 8D.88ceptible to be heat treated.
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The present process of making very advantageously applicable palladium and silver alloys.
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in, 1in4turt, 1e consisted in the incorporation into the alloy dan other clement which serves for the actual hardening and quigpmr 80na'qùsnt. will be designated 81-to ",. sotls app * 11 fiion of" 4f11'8iaunt ..
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Rational research has shown
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q '# large number of addition agents, for example bd- l', il .: l: ib proposes ñoqµàtà this day in v6.e db. of hro1alilelDlDt of
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other alloys, do not render palladium alloys
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and silver suitable for being trances or milked themCOIment to an appreciable Aegz4; however, this is achieved with the help
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of other addition agents.
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As in <1 * eant *, not only one pact to apply the .1ilioiWl1 and 1taluminiûm, elements of the used for dqe1c other rare alloys of mdt "nx, as well as qÚ8 magnesium, but a large number of other elements, in Part of the iron group m4t. are: remazqt1 & blement .pp, \ '11! 18 oh b # xt considered.
These; rcia8ant8 are not tt.ail .. lears formerly limited to metals; the metals1o% 48. and A mime in certain particular cases gazenx bodies have
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gave satisfactory results for this purpose. it is also not at all necessary to add these duro1asants individually as alloying elements; on the contrary, they can be a, or a. the basic element is formed as an alloy and, in some cases, this small time addition may only be carried out at a later stage in the manufacturing process so that part of the manufacturing is carried out with a material which does not yet contain hardeners.
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Tests have made it possible to establish that the proposal for the incorporated decontaminant should generally not exceed l 1 The enumeration of the various elements to be applied would go too far, and it does, to give a person skilled in the art a rule which allows him to obtain with certainty a satisfactory result, to determine that the dU- closant is oaracterial by the fact that it must dissolve in the fundamental allioge to a considerably greater extent at elevated temperatures than in # x 1empdrat: relatively low. a list of the items approved for this can be found in the manuals and diagrams
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of fusion and tables that they oantiennen Among the màtaûz du. group of iron, cobalt and nickel are prof erable a.ib:! ef.
Bane the case da., Iagira
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by equal parts of ad and ace the elements? 00 et al pr °. feel the same benefit, but, in the case of palladium-rich pine alloys, cobalt ensures a great pine
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decree.
quenching while in the case of 4.t.a11i.ges richer in silver, it is the nickel which provides the greatest hardness of quenching,
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S1. Importance is attached to obtaining alloys which are not liable to take on coloring
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defective when they are either subjected to a high temperature or attacked by reagents with a high sulfur content, it will be advisable to use elements which give rise to Colorless oxides and sulphides and which, consequently even under the conditions unfavorable, which has just been discussed, do not adversely affect the color of the alloy.
It will be found advantageous, for example, to employ tin as the curing agent. This metal gives remarkable results if, for example, the palladium content of the alloy is replaced, entirely or in part, by platinum or other metals of the same group, this modification being able to be advantageous in many cases. .
One of the characteristics of the present procedure lies in the fact that, in certain appropriate cases, the gold content of the alloys can be as high as 805 and more and that, even when this gold percentage is exceeded, the gold content possibility of improving the alloy by heat treatment. is not strictly speaking lost.
The present process further enables all or part of the copper to be converted into gold, which, apart from the present difficulty in obtaining gold, is extremely advantageous for technical reasons.
Partial or entire substitution of copper for. gold in the present process has given particularly advantageous results when particular importance is attached to a proportionally dieve increase in hardness, however, it should be mentioned that in the case of alligens of this kind, the resistance of the alloy to agents which tend to tarnish or color it, is reduced, especially at high temperatures.
If the present process is to be further developed for the purpose of making certain pro-
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special alloys or to reduce their harmful properties, it is advisable to add small amounts of another element, which is generally the fifth, and whose inaction lies in the fact, on the one hand, that it absorbs more or less the impurities contained in any molten bath, including gases, or slag these impurities, and that on the other hand, it increases the attitude of the alloy to undergo quenching. phosphorus, for example,
has a strong downward action and that it also lowers the melting point of rare metal alloys, over time making the molten bath itself more fluid. Tantalum and similar bodies are known by the power they possess to 'absorb gases in many applications of the recent alloy industry. These bodies can therefore be applied to the alloys according to the present invention to modify the properties of these alloys in one direction or the other.
It is also ultimately important that, under certain conditions, the fourth addition element, that is to say the "hardener", and of course also the fifth, can, by quenching carried out in a suitable manner, be. again removed during or after this operation without damaging the mechanical and teohnological properties.
The increase in the hardness of the alloys described above is carried out in the direction of a segregation quenching, that is to say that the alloys brought to high temperatures and suddenly cooled are soft and that, during the treatment thermal or subsequent tempering, their hardness increases considerably and is spoken more than double in the most favorable cases. The tests have made it possible to establish that the most favorable temperatures
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are about 700 to 1000 ° 0 for the first heating and about 400 to 700 0 for the tempering after the sudden cooling.
A few examples will explain the mode of manufacture of the industrially applicable rare metal alloys according to the invention and the advantages of these alloys, a) the Brinell hardness of an alloy composed by
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equal parts of silver and palladium is 75 kg per mm,] By an addition of 16% AU and 4% Ni or. from 18% to and from 8% of Oo, this hardness rises, before the heat treatment, to 100 / 1.80 kg per mm, and on the other hand, after the heat treatment, to 150/180 kg per medium Similarly, by adding 10% Ag and 10% Oo, a quench hardness of 160 kg per mm 2 is obtained. b) Alloys whose composition is the
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following: M 60%, Ilg 80%, Ad 1fini, 8i 4%: or? at 60%, Ag 80%, AA 14%, 00 6% have an initial hardness of approximately HO kg per mm2.
Heat treatment raises this hardness
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at 800 kg per mm g in the case of the first alloy and at 830 kg by in the case of the second o) an alloy of the following composition;
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Bd 40%, Ag 48% AU Salt, Ni 4% possesses, apgbo the refroldisMMnt bzz is quenched itself from 100oe, A da.re td r3, neli, of 119 kg per am and, after a heat treatment a hardness of 180 kg is sold for 430 1 0 # per em 8 * (] and the alloy can be worked in a remarkably good way.
4) An alloy composed of: Bd 60%, àg 80 m l6% t Ni has ,, after a treatment analogous to that of lee, upl9 '9) t a du.roté of 13D kg per H 8 in the soft state and donkey hardness of 800 kg per mm, ildtat cln3î
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e) An alloy composed of Pa 60%, Ag z, ce 8%, Co 5% gives, under marl conditions, 165 kg per mm2 for the soft state and 275 kg per mm2 for the hardened state.
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f) An alloy composed of s Pd 40%, Ag 52% 0 & 4%, Sn 4% has a Brinell hardness of 103 kg per mm for the soft state and of 2l! kg per nm 2 for the hard state. g) an alloy composed of:
Bd 400 .. 50%, Gu 4%, Sa 4%, Rh 2% has a Brinell hardness of iso kg per mm 2 "for the soft state and 271 kg per mm2 for the hard state, h) an alloy composed of: s l'd 30%, gag 64%, and $ 8, Sa 4, has in the soft state a hardness of 12Q kg per ime 'and bzz in the hard state a hardness of 160,170 kg per mm2.
1) In the bottom of an alloy composed of 4 = Pd 40%.
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Ag 40%, A let Sa 1%. hardness, which is 110 kg per mu after the sudden cooling. amounts to 115 kg pe0 mm after heat treatment.
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k) In the case of an alloy composed of 90% srd, g. 5% ouas or &, it is possible, by the addition of hydrogen, d, t.1iae in a manner known per se, to raise the hardness from approximately 80/90 kg per nm 2 to a value greater than 130 kg per mm 2 This addition of hydrogen can be effected after the workpiece has been completed by heating to about 300 ° C., the added hydrogen can be removed again without decreasing the hardness.
1) By adding about 3 to 4% of phosphorus,
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preferably in the form of lb-CtL 9 b. The alloy of example f) the melting point of the alloy is reduced by approximately 150 ° C. without its other mechanical and technological properties diminishing. At the same time, the ease with which this alloy can be molded is considerably increased.
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mounted by the addition of 2.
This peculiarity plays an important role in particular when, for example for dental applications, it is a question of establishing moving parts.
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ldes of small dimensions q3ipa an appropriate heat treatment, carried out after they have been or
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their final shape, must have as great a hardness as possible.
When the heat treatment is combined with another treatment, in particular with carburizing, which can be carried out in a single operation, hardnesses are obtained which, in certain cases, may exceed by 100% and more the values indicated above. for alloys.
By carburizing, there is in fact a mutual diffusion of the various alloying elements which promotes the finely dispersed segregation which is important for the hardening, while the crystalline frame reinforces the diffusion .0 is precisely due to this. from the fact that the present alloys rent four or more than four elements, which can be obtained by this combination of various hardening processes a considerable increase in useful properties, this increase being mainly due to the fact that, in any case , even in the case of relatively heavy molded parts,
the finished alloys are absolutely homogeneous, that is to say that they are not just castings more or less strongly influenced by a variation of the surface ,,
The increase in technological properties is characterized by the following example:
A sheet made of an alloy composed of Pd 40%, Ag 50, Au 6%.
Sn 4% breaks after a few thousand oxcillations when the alloy is in the soft state; after heat treatment, it resists 15,000 oscillations; while the combined cementation and heat treatment process gives an oscillation resistance of 45,000 double cycles, in addition to the hardness being 300 kg per mm2 and more. a particularly characteristic property. part of the present alloy lies in particular in the fact
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that between the temperature limits of 600 to 650 O. approximately, it undergoes a transformation of its structure which, in the present case.
is characterized by the fact that the limits of the grains of the alloys dissolve more or less strongly, and even completely in the case of an oorreot treatment and that the entire extent of a polished surface takes on a uniformly striated appearance. it is known that the grain boundaries are always mechanically weak zones where mainly similar breaks and failures occur, a treatment of the alloy which causes the grain boundaries to disappear will produce a particularly favorable technological state. therefore recommendable, as far as that. is feasible, to achieve this state by heat treatment above approximately 600 C.
These results are evidenced by the four accompanying engravings which are reproductions of polished surfaces of the new alloys subjected to the present heat treatment process.
The sample N 1 engraving shows an alloy brought to 1000 0; this alloy is perfectly homogeneous and provided with clearly marked crystal limits.
Sample No. 2 etching shows the same alloy having been heat treated a little below 600.0, the segregations which occurred near the crystal boundaries are clearly visible.
Etching sample N 3 shows the same alloy after a heat treatment for 7 hours at 650 C.
The etching of sample N 4 represents the same alloy after a heat treatment for 14 hours at 6 μ0 '. The disappearance of the crystal limits and the homogeneous polished surface can clearly be seen.
** ATTENTION ** end of DESC field can contain start of CLMS **.